avec un immense merci à Pierre-Jean LLorens qui trouve toujours le temps de partager des infos, des pistes, des lectures :

L’étude qui revient sur les attentes des collaborateurs

47% des travailleurs envisagent un changement de vie professionnelle afin de pouvoir continuer à progresser dans leur carrière selon « People at Work 2021 : l’étude Workforce View » qui revient sur les attentes de 2 000 salariés en France et 30 000 dans le reste du monde. 

Cette volonté est notamment l’une des nombreuses conséquences de la crise sanitaire que nous connaissons depuis plus de 18 mois. Après une période intense, les services RH doivent se préparer pour l’avenir. Les défis qui semblaient « provisoires » il y a un an pourrait bien devenir des enjeux à long terme.

ADP vous propose, en partenariat avec Parlons RH, une nouvelle étude qui révèle avec précision ce que les salariés du monde entier pensent vraiment de questions cruciales au travail :

  • la confiance des collaborateurs ;
  • les conditions de travail ;
  • la paie et la performance ;
  • la mobilité ;
  • l’égalité femmes-hommes.
Ces éléments sont précieux, ils vous permettront de mieux comprendre et d'optimiser l'accompagnement de l’ensemble de vos collaborateurs.
Découvrez les tendances
 
 

AVIS DE PARUTION

Sous embargo jusqu’au 13 octobre 2021 à 6 heures

 
 

Paris, le 12/10/2021

 
 

Méthodologie de l’enquête auprès des bénéficiaires de minima sociaux (BMS) 2018

 

Mathieu Calvo, Céline Leroy, Lucile Richet-Mastain (DREES)
Les Dossiers de la DREES n° 84,

DREES, octobre 2021

 

Consulter la publication
 
 

L’enquête auprès des bénéficiaires de minima sociaux (BMS), réalisée par la DREES, s’inscrit dans le cadre du dispositif d’observation statistique des situations des populations en difficulté. Elle a pour principal objectif de mieux connaître les con-ditions de vie des bénéficiaires de minima sociaux. La dernière édition de l’enquête a été menée essentiellement fin 2018. Elle succède à trois enquêtes réalisées en 2003, 2006 et 2012.

 

Ce document décrit de façon détaillée l’élaboration de la 4e édition de cette enquête. Elle a été collectée au dernier trimestre 2018 et début 2019, et porte sur les bénéficiaires de minima sociaux et de la prime d’activité fin décembre 2017. Elle a déjà fait l’objet de plusieurs publications.

 

Ce document est structuré en six parties qui correspondent aux principales étapes de la réalisation d’une enquête. La première présente son contexte et sa mise en place. En particulier, cette opération fait intervenir de nombreux organismes publics qui la financent et participent à son élaboration. La deuxième partie se focalise sur le déroulement de la collecte. La partie suivante présente dans le détail le plan de sondage. La quatrième partie décrit les opérations post-collecte : apurement, traitement de la non-réponse et pondérations. Les opérations d’appariements du fichier avec d’autres données font l’objet de la cinquième partie. Enfin, la dernière partie porte sur la diffusion du fichier et des résultats. Des annexes complètent la partie principale de ce Dossier de la DREES.

 

Un second Dossier de la DREES méthodologique sera publié sur le traitement des dépenses et des revenus, qui font l’objet d’imputations et, pour les revenus uniquement, d’appariements. Un Dossier de la DREES sur le traitement des revenus avait déjà été diffusé à propos de l’enquête BMS 2012.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

AVIS DE DIFFUSION

 
 

Paris, le 12/10/2021

 
 

Mise à disposition des Résultats par départements sur les bénéficiaires payés de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) à domicile au titre de décembre 2017

 

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie les tableaux départementaux sur les bénéficiaires payés de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) à domicile au titre de décembre 2017. Fin 2017, 770 000 personnes résidant à domicile sont bénéficiaires de l’APA. Cette prestation gérée par les départements a été créée en 2002 pour financer les aides nécessaires aux personnes de 60 ans ou plus en situation de perte d’autonomie.

 

Ces tableaux présentent les caractéristiques détaillées des bénéficiaires payés de l'APA à domicile selon différentes variables catégorielles (sexe, âge, situation de couple, GIR, montant des ressources, montant du plan d'aide notifié, etc.) et ce, par département.

 

Ces données sont issues des Remontées d’informations sur l’APA et l’ASH (RI-APA-ASH 2017). Cette opération est une collecte de données administratives individuelles sur les bénéficiaires de l’APA et de l’Aide sociale à l’hébergement (ASH) en France, auprès de 101 conseils départementaux, hors Mayotte. Ces remontées permettent d’affiner les caractéristiques sociodémographiques des bénéficiaires, leur niveau de dépendance détaillé ainsi que l’historique des évolutions du niveau dépendance depuis la première demande d’APA, leurs ressources, les montants de leurs plans d’aide et le contenu de ces plans.


Consulter la présentation des RI-APA


Pour en savoir plus :
Sur le site de la DREES, voir la page d’information sur l’allocation personnalisée d’autonomie, et les données sur l’aide sociale aux personnes âgées publiées dans : « L’aide et l’action sociales en France - Perte d’autonomie, handicap, protection de l’enfance et insertion - Édition 2020 » Leroux I. (dir.), DREES, coll. Panoramas de la DREES-social, octobre 2020.
Sur data.Drees, voir les séries longues sur l’APA depuis 2002.
Consulter les résultats des RI-APA de 2017 au niveau national :

 

  • Louis ARNAULT, Delphine ROY (DREES), 2020, « Allocation personnalisée d’autonomie : en 2017, un bénéficiaire sur deux n’utilise pas l’intégralité du montant d’aide humaine notifié », Études et Résultats, n°1153, Drees, juin.
  • Julie Latourelle, Layla Ricroch (DREES), 2020, « Profils, niveaux de ressources et plans d’aide des bénéficiaires de l’allocation personnalisée d’autonomie à domicile en 2017 », Études et Résultats, n°1152, Drees, juin.
 
 
Consulter les données
 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 14/10/2021

 
 

Semaine du 4 au 10 octobre 2021 : le nombre de tests continue de diminuer, la barre des 100 millions de tests RT-PCR depuis le début de la crise est franchie et les délais de rendu sont stables

 

Entre le 4 et le 10 octobre 2021, 3,2 millions de tests RT-PCR et antigéniques pour la détection du SARS-Cov2 ont été validés (dont 64,9 % de tests antigéniques), contre 3,5 millions de tests (dont 65,5 % de tests antigéniques) la semaine précédente, soit une baisse de -252 900 tests.

 

Entre le 1er mars 2020 et le 10 octobre 2021, environ 156,4 millions de tests antigéniques et RT-PCR ont été validés par un professionnel de santé, plus précisément, 56,3 millions de tests antigéniques et 100,1 millions de tests RT-PCR dont 95,9 millions naso-pharyngés, 4,0 millions salivaires et 231 000 en milieux divers (Graphique 1A).

 

La part des tests (ensemble des tests RT-PCR et antigéniques) validés en moins de 24 heures reste quasi-stable par rapport à la semaine précédente, à 98 % cette semaine (contre 99 % la semaine précédente). La médiane et la moyenne des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR sont stables, respectivement à 0,3 et 0,4 jour.

Graphique 1A • Nombre de tests RT-PCR et antigéniques réalisés par jour et semaine glissante

 
 
 
 

Lecture : Le 10 octobre 2021, 100 098 résultats de tests ont été validés, dont 63 129 tests antigéniques. Du 4 au 10 octobre 2021, 3 215 141 résultats de tests ont été validés, dont 2 087 232 tests antigéniques.


Champ : Tests RT-PCR remontés via l’enquête DREES auprès des laboratoires entre le 1er mars 2020 et le 7 juin 2020 ; et tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation depuis le 7 juin 2020, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Du fait de la montée en charge progressive de la saisie des tests antigéniques, le nombre de tests antigéniques dans SI-DEP est sous-estimé jusqu’à fin novembre. Avant cette date, les résultats positifs associés étaient intégrés directement dans Contact-Covid afin de permettre le dispositif de contact tracing.


Source : SI-DEP - Enquête DREES Laboratoires ; calculs DREES

 

Le nombre de tests validés du 4 au 10 octobre 2021 est en baisse pour l’ensemble des tranches d’âge (Graphique 1B) (évolution du nombre de tests 0-15 ans : -12 922 tests, 16-25 ans : -58 184 tests, 26-40 ans : -95 010 tests, 41-65 ans : -72 685 tests, 66-75 ans : -9 403 tests, 76-100 ans : -4 648 tests).

 

Graphique 1B • Nombre de tests (RT-PCR et antigéniques) sur 7 jours glissants par tranche d’âge

 
 
 
 

Lecture : Entre le 4 et le 10 octobre 2021, 546 281 tests validés concernaient les 16-25 ans.


Champ : Tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation depuis le 7 juin 2020 et âge renseigné, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

La part des tests antigéniques est la plus élevée pour les tranches d’âges intermédiaires (16-65 ans), et a fortement augmenté pour tous les âges de début juillet à fin août. Elle a diminué nettement pour les moins de 16 ans depuis fin août jusqu’aux deux dernières semaines, où elle augmente à nouveau fortement (graphique 1C). Sur la semaine du 4 au 10 octobre, la part des tests antigéniques dans l’ensemble des tests est la plus élevée pour les 16-25 ans (81 %) et la plus faible pour les plus de 75 ans (23 %) (Tableau 1).

 

Graphique 1C • Proportion de tests antigéniques réalisés parmi le total des tests RT-PCR et antigéniques (en %) par tranche d’âge, en date de validation sur une semaine glissante

 
 
 
 

Lecture : 81,3 % des tests réalisés par les 16-25 ans validés entre le 4 et le 10 octobre 2021 sont des tests antigéniques.


Champ : tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation jusqu’au 10 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.


Source : SI-DEP ; calculs DREES.

 

Tableau 1 • Proportion de tests antigéniques réalisés parmi le total des tests RT-PCR et antigéniques (en %) par tranche d’âge, pour les tests validés du 4 au 10 octobre 2021 et du 27 septembre au 3 octobre 2021

 
 
 
 

Lecture : 81,3 % des tests réalisés par les 16-25 ans validés entre le 4 octobre et le 10 octobre sont des tests antigéniques.


Champ : tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation du 27 septembre au 10 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.


Source : SI-DEP ; calculs DREES.

 

On observe une hausse du nombre de tests salivaires depuis le début du mois de septembre, concentrée sur les plus jeunes âges, en lien avec la rentrée scolaire (Graphique 1D).

 

Graphique 1D • Nombre de tests salivaires sur 7 jours glissants par tranche d’âge

 
 
 
 

Lecture : Entre le 4 et le 10 octobre 2021, 162 759 tests RT-PCR salivaires concernaient les 0-11 ans.


Champ : Tests RT-PCR salivaires avec dates de validation depuis le 1er février 2021 et âge renseigné, remontés dans les envois quotidiens SIDEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.


Source : SIDEP ; calculs DREES

 

La médiane et la moyenne des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR sont stables, respectivement à 0,3 et 0,4 jour (Graphique 2).

 

Graphique 2 • Évolution des délais entre prélèvement et validation du résultat pour les tests RT-PCR en France

 
 
 
 

Lecture : Entre le 4 et le 10 octobre 2021, la moitié des tests RT-PCR ont été validés en 0,3 jour ou moins. Sur la même période, la moyenne du délai était de 0,4 jour.


Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation depuis le 25 juin 2020, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

La part des tests RT-PCR validés en moins de 24 h est stable à 96 % (Graphiques 3 et 4).

 

Graphique 3 • Distribution des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR

 
 
 
 

Lecture : 99,7 % des tests RT-PCR validés entre le 4 et le 10 octobre 2021 ont été prélevés dans les 72h précédentes.


Champ : Tests RT-PCR remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Graphique 4 • Répartition des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR entre le 4 et le 10 octobre 2021

 
 
 
 

Lecture : 95,6 % des tests RT-PCR validés entre le 4 et le 10 octobre 2021 ont été prélevés dans les 24h précédentes.


Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 4 et le 10 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

98 départements sur 101 ont un délai médian entre prélèvement et validation du résultat d’un test RT-PCR inférieur à 12 h (Cartes 1 et 2).

 

Carte 1 • Délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR par département entre le 4 et le 10 octobre 2021

 
 
 
 

Lecture : Entre le 4 et le 10 octobre 2021, le délai médian pour les résidents de l’Ain (01) est compris entre 0 et 0,5 jour, c’est-à-dire que plus de la moitié des tests ont un délai entre prélèvement et validation du résultat inférieur à 0,5 jour.


Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 4 et le 10 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants. Le département est le département de résidence du patient.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Carte 2 • Délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR en Île-de-France entre le 4 et le 10 octobre 2021

 
 
 
 

Lecture : Entre le 4 et le 10 octobre 2021, le délai médian pour les résidents des Yvelines (78) est compris entre 0 et 0,5 jour, c’est-à-dire que plus de la moitié des tests ont un délai entre prélèvement et validation du résultat inférieur à 0,5 jour.


Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 4 et le 10 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants. Le département est le département de résidence du patient.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Environ 65% des tests réalisés sont antigéniques.

Les départements où la part des tests antigéniques est la plus élevée sont la Guadeloupe (971), les Hautes-Alpes (05) et les Pyrénées-Orientales (66) (Carte 3).

 

Carte 3 • Proportion de tests antigéniques par département entre le 4 et le 10 octobre 2021 (en %)

 
 
 
 

Lecture : Entre le 4 et le 10 octobre 2021, la part des tests antigéniques validés dans le Finistère (29) se situait entre 40 et 60 %.


Champ : Tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation entre le 4 et le 10 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Le département est le département de résidence du patient.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Sur l’ensemble des tests (RT-PCR et antigéniques) validés la semaine du 4 au 10 octobre 2021, la part des tests validés en moins de 24 heures s’élève à 98 %, contre 99 % la semaine précédente (Graphique 5). Si l’on considère le délai en journées, et non plus en heures, ce sont 100 % des tests dont le résultat a été validé le jour ou le lendemain du prélèvement, comme la semaine précédente (Graphique 6).

 

Graphique 5 • Part des résultats validés en moins de 24 heures pour les tests RT-PCR et antigéniques

 
 
 
 

Lecture : 95,5 % des tests RT-PCR validés entre le 4 et le 10 octobre 2021 ont été prélevés dans les 24 heures précédentes. 98,4 % des tests RT-PCR et antigéniques validés entre le 4 et le 10 octobre 2021 ont été prélevés dans les 24 heures précédentes.


Champ : Tests RT-PCR et antigéniques remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Graphique 6 • Part des résultats validés le jour ou le lendemain du prélèvement pour les tests RT-PCR et antigéniques

 
 
 
 

Lecture : 99,0 % des tests RT-PCR validés entre le 4 et le 10 octobre 2021 ont été prélevés le jour-même ou la veille. 99,6 % des tests RT-PCR et antigéniques validés entre le 4 et le 10 octobre 2021 ont été prélevés le jour-même ou la veille.


Champ : Tests RT-PCR et antigéniques remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 12 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 
 
Consulter la datavisualisation
 
 

Méthodologie

 

La DREES exploite les données pseudonymisées du système d’information SI-DEP, qui portent notamment sur l’ensemble des tests RT-PCR réalisés par les laboratoires d’analyse médicale, et comportent des informations à la fois sur les résultats des tests et sur leurs délais de réalisation. Le calcul des délais pour les tests RT-PCR se fait à partir de la date de prélèvement du test (jour, heure, minute), déclarée par le laboratoire, et de la date d’intégration (jour, heure, minute) du test dans le système d’information, intégration qui doit se faire très rapidement après la validation du test. Les délais ici présentés pour les tests RT-PCR correspondent aux délais entre la date de prélèvement et la date d’intégration des résultats dans SI-DEP. Cependant, la date d’envoi des résultats aux patients par le laboratoire peut être postérieure à l’intégration des résultats dans SIDEP. Les délais entre date de prélèvement et réception des résultats des tests RT-PCR par les patients pourraient donc être supérieurs à ceux mesurés via SIDEP. Les statistiques présentées portent sur l’ensemble des tests RT-PCR réalisés, en date de validation du résultat.

