Pierre-Jean Llorens, merci également pour tes contributions

EDF Pulse & You : 79% des internautes sont plus attentifs au bruit depuis le premier confinement

Il y a quelques mois EDF Pulse & You a questionné les internautes sur le rapport au silence avec  la campagne Enjoy le silence !.

Voici quelques enseignements qui en ont découlé :

  • 65 % préfèrent le calme au silence
  • La voiture (57%) et les bruits de la rue (48%) sont les sons les plus désagréables que les Pulseurs aimeraient voir disparaître
  • 41% considèrent que les bruits du voisinage sont également désagréables
  • Le bruit de l'eau et le chant des oiseaux sont les sons que les Pulseurs apprécient le plus et aimeraient avoir plus souvent au quotidien
  • Avant d'être bon pour le moral (21%), le silence et le calme sont bons pour la santé (61%) selon les répondants
  • Depuis le premier confinement, 79% des répondants sont plus attentifs au bruit et 48% recherchent activement le silence

La campagne met également en lumière que le silence de nuit est essentiel pour de nombreux Pulseurs : certains ont déjà adopté les bouchons d'oreilles depuis de nombreuses années pour le maximiser et le faciliter.

 

Baromètre GPL : en mars, le GPL affiche 0,84 euro le litre et un nouveau record 

Baromètre GPL - Mars 2021

 

 

En mars, le GPL affiche 0,84 € le litre / prix moyen à la pompe

et + 1 649 % d'immatriculations !

 

Le GPL est une solution disponible et économique

accessible au plus grand nombre

sur le marché du neuf, de l'occasion et en seconde monte

 

 

 

En mars 2021, le GPL maintient son prix bas et creuse une différence moyenne de 0,67 €/ litre par rapport au Sans Plomb 95 et de 0,54 € / litre par rapport au Gazole.

 

 

 

Source du prix au litre des carburants en euros : https://www.ecologie.gouv.fr/

 

Le GPL : une solution d'avenir  

En France, malgré un marché automobile en berne, les ventes de véhicules GPL montent en flèche depuis juin 2020. Mars 2021 marque un nouveau record avec 3 410 immatriculations de véhicules GPL neufs (soit + 1 649 % par rapport à mars 2020) et 2 363 occasion (+ 43 % par rapport à mars 2020).

Le parc roulant GPL en France est estimé à 200 000 véhicules.

 

Très accessible

-> en neuf et en occasion

Le pic de vente sur le marché du neuf est lié à une offre qui s'est étoffée et à des prix attractifs.

Si le prix d'achat d'un véhicule GPL reste moins élevé que celui d'un véhicule diesel, Dacia propose l'ensemble de ses modèles en version GPL au même prix qu'en version essence à partir de 10 000 €.

Sur le marché de l'occasion, il existe un large choix de modèles chez Chevrolet, Citroën, Dacia, Fiat, Ford, Opel, Renault, Volkswagen ... à partir de 3 000 €.

 

-> en seconde monte

Les véhicules essence peuvent aussi être équipés au GPL.

Il est possible de faire équiper par un installateur professionnel GPL quasiment tous les véhicules essence neufs ou d'occasion correctement entretenus. L'adaptation coûte environ 1 500 à 3 500 € HT en fonction du modèle et de la cylindrée du véhicule d'origine.

 

Les véhicules GPL, neufs ou d'occasion, sont éligibles :

- à la prime à la conversion (jusqu'à 3 000 €)

- au microcrédit « véhicules propres » (jusqu'à 5 000 €)

- à des aides au remplacement pour un véhicule plus propre dans certaines collectivités.

 

Rouler au GPL permet :

-> de réduire son budget carburant d'environ 30% comparé à l'essence et de disposer d'une très grande autonomie ((400 à 600km en GPL + autonomie du réservoir essence).

Le prix moyen du litre de GPL à la pompe reste bas (entre 0,83€ et 0,86€). Son amplitude de prix à oscillé de 0,02€ en 1 an (alors que le SP95 (0,26€) et le Diesel (0,22€) augmentent très nettement).

Le plein de GPL se réalise en 2 minutes. Plus de 1 650 stations-services réparties sur toute la France (la distance entre 2 stations GPL ne dépasse pas 60 km) et plus 33 000 stations-service en Europe.

 

DUR:Users:LiLi:Desktop:Capture d???e??cran 2021-04-07 a?? 11.46.39.png-> de rouler sans restriction et polluer moins

Tous les véhicules GPL sont classés Crit'air 1 en raison de leurs qualités environnementales. Ils ne sont soumis à aucune restriction de circulation en cas de pic de pollution dans les grandes agglomérations.

 

Le récent projet de loi "climat et résilience" vise à créer de nouvelles ZFE (zones à faibles émissions), notamment pour les agglomérations de plus de 150 000 habitants. Plus de 35 agglomérations sont directement concernées. Un tiers du parc automobile actuel ne pourra y circuler. Le GPL est une solution positive et accessible, en contrepartie des restrictions de circulation.

 

 

À propos de France Gaz Liquides

Association loi 1901, France Gaz Liquides est l'organisation professionnelle de la filière des gaz et biogaz liquides (les gaz butane, propane, et le carburant alternatif GPL). Anciennement dénommée Comité Franc?ais du Butane et du Propane (CFBP), l'organisation représente la filière franc?aise auprès des différents acteurs politiques et économiques tant au niveau franc?ais qu'européen et international. Son rôle majeur est de défendre et valoriser l'énergie gaz et biogaz liquides, dans un contexte énergétique en constante mutation. Si la sécurité est au cœur des préoccupations de la filière, elle contribue aussi activement aux politiques de développement durable et de maîtrise de l'énergie.

Pour plus d'informations : http://www.francegazliquides.fr

 

https://abs.twimg.com/a/1364948424/images/resources/twitter-bird-light-bgs.pngRetrouvez France Gaz Liquides sur Twitter : @FR_GazLiquides

 

Baromètre de La Centrale de Financement

La baisse du taux d'usure risque de pénaliser les emprunteurs les plus fragiles au deuxième trimestre 2021

 

Les taux de crédit immobilier diminuent de nouveau au début du mois d'avril 2021, pour retrouver quasiment les mêmes seuils qu'au mois de février de cette même année : un assouplissement des conditions d'accès à l'emprunt contrebalancé par la récente diminution des taux de l'usure[1] pour le deuxième trimestre 2021. Celle-ci pourrait générer un effet ciseau[2] particulièrement préjudiciable aux emprunteurs les plus modestes, et dont le dossier nécessite de négocier des intérêts plus élevés (banques et assurance-de prêt compris)... Afin de permettre à ces emprunteurs d'accéder à un crédit immobilier dans ce contexte, la Centrale de Financement propose des solutions de financement sur-mesure et parvient à réduire significativement le coût de l'assurance, grâce à une délégation d'assurance adaptée[3].

