clin d'oeil à Pierre-Jean Llorens pour son active participation..

Imagino livre les 6 tendances 2021 de la relation client

Avec la crise sanitaire mondiale, les entreprises ont dû se réinventer, notamment en accélérant leur transformation digitale. Si le numérique est désormais bien ancré dans le quotidien des consommateurs, ces derniers sont aussi plus avertis sur leurs droits et l'utilisation faite de leurs données. C'est dans ce contexte qu'imagino, la customer data platform qui permet aux entreprises de donner du sens à leurs données client et de les rendre compréhensibles et accessibles aux départements marketing, prépare l'avenir en présentant les 6 grandes tendances de la relation client 2021.

1) L'accélération de la mue digitale
L'importance et l'urgence de se digitaliser pour les entreprises n'est plus à démontrer. Cependant, elles n'ont pas encore toutes intégré cette dimension digitale dans leur stratégie. Faute de temps ou encore de moyens, avec la crise que nous traversons, elles n'ont désormais plus le choix. Si les entreprises ont dû trouver des solutions rapides pour continuer à vendre leurs produits et services, il est certain que ces nouvelles pratiques se perpétueront et se renforceront à l'avenir. 2021 marquera encore une nouvelle étape dans la transformation digitale des entreprises.

2) Le recentrage des marques sur leurs clients existants
Après des mois de confinement, de nombreux consommateurs ont pris de nouvelles habitudes, les postes de dépenses ont parfois radicalement changés. En 2021, les marques devront reconquérir leurs propres clients, leur donner à nouveau envie de consommer leurs produits et services grâce à la mise en place de nouveaux programmes qui leur seront dédiés. Les investissements vont se porter vers des programmes et des nouveaux outils de fidélisation tout particulièrement dans les domaines très touchés lors de la crise sanitaire comme les loisirs, le tourisme ou encore la culture. Une logique de rentabilité immédiate va dominer et il est beaucoup moins couteux d'adresser un message commercial à un client existant que de toucher et convaincre un prospect.

3) Une prise de conscience des consommateurs : fin de la donnée « third party » !
Les consommateurs sont de plus en plus avertis sur ce qui concerne l'exploitation de leurs données personnelles et c'est une très bonne chose. La législation s'est aussi emparée du sujet depuis plusieurs années. Aujourd'hui, le règlement européen GDPR sur les données personnelles vient affirmer et uniformiser le droit européen sur le sujet. A ce titre, les données « third party » (données de ciblage publicitaire ou marketing Internet qui sont fournies à l'annonceur par une société tierce autre que l'éditeur utilisé comme site support pour une campagne) sont en fin de vie. 2021 connaitra un retour en force de la donnée « first party », les données que la marque collecte pour son compte et possède en propre. Afin d'améliorer encore la collecte de ces données « first party », les sites internet des marques obligeront de plus en plus leurs clients et prospects à s'identifier pour accéder aux services ou produits proposés.

4) Vers un rapatriement des données européennes hébergées aux US
Avec l'annulation du Safe Harbor en 2015 et la décision de 2020 de mettre fin au Privacy Shield, la Cour de justice de l'Union Européenne met un coup d'arrêt définitif aux transferts de données personnelles vers les États-Unis, qu'elle juge insuffisamment encadrés. Cette décision oblige désormais les entreprises à revoir rapidement leurs pratiques et bien choisir leurs fournisseurs. Même si un temps de latence est toujours observé pour la mise en place effective de ce type de mesure, 2021 marquera le rapatriement de l'hébergement de nombreuses données client des Etats Unis vers l'Europe. La fin de la récréation va être sifflée pour les données baladeuses !

5) S'appuyer toujours plus sur les « feedbacks » clients
L'amélioration de l'expérience et de la satisfaction client passe par la prise en compte de la voix du client, par le déploiement d'outils marketing qui facilitent la collecte et l'analyse des avis et retours clients, afin d'améliorer encore l'expérience proposée par les marques. 2021 sera une année cruciale pour beaucoup de secteurs qui ont essuyé un retard de ventes en 2020 à cause de la crise que nous connaissons tous. Les entreprises vont aller un cran plus loin dans les « feedbacks » clients et ne se contenteront plus uniquement du recueil des informations. Le traitement des informations et le retour fait au client sera de plus en plus personnalisé, avec la création de programmes relationnels dédiés. 2021 sera l'année de la prise en compte industrielle de la « voix du client ».

6) Le marketing en temps réel
Dans un monde de plus en plus concurrentiel où l'offre dépasse la demande, notamment sur Internet, et où les consommateurs attendent toujours plus de réactivité, les entreprises ont besoin de se démarquer. D'après une étude Mckinsey, en 2018, 75 % des acheteurs en ligne s'attendent à ce qu'on réponde à leur question dans les 5 minutes ! Les consommateurs sont de plus en plus impatients et considèrent les délais d'attente comme une source majeure de frustration, tout particulièrement dans le secteur de la distribution. Tout cela, les marques l'ont bien compris et la tendance 2021, sera pour les entreprises qui ne le sont pas encore, de s'équiper des bons outils en intégrant le temps réel à leur stratégie de contenu, en améliorant les fonctionnalités omnicanales, en repoussant toujours plus les limites de la personnalisation et pourquoi pas en investissant dans l'IA. Le marketing glisse inexorablement vers le temps réel sous l'impulsion des clients !

2021 sera une année déterminante pour les marques dans leur capacité à s'adapter aux nouveaux comportements des consommateurs et à prendre définitivement le virage du digital. Avoir une plateforme e-commerce attrayante ne sera plus suffisant, les nouveaux consommateurs souvent adeptes des nouvelles technologies veulent communiquer différemment avec les marques : plus rapidement et plus facilement, de n'importe où et à n'importe quel moment.
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À propos d'imagino
imagino permet aux entreprises de reprendre le contrôle de leurs données client et de rendre cette donnée compréhensible et accessible aux départements marketing, finance, service client. Par un procédé automatique de découverte des données, la possibilité de lier des bases distinctes entre elles, imagino simplifie la création de vues client à la demande pour enrichir la donnée, et activer les clients à partir d'informations « first party » pertinentes.
www.imagino.com

 

 

Etude : Les Françaises et la mode durable

 

Plus de 2 Françaises sur 3 détiennent au moins 1 pièce éco-responsable dans leur dressing (67%)

 

Paris, le 18 mars 2020 – Alors que la conscience autour de la consommation de textile se développe, Fairytale.ecoeshop pour femme de mode écoresponsable et éthique, a réalisé une étude avec l’institut Toluna sur la relation des Françaises à la mode durable.

Où habitent les Françaises qui ont le dressing le plus éco-résponsable ? Quelles sont les critères qui retiennent leur attention quand il s’agit de vêtements durables ? Combien sont-elles prêtes à dépenser ? Quelles pièces priorisent-elles ?

 

« Au retour d’un voyage de 18 mois, j’ai pris conscience de l’importance d’acheter des vêtements durables, qui respectent la terre et l’humain. Depuis les marques proposant des vêtements et accessoires dits responsables ne cessent de croître. Les Françaises veulent savoir d’où viennent leurs vêtements et s’assurer qu’ils soient conçus, fabriqués et transportés dans le respect de l’environnement et des normes sociales. C’est une tendance réelle : plus de 2 Françaises sur 3 détiennent au moins 1 pièce éco-responsable dans leur dressing mais chacune l’entend différemment. Nous nous sommes donc interrogés : lorsqu’on construit son dressing éco-responsable, quels sont les critères les plus important ? » souligne Claire Lemarchand, Directrice marketing et co-fondatrice de Fairytale. 

 

Où habitent les Françaises qui ont le dressing le plus éco-responsable ?

 

C’est un fait : 2 femmes sur 3 ont déjà au moins une pièce éco-responsable dans leur dressingFairytale.eco s’est demandé dans quelles régions habitent les Françaises les plus attentives à ce critère d’éco-responsabilité ? Et celles qui ont le dressing le moins éco-responsable ?

 

A la 1ère place du classement, on retrouve à égalité 3 régions : la Nouvelle Aquitaine, l’Occitanie et les Pays de la Loire sont les régions où les femmes ont le dressing le plus éco-responsable.

 

Région

Pourcentage des femmes qui ont au moins 1 produit éco-responsable dans leur dressing

Nouvelle Aquitaine

74%

Occitanie

74%

Pays de la Loire

74%

Normandie

71%

Ile de France

70%

Bretagne

69%

Provences Alpes Côte d’Azur

67%

Hauts de France

64%

Grand Est

63%

Auvergne Rhône-Alpes

62%

Centre Val de Loire

60%

Bourgogne Franche-Comté

57%

 

En 2ème position on retrouve les Normandes qui ont pour 71% d’entre elles au moins une pièce éco-responsable dans leurs placards. Les Franciliennes arrivent à la 3ème place du classement (70%), juste avant les Bretonnes (69%).

 

En dernière position on retrouve les habitantes de la Bourgogne Franche-Comté où seulement 57% des répondantes ont déclaré avoir au moins une pièce éco-responsable dans leur dressing.

 

Mode : ce que veulent les femmes : qualité et durabilité

 

 

Pour plus de 8 femmes sur 10, la qualité et durabilité des vêtements est un critère important voire très important lors d’un achat de textile éco-responsable. Les consommatrices d’aujourd’hui ne veulent plus refaire leurs garde-robes chaque année : les Françaises veulent des pièces qui sont confortables et qui vont durer dans le temps.

 

Ensuite, dans les critères priorisés pour constituer son dressing éco-responsable, on retrouve à égalité les conditions de travail des employés qui fabriquent les vêtements et la matière de la pièce (80%).

 

Le pays de production arrive en 3ème position, probablement sous l’influence des multiples campagnes autour du « made in France » visibles depuis quelques années. Les Françaises veulent favoriser le circuit court et souhaitent encourager l’économie locale.

 

Enfin, on retrouve à la 4ème position les labels et certifications. Ces outils sont pourtant très utiles pour repérer des vêtements durables, mais peut-être manquent-ils de clarté pour le grand public ?

 

Le prix : frein numéro 1 aux achats eco-responsables

 

Aujourd’hui, près d’1 Française sur 3 estimes avoir un dressing pas du tout éco-responsable. Pourquoi ? Quels sont les freins ? C’est ce que Fairytale.eco révèle.

Sans surprise, le prix est le principal frein à l’achat de vêtements éco-responsables et éthiques (35%). Viennent ensuite, pour 18% des répondantes, le manque d’informations claires sur les produits ainsi que le fait de ne pas savoir où chercher pour 15% d’entre elles. Enfin, 13% des femmes interrogées déclarent que c’est le style qui les freine et 10% d’entre elles évoquent la crainte du greenwashing.

 

Mais alors, combien les Françaises sont-elles prêtes à payer pour un t-shirt éco-responsable, premier achat envisagé sous le prisme de l’éco-responsabilité selon le sondage ? 63% des répondantes aimeraient payer moins de 20 euros, 29% sont prêtes à dépenser entre 21 et 34 euros et seulement 8% acceptent de payer plus de 35 euros.

 

Classement des articles par ordre de priorité lorsqu’on construit son dressing éco-responsable

 

Classement (par ordre de priorité)

Produits

Pourcentage

1

T-shirt

57%

2

Pantalon/jean

55%

3

Pull

40%

4

Chaussures

27%

5

Robe/jupe

26,3%

6

Lingerie

23%

7

Sac à dos/sac à main

17%

 

 










*Méthodologie : enquête menée avec l’institut de sondage Toluna auprès de 1050 répondantes résidantes en France, entre 18 et 65 ans.

 

 

À propos de Fairytale.eco

 

Startup fondée en 2020, Fairytale.eco est une boutique en ligne de mode écologique et éthique pour femme proposant déjà plus de 40 marques engagées.

Véritable garant de l'éthique et de l'éco-responsabilité de chacune des marques disponibles sur son eshopFairytale fait preuve de transparence en détaillant pour tous les produits : la composition, les labels, les conditions de travail des fabricants et l'origine des matières.

 

Une mode optimiste, éco-responsable et éthique pour des femmes qui veulent se sentir belles dans leur style, fière de leurs vêtements et cela, sans culpabiliser.

 

[CP Enquête Ifop x Eve and Co- Les Françaises, la précarité menstruelle

J’ai le plaisir de vous adresser les résultats d’une étude menée par l’IFOP pour Eve and Co sur le rapport des Françaises à leurs règles et à l’utilisation des protections hygiéniques.

A l’heure où l’Ecosse a instauré la gratuité des protections périodiques pour toutes les femmes du pays et où la ministre de l’Enseignement supérieur a décidé de la mise en place de distributeurs de protections gratuites dans les universités françaises pour la rentrée 2021, la question de la précarité menstruelle reste plus que jamais le quotidien de trop nombreuses femmes dans notre pays.

Ainsi, 1 Française sur 3 déclare avoir dû se priver au cours de sa vie d’une protection faute de moyens suffisants. Cette douloureuse réalité touche à l’heure où l’enquête a été réalisée quelque 12% des personnes interrogées, notamment les plus jeunes - 29% des 15-19 ans et 37% des 20-29 ans - et les plus pauvres (48% des femmes percevant moins de 900 € par mois).

Il n’est donc pas étonnant de constater que les femmes plébiscitent les dispositifs qui permettent la mise à disposition gratuite des protections hygiéniques : 92% d’entre elles sont favorables à l’installation de distributeurs gratuits dans les établissements publics, 90% approuvent une mesure identique dans les entreprises et 81% souscrivent à l’idée d’un remboursement par la Sécurité Sociale de toutes les protections hygiéniques. Et 73% d’entre elles disent qu’elles seraient susceptibles d’y avoir recours. La suggestion d’un congé maladie remporte pour sa part une adhésion moindre, mais néanmoins majoritaire, 2 femmes sur 3 y étant favorable.

Pour autant, le coût des protections reste un facteur secondaire (34%) de choix pour les femmes qui privilégient le confort apporté (82%) et le respect de leur santé intime (66%), bien loin devant la préoccupation écologique (33%). Quant au tampon, il est de moins en moins utilisé (19% en 2021 contre 33% en 2004), particulièrement par les jeunes générations, plus méfiantes quant à leur composition, au fait des possibles chocs toxiques qu’il peut engendrer, mais également au courant de solutions alternatives comme la culotte menstruelle.

Les règles ont un impact fort sur la sexualité de nos compatriotes : si 55% d’entre elles s’abstiennent d’avoir des rapports sexuels avec pénétration, 22% ont déjà essuyé un refus de la part de leur partenaire alors qu’elles avaient envie de faire l’amour.