 

Depuis le 17 octobre, les tests antigéniques sont autorisés dans le cadre des dépistages individuels. Ils doivent être remontés depuis lors dans la base SIDEP par les laboratoires. En revanche, la saisie d’information dans SIDEP pour les professionnels de santé n’est possible que depuis le 16 novembre, et a connu une phase de montée en charge. Afin d’estimer le nombre total de tests antigéniques réalisés depuis le 17 octobre, la DREES utilise les données de l’Assurance maladie sur le nombre de tests remboursés en date de soins en complément des données renseignées dans SIDEP. Les tests antigéniques sont des tests pour lesquels le résultat est connu très rapidement, avec un délai entre prélèvement et validation du résultat généralement inférieur à 30 minutes.

 

Par ailleurs, si une même personne a réalisé successivement deux tests, ces deux tests sont donc comptés. Les données sur le nombre de tests diffèrent de celles publiées par Santé publique France, en date de prélèvement du test.

 

Enfin, entre début mars et début juin 2020, préalablement au déploiement complet de SIDEP, la DREES a mis en place à la demande du centre de crise sanitaire un système d’information permettant de comptabiliser le nombre de tests RT-PCR réalisés en France, à partir des déclarations des sites réalisant les tests (et non les prélèvements comme dans SIDEP).

 

Dans le cadre de l’exploitation des données SIDEP, la DREES procède à quelques retraitements des données. En particulier, les tests remontés avec un pseudonyme manquant sont supprimés. Dans le cas d’un même test remonté plusieurs fois (mise à jour de certaines informations sur le patient par exemple), la DREES conserve la ligne la plus récente, à l’exception de la date d’intégration dans SIDEP dont on retient la valeur la plus ancienne, assimilée à la date de validation du résultat.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

INFORMATION PRESSE

 
 

Paris, le 14/10/2021

 
 

Pour des raisons techniques, la DREES ne sera pas en mesure de publier, vendredi 15 octobre, les informations sur le statut vaccinal des personnes testées et hospitalisées.

 

Ses équipes sont mobilisées pour rétablir au plus vite la mise à disposition de ces informations.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

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République FrançaiseLa lettre Service-Public.fr
Lettre n°1041 du 15 octobre 2021 Abonnement aux sujets d'actualité  twitter @servicepublicfr  service-public.fr sur Facebook

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 FORMATION - TRAVAIL

RISQUES AU TRAVAIL Publié le 14 octobre 2021

Départ à la retraite : une visite médicale pour les salariés exposés

Depuis le 1er octobre 2021, les salariés sur le départ à la retraite et qui ont occupé un poste à risques pour leur santé ou leur sécurité, (...)   Lire la suite >

 ARGENT

ENVIRONNEMENT Publié le 12 octobre 2021

Fin des emballages plastiques des fruits et légumes : quel calendrier ?

Concombres sous cellophane, poires en barquette, courgettes en sachet plastique... Les emballages plastiques pour certains fruits et légumes (...)   Lire la suite >

PROTECTION DU CONSOMMATEUR Publié le 13 octobre 2021

La garantie légale de conformité bientôt étendue aux contenus et services numériques

Vous êtes friand de jeux vidéo en ligne ? Vous êtes abonné à une plateforme de vidéos à la demande (VOD) ? L'ordonnance relative à la garantie (...)   Lire la suite >

FISCALITÉ Publié le 13 octobre 2021

Contribution à l'audiovisuel public : quelles sont les personnes exonérées ?

Vous êtes locataire ou propriétaire et votre logement est équipé d'un téléviseur ? Vous devez payer une redevance télé ou contribution à (....)   Lire la suite >

PROPRIÉTÉ Publié le 13 octobre 2021

Comment se partage la découverte d'un trésor ?

Si vous découvrez un trésor sur une propriété qui ne vous appartient pas, la loi prévoit que le trésor appartient pour moitié au propriétaire et (...)   Lire la suite >

 LOGEMENT

NOUVEAU DPE Publié le 12 octobre 2021

DPE des logements construits avant 1975 : une nouvelle formule à partir du 1er novembre 2021

Vous êtes propriétaire d'un logement construit avant 1975 ? À compter du 1er novembre 2021, vous pourrez de nouveau obtenir les Diagnostics de (...)   Lire la suite >

LOCATION Publié le 15 octobre 2021

Indice de référence des loyers (IRL) : quelle hausse au 3e trimestre 2021 ?

Le nouvel indice de référence des loyers (IRL) a été publié le 15 octobre 2021 par l'Institut national de la statistique et des études (...)   Lire la suite >

 FAMILLE

OBLIGATIONS DES ÉLÈVES Publié le 13 octobre 2021

Portable à l'école : que dit la loi ?

[Vidéo] Le portable est-il interdit ou autorisé dans les écoles, les collèges et les lycées ? Pour tout comprendre sur l'utilisation du portable en classe, dans la cour de récréation ou dans les couloirs, on vous explique les règles en 1 minute.   Lire la suite >

JEPROTEGEMONENFANT.GOUV.FR Publié le 12 octobre 2021

Protéger les enfants de la pornographie en ligne : de nouveaux contenus sur le site officiel pour aider les parents

Conseils techniques sur les outils de contrôle parental, contenus d'éducation à la sexualité, ressources pour aider à déconstruire les clichés (....)   Lire la suite >

VACANCES SCOLAIRES Publié le 14 octobre 2021

Les dates des vacances de Toussaint 2021

[Infographie] Écoles, collèges, lycées : les vacances scolaires de Toussaint sont identiques quelle que soit la zone concernée. Elles (...)   Lire la suite >

 LOISIRS

TOURISME Publié le 11 octobre 2021

Alentour, la nouvelle plateforme du tourisme de proximité

Vous projetez un séjour en France lors des prochaines vacances de la Toussaint ? La plateforme Alentour propose aux touristes un catalogue (...)   Lire la suite >

Tout savoir sur le passe sanitaire

Publié le 14 octobre 2021

Depuis le 9 juin et jusqu'au 15 novembre 2021, un passe sanitaire est mis en place pour accompagner les Français au retour à une vie normale (...)   Lire le dossier >

À LIRE

Un combat capital

L'ouvrage et la vidéo dédiés à plus de deux siècles de lutte pour l'abolition de la peine capitale   Lire la suite >

AGENDA

JUSQU'AU

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2021

 

IMPÔTS

Taxe foncière 2021 : dates de réception de l'avis et de paiement ?

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AU

21 OCT.

2021

 

LYCÉENS

Bourse de lycée : faites votre demande du 2 septembre au 21 octobre 2021 !

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Arthrose : 5 aliments pour soulager la douleur  
 
arthrose
 
La santé passe par ce que nous mangeons. C'est d'autant plus le cas lorsque l'on souffre de maladies comme l'arthrose, pour lesquelles il n'existe que des traitements symptomatiques. Certains aliments sont d'ailleurs particulièrement indiqués. Quels sont-ils ? On vous dit tout !
 
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COMMUNIQUE DE PRESSE

Sous embargo jusqu’au 21 octobre 2021 à 6 heures

 
 

Paris, le 20/10/2021

 
 

L’espérance de vie sans incapacité et l’espérance de vie en tant que bénéficiaire de l’allocation personnalisée d’autonomie : deux indicateurs pour mieux appréhender la qualité de vie après 60 ans

 

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie deux nouvelles études sur les espérances de vie passées après 60 ans. La première étude présente l’espérance de vie sans incapacité, et actualise cet indicateur avec les données 2020 pour les hommes et les femmes âgés de 65 ans ou plus. La seconde étude analyse l’espérance de vie passée dans l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) en portant un éclairage sur la durée moyenne pendant laquelle une personne de 60 ans est susceptible de bénéficier de l’APA. L’écart entre l’espérance de vie totale et l’espérance de vie dans l’APA correspond à « l’espérance de vie sans dépendance » des seniors, la dépendance étant ici mesurée par le fait de percevoir l’APA.

En France l’espérance de vie à 65 ans s’allonge régulièrement. Ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ». La DREES est en charge de publier, chaque année, un autre indicateur, l’espérance de vie sans incapacité, qui correspond au nombre d’années qu’une personne peut espérer vivre sans être limitée dans les activités de la vie quotidienne.

 

Presque dix-huit mois séparent l’espérance de vie sans incapacité des hommes et des femmes à 65 ans
En 2020, à 65 ans, les hommes peuvent espérer vivre 10,6 ans sans incapacité et les femmes 12,1 ans. L’espérance de vie sans incapacité à 65 ans progresse continûment depuis 2008, avec un gain de 2 ans et 1 mois pour les femmes et 1 an et 11 mois pour les hommes. Au cours de cette période (2008-2020), l’espérance de vie sans incapacité à 65 ans a crû plus vite que l’espérance de vie globale à 65 ans. Aussi, parmi les années restant à vivre à 65 ans, la part de celles qui seront vécues sans incapacité croît depuis 2008 : elle est passée de 45 % en 2008 à 53 % en 2020 pour les femmes, et de 48 % en 2008 à 56 % en 2020 pour les hommes. À noter qu’en 2020, les femmes peuvent espérer vivre à la naissance 65,9 ans sans incapacité et les hommes 64,4 ans. Les espérances de vie sans incapacité à la naissance augmentent également depuis 2008, de 1 an et 8 mois pour les hommes et 1 an et 5 mois pour les femmes.

 

Une espérance de vie sans incapacité à 65 ans qui se situe au-dessus de la moyenne européenne
En 20191, la France était le neuvième pays de l’Union européenne à 27 (UE-27) pour l’espérance de vie sans incapacité des hommes à 65 ans, légèrement au-dessus (+ 2 mois) de la moyenne européenne. Elle était le septième pays de l’UE-27 pour l’espérance de vie sans incapacité des femmes, au-dessus également (+1 an et 2 mois) de la moyenne européenne. La France est par contre légèrement en dessous de la moyenne européenne pour les espérances de vie à la naissance des hommes (- 9 mois) et des femmes (-6 mois), à la neuvième position de l’UE-27 pour ces deux indicateurs.

 

L’espérance de vie passée dans l’APA : un nouvel indicateur qui s’inscrit dans la famille des espérances de vie avec ou sans incapacité
L’espérance de vie dans l’allocation personnalisée d’autonomie correspond au nombre moyen d’années qu’une personne de 60 ans peut espérer vivre en tant que bénéficiaire de cette prestation, compte tenu des conditions observées une année donnée, d’une part pour la mortalité, d’autre part pour la probabilité d’être bénéficiaire de l’APA à chaque âge. Elle est mécaniquement plus courte que la durée moyenne de perception de cette prestation, car elle tient aussi compte des seniors qui décèdent sans en avoir bénéficié. L’espérance de vie dans l’APA a pour principal intérêt de s’affranchir des effets de structure démographique, notamment de l’avancée du « papy boom ». Pour cette raison, dans l’optique d’un suivi structurel de la dépendance en France, cet indicateur est davantage pertinent que d’autres, comme le nombre de bénéficiaires ou leur part parmi la population âgée.

 

L’espérance de vie passée dans l’APA est en baisse régulière depuis 2010
Fin 2019, une personne de 60 ans a une espérance de vie de 25,6 années parmi lesquelles, en moyenne, 2,4 années sont passées en tant que bénéficiaire de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA). L’espérance de vie passée dans l’APA est plus longue dans un état de dépendance modérée (1,5 année en GIR 3 ou 4) que sévère (0,9 année en GIR 1 ou 2). Elle est aussi plus élevée en tant que bénéficiaire de l’APA à domicile (1,4 année contre 1,0 année en établissement). Bien que l’espérance de vie totale à 60 ans augmente, l’espérance de vie dans l’APA diminue régulièrement depuis 2010 (-2,7 %), ce qui traduit un recours à cette prestation en baisse à âge donné. La part de la durée de vie après 60 ans passée en tant que bénéficiaire de l’APA passe ainsi de 10,1 % fin 2010 à 9,5 % fin 2019. La baisse est plus marquée en GIR 1 et 2 (-5,0 %) et à domicile (-4,5 %). Seule l’espérance de vie en GIR 3 et 4 en établissement augmente, au même rythme que l’espérance de vie totale.

 

Consulter

 
 
Allocation personnalisée d’autonomie : la part de l’espérance de vie passée en tant que bénéficiaire diminue depuis 2010
 
 
En 2020, l’espérance de vie sans incapacité à 65 ans est de 12,1 ans pour les femmes et de 10,6 ans pour les hommes
 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 

1Année la plus récente pour laquelle les données d’espérance de vie sans incapacité sont disponibles pour tous les pays européens

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 21/10/2021

 
 

L’espérance de vie sans incapacité et l’espérance de vie en tant que bénéficiaire de l’allocation personnalisée d’autonomie : deux indicateurs pour mieux appréhender la qualité de vie après 60 ans

 

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie deux nouvelles études sur les espérances de vie passées après 60 ans. La première étude présente l’espérance de vie sans incapacité, et actualise cet indicateur avec les données 2020 pour les hommes et les femmes âgés de 65 ans ou plus. La seconde étude analyse l’espérance de vie passée dans l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) en portant un éclairage sur la durée moyenne pendant laquelle une personne de 60 ans est susceptible de bénéficier de l’APA. L’écart entre l’espérance de vie totale et l’espérance de vie dans l’APA correspond à « l’espérance de vie sans dépendance » des seniors, la dépendance étant ici mesurée par le fait de percevoir l’APA.

En France l’espérance de vie à 65 ans s’allonge régulièrement. Ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ». La DREES est en charge de publier, chaque année, un autre indicateur, l’espérance de vie sans incapacité, qui correspond au nombre d’années qu’une personne peut espérer vivre sans être limitée dans les activités de la vie quotidienne.

 

Presque dix-huit mois séparent l’espérance de vie sans incapacité des hommes et des femmes à 65 ans
En 2020, à 65 ans, les hommes peuvent espérer vivre 10,6 ans sans incapacité et les femmes 12,1 ans. L’espérance de vie sans incapacité à 65 ans progresse continûment depuis 2008, avec un gain de 2 ans et 1 mois pour les femmes et 1 an et 11 mois pour les hommes. Au cours de cette période (2008-2020), l’espérance de vie sans incapacité à 65 ans a crû plus vite que l’espérance de vie globale à 65 ans. Aussi, parmi les années restant à vivre à 65 ans, la part de celles qui seront vécues sans incapacité croît depuis 2008 : elle est passée de 45 % en 2008 à 53 % en 2020 pour les femmes, et de 48 % en 2008 à 56 % en 2020 pour les hommes. À noter qu’en 2020, les femmes peuvent espérer vivre à la naissance 65,9 ans sans incapacité et les hommes 64,4 ans. Les espérances de vie sans incapacité à la naissance augmentent également depuis 2008, de 1 an et 8 mois pour les hommes et 1 an et 5 mois pour les femmes.

 

Une espérance de vie sans incapacité à 65 ans qui se situe au-dessus de la moyenne européenne
En 20191, la France était le neuvième pays de l’Union européenne à 27 (UE-27) pour l’espérance de vie sans incapacité des hommes à 65 ans, légèrement au-dessus (+ 2 mois) de la moyenne européenne. Elle était le septième pays de l’UE-27 pour l’espérance de vie sans incapacité des femmes, au-dessus également (+1 an et 2 mois) de la moyenne européenne. La France est par contre légèrement en dessous de la moyenne européenne pour les espérances de vie à la naissance des hommes (- 9 mois) et des femmes (-6 mois), à la neuvième position de l’UE-27 pour ces deux indicateurs.

 

L’espérance de vie passée dans l’APA : un nouvel indicateur qui s’inscrit dans la famille des espérances de vie avec ou sans incapacité
L’espérance de vie dans l’allocation personnalisée d’autonomie correspond au nombre moyen d’années qu’une personne de 60 ans peut espérer vivre en tant que bénéficiaire de cette prestation, compte tenu des conditions observées une année donnée, d’une part pour la mortalité, d’autre part pour la probabilité d’être bénéficiaire de l’APA à chaque âge. Elle est mécaniquement plus courte que la durée moyenne de perception de cette prestation, car elle tient aussi compte des seniors qui décèdent sans en avoir bénéficié. L’espérance de vie dans l’APA a pour principal intérêt de s’affranchir des effets de structure démographique, notamment de l’avancée du « papy boom ». Pour cette raison, dans l’optique d’un suivi structurel de la dépendance en France, cet indicateur est davantage pertinent que d’autres, comme le nombre de bénéficiaires ou leur part parmi la population âgée.