Au 1er avril 2021, la Banque de France a révélé les nouveaux taux de l'usure appliqués au crédit immobilier, pour ce deuxième trimestre : pour les prêts d'une durée de 10 à 20 ans, le taux d'usure est réévalué à 2,52 % (contre 2,57 % au premier trimestre 2021) ; pour les prêts d'une durée de 20 ans ou supérieure à 20 ans, celui-ci s'élèvera à 2,60 % (contre 2,67 % au trimestre précédent). Conçu pour protéger l'emprunteur contre des taux de crédit immobiliers supérieurs à ce taux plafond, le taux d'usure joue un rôle de régulateur de l'économie dans son ensemble. Réévalué tous les trimestres par la Banque de France, il ne s'applique pas uniquement au taux d'emprunt proposé par la banque, mais au Taux Annuel Effectif Global (TAEG)[4] qui inclut l'assurance emprunteur et les frais annexes.

Seniors et profils considérés comme « à risque » : les emprunteurs les plus pénalisés par la baisse du taux d'usure

L'effet ciseau, généré par la réduction de l'écart entre les seuils de l'usure et les taux pratiqués par les banques, a réduit de manière significative la marge de négociation pour les emprunteurs considérés comme « à risque » par les assureurs. Avec un coût de l'assurance de prêt plus conséquent, les seniors, les personnes exerçant un métier exposé à des risques d'accident ou d'invalidité, ou les emprunteurs poly-pathologiques sont donc particulièrement exposés au refus de leur dossier, en raison d'un dépassement probable du taux d'usure...

Lutter contre l'effet pervers du taux d'usure, grâce à la délégation d'assurance !

Afin de permettre aux ménages impactés par cet effet ciseau d'accéder à un crédit immobilier dans les meilleures conditions possibles, la Centrale de Financement propose des solutions de financement sur-mesure et parvient à réduire significativement le coût de l'assurance, grâce à une délégation d'assurance adaptée.

Le montant de l'assurance de prêt varie selon l'état de santé du contractant au prêt. Si ce dernier est atteint d'une ou plusieurs pathologies, le montant de l'assurance proposé par les Banques, généralement un contrat d'assurance groupe négocié en amont avec un assureur, peut être suffisamment important pour que son Taux Annuel Effectif Global (TAEG) atteigne rapidement le taux d'usure en vigueur. Le montant des assurances crédit proposées par les banques se base généralement sur le calcul d'un taux moyen établi selon le profil de l'emprunteur, et appliqué au montant total du capital emprunté.

Or, avec une délégation d'assurance, l'emprunteur bénéficie de garanties d'assurance véritablement adaptées à son profil et ses capacités financières. Elle permet de bénéficier d'un remboursement évolutif et se base non pas sur le capital total à rembourser mais sur ce qui reste à rembourser par l'emprunteur. Ainsi, tout au long du remboursement du prêt, le montant de l'assurance diminue et engendre des mensualités moins importantes pour l'emprunteur, lui permettant de contracter un prêt immobilier dans les meilleures conditions

« Grâce à notre important réseau de partenaires assureurs, nous avons réellement la possibilité de proposer la délégation d'assurance la plus pertinente et la plus adaptée aux besoins de nos clients, quels que soient leur situation financière ou leur profil. », ajoute Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de Financement.

Avril 2021 : les taux diminuent à nouveau !

Après une légère remontée des taux de crédit immobilier au mois de mars 2021, le mois d'avril débute avec une nouvelle baisse, sur la plupart des durées d'emprunt. Ainsi, avec les taux annoncés en avril 2021, un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000€ sur 25 ans à 1,22%, verra sa mensualité s'élever à 696,42 euros pour un coût total de crédit de 28 926 euros, soit 6,5% de moins que le mois précédent (correspondant à une économie de près de 2 000 euros) pour un prêt de la même durée et du même montant.

Évolution des taux

Les taux immobiliers moyens d'avril 2021 par durée d'emprunt

Les conditions de taux généralement constatées sont en baisse de 0.03%, en moyenne, pour toutes les durées de prêt confondues. Dans le détail : pour les prêts sur 7 et 15 ans, les taux de crédit sont restés stables par rapport au mois précédent. Les diminutions de taux de crédit les plus significatives s'observent principalement pour les prêts contractés sur 12 ans et 25 ans, avec une baisse des taux de crédit de 0.07 % et 0.05 % respectivement par rapport à mars 2021.

 

Les meilleurs taux immobiliers d'avril 2021 par durée d'emprunt

Les meilleurs taux obtenus sur le mois d'avril 2021 sont plus avantageux que ceux obtenus au mois de mars 2021, pour les prêts contractés sur une durée de 15 ans, avec une baisse de 0.05% des taux obtenus, ainsi que pour les prêts d'une durée de 7 ans, et pour ceux d'une durée de 25 ans, avec une diminution de 0.02%. Pour les prêts contractés sur 10 et 12 ans, les meilleurs taux obtenus en avril 2021 restent, quant à eux, stables et identiques à ceux du mois précédent.

 


 

Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en mars 2020 

 

À propos de la Centrale de Financement

Fondée en 2013 par Sylvain Lefèvre et Philippe Girou, La Centrale de Financement est l'un des leaders français du courtage en prêt immobilier - financement, regroupement de crédits et assurance emprunteur. Son ambition est de faciliter l'accès au prêt immobilier au plus grand nombre, en proposant des offres de prêts immobiliers et d'assurances emprunteurs aux conditions financières les plus avantageuses, et en garantissant une relation personnalisée et durable à ses clients, autour de quatre engagements : exigence, expertise, déontologie, et accompagnement.

La Centrale de Financement, filiale du groupe APRIL depuis 2018, s'appuie sur un réseau de plus de 195 agences et 1000 collaborateurs répartis sur tout le territoire national, et a noué des partenariats avec la quasi-totalité des grands acteurs banque-assurance du marché. Elle a négocié, en 2020, un volume de crédit de 4,7 milliards d'euros.

 

Contact presse - A+ Conseils

Clara DALLAY                            Christelle ALAMICHEL
06.48.45.01.53                              06.31.09.03.83

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[1] Le taux d'usure est celui au-dessus duquel les établissements de crédit n'ont pas le droit d'accorder de prêt.

[2] « L'effet ciseau » désigne la réduction de l'écart entre le taux d'usure et le Taux Annuel Effectif Global (TAEG), laissant une faible marge aux emprunteurs modestes dont le dossier nécessite de négocier des intérêts plus élevés.