 

L’avis de Marie-Justine Hosin, fondatrice de Eve and Co

« Même si je m’y attendais, la proportion de femmes touchées par la précarité menstruelle me choquera toujours. J’ai moi-même des amies qui l’ont vécue quand elles étaient jeunes adultes ou étudiantes, mais cela marque de savoir que des femmes n’ont pas les moyens d’acheter des protections périodiques et plient du papier toilette pour les remplacer. Malheureusement peu de gens ont connaissance de ce phénomène qui peut concerner des femmes de notre entourage sans que l’on soit au courant. J’espère qu’au travers de ce type d’enquête, on prendra mieux conscience, et surtout mieux en compte, la détresse que vivent encore ces femmes en 2021 dans notre pays. »

 

 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 29/03/2021

 
 

Suivi mensuel des prestations de solidarité pendant la crise sanitaire

Édition de mars 2021

 

304 700 étudiants ont bénéficié d’au moins un repas à 1 euro en février 2021

 

Dans le contexte actuel de crise sanitaire, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie chaque mois un tableau de suivi des prestations de solidarité, réalisé avec le concours des organismes gestionnaires de ces prestations. Cette publication vise à rassembler et mettre à disposition les données mensuelles disponibles les plus récentes1 et à éclairer les effets de la crise sanitaire, y compris à l’échelle des territoires, sur l’évolution de la pauvreté en France. L’édition de février s’était notamment enrichie de données nationales et régionales sur le nombre d’étudiants boursiers bénéficiant de la tarification spéciale mise en place depuis la rentrée universitaire 2020-2021 pour les repas vendus dans les structures de restauration des Crous (« repas à 1 euro »)2. Depuis le 25 janvier, cette tarification s’applique à l’ensemble des étudiants. L’édition de mars présente les premiers résultats de l’élargissement de ce dispositif aux étudiants non boursiers.

 

Plus de 177 000 étudiants non boursiers ont bénéficié des repas à 1 euro en février
Fin février 2021, 304 700 étudiants ont bénéficié au moins une fois dans le mois d’un repas à 1 euro. L’extension, le 25 janvier 2021, de ce tarif spécial à tous les étudiants a profité à 177 300 étudiants non boursiers en février. Ils étaient 57 300 à en avoir bénéficié la dernière semaine de janvier.
Après une forte baisse en novembre 2020, liée au deuxième confinement, au passage de l’intégralité des enseignements en distanciel et aux vacances scolaires, les effectifs d’étudiants boursiers ayant bénéficié des repas à 1 euro remontent depuis janvier (ils passent de 49 100 en décembre à 72 300 en janvier et 127 400 en février) mais restent inférieurs à ceux observés en septembre, à la mise en place du tarif (188 500).
En février 2021, 42 % des étudiants bénéficiaires de repas à 1 euro sont boursiers, part légèrement supérieure à celle des boursiers sur critères sociaux parmi l’ensemble des étudiants en 2019-2020 (39 %).
Le nombre moyen de repas par bénéficiaire s’élève à six repas par personne en février. Pour les étudiants boursiers, ce nombre reste stable entre janvier et février (sept repas par personne et par mois).

 

Le nombre d’étudiants bénéficiaires d’une aide financière ponctuelle versée par le Crous remonte en février
En février 2021, 10 300 étudiants ont bénéficié d’une aide spécifique ponctuelle attribuée par les services sociaux des Crous en cas de situation d’urgence ou de détresse avérée, contre 6 400 un an auparavant, soit une hausse de 62 %. Le montant total des aides attribuées s’élève à 3,9 millions d’euros (contre 2,4 millions en février 2020), pour un montant mensuel moyen d’environ 380 euros par bénéficiaire. Le nombre de bénéficiaires, déjà plus élevé à la rentrée universitaire 2020-2021 que lors de la précédente (+22 % en glissement3 annuel en septembre 2020), augmente fortement pendant le deuxième confinement (passant de 7 600 en octobre à 11 500 en novembre) puis diminue jusqu’en janvier (10 400 en décembre et 9 100 en janvier) avant de remonter en février. Le montant total des aides attribuées en janvier et en février 2021 a augmenté de 60 % par rapport à la même période de l’année précédente4, en raison principalement de l’augmentation du nombre de bénéficiaires mais aussi de la hausse du montant mensuel moyen par bénéficiaire (+6,5 %).


Le nombre d’allocataires du RSA continue de diminuer en janvier 2021, mais reste à un niveau élevé
Fin janvier 2021, 2,04 millions de foyers perçoivent le revenu de solidarité active (RSA), soit une augmentation de 6,2 % par rapport à janvier 2020, alors que le nombre d’allocataires était proche de 1,9 million de janvier 2017 à février 2020. En hausse à la suite du premier confinement, du fait de la détérioration de la situation économique, la croissance en glissement annuel des effectifs du RSA a augmenté jusqu’en septembre, où elle a atteint son maximum (8,7 %). La croissance du nombre d’allocataires est moindre en octobre et novembre5 et, pour la première fois depuis le début de la crise sanitaire, le nombre d’allocataires du RSA a diminué en décembre, puis de nouveau en janvier (-37 000 allocataires au total, sur les deux mois).

La crise sanitaire a ralenti la croissance des effectifs de la prime d’activité
Fin janvier 2021, 4,50 millions de foyers bénéficient de la prime d’activité, soit une légère hausse de 0,7 % en un an. Les effectifs ont légèrement augmenté durant le premier confinement (+1,4 % entre février et mai 2020) puis ont diminué à l’issue de celui-ci (-3,4 % entre juin et août 2020). Ils sont repartis à la hausse entre août et décembre (+4,1 %) retrouvant, voire dépassant, leur niveau d’avant-crise, avant de diminuer de nouveau en janvier6. Selon la CNAF, le nombre de foyers allocataires de la prime d’activité demeure largement inférieur à celui qu’il aurait dû être si la crise sanitaire n’avait pas eu lieu7.

 

Une stagnation des effectifs de l’AAH depuis août 2020
Fin janvier 2021, 1,18 million de personnes8 bénéficient de l’allocation aux adultes handicapés (AAH), soit une augmentation de 1,8 % en un an. Alors que la hausse des bénéficiaires de l’AAH est une tendance constatée sur le long terme, leur nombre est relativement stable depuis août.

 

Le nombre d’allocataires d’une aide au logement se stabilise en décembre puis diminue en janvier
Fin janvier 2021, 5,95 millions de foyers9 perçoivent une aide au logement. Alors que le taux de croissance en glissement annuel était négatif chaque mois depuis octobre 2018 (compris entre -1,3 % et -0,4 %), signe d’une lente baisse des effectifs, il est devenu nul en avril 2020 (+0,1 %) et est redevenu positif en mai (+0,5 %). Depuis, il a augmenté continuellement pour atteindre +2,5 % en novembre. Les effectifs de novembre 2020 sont les plus élevés de la période 2017-2020. En décembre, le nombre de foyers bénéficiaires d’une aide au logement se stabilise puis il diminue en janvier (-8,4 % en un mois). La baisse de janvier s’explique en partie par un effet saisonnier mais elle est plus forte que les années précédentes10.
L’écart résulte notamment de la mise en place de la « contemporanéisation » des aides au logement à partir du 1er janvier 2021. Dorénavant, les aides au logement sont calculées sur la base des ressources des 12 derniers mois et non plus sur celles de l’année n-2 et les droits sont recalculés tous les trois mois (contre tous les ans auparavant). Il était attendu que cette réforme diminue le nombre d’allocataires. Pour autant, l’ampleur précise de cette baisse ne pourra être analysée qu’avec la publication des données dites définitives de la CNAF, la réforme en question ayant potentiellement modifié à la fois la saisonnalité et le lien entre les données dites semi-définitives (utilisées pour ce communiqué de presse) et les données définitives.

 

Le nombre d’allocataires de l’ASS diminue depuis octobre
Fin décembre 2020, le nombre d’allocataires de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) indemnisés en fin de mois s’élève à 356 500 personnes, soit une hausse de 1,4 % par rapport à décembre 2019. Après une diminution continue depuis 2015, interrompue par le premier confinement, les effectifs de l’ASS ont fortement augmenté entre mai et septembre 2020 (+11,2 %) avant de baisser légèrement en octobre (-1,0 % par rapport à septembre). La baisse des effectifs se poursuit en novembre (-2,4 %) et se confirme en décembre (-3,0 %) sous l’effet en partie des mesures de prolongation des droits à l’allocation chômage prises par le Gouvernement pendant le deuxième confinement11, qui ont de fait limité le nombre d’entrées dans l’ASS. Les effectifs restent toutefois légèrement supérieurs en décembre 2020 à ceux précédant le premier confinement.


Téléchargez et visualisez les données

 

Précisions méthodologiques
Le tableau de suivi des prestations de solidarité fournit des informations sur les effectifs nationaux et départementaux des allocataires du revenu de solidarité active (RSA), de l’allocation aux adultes handicapés (AAH), de l’allocation de solidarité spécifique (ASS), de la prime d’activité, des aides au logement et des bénéficiaires de la Garantie jeunes. Son contenu est amené à évoluer au cours des publications, à la fois en termes d’indicateurs et de prestations considérées. Ainsi, l’édition de février s’était enrichie de données nationales et régionales sur des aides destinées aux étudiants qui proviennent des données de gestion du Centre national des œuvres universitaires et scolaires (Cnous). Les indicateurs ont été construits par les services du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (DGESIP) et notamment le SIES, son service statistique ministériel.
Sauf pour la Garantie jeunes et les aides destinées aux étudiants, les données qui portent sur les cinq derniers mois publiés sont provisoires et donc susceptibles d’être révisées dans les prochains mois. Les données sur les aides destinées aux étudiants qui portent sur le dernier mois publié le sont également. Dans certains cas, les données ont fait l’objet d’estimations de la DREES. Les effectifs ne sont pas corrigés des doubles comptes : par exemple, une personne qui bénéficie du RSA, de la prime d’activité et des aides au logement sera comptée à la fois parmi les allocataires du RSA, de la prime d’activité et des aides au logement.

 

Pour en savoir plus :
> Cabannes, P-Y., Calvo, M., Echegu, O. (2020, décembre). Plus de 2 millions d’allocataires du RSA fin octobre 2020. DREES, Études et Résultats, 1175.

> Cabannes, P.-Y., Richet-Mastain, L. (dir.), Calvo, M. (coord.) (2020, septembre). Minima sociaux et prestations sociales – édition 2020. Paris, France : DREES, coll. Panoramas de la DREES-social.

> Des données annuelles sur le RSA, l'ASS, l'AAH et la prime d'activité sont disponibles au niveau national et par département en série longue dans l’espace Open Data, thème « Minima sociaux et pauvreté », jeu de données « Minima sociaux, RSA et prime d’activité »

> Des données annuelles sur les aides au logement et la Garantie jeunes en série longue sont disponibles dans le Panorama de la DREES : « Minima sociaux et prestations sociales - édition 2020 », fiches n°34 et 37

> CNAF (2021, janvier). Estimations avancées des évolutions des foyers allocataires du RSA. CNAF, RSA conjoncture, supplément exceptionnel lié à la Covid-19.

> CNAF (2021, janvier). Le revenu de solidarité active fin septembre 2020. CNAF, RSA conjoncture, 32.

> CNAF (2021, janvier). Estimations avancées des évolutions des foyers allocataires de la prime d’activité. CNAF, Prime d'activité conjoncture, supplément exceptionnel lié à la Covid-19.

> Consulter les open data de la Cnaf et de Pôle emploi et la plateforme PoEm de la Dares.

 

1 Les données sur les bénéficiaires de la Garantie jeunes n’ont pas été actualisées depuis la publication de février 2021. Elles ne sont donc pas commentées dans ce communiqué de presse.
2 En réponse à la crise sanitaire, les Crous proposent, depuis le 1er septembre 2020, une tarification spéciale aux étudiants boursiers sur critères sociaux pour les repas servis dans leurs structures de restauration (1 euro au lieu de 3,30 euros). Depuis le 25 janvier 2021, et pendant la durée de la crise sanitaire, tous les étudiants, boursiers ou non, peuvent bénéficier de deux repas par jour au tarif de 1 euro. Compte tenu des consignes sanitaires, ces repas sont proposés sous forme de vente à emporter uniquement.
3 La croissance en glissement annuel un mois m est le taux de croissance entre l’effectif du mois m-12 et celui du mois m.
4 En réponse à la crise sanitaire, le montant total des fonds a été doublé pour l’année 2021.
5 Selon la CNAF, cette croissance serait principalement liée à un effet saisonnier.
6 Cette baisse est pour une bonne partie due à un effet saisonnier.
7 CNAF (2021, janvier). Estimations avancées des évolutions des foyers allocataires de la prime d’activité. CNAF, Prime d'activité conjoncture, supplément exceptionnel lié à la Covid-19.
8 Cet effectif concerne uniquement le régime général (97 % des allocataires de l’AAH en décembre 2019).
9 Cet effectif concerne uniquement le régime général (97 % des allocataires d’une aide au logement en décembre 2019).
10 La baisse mensuelle était de 5,6 % en janvier 2020 et de 5,4 % en janvier 2019.
11 Les droits à l'allocation chômage sont prolongés jusqu'au 31 mars 2021 pour les demandeurs d’emploi indemnisés au titre de l’ASS et de l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE), arrivant en fin de droits entre le 30 octobre 2020 et le 31 mars 2021 (Arrêté du 9 décembre 2020 portant mesures d'urgence en matière de revenus de remplacement mentionnés à l'article L. 5421-2 du code du travail).

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 

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République FrançaiseLa lettre Service-Public.fr
Lettre n°1016 du 25 mars 2021 Abonnement aux sujets d'actualité  twitter @servicepublicfr  service-public.fr sur Facebook

Les mesures de freinage renforcées sont étendues à l'Aube, la Nièvre et le Rhône

Publié le 25 mars 2021

En raison de la dégradation des taux d'incidence de Covid-19, les départements de l'Aube, de la Nièvre et du Rhône s'ajoutent aux 16 (...)   Lire la suite >

 PAPIERS - CITOYENNETÉ

ÉPIDÉMIE DE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 22 mars 2021

Comment calculer le rayon de 10 km autour de votre domicile ?

Dans les départements concernés par les mesures renforcées entre 6h et 19h, les déplacements liés à l'activité physique individuelle, à la (...)   Lire la suite >

ÉPIDÉMIE DE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 22 mars 2021

Couvre-feu et mesures renforcées : les attestations de déplacement

Depuis le 20 mars 2021, un couvre-feu est établi de 19h à 6h sur tout le territoire métropolitain et des mesures renforcées ont été mises en (...)   Lire la suite >

ÉPIDÉMIE DE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 22 mars 2021

Quels sont les commerces ouverts en journée dans les départements soumis à des mesures renforcées ?