 

L’espérance de vie passée dans l’APA est en baisse régulière depuis 2010
Fin 2019, une personne de 60 ans a une espérance de vie de 25,6 années parmi lesquelles, en moyenne, 2,4 années sont passées en tant que bénéficiaire de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA). L’espérance de vie passée dans l’APA est plus longue dans un état de dépendance modérée (1,5 année en GIR 3 ou 4) que sévère (0,9 année en GIR 1 ou 2). Elle est aussi plus élevée en tant que bénéficiaire de l’APA à domicile (1,4 année contre 1,0 année en établissement). Bien que l’espérance de vie totale à 60 ans augmente, l’espérance de vie dans l’APA diminue régulièrement depuis 2010 (-2,7 %), ce qui traduit un recours à cette prestation en baisse à âge donné. La part de la durée de vie après 60 ans passée en tant que bénéficiaire de l’APA passe ainsi de 10,1 % fin 2010 à 9,5 % fin 2019. La baisse est plus marquée en GIR 1 et 2 (-5,0 %) et à domicile (-4,5 %). Seule l’espérance de vie en GIR 3 et 4 en établissement augmente, au même rythme que l’espérance de vie totale.

 

Consulter

 
 
Allocation personnalisée d’autonomie : la part de l’espérance de vie passée en tant que bénéficiaire diminue depuis 2010
 
 
En 2020, l’espérance de vie sans incapacité à 65 ans est de 12,1 ans pour les femmes et de 10,6 ans pour les hommes
 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 

1Année la plus récente pour laquelle les données d’espérance de vie sans incapacité sont disponibles pour tous les pays européens

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

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Aliment clé dans l’hypertension, le sel peut être remplacé par le potassium ou le magnésium. Leur utilité fait débat. Une étude suggère que pour les personnes les plus à risque, ils peuvent être bénéfiques.
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Devez-vous répondre à toutes les demandes d’informations des banques ? Il faut déterminer ce qui relève réellement de leurs obligations et ce qui constitue des pratiques abusives.
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AVIS DE PARUTION

 
 

Paris, le 25/10/2021

 
 

Trajectoires et parcours des personnes en situation de pauvreté et d’exclusion sociale - Actes du séminaire de recherche comité scientifique du CNLE - DREES

 

Nicolas Duvoux (université Paris 8, Président du comité scientifique du CNLE), Michèle Lelièvre (directrice scientifique du comité scientifique du CNLE)
Actes de séminaire,

DREES, octobre 2021

 

Consulter les actes du séminaire
 
 

Sur le modèle des travaux menés par M. Michel Legros sur la question de l’invisibilité sociale, ou par M. Jean-Pierre Bultez sur celle des budgets de référence, le séminaire entend articuler les deux aspects du travail de l’Onpes dans le domaine de la pauvreté et de l’exclusion. Il s’agit d’une part de la recherche universitaire, en vue de l’élucidation de concepts et de sources qui demeurent souvent complexes et contradictoires dans le champ des sciences sociales. Il s’agit d’autre part d’une fonction de dévoilement, avec la validation d’études aux fins de leur publication et de leur vulgarisation.

 

Le choix du sujet des trajectoires et parcours des personnes en situation de pauvreté et d’exclusion répond à un souhait ancien des membres du conseil de l’Onpes, au premier rang desquels M. Jean-Luc Outin. Les photographies instantanées, les synthèses disponibles ne dévoilent rien de la dynamique qui anime les événements qui se succèdent. Elles ne rendent pas compte de la réalité, du vécu et des souffrances des personnes. L’étude de cette réalité doit considérer la dimension temporelle. Sur la base d’indicateurs, l’Onpes soulignait dès 2008 des risques d’irréversibilité (Onpes, 2008, 87-145). Ce constat nécessitait encore d’être pleinement validé par une argumentation scientifique.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

Etude de cas : rééducation suite à la Covid-19, les effets de la sophrologie démontrés

Lire le communiqué de presse sur Internet

 
 
 

VIS DE PARUTION

Sous embargo jusqu’au 27 octobre 2021 à 6 heures

 
 

Paris, le 26/10/2021

 
 

Allocation personnalisée d’autonomie à domicile :

la moitié des plans incluent des aides techniques

 

Emma Faure, Albane Miron de l’Espinay (DREES)
Études et Résultats n° 1214,

DREES, octobre 2021

 

Consulter la publication
 
 

Fin 2017, les plans notifiés par les départements aux bénéficiaires de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) à domicile prévoient quasi systématiquement de l’aide humaine. Plus de la moitié des plans incluent d’autres types d’aides, comme des aides techniques ou des solutions d’accueil temporaire. Cette proportion est en hausse par rapport à 2011, où seulement quatre plans sur dix incluaient des aides non humaines.

 

Le recours aux aides non humaines augmente avec le niveau de dépendance : 64 % des plans des individus en GIR 1 en contiennent, contre 45 % en GIR 4.

 

Les fournitures d’hygiène et la téléalarme sont les aides techniques les plus fréquemment proposées (respectivement 25 % et 26 %). Les aides à l’accueil temporaire en établissement se développent, mais ne restent notifiées en moyenne que dans moins d’un plan sur dix.

 

L’utilisation d’aides humaines dans les plans d’aide à domicile est très uniforme sur l’ensemble du territoire français. À l’inverse, la notification d’aides non humaines est très disparate selon les départements : certains en prévoient pour la très grande majorité des bénéficiaires, quand d’autres n’en notifient que très rarement.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

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Semaine du 18 octobre au 24 octobre 2021 : en répercussion de la fin de la gratuité des tests de dépistage, leur nombre baisse fortement, surtout parmi les 16-65 ans

 

Entre le 18 octobre et le 24 octobre 2021, 2,3 millions de tests RT-PCR et antigéniques pour la détection du SARS-Cov2 ont été validés (dont 52,3 % de tests antigéniques), contre 2,97 millions de tests (dont 62,0 % de tests antigéniques) la semaine précédente, soit une diminution de 675 200 tests, centrée sur les 16-65 ans. Cette diminution provient de deux effets :
- d'une part, la fin de la gratuité des tests qui conduit à une réduction des volumes de tests entre le lundi et le mercredi (-325 000 tests du 18 au 20 par rapport aux trois jours du 11 au 13 octobre),
- d’autre part, l’anticipation de la fin de la gratuité a été importante le jeudi 14 octobre si bien que le volume de tests validés le 21 octobre est inférieur de 460 000 tests à ce pic du jeudi 14. Les faibles volumes qui ont ensuite été constatés du vendredi 15 au dimanche 17 octobre, inférieurs aux nombres constatés du 22 au 24 octobre, ne compensent pas la chute du 21 octobre par rapport au 14 octobre. Au total, ce sont 350 000 tests en moins qui ont été validés entre le 21 et le 24 octobre par rapport à la période du 14 au 17 octobre.


Entre le 1er mars 2020 et le 24 octobre 2021, environ 161,7 millions de tests antigéniques et RT-PCR ont été validés par un professionnel de santé, plus précisément, 59,3 millions de tests antigéniques et 102,3 millions de tests RT-PCR dont 97,7 millions naso-pharyngés, 4,4 millions salivaires et 237 000 en milieux divers (Graphique 1A).

 

La part des tests (ensemble des tests RT-PCR et antigéniques) validés en moins de 24 heures reste stable par rapport à la semaine précédente, à 98 % cette semaine (comme la semaine précédente). La médiane et la moyenne des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR sont stables, respectivement à 0,3 et 0,4 jour (comme la semaine précédente).

Graphique 1A • Nombre de tests RT-PCR et antigéniques réalisés par jour et semaine glissante

 
 
 
 

Lecture : Le 24 octobre 2021, 74 770 résultats de tests ont été validés, dont 33 519 tests antigéniques. Du 18 au 24 octobre 2021, 2 297 683 résultats de tests ont été validés, dont 1 202 574 tests antigéniques.


Champ : Tests RT-PCR remontés via l’enquête DREES auprès des laboratoires entre le 1er mars 2020 et le 7 juin 2020 ; et tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation depuis le 7 juin 2020, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Du fait de la montée en charge progressive de la saisie des tests antigéniques, le nombre de tests antigéniques dans SI-DEP est sous-estimé jusqu’à fin novembre. Avant cette date, les résultats positifs associés étaient intégrés directement dans Contact-Covid afin de permettre le dispositif de contact tracing.


Source : SI-DEP - Enquête DREES Laboratoires ; calculs DREES

 

Le nombre de tests validés du 18 au 24 octobre 2021 est en baisse pour l’ensemble des tranches d’âge à l’exception des 0-15 ans (Graphique 1B). L’évolution du nombre de tests est de +19 875 tests chez les 0-15 ans, -146 116 tests chez les 16-25 ans, -276 831 tests chez les 26-40 ans, -213 157 tests chez les 41-65 ans, -44 326 tests chez les 66-75 ans et -14 303 tests réalisés chez les 76-100 ans.

 

Graphique 1B • Nombre de tests (RT-PCR et antigéniques) sur 7 jours glissants par tranche d’âge

 
 
 
 

Lecture : Entre le 18 octobre et le 24 octobre 2021, 307 608 tests validés concernaient les 16-25 ans.


Champ : Tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation depuis le 7 juin 2020 et âge renseigné, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h.


Source : SI-DEP ; calculs DREES


Globalement, la part de tests antigéniques est plus élevée pour les tranches d’âges intermédiaires (16-65 ans), plus faible pour les tranches d’âge extrêmes, et a fortement augmenté pour toutes de début juillet à fin août. Elle a diminué nettement pour les moins de 16 ans depuis fin août jusqu’à la semaine du 27 septembre, où elle a fortement augmenté (graphique 1C).

On observe également pour toutes les tranches d’âge une légère augmentation de cette proportion en date du 14 octobre, veille du déremboursement des tests, avant de rechuter. En terme d’évolution, les résultats soulignent une baisse de la part des tests antigéniques sur la semaine du 18 au 24 octobre par rapport à la semaine du 11 au 17 octobre. Sur cette même semaine, la part des tests antigéniques dans l’ensemble des tests est la plus élevée pour les 16-25 ans (70,5 %) et la plus faible pour les plus de 75 ans (19,9 %) (Tableau 1).

 

Graphique 1C • Proportion de tests antigéniques réalisés parmi le total des tests RT-PCR et antigéniques (en %) par tranche d’âge, en date de validation sur une semaine glissante

 
 
 
 

Lecture : 70,5 % des tests réalisés par les 16-25 ans validés entre le 18 et le 24 octobre 2021 sont des tests antigéniques.


Champ : tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation jusqu’au 24 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.


Source : SI-DEP ; calculs DREES.

 

Tableau 1 • Proportion de tests antigéniques réalisés parmi le total des tests RT-PCR et antigéniques (en %) par tranche d’âge, pour les tests validés du 18 octobre au 24 octobre 2021 et du 11 octobre au 17 octobre 2021

 
 
 
 

Lecture : 70,5 % des tests réalisés par les 16-25 ans validés entre le 18 et le 24 octobre sont des tests antigéniques.


Champ : tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation du 11 au 24 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.
Source : SI-DEP ; calculs DREES.

 

On observe une stabilisation du nombre de tests salivaires depuis le début du mois d’octobre, et une légère baisse sur la dernière semaine (Graphique 1D).


Graphique 1D • Nombre de tests salivaires sur 7 jours glissants par tranche d’âge

 
 
 
 

Lecture : Entre le 18 et le 24 octobre 2021, 169 935 tests RT-PCR salivaires concernaient les 0-11 ans.


Champ : Tests RT-PCR salivaires avec dates de validation depuis le 1er février 2021 et âge renseigné, remontés dans les envois quotidiens SIDEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.
Source : SIDEP ; calculs DREES

 

La médiane et la moyenne des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR sont stables, respectivement à 0,3 et 0,4 jour (comme la semaine précédente) (Graphique 2).

 

Graphique 2 • Évolution des délais entre prélèvement et validation du résultat pour les tests RT-PCR en France

 
 
 
 

Lecture : Entre le 18 et le 24 octobre 2021, la moitié des tests RT-PCR ont été validés en 0,3 jour ou moins. Sur la même période, la moyenne du délai était de 0,4 jour.


Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation depuis le 25 juin 2020, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

La part des tests RT-PCR validés en moins de 24 h est stable à 95 %(contre 95 % la semaine précédente) (Graphiques 3 et 4).

 

Graphique 3 • Distribution des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR

 
 
 
 

Lecture : 99,7 % des tests RT-PCR validés entre le 18 et le 24 octobre 2021 ont été prélevés dans les 72h précédentes.


Champ : Tests RT-PCR remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Graphique 4 • Répartition des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR entre le 18 octobre et le 24 octobre 2021

 
 
 
 

Lecture : 95,0 % des tests RT-PCR validés entre le 18 octobre et le 24 octobre 2021 ont été prélevés dans les 24h précédentes.


Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 18 octobre et le 24 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

98 départements sur 101 ont un délai médian entre prélèvement et validation du résultat d’un test RT-PCR inférieur à 12 h (97 %) (Cartes 1 et 2).

 

Carte 1 • Délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR par département entre le 18 octobre et le 24 octobre 2021

 
 
 
 

Lecture : Entre le 18 et le 24 octobre 2021, le délai médian pour les résidents de l’Ain (01) est compris entre 0 et 0,5 jour, c’est-à-dire que plus de la moitié des tests ont un délai entre prélèvement et validation du résultat inférieur à 0,5 jour.


Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 18 et le 24 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants. Le département est le département de résidence du patient.


Source : SI-DEP ; calculs DREES


Carte 2 • Délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR en Île-de-France entre le 18 octobre et le 24 octobre 2021

 
 
 
 

Lecture : Entre le 18 et le 24 octobre 2021, le délai médian pour les résidents des Yvelines (78) est compris entre 0 et 0,5 jour, c’est-à-dire que plus de la moitié des tests ont un délai entre prélèvement et validation du résultat inférieur à 0,5 jour.


Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 18 et le 24 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants. Le département est le département de résidence du patient.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

52,3% des tests réalisés sont antigéniques. Cette baisse par rapport au chiffre de la semaine dernière (environ 70%) au fait que le nombre de tests antigéniques réalisé décroît sensiblement plus que le nombre de tests PCR

Les départements où la part des tests antigéniques est la plus élevée sont la Guadeloupe (83,4 %), la Martinique (75,4 %) et les Hautes-Alpes (68,1 %) (Carte 3).

 

Carte 3 • Proportion de tests antigéniques par département entre le 18 octobre et le 24 octobre 2021 (en %)

 
 
 
 

Lecture : Entre le 18 et le 24 octobre 2021, la part des tests antigéniques validés dans le Finistère (29) se situait entre 40 et 60 %.


Champ : Tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation entre le 18 et le 24 octobre 2021 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Le département est le département de résidence du patient.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Sur l’ensemble des tests (RT-PCR et antigéniques) validés la semaine du 18 au 24 octobre 2021, la part des tests validés en moins de 24 heures s’élève à 98 %, comme la semaine précédente (Graphique 5). Si l’on considère le délai en journées, et non plus en heures, ce sont 99 % des tests dont le résultat a été validé le jour ou le lendemain du prélèvement, contre 100 % la semaine précédente (Graphique 6).

 

Graphique 5 • Part des résultats validés en moins de 24 heures pour les tests RT-PCR et antigéniques

 
 
 
 

Lecture : 95,0 % des tests RT-PCR validés entre le 18 et le 24 octobre 2021 ont été prélevés dans les 24 heures précédentes. 97,6 % des tests RT-PCR et antigéniques validés entre le 18 et le 24 octobre 2021 ont été prélevés dans les 24 heures précédentes.


Champ : Tests RT-PCR et antigéniques remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Graphique 6 • Part des résultats validés le jour ou le lendemain du prélèvement pour les tests RT-PCR et antigéniques

 
 
 
 

Lecture : 98,9 % des tests RT-PCR validés entre le 18 et le 24 octobre 2021 ont été prélevés le jour-même ou la veille. 99,5 % des tests RT-PCR et antigéniques validés entre le 18 et le 24 octobre 2021 ont été prélevés le jour-même ou la veille.


Champ : Tests RT-PCR et antigéniques remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 26 octobre 2021 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.


