avec un immense merci pour sa participation à Pierre-Jean Llorens qui a largement à cette revue de presse.

Articles dans l'ordre chronologique de réception pour le partage :

Après une année 2020 pour le moins particulière avec la crise sanitaire, le marché de l’emploi s’est vu particulièrement bouleversé.

Mais qu’en est-il en ce début d’année 2021 ?

 

L’agence Aquila RH de Villefranche Sur Saône  constate des signaux positifs malgré la crise sanitaire.

 

En effet, près de 30 postes y sont à pourvoir dans les secteurs :

  •  7 postes dans le secteur des travaux publics et espace verts (maçon VRD, conducteur d’engins, électricien TP, chauffeur TP, canalisateur, manœuvre TP, tireur rateau d’enrobé, paysagiste en création, paysagiste en entretien)
  • 7  postes dans le secteur du Bâtiment et du second œuvre (maçon coffreur, maçon finition, grutier, chef d’équipe, électricien, plombier, plaquiste, carreleur)
  • 3 postes dans le secteur de l’agroalimentaire (agent de production, agent de conditionnement, manutentionnaire)
  • 10 postes dans le secteur de l’industrie et logistique (cariste, agent de quai, préparateur de commande, opérateur de production, opérateur qualité, opérateur fabrication, régleur, technicien de maintenance)

 

Pour postuler, rendez-vous sur www.aquila-rh.com

 

Etude Expedia - 70% des vacances estiment ne pas avoir assez de vacances !

Expedia publie son étude annuelle « Vacation Deprivation » qui se penche depuis 21 ans sur les besoins et habitudes de vacances des adultes actifs dans le monde entier.

 

Cette année, l’étude révèle que 88% des Français accordent plus de valeur aux vacances après une année 2020 morose et qu’ils comptent bien tirer profit de cette nouvelle année pour profiter pleinement de leurs congés en se rendant vers l’une des destinations de leur bucket list.

 

De plus, 70% des Français estiment qu’ils n’ont pas assez de vacances ! La France se place ainsi dans le top 5 des pays les plus en mal de vacances derrière Singapour (#1), l’Italie (#2) et la Corée du Sud (#3) et devant la Malaisie (#5). Et pourtant, 81% des Français posent chaque année la totalité de leurs congés, contrairement aux autres pays, et disposent du plus grand nombre de jours par an parmi les 16 pays interrogés. L’année dernière, les Français ont posé en moyenne 24 jours (contre 29 en moyenne les années précédentes), un record en période de pandémie ! La France devient ainsi le 2ème pays après la Malaisie à avoir posé le plus de congés en période de Covid contre 8 pour les Etats-Unis ou encore 17 pour l’Allemagne.

 

 
 

AVIS DE DIFFUSION

 
 

Paris, le 03/02/2021

 
 

Les données sur le minimum vieillesse en 2019 sont disponibles sur data.drees

 

Nombre d’allocataires de l’Aspa, de l’ASV et des allocations de 1er étage, profil par sexe, âge et « état matrimonial », etc. La DREES met à disposition des données actualisées sur le minimum vieillesse, pour l’année 2019.

 

Ces résultats sont présentés par régime, montant et département. Un zoom est effectué sur les nouveaux allocataires du minimum vieillesse.


Fin 2019, 601 600 personnes perçoivent l’allocation supplémentaire du minimum vieillesse (ASV) ou l’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), soit 5,9 % de plus qu’en 2018. Le nombre de personnes éligibles au dispositif a en effet de nouveau augmenté suite au plan de revalorisation du minimum vieillesse, de 100 euros en tout pour une personne seule, dans le cadre de la loi du financement de la Sécurité sociale pour 2018. Après une première revalorisation en avril 2018, la deuxième revalorisation prévue a eu lieu en janvier 2019, et la troisième en janvier 2020.


Depuis une dizaine d’années, le nombre de bénéficiaires était resté assez stable, après avoir fortement diminué entre la fin des années 1960 et le début des années 2000 en raison de l’amélioration du niveau des pensions.


Fin 2019, les allocataires reçoivent en moyenne 393 euros mensuels pour l’ASV et 457 euros pour l’Aspa. Le nombre des bénéficiaires du minimum vieillesse est en hausse au régime général (+7,2 %), dans le régime des commerçants et artisans (+16,8 %) et pour les anciens salariés du régime agricole (+6,6 %) alors que celui du Saspa, qui couvre les bénéficiaires n’ayant aucune retraite, diminue légèrement (-1,0 %). Plus d’un titulaire sur deux est une femme seule (célibataire, veuve ou divorcée). Les personnes isolées représentent 75 % des allocataires. En 2019, 44 300 nouveaux allocataires reçoivent l’Aspa, soit 38 % de plus qu’en 2018. Parmi eux, 42 % ont moins de 65 ans et sont donc dans une situation particulière : inaptitude au travail, ex-invalidité, handicap, ancien combattant, etc.


Fin 2019, moins de 50 personnes bénéficient de l’aide à la vie familiale et sociale des anciens migrants, destinée aux étrangers âgés disposant de faibles ressources, et non éligibles à l’Aspa.