En raison de la progression de l'épidémie, des mesures renforcées ont été mises en place dans les territoires les plus impactés à partir du (...)   Lire la suite >

DONNÉES PERSONNELLES Publié le 24 mars 2021

Cookies : refuser doit être aussi facile que d'accepter

Lorsque vous naviguez sur internet, vous devez fréquemment accepter ou refuser des cookies. Ces traceurs utilisés par les sites internet pour (...)   Lire la suite >

 SOCIAL - SANTÉ

CAMPAGNE DE VACCINATION Publié le 25 mars 2021

Covid-19 : qui peut se faire vacciner et où ?

La campagne de vaccination s'intensifie et s'ouvre peu à peu à de nouveaux publics. gé de plus de 70 ans, atteint d'une pathologie à haut (...)   Lire la suite >

VIE-PUBLIQUE.FR Publié le 24 mars 2021

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Pour permettre les déplacements dans l'Union européenne (UE), la Commission européenne a proposé la création d'un certificat vert numérique. Ce « passeport vert (...) »   Lire la suite >

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ÉPIDÉMIE DE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 24 mars 2021

Protocole sanitaire au travail : les évolutions pour le déjeuner et le télétravail

Pour répondre à la recrudescence de la circulation du virus, le protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en (...)   Lire la suite >

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ÉPIDÉMIE DE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 24 mars 2021

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Les concours et examens de la fonction publique sont maintenus pendant cette période de couvre-feu. Mais faut-il porter le masque pendant les (...)   Lire la suite >

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INÉGALITÉS ALIMENTAIRES Publié le 23 mars 2021

Davantage de petits déjeuners offerts dans les écoles

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NOM DE FAMILLE Publié le 25 mars 2021

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Notre nom de famille est en principe immutable, c'est-à-dire qu'il n'est pas possible d'en changer comme on le souhaite. Si vous voulez le (...)   Lire la suite >

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AIDES À L'ACHAT Publié le 22 mars 2021

Ménages très modestes : comment obtenir un microcrédit véhicules propres ?

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VOITURE Publié le 25 mars 2021

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[Infographie] Vous souhaitez procéder au contrôle technique de votre véhicule ? Plaque d'immatriculation, plaquettes et disques de frein, (...)   Lire la suite >

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CHANGEMENT D'HEURE Publié le 15 mars 2021

Passage à l'heure d'été

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LOISIRS Publié le 23 mars 2021

Pratique sportive : de nouvelles dispositions à partir du 20 mars 2021

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ZOOM Publié le 23 mars 2021

Quelle épargne pour les moins de 18 ans ?

Livret A, livret jeune, compte épargne logement (CEL)... À l'occasion de la semaine de l'éducation financière du 22 au 28 mars 2021, vous pensez (...)   Lire la suite >

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Épidémie Coronavirus (Covid-19) : ce qu'il faut savoir

Publié le 25 mars 2021

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COMMUNIQUE DE PRESSE

Sous embargo jusqu’au 26 mars 2021 à 6 heures

 
 

Paris, le 25/03/2021

 
 

Médecins, sages-femmes, chirurgiens-dentistes et pharmaciens :

combien de professionnels à l’horizon 2050 ?

 

 

À l’occasion de la première édition de la Conférence nationale, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie un état des lieux, présent et à venir, de la démographie des professions médicales et pharmaceutique (chirurgiens-dentistes, médecins, pharmaciens, sages-femmes).

 

Les capacités de formation sont un levier majeur des politiques d’offre de soins. La réforme des études de santé portée par la Loi Organisation et transformation du système de santé de 2019 a mis fin au dispositif du numerus clausus, fixé annuellement depuis 1979 par décret ministériel et qui déterminait le nombre d’étudiants admis à entrer en formation pour les professions médicales et les pharmaciens. À partir de la rentrée 2021, ce dispositif sera remplacé par le numerus apertus, qui a pour ambition de déterminer les flux d’entrée aux études de santé de façon plus flexible et plus concertée, avec un objectif de réponse aux besoins de santé des territoires. La Conférence nationale de santé a ainsi pour mission d’élaborer des propositions d’objectifs quinquennaux de formation sur le fondement de concertations aux niveaux local et national.

 

L’étude de la DREES permet d’alimenter les échanges de cette conférence qui réunit l’ensemble des acteurs du monde de la santé. Organisée en 3 parties, elle regroupe les éléments d’analyse fournis lors des groupes de travail préparatoire à la conférence :
- Un panorama présentant les évolutions de la démographie de ces professions ces neuf dernières années (2012-2021) ;
- Une projection démographique à l’horizon 2050 sous hypothèse de comportements et de législation constants ;
- Une projection intégrant des variantes quant au nombre d’étudiants admis au sein des différents cursus d’études concernés et au nombre de professionnels diplômés à l’étranger qui débutent une activité en France.


Une baisse de la densité de médecins de 2,2 % entre 2012 et 2021
Depuis 2012, les effectifs de médecins de moins de 70 ans en activité sont globalement stables aux environ de 215 000, la baisse du nombre de généralistes étant compensée par la hausse du nombre de spécialistes, notamment grâce à l’arrivée importante de médecins titulaires d’un diplôme étranger. La population française ayant augmenté, la densité de médecins a quant à elle diminué de 2,2 % au cours de la période, passant de 325 à 318 médecins pour 100 000 habitants. La densité de médecins est globalement plus importante dans les régions du sud de la France. La situation de la région francilienne est contrastée avec une concentration importante en spécialistes tandis que la densité en médecins généralistes y est inférieure de 11 % à la moyenne nationale.
La densité standardisée permet de tenir compte des besoins de soins différenciés selon l’âge et donc de l’impact du vieillissement de la population. Entre 2012 et 2021, cette densité standardisée de médecins a diminué davantage (-6 %) que la densité simple, illustrant l’augmentation de la demande de soins due au vieillissement de la population (arrivée des générations nombreuses du baby-boom à un âge de forte consommation de soins). Cette diminution est particulièrement marquée pour les généralistes, dont la densité standardisée passe de 155 à 139 médecins pour 100 000 habitants, soit -10 %.

 

Sous hypothèses de comportements et de législation constants (scénario tendanciel), le modèle de projection de la DREES montre une stagnation des effectifs jusqu’en 2030, avant une hausse assez importante jusqu’en 2050 (+1,5 % de croissance annuelle moyenne des effectifs entre 2030 et 2050).

 

En revanche, compte tenu de l’augmentation de la population, ce scénario montre une diminution de la densité médicale en France dans les prochaines années. Cette baisse est encore plus forte si l’on considère la densité médicale standardisée, qui tient compte de la hausse de la demande de soins induite par le vieillissement de la population : celle-ci atteindrait un point bas en 2028 (-5 % par rapport à 2021) et ne retrouverait son niveau actuel qu’en 2035, avant de repartir nettement à la hausse (+23 % en 2050 par rapport à 2021).
Par rapport à ces tendances, augmenter de 20 % le nombre d’entrants en formation en France conduirait à combler ce creux démographique environ trois ans plus tôt et aboutirait, à horizon 2050, à une densité standardisée encore plus élevée, de +37 % par rapport à 2021.


Chirurgiens-dentistes : une croissance démographique portée par les arrivées de diplômés à l’étranger
Au 1er janvier 2021, 42 000 chirurgiens-dentistes de moins de 70 ans sont en activité. La croissance des effectifs de chirurgiens-dentistes est fortement liée à l’arrivée en France de nombreux professionnels (français ou étrangers) diplômés à l’étranger : leur part parmi les professionnels en activité a plus que triplé depuis 2012, pour atteindre près de 14 % en 2021. Parmi les professionnels s’étant inscrits à l’Ordre en 2020, 39 % détiennent un diplôme étranger. Ces arrivées ont permis de maintenir depuis 2012 une densité stable, environ 62 chirurgiens-dentistes pour 100 000 habitants.
La densité de chirurgiens-dentistes est particulièrement élevée en Provence-Alpes-Côte-d’Azur, et plus généralement dans la moitié Sud de la France.

 

En supposant constants les comportements comme la législation, les projections montrent une croissance soutenue des effectifs et de la densité standardisée (+ 39 % entre 2021 et 2050) en raison de nombreuses arrivées de chirurgiens-dentistes diplômés à l’étranger (si celles-ci se poursuivent à l’identique sur toute la période de projection). Sans elles, la densité de chirurgiens-dentistes à horizon 2050 stagnerait par rapport à son niveau actuel.


Sages-femmes : la forte croissance démographique de la profession se poursuit
En augmentation constante depuis 2012 et avec une dynamique particulièrement forte jusqu’en 2017, le nombre de sages-femmes s’est stabilisé autour de 23 400 en 2021.
Sous hypothèses de comportements et de législation constants, les projections montrent une croissance continue de la densité standardisée. À l’horizon 2050, elle progresserait de 27 % par rapport à 2021. En lien avec les récentes extensions de leurs compétences, la profession connaît en outre des mutations importantes quant à son mode d’exercice : alors que 20 % des sages-femmes avaient en 2012 une activité libérale (cumulée ou non à une activité salariée), 34 % des sages-femmes sont dans ce cas en 2021. Si ces tendances se prolongent, les effectifs de sages-femmes libérales ou mixtes progresseraient de 70 % à horizon 2050.


Pharmaciens : une baisse de densité comblée en quinze ans
Au 1er janvier 2021, 72 200 pharmaciens de moins de 70 ans sont inscrits à l’Ordre et en activité, dont deux tiers exercent en officine. Ces effectifs ont connu une croissance de 2012 à 2016, suivie d’une diminution jusqu’en 2021. Les projections démographiques de la DREES montrent, à comportements et législation constants, une poursuite de cette baisse jusqu’en 2027 avant une reprise jusqu’en 2050. Toutefois, la densité en pharmaciens d’officine montre un creux plus marqué en raison de l’augmentation de la population : elle ne retrouverait son niveau actuel qu’à la fin des années 2030.


Projections démographiques à l’horizon 2050 sous hypothèse de comportements et de législation constants :

 
 
 
 
 
 

Consulter

 

• Les publications et données

- Cavillon, M. (2012, mars). La profession de sage-femme : constat démographique et projection d’effectifs. DREES, Études et Résultats, 791.
- DREES (2020, novembre). Projections des effectifs de médecins à l’horizon 2040. Datavisualisation.
- Millien, C. (2017, septembre). 8 000 chirurgien·ne·s-dentistes supplémentaires d’ici à 2040. DREES, Études et Résultats, 1027
- Millien, C. (2019, mars). 8 % de pharmaciens en plus entre 2018 et 2040, et une densité stabilisée. DREES, Études et Résultats, 1110.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 

La crise révèle l'agilité des TPE françaises, selon une étude Vistaprint
Un an après le premier confinement en France, 77 % des chefs d'entreprise ont adapté ou ajouté de nouvelles offres de produits ou de services à leur activité*. Parmi eux, ils sont un quart à affirmer avoir complètement réinventé leur entreprise, en commençant à vendre des produits et des services totalement différents, tout en ciblant un nouveau type de clientèle. Quatre sur dix disent, quant à eux, avoir effectué au moins un changement important pour s'adapter à la pandémie, tels que l'ajout d'un e-shop, la livraison ou un service de « click and collect ». Enfin, 61 % indiquent que ces changements profiteront à leur entreprise sur le long terme.
 
L'étude Vistaprint réalisée avec l'institut d'étude OnePoll montre également que, malgré une année mouvementée, 65 % des chefs d'entreprise restent optimistes pour 2021, tandis qu'un tiers estiment que leur chiffre d'affaires augmentera cette année.
 
L'étude révèle aussi les stratégies mises en place par ces chefs d'entreprise pour faire face à cette crise économique sans précédent. Finalement, quelles conclusions tirent-ils de cette année très spéciale où tout l'écosystème du travail a dû s'adapter ? Retour sur les résultats.
Méthodologie : Enquête réalisée par OnePoll pour Vistaprint auprès d'un échantillon de 500 chefs d'entreprise (TPE, moins de 9 employés) du 8 au 12 mars 2021.
*Parmi ceux ayant répondu « oui » à la question « depuis le début de la crise avez-vous changé votre offre de service ou produit ? ». n= 132 soit près de 30% de l'échantillon global.

« A la différence de 2008, ce que nous vivons aujourd'hui va au-delà d'un impact économique : beaucoup d'entreprises ont dû se transformer, naviguant souvent à vue. Modes de travail, nouveaux canaux de distribution et de commercialisation, etc. Les chefs d'entreprise ont fait preuve d'une inventivité remarquable et d'une résilience à toute épreuve. Cette nouvelle étude montre en effet que près de 77 % d'entre eux ont modifié leurs offres de services ou leurs produits. » déclare Sabine Leveiller, Directrice Générale de Vistaprint France.
Elle poursuit : « Vistaprint a toujours été le partenaire des TPE dans leur transformation, afin qu'elles révèlent tout leur potentiel en proposant des solutions de marketing et de design qui permettent aux entreprises de se démarquer, notamment dans ce contexte inédit. »
 
Un an après : comment les TPE françaises ont réussi à s'adapter face à la crise ?
 
TOP 5 des changements opérés par les chefs d'entreprise pour faire face à la crise et qu'ils comptent maintenir pour 2021 :
  • 60 % ont créé ou mis à jour la présence de leur entreprise en ligne, avec par exemple la création de sites web vitrines ou de comptes sur les réseaux sociaux.
  • 58 % ont adapté ou ajouté de nouvelles offres de services ou de produits.
  • 51 % ont ciblé un nouveau type de clients.
  • 48 % ont commencé à vendre leurs produits ou services en ligne grâce à la création d'un e-shop.
  • 46 % ont mis en place un paiement sans contact. 
66 % des répondants affirment aussi que les changements qu'ils ont réalisés pour améliorer ou développer leur business ont été positifs, voire très positifs.
On note également qu'en raison des préoccupations d'hygiène concernant l'échange d'espèces, 80 % des chefs d'entreprise de la région Hauts-de-France et 54% de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, deux régions particulièrement touchées par le virus, ont mis en place de nouveaux modes de paiement sans contact.
Enfin, les chefs d'entreprise qui ont effectué des changements stratégiques pour leur TPE afin de faire face à la crise ont investi 617 € en moyenne, et ils sont près de 45 % à avoir dépensé plus de 500 €.
 