Source : SI-DEP ; calculs DREES

 
 
Consulter la datavisualisation
 
 

Méthodologie

 

La DREES exploite les données pseudonymisées du système d’information SI-DEP, qui portent notamment sur l’ensemble des tests RT-PCR réalisés par les laboratoires d’analyse médicale, et comportent des informations à la fois sur les résultats des tests et sur leurs délais de réalisation. Le calcul des délais pour les tests RT-PCR se fait à partir de la date de prélèvement du test (jour, heure, minute), déclarée par le laboratoire, et de la date d’intégration (jour, heure, minute) du test dans le système d’information, intégration qui doit se faire très rapidement après la validation du test. Les délais ici présentés pour les tests RT-PCR correspondent aux délais entre la date de prélèvement et la date d’intégration des résultats dans SI-DEP. Cependant, la date d’envoi des résultats aux patients par le laboratoire peut être postérieure à l’intégration des résultats dans SIDEP. Les délais entre date de prélèvement et réception des résultats des tests RT-PCR par les patients pourraient donc être supérieurs à ceux mesurés via SIDEP. Les statistiques présentées portent sur l’ensemble des tests RT-PCR réalisés, en date de validation du résultat.

 

Depuis le 17 octobre, les tests antigéniques sont autorisés dans le cadre des dépistages individuels. Ils doivent être remontés depuis lors dans la base SIDEP par les laboratoires. En revanche, la saisie d’information dans SIDEP pour les professionnels de santé n’est possible que depuis le 16 novembre, et a connu une phase de montée en charge. Afin d’estimer le nombre total de tests antigéniques réalisés depuis le 17 octobre, la DREES utilise les données de l’Assurance maladie sur le nombre de tests remboursés en date de soins en complément des données renseignées dans SIDEP. Les tests antigéniques sont des tests pour lesquels le résultat est connu très rapidement, avec un délai entre prélèvement et validation du résultat généralement inférieur à 30 minutes.

 

Par ailleurs, si une même personne a réalisé successivement deux tests, ces deux tests sont donc comptés. Les données sur le nombre de tests diffèrent de celles publiées par Santé publique France, en date de prélèvement du test.

 

Enfin, entre début mars et début juin 2020, préalablement au déploiement complet de SIDEP, la DREES a mis en place à la demande du centre de crise sanitaire un système d’information permettant de comptabiliser le nombre de tests RT-PCR réalisés en France, à partir des déclarations des sites réalisant les tests (et non les prélèvements comme dans SIDEP).

 

Dans le cadre de l’exploitation des données SIDEP, la DREES procède à quelques retraitements des données. En particulier, les tests remontés avec un pseudonyme manquant sont supprimés. Dans le cas d’un même test remonté plusieurs fois (mise à jour de certaines informations sur le patient par exemple), la DREES conserve la ligne la plus récente, à l’exception de la date d’intégration dans SIDEP dont on retient la valeur la plus ancienne, assimilée à la date de validation du résultat.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

Recrutements : une mauvaise orthographe devient “rédhibitoire”

Pour la majorité des employeurs, la maîtrise de l’expression écrite par leurs collaborateurs est fondamentale à l’ère post-Covid. Dans le même temps, 76 % indiquent se retrouver confrontés quotidiennement aux lacunes de leurs équipes.

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Le nombre de demandeurs d’emploi a baissé de 3,6 % en un an

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Suivi mensuel des prestations de solidarité pendant la crise sanitaire

 

Édition d’octobre 2021

 

Dans le contexte actuel de crise sanitaire, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie chaque mois un tableau de suivi des prestations de solidarité, réalisé avec le concours des organismes gestionnaires de ces prestations. Cette publication vise à rassembler et à mettre à disposition les données mensuelles disponibles les plus récentes ainsi qu’à éclairer les effets de la crise sanitaire, y compris à l’échelle des territoires, sur l’évolution de la pauvreté en France.

 

L’édition d’octobre met en évidence un fort rebond des effectifs de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) en juillet 2021, après la diminution observée depuis octobre 2020 et une stabilisation du nombre d’allocataires du revenu de solidarité active (RSA) en août 2021 après la remontée enregistrée en juillet. Elle confirme également la progression du nombre de bénéficiaires de la Garantie jeunes. La hausse du nombre d’allocataires de l’ASS en juillet s’explique très certainement par la fin des mesures de prolongation des droits à l’allocation chômage prises par le gouvernement pendant le deuxième confinement, qui avaient limité jusque-là les entrées dans la prestation.

 
 
Téléchargez et visualisez les données
 
 

Précisions méthodologiques
Le tableau de suivi des prestations de solidarité fournit des informations sur les effectifs nationaux et départementaux des allocataires du revenu de solidarité active (RSA), de l’allocation aux adultes handicapés (AAH), de l’allocation de solidarité spécifique (ASS), de la prime d’activité, des aides au logement et des bénéficiaires de la Garantie jeunes. Depuis l’édition de février 2021, il s’est enrichi de données nationales et régionales sur des aides destinées aux étudiants.


Sauf pour la Garantie jeunes et les aides destinées aux étudiants, les données qui portent sur les cinq derniers mois publiés sont provisoires et donc susceptibles d’être révisées dans les prochains mois. Les données sur les aides destinées aux étudiants qui portent sur le dernier mois publié le sont également. Dans certains cas, les données ont fait l’objet d’estimations de la DREES. Les effectifs ne sont pas corrigés des doubles comptes : par exemple, une personne qui bénéficie du RSA, de la prime d’activité et des aides au logement sera comptée à la fois parmi les allocataires du RSA, de la prime d’activité et des aides au logement.

 

Pour en savoir plus :
> Cabannes, P.-Y., Calvo, M., Echegu, O. (2020, décembre). Plus de 2 millions d’allocataires du RSA fin octobre 2020. DREES, Études et Résultats, 1175.

> Cabannes, P.-Y., Richet-Mastain, L. (dir.), Calvo, M. (coord.) (2021, septembre). Minima sociaux et prestations sociales – édition 2021. Paris, France : DREES, coll. Panoramas de la DREES-social.

> Des données annuelles sur le RSA, l'ASS, l'AAH et la prime d'activité sont disponibles au niveau national et par département en série longue dans l’espace Open Data du site de la DREES, thème « Minima sociaux et pauvreté », jeu de données « Minima sociaux, RSA et prime d’activité » : www.data.drees.solidarites-sante.gouv.fr

> Des données annuelles sur les aides au logement et la Garantie jeunes en série longue sont disponibles dans le Panorama de la DREES : « Minima sociaux et prestations sociales - édition 2021 », fiches n° 31 et 34.

> CNAF (2021, juillet). Estimations avancées des évolutions des foyers allocataires du RSA. CNAF, RSA conjoncture, supplément exceptionnel lié à la Covid-19.

> CNAF (2021, juillet). Estimations avancées des évolutions des foyers allocataires de la prime d’activité. CNAF, Prime d'activité conjoncture, supplément exceptionnel lié à la Covid-19.

> Consulter les Open Data de la CNAF et de Pôle emploi et la plateforme PoEm de la Dares.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

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COMMUNIQUE DE PRESSE

 

Exploitation des appariements entre les bases SI-VIC, SI-DEP et VAC-SI : des données pour la période du 20 septembre au 17 octobre 2021 à partir d’une nouvelle méthodologie

 
 

Paris, le 29/10/2021

 
 

Le nombre de tests positifs est en augmentation chez les 20 ans ou plus, il reste plus élevé parmi les personnes non vaccinées que parmi celles totalement vaccinées

 

Dans le cadre de sa mission d’appui à la gestion de la crise sanitaire, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) exploite les données pseudonymisées issues des trois principales bases de données sur la crise Covid-19 : SI-VIC (hospitalisation), SI-DEP (dépistage) et VAC-SI (vaccination). La DREES effectue des croisements entre ces bases, afin notamment de réaliser un suivi selon le statut vaccinal des personnes testées positives à la Covid-19 et des personnes hospitalisées.

 

Ce suivi, hebdomadaire, a fait l’objet d’une révision afin d’affiner les statistiques produites en améliorant leur méthodologie de construction. Les indicateurs commentés portent désormais sur la population âgée de 20 ans ou plus. Un encadré méthodologique, à la fin de ce communiqué de presse, ainsi qu’une note détaillée et une note méthodologique expliquent ce choix. Les fichiers bruts présentant les résultats nationaux, les déclinaisons territoriales et par tranche d’âge sont accessibles sur le site internet de la DREES, rubrique Open Data.


Près de six fois plus de tests RT-PCR positifs parmi les personnes non vaccinées
Entre le 20 septembre et le 17 octobre 2021, le nombre de tests RT-PCR positifs pour 100 000 personnes non vaccinées de 20 ans ou plus s’élève à 535, contre 96 environ pour 100 000 personnes complètement vaccinées, soit près de 6 fois plus pour les premiers. Au cours de ces quatre semaines, le nombre de tests RT-PCR positifs pour 100 000 habitants âgés de 20 ans ou plus augmente pour l’ensemble des statuts vaccinaux. Pour les personnes non vaccinées, entre le 11 et le 17 octobre, ce nombre s’établit à 122 pour 100 000 habitants, contre 118 du 4 au 10 octobre (le niveau le plus bas de la quatrième vague). Il augmente également pour les personnes ayant un schéma vaccinal complet : 25 pour 100 000 habitants entre le 11 et le 17 octobre, contre 22 la semaine précédente.

 

Environ six patients sur dix admis en soins critiques ne sont pas vaccinés
Parmi les personnes de 20 ans ou plus entrées à l’hôpital entre le 11 et le 17 octobre pour lesquelles un test RT-PCR positif a pu être identifié dans la base SI-DEP, 61 % des admissions en soins critiques et 56 % en hospitalisation conventionnelle proviennent de patients non vaccinés, alors que les patients complètement vaccinés en représentent respectivement 35 % et 40 %. Pour les décès, ces ratios s’élèvent à 56 % pour les personnes non vaccinées et à 36 % pour celles complètement vaccinées. En population générale, la part des personnes de 20 ans ou plus non vaccinées est de 12 % et celle des personnes complètement vaccinées de 84 %.

 

La baisse des entrées en soins critiques des personnes non vaccinées se poursuit
Après une première semaine d’octobre assez stable, la baisse des entrées en soins critiques des patients non vaccinés âgés de 20 ans ou plus pour lesquels un test RT-PCR positif a été identifié se poursuit. Entre le 11 et le 17 octobre, leur nombre s’élève à 17 pour 1 million de personnes non vaccinées, alors qu’il était de 24 la semaine précédente et de 74 la semaine du 29 août. Au cours de la même période d’observation, les entrées en soins critiques de patients complètement vaccinés restent beaucoup plus faibles en proportion : leur niveau atteint 2,2 entrées pour 1 million de personnes complètement vaccinées contre 1,7 la semaine précédente. À taille de population comparable, il y a environ 8 fois plus d’entrées en soins critiques parmi les patients non vaccinés que parmi ceux complètement vaccinés entre le 11 et le 17 octobre. Ce ratio s’élève à 12 si on étend la période d’observation, c’est-à-dire entre le 20 septembre et le 17 octobre 2021.


Un léger recul des entrées en hospitalisation conventionnelle des patients non vaccinés
Sur la même période, les entrées en hospitalisation conventionnelle des personnes pour lesquelles un test RT-PCR positif a été identifié baissent légèrement. Entre le 11 et le 17 octobre, leur nombre s’élève à 62 patients pour 1 million de personnes âgées de 20 ou plus non vaccinées, contre 68 la semaine précédente. Pour les personnes complètement vaccinées, les entrées en hospitalisation conventionnelle sont inchangées par rapport à la semaine du 4 au 10 octobre. Elles sont au nombre de 8 pour 1 million de personnes vaccinées.


Onze fois plus de décès parmi les personnes non vaccinées que parmi les vaccinées entre le 20 septembre et le 17 octobre
Entre le 20 septembre et le 17 octobre, on comptabilise chez les 20 ans et plus 67 décès pour 1 million de personnes non vaccinées et 6 décès pour 1 million de personnes complètement vaccinées. Il y a donc, sur cette période de quatre semaines, 11 fois plus de décès parmi les personnes non vaccinées que parmi les personnes complètement vaccinées, à taille de population comparable.

 
 
Consulter la note détaillée de la DREES
 
 
Consulter la note méthodologique de la DREES
 
 
Covid-19 : résultats nationaux issus des appariements entre SI-VIC, SI-DEP et VAC-SI
 
 
Covid-19 : résultats régionaux issus des appariements entre SI-VIC, SI-DEP et VAC-SI
 
 
Covid-19 : résultats par âge issus des appariements entre SI-VIC, SI-DEP et VAC-SI
 
 

Méthodologie : pourquoi devient-il nécessaire de revoir la méthode de production des statistiques exploitant les données appariées ?

 

Trois raisons :

  • Les limites identifiées sur la qualité de l’appariement entre la base VAC-SI et les bases SI-DEP et SI-VIC imposent une révision des choix méthodologiques pour le traitement des observations non appariées
  • Les nouveaux choix méthodologiques pour traiter les données non appariées s’appuient sur une information disponible désormais plus large que lors des premières publications
  • Le faible nombre d’hospitalisations parmi les personnes âgées de moins de 20 ans et l’ouverture plus tardive de la vaccination à une partie seulement de cette tranche d’âge conduisent à mettre l’accent dans l’analyse sur le champ des adultes âgés de 20 ou plus.

 

Les limites identifiées sur la qualité de l’appariement entre la base VAC-SI et les bases SI-DEP et SI-VIC imposent une révision des choix méthodologiques pour le traitement des observations non appariées
Dans le cadre de sa mission d’appui à la gestion de la crise sanitaire, la DREES apparie, sur la base d’un identifiant pseudonymisé commun, les trois bases suivantes :

  • SI-VIC, système d'information d'identification unique des victimes, base de données sur les hospitalisations conventionnelles ou en soins critiques (réanimation, soins intensifs et soins continus) de patients hospitalisés porteurs du Covid-19,
  • SI-DEP, système d’information sur le dépistage populationnel, base de données sur les résultats des tests Covid-19,
  • VAC-SI, système d’information Vaccin Covid, base de données sur les vaccinations Covid-19.

 

Les croisements de ces bases permettent de mieux décrire la situation épidémique et d’éclairer les décisions de politique publique. En particulier, les appariements sont nécessaires pour identifier la part de patients hospitalisés qui sont vaccinés et/ou porteurs d’un variant ou d’une mutation particulière.

 

Dans chacune des trois bases, lors de leur constitution et avant transmission à la DREES, les informations relatives aux nom, prénom, sexe et date de naissance de personnes hospitalisées, testées ou vaccinées servent à la constitution d’un pseudonyme, chaîne de caractères non signifiante identifiant de façon unique chaque personne. Les informations nominatives sont ensuite supprimées des bases avant qu’elles soient transmises à la DREES pour exploitation statistique. Seul le pseudonyme est transmis. Construit suivant le même algorithme dans les trois bases, le pseudonyme permet d’apparier les observations concernant les tests, les hospitalisations et les vaccinations

 

Jusqu’alors, lorsque les patients étaient hospitalisés et testés positifs mais qu’il n’était pas possible de les identifier parmi les injections recensées dans la base VAC-SI, ils étaient par défaut considérés comme des personnes non vaccinées (voir l’annexe méthodologique des publications de la DREES depuis le 20 août). Or il est désormais possible de mobiliser une autre information disponible dans VAC-SI : une table comprenant l’information sur l’ensemble des personnes éligibles à la vaccination (ciblage par l’Assurance maladie), qu’elles soient vaccinées ou non. L’analyse de cette information a permis d’identifier une population non appariée, pour laquelle le statut vaccinal n’est donc pas directement déductible via la procédure d’appariement. Cette population non appariée était implicitement considérée comme entièrement non vaccinée avec la méthodologie retenue dans les précédentes publications.


Les nouveaux choix méthodologiques pour traiter les données non appariées s’appuient sur une information disponible désormais plus large que lors des premières publications
Les observations pour lesquelles le patient est retrouvé dans la table des injections (dans VAC-SI) conservent le même statut vaccinal qu’auparavant. Celles pour lesquels le patient n’est pas retrouvé dans la table des injections mais est retrouvé dans la table des patients éligibles à la vaccination continuent d’être identifiées comme non vaccinées. Pour les observations non appariées, c’est-à-dire retrouvées ni dans l’une ni dans l’autre table, le choix est désormais fait de les reclasser entre les différents statuts vaccinaux. Pour faire cette répartition additionnelle, la méthode consiste à s’appuyer sur les caractéristiques par strate (âge décennal, sexe, département de résidence et s’agissant des tests, caractère symptomatique ou non du patient au moment du test) des observations appariées (cf. note méthodologique).