[3] La délégation d'assurance, dans le cadre d'un crédit immobilier, permet aux emprunteurs de contracter une assurance emprunteur auprès d'une compagnie autre que l'organisme de crédit qui lui accorde le prêt (également appelée assurance de prêt « hors banque »)

[4] Le TAEG, ou Taux Annuel Effectif Global, désigne le taux d'intérêt d'un crédit. Il permet d'établir le coût total de l'emprunt, en incluant le taux nominal, mais aussi l'assurance emprunteur et les frais annexes (frais de dossier, de courtage, etc.).


 CP_LCF_Barometre_Avril_07042021.pdf

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 Immobilier : que peut-on faire malgré le confinement et le couvre-feu ?

Depuis le samedi 3 avril 2021, toute la France métropolitaine a été  soumise à un troisième confinement pendant au moins 4 semaines, qui vient ainsi s'ajouter au couvre-feu qui reste en vigueur de 19h.  à 6h.

Drimki, spécialiste de l'estimation immobilière, fait le point sur les conséquences, pour les départements concernés,  de ces nouvelles restrictions pour le marché de l'immobilier !

Les visites de logement sont-elles autorisées ?

Un temps annoncées interdites, les visites sont finalement autorisées pour la location et l'achat/vente de résidences principales en dehors des horaires du couvre-feu. Bien entendu, l'application stricte du protocole sanitaire reste une exigence absolue. En revanche, les visites d'un logement destiné à être utilisé comme résidence secondaire ou bien locatif sont pour le moment suspendues.

Les agences immobilières restent, quant à elles, fermées au public puisque celles-ci ne sont pas considérées comme des commerces de première nécessité.

Pour un logement vide, en plus du strict respect des gestes barrières et de la distanciation physique, les visites sont limitées à une visite par demi-journée et elles ne devront pas excéder les 30 minutes. Les visites groupées ou à la suite les unes des autres sont interdites. Pour les biens occupés, les règles sont les mêmes que pour la visite d'un bien vide avec tout de même des mesures de prudence supplémentaires (ouverture et fermeture des portes, fenêtres par l'occupant, deux personnes maximum par pièce, utilisation de lingettes désinfectantes par le professionnel, etc).

Déménagement, signature chez le notaire…

L'activité dans le secteur du BTP continue à la normale avec respect du protocole sanitaire dans les départements concernés par le confinement.

Concernant les déménagements, comme pour le second confinement, ceux-ci sont autorisés. Il suffit de vous munir de l'attestation de déplacement dérogatoire et de fournir une preuve de déménagement (acte de vente, justificatif de l'entreprise de déménagement ou bail de location par exemple).

Si vous devez faire estimer votre résidence principale dans le but de la vendre, les professionnels de l'immobilier ont la possibilité de se déplacer à votre domicile. Ils peuvent ainsi réaliser l'estimation du prix de vente, prendre des photos et vous faire signer un mandat de vente.

Avez-vous rendez-vous chez le notaire pour signer un compromis de vente ou un acte authentique ? Pas de panique, vous pouvez vous y rendre muni de votre attestation. Il vous suffit de cocher la case « Démarches administratives ou juridiques : déplacements pour se rendre dans un service public pour un acte ou une démarche qui ne peuvent être réalisés à distance ».

Cependant, les assemblées générales de copropriété doivent se tenir à distance jusqu'au 1er juillet 2021. 

A propos de Drimki

Créé en 2007, Drimki est le pionnier français de l'estimation immobilière en ligne. Fort de ces nombreuses années d'expérience, Drimki vous apporte toutes les informations et tous les services utiles à la concrétisation de votre projet immobilier que vous soyez propriétaire, vendeur ou acheteur.

Pour en savoir plus https://www.drimki.fr/ 

 

 1/3 des TPE ont consommé l’intégralité de leur PGE à mars 2021

 Échéance du PGE : les TPE prises à la gorge par le confinement 3
 
Bonjour,
 
Lors de sa dernière enquête COVID-TPE, le SDI constatait que près d'un tiers des TPE avaient consommé l'intégralité de leur PGE à mars 2021.
 
Comme prévu au contrat, les chefs d'entreprises se sont positionnés au mois de janvier 2021 auprès de leur établissement bancaire en vue de définir leur choix quant aux modalités de remboursement de leur PGE à échéance de mars et avril 2021.
 
Ceux qui n'étaient pas informés du report de droit d'une année (première échéance en mars-avril 2022) et ceux qui ont opté volontairement pour une échéance en mars-avril 2021, se retrouvent désormais piégés par cette charge supplémentaire dans un contexte de nouveau confinement, au moins jusqu'au 15 mai prochain.
 
Marc Sanchez, secrétaire général du Syndicat des Indépendants (SDI), déclare : « Les TPE sommées de commencer le remboursement de leur PGE en pleine troisième vague de la pandémie de COVID se trouvent en situation particulièrement délicate. Les pouvoirs publics, en lien avec les établissements bancaires, doivent impérativement autoriser ces entreprises à lever l'option du report de paiement d'une année, ce dont toutes les TPE n'étaient au demeurant pas informées par leur conseiller bancaire.
Par ailleurs, nous restons toujours dans l'attente des résultats des négociations avec Bruxelles concernant la faculté d'allonger la période de remboursement du PGE jusqu'à 8 ans au lieu de 6. Ce dispositif nous apparaît de plus en plus nécessaire alors qu'un retour à la normale n'est désormais pas attendu avant l'automne 2021 par Olivier Véran. »
 

[Etude Dynata] 82% des Français pensent que les entreprises doivent faire preuve d’intuition

S'il y a bien un sujet qui anime bon nombre de débats, c'est celui du climat. Le 28 février dernier, après 17 mois de travail, la convention citoyenne pour le climat a finalisé son rapport répertoriant les 149 propositions issues de la démocratie participative. Cet exercice vise à rendre possibles des futurs plus heureux sur le plan du climat, en mettant en œuvre des actions concrètes et partagées pour la préservation de notre planète.
 
Dynata, la plus grande plateforme de data tierces au monde, a interrogé plus de 1 000 répondants français entre le 1er et le 8 mars 2021, pour évaluer les actions concrètes mises en place par les concitoyens, entreprises et collectivités et leurs éventuels impacts futurs. Cette étude s'inscrit dans une démarche globale paneuropéenne, et consolide les réponses de plus de 11 000 sondés dans 11 pays européens.
 
Les résultats que l'on y retrouve sont édifiants sur les perceptions des Français sur la question climatique, qu'il s'agisse de la responsabilité de chacun ou encore des enjeux environnementaux, économiques et sociaux liés au phénomène.
 