Renforcement de leur présence en ligne
Parmi les chefs d'entreprise qui ont adapté leur activité, 60 % d'entre eux déclarent avoir mis en place une nouvelle stratégie commerciale axée sur une présence en ligne renforcée, qu'ils comptent maintenir après la crise. Et ce sont les plus jeunes (moins de 35 ans) qui l'ont fait le plus (70 %).
 
Les régions qui ont le plus développé leur présence commerciale en ligne et comptent maintenir ce changement sont : Hauts-de-France (70 %) ; Auvergne-Rhône-Alpes (67 %) à égalité avec Grand Est, et enfin, Nouvelle Aquitaine (62 %) ex aequo avec Provence-Alpes-Côte d'Azur.
 
On note aussi que 40 % des chefs d'entreprise interrogés ont développé une stratégie dédiée « Réseaux Sociaux » et, sans surprise, ce sont les plus jeunes qui arrivent en tête (près de 50 % des 18 – 34 ans et 45 % des 35 – 44 ans).
 
Quels sont les réseaux sociaux qui cartonnent auprès des chefs d'entreprise ?
55 % des chefs d'entreprise indiquent que Facebook a été le réseau social le plus efficace pendant la pandémie pour trouver de nouveaux clients. Suivi par Instagram, avec 23 % d'entre eux qui l'affirment, notamment les entrepreneurs les plus jeunes (35 % des 18 – 34 ans).
 
Comment les aides gouvernementales ont-elles été utilisées ?
 
En moyenne, 10 % de l'aide reçue par les chefs d'entreprise interrogés ont été utilisés pour développer le marketing de l'entreprise.
 
Parmi ceux qui ont reçu une aide financière du gouvernement :
  • 14 % l'ont utilisé pour mettre à jour leurs outils marketing tels que des flyers, cartes de visite etc.
  • 12 % pour améliorer l'optimisation des moteurs de recherche (SEO) de leur site web.
  • 12 % pour acquérir de nouvelles compétences (cours en ligne, webinaires).
On note qu'ils sont 49 % à avoir bénéficié d'une aide gouvernementale, et que 27 % ne l'ont pas encore utilisé, attendant sans doute de voir quel sera le meilleur investissement à faire dans les prochains mois pour leur entreprise.
 
Les chefs d'entreprises restent optimistes pour 2021 
 
Ils sont 65% à le penser et 33 % sont convaincus que leur chiffre d'affaires augmentera en moyenne de 18 % au cours des 12 prochains mois. Et ce sont les jeunes les plus optimistes, puisqu'ils sont près de 40 % à penser qu'il sera en hausse.
 
Une grande partie de cet optimisme repose sur l'évolution de la pandémie en 2021. À la question : « Lequel des éléments suivants sera le plus important pour le succès de votre entreprise au cours des 12 prochains mois », près de la moitié (48 %) ont déclaré de ne pas avoir de nouvelles mesures de confinement ; 27 % qu'il sera nécessaire de continuer les programmes d'aide et de subventions pour les soutenir et 24 % pensent que cela se jouera sur le déploiement efficace du programme de vaccination.
 
Et dans 5 ans : quels seront les plus grands changements pour les TPE ?
Les consommateurs feront preuve de plus de fidélité et soutiendront davantage les entreprises, selon 41 % des chefs d'entreprise interrogés.
37 % affirment également que les TPE devront mettre davantage l'accent sur leur présence numérique et leurs offres en ligne, et 24% pensent qu'une augmentation du tourisme domestique est à prévoir, ce qui pourrait stimuler l'activité des petites entreprises locales.
Enfin, pour 22 % d'entre eux, il y aura un soutien plus fort de la part des consommateurs pour les entreprises dites « durables » et soucieuses de l'environnement.
 
À propos de Vistaprint
Vistaprint accompagne des millions de TPE-PME à travers le monde pour les aider à réaliser leurs ambitions. Depuis plus de 20 ans, nous aidons les entreprises à renforcer leur crédibilité à l'aide de supports marketing de qualité, notamment des produits d'affichage, des vêtements personnalisés, des objets publicitaires, des masques, des flyers, des cartes postales, des cartes de visite, des sites web et des solutions d'e-marketing. Avec Vistaprint, les entreprises peuvent créer et personnaliser leurs produits grâce à des modèles et des outils numériques intuitifs, ou se faire accompagner par des graphistes professionnels. En 2020, Vistaprint a fait l'acquisition de 99designs, une plate-forme créative mondiale qui permet aux designers et aux clients de travailler ensemble pour créer facilement des designs qu'ils aiment. Notre priorité est d'aider les TPE-PME à unifier et harmoniser leur image de marque pour se présenter sous leur meilleur jour, que ce soit dans leur point de vente ou sur leur boutique en ligne, chez leurs clients ou en déplacement. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.vistaprint.fr. Vistaprint est une marque de Cimpress (Nasdaq: CMPR).
 
 
Pour 56% des retraités l'épanouissement passe par une activité sexuelle

Alors qu’elle vient de lancer son Plan d’Épargne Retraite (PER), La France Mutualiste, conseil mutualiste en assurance et épargne, a souhaité interroger les Français sur leur manière d’appréhender cette étape clé de leur vie qu’est la retraite. L’originalité de l’enquête menée avec BVA est de croiser le regard des actifs sur la retraite avec celui des retraités eux-mêmes. Résultat : se sentant majoritairement heureux et libres, connectés et dynamiques, les retraités sont bien loin de passer leurs journées à tricoter ou à attendre devant la télé la venue de leurs petits-enfants comme l’imaginent les moins de 60 ans. Une étude qui démystifie les idées reçues !

 

« Il y a un réel décalage de perception entre les actifs et les séniors sur la retraite. Ces derniers ont un avis majoritairement positif sur la situation qu’ils vivent, alors que les moins de 60 ans projettent sur cette période des craintes fantasmées. Les plus jeunes (moins de 60 ans) ont une vision des activités liées à la retraite, qui ne se retrouvent pas dans les faits. Au contraire, les retraités sont plutôt actifs et s’épanouissent dans de multiples loisirs. Avec cette enquête, nous démontrons que la retraite, loin d’être sombre, est un temps privilégié pour prendre soin de soi, voyager, être en contact avec ses proches, sa famille et ses amis. », déclare Bruno Valersteinas, Directeur Général adjoint du groupe La France Mutualiste.

 

SONDAGE EXCLUSIF BADOO

     LES APP DE DATING  :

LA NOUVELLE SOLUTION FACE AU SENTIMENT

DE SOLITUDE DES JEUNES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Paris, le 17 mars 2021 - Dans un sondage exclusif (réalisé du 16 au 21 février auprès de 1000 personnes) sur l’évolution du comportement des Français de 18 à 35 ans en matière de dating depuis le début de la pandémie de Covid-19 (mars 2020), l’application de rencontre Badoo met en lumière de profondes évolutions dans leur façon de faire des rencontres.

 

Plus que jamais en quête de liens sociaux, ils privilégient la sincérité, tout en adaptant les codes de séduction au « nouveau monde » créé par la pandémie. Parfois avec de belles surprises à la clé.

 

Le sondage Badoo révèle que les applications de rencontres dépassent désormais leur rôle social traditionnel. En plus de servir à trouver l’amour, elles servent de plus en plus à trouver l’amitié.

 

  • 62% des jeunes français disent se sentir moins seuls en étant inscrits sur une application de dating. Ce chiffre augmente jusqu’à 72% chez les 22-25 ans, tranche d’âge particulièrement sensible à la fermeture des lieux de sociabilisation (établissements d’enseignement supérieur, bureaux, sorties, etc.)
  • Les jeunes utilisateurs d’applications de dating sont 46% à observer que les autres utilisateurs s’en servent davantage pour se faire des amis ou trouver quelqu’un à qui parler depuis le début de la crise sanitaire.

 

Par ailleurs, l’épidémie de la Covid-19 favorise la quête de sincérité des daters. Ils affirment être à la recherche de relations plus vraies, et prennent plus le temps de discuter avec leurs interlocuteurs.

 

  • 52% déclarent rechercher une relation plus sérieuse qu’avant le      début de la pandémie (mars 2020)
  • 44% sont plus enclins à avoir de plus longues discussions et ainsi faire mieux connaissance avec leurs interlocuteurs

 

En plus de modifier leurs aspirations, les jeunes usagers d’applications de rencontre adaptent les codes du premier rendez-vous aux contraintes de la pandémie. Les « video date » changent la donne (une habitude pour 27% des sondés), avec des effets positifs inattendus.

 

  • 41% déclarent se sentir « plus eux-mêmes » lors d’un video date (29% n’y voient pas de différence, 22% se sentent « moins eux-mêmes »)
  • Les video date favorisent une attitude plus naturelle: 47% des sondés préfèrent porter leurs vêtements de tous les jours lors d’un video date, alors que 31% préfèrent les choisir avec attention. Le contraste avec le rendez-vous physique est frappant puisque 59% des jeunes déclarent soigner leur apparence à cette occasion (35% préfèrent rester au naturel)

 

A rebours des idées reçues, ce sondage montre que les jeunes ont plutôt bien intégré les gestes barrières dans leur vie amoureuse.

 

  • Pour un premier rendez-vous physique, 63% portent le masque, et/ou 52% respectent les mesures de distanciations sociales. Seuls 17% des sondés n’appliquent aucune de ces deux mesures

 

Stéphanie Gabriel, directrice de Badoo France déclare : « La pandémie de la Covid-19 a bouleversé le comportement des Français présents sur les applications de dating. On constate que ces dernières représentent un véritable moyen pour déjouer la solitude et se faire de nouvelles connaissances, voire des amis. Les Français sont également à la recherche de relations plus profondes et plus sincères qu’auparavant. »

 

Méthodologie

Badoo s'est associé à l’institut de sondage OnePoll pour révéler les tendances de dating en période de pandémie. L'étude a été réalisée entre le 12 et le 26 février 2021 auprès d’un échantillon de 1000 répondants français basés en France et âgés de 18 à 35 ans.

 

À propos de Badoo

Lancée en 2006, Badoo est l'application de rencontre qui encourage ses utilisateurs à faire des rencontres honnêtes. Badoo fonctionne dans 190 pays et est disponible dans 51 langues différentes, ce qui en fait le réseau de rencontres le plus utilisé au monde. Badoo est un service gratuit, qui offre des abonnements supplémentaires aux utilisateurs. L'application est disponible sur iOS, Android et le web.

À propos de Bumble

Bumble est la société mère qui exploite Badoo et Bumble, deux des plus grandes applications de rencontre et de connexion avec une base d'utilisateurs combinée de plus de 600 millions dans le monde. L'application Bumble a été fondée Whitney Wolfe Herd en 2014, désormais PDG du Groupe. Bumble est détenue en majorité par Blackstone et compte plus de 600 employés dans des bureaux à Austin, Londres et Moscou.

 

 

 

 

 

Citigate Dewe Rogerson x Grayling est une agence de conseil en communication intégrée, filiale du groupe Huntsworth coté à la Bourse de Londres. Forte d’une expertise de plus de 25 ans, l’agence accompagne ses clients dans la conception et la mise en œuvre de leur stratégie de communication en France et à l’international en s’appuyant sur un double réseau de premier plan en Europe, aux Etats-Unis ou en Asie. Le bureau parisien propose des services intégrés – communication corporate, financière, de marque, affaires publiques, communication de crise, marketing digital, etc. –, et compte aujourd’hui 35 consultants.

 

Grayling a été élue Agence Affaires Publiques de l’Année lors des SABRE Awards EMEA 2019.

 

28 secondes pour découvrir comment nous abordons 2020 !

 

 

Etude sur les aspirations de voyages des Français

France, Espagne, Etats-Unis : Top 3 des destinations que les Français souhaiteraient visiter ou revisiter en 2021

Paris, le 12 mars 2021 – Alors que cela fait maintenant un an que nos vies sont chamboulées par la crise sanitaire, les envies d’évasion se font plus que jamais sentir. Afin d’encourager les Français à se projeter, malgré les incertitudes, le groupe The Ascott Limited (Ascott) a souhaité en savoir plus sur leurs aspirations de voyage* et plus précisément sur leurs prochaines destinations.

 

En matière de destination, un peu échaudés par la fermeture des frontières, ils sont une majorité à souhaiter rester sur le continent européen (53%) et à vouloir visiter la France (45% des répondants), juste devant l’Espagne (37%) et pour les plus ambitieux, les Etats-Unis (28%), destinations proposées par le groupe Ascott. Enfin, concernant la typologie de séjour, les destinations urbaines de type grandes métropoles ou capitales semblent l’emporter (53%) et c’est en priorité en couple qu’ils envisagent ce premier voyage post-Covid 19 (51%).

 

TOP 10 des destinations que les Français souhaiteraient visiter ou revisiter*

1. France – 45%

2. Espagne – 37%

3. Etats-Unis – 28%

4. Irlande – 27%

5. Thaïlande – 26%

6. Royaume-Uni – 25%

7. Australie – 22%

8. Autriche – 19%

9. Allemagne – 18%

10. Pays-Bas – 16%

 

  *Méthodologie : enquête menée auprès de la base opt-in d’Ascott entre le 21 et le 27 janvier – 950 répondants résidant en France, entre 18 et 65 ans.

 

À propos de The Ascott Limited

The Ascott Limited est une société de Singapour qui est devenue l'un des principaux propriétaires-exploitants d'établissements d'hébergement internationaux. Le portefeuille d'Ascott s'étend sur plus de 190 villes dans plus de 30 pays d'Asie Pacifique, d'Asie centrale, d'Europe, du Moyen-Orient, d'Afrique et des États-Unis.

Ascott compte plus de 70 000 unités* en exploitation et plus de 52 000 en développement, soit un total de plus de 122 000 unités dans plus de 770 propriétés. Les marques de résidences hôtelières, d’appartements, de coliving et d'hôtels du groupe comprennent Ascott The Residence, The Crest Collection, Somerset, Quest, Citadines, lyf, Préférence, Vertu, Harris, Citadines Connect, Fox Lite et POP !

Le programme de fidélité d’AscottAscott Star Rewards offre des avantages exclusifs à ses membres lorsqu’ils réservent directement avec Ascott dans les propriétés participantes. Ascott, filiale à part entière de CapitaLand Limited, a été le pionnier dans le secteur des résidences hôtelières de classe internationale en Asie-Pacifique avec l'ouverture de The Ascott Singapore en 1984. Aujourd'hui, la société peut se targuer de plus de 30 ans d'expérience dans le secteur et de marques primées qui jouissent d'une reconnaissance mondiale.