Le faible nombre d’hospitalisations parmi les personnes âgées de moins de 20 ans et l’ouverture plus tardive de la vaccination à une partie seulement de cette tranche d’âge conduisent à mettre l’accent dans l’analyse sur le champ des adultes âgés de 20 ou plus.
La classe d’âge des moins de 20 ans, beaucoup moins vaccinée que les autres tranches d’âge puisqu’elle comprend les moins de 12 ans, est également beaucoup moins souvent hospitalisée : elle représente environ un quart de la population française mais à peine 5 % des admis en soins critiques depuis le 31 mai 2021. Fort de ce constat, l’idée première d’inclure dans l’analyse l’ensemble de la population par souci d’exhaustivité a été écartée, au profit d’un accent mis sur la population des adultes âgés de 20 ans ou plus. Pour autant, l’ensemble des données pour toutes les tranches vingtennales de la population (y compris les moins de 20 ans) reste disponible comme précédemment, chaque semaine, sur le site internet de la DREES.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

AVIS DE PARUTION

Sous embargo jusqu’au 3 novembre 2021 à 6 heures

 
 

Paris, le 02/11/2021

 
 

Effets sur les résultats issus de l’ENIACRAMS de la refonte du système de production statistique de la CNAF

Dossier méthodologique

 

Céline Leroy (DREES)
Les Dossiers de la DREES n° 85,

DREES, novembre 2021

 

Consulter la publication
 
 

En 2016, la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) a refondu son système de production de statistiques sur les bénéficiaires de prestations légales. Dans l’ancien système, la situation des allocataires était jugée consolidée six semaines après le mois de droit. Le nouveau système produit toujours ce type de données à six semaines du mois de droit (données dites « semi-définitives »), mais également de nouvelles données à six mois du mois de droit (données « définitives »). Ces nouvelles données permettent de mieux prendre en compte les situations d’indus (sommes trop perçues par l’allocataire) et de rappels (sommes dues à l’allocataire). Cette refonte concerne notamment les données portant sur le revenu de solidarité active (RSA), l’allocation aux adultes handicapés (AAH) et la prime d’activité.

 

L’échantillon national interrégimes d’allocataires de compléments de revenus d’activité et de minima sociaux (ENIACRAMS), produit chaque année par la DREES, est touché par cette refonte puisque les vagues 2001 à 2016 de ce panel sont constituées uniquement à partir des données semi-définitives de la CNAF et puisque, à partir de 2020, seules les données définitives seront disponibles. La période 2017-2019 constitue une période de transition pour laquelle les vagues ont été constituées en mobilisant les deux types de données de la CNAF. Cela permet d’étudier les effets de la refonte sur les résultats issus de l’ENIACRAMS, et donc sur les principaux indicateurs statistiques nationaux relatifs aux taux d’entrée, taux de sortie, à la récurrence et aux parcours dans les minima sociaux qui étaient publiés jusqu’alors par la DREES. C’est l’objet de ce Dossier de la DREES.

 

À partir de l’édition 2021 du Panorama annuel Minima sociaux et prestations sociales, les indicateurs diffusés par la DREES s’appuient autant que possible sur les données définitives de la CNAF. Lorsqu’il faut mobiliser les données datant de 2016 ou des années antérieures, certains indicateurs comme les taux de sortie et taux d’entrée dans les minima sociaux d’une année sur l’autre ont été corrigés pour être mis en cohérence avec ces données définitives. En revanche, comme les deux types de données ne sont disponibles simultanément que sur trois années, pour les indicateurs liés aux parcours dans les minima sociaux sur une période de cinq ou dix années, les deux types de données sont nécessairement mélangés et il n’est pas possible de faire de révisions.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

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Bureau publications et communication

AVIS DE PARUTION

Sous embargo jusqu’au 04 novembre 2021 à 6 heures

 
 

Paris, le 03/11/2021

 
 

L’exposition à de nombreuses contraintes liées aux conditions de travail demeure, en 2019, nettement plus marquée dans le secteur hospitalier qu’ailleurs

 

Jacques Pisarik (DREES)
Études et Résultats n° 1215,

DREES, novembre 2021

 

Consulter la publication
 
 

L’exposition à de nombreuses contraintes liées aux conditions de travail demeure, en 2019, nettement plus marquée dans le secteur hospitalier que pour l’ensemble des salariés : intensité temporelle, contraintes horaires et physiques, demandes émotionnelles et conflits de valeur sont notamment présents. L’entraide entre collègues et le sentiment d'utilité sont cependant plus favorables par comparaison à l’ensemble des salariés.

 

Certaines évolutions relatives à ces contraintes et risques psychosociaux étaient favorables entre 2013 et 2016. Ce n’est plus le cas entre 2016 et 2019, avec un retour à de hauts niveaux d’exposition. Dans ce contexte, l’insatisfaction vis-à-vis des moyens disponibles et de la rémunération, les craintes sur la perte de son emploi et sur sa capacité à l’exercer jusqu’à sa retraite se renforcent.

 

Les expositions sont contrastées entre les familles professionnelles : la situation des agents d’entretien, des aides-soignants et des infirmiers et sages-femmes apparaît plus fréquemment défavorable que celle des autres professions. Les disparités de conditions de travail sont plus fortes entre familles professionnelles qu’entre statuts des établissements, même si la situation des salariés des hôpitaux publics est globalement un peu moins favorable que celle des salariés des établissements privés.

 
 

À propos de la DREES

 

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Pour les contrats de professionnalisation conclus entre le 1er novembre 2021 et le 31 décembre  2022, une aide est accordée aux employeurs qui (...)   Lire la suite >

PARIS 2024 Publié le 02 novembre 2021

Plus de 12 000 offres d'emplois proposées sur Emploi 2024

Lancée par Pôle emploi, « Emplois 2024 » est une agence virtuelle qui propose d'ores et déjà plus de 12 000 offres d'emplois dédiées aux Jeux (...)   Lire la suite >

VIE-PUBLIQUE.FR Publié le 04 novembre 2021

Compte personnel de formation (CPF) : une hausse des demandes sans précédent en 2020

Le nombre de formations obtenues dans le cadre d'un compte personnel de formation (CPF) a presque doublé en 2020. Une étude de la Direction de (...)   Lire la suite >

 SOCIAL - SANTÉ

ARRÊTS DE TRAVAIL Publié le 03 novembre 2021

Des arrêts maladie "Covid" sans jour de carence prolongés jusqu'au 31 décembre 2021

Les salariés symptomatiques ou positifs au Covid-19, cas contact, en attente d'un test au Covid-19, en isolement après un séjour à l'étranger ou (...)   Lire la suite >

VACCINATION CONTRE LE COVID-19 Publié le 03 novembre 2021

Covid-19 : un numéro vert pour la vaccination à domicile des personnes âgées

Afin d'améliorer la vaccination contre le Covid-19 chez les personnes de plus de 80 ans, un nouveau numéro vert a été mis en place pour (...)   Lire la suite >

SEVRAGE TABAGIQUE Publié le 03 novembre 2021

Novembre, c'est le Mois Sans Tabac !

Vous êtes fumeur ? En ce mois de novembre, profitez du « Mois Sans Tabac » pour essayer de vous arrêter de fumer. En vous inscrivant sur le site (...)   Lire la suite >

APPEL À DONS Publié le 03 novembre 2021

Dons d'ovocytes et de spermatozoïdes : à la recherche de volontaires

Vous êtes majeur et en bonne santé ? Vous êtes une femme de moins de 37 ans et ayant déjà au moins un enfant ou un homme de moins de 45 ans ? (...)   Lire la suite >

HANDICAP Publié le 29 octobre 2021

La durée de la prestation de compensation du handicap (PCH) est étendue en 2022

Dès le 1er janvier 2022, la durée maximale d'attribution des cinq formes d'aides spécifiques de la prestation de compensation du handicap (PCH) (...)   Lire la suite >

VIE-PUBLIQUE.FR Publié le 22 octobre 2021

COP 26 : quelles politiques face au changement climatique ?

Alors que la Conférence des parties à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP 26) se réunit à Glasgow, du 31 (...)   Lire la suite >

 FAMILLE

PARENTALITÉ Publié le 04 novembre 2021

Les 1 000 premiers jours de l'enfant : une campagne de communication pour accompagner les parents

Vous venez d'avoir un enfant ? Vous vous posez mille questions sur votre rôle de parent et le bien-être de votre enfant. La campagne de (...)   Lire la suite >

HARCÈLEMENT À L'ÉCOLE Publié le 04 novembre 2021

Comment agir face à la violence et au harcèlement scolaire ?

À l'occasion de la 2e journée internationale contre la violence et le harcèlement scolaire à l'école le jeudi 4 novembre 2021, Service-Public.fr (...)   Lire la suite >

ÉPIDÉMIE DE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 03 novembre 2021

Classe fermée, enfant positif au Covid : quelles solutions pour garder mon enfant ?

Vous devez vous arrêter de travailler pour garder votre enfant parce que sa classe ou son école ferme ? Vous pouvez bénéficier de l'activité (...)   Lire la suite >

RETRAITES Publié le 03 novembre 2021

Retraité à l'étranger : mise en place d'une assistance téléphonique pour vous accompagner

Vous êtes retraité et résidez à l'étranger ? Depuis le 2 novembre 2021, une assistance téléphonique a été mise en place pour tout problème (...)   Lire la suite >

 ARGENT

ESCROQUERIES Publié le 04 novembre 2021

Crédits, livrets d'épargne, assurances : la liste noire des sites douteux se rallonge

Pour lutter contre les escroqueries sur des sites internet proposant des crédits, livrets d'épargne, services de paiement ou des contrats (...)   Lire la suite >

CONTRATS D'ASSURANCE Publié le 02 novembre 2021

Les exclusions de garantie doivent être mentionnées en caractères très apparents

La rédaction des clauses formulant des exclusions de garantie en caractères lisibles et gras ne suffit pas à les rendre valables, c'est ce que (...)   Lire la suite >

JUSQU'AU

15 NOV.

2021

 

IMPÔTS LOCAUX

Taxe d'habitation 2021 : en serez-vous exonéré ?

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 TRANSPORTS

CONDUITE ACCOMPAGNÉE Publié le 04 novembre 2021

Conduite anticipée, supervisée, encadrée : quelles différences ?

[Infographie] Apprentissage anticipé de la conduite à partir de 15 ans ? Conduite encadrée de 16 à 18 ans ou encore conduite supervisée à (...)   Lire la suite >

VACCINATION COVID-19 Publié le 02 novembre 2021

Prise en charge des frais de transport jusqu'au 31 décembre pour les personnes à mobilité réduite

Jusqu'au 31 décembre 2021, les frais de transport vers un centre de vaccination ou les professionnels de santé habilités à vacciner contre le (...)   Lire la suite >

ASSISTANTS À LA NAVIGATION Publié le 04 novembre 2021

Applications GPS : le signalement de certains contrôles routiers peut être interdit

Depuis le 1er novembre 2021, les préfets peuvent interdire temporairement aux applications d'aide à la conduite ou à la navigation par (...)   Lire la suite >

Ce qui change en novembre 2021

Publié le 02 novembre 2021

Revalorisation des retraites complémentaires, taxe d'habitation 2021 et contribution à l'audiovisuel public, successions internationales, Mois (...)   Lire le dossier >

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Parlons immigration en 30 questions

L'immigration est au cœur de l'actualité. Ce livre de poche apporte des informations objectives et factuelles sur le sujet.   Lire la suite >

AGENDA

DU

24 OCT.

AU

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2021

 

VACANCES SCOLAIRES

Les dates des vacances de Toussaint 2021

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À PARTIR DU

01 NOV.

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PNEUS HIVER OU CHAÎNES

Zones montagneuses : nouvelles obligations d'équipement des véhicules en période hivernale

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COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 05/11/2021

 
 

Poursuite de l’augmentation du nombre de cas positifs de Covid-19 et hausse des entrées en soins critiques parmi les personnes non vaccinées

 

Exploitation des appariements entre les bases SI-VIC, SI-DEP et VAC-SI
du 27 septembre jusqu’au 24 octobre 2021

 

Entre le 18 et le 24 octobre 2021, le nombre de tests RT-PCR positifs pour 100 000 habitants de 20 ans ou plus augmente et s’élève à 133 (après 123) pour 100 000 habitants non vaccinés, et 31 (après 25) pour 100 000 habitants vaccinés de 20 ans ou plus. Il y a ainsi 4 fois plus de tests positifs parmi les personnes non-vaccinées que parmi celles complètement vaccinées de 20 ans ou plus, à taille de population comparable.


Entre le 18 et le 24 octobre 2021, le nombre d’entrées en soins critiques pour les personnes non vaccinées est en hausse : il est de 27 pour 1 million de personnes non-vaccinées de 20 ans ou plus (après 19 pour 1 million la semaine précédente). Ces dernières représentent 60 % des admissions en soins critiques et 49 % des admissions en hospitalisation conventionnelle, alors qu’elles ne sont que 11 % au sein de l’ensemble de la population des 20 ans ou plus. Chez les personnes complètement vaccinées en revanche, les entrées en soins critiques sont stables - 2 pour 1 million de personnes complètement vaccinées ; cette population représente 38 % des personnes admises en soins critiques et 48 % des personnes admises en hospitalisation conventionnelle alors qu’elle représente 86 % de la population des 20 ans ou plus. Ainsi, à taille de population comparable, il y a environ 12 fois plus d’entrées en soins critiques parmi les personnes non vaccinées que parmi celles qui sont complètement vaccinées de 20 ans et plus.


Par ailleurs, du 27 septembre au 24 octobre, on comptabilise 57 décès pour 1 million de personnes non vaccinées de 20 ans ou plus contre 6 pour les personnes complètement vaccinées. Il y a donc environ 10 fois plus de décès chez les personnes non vaccinées que chez les personnes complètement vaccinées à taille de population comparable durant la période considérée.


Les résultats nationaux des appariements ainsi que des déclinaisons régionales et par classe d’âge sont mis à disposition sous forme de graphiques en format pdf et de fichiers csv permettant d’exploiter plus finement les résultats présentés. Ces fichiers sont disponibles sur le site de données ouvertes de la DREES.


Le suivi hebdomadaire du statut vaccinal des personnes testées positives à la Covid-19 et des personnes hospitalisées réalisées par la DREES a fait l’objet d’une révision méthodologique le 29 octobre 2021.

 
 
Résultats nationaux
 
 
Résultats régionaux
 
 
Résultats par âge
 
 

Définitions et méthodes

 

Les résultats présentés ici sont issus de l’exploitation des appariements entre les données de :
- SI-VIC, base de données sur les hospitalisations conventionnelles ou en soins critiques (réanimation, soins intensifs et soins continus) de patients, hospitalisés pour ou positifs au test Covid-19.
- SI-DEP, base de données sur les résultats des tests de dépistage du virus SARS-CoV-2 causant la Covid-19,
- VAC-SI, base de données sur les vaccinations Covid-19.


Les données utilisées portent sur la période du 31 mai au 24 octobre 2021 et ont été extraites le 2 novembre. 


Les décomptes issus de l’appariement des trois bases SI-VIC, SI-DEP, VAC-SI portent sur des personnes dont l’âge est renseigné. De plus, les événements hospitaliers (entrée en hospitalisation conventionnelle, entrée en soins critiques, décès) sont comptabilisés en date de survenue. À l’exception des colonnes « Admissions et décès hospitaliers – Ensemble » du tableau 1, toutes les statistiques d’événements hospitaliers présentées sont établies sur des personnes pour lesquelles au moins un test RT-PCR positif a été identifié entre 21 jours avant l’hospitalisation et 21 jours après l’événement hospitalier (ou la date d’extraction des données pour les statistiques les plus récentes). Cette restriction de champ aux patients admis à l’hôpital ou décédés pour lesquels un test positif a été identifié explique l’écart constaté entre les colonnes « Ensemble » et « dont RT-PCR positive » de la partie « Admissions et décès hospitaliers ». 