Comment les Français se positionnent-ils sur les questions climatiques ? Voici quelques éléments de réponse :

  • Les positions des partis politiques/candidats sur les politiques d'énergie verte renouvelable influencent les votes d'1 français sur 2 (52%) et majoritairement les 25-34 ans (66% des 25-34 ans sont influencés par les positions des partis/candidats en la matière)
  • 73% des Français pensent d'ailleurs que les gouvernements devraient intégrer des programmes d'incitation financière récompensant les citoyens qui adoptent des énergies renouvelables/vertes. C'est encore plus important pour les 25-34 ans puisque 76% des Français de cette catégorie d'âge partagent cet avis.
  • Près d'1 Français sur 2 (47%) - 54% des 55-64 ans -  pensent que l'économie liée à l'énergie doit être réglementée par le gouvernement qui doit notamment contrôler le prix de l'électricité. Seulement 18% des Français pensent que ce sont les fournisseurs d'énergie qui doivent assurer ce rôle.

Qui pour agir urgemment sur la question climatique ?

  • 67% pensent que le changement climatique est causé par l'humain, mais qu'il peut aussi en faire évoluer le cours grâce à ses actions
  • Les Français sont d'accords pour dire que les entreprises doivent mettre en place des actions pour préserver la planète (82%), suivi par le gouvernement (80%), les individus (79%) et les ONGs (73%)
  • 75% des 25-34 ans voudraient que leur gouvernement fasse des énergies renouvelables une priorité

Les Français croient-ils au changement climatique ?

  • 83% des Français croient que le changement climatique est une réalité.
  • 9% des Français pensent que le réchauffement climatique est une illusion
  • 11% des 25-34 ans n'y croient toujours pas

Les plus grandes inquiétudes sur les conséquences du réchauffement climatique exprimées par les Français

  • Plus d'un Français sur 2 craint la survenue d'inondations (53%), et qu'il n'y ait pas assez de ressources naturelles (54%)
  • 38% craignent une pénurie de vivres, et que celle-ci occasionne des épisodes faminiques (36%)

Les actions concrètes que les Français mettent en place

  • L'énergie renouvelable : 70% des Français pensent que les énergies renouvelables/vertes sont la meilleure source d'énergie pour alimenter nos modes de vie modernes.
  • Néanmoins pour 11% des 35-44 ans les énergies renouvelables ne sont pas la solution !
  • La voiture électrique s'affirme également comme une solution rapide et pérenne pour le climat :
    • 27% des Français ont déjà acheté une voiture électrique, hybride ou économe en carburant (cette proportion s'élève à 64% en Chine)
    • 47% souhaitent en acquérir dans l'année qui suit
    • 77% des Français effectuent des optimisations dans leur foyer pour le rendre plus écologique
    • Il n'y a pas de petits gestes : 61% ont fait le choix de remplacer des anciennes ampoules par des ampoules LED à faible consommation d'énergie.

Et un oeil sur les conclusions internationales de ce rapport :

  • Greta Thunberg incarne la lutte contre le réchauffement climatique pour 29% des sondés dans le monde, suivie de près par Bill Gates (20%). Le nouveau président américain Joe Biden incarne quant à lui l'espoir, puisque 14% voient en lui le premier leader à pouvoir agir sur les questions climatiques alors qu'il vient seulement de commencer son mandat (4ème personnalité citée par les sondés) ;
  • 62 % des consommateurs sont convaincus que les économies mondiales ont tout à gagner en investissant dans les énergies renouvelables, qui seraient, pour 53% des répondants, créatrices d'emploi ;
  • 77% des personnes interrogées admettent avoir réalisé des ajustements pour rendre leur vie quotidienne plus écologique : en optant pour des ampoules basse consommation (57%) ou encore en achetant des objets ménagers économes en énergie (44%) ;
  • Les marques ne sont pas étrangères au débat, mais ne doivent pas tomber dans le piège du greenwashing : 69% des consommateurs avouent préférer les marques dites responsables et 54% s'accordent à dire que cela justifie une dépense supplémentaire. Néanmoins, 76% des personnes interrogées- à l'échelle mondiale - affirment que les entreprises disent se préoccuper pour la planète alors qu'il ne s'agit que de belles paroles dénuées de toute action.

 

directeur de projet sap pour un cdi client final

Nous cherchons pour notre client dans le département 73 ou 74 les 2 sites sont possibles
 
un directeur de projet SAP pour un cdi 80/90 ke  (cdi client final)
l'éuipe interne et externe est de 15 personnes
vous dépendez du DSI
le poste est à pourvoir sous envion 1 à 3 mois
 
Etes vous actuellement à l'écoute du marché ? Dans l'affirmative merci de nous envoyer votre CV
 
NB : Il ne sera pas possible d'intervenir en mode prestation de service/freelance
NB : Il ne sera pas possible d'habiter dans un autre département que le 74 - 73 (par exemple, Lyon ou Grenoble n'est pas possible) 
 
 

Hervé Dulaire

IT Resourcer

ITProject-search

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Malgré une activité en berne, les chauffeurs VTC restent attachés à leur indépendance
 
EURECAB, 1er réseau éthique et écologique de VTC indépendants dévoile les résultats de son sondage* mené auprès de 260 chauffeurs partout en France

Les chauffeurs VTC en France sont mis à rude épreuve depuis plus d'un an avec l'arrivée de la Covid-19 et la crise économique que le virus a engendré. Pourtant l'étude* menée par Eurecab auprès de 260 chauffeurs montre qu'ils ne sont pas « pour » un changement de statut. Seulement 7% souhaiteraient par exemple être salariés d'une plateforme VTC et ils sont 40,5 % à vouloir garder leur statut actuel.
Retour sur les résultats en détail ci-dessous.
 
*Méthodologie : sondage réalisé du 31 mars au 6 avril 2021 auprès de 260 chauffeurs partout en France.
 
Le secteur du VTC en crise…
Même si les restrictions ont été allégées depuis le début de l'année, les chauffeurs VTC interrogés ont vu leur chiffre d'affaires dégringoler.
Ils sont 64% à constater une baisse de plus de 80% de leur CA, notamment liée à la mise en place du couvre-feu à 18h.
Et le fait que celui-ci ait été décalé à 19h depuis le 20 mars, n'a eu pour ainsi dire aucun effet, puisqu'ils sont près de 90% à déclarer que ce nouvel horaire n'a pas permis d'augmenter leur CA.
 
70% affirment également que leur manque à gagner par rapport à 2019 est d'au moins 80% ou plus et près d'un tiers n'ont pas travaillé la semaine dernière (du 22 au 28 mars 2021).
 
A la question : « Avez-vous eu recours au Fonds de Solidarité ? », la balance est quasi à l'équilibre : 52% indiquent « oui » contre 48% « non ».
 
Enfin, ils sont plus de 40% à penser très fortement à prendre une activité professionnelle en parallèle pour s'en sortir et près de 20% en ont déjà une autre.

Attachés à leur statut : des résultats surprenants !
L'étude menée par Eurecab a souhaité aussi les interroger sur leur statut actuel, notamment avec le débat en cours sur le projet d'ordonnance qui leur permettrait d'élire des représentants pour négocier leurs droits sociaux.
 