 

* Unité = appartements et chambres d’hôtels

Plus d’informations sur https://www.the-ascott.com

 

Etude : Les Françaises et la mode durable

 

Plus de 2 Françaises sur 3 détiennent au moins 1 pièce éco-responsable dans leur dressing (67%)

 

Paris, le 18 mars 2020 – Alors que la conscience autour de la consommation de textile se développe, Fairytale.ecoeshop pour femme de mode écoresponsable et éthique, a réalisé une étude avec l’institut Toluna sur la relation des Françaises à la mode durable.

Où habitent les Françaises qui ont le dressing le plus éco-résponsable ? Quelles sont les critères qui retiennent leur attention quand il s’agit de vêtements durables ? Combien sont-elles prêtes à dépenser ? Quelles pièces priorisent-elles ?

 

« Au retour d’un voyage de 18 mois, j’ai pris conscience de l’importance d’acheter des vêtements durables, qui respectent la terre et l’humain. Depuis les marques proposant des vêtements et accessoires dits responsables ne cessent de croître. Les Françaises veulent savoir d’où viennent leurs vêtements et s’assurer qu’ils soient conçus, fabriqués et transportés dans le respect de l’environnement et des normes sociales. C’est une tendance réelle : plus de 2 Françaises sur 3 détiennent au moins 1 pièce éco-responsable dans leur dressing mais chacune l’entend différemment. Nous nous sommes donc interrogés : lorsqu’on construit son dressing éco-responsable, quels sont les critères les plus important ? » souligne Claire Lemarchand, Directrice marketing et co-fondatrice de Fairytale. 

 

Où habitent les Françaises qui ont le dressing le plus éco-responsable ?

 

C’est un fait : 2 femmes sur 3 ont déjà au moins une pièce éco-responsable dans leur dressingFairytale.eco s’est demandé dans quelles régions habitent les Françaises les plus attentives à ce critère d’éco-responsabilité ? Et celles qui ont le dressing le moins éco-responsable ?

 

A la 1ère place du classement, on retrouve à égalité 3 régions : la Nouvelle Aquitaine, l’Occitanie et les Pays de la Loire sont les régions où les femmes ont le dressing le plus éco-responsable.

 

Région

Pourcentage des femmes qui ont au moins 1 produit éco-responsable dans leur dressing

Nouvelle Aquitaine

74%

Occitanie

74%

Pays de la Loire

74%

Normandie

71%

Ile de France

70%

Bretagne

69%

Provences Alpes Côte d’Azur

67%

Hauts de France

64%

Grand Est

63%

Auvergne Rhône-Alpes

62%

Centre Val de Loire

60%

Bourgogne Franche-Comté

57%

 

En 2ème position on retrouve les Normandes qui ont pour 71% d’entre elles au moins une pièce éco-responsable dans leurs placards. Les Franciliennes arrivent à la 3ème place du classement (70%), juste avant les Bretonnes (69%).

 

En dernière position on retrouve les habitantes de la Bourgogne Franche-Comté où seulement 57% des répondantes ont déclaré avoir au moins une pièce éco-responsable dans leur dressing.

 

Mode : ce que veulent les femmes : qualité et durabilité

 

 

Pour plus de 8 femmes sur 10, la qualité et durabilité des vêtements est un critère important voire très important lors d’un achat de textile éco-responsable. Les consommatrices d’aujourd’hui ne veulent plus refaire leurs garde-robes chaque année : les Françaises veulent des pièces qui sont confortables et qui vont durer dans le temps.

 

Ensuite, dans les critères priorisés pour constituer son dressing éco-responsable, on retrouve à égalité les conditions de travail des employés qui fabriquent les vêtements et la matière de la pièce (80%).

 

Le pays de production arrive en 3ème position, probablement sous l’influence des multiples campagnes autour du « made in France » visibles depuis quelques années. Les Françaises veulent favoriser le circuit court et souhaitent encourager l’économie locale.

 

Enfin, on retrouve à la 4ème position les labels et certifications. Ces outils sont pourtant très utiles pour repérer des vêtements durables, mais peut-être manquent-ils de clarté pour le grand public ?

 

Le prix : frein numéro 1 aux achats eco-responsables

 

Aujourd’hui, près d’1 Française sur 3 estimes avoir un dressing pas du tout éco-responsable. Pourquoi ? Quels sont les freins ? C’est ce que Fairytale.eco révèle.

Sans surprise, le prix est le principal frein à l’achat de vêtements éco-responsables et éthiques (35%). Viennent ensuite, pour 18% des répondantes, le manque d’informations claires sur les produits ainsi que le fait de ne pas savoir où chercher pour 15% d’entre elles. Enfin, 13% des femmes interrogées déclarent que c’est le style qui les freine et 10% d’entre elles évoquent la crainte du greenwashing.

 

Mais alors, combien les Françaises sont-elles prêtes à payer pour un t-shirt éco-responsable, premier achat envisagé sous le prisme de l’éco-responsabilité selon le sondage ? 63% des répondantes aimeraient payer moins de 20 euros, 29% sont prêtes à dépenser entre 21 et 34 euros et seulement 8% acceptent de payer plus de 35 euros.

 

Classement des articles par ordre de priorité lorsqu’on construit son dressing éco-responsable

 

Classement (par ordre de priorité)

Produits

Pourcentage

1

T-shirt

57%

2

Pantalon/jean

55%

3

Pull

40%

4

Chaussures

27%

5

Robe/jupe

26,3%

6

Lingerie

23%

7

Sac à dos/sac à main

17%

 

 










*Méthodologie : enquête menée avec l’institut de sondage Toluna auprès de 1050 répondantes résidantes en France, entre 18 et 65 ans.

 

 

À propos de Fairytale.eco

 

Startup fondée en 2020, Fairytale.eco est une boutique en ligne de mode écologique et éthique pour femme proposant déjà plus de 40 marques engagées.

Véritable garant de l'éthique et de l'éco-responsabilité de chacune des marques disponibles sur son eshopFairytale fait preuve de transparence en détaillant pour tous les produits : la composition, les labels, les conditions de travail des fabricants et l'origine des matières.

 

Une mode optimiste, éco-responsable et éthique pour des femmes qui veulent se sentir belles dans leur style, fière de leurs vêtements et cela, sans culpabiliser.

 

Pour en savoir plus : www.fairtytale.eco - Facebook - Instagram

 

directeur de projet sap pour un cdi client final

Nous cherchons pour notre client dans le département 73 ou 74 les 2 sites sont possibles
 
un directeur de projet SAP pour un cdi 80/90 ke  (cdi client final)
l'éuipe interne et externe est de 15 personnes
vous dépendez du DSI
le poste est à pourvoir sous envion 1 à 3 mois
 
Etes vous actuellement à l'écoute du marché ? Dans l'affirmative merci de nous envoyer votre CV
 
NB : Il ne sera pas possible d'intervenir en mode prestation de service/freelance
NB : Il ne sera pas possible d'habiter dans un autre département que le 74 - 73 (par exemple, Lyon ou Grenoble n'est pas possible) 
 
 

Hervé Dulaire

IT Resourcer

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Enquête : l'impact de la crise sur la volonté de devenir freelance
Malt et Drag'n Survey ont lancé une enquête auprès des français pour comprendre l'impact de la crise covid-19 sur la volonté de devenir freelance.
 
Avec deux questions en tête :
1) La crise a-t-elle provoqué des vocations de freelances ?
2) Les Français, boostés par les nouveaux modes de travail comptent-ils céder aux sirènes de l'entrepreneuriat ?
 
Et on y apprend que 43% des actifs sondés l'envisagent dans les tous prochains mois et que pour 73% d'entre eux cette décision est due à la crise Covid. 

Nous avons interrogé 4 CSP de personnes pouvant être concernées être par cette modalité : Cadres et professions intellectuelles supérieures, Professions intermédiaires, Employés, Sans activité professionnelle.
Parmi eux, 43% déclarent vouloir devenir freelances dans les prochains mois.  

Le secteur du marketing & communication est le plus représenté avec un taux de 23,8%, le secteur tech vient ensuite avec un taux de 20,33%, puis le design & création avec un taux de 15,4%.

D'une manière générale, la volonté de devenir freelance est principalement conjoncturelle puisque pour 73% des personnes souhaitant devenir freelance qui affirment que la crise a eu un effet déclencheur et que c'est cette dernière qui leur a donné envie de se lancer en indépendant dans les prochains mois. Ils sont par ailleurs 43,7% des sondés affirment avoir un niveau de confiance élevé ou très élevé dans ce nouveau choix de carrière.  
 
 

La crise pandémique renforce l’attachement des Français à la forêt :

89% d’entre eux estiment qu’elle appartient au patrimoine français

au même titre que la gastronomie ou les monuments historiques

 

Alors que la crise sanitaire frappe la France depuis plus d’un an et réduit les occasions de profiter de la nature, les Français affirment plus que jamais leur attachement à la forêt. Déjà en juin 2020, à la sortie du confinement, 2/3 des Français déclaraient dans un sondage OpinionWay pour STIHL France, vouloir consacrer plus de temps à la nature.

 

Véritable choc existentiel, surtout chez les plus jeunes et les citadins, la crise sanitaire a révélé un besoin de plus de forêt. C’est l’un des enseignements d’un nouveau sondage OpinionWay réalisé en mars 2021 pour STIHL France à l’occasion de la Journée internationale des forêts le dimanche 21 mars.

 

 

Grands enseignements

 

• 92 % des Français déclarent aimer la forêt. Avec son lot de confinements et de couvre-feux, la crise sanitaire a suscité ou intensifié l’envie de forêt d’une large majorité de Français : 57 % ont ressenti cet effet, et plus encore les citadins (64 % dans les villes de plus de 100 000 habitants) et les plus jeunes (73 % des 18-24 ans).

 

• L’immense majorité des Français (89 %) estime que les forêts font partie du patrimoine national, un plébiscite qui place la forêt au niveau des grands fleurons nationaux que sont les monuments historiques et la gastronomie.

 

• Malgré les restrictions, les Français ont maintenu un lien privilégié avec la forêt : 56 % s’y promènent ou y pratiquent des loisirs au moins une fois par mois. Plus d’un Français sur cinq s’y rend au moins une fois par semaine. Parmi les raisons qui les poussent à se rendre en forêt figurent : la proximité avec la nature (67 %), l’éloignement de l’agitation (65 %) et la beauté des lieux (51 %).

 

• 61% des parents estiment que leurs enfants préserveront mieux la forêt que leur génération.

 

• Une large majorité des Français (67 %) se dit préoccupée par l’avenir des forêts en France et presque autant (62 %), souhaite une exploitation minimale, en privilégiant des outils manuels et des petites machines.

 

 

Un fort attachement personnel au patrimoine vert national

 

• 92 % des Français déclarent leur amour de la forêt. Bien que ce sentiment s’avère le plus prégnant chez les plus âgés (98 % chez les 50-64 ans et même 100 % chez les 65 ans et plus), il reste très élevé parmi les plus jeunes (80 % des moins de 35 ans), qui, malgré la culture du virtuel et de l’ultra-connexion, expriment une grande préoccupation pour la cause environnementale.

 

• A la question « les forêts font-elles partie du patrimoine français au même titre que ses monuments historiques ou que son patrimoine gastronomique ? », 89 % des Français répondent « oui ». Ce taux augmente selon l’âge pour atteindre 95 % chez les plus de de 65 ans. De même, les habitants des communes rurales sont plus nombreux à reconnaître la valeur patrimoniale des forêts (94 %).

 

• Avides de reconnexion avec la nature, les Français citent en priorité trois raisons qui les portent à aimer la forêt : la proximité avec la nature (67 %), l’éloignement de l’agitation (65 %) et la beauté des lieux (51 %).

 

• Plus de la moitié des Français (56 %) se rend en forêt au moins une fois par mois. La proximité géographique favorise ce lien puisque les plus assidus habitent les régions les plus boisées (ils sont 30 % dans le sud-ouest, 26 % dans nord-est, 25 % dans le sud-est), des communes rurales (27 %) et de moins de 20 000 habitants (26 %).

 

La crise sanitaire révélateur de l’envie de plus de forêt 

 

• Alors que 57 % des Français ont ressenti davantage l’envie d’aller en forêt en raison de la crise sanitaire, les conséquences de la pandémie diffèrent selon les classes d’âges. Ainsi, pour les deux tiers des générations Y et Z (moins de 35 ans), la pandémie a joué un rôle de révélateur, tandis que la moitié des générations du babyboom (65 ans et plus) restent sur leur rapport antérieur à la forêt.

 

• Cette envie a surtout grandi chez les habitants des villes de plus de 100 000 habitants (64 % déclarent avoir davantage envie d’aller en forêt), une preuve du besoin d’évasion en pleine nature.

 

 

Un sentiment d’inquiétude pour l’avenir… mais une confiance envers les nouvelles générations

 

• Plus de la moitié de la population (52 %) pense que la surface forestière décline, un indicateur de l’inquiétude des Français, alors qu’en réalité des études montrent une extension de la superficie des forêts depuis le milieu du XIXe siècle (source IGN).

 

• Deux Français sur trois sont inquiets pour l’avenir de la forêt en France (67 %, dont 21 % beaucoup), avec des différences marquées, notamment selon les générations. Les seniors s’avèrent les moins inquiets (58 %) alors que les jeunes de moins de 35 ans le sont davantage (69 %). Plus proches des forêts, les habitants des communes rurales se disent préoccupés à 72 %, contre 65 % dans les grandes villes.

 

• Pour les trois quarts des parents (77 %), la génération de leurs enfants a davantage besoin de la forêt que la leur. Pour autant, ils leur font confiance puisque près des deux tiers (61 %) estiment que leurs enfants préserveront mieux la forêt.

 

Une aspiration à une exploitation minimale de la forêt

 

• Si les professionnels (gardes-forestiers à 61 % et bûcherons à 34 %) sont considérés parmi les plus proches de la forêt, les promeneurs (à 45 %) et cueilleurs de champignons / baies (à 33 %) bénéficient également de cette reconnaissance.

 

• 62 % de la population préférerait une exploitation des forêts aussi réduite que possible. Là aussi les plus jeunes se distinguent puisque 70 % des 18 à 24 ans sont partisans d’une exploitation minimale et 16 % d’une exploitation zéro.

 

• Les Français rejettent clairement les méthodes industrielles de masse pour la forêt puisque 45 % des sondés estime qu’elles devraient être entretenues avec des haches et des tronçonneuses manuelles et 37 % avec de petites machines automatiques, contre 5 % avec des robots et machines d’abattage de gros volumes.