Les décomptes issus de l’appariement des deux bases SI-DEP et VAC-SI portent sur des nombres de tests RT-PCR en date de prélèvement durant la même période que les statistiques d’hospitalisation et de couverture vaccinale. 


Les dénombrements de tests (nombre et résultats positifs) ne sont pas dédoublonnés au-delà de la journée. Autrement dit, lorsqu’une personne réalise plusieurs tests RT-PCR à des dates différentes, les nombres de tests et les positifs associés sont comptés à chaque fois dans les effectifs et ratio. Par ailleurs, on considère comme symptomatiques les personnes dont la variable associée dans SI-DEP indique la présence de symptômes ; les autres pouvant être asymptomatiques ou sans information connue.


Les décès dénombrés de patient positifs Covid-19 sont ceux survenus à l’hôpital (y compris dans d’autres services que ceux d’hospitalisation conventionnelle et de soins critiques, et que le Covid soit le motif d’hospitalisation ou non), enregistrés dans SI-VIC et concernant les seuls patients admis à l’hôpital après le 15 mai - dans le but de centrer l’analyse sur les événements associés à la quatrième vague épidémique. En pratique, les décès sur la période sous revue (qui débute en juillet) de personnes admises à hôpital avant le 15 mai sont très faibles. Par ailleurs, les dénombrements ici présentés (colonne « décès / ensemble » du tableau 1) sont en date de survenue et issus des appariements ; ils ne coïncident donc pas avec les données non appariées et en date d’enregistrement que publie Santé publique France. 


En concordance avec les choix effectués par Santé publique France, le statut vaccinal des patients a été défini suivant quatre modalités dont les contours varient suivant le vaccin utilisé et l’antécédent de Covid-19 des patients :


pour les vaccinations sans antécédent de Covid-19 avec vaccins non monodose (hors Janssen) :
-Non vacciné (0) : personne n’ayant jamais reçu d’injection de vaccin contre le Sars-Cov-2
-Primo dose récente (1-) : personne ayant reçu une première dose depuis 14 jours ou moins
-Primo dose efficace (1+) : personne ayant reçu une première dose depuis plus de 14 jours ou ayant reçu une deuxième dose depuis 7 jours ou moins
-Vaccination complète (C) :  personne ayant reçu une deuxième dose1  depuis plus de 7 jours


pour les vaccinations sans antécédent de Covid-19 avec vaccin mono dose (Janssen) :
-Non vacciné (0) : personne n’ayant jamais reçu d’injection de vaccin contre le Sars-Cov-2
-Primo dose récente (1-) : personne ayant reçu une dose de Janssen depuis 14 jours ou moins
-Vaccination complète (C) :  personne ayant reçu dose de Janssen depuis plus de 14 jours


pour les vaccinations avec antécédent de Covid-19 :
-Non vacciné (0) : personne avec antécédent n’ayant jamais reçu d’injection de vaccin contre le Sars-Cov-2
-Primo dose récente (1-) : personne avec antécédent ayant reçu une dose depuis 7 jours ou moins
-Vaccination complète (C) :  personne avec antécédent ayant reçu une dose depuis plus de 7 jours


Les personnes ayant reçu une dose de rappel demeurent considérées comme complètement vaccinées. La date prise en compte pour l’appréciation du statut vaccinal (notamment la distinction entre primo-dose efficace et statut vaccinal complet) est celle de la dose ayant conduit à l’obtention du statut vaccinal complet et non la dose de rappel. 


L’identification du statut vaccinal est faite à partir des informations sur les injections dans la base VAC-SI. Une note méthodologique, associée à la publication de la Drees du 29 octobre dernier, détaille les améliorations du traitement appliqué depuis cette date. Elle détaille notamment comment sont prises en compte les observations dont les patients ne peuvent être retrouvés dans les bases VAC-SI.


Les taux de couverture vaccinale utilisés ici ont été estimés par la DREES en mobilisant, pour les numérateurs, la source VAC-SI suivant une extraction issue du portail SNDS de la CNAM. En effet, ce choix permet de décliner les analyses suivant les niveaux régionaux et départementaux de lieu de résidence plus cohérents avec une approche épidémiologique que les décomptes suivant le lieu de vaccination disponible dans la version de VAC-SI mise à disposition pour Santé publique France et la DREES2. Les populations résidentes au 1er janvier 2021 estimées par l’Insee ont été utilisées comme dénominateur des taux de couverture vaccinale. Les effectifs de personnes non vaccinées, qui peuvent être surestimés dans le SNDS, sont établis par différence entre la population résidente et les effectifs de personnes vaccinées.


Les dénombrements de tests, d’entrées, de décès et de population selon le statut vaccinal concernent les populations résidant en France et âgées de 20 ans et plus. Les données pour les personnes de moins de 20 ans sont toutefois disponibles dans les tableaux de données (fichiers « .csv ») mis à disposition.  


Pour les tableaux et graphiques présentant des nombres de tests RT-PCR positifs ou d’événements hospitaliers pour 100 000 habitants selon le statut vaccinal, les dénombrements de ces tests positifs ou de ces événements sont rapportés à la population du statut vaccinal 7 jours auparavant, pour tenir compte de l’existence d’un délai entre la date de contamination (non observée) et la date de test ou celle d’hospitalisation.

 

1 Ou une troisième dose s’agissant des personnes immunodéprimées.
2 L’information sur le département de résidence n’est disponible dans la version de VAC-SI mise à disposition de la DREES que sur une part des patients et elle est moins fiable que celle disponible via le portail SNDS de la CNAM.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

Indemnité inflation : heures supplémentaires et primes sont-elles prises en compte

Lors du versement de sa paie de décembre 2021, tout salarié ayant gagné moins de 26 000 euros bruts entre janvier et octobre 2021, soit un peu plus de 2 000 euros nets mensuels, pourra bénéficier d'une prime de 100 euros défiscalisés afin de faire face à l'inflation.

Le versement de cette indemnité inflation suscite de nombreuses interrogations tant du côté des entreprises que des salariés. Une réunion s'est d'ailleurs tenue mardi dernier entre le Ministère de l'Economie et des Finances, la Direction de la Sécurité Sociale et les éditeurs de logiciels de paie afin d'arrêter définitivement le dispositif qui sera mis en œuvre.

Emmanuel Prévost, Directeur du Pôle Veille Juridique d'ADP (leader mondial des solutions de gestion de la paie) et Président de la SDDS (association regroupant 35 éditeurs de paie, RH et fiscalité) vous propose d'échanger sur les modalités concrètes de déploiement de cette indemnité :

 

 

  • Quels sont les salariés qui pourront bénéficier de cette prime ? Ceux qui ne font plus partie des effectifs à partir du 1er novembre seront-ils aussi concernés ?
  • Les stagiaires, apprentis, étudiants, demandeurs d'emploi et travailleurs indépendants sont-ils également éligibles ? Quid en cas d'employeurs multiples ou de CDD : pourront-ils toucher l'indemnité plusieurs fois ?
  • Quelles sont les modalités de calcul du seuil à ne pas dépasser pour pouvoir en bénéficier ? Les heures supplémentaires, primes ou 13ème mois sont-ils pris en compte ? Quel est le mois de référence ?
  • Par quel mécanisme les entreprises seront-elles remboursées ? Quelles sont les difficultés auxquelles elles doivent faire face pour avancer le versement de cette indemnité inflation à leurs collaborateurs ?
  • Comment les éditeurs de paie s'organisent-ils pour être prêts en temps et en heure ? Quel accompagnement pour les entreprises ?

 

97% des seniors ne comprennent pas le contenu de leurs contrats d’assurance : Comment y remédier ?

Si la crise sanitaire a permis à un grand nombre de Français de prendre le temps d’analyser (enfin) le contenu de leurs contrats d’assurance, 97% des seniors déclarent pourtant ne pas les maîtriser. Souscription contrainte, les assurances occupent une part importante des dépenses dans le budget des Français et particulièrement l’assurance santé dans le budget des seniors. Il y a donc nécessité de rendre l’assurance accessible au plus grand nombre. Des solutions existent pour décrypter ses contrats d’assurance, les adapter et les utiliser au mieux à ses besoins réels pour faire des économies et ainsi dégager du pouvoir d’achat.

1 Le marché de l'assurance en France
2 L'assurance, 3ème poste de dépense pour les seniors
3 Partner Assurances : un service gratuit pour décrypter ses contrats d’assurance, gagner en sérénité et faire des économies
4 A propos de Partner Assurances

 

 

« 76 % des fondateurs de start-up françaises sont issus d’une grande école »

 

Programme de la soirée

19h : Cocktail de bienvenue

 19h30 : Début du show

 21h30 : Standing ovation

  

Un écosystème startup sous-représentatif de la diversité française

 

Les chiffres sur l’écosystème entrepreneurial français sont éloquents. D’après French Tech Diversité, 87,6% des dirigeants de startup sont des hommes, 76 % des fondateurs de startup françaises sont issus d’une grande école et l’âge moyen des dirigeants est de 39 ans. En cause, une endogamie forte d’un côté, et une auto-censure et l’absence du réseau de l’autre.

 

Pourtant, plusieurs études ont démontré que la diversité était un levier de performance financière des entreprises. Ainsi, selon une étude du Wall Street Journal datant de 2019, les 20 entreprises engagées dans une politique de diversité ont enregistré un rendement boursier annuel moyen de 10 % sur cinq ans, contre 4,2 % pour les 20 entreprises les moins inclusives. Cela augmente également leurs revenus liés à l’innovation (revenus supérieurs de 19 points, selon une étude du BCG sur 1700 entreprises en 2018).

 
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Ainsi, dans la même lignée que Positive Planet - collectif fondé en 1998 par Jacques Attali et Muhammad Yunus luttant contre la pauvreté et l’exclusion via l’entrepreneuriat – Etienne Gatti et Maud Franca ont fondé La Scène en 2018. Grâce à un programme d'accompagnement à la prise de parole en public avec le soutien de professionnels du monde des médias, du théâtre et du cinéma, plusieurs néo-entrepreneurs issus de toute la France ont su nourrir leur ambition et leur capacité d’action pour convaincre un public d’investisseurs ou de clients sur la pertinence de leurs projets.

 

"On croit trop souvent qu'une décision d'investissement repose sur des chiffres. Mais à un stade jeune, les personnes et la mise en valeur de leurs réalisations est bien plus fondamentale. La capacité à emporter l'adhésion est stratégique pour tout entrepreneur mais elle l'est encore plus pour ceux qui n'ont pas le parcours idéal qui rassure. Par notre système éducatif, s'exprimer est probablement la chose sur laquelle nous sommes les moins égaux en France. La Scène fait en sorte de contrer cela en formant tous les entrepreneurs à la prise de parole en public"

explique Etienne Gatti, co-fondateur de La Scène et associé au studio d’innovation Schoolab

 

Soutenue par un réseau d’associations partenaires (Live for Good, Les Déterminés, Article 1 et Sport dans la Ville…), La Scène souhaite non seulement agir en faveur de l’égalité des chances dans l’univers startup, mais aussi réconcilier le champ de la culture à celui de l’entreprenariat.

 

Une soirée « révélation de talents », climax d’une formation complète d’apprentissage du pitch

 

Tous lauréats de French Tech Tremplin, les entrepreneurs sont sélectionnés pour l’originalité, la viabilité, l’impact social et environnemental de leurs projets. L’objectif est également de mettre en avant leur personnalité, leur histoire et leur combat afin de révéler de véritables pépites de la scène entrepreneuriale qui souhaitent voir advenir un vrai changement dans la société.

 

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Plusieurs ateliers avec différents experts ont jalonné le parcours de formation des 9 entrepreneurs de cette 6ème édition.

 

La première étape a consisté en un coaching avec des startup managers dans le but de perfectionner le business plan des entrepreneurs. Ensuite, les lauréats ont participé à plusieurs ateliers de lâcher-prise avec un comédien, afin de les aider à prendre confiance en eux et maîtriser leur présence vocale et corporelle. Enfin, un atelier d’écriture a été mené avec un scénariste afin d’apprendre les codes du story-telling et rédiger un pitch qui leur ressemblait.

 

Ce programme se clôture ainsi le lundi 22 novembre prochain par une soirée unique de pitch dans un théâtre parisien. Cette année, les 9 entrepreneurs présenteront leur projet au Théâtre Hébertot devant un jury d’experts, composés d’Anaïs Richardin (Directrice Maddyness), Lea Zavslasky, (Cofondatrice MakeSense), Sybille Lemaire (Directrice Bayard), Eric Garandeau (Directeur TikTok), Aïda Touihri (Journaliste TV et productrice d'émissions) et Guillaume Bregeras (Journaliste Les Echos).

 

Pour orchestrer cette soirée, le comédien Eddy Moniot sera accompagné par le professeur d’art oratoire Guillaume Prigent.

 

9 entrepreneurs aux profils et projets variés …

 

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Thomas Fattore – Lium (Orange)

Thomas a grandi proche des forêts du Vaucluse et a vu progressivement l’écosystème de sa région partir en fumée. Lors d’un stage d’ingénieur en Afrique du Sud, il est marqué par le désarroi d’un pays en stress hydrique et complètement démuni face à la disparition de ses parcs naturels.

Il souhaite ainsi utiliser ses compétences d’ingénieur pour aider les pompiers et en priorité ceux de sa région natale. Il développe et teste avec eux des ballons d’hélium statiques avec des capteurs embarqués permettant la surveillance des forêts sur des temps longs et à moindre coût.
 

Clémence Polvèche – Benn Yoon (Paris)

Clémence a toujours voulu être entrepreneure et son sens aigu des affaires lui a fait voir dans la passion de son mari pour l’aéronautique et la construction de drones un moyen de venir en aide aux populations du Sud sans accès aux soins médicaux élémentaires. En 2020, elle crée Benn Yoon : une solution de livraison par drone autonome et à la demande, de produits médicaux et de récupération d’échantillons biologiques dans les zones difficiles d’accès.

 

 
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Armandine Nkondock – Archimaid (Bordeaux)

Armandine arrive du Cameroun pour ses études. Comme tous les étudiants étrangers, elle doit apporter la preuve de sa capacité financière à vivre en France pour obtenir son visa. De fait, elle doit bloquer une somme d’argent et obtenir un logement. Malgré ses capacités financières et une attestation d’hébergement lui permettant de venir étudier, trouver un logement est difficile. Le souvenir des nuits à la belle étoile la pousse à créer Archimaid, une offre d’accompagnement des étudiants arrivant en France ainsi qu’une fintech de compte séquestre pour apporter les garanties nécessaires aux propriétaires et faciliter la recherche d’un logement.

 

David Ménétrier – Phisao (Montpellier)

David est de ces scientifiques convaincus qui n’abandonnent pas. Après 8 ans de recherche et de développement seul dans son laboratoire aménagé dans un coin de la maison de ses parents, David trouve des principes actifs naturels et bio encore inconnus de l’industrie cosmétique. Sa découverte permet de proposer le premier anti-transpirant sain et sans sel d’aluminium. En cours de validation par des tests cliniques, le produit sera disponible en janvier 2022.

 

 
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Anne-Sophie Thomas – Gestia Solidaire (Lyon)

Anne-Sophie démarre sa carrière dans l’immobilier. Choquée par les pratiques des agences immobilières, elle se tourne vers l’économie sociale et solidaire puis décide de tout quitter pour se former au Canada. Là-bas, elle y soutient une thèse sur les problématiques du mal logement. De retour en France, elle souhaite proposer des solutions concrètes et lance Gestia Solidaire, une agence immobilière aujourd’hui présente à Lyon et Paris. La particularité de cette agence réside d’une part dans l’accompagnement des propriétaires à valoriser leur patrimoine, et d’autre part dans la priorité donnée aux locataires habituellement refusés par les agences classiques (étudiants sans garant, actifs sans CDI et familles monoparentales avec des petits revenus).

 

Omar Hassan – Fisaly (Lille)

Né en Somalie pendant la guerre civile, Omar rejoint la France durant son enfance et grandit à Lille. Il souffre d’énurésie qui se dissipe et qu’il occulte en grandissant. Mais en voyant son neveu souffrir de la même pathologie, taboue et honteuse, il fait des recherches sur l’impact des traumatismes sur l’incontinence urinaire. Il se rend compte que cette pathologie touche une part importante de la population (10%). Il collabore alors avec des chercheurs du CHU de Lille afin de développer une solution de diagnostic non invasive, respectant la dignité et l’intimité du patient. Cette deeptech de dispositif médical, après avoir été validée par des tests techniques, est en cours de tests cliniques.