A cette question, près de 37% sont « pour » et souhaitent pouvoir voter des représentants pour mieux les défendre. Mais une partie d'entre eux sont aussi très mitigés et n'y croient pas vraiment : élire des représentants, oui, mais auront-ils suffisamment de pourvoir pour vraiment négocier leurs droits, 35% en doutent.
 
A la question « Si demain vous pouviez choisir, quel statut préférez-vous ? », les résultats sont sans appel :
  • 40,5% d'entre eux souhaitent garder leur statut actuel
  • 36% souhaitent rester entrepreneur et garder la main sur leur activité tout en devenant « associé » de la plateforme avec laquelle ils travaillent (ce qui implique une rétribution en tant qu'associé)
  • 14,7% optent pour un statut hybride qui allierait le statut d'auto-entrepreneur aux avantages d'un salarié
  • Et… seulement 7% souhaiteraient devenir salarié d'une plateforme VTC
Ainsi une autre forme de « partenariat » se dessine, et elle est possible ! Depuis décembre 2020, Eurecab a ouvert son capital et une partie de sa valeur a été distribué à plus de 100 chauffeurs. La société prévoit dès le retour à la normale de l'activité d'accélérer son programme d'intéressement pour atteindre plus de 1000 chauffeurs à la fin de l'année.
 
Cette rétribution gratuite, sans engagement, ni démarches administratives pour le chauffeur est un juste retour des choses car ce sont bien les chauffeurs qui contribuent au succès d'Eurecab et de toutes les plateformes VTC en général. *plus de détail sur demande
 
« A travers cette opération, nous avons voulu redonner aux chauffeurs la possibilité de se construire un avenir. Pour la première fois, le chauffeur est libre de fixer ses prix, de fidéliser des clients et maintenant de se construire un capital ». Indique Théodore Monzies, co fondateur d'Eurecab et il ajoute : « actuellement, les chauffeurs travaillant pour les plateformes sont des sous-traitants qui ne décident de rien du tout. Nous voulons transformer ces exécutants en véritables entrepreneurs. Non seulement cette opération s'inscrit pleinement dans notre démarche RSE, mais nous espérons également en tirer des bénéfices directs grâce à la fidélisation et à l'implication des chauffeurs. »
 
Dans une incertitude
Enfin, à l'ultime question : « avez-vous confiance en l'avenir de votre activité pour la deuxième moitié de 2021 ? », près de 40% des chauffeurs répondent ne pas savoir. Impossible pour eux, avec le contexte actuel, de se projeter même si la campagne de vaccination bat son plein, les chauffeurs interrogés restent prudents.
 
www.eurecab.com
 
A propos d'Eurecab
L'entreprise parisienne Eurecab a été créée en 2015 par Théodore Monzies et Cédric Van Daele. La start-up a élaboré l'unique comparateur de taxi/VTC avec réservation en France.
Eurecab a ouvert son site internet à l'été 2015 et son application sur smartphone est disponible depuis fin 2017. La plateforme compte déjà plus de 100 000 clients dans l'hexagone, plus de 1000 chauffeurs indépendants actifs. Eurecab ambitionne de se développer à l'international.
Site Web : https://www.Eurecab.com/
 
 
Généralisation du télétravail : que devient le bureau ?
  • 36 % des entreprises s'apprêtent à réduire leur surface de bureaux (source BNP Parisbas Real Estate)
  • Le bureau devient un lieu de collaboration plus que de production.
  • Quelle évolution pour les espaces co-working ?

 

 

Résultats de l’enquête YouGov pour LEMON.fr : parents, enfants et téléphone portable

résultats de l’enquête menée par l’institut YouGov pour le comparateur de forfaits téléphone et box internet LEMON.fr sur le rapport des parents au téléphone de leurs enfants.

Outil pratique pour joindre et être joint, le smartphone offre aujourd’hui aux plus jeunes de multiples possibilités.

  • Plus de la moitié des répondants estiment que l’on peut confier un portable dès 12 ans ou plus jeune,
  • 93% des parents disent connaître au moins une ou plusieurs des applications utilisées par leur enfant,
  • 65% pensent que leur enfant leur cache tout ou partie de l’utilisation qu’il fait de son téléphone.

Cette méconnaissance et certaines dérives qui se développent sur les réseaux expliquent les craintes exprimées par les parents :

  • Près de 80% d’entre eux que leur enfant puisse être harcelé ou harceleur via son smartphone,
  • Plus d’un parent sur deux dit appréhender la diffusion de photos intimes,
  • 47% des personnes interrogées supposent que leur enfant mineur a déjà eu accès à des contenus pornographiques sur son smartphone.

Néanmoins, il reste au moins un point sur lequel les parents ne transigent pas :

  • Plus de 80% d’entre eux interdisent le téléphone portable à table !

 

 

Etude Drimki x BVA : En 2021, 40% des acheteurs potentiels sont des primo-accédants.

Après une année 2020 marquée par la crise sanitaire, DRIMKI, spécialiste de l'estimation immobilière, et l'institut BVA ont lancé la 6ème vague de leur indicateur* afin de lever le voile sur les projets immobiliers des français pour 2021 :

Ci-dessous les chiffres saillants de l'indicateur : 

  • 1 français sur 6 a toujours un projet immobilier dans les 12 mois
  • 40% des répondants envisagent d'acheter leur premier bien immobilier en 2021, contre 35% en 2020.  
  • 60% d'entre eux sont des jeunes (25-34 ans) 
  • 19% des futurs acquéreurs envisagent de s'installer en région parisienne
  • 1 français sur 2 déclare avoir fait évoluer son projet immobilier en 2021                      
  • 22% ont changé d'intention sur le type de logement recherché 
  • 21% des changements concernent le lieu
  • 13% des répondants ont l'intention d'acquérir une résidence secondaire 

Les restrictions sanitaires et l'arrivée du soleil n'ont pas découragé les français : l'acquisition d'une résidence secondaire est le meilleur moyen de prendre un bol d'air frais, du temps où les voyages sont difficilement concevables.  

Pour approfondir ce sujet ou discuter de différents angles concernant le secteur de l'immobilier, je vous propose de vous mettre en relation avec Olivier Colcombet, Président de Digit RE group et membre de l'UNIS Syndicat Immobilier. 

Si cela vous intéresse, il est également possible d'obtenir des témoignages d'agents ou de français qui ont un projet immobilier (dans n'importe quelle région de France).