 

 

 

Ce sondage sur « Les Français et la forêt » réalisé pour STIHL par OpinionWay fait suite à celui du printemps 2020, juste après le confinement, qui soulignait l’attachement des Français au jardinage et leur souhait de s’y consacrer davantage. Une fois de plus, la preuve est apportée que l’amour de la nature, sa préservation et le besoin de s’y connecter ont été accentués par la crise sanitaire.

 

« Les résultats de ce sondage OpinionWay pour STIHL montrent clairement le puissant attachement des Français à la forêt, renforcé par la crise sanitaire », déclare Alexandre Thorn, président de STIHL France. « Avec ses partenaires professionnels, STIHL porte une responsabilité particulière vis-à-vis de la forêt et s’engage plus que jamais dans sa préservation à travers une exploitation durable et un entretien respectueux de la nature. »

 

Plus d’informations ou de données sur demande auprès du service de presse.

 

Méthodologie

Sondage réalisé par OpinionWay pour STIHL les 3 et 4 mars 2021 auprès d’un échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

 

A propos de STIHL

Le groupe STIHL développe, fabrique et distribue des outils motorisés destinés aux professionnels de la sylviculture et de l'agriculture ainsi qu’à l'entretien des jardins et des installations paysagères, au secteur de la construction et aux propriétaires de jardins privés. Cette gamme de produits est assortie de solutions et de services numériques. Ces produits sont distribués en ligne et par l'intermédiaire de revendeurs agréés, dont 41 filiales de vente et de commercialisation, environ 120 importateurs et plus de 53 000 revendeurs dans plus de 160 pays. STIHL dispose de ses propres usines de fabrication dans sept pays : Allemagne, États-Unis, Brésil, Suisse, Autriche, Chine et Philippines. STIHL est la marque de tronçonneuses la plus vendue au monde depuis 1971. La société a été fondée en 1926 et est basée à Waiblingen près de Stuttgart. En 2019, STIHL a réalisé un chiffre d'affaires mondial de 3,93 milliards d'euros avec un effectif de 16 722 personnes.

 

A propos de STIHL France

La filiale française de STIHL a été créée en 1984 et a généré un chiffre d’affaires de 303 millions d’euros en 2019.

STIHL France collabore avec un réseau de 1880 revendeurs et compte 193 collaborateurs répartis dans 3 sites. stihl.fr

 
 

Etude Juxta & OpinionWay

Les Français et les lieux de santé pendant la crise sanitaire

 

57% des Français ont l'intention de se faire vacciner contre la Covid-19 et 29% d'entre eux choisiraient un centre de santé pour cet acte

 

Villiers les Nancy, mars 2021 - Juxta, filiale du groupe DL Software et éditeur de logiciels de gestion dédiés aux centres de santé, publie les résultats de son étude, réalisée avec OpinionWay, sur la relation des Français aux lieux de santé pendant la crise sanitaire. Alors que la campagne de vaccination suit son cours, les Français ont-ils l'intention de se faire vacciner ? Où préféreraient-ils le faire ? Qu'est-ce qui les motive à choisir un lieu de santé plus qu'un autre ?

 

Retrouvez les principaux résultats de l'étude dans l'infographie disponible sur ce lien : 

« Les Français et les lieux de santé pendant la crise sanitaire »

 

 

Les centres de santé, accélérateurs de la vaccination ?

 

En novembre 2020, Juxta publiait la première édition de son étude révélant l'intérêt grandissant des français vis-à-vis des centres de santé, comparé aux lieux de santé traditionnels tels que les hôpitaux, cliniques et cabinets médicaux. Cinq mois plus tard, l'éditeur interroge à nouveau les Français sur leur état d'esprit en pleine campagne de test et de vaccination.

 

Parmi les résultats percutants de l'étude, on note que 57% des Français ont l'intention de se faire vacciner contre la Covid-19 (ils sont 42% chez les 18-24 ans alors qu'ils sont 83% chez les 65 ans et plus), et que 29% d'entre eux choisiraient un centre de santé pour cet acte. 26% des Français choisiraient également un centre de santé pour effectuer un test Covid-19.

 

Romain Léger, Directeur Général Adjoint de Juxta, explique ce nouvel engouement des Français pour les centres de santé : « La tension hospitalière et le manque de ressource des cabinets libéraux renforcent l'intérêt des Français pour les centres de santé. Leur taille intermédiaire, entre 10 et 50 praticiens, et leur implémentation dans les grandes métropoles sont des atouts de taille pour tester, vacciner et délivrer les soins traditionnels au plus grand nombre. Et les résultats de cette étude prouvent que les Français voient de plus en plus les centres de santé comme une alternative aux cabinets libéraux et aux hôpitaux. »

 

D'ailleurs, alors qu'en septembre 1 Français sur 5 s'était déjà rendu dans un centre de santé, en février 2021 ils étaient 1 sur 4. 

 

Les français redoutent l'affluence dans les lieux de santé

 

L'étude dévoile que depuis le début de la crise sanitaire : 

  • 64% des Français évitent de se rendre dans un lieu de santé, à moins que ce ne soit absolument nécessaire
  • 27% ont reporté une visite dans un lieu de santé 
  • Et, lorsque c'est nécessaire, 49% privilégient des lieux de santé moins fréquentés

« Intimement liés au contexte sanitaire, ces chiffres démontrent que les Français redoutent l'affluence dans les lieux de santé » constate Romain Léger. « Comme le temps passé en salle d'attente, le délai pour obtenir un rendez-vous avec un médecin est un des facteurs pouvant expliquer la hausse de fréquentation des centres de santé » poursuit-il. « Depuis l'essor des outils de prise de rendez-vous en ligne, les patients semblent moins attachés à la relation qu'ils tissent avec leurs praticiens. Ils sont plus facilement disposés à consulter un autre médecin que celui qui les suit habituellement, si tant est qu'ils puissent obtenir un rendez-vous plus rapidement. Or, c'est un des points forts des centres de santé ; ils bénéficient d'une structure et d'une organisation qui permettent de limiter les délais d'attente que ce soit en amont du rendez-vous ou le jour J. »
 

En effet, les résultats de l'étude dévoilent que, pour 34% des Français, le délai entre la prise de rendez-vous et la consultation est un des critères principaux pour choisir un lieu de santé. Les autres critères majeurs étant la qualité des soins reçus (47%) / du diagnostic (35%) et la proximité avec le domicile (44%).

 

Méthodologie : Sondage OpinionWay pour Juxta réalisé par questionnaire auto-administré en ligne les 17 et 18 février 2021 auprès d'un échantillon de 1005 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas (sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, catégorie d'agglomération et région de résidence).

 

A propos de Juxta :

Juxta, filiale du groupe DL Software, conçoit et adapte des solutions logicielles sur mesure, complètes, interopérables, centralisées et multi-écrans, qui sécurisent la gestion financière des centres de santé, simplifie l'organisation des praticiens et des collaborateurs, et rendent le parcours des patients plus agréables à vivre. Reconnu entre autres comme une référence pour la gestion du Tiers Payant, Juxta équipe en mode SaaS plus de 150 clients, tels que les centres de santé Croix-Rouge française, Mutualité française Jura, Eovi, Dentego, Dental Santé ou le groupe Dentalvia Medilor.

 

54 % de la TVA n'est pas réclamée :
une tâche jugée trop complexe par les entreprises
Une étude SAP Concur révèle les stratégies adoptées par les entreprises européennes pour préserver leur trésorerie

Paris, le 17 mars 2021 - Une nouvelle étude SAP Concur, intitulée "Le potentiel caché de la récupération de la TVA”, présente les moyens utilisés par les entreprises pour récupérer de l'argent en temps de crise du COVID-19, les raisons qui les empêchent de récupérer efficacement la TVA et les outils numériques mis en place par les entreprises européennes pour les aider à mieux exploiter ce potentiel caché à l'avenir*.

La pandémie a créé des défis radicalement nouveaux pour les chefs d'entreprise : au milieu d'un paysage fiscal déjà difficile, ils ont dû faire face à une recrudescence du travail à distance, à des gouvernements reportant les échéances de TVA et à des réglementations en évolution rapide, ce qui a conduit les collaborateurs à soumettre des notes de frais et des factures de manière inhabituelle. Face à cette équation complexe, les entreprises ont adopté des solutions à court terme pour maintenir leur trésorerie, telles que l'encouragement  du paiement rapide des factures (25%) et de la productivité du personnel (24%).
 
Dans leur quête d'un solde positif, la plupart des entreprises ont négligé la récupération de TVA, alors qu'elle pourrait augmenter leurs revenus. Selon l'étude, ceci est dû à 3 facteurs :
  • Des processus inadaptés de soumission de notes de frais et de factures multi-TVA : 22 % des responsables financiers déclarent ne pas récupérer la TVA parce que les employés soumettent des notes de frais avec des informations manquantes ou incorrectes et 23 % ne récupèrent pas la TVA en raison de taux de TVA différents pour des éléments figurant sur la même note de frais. 
  • Une utilisation inefficace des outils numériques : bien que 60 % affirment avoir mis en place les outils numériques nécessaires pour récupérer la TVA, 52 % admettent ne pas en tirer le meilleur parti.
  • La complexité du traitement des demandes et de la mise en conformité : 48 % des entreprises s'attendent à un avenir financier encore plus sombre, avec des audits plus fréquents et des sanctions punitives en cas de non-conformité.
 
Pierre-Emmanuel Tetaz, SVP et directeur général EMEA de SAP Concur, explique : "La récupération de la TVA peut être un exercice notoirement complexe qui demande beaucoup d'attention et de temps, depuis le moment où les collaborateurs soumettent leurs notes de frais, jusqu'aux formulaires fiscaux que les équipes financières soumettent à la fin de l'année fiscale. En outre, l'avalanche de remboursements de taxes et les changements de mesures gouvernementales dans le contexte de la crise de la COVID-19 ont encore compliqué le processus. Il est important de préciser que la récupération de la TVA peut être une option importante pour maintenir la trésorerie mais, plus important encore, les questions de conformité doivent être prises en compte.”
 
Alors que les entreprises se tournent vers l'avenir, les dirigeants commerciaux et financiers commencent à voir comment les solutions basées sur l'IA les aideront à mieux exploiter le potentiel de la TVA, avec :
  • 34 % des chefs d'entreprise pensent qu'il fournira de meilleures données et de meilleurs rapports pour optimiser les dépenses de l'entreprise et identifier les possibilités d'économies,
  • 32 % des responsables financiers y voient une occasion de déployer leur équipe sur des priorités plus stratégiques,
  • 27 % des chefs d'entreprise pensent que cela réduira le risque de pénalités dues à des erreurs ou à la non-conformité aux réglementations.
“Chez SAP Concur, notre solution numérise le processus de conformité, maximise la récupération de la TVA payée et réduit le risque de pénalités pour non-conformité, ce qui contribue à alléger la charge des responsables financiers en cette période de crise et au-delà. Nous sommes ravis de continuer à innover en temps de crise et de proposer notre solution, Concur Tax Assurance by VATBox, qui répond aux défis auxquels nos clients sont confrontés." conclut Pierre-Emmanuel Tetaz.
 
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A propos de SAP Concur
SAP® Concur® est la référence mondiale en matière de solutions intégrées de gestion des frais et déplacements professionnels.
Elle est animée par une volonté constante de simplifier et d'automatiser ces processus quotidiens. Son application mobile, largement plébiscitée, guide les employés dans tous leurs déplacements, les dépenses sont intégrées directement dans les notes de frais et l'approbation de celles-ci est automatisée. En intégrant des données en temps quasi réel et en utilisant l'IA pour vérifier 100 % des transactions, les entreprises peuvent voir exactement ce qu'elles dépensent sans se soucier de potentielles zones d'ombres dans leur budget. Les solutions SAP Concur éliminent les tâches fastidieuses d'hier, facilitent le travail d'aujourd'hui et aident les entreprises à fonctionner au mieux de leurs capacités chaque jour.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site concur.fr ou sur le blog SAP Concur.
 

*Le rapport “Le potentiel caché de la récupération de la TVA” est basé sur l'opinion de 3 587 personnes interrogées en France, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas, dans les pays nordiques, en Espagne et au Royaume-Uni. L'enquête a été menée par Censuswide en janvier/février 2021.*

 

Avec Ma Cycloentreprise, l'Adie encourage et finance les entrepreneurs pour qu'ils lancent leur business à vélo

 

Parce que de plus en plus d'entrepreneurs sont soucieux de l'impact écologique de leur activité, l'Adie et Les Boîtes à Vélo France proposent un programme 100 % gratuit pour informer, conseiller et financer les petits entrepreneurs locaux afin qu'ils optent pour la cyclomobilité.

 

Une initiative écoresponsable pour développer la mobilité douce auprès des créateurs d'entreprise

Agir en faveur de l'environnement en facilitant, partout en France, le passage au vélo des entrepreneurs et des candidats à la création d'entreprise, tel est l'objectif du programme Ma Cycloentreprise. Portée par Eni Gas & Power France, en réponse à un appel à programmes du ministère de la Transition écologique pour développer des formes de mobilité alternatives, cette initiative innovante s'appuie sur l'expertise de deux associations de terrain : Les Boîtes à Vélo, qui promeuvent le travail et l'entrepreneuriat à vélo, et l'Association pour le droit à l'initiative économique (Adie), qui finance et accompagne partout en France des créateurs d'entreprise dont les projets n'ont pas accès au crédit bancaire.

« Le programme Ma Cycloentreprise a été un accélérateur et le microcrédit de l'Adie m'a permis de financer la remorque et le vélo. Au global, le financement pour me lancer est de 7000 €, soit bien moins que si j'avais investi dans un camion. En en plus cela me permet d'exercer mon activité sans polluer ! ». David, cycloentrepreneur paysagiste à Rennes.

Dans le contexte favorable de la loi LOM, la cyclomobilité a de l'avenir, notamment dans le domaine de la livraison sur le dernier kilomètre, mais pas uniquement. Depuis le lancement du programme, l'Adie a en effet financé des projets aussi variés que des entreprises de nettoyage de locaux, d'organisation de teambuildings, de traiteur itinérant, ou encore un paysagiste. En somme, tout entrepreneur ayant besoin d'effectuer des trajets professionnels courts peut suivre une des formations gratuites proposées régulièrement dans 15 villes de France, à Angers, Rennes, Nantes, Bordeaux, Lille, Rouen, Orléans, Tours, Montpellier, Toulouse, Marseille, Lyon, Grenoble, Strasbourg et Paris.