 

 
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Cécile Amiah – Izypaper (Paris)

Juriste camerounaise, mais entrepreneure dans l’âme, Cécile s’intéresse de près à l’automatisation et au secteur de la Legal Tech. En arrivant en France, elle se heurte au problème de création d’entreprise en tant qu’étrangère et décide donc de lancer Izypaper, une Legal Tech qui simplifie toutes les démarches des entrepreneurs étrangers souhaitant se développer et créer de l’activité économique en France.

 

Anicette Massanga et Andy – Fibrany (Paris)

Repérés par Station F dans son classement Future 40, Anicette et Andy représentent l’incarnation d’entrepreneurs complètement atypiques – une fiscaliste et un logisticien autodidacte du web - capables de déplacer des montagnes en quelques mois par leur sérieux. Le couple a lancé Fibrany, la 1ère box capillaire pour cheveux texturés, bouclés, frisés, crépus et vont atteindre près de 500 000€ de chiffre d’affaires pour leur première année d’activité.

 

 
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Sacha Grédigui – Vrako (Nantes)

Convaincu de la valeur environnementale et économique du vrac, Sacha essaye d’abord de vendre à peu près tout sous ce format pour finalement s’intéresser aux entreprises et aux fruits secs et à coques. Après avoir effectué du porte à porte auprès des entreprises nantaises pour vendre son concept de distributeur de snack healthy sans emballage, il enregistre ses premières commandes mais se heurte à la question de la livraison. Il embarque donc ses parents artisans designers dans l’aventure pour la conception des distributeurs et répond désormais aux attentes de clients à Nantes et Paris.

 

« Sur la Scène, c’est l’expression même de la formule « think out of the box ». Avec la Scène j’ai beaucoup appris sur moi-même, mais aussi à aller au-delà de mes propres limites : Izypaper que je promeus est une solution LegalTech (technologie appliquée aux services juridiques ) et la présenter dans un théâtre c’est se défaire des codes et revêtir les ailes de la liberté.. » Cécile Amiah, fondatrice d’Izypaper

 

… menés par l’impulsion de deux entrepreneurs engagés pour plus de diversité dans l’entreprenariat

 

Etienne Gatti

Passé par l’art contemporain, l’entrepreneuriat, l’innovation, le conseil et cinq années en banque d’investissement chez J.P. Morgan, Etienne Gatti est l'un des associés du studio d'innovation Schoolab où il a piloté l’ensemble des programmes d’accélération de startups et de lancement de nouveaux produits et services pour le compte de grands groupes.

 

En 2018, il cofonde avec Maud Franca La Scène - un programme d'accompagnement à la prise de parole en public avec le concours de professionnels du monde des médias, du théâtre et du cinéma - pour contribuer au développement et au rayonnement d’entrepreneurs qui par leurs parcours ou leurs origines sont aujourd’hui sous-représentés dans l’écosystème startup français.

 

 
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Maud Franca 

Co-rédactrice du rapport « Quartiers numériques » remis au Gouvernement en juin 2013 qui préfigure et donne naissance à la French Tech, Maud Franca est désormais Directrice Adjointe Mandats et Investissements d'Avenir à la Caisse des Dépôts et Consignation. À ce titre, elle pilote des programmes de développement et investit dans des entreprises de l'économie numérique, de la culture et de l'éducation. Elle a été nommée parmi les « 100 femmes de culture ».

 

 

 

Talan annonce le recrutement de 10 docteurs (PhD) afin de renforcer son pôle Recherche et Innovation


Paris, le 8 novembre 2021 - Le groupe Talan est convaincu que les entreprises doivent contribuer activement à la recherche française. En effet, si la recherche académique est essentielle pour déterminer les technologies et méthodes de demain et pour établir les fondations théoriques de toute nouvelle avancée, la recherche appliquée, au sein du groupe Talan, permet également de concevoir de nouvelles approches rapidement opérationnelles qui répondent aux besoins à court terme de ses clients.

A cet effet, Talan a mis en œuvre un plan de recrutement de docteurs récemment diplômés dans les domaines des sciences de gestion, de la data science, des mathématiques appliquées ou encore des mathématiques fondamentales. Entre septembre et décembre 2021, pas moins de 10 docteurs rejoindront les équipes de Talan pour mener à bien ces recherches.
 
Pour ses clients, le groupe Talan a toujours eu pour ambition de mettre la technologie au service de l'humain. C’est dans cette vision humaniste que les équipes du pôle Recherche et Innovation du groupe Talan en collaboration avec un écosystème de parties prenantes (collaborateurs, clients, partenaires) ont initié des réflexions sur des projets autour de l’Intelligence artificielle frugale, les enjeux du numérique responsable, l’impact carbone des déplacements professionnels ou encore la modélisation du rôle des transports « alternatifs » sur les pics d’affluence et l’impact sur les émissions de gaz à effet de serre (GES).

Les équipes mènent également des projets autour des sciences du management tels que les facteurs d’engagement des collaborateurs, les évolutions des pratiques managériales face au télétravail ou encore l'impact de la crise sur l'organisation du travail, parmi de nombreux autres sujets.
 
Le groupe Talan pourra profiter à court terme de ces avancées technologiques et managériales et en fera bénéficier dans le même temps ses clients afin de leur apporter des réponses opérationnelles basées sur des technologies éprouvées.

À propos de Talan
Talan est un cabinet de conseil en innovation et transformation par la technologie. Depuis plus de 15 ans, Talan conseille les entreprises et les administrations, les accompagne et met en œuvre leurs projets de transformation et d’innovation en France et à l'international. Présent sur cinq continents, le groupe prévoit de réaliser un chiffre d'affaires de 400 millions d'euros en 2021 pour plus de 4000 consultant·e·s et vise à dépasser la barre du milliard d’€ de CA à horizon 2024. Le groupe met l'innovation au cœur de son développement et intervient dans les domaines liés aux mutations technologiques des grands groupes, comme le Big Data, l'IoT, la Blockchain et l'Intelligence Artificielle. Présent dans les événements incontournables du secteur, comme Viva Technology, Talan prend régulièrement la parole sur les enjeux de ces technologies révolutionnaires aux côtés d'acteurs majeurs du secteur et de parlementaires (Syntec Numérique, Forum de l'intelligence artificielle, French Fab Tour, Forum de Giverny…).

 

ÉTUDE BADOO - SPECIAL FÊTES DE FIN D’ANNEE :

À Noël, un célibataire français sur deux ressent une pression

de la part d’un de ses proches

 

 

● 50% des célibataires français déclarent ressentir une pression d’un de leurs proches durant les fêtes de fin d’année. Au départ “sociétale”, cette pression semblerait finalement bien être familiale dans ce contexte. Lors des retrouvailles de fin d’année, près d’un tiers des personnes interrogées redoute d’aborder ce sujet avec leurs parents.

 

● 79% des personnes interrogées associent cette pression à un sentiment négatif pouvant impacter leur santé mentale : 18% d’entre eux expliquent se sentir contrariés, 17% stressés, 16% se remettent en question. A parts égales, 14% se sentent angoissés et les autres attristés.

 

● L’âge (31%) serait l’argument le plus utilisé par les proches des célibataires pour leur faire ressentir cette pression lors des fêtes de fin d’année. Néanmoins, pour 22% des femmes célibataires interrogées, les raisons justifiant ces questions sont relatives à l’importance d’avoir des enfants.

 

● Face à ces questionnements, près d’un célibataire sur trois ressentant cette pression sociale et familiale affirme tout faire pour éviter le sujet, alors qu’ils sont 23% à en parler à contre-cœur. Plus étonnant, ils sont même 16 % à préférer mentir, avec une différence significative selon leur genre : 22% chez les hommes ont recours au mensonge contre 7% chez les femmes.

 

● En conséquence, plus de quatre célibataires français sur dix déclarent changer leurs habitudes de vie suite à ces interrogations de leurs proches, dans le prolongement des fêtes de fin d’année : il y parait que 10% d’entre eux décident de s’inscrire ou de retourner sur une application de rencontre.

 

 

 

Paris, le 10 novembre 2021 « Alors, comment vont les amours ? » ou encore « Et toi, toujours personne dans ta vie ? »… Ces questions d’apparence anodine qui viennent rappeler que les célibataires n'entrent pas dans les cases et dans le sacro-saint modèle du couple.  En effet, ces dernières sont souvent mal vécues par la moitié des célibataires français et peuvent avoir un impact sur leur santé mentale selon la dernière étude réalisée par YouGov pour l’application de rencontre Badoo. La marque s’est intéressée à cette pression sociale et familiale, souvent intrusive, qui peut s'exercer sur les célibataires, surtout durant les fêtes de fin d’années.

 

 

Des retrouvailles festives mais placées sous le signe d’une pression familiale pour la moitié des célibataires français

 

L’application de rencontre Badoo s’est penchée sur ce phénomène sociétal et révèle, à travers sa nouvelle étude, qu’un célibataire français sur deux ressent une pression liée à sa situation amoureuse, abordée par un de ses proches.

 

Badoo révèle également que l’âge est la caractéristique la plus souvent utilisée (31%) lorsque les proches font ressentir cette pression aux célibataires durant les fêtes de fin d’année. Ensuite, la comparaison à d’autres personnes est mise en avant pour près d’un tiers des répondants (24%), reflétant l’idée qu’il subsiste une réelle préoccupation d’uniformité dans notre société. Alors que 22% des femmes expliquent qu’on leur remarque l’importance d’avoir des enfants contre seulement 12% pour les hommes. Ces derniers admettent à 11% (contre 8% pour les femmes) que c’est l’importance de se marier qui leur est soulignée.

 

Contrairement aux idées reçues, c'est essentiellement à la catégorie des 25-34 ans qu’on soulève des questions autour de leur célibat durant les fêtes de fin d’année (45%), suivie des 35-39 ans (39%) auxquels on aurait pu associer plus facilement des remarques quant à leur situation. Dans cette continuité, l’étude révèle que les proches des 40-45 ans se montrent moins curieux que pour les tranches d’âge inférieures avec “seulement” 31% de célibataires affirmant avoir des questions sur leur vie sentimentale à ces occasions festives.

 

Et c’est avec surprise que l’enquête dévoile que cette pression touche significativement les célibataires issus de catégories socioprofessionnelles favorisées (54%) en comparaison avec le reste de la population (46% pour les catégories moins favorisées et les personnes inactives). On constate que près d’un célibataire privilégié sur cinq explique ressentir une petite (22%) ou une pression modérée quant à son célibat dans le cadre des fêtes de fin d’année.

 

 

Des injonctions extérieures qui impactent les habitudes des célibataires mais également leur santé mentale

 

La marque dévoile que 42% des célibataires affirment qu’ils modifieraient leurs comportements suite aux questions des proches sur leur vie amoureuse (dont 30% de femmes contre 50% d’hommes, beaucoup plus motivés à prendre leur destin amoureux en main) : 13% d’entre eux ou elles expliquent qu’ils (ou elles) prendraient plus soin d’eux (ou d’elles) pour paraître plus attirant(e)s. Toutefois, s’ils sont 10% à décider de sortir plus souvent pour tenter de rencontrer quelqu’un, ils demeurent 10% à déclarer s’inscrire où retourner sur une application de rencontre.

 

Près de huit sur dix révèlent que cette pression impacte leur santé mentale : elles sont 18% à déclarer que cette dernière les contrarie, 17% à se sentir stressées, devant les 16% qui expliquent se remettre en question face à ces questions.

 

Ainsi, 30% d’entre eux affirment envisager de réduire leurs participations aux réunions avec leurs proches pour les prochaines fêtes de fin d’année. Et ce sont les hommes qui se montrent plus réfractaires, étant 38% à confirmer ne plus souhaiter réitérer l’expérience, contre seulement 17% de femmes.

Près de deux tiers des célibataires français n’ont pas envie d’aborder leur situation amoureuse lors des célébrations de fin d’année

Par ailleurs, Badoo observe que lors de ces échanges en famille, 60% des célibataires déclarent parler de leur situation amoureuse à contrecœur. En effet, aborder sa vie amoureuse rebute un tiers des répondants qui expliquent tout faire pour éviter le sujet. Certains ont même recours au mensonge : 16% des répondants affirment mentir plutôt que partager la réalité de leur situation amoureuse. Ainsi, 13% des hommes interrogés affirment préférer mentir car ils souhaitent faire plaisir à leur entourage. Une pratique beaucoup moins répandue chez les femmes avec seulement 3% qui s’expriment en ce sens. Enfin, 7% des célibataires concernés avouent opter pour le mensonge car ils n’assument pas leur situation amoureuse.

Durant les fêtes de Noël et du Nouvel an, s’il y a des personnes avec lesquelles les célibataires redoutent le plus d’aborder leur célibat, ce sont essentiellement les parents pour 32% des répondants, devant les grands-parents pour 22%. Seulement 3% des personnes interrogées citent leurs enfants lorsqu’ils évoquent les proches avec lesquels ils craignent d’aborder ce sujet.

 

L’enquête révèle également que dans ce contexte de fêtes 58% des personnes sondées, les proches sont souvent très maladroits lorsqu’il s’agit d’aborder leur situation. Ainsi, près d’un tiers (30%) des célibataires français sondés perçoivent les questions de leurs proches au sujet de leur vie amoureuse comme de l’humour déplacé, alors qu’ils sont 19% à estimer qu’il s’agit d’indélicatesse de leur part, devant les 8% jugeant qu’ils les questionnent avec méchanceté.

 

 

“Osez être vous” au-delà de toute pression sociale

 

Badoo comprend l’impact qu’ont les pressions sociétales sur les célibataires, notamment celles basées sur des modèles traditionnels.

 

La marque s’efforce continuellement à développer un espace où les célibataires peuvent facilement faire des rencontres authentiques et sans pression avec des personnes qui souhaitent la même chose.

 

“ Nous voulons également déculpabiliser tous les célibataires qui célibataires qui ne sont pas nécessairement à l’aise avec les modèles traditionnels ou ce que la société attend d'eux. Nos dernières campagnes “Osez être Vous” sont développées pour aider notre communauté à se sentir libre de tout jugement et de toute stigmatisation” explique Stéphanie Gabriel, directrice de Badoo France.

 

Badoo lance une campagne sur les réseaux sociaux, intitulée “Décembre Sans Pression” pour donner des conseils aux célibataires et les aider à appréhender cette période de l’année avec sérénité.

Côté fonctionnalités, “Intentions” arrive en fin d’année pour permettre aux célibataires d’exprimer dès le début leurs désirs d’échanger avec d’autres personnes ayant les mêmes intérêts qu’eux, qu’il s’agisse de relations éphémères, sérieuses ou même platoniques. Ou encore “Moods”, disponible en fin d’année, donnera aux utilisateurs l’occasion de partager leurs humeurs et envies du moment.