 

Accéder aux données sur data.Drees

Le minimum vieillesse

Données au 31 décembre 2019

Consulter la documentation sur le minimum vieillesse sur le site de la DREES
Le minimum vieillesse


À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 

ENQUÊTE INÉDITE ADIE
Les entrepreneurs face à la crise :
ce qu'ils ont vécu en 2020, ce qu'ils espèrent.
Une situation difficile et des raisons d'espérer.
 
 
Parce que le redémarrage des entreprises prendra du temps après la crise, l'Adie plaide pour le maintien, pour tous les secteurs, des aides des pouvoirs publics jusqu'à la reprise normale de l'activité économique, en s'appuyant sur les résultats d'une enquête inédite qui témoigne de l'état en janvier 2021 des petits entrepreneurs locaux.
 
Une année terrible pour les entrepreneurs
 
Quelques jours après la suppression du fonds de solidarité désormais réservé aux secteurs dits « les plus touchés » par la crise, l'Adie a mené du 5 au 14 janvier 2021 une enquête de terrain auprès de 2 500 entrepreneurs qu'elle a accompagnés face à la crise tout au long de l'année 2020 pour faire un état des lieux de leur situation économique et psychologique, et évaluer comment ils se projettent en 2021.

Pour la plupart d'entre eux, la crise a eu des conséquences économiques graves sur leur activité, dans des proportions qui dépassent largement celles des secteurs administrativement classés comme les plus touchés.
 
Ce sont les difficultés économiques qui les ont le plus affectés, même si l'inactivité et le manque de visibilité quant à la fin de la crise ont également été difficiles à vivre.
 
Comme en juin, cette nouvelle enquête confirme que l'activité ne redémarre pas immédiatement : un tiers seulement des entrepreneurs ont pu reprendre totalement leur activité. La reprise annoncée n'est donc pas encore là. Et aujourd'hui, si les entrepreneurs se disent toujours combatifs, ils sont aussi de plus en plus inquiets.
 
Un soutien public qui ne doit pas faiblir
 
Réserver le fonds de solidarité aux entreprises des secteurs réputés « les plus touchés par la crise », ce serait abandonner les autres au milieu du gué et réduire à néant les efforts sans précédent consentis ces derniers mois à bon escient et de manière efficace par l'État. Ce gâchis se paierait non seulement par un échec immérité pour des centaines de milliers d'entrepreneurs, mais aussi par un retour de beaucoup d'entre eux aux minima sociaux.
 
C'est pourquoi l'Adie plaide, avec toute la conviction que lui donne son expérience quotidienne du terrain, pour que l'accès aux dispositifs d'aide soit rétabli pour les entreprises de tous les secteurs d'activité, et ce jusqu'à la reprise réelle de l'activité économique.

 
Une énergie entrepreneuriale qui sera au cœur de la relance
 
Les entrepreneurs ont su adapter leurs modèles d'affaires, réduire leurs coûts, préparer et anticiper la reprise, garder confiance : s'ils ont ainsi tenu bon, c'est grâce aux aides publiques autant qu'à leur propre motivation.
 
Par ailleurs, depuis l'été dernier, la dynamique de création d'entreprises est repartie avec vigueur, signe incontestable d'une volonté collective d'aller de l'avant, de créer, de se battre. Là est le moteur de la relance.
 
« L'entrepreneuriat populaire n'est pas seulement un chemin d'inclusion sociale et d'accès à l'emploi. C'est aussi un puissant levier de développement économique des territoires, en phase avec l'aspiration des Français à une croissance solidaire et responsable ancrée dans le tissu local et porteuse de sens. Voilà pourquoi il importe plus que jamais de faire en sorte que chacun, même sans capital, même sans diplôme, même sans relations, puisse créer son propre emploi et le préserver malgré la crise, en vue de la relance à venir qui, à ce prix seulement, sera robuste et durable », déclare Frédéric Lavenir, président de l'Adie.

 

Observatoire Qualtrics sur l'expérience collaborateur :
Seuls 18% des salariés en France estiment que leurs feedbacks sont pris en compte par leur hiérarchie

 
 
L'étude internationale révèle que les principaux leviers de l'engagement des salariés ont évolué sensiblement depuis le début de la pandémie, passant de « la confiance dans le leadership » et « le développement professionnel » en 2019, à « l'appartenance » et à « raison d'être de l'entreprise » en 2020. Elle dévoile également l'importance de prendre en compte l'opinion et le feedback des collaborateurs, 92% des répondants à travers le monde déclarant que les retours des salariés sont importants, alors que seulement 18% estiment que leur organisation en fait bon usage.
 
 
Paris, 2 février 2021-- Qualtrics, leader de l'expérience collaborateur et créateur de la catégorie Gestion de l'Expérience (XM), publie le Global Employee Experience Trends Report 2021. Les enseignements du rapport incluent les nouveaux leviers d'engagement des collaborateurs à travers le monde, des statistiques clés sur l'expérience des salariés en France, et donnent un aperçu de la situation de la France par rapport à ses voisins européens. L'étude démontre également l'importance de prendre des