Au plaisir d'en discuter ensemble,
Belle journée,

Karim                    

*Étude réalisée par BVA pour DRIMKI (disponible sur demande), du 3 février au 4 février sur un échantillon de 900 personnes âgées de 25 ans et plus, issues d'un échantillon global de 1002 personnes représentatif de la société française âgée de 18 ans et plus

 

Malgré une activité en berne, les chauffeurs VTC restent attachés à leur indépendance
 
EURECAB, 1er réseau éthique et écologique de VTC indépendants dévoile les résultats de son sondage* mené auprès de 260 chauffeurs partout en France

Les chauffeurs VTC en France sont mis à rude épreuve depuis plus d'un an avec l'arrivée de la Covid-19 et la crise économique que le virus a engendré. Pourtant l'étude* menée par Eurecab auprès de 260 chauffeurs montre qu'ils ne sont pas « pour » un changement de statut. Seulement 7% souhaiteraient par exemple être salariés d'une plateforme VTC et ils sont 40,5 % à vouloir garder leur statut actuel.
Retour sur les résultats en détail ci-dessous.
 
*Méthodologie : sondage réalisé du 31 mars au 6 avril 2021 auprès de 260 chauffeurs partout en France.
 
Le secteur du VTC en crise…
Même si les restrictions ont été allégées depuis le début de l'année, les chauffeurs VTC interrogés ont vu leur chiffre d'affaires dégringoler.
Ils sont 64% à constater une baisse de plus de 80% de leur CA, notamment liée à la mise en place du couvre-feu à 18h.
Et le fait que celui-ci ait été décalé à 19h depuis le 20 mars, n'a eu pour ainsi dire aucun effet, puisqu'ils sont près de 90% à déclarer que ce nouvel horaire n'a pas permis d'augmenter leur CA.
 
70% affirment également que leur manque à gagner par rapport à 2019 est d'au moins 80% ou plus et près d'un tiers n'ont pas travaillé la semaine dernière (du 22 au 28 mars 2021).
 
A la question : « Avez-vous eu recours au Fonds de Solidarité ? », la balance est quasi à l'équilibre : 52% indiquent « oui » contre 48% « non ».
 
Enfin, ils sont plus de 40% à penser très fortement à prendre une activité professionnelle en parallèle pour s'en sortir et près de 20% en ont déjà une autre.

Attachés à leur statut : des résultats surprenants !
L'étude menée par Eurecab a souhaité aussi les interroger sur leur statut actuel, notamment avec le débat en cours sur le projet d'ordonnance qui leur permettrait d'élire des représentants pour négocier leurs droits sociaux.
 
A cette question, près de 37% sont « pour » et souhaitent pouvoir voter des représentants pour mieux les défendre. Mais une partie d'entre eux sont aussi très mitigés et n'y croient pas vraiment : élire des représentants, oui, mais auront-ils suffisamment de pourvoir pour vraiment négocier leurs droits, 35% en doutent.
 
A la question « Si demain vous pouviez choisir, quel statut préférez-vous ? », les résultats sont sans appel :
  • 40,5% d'entre eux souhaitent garder leur statut actuel
  • 36% souhaitent rester entrepreneur et garder la main sur leur activité tout en devenant « associé » de la plateforme avec laquelle ils travaillent (ce qui implique une rétribution en tant qu'associé)
  • 14,7% optent pour un statut hybride qui allierait le statut d'auto-entrepreneur aux avantages d'un salarié
  • Et… seulement 7% souhaiteraient devenir salarié d'une plateforme VTC
Ainsi une autre forme de « partenariat » se dessine, et elle est possible ! Depuis décembre 2020, Eurecab a ouvert son capital et une partie de sa valeur a été distribué à plus de 100 chauffeurs. La société prévoit dès le retour à la normale de l'activité d'accélérer son programme d'intéressement pour atteindre plus de 1000 chauffeurs à la fin de l'année.
 
Cette rétribution gratuite, sans engagement, ni démarches administratives pour le chauffeur est un juste retour des choses car ce sont bien les chauffeurs qui contribuent au succès d'Eurecab et de toutes les plateformes VTC en général. *plus de détail sur demande
 
« A travers cette opération, nous avons voulu redonner aux chauffeurs la possibilité de se construire un avenir. Pour la première fois, le chauffeur est libre de fixer ses prix, de fidéliser des clients et maintenant de se construire un capital ». Indique Théodore Monzies, co fondateur d'Eurecab et il ajoute : « actuellement, les chauffeurs travaillant pour les plateformes sont des sous-traitants qui ne décident de rien du tout. Nous voulons transformer ces exécutants en véritables entrepreneurs. Non seulement cette opération s'inscrit pleinement dans notre démarche RSE, mais nous espérons également en tirer des bénéfices directs grâce à la fidélisation et à l'implication des chauffeurs. »
 
Dans une incertitude
Enfin, à l'ultime question : « avez-vous confiance en l'avenir de votre activité pour la deuxième moitié de 2021 ? », près de 40% des chauffeurs répondent ne pas savoir. Impossible pour eux, avec le contexte actuel, de se projeter même si la campagne de vaccination bat son plein, les chauffeurs interrogés restent prudents.
 
www.eurecab.com
 
A propos d'Eurecab
L'entreprise parisienne Eurecab a été créée en 2015 par Théodore Monzies et Cédric Van Daele. La start-up a élaboré l'unique comparateur de taxi/VTC avec réservation en France.
Eurecab a ouvert son site internet à l'été 2015 et son application sur smartphone est disponible depuis fin 2017. La plateforme compte déjà plus de 100 000 clients dans l'hexagone, plus de 1000 chauffeurs indépendants actifs. Eurecab ambitionne de se développer à l'international.
Site Web : https://www.Eurecab.com/
 
 
 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Sous embargo jusqu’au 15 avril 2021 à 6 heures

 
 

Paris, le 14/04/2021

 
 

Familles monoparentales : un sentiment de vulnérabilité

et une attente forte de soutien à la parentalité

 

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie une nouvelle étude afin de comparer l’opinion des familles monoparentales à celle des autres ménages concernant les inégalités et le système de protection sociale et de santé.

 

Pour réaliser cette étude, la DREES a cumulé les six dernières vagues (2014-2019) de son Baromètre d’opinion, qui suit chaque année l’opinion des Français sur les politiques sociales et de santé.

Constituant un quart des familles avec enfant(s), les familles monoparentales sont particulièrement exposées aux situations de précarité en raison de ressources financières moindres et d’un risque de chômage plus élevé que celles formées d’un couple avec enfant(s). Elles sont d’autant plus fragilisées qu’elles dépendent souvent de pensions alimentaires pouvant représenter une part conséquente de leurs ressources financières et dont le versement n’est pas toujours assuré. Les parents isolés se heurtent aussi à des difficultés dans la gestion du quotidien, notamment dans la conciliation entre leurs vies professionnelle et familiale.

 

Une vision plus sombre sur leur situation actuelle, leur avenir et la société

Parmi les familles monoparentales, 62 % considèrent que leur situation actuelle est bonne, contre 85 % des parents en couple et 77 % des personnes sans enfant (personnes vivant seules, en couple ou dans une autre configuration familiale). De plus, 55 % des parents isolés considèrent que leur situation est meilleure ou identique à celle de leurs parents, contre 71 % des parents en couple et 67 % des personnes sans enfant.