 

Stéphanie Gabriel commente : « A l’heure où nous approchons à grands pas des fêtes de fin d’année, souvent synonymes de retrouvailles et et joie pour de nombreux Français, nous pensions essentiel de nous préoccuper des célibataires, qui peuvent appréhender cette période en raison d’une pression familiale forte quant à leur quant à leur situation. Ce n’est pas un phénomène nouveau mais il n’a jamais vraiment été adressé. A travers cette étude, Badoo révèle l’impact que ces réalités sociétales peuvent avoir sur le moral des célibataires. Nous souhaitons apporter des conseils et des solutions aux célibataires pour les aider à se libérer de ce poids. En parallèle, nous mettons tout en oeuvre pour simplifier le processus de dating afin de le rendre plus sympathique et agréable. Ainsi, Badoo espère à son niveau aider les personnes qui souhaitent vivre de belles histoires qu’elles soient amicales, amoureuses, ou juste donner un coup de pouce aux personnes qui ne souhaitent pas se sentir seules. »

 

*Méthodologie

L’enquête a été menée par l’institut de sondage YouGov, auprès de 1009 célibataires français, âgés de 18 à 45 ans représentatifs de cette population en France, du 26 octobre au 1er novembre 2021

 

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LES FRANÇAIS ET LE BLACK FRIDAY
77% des acheteurs réalisent des achats de Noël à cette occasion
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Téléchargez l’étude complète
Bonial (Axel Springer), pionnier et leader du drive-to-store en Europe, avec le concours d’OpinionWay, a souhaité à l’occasion du Black Friday dresser un état des lieux des usages et attitudes des consommateurs français dans le cadre de ce temps fort commercial.
  • Quel pourcentage de Français prévoient de réaliser des achats à cette occasion ?
  • Où vont-ils réaliser leurs achats ?
  • Quelles catégories de produits vont-ils privilégier ?
  • Quel budget comptent-ils dépenser ?
  • Quel pourcentage de Français réalise ses achats de Noël à cette occasion ?
La réponse à toutes ces questions au cœur de cette étude.
EN BREF
  • 42% de consommateurs français prévoient de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday
  • 298 €, c’est le budget moyen que les Français comptent dépenser à l’occasion du Black Friday
  • 77% des consommateurs français prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday profitent de cette occasion pour réaliser leurs achats des Noël
  • 48% des consommateurs français prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday ne le feront que sur internet
  • 44% des consommateurs français prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday le feront en point de vente physique et sur internet
  • 8% des consommateurs français prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday ne le feront qu’en point de vente physique
  • 35% des consommateurs français prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday jetteront leur dévolu sur le prêt à porter
  • 33% des consommateurs français prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday jetteront leur dévolu sur les jouets
  • 24% des consommateurs français prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday jetteront leur dévolu sur des appareils électroménagers
  • 17% des consommateurs français prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday jetteront leur dévolu sur un smartphone

Budget moyen : + 39€ vs le Black Friday 2020

Budget Black Friday
En bref
42% de consommateurs français prévoient de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday, soit 2% de plus qu’en 2020. Il s’agit de 48% des femmes de ce panel contre 36% des hommes. Pour autant, 57% des Français passeront leur chemin à cette occasion.  Force est de constater que ce temps fort commercial ne fait pas l’unanimité dans l’hexagone.
Près d’un consommateur sur deux ne réalisera ses achats que sur la toile, 44% en point de vente physique et sur internet et 8% qu’en magasin.
 
Un budget moyen à la hausse
Alors qu’en 2020 le budget moyen dépensé à l’occasion du Black Friday s’élevait à 259€, il augmente cette année de 39€ pour désormais atteindre 298€. Notons par ailleurs que 29% des Français cassent leur tirelire à cette occasion et envisagent de dépenser plus de 300€ (cf graphique ci-dessus). Notons par ailleurs que le budget moyen des habitants du nord-ouest de la France s’élève à 410€ quand celui des habitants du sud-ouest s’établit à 210€.
Tech, prêt à porter et jouets à l'honneur
35% des Français envisagent d’acheter des articles de prêt à porter à l’occasion du Black Friday, il s’agit là de la catégorie de produits la plus prisée par les consommateurs français. La mode et les accessoires de mode font ainsi toujours recette.
Juste derrière, nous le verrons un peu plus loin au sein de cette étude, les Français profitent de cette occasion pour acheter leurs cadeaux de Noël, et notamment les jouets pour les enfants (33%).
 
Tech et électroménager à tous les étages
24% des consommateurs français envisagent d’acheter à l’occasion du Black Friday des produits électroménagers, 17% des smartphones, 15% des ordinateurs et des appareils pour écouter de la musique, 10% des tablettes et 7% des téléviseurs.  Par ce biais, la Tech figure ainsi au premier rang des catégories de produits ciblés dans le cadre de ce temps fort commercial.
Catégories Black Friday

Le Black Friday : temps fort pour les achats de Noël

Préparer les achats de Noël, faire plaisir à ses proches tout en optimisant son budget, voici une des raisons d’être du Black Friday au regard des statistiques présentées dans le graphique ci-dessous.

En effet, 77% des consommateurs interrogés profitent du Black Friday pour effectuer leurs cadeaux de Noël et 11% iront même jusqu’à réaliser l’ensemble de leurs achats de Noël à l’occasion de ce temps fort commercial.
Noël et Black Friday

MÉTHODOLOGIE DE L'ÉTUDE

  • Échantillon de 1027 personnes représentatif de la population française.
  • L’échantillon a été interrogé par questionnaire auto-administré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview).
  • Les interviews ont été réalisées du 3 au 4 septembre 2021.
  • L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères d’âge et de région de résidence.
A propos de Bonial : Pionnier et leader du drive-to-store en Europe, Bonial reconnecte les consommateurs avec les magasins depuis plus de 10 ans et permet aux enseignes de communiquer leurs offres dans l’univers digital. La plateforme Bonial combine un réseau d’audience qualifiée, des données de ciblage propriétaires ainsi qu’une technologie au service de la personnalisation et de la diffusion des offres de chaque magasin sur le digital. En Europe, plus de 400 grandes enseignes font confiance aux 350 collaborateurs de Bonial pour renforcer l’attractivité de leurs points de vente.

AVIS DE PARUTION

 
 

Paris, le 17/11/2021

 
 

La vaccination contre la Covid-19 en Ehpad et son effet sur la contamination des résidents 

La campagne de vaccination des résidents d’Ehpad au début de l’année 2021

 

Albane MIRON DE L’ESPINAY, Laurie PINEL (DREES)
Les Dossiers de la DREES n° 86,

DREES, novembre 2021

 

Consulter la publication
 
 

Les résidents d’établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), rendus particulièrement vulné-rables à la Covid-19 à cause de leur âge, leur état de santé et leur vie en communauté font l’objet d’un suivi spécifique depuis le début de la crise sanitaire. Durant la seconde vague de l’épidémie de Covid-19 à l’automne 2020, le taux d’incidence s’élève ainsi jusqu’à près de 1 600 résidents contaminés par semaine pour 100 000, contre 500 personnes pour 100 000 chez les personnes de 70 ans ou plus, et 450 pour la population entière. Mais à partir de mi-février, si le taux d’incidence de la popula-tion augmente, celui chez les résidents en Ehpad ne connaît pas la même trajectoire. La situation tout début mars permet d’illustrer la réduction des écarts par rapport à la seconde vague : le taux d’incidence parmi les résidents d’Ehpad n’est plus que d’environ 200 cas de résidents sur 100 000, contre 190 personnes pour les 70 ans ou plus et 140 sur la population entière. De la même manière, la proportion d’épisodes de contamination en Ehpad où seul le personnel est contaminé augmente à partir de janvier 2021. Elle passe de 15 % en juin 2020 à 60 % en juin 2021. Les résidents d’Ehpad n’ont ainsi pas connu de troisième pic épidémique. La vaccination pourrait en partie expliquer pourquoi les résidents d’Ehpad n’ont pas connu la même dynamique épidémique que les personnels de ces structures et que l’ensemble de la population.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 

Paris : Flâner à travers la Belle Époque | ARTE

un voyage dans le temps dans le beau Paris des années 30 , Rues de Paris. Cafés sur les Champs-Elysées. Arc de Triomphe, police française, Tour Eiffel, Place de la Concorde, statues, voitures sur les Champs d'Elysée et vues aériennes de la Tour Eiffel, y compris la vidéo Seine

https://www.youtube.com/watch?v=fxnQDyQk35Q

 
 
 
Une incroyable collection de photographies de "petites gens" du Paris de la fin du XIXe siècle, vient d'être redécouverte. Ces étonnantes prises de vue, notamment de nombreux commerçants, témoignent des balbutiements de la société de consommation, de l’optimisme de la Belle Époque et du quotidien du Paris populaire.
https://www.youtube.com/watch?v=wUdP1eL9Z_A

 

Pénurie mondiale de papier : flambée des prix, transports... les éditeurs sous pression

 

Depuis la crise du Covid, les éditeurs et imprimeurs sont confrontés à un marché du papier mondial très tendu. Des difficultés qui se sont accentuées à l’été.

Afp | Publié le 01/10/2021

https://www.lavoixdunord.fr/1077921/article/2021-10-01/penurie-mondiale-de-papier-flambee-des-prix-transports-les-editeurs-sous

 

POESIE DES CARBURANTS

Le plaisir d'essence. (Ça commence bien !)

Dans ce monde de brut

de moins en moins raffiné

nous passons Leclerc de notre temps

à faire l'Esso sur des routes, pour,

au Total, quel Mobil ?

On se plaint d'être à sec,

tandis que le moteur économique,

en ce temps peu ordinaire,

est au bord de l'explosion,

dans un avenir qui semble citerne.

Il conviendrait de rester sur sa réserve,

voire, jauger de l'indécence de ces bouchons

qu'on pousse un peu trop loin.

Il y a des coups de pompes

ou des coûts de pompes

qui se perdent.

La vérité de tout cela sortira-t-elle du puits de pétrole ?

Qu'en pensent nos huiles ?

Peut-on choisir entre L'éthanol et l'État nul,

voilà qui est super inquiétant!

C'est en dégainant le pistolet de la pompe

qu'on prend un fameux coup de fusil.

Je vous laisse réfléchir sur cet axe-là ou sur ces taxes-là...

 

Bonne route à tous !

 

Logements vacants du parc privé par ancienneté de vacance, par commune et par EPCI

https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/logements-vacants-du-parc-prive-par-anciennete-de-vacance-par-commune-et-par-epci/
 

Dans le cadre du Plan national de lutte contre les logements vacants (https://www.ecologie.gouv.fr/plan-national-lutte-contre-logements-vacants), un jeu de données sur les logements vacants, les données LOVAC ont été mises en place par la DHUP en partenariat avec le CEREMA Hauts-de-France.

Issu du croisement des fichiers 1767BISCOM et des Fichiers Fonciers retraités par le CEREMA (https://datafoncier.cerema.fr/lovac), le présent fichier est une extraction agrégées des données LOVAC désormais disponibles en open data par commune et par EPCI.

Présentation du jeu de données :
Ces données permettent de dénombrer le nombre de logements du parc privé vacants par commune et par EPCI et par ancienneté de vacance.
Elles permettent ainsi de distinguer la vacance de courte durée, dite frictionnelle, de la vacance de longue durée, dite structurelle, cible du plan national de lutte contre les logements vacants.

Au niveau national, 2,984 millions de logements du parc privé sont vacants (9,3%) dont 1,871 million depuis moins de deux ans (5,9%) et 1,112 million depuis au moins deux ans (3,5%).
La majorité des logements vacants le sont donc pour une courte durée. Cette vacance dite frictionnelle correspond à la période de transition entre deux occupants, elle est nécessaire à la fluidité du marché du logement.

Les indicateurs renseignent sur la vacance des logements du parc privé au 01/01/2019, à l’échelle de la commune et des EPCI (Établissement public de coopération intercommunale). Le champ couvert est la France entière. La géographie des communes et des EPCI est celle en vigueur au 1er janvier 2020.

Le seuil de secrétisation est de 11 logements. Les communes comptant moins de 11 logements du parc privé vacants depuis moins de deux ans et moins de 11 logements du parc privé vacants depuis deux ans ou plus n'apparaissent pas dans ces données. Les EPCI ne figurant pas dans ces données sont ceux pour lesquels le nombre de logements vacants de courte ou longue durée est inférieur à 11 dans l'ensemble des communes non disponibles dans le fichier communal.

Les champs disponibles sont les suivants :
-Nombre de logements du parc privé
-Nombre de logements vacants du parc privé au 01/01/2019
-Nombre de logements du parc privé vacants depuis moins de deux ans au 01/01/2019
-Nombre de logements du parc privé vacants depuis deux ans ou plus au 01/01/2019
-Taux de logements vacants du parc privé au 01/01/2019
-Taux de logements du parc privé vacants depuis moins de deux ans au 01/01/2019
-Taux de logements du parc privé vacants depuis deux ans ou plus au 01/01/2019

Précautions d’emploi
Les données LOVAC sont issues des données fiscales qui surestiment légèrement la vacance par rapport au recensement de population.
Cette surestimation s’explique notamment par le fait qu'une partie des logements « fiscalement vacants » correspond à des logements non habitables (bâtiments à l’abandon, garages, etc.), détruits ou retirés du marché en vue de leur démolition pour lesquels l’information fiscale n’a pas encore été mise à jour.
Les taux de vacance très faibles ou au contraire très élevés de certaines communes doivent être interprétés avec prudence. Ces valeurs extrêmes concernent généralement de faibles effectifs.

 

MAUX DE GORGE

Hiver, maux de gorge;au lieu de prendre des médicaments qui vont diminuer vos défenses naturelles .
verser du thé Dans un bocal... combiner à des tranches de citron, du miel et du gingembre si possible coupé en tranches.
Fermer le récipient et le mettre dans le réfrigérateur, une gelée se forme.
Pour servir, prendre une cuillère de cette gelée dans une tasse et versez de l'eau bouillante dessus. Conservez au réfrigérateur 2-3 mois. Et la vous avez un nectar contre les maux de gorges
 
 

 Le Canard enchaîné sur les dégâts du Développement durable

Jean-Luc Porquet écrit dans le Canard enchaîné du 14 octobre 2020 un article qui montre bien l'absurdité de l'électrique à tout prix alors que sur notre territoire 

https://www.juvelize.com/index.php/dernieres-infos/3776-le-canard-enchaine-sur-les-degats-du-developpement-durable

nous allons être confronté à un autre problème lié à la production d'électricité avec le parc éolien de Laneuveville-en-Saulnois.

Voici cet article qui a retenu notre attention :

La batterie électrique est déjà à plat

Il s'en vend de plus en plus, et demain, promis, on ne verra plus qu'elles sur les routes : les voitures electro-nucléaires, dites « voiture électriques ».

On ne cesse de nous le rabâcher, la voiture électrique est très écolo et très bonne pour la planète. 

Toutes ces vertueuses centrales nucléaires dont elle aura besoin ! Ces milliers de bornes à installer sur les routes pour qu'elle puisse recharger sa batterie !
Sa batterie justement. Regardons-la de près. Très lourde, très coûteuse, bourrée de métaux très rares. 

Voyez celle de la Tesla Model S. Elle pèse pas moins de 544 kg soit le quart du poids total de la voiture). 

De quoi lui permettre - quel exploit ! -une autonomie d'un peu plus de 500 km.

Dans la batterie, on trouve 16 kg de nickel. Ce qui affole les industriels. 

Le nickel est plutôt rare, sur cette terre. Le goulet d'étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel », vient d'affirmer le patron français de Tesla («Les Echos», 6/10). Dans dix ans, il en faudra dix fois plus qu'aujourd'hui. Et ce ne sera qu'un début...
En prime, extraire du nickel, c'est une vraie galère. 

Non seulement il faut aller le chercher dans des pays exotiques, l'Indonésie, surtout, ou la Nouvelle-Calédonie, mais on ne le trouve jamais à l'état pur.

 Dans les minerais, il n'existe qu'en très faible proportion... Il suffit qu'ils en contiennent plus de 1,3 % pour qu'on les exploite. 

Creuser, extraire, broyer, cribler, hydrocycloner, etc. Résultat : de colossales montagnes de résidus. 

La plupart du temps, on les déverse dans la mer. Tant pis pour la biodiversité et les coraux. La mobilité verte n'a pas de prix.

Il y a aussi du lithium. Il en faut 15 kg. On en trouve sur les hauts plateaux des Andes, à plus de 3 000 mètres d'altitude. 

Il faut pomper sous les salars (lacs de sel asséchés) la saumure riche en lithium, ce qui fait migrer l'eau douce vers les profondeurs.

« Une catastrophe écologique », disent les autochtones, qui souffrent déjà du manque d'eau (Reporterre, 2/9).

Il y a aussi 10 kg de cobalt. On va le chercher surtout au Congo. Son cas inquiète particulièrement les constructeurs automobiles soucieux de leur image d'amis du genre humain.

 Le cobalt est en effet « associé au travail d'enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales pour à peine 2 dollars par jour » (« Les Echos », 23/9). C'est embêtant. Faudrait faire quelque chose. 

Mais il y a plus urgent. Il faut rattraper la Chine. Elle est déjà le champion mondial de la batterie électrique.

 L'Europe va lancer l'« Airbus des batteries », « un enjeu de souveraineté européenne », a dit Macron.

Ah, un détail : comme la batterie électrique est affreusement lourde, tout le reste doit être léger.

 La carrosserie de la Tesla est donc en aluminium dont l'extraction produit des boues rouges très toxiques et est très gourmande en énergie. 

On nous promet donc pour demain matin un « aluminium vert ».

Les pauvres amish doivent en rester babas.