 

Sondage IFOP/Aladom : Quand la bise ne sera plus la bienvenue

Dans un tweet publié hier soir, le Premier ministre Jean Castex a déclaré : « Ça y est, c’est fini, vous pouvez vous embrasser » : le jour où je prononcerai ces mots, je serai un Premier ministre heureux ».

Mais comme le montre l’enquête réalisée par l’IFOP pour le site de services à la personne Aladom, une année de Covid-19 a mis à mal la traditionnelle bise à la Française : s’ils étaient 40% à faire la bise à des inconnus pour se présenter avant le début de la crise sanitaire, 78% des Français déclarent aujourd’hui qu’ils renonceront à cette forme de salutation lorsque la crise sera derrière nous, et 50% qu’ils éviteront même d’embrasser des proches, des amis ou des collègues.

L’étude montre également que le port du masque restera présent dans notre quotidien : 74% des personnes interrogées indiquent qu’elles porteront un masque dans la rue et les transports en commun lorsqu’elles seront malades même lorsque le virus ne sera plus au cœur de nos préoccupations. Et 50% se disent prêtes à porter leur masque à l’occasion de la visite à leur domicile d’une personne extérieure, artisan ou service à la personne.

Si dans cette même enquête, les Français expriment clairement leur mal-être (47% jugent leur vie difficilement supportable sur le plan psychologique et 40% affirment avoir un mauvais moral) et estiment pour 71% d’entre eux qu’il n’y aura pas de retour à la normale après la crise sanitaire, force est de constater qu’ils ont, pour une grande part d’entre eux, pris de bonnes habitudes pour limiter à l’avenir la propagation de maladies contagieuses. 

 

SONDAGE EXCLUSIF BADOO

     LES APP DE DATING :

LA NOUVELLE SOLUTION FACE AU SENTIMENT

DE SOLITUDE DES JEUNES

 

 

• 62% des « daters » de 18 à 35 ans déclarent se sentir moins seuls en étant inscrits sur une application de dating • 52% des daters de 18 à 35 ans affirment chercher une relation plus sérieuse qu’avant le début de la pandémie • 46% des daters de 18 à 35 ans ont remarqué que, depuis le début des mesures de confinement, les autres utilisateurs d’applications de dating recherchent davantage des amis ou quelqu’un à qui parler • 44% des daters de 18 à 35 ans sont plus enclin à avoir des conversations plus longues

Paris, le 17 mars 2021 - Dans un sondage exclusif (réalisé du 16 au 21 février auprès de 1000 personnes) sur l’évolution du comportement des Français de 18 à 35 ans en matière de dating depuis le début de la pandémie de Covid-19 (mars 2020), l’application de rencontre Badoo met en lumière de profondes évolutions dans leur façon de faire des rencontres.

 

Plus que jamais en quête de liens sociaux, ils privilégient la sincérité, tout en adaptant les codes de séduction au « nouveau monde » créé par la pandémie. Parfois avec de belles surprises à la clé.

 

Le sondage Badoo révèle que les applications de rencontres dépassent désormais leur rôle social traditionnel. En plus de servir à trouver l’amour, elles servent de plus en plus à trouver l’amitié.

 

  • 62% des jeunes français disent se sentir moins seuls en étant inscrits sur une application de dating. Ce chiffre augmente jusqu’à 72% chez les 22-25 ans, tranche d’âge particulièrement sensible à la fermeture des lieux de sociabilisation (établissements d’enseignement supérieur, bureaux, sorties, etc.)
  • Les jeunes utilisateurs d’applications de dating sont 46% à observer que les autres utilisateurs s’en servent davantage pour se faire des amis ou trouver quelqu’un à qui parler depuis le début de la crise sanitaire.

 

Par ailleurs, l’épidémie de la Covid-19 favorise la quête de sincérité des daters. Ils affirment être à la recherche de relations plus vraies, et prennent plus le temps de discuter avec leurs interlocuteurs.

 

  • 52% déclarent rechercher une relation plus sérieuse qu’avant le      début de la pandémie (mars 2020)
  • 44% sont plus enclins à avoir de plus longues discussions et ainsi faire mieux connaissance avec leurs interlocuteurs

 

En plus de modifier leurs aspirations, les jeunes usagers d’applications de rencontre adaptent les codes du premier rendez-vous aux contraintes de la pandémie. Les « video date » changent la donne (une habitude pour 27% des sondés), avec des effets positifs inattendus.

 

  • 41% déclarent se sentir « plus eux-mêmes » lors d’un video date (29% n’y voient pas de différence, 22% se sentent « moins eux-mêmes »)
  • Les video date favorisent une attitude plus naturelle: 47% des sondés préfèrent porter leurs vêtements de tous les jours lors d’un video date, alors que 31% préfèrent les choisir avec attention. Le contraste avec le rendez-vous physique est frappant puisque 59% des jeunes déclarent soigner leur apparence à cette occasion (35% préfèrent rester au naturel)

 

A rebours des idées reçues, ce sondage montre que les jeunes ont plutôt bien intégré les gestes barrières dans leur vie amoureuse.

 

  • Pour un premier rendez-vous physique, 63% portent le masque, et/ou 52% respectent les mesures de distanciations sociales. Seuls 17% des sondés n’appliquent aucune de ces deux mesures

 

Stéphanie Gabriel, directrice de Badoo France déclare : « La pandémie de la Covid-19 a bouleversé le comportement des Français présents sur les applications de dating. On constate que ces dernières représentent un véritable moyen pour déjouer la solitude et se faire de nouvelles connaissances, voire des amis. Les Français sont également à la recherche de relations plus profondes et plus sincères qu’auparavant. »

Méthodologie

Badoo s'est associé à l’institut de sondage OnePoll pour révéler les tendances de dating en période de pandémie. L'étude a été réalisée entre le 12 et le 26 février 2021 auprès d’un échantillon de 1000 répondants français basés en France et âgés de 18 à 35 ans.

 

 

Contact Presse
Agence Grayling
01 55 30 70 92 / 01 55 30 80 96
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. .
Shahinez Djoudi / Dieynaba Kebe / Manuel Chaplet

 

À propos de Badoo

Lancée en 2006, Badoo est l'application de rencontre qui encourage ses utilisateurs à faire des rencontres honnêtes. Badoo fonctionne dans 190 pays et est disponible dans 51 langues différentes, ce qui en fait le réseau de rencontres le plus utilisé au monde. Badoo est un service gratuit, qui offre des abonnements supplémentaires aux utilisateurs. L'application est disponible sur iOS, Android et le web.

À propos de Bumble

Bumble est la société mère qui exploite Badoo et Bumble, deux des plus grandes applications de rencontre et de connexion avec une base d'utilisateurs combinée de plus de 600 millions dans le monde. L'application Bumble a été fondée Whitney Wolfe Herd en 2014, désormais PDG du Groupe. Bumble est détenue en majorité par Blackstone et compte plus de 600 employés dans des bureaux à Austin, Londres et Moscou.

 

 

 

Citigate Dewe Rogerson x Grayling est une agence de conseil en communication intégrée, filiale du groupe Huntsworth coté à la Bourse de Londres. Forte d’une expertise de plus de 25 ans, l’agence accompagne ses clients dans la conception et la mise en œuvre de leur stratégie de communication en France et à l’international en s’appuyant sur un double réseau de premier plan en Europe, aux Etats-Unis ou en Asie. Le bureau parisien propose des services intégrés – communication corporate, financière, de marque, affaires publiques, communication de crise, marketing digital, etc. –, et compte aujourd’hui 35 consultants.

 

Grayling a été élue Agence Affaires Publiques de l’Année lors des SABRE Awards EMEA 2019.

 

28 secondes pour découvrir comment nous abordons 2020 !

 

Mars 2021 – Baromètre des salaires des métiers de la santé en intérim

Avec une crise sanitaire omniprésente depuis maintenant 1 an, les professionnels de la santé sont très souvent sous tension et le besoin d’intérimaires se fait ressentir pour les soutenir.

Ainsi, Mistertemp’group a mis en poste plus de 3 500 intérimaires depuis de début de la crise sanitaire dans les métiers de la santé et propose encore aujourd’hui plus de 850 postes à pourvoir.

Le leader de l’intérim digitale, fort de son réseau d’agences a établi son baromètre trimestriel des salaires en intérim des métiers de la santé.

Voici les salaires moyens associés pour certains métiers* :

  • Infirmier : 2 300 euros brut par mois (soit 15,17 euros brut de l’heure)
  • Aide-soignant : 1786 euros brut par mois (soit 11,78 euros brut de l’heure)
  • Ambulancier : 1622 euros brut par mois (soit 10,7 euros brut de l’heure)
  • Educateur spécialisé : 1847 euros brut par mois (soit 12,18 euros brut de l’heure)
  • Kiné : 3222 euros brut par mois (soit 21,25 euros brut de l’heure)
  • AMP – Aide Médico Psychologique : 1745 euros brut par mois (soit 11,51 brut de l’heure)
  • Auxiliaire de Puériculture : 1674 euros brut par mois (soit 11,04 brut de l’heure)
  • IBODE – Infirmier de Bloc Opératoire : 3250 euros brut par mois (soit 21,43 euros brut de l’heure)

 

*salaires moyens constatés dans les offres à pourvoir dans toute la France proposées par Mistertemp’group

 

Etude Visa/ GfK [Paiement] : digitalisation et habitudes de consommation

42% des Français déclarent payer davantage en sans contact

depuis le début de la crise Covid-19

 

 

 

 

  • Visa a mandaté le cabinet de conseil GfK pour conduire une enquête sur l'impact de la Covid-19 sur les habitudes de paiement en Espagne, en France, en Italie et au Portugal.
  • Depuis le 1er confinement, les Français déclarent privilégier le paiement sans contact (+42%) et les cartes de paiement (+34%) en magasin, et faire davantage leurs courses en ligne : un quart des sondés se sont mis au e-commerce (22%)
  • 34% des consommateurs ont déclaré avoir réduit leur utilisation d’espèces depuis le début de la crise de la Covid-19.
  • Ces changements des comportements d'achat pourraient bien être permanents : d’ores et déjà, les consommateurs français perçoivent que les commerçants sont moins réticents à accepter  les paiements par carte en magasin (pour 34% d'entre eux).

Paris, le 16 mars 2021 - Dans le cadre de son engagement à soutenir les économies locales dans cette période d’incertitude en leurs aidant à identifier des opportunités de développement, Visa a mandaté GfK de mener une enquête auprès de consommateurs en Espagne, en France, en Italie et au Portugal sur les nouvelles tendances de paiements en magasins et en e-commerce.

Selon l’étude, avant la Covid-19, la France était le pays qui avait le moins recours aux paiements en espèces parmi les pays interrogés et le plus utilisateur du paiement sans contact (77% des Français privilégient le paiement en espèces en magasin vs 86% en Italie et 83% en Espagne et Portugal). Sur ce marché déjà mature, l’étude montre que le confinement a accéléré l’adoption des solutions de paiement digitales. Désormais, les consommateurs français les considèrent comme le meilleur moyen de payer en magasin et en ligne. En France, l’étude met en exergue une baisse de 34% des paiements en espèces ainsi qu’une augmentation de l’utilisation du sans contact (+42%) et des paiements par carte (+34%) en parallèle. Le e-commerce, pour sa part, fait un bond de +37%. De plus, de nouveaux modes de paiement apparaissent : +8% utilisent les portefeuilles numériques en ligne et +2% en magasin. 

« La fermeture des magasins et la pandémie ont conduit les clients à adapter leur mode de paiement en magasin et en ligne », explique Romain Boisson, Directeur Général de Visa en France. " La digitalisation des commerces physiques ainsi que le e-commerce ont été une bouée de sauvetage pour les consommateurs et les commerçants français. Nous avons été en première ligne pour promouvoir les paiements sans contact en magasin et aider les PME à ouvrir des markets place en ligne, en collaboration avec nos clients, les banques".

 

L'étude prouve que la pandémie accélère considérablement les changements d’habitudes d’achat des consommateurs français et leur manière de payer.

 

« En France, la COVID-19 a transformé les habitudes d’achat, et notamment de paiement en fonction de nouveaux besoins : l'essor du digital, et en particulier du paiement sans contact que nous avons observé, peut être considéré comme le signal fort de l'importance accordée par les consommateurs à la sécurité et à la commodité » explique François Le Gunehec, Responsable d’étude chez GfK France. « Aujourd'hui, nous constatons également que les consommateurs attendent des marques une mission plus large, prouvant que leurs intérêts ne sont pas que commerciaux, mais qu’elles sont prêtes à jouer leur rôle pour contribuer à la communauté au sens large. »*

 

En magasin, la carte de paiement et le paiement sans contact s’ancrent dans le quotidien des Français, alors que de nouveaux moyens de paiement commencent à émerger

 

Une tendance également soulignée par La Banque de France en septembre dernier : « La carte de paiement reste le moyen de paiement le plus utilisé en termes de nombre de transactions (58%) notamment en raison du doublement de l'utilisation du paiement sans contact »* .

 

Une attention accrue est portée sur la sécurité et la praticité a entraîné l’essor du paiement sans contact en magasin : 42% des clients français ont déclaré que, depuis la crise du coronavirus, ils utilisent plus qu'avant le paiement sans contact. Les Français adoptent également les habitudes de paiement sans contact dans des secteurs où le paiement en espèces était ancré dans les habitudes : le stationnement et les transports publics (36% des Français utilisent de plus en plus le paiement sans contact). Ceci reflète une tendance nationale : les villes en France sont de plus en plus nombreuses à adopter l’Open Payment dans leurs réseaux de transport public.

 

Autre conséquence de la pandémie, les consommateurs français commencent à adopter de nouveaux modes de paiement tels que le paiement mobile (+6%) et les portefeuilles numériques / applications qui permettent de débiter directement un compte (+2%).

 

 

Source : étude GfK pour Visa « l’impact de la Covid-19 sur les habitudes de paiement des consommateurs », Novembre 2020

La crise a levé des freins du paiement sans contact, qui entre lentement mais sûrement dans le quotidien des Français

 

En mai dernier, Visa a travaillé avec ses partenaires en France pour augmenter les limites de paiement sans contact jusqu'à 50 euros, afin d'aider les consommateurs à payer plus facilement et de manière plus sûre, en limitant les situations nécessitant de saisir son code secret. Les consommateurs français interrogés dans le cadre de l’étude portent un regard bienveillant sur cette hausse du plafond du paiement sans contact : 81% le perçoivent comme positif. Et cette évolution pourrait bien être permanente car, comme le suggère l’étude, ils sont prêts à adopter de manière pérenne le paiement sans contact et le paiement par carte : 66% d'entre eux souhaitent conserver la limite relevée dans le futur. Cette attitude positive montre que les Français privilégient les moyens de paiement pratiques et faciles : 34% des Français interrogés souhaitent même pouvoir laisser leur portefeuille à la maison et tout payer avec leur smartphone! 