De manière générale, les familles monoparentales sont un peu plus préoccupées par l’avenir : 50 % sont pessimistes à ce sujet contre 45 % parmi les autres ménages. Toutefois, elles ne sont pas beaucoup plus inquiètes que les parents en couple sur l’avenir de leur(s) enfant(s) : 65 % contre 63 %. Par rapport aux autres ménages, les familles monoparentales considèrent plus souvent que la société est plutôt injuste (84 % contre 77 %) et « qu’il faut radicalement la changer » (31 % contre 26 %).

 

Généralement plus pauvres, les parents isolés demandent un haut niveau d’aides sociales
Plus de quatre parents isolés interrogés sur dix font partie des 20 % des ménages au niveau de vie le plus bas, c’est deux fois plus que les parents en couple. En conséquence, la dépendance des parents isolés aux prestations sociales est plus élevée que les autres ménages : 57 % d’entre eux déclarent percevoir des allocations logement et 23 % le RSA, contre respectivement 26 % et 8 % parmi l’ensemble des autres ménages. Globalement, 31 % d’entre eux se considèrent comme pauvres, soit trois fois plus que les couples avec enfants.

Les familles monoparentales déclarent bien plus souvent (64 % contre 55 % parmi les couples avec enfant(s)) qu’il est plus important de maintenir les prestations sociales et les remboursements d’assurance maladie au niveau actuel que de prendre des mesures pour réduire le déficit de la Sécurité sociale. Parmi les parents isolés, 62 % considèrent qu’ils auraient besoin d’être davantage aidés, ce qui n’est le cas que de 51 % des parents en couple. Elles sont plus nombreuses (34 % d’entre elles, contre 25 % des autres ménages) à mettre en avant l’augmentation des prestations (allocations logement ou familiales, minima sociaux…) et accepteraient moins l’idée d’une baisse des allocations logement et familiales en contrepartie d’une baisse des impôts ou des cotisations.

 

Un besoin de soutien dans l’éventualité de conflits familiaux ou de rupture
De fait, étant seules au quotidien pour s’occuper de leur(s) enfants, les familles monoparentales ressentent plus souvent le besoin d’être accompagnées dans leur rôle de parents dans les relations avec l’école et dans ce qu’il faut permettre ou interdire à ses enfants.
Parmi les parents isolés, 46 % auraient aimé ou aimeraient recevoir une aide dans les relations avec l’école, contre 36 % parmi ceux en couple. À sexe, niveau de vie et nombre d’enfants identiques, le fait d’être un parent isolé augmente la probabilité de souhaiter être accompagné dans les relations avec l’école (+6 points). Concernant la gestion de l’autorité dans son rôle de parent, un tiers des parents isolés auraient aimé ou aimeraient recevoir un accompagnement, contre un quart des parents en couple. Une fois les caractéristiques sociodémographiques des enquêtés prises en compte, ce souhait d’accompagnement dans la gestion de l’autorité parmi les familles monoparentales reste supérieur de 6 points à celui des couples avec enfants.

 

Méthodologie :
Depuis sa mise en place en 2000, l’enquête annuelle du Baromètre d’opinion se déroule en face à face auprès d’un échantillon d’au moins 3 000 individus, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Cet échantillon a été construit selon la méthode des quotas. La très grande majorité des questions sont posées tous les ans (ou parfois tous les deux ans), ce qui permet, d’une part, de suivre l’évolution des opinions des individus, et d’autre part, de mobiliser plusieurs vagues d’enquête pour étudier des populations spécifiques peu nombreuses. Afin de disposer d’effectifs suffisants pour comparer l’opinion des parents isolés à celle des autres ménages (en couple ou non, avec ou sans enfants) sur les questions de politiques sociales et familiales, les six dernières vagues d’enquête ont été regroupées (2014-2019), totalisant 12 140 individus dont 1 170 familles monoparentales.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 
 

 

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Ce qui change en avril 2021

Publié le 15 avril 2021

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AVIS DE DIFFUSION

 
 

Paris, le 16/04/2021

 
 

Les comptes de la protection sociale en France en 2019 :

des nouvelles données disponibles

 

La DREES met à jour les données des comptes de la protection sociale (CPS) avec des informations disponibles jusqu’en 2019. Ces comptes sont réalisés chaque année pour la France, sur un champ couvrant l’ensemble des régimes et des risques de la protection sociale. Ils fournissent une estimation des dépenses et des recettes de protection sociale et de leur évolution dans le temps, avec des séries couvrant la période 1959-2019. La DREES actualise également ses analyses comparatives avec les autres états membres de l’Union européenne en matière de protection sociale.

 

En 2019, le solde de la protection sociale continue de s’améliorer. Il est excédentaire pour la troisième année consécutive (+13,3 milliards d’euros), ce qui s’explique par le dynamisme des ressources (impôt, taxes, cotisations, etc.). Celles-ci progressent de 2,7 % contre 2,3 % pour les dépenses (prestations sociales).

 

Le montant des ressources s’établit à 822 milliards d’euros avec une structure qui se modifie : la part des impôts et taxes affectés augmente de 24 % en 2017 à 30 % en 2019, tandis que celle des cotisations diminue de 61 % à 55 %. En 2018, cette bascule était liée à l’exonération de cotisations salariales chômage et maladie, dont la suppression a été compensée par la hausse de la contribution sociale généralisée (CSG). En 2019, la poursuite des allègements de cotisations sociales d’employeurs est contrebalancée par l’affectation d’une plus grande part de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) au financement de la protection sociale.

 

Les dépenses s’élèvent à 809 milliards d’euros en 2019, dont 762 milliards de prestations sociales. Les prestations liées à la santé et aux retraites, qui représentent 80 % du total, restent dynamiques. Par ailleurs, les dépenses de lutte contre la pauvreté bondissent sous l’effet de la forte revalorisation et de l’élargissement de la prime d’activité décidés dans le cadre des mesures d’urgence économiques et sociales.

 

En 2019, la France a consacré 31,4 % du produit intérieur brut (PIB) aux prestations de protection sociale, un niveau stable par rapport à 2018. La France est toujours le pays d’Europe qui consacre le plus de moyens à la protection sociale rapportés au PIB.


Consulter la présentation des CPS.

Les séries historiques des CPS de 1959 à 2019 sont accessibles sur l'espace DATA.DREES dans le jeu de données «les comptes de la protection sociale».

 

Une mise à jour de ces données incluant l’année 2020 sera disponible à l’automne 2021, au moment de la parution du prochain ouvrage consacré à la Protection sociale en France et en Europe.