 

La sécurité est la clé de l'adoption du paiement digital, et on constate l’essor de la confiance des Français envers les nouveaux moyens de paiement. Ce sont des signes encourageants et des clés pour les commerçants afin de rassurer leurs consommateurs et de s'adapter à ce nouveau paradigme.

 

L’e-commerce en plein essor en France depuis le confinement

 

Les Français se situaient déjà en tête des acheteurs en ligne, avant même le confinement (64%). Les restrictions de déplacement et les fermetures de magasins non essentiels ont boosté l’e-commerce.

Consommateurs et commerçants ont saisi la possibilité d'acheter et de vendre en ligne, comme l'a souligné la Fédération du E-commerce et de la Vente A Distance (FEVAD) au deuxième trimestre 2020 : « Ce sont les achats en ligne auprès des enseignes magasins qui ont le plus accéléré ce trimestre avec une progression de +83% »** . L’étude menée avec GfK montre que de nombreux clients qui préféraient auparavant faire leurs achats en magasin ont opté pour les achats en ligne : près de la moitié des clients français ont commencé ou augmenté leurs achats en ligne (47%). Sans surprise, l'ordinateur portable reste de loin l'appareil préféré pour faire ses achats en ligne (60%), tandis que le smartphone est utilisé par 40% des clients français et la tablette par seulement 14%. Mais qu’est-ce-que les Français achètent en ligne depuis la crise de la Covid-19 ? Selon les Français interrogés par GfK, principalement les produits de première nécessité : les produits alimentaires (+14% des acheteurs français) et les produits d'hygiène (+11% des acheteurs français).

Source : étude GfK pour Visa « l’impact de la Covid-19 sur les habitudes de paiement des consommateurs », Novembre 2020

À noter que, si l’étude montre que le commerce électronique se développe en France après le premier confinement, la tendance n'est pas aussi forte que dans des autres pays interrogés : la croissance des cartes de paiement est de +15% (vs. +20% d'augmentation en moyenne) et celle du portefeuille numérique de +8% en France (vs. +17% en Espagne et +13% en moyenne). Néanmoins, la commodité, la sécurité et l'innovation devraient continuer à façonner les habitudes françaises en matière d’e-commerce.

 

* Rapport annuel de la Banque de France 2019

** FEVAD, résultats du e-commerce pour le second trimestre 2020

 

Méthodologie

L'enquête a été menée par GfK Consumer Intelligence en France, en Italie, au Portugal et en Espagne. 3 200 personnes ont été interrogées (800 pour chaque pays) en août et septembre 2020 sur leur perceptionet leurs pratiques de paiement.

Les études de cas, les comparaisons, les statistiques, les recherches et les recommandations sont fournies "en l’état" et ne sont destinées qu'à des fins d'information. Il ne faut pas se baser sur cette étude pour obtenir des conseils opérationnels, marketing, juridiques, techniques, fiscaux, financiers ou autres. Visa Inc. ne donne aucune garantie ni ne fait aucune déclaration quant à l'exhaustivité ou à l'exactitude des informations contenues dans ce document, et n'assume aucune responsabilité qui pourrait résulter de la confiance accordée à ces informations. Les informations contenues dans le présent document ne sont pas destinées à servir de conseils en matière d'investissement ou de droit, et les lecteurs sont encouragés à demander l'avis d'un professionnel compétent lorsqu'un tel avis est nécessaire.

 

À propos de Visa Inc.

Visa Inc. (NYSE : V) est le leader mondial des paiements digitaux. Notre mission est de connecter le monde via le réseau de paiement le plus innovant, fiable et sécurisé du marché, permettant aux individus, aux entreprises et aux économies de prospérer. VisaNet, notre réseau de traitement mondial, permet un paiement fiable et sécurisé partout dans le monde et est capable de traiter plus de 65 000 transactions par seconde. L’innovation perpétuelle chez Visa est un catalyseur de croissance rapide pour le commerce connecté sur tous les terminaux. Alors que nous passons d’un monde matériel à un monde digital, Visa mobilise sa marque, ses produits, ses équipes, son réseau et sa taille pour redéfinir l’avenir du commerce.

Pour en savoir plus, consultez Visa.fr, le blog de Visa France et @Visa_Fr.

 

 

Étude : Et si le reconditionné était la nouvelle tendance 2021 ?


64,2% des Français seraient prêts à acheter un smartphone reconditionné

Une étude réalisée par Coverd auprès d'un panel de Français s'intéressant à la téléphonie
 

 

Paris, 16 mars 2021 - Aujourd'hui, acheter un smartphone neuf représente un sacré budget que les Français ne souhaitent plus allouer. D'après le baromètre réalisé par Recommerce, ce serait plus de 110 millions de téléphones qui dorment dans les placards sans être utilisés ; ce qui représente une aberration écologique. En effet, le marché du reconditionné est en forte croissance car les Français cherchent de plus en plus à avoir une consommation responsable et à faire attention à leur porte-monnaie. Autant dire que ce marché a le vent en poupe. Coverd, la première insurtech française spécialisée dans la couverture de smartphone, a décidé de s'intéresser à ces nouveaux comportements et d'en tirer des conclusions : Est-ce que le reconditionné représente la nouvelle tendance 2021 ?

 

Coverd met en exergue 5 infos révélatrices pour mieux comprendre ces nouveaux comportements. Décryptage en chiffres. 

 

Plus de 30% des Français ont acheté un produit reconditionné en 2021

 

Les reconditionneurs avaient abordé la pandémie avec prudence. Les acteurs français avaient reconstitué leurs stocks en début d'année, mais craignaient la rupture, alors que les ventes ont explosé avec la généralisation du télétravail. Après quelques soubresauts, les usines ont été adaptées à la situation sanitaire et l'activité a repris à un rythme soutenu. En effet, selon l'étude réalisée par Coverd, il semblerait que les Français soient enclins à passer du côté reconditionné car plus de 30% ont déjà passé le cap en 2021. 

 

64,2% des Français seraient prêts à acheter un smartphone reconditionné 

 

D'après cette même étude, Coverd nous apprend quels sont les objets que les Français seraient prêts à acheter. S'ils sont plus de 64% à être prêts à acheter un smartphone, il semblerait aussi que les tablettes et les ordinateurs (25%) ne soient pas exclus de leur panier. De plus, il semblerait que 24,5% soient prêts à acheter de l'électroménager reconditionné. Autrement dit, tout le secteur semble être prometteur. 

 

84% des Français sont favorables au reconditionné et 72,7% sont séduits par le côté éco-responsable

Le marché du reconditionnement permet de réaliser de bonnes affaires. On trouve des terminaux haut de gamme à moindres frais, 30 à 50% moins chers, par exemple des iPhone vieux de deux à trois ans quelque peu démodés en termes de marketing mais qui n'ont pas beaucoup vieilli sur le plan des performances. Les prix sont légèrement supérieurs à ceux pratiqués sur le marché de l'occasion mais les produits bénéficient de davantage de garanties. C'est ce qui séduit plus de 84% des Français aujourd'hui. De plus, les Français semblent séduits par : 

 

  • l'aspect éco responsable (72,7%) 

  • le prix (72%)

  • la garantie (38,2%) 

 

Le reconditionnement connaît déjà un bon succès en France, avec 2,2 millions de téléphones reconditionnés vendus l'an dernier, selon Kantar (pour un total de 20 millions de smartphones vendus). Dans le cadre de la lutte contre le gaspillage et l'obsolescence programmée, le gouvernement a l'intention de pousser encore davantage les feux sous cette activité.

 

69,1% achèteraient leurs produits reconditionnés en ligne 

 

Grâce à la reconnaissance médiatique d'acteurs comme Recommerce ou encore BackMarket, les Français seraient presque 70% à préférer acheter leur produit reconditionné en ligne. En effet, la mauvaise connaissance des boutiques physiques nous montre que les français ne seraient que 58% à faire le pas d'aller en magasin. Pour aller encore plus loin, ils ne seraient que 5,5% à passer par des réseaux sociaux. 

 

Seulement 25% des Français savent que l'on peut assurer son produit reconditionné 

 

Moins mis en avant sur les sites de revente, il est pourtant possible d'assurer son produit reconditionné. A l'instar de Coverd, l'assurance en ligne, qui permet de pouvoir assurer son smartphone reconditionné en quelques clics. 

 

A propos de Coverd 

Créée en 2019 par Hugo Saias, Coverd est une jeune insurtech française spécialisée dans la couverture de smartphones neufs, d'occasion, de seconde main, reconditionnés ou loués. La plateforme propose un abonnement sans engagement, uniquement en ligne, autour de trois piliers : la protection via des accessoires envoyés régulièrement à ses abonnés, un support technique premium et la réparation ou le remplacement du smartphone en cas de casse, oxydation, panne de batterie ou vol. Pour en savoir plus : https://www.coverd.co/ 

 

Rénovation énergétique des logements : près d’un Français sur deux estime nécessaire de réaliser des travaux de rénovation énergétique dans son logement

2/3 des Français ne connaissent toujours pas les aides financières disponibles Quand 1 Français sur 5 n’a aucun budget à accorder à ces travaux

 

Plus de la moitié des Français considère que la rénovation énergétique devrait être obligatoire

 

Paris, le 17 mars 2021 – Alors que les reconfinements locaux et les couvre-feu imposés par la crise sanitaire obligent les Français à rester plus longtemps chez eux, le confort dans les logements est plus que jamais primordial. Le dernier baromètre Monexpert-renovation-energie.fr, réalisé avec OpinionWay, montre que près d’un Français sur deux estime nécessaire d’entamer des travaux dans son logement (45%) avec un budget moyen de 3071 euros. Un montant encore insuffisant pour effectuer des travaux efficaces.

 

Près d’un Français sur cinq n’a pas de budget à investir dans des travaux de rénovation énergétique

 

Si 45% des Français estiment nécessaire de réaliser des travaux de rénovation énergétique dans leur logement, sur le principe, c’est même 85% qui estiment que la rénovation énergétique est une vraie nécessité pour réduire notre consommation d'énergie au niveau national et plus d’un particulier sur deux considèrent qu’elle devrait être obligatoire (57%).

 

Alors que le gouvernement prévoit une interdiction de louer des logements classés F ou G d’ici 2023, 14% des Français déclarent encore vivre dans une passoire énergétique et un habitant sur deux (43%) avoir froid en hiver dans son logement. N’oublions pas qu’avoir froid en hiver, c’est aussi avoir un logement mal préparé pour faire face aux vagues de chaleur et aux épisodes caniculaires qui deviennent de plus en plus fréquents.

 

Face à cette nécessité, les Français accorderaient un budget de 3071 euros à la réalisation de travaux de performance énergétique en 2020, soit 605 euros de plus qu’en 2019, mais toujours insuffisant pour effectuer des travaux efficaces. Si 56% des Français disposent de plus de 1000 euros pour les financer, 37% déclarent disposer de moins de 1000 euros pour les financer et même 18% ne disposent d’aucune enveloppe budgétaire. Le corolaire de cette situation est la nécessité absolue de réduire, une fois les aides existantes déduites, le reste à charge des ménages, en particulier pour les plus modestes.

 

A l’heure où le gouvernement vient d’annoncer la fin anticipée des coups de pouces isolation et chauffage au gaz prévue en juin, un Français sur deux envisage de réaliser au moins un type de rénovation énergétique dans son logement (51%) à l’avenir :  le changement des fenêtres (53%), l’isolation des combles (50%) le changement du système de chauffage (45%) et l’isolation des murs (44%), jusqu’à une rénovation complète du logement (33%). A ce titre, Monexpert, favorable à la rénovation globale, souhaiterait pour autant ne pas voir disparaître trop tôt les travaux mono geste au risque de pénaliser les ménages les plus modestes.

 

Avec des aides qui évoluent « trop » vite, les Français sont perdus et la volonté d’un prestataire unique se dégage

 

Dans le maquis des aides en évolution permanente et ce malgré les campagnes d’information, les Français ne semblent toujours pas connaître les dispositifs publics disponibles pour réaliser ces travaux, ni les organismes les proposant. Ainsi, plus des deux tiers des particuliers (71%) ne sont pas en mesure de citer une aide financière. Côté aides publiques, seule MaPrimeRénov mise en place début 2020 et les « aides de l’Etat » sont citées par 5% des Français, suivies par les aides de l’ANAH et le Crédit d’impôt (4%). Dans la même logique, les acteurs et organismes portant les aides à la rénovation énergétique restent mal identifiés.

 

Pourtant convaincus de l’intérêt de la rénovation énergétique, les Français restent perdus et ne passent pas à l’action. Afin de faciliter les démarches et simplifier les travaux, une solution émerge largement : pouvoir s’appuyer sur un interlocuteur unique avant, pendant et après leur projet. Un accompagnement sur-mesure plébiscité par 77% des particuliers pour l’analyse du devis, le choix de l’artisan, le suivi du chantier et les démarches administratives pour l’obtention de toutes les aides auxquelles ils ont droit.

 

L'étude complète disponible ici

Contacts presse :

Isabelle Rohmer : 06 21 47 19 35 / Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

- Jérôme Saczewski : 01 80 89 87 12 / Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

*Méthodologie de l’enquête OpinionWay

La sixième édition du baromètre « Les Français et la rénovation énergétique » réalisée pour Monexpert-renovation-energie.fr, est destinée à comprendre et analyser le rapport que les Français entretiennent avec les travaux de rénovation énergétique. 

Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 2116 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence.

Les interviews ont été réalisées par questionnaire autoadministré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview).  Les interviews ont été réalisées du 07/10/2020 au 11/10/2020.

Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : « Sondage OpinionWay pour Monexpert-renovation-energie.fr » et aucune reprise de l’enquête ne pourra être dissociée de cet intitulé.  OpinionWay rappelle par ailleurs que les résultats de ce sondage doivent être lus en tenant compte des marges d'incertitude : 1 à 2,2 points au plus pour un échantillon de 2000 répondants.

OpinionWay a réalisé cette enquête en appliquant les procédures et règles de la norme ISO 20252.

 

 

A propos de Monexpert-renovation-energie.fr : des experts accompagnent gratuitement les particuliers tout au long de leurs projets (isolation, chauffage, ventilation, régulation) à travers la plateforme monexpert-renovation-energie.fr et de contacts téléphoniques, garantissant aux particuliers expertise, disponibilité et réactivité.