 

Pour en savoir plus
Consulter
« Compte provisoire de la protection sociale : un solde excédentaire pour la troisième année consécutive » ; études et résultats.
« La protection sociale en France et en Europe en 2018, résultats des comptes de la protection sociale, édition 2020 »
Sous la direction de Lucie Gonzalez, Jean-Cyprien Héam, Myriam Mikou et Mickaël Portela, coordonné par Léa Mauro, Francisco Pichott et Céline Pilorge (DREES).
Collection Panoramas de la DREES-social, édition 2020. Juin 2020

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 

Recruter ses talents, toujours un défi en 2021 ? / Data Legal Drive

La crise sanitaire a fait bouger les lignes. Entre la généralisation du télétravail et la constante et persistante pénurie de candidats qualifiés, recruter des développeurs en France se révèle être toujours aussi difficile. Les RH ouvrent désormais les frontières à l'international pour trouver la parle rare et en 2021, recruter en visio n'est donc plus un frein, bien au contraire.
 
C'est donc dans cette dynamique inédite que Data Legal Drive a décidé de recruter massivement outre Atlantique et notamment au Brésil, ses derniers développeurs.
En tant que Legalteh, Data Legal Drive se positionne comme un précurseur en la matière et ne semble constater pour l'heure aucun obstacle tant sur l'intégration des nouvelles recrues que sur les résultats attendus par ces talents rares.

 

1 Français sur 3 a intensifié ses recherches d'emploi pour s'intaller dans une nouvelle région

 

Rennes, 16 avril 2021 – Les confinements successifs et l'essor du télétravail auraient-ils donné des envies de changer de région ?HelloWork, acteur digital N°1 de l’emploi, du recrutement et de la formation en France, avait sondé en avril 2020 1 015 salariés en poste pour comprendre en quoi cette crise sanitaire bousculait leur rapport à la mobilité professionnelle. Qu’en est-il un an après ? 1 005 salariés en poste et 384 recruteurs ont partagé leur ressenti sur leur rapport au travail et leur envie de mobilité.

 

 

Les grands enseignements :

  • 1 actif sur 2 a intensifié ses recherches depuis la crise en raison d’une envie d’un nouveau projet professionnel
  • 1 sur 3 a intensifié ses recherches par le souhait de vivre ailleurs
  • 94% des recruteurs interrogés ont continué d’embaucher pendant la crise
  • 85% des DRH estiment que les attentes des candidats ont évolué les rendant plus exigeants sur les conditions du poste proposé

 

Une recherche de mobilité qui s’accentue…

 

La crise sanitaire est clairement à l’origine de cette forte mobilité : elle a poussé un répondant sur deux à intensifier ses recherches, 11% à les diminuer ou à les stopper (VS 48% dans cette situation en avril 2020).

 

Les raisons principales de cette envie d’ailleurs reposent avant tout sur la prise de conscience de nouvelles appétences ou d’un nouveau projet (53%), devant la manière dont leur entreprise actuelle a géré la situation (36%) et l’envie de déménager dans une nouvelle région (36%). Ceux qui ont diminué ou arrêté leurs recherches l’ont fait principalement car la situation économique et sanitaire n’était pas en phase avec leur nouveau projet professionnel (50%), parce que leur moral était affecté par la situation actuelle (49%), ou parce que leur secteur semble particulièrement touché par la crise (35%).

… des recrutements qui se poursuivent

Si les envies sont clairement là, cela n’est pas (encore) très visible dans les entreprises. En effet, si 34% des professionnels des RH interrogés ont remarqué un turn-over, il est aussi bien à la hausse qu’à la baisse (17% chacun). Si 94% des DRH interrogés ont continué de recruter depuis de la crise, autant qu’avant-crise pour la majorité, voire plus, pour 15% d’entre eux, 31% moins qu’avant et 47% à un niveau comparable.

Du côté des équipes RH, elles sont 95% à penser que les attentes des salariés ont évolué ! Même constat concernant les candidats : 85% des recruteurs jugent que les attentes des candidats ont changé, et dans la majorité des cas, cela se concrétise par plus d’exigence sur les conditions des postes proposés.

« Malgré ce que l’on aurait pu croire, les salariés ne font pas preuve d’attentisme dans cette crise, bien au contraire, ils ont des projets, des envies d’ailleurs, de mobilité, ils accélèrent leurs recherches, leurs projets professionnels. Les entreprises ont suivi la même tendance : elles ont continué à recruter dans leur grande majorité et observent que les candidats sont de plus en plus attentifs aux conditions du poste, le télétravail est désormais devenu central, le rapport au travail n’est plus le même comme le démontrent les résultats de cette enquête. Les entreprises, pour répondre aux attentes de leurs salariés et futurs salariés, vont devoir se démarquer en mettant en avant leur culture d’entreprise et par conséquent, tenir un discours de « réalité employeur » en phase avec celle-ci » déclare David Beaurepaire, directeur délégué chez Hellowork.

 

Méthodologie

 

Méthodologie : Enquêtes réalisées du 15 février au 4 mars 2021 auprès de panels de 384 professionnels des RH et de 1 005 salariés en poste.

A propos de HelloWork

 

HelloWork, le premier acteur digital français de l’emploi, du recrutement et de la formation, accompagne les actifs tout au long de leur vie professionnelle, les entreprises, cabinets de recrutement, ETT sur leurs enjeux RH et recrutement et les centres de formation/écoles sur la valorisation de leurs offres de formation. Les services HelloWork génèrent + de 2 000 recrutements par jour. *

 

Fort de 350 collaborateurs, 51 millions € de commandes en 2020, HelloWork accompagne 11 000 clients. Les différentes plateformes d’HelloWork ont réuni 4,4 millions de Visiteurs Uniques en septembre 2020 (Médiametrie//NetRatings - Mesure Internet Global).

 

HelloWork édite :

  • les plateformes emploi et recrutement : Cadreo.comJobijoba.comParisjob.comRegionsjob.com;
  • la plateforme dédiée à la formation professionnelle MaFormation.fr 
  • la plateforme dédiée à l’orientation pour l’enseignement supérieur Diplomeo
  • BDM, le media de référence pour les professionnels du web et BDM/tools,

HelloWork développe des solutions RH pour accompagner et favoriser l'expérience recruteur et candidat sur l'intégralité des process de recrutement :

  • CVCatcher, logiciel RH de captation de CV et JAI, le chatbot spécialisé dans le recrutement
  • Holeest, solution programmatique RH
  • Seekube, le spécialiste de l’évènement digital RH
  • SmartForum, solutions digitales emploi et attractivité pour les collectivités territoriales, salons et forums
  • Talent Detection, solution de gestion de candidatures,
  • Talentplug, solution de multi-diffusion d’offres d’emploi et de stages,

 

HelloWork est une société du Groupe Télégramme.

 

* Sur un échantillon de 490 000 répondants, data récoltées sur une période de 6 mois en 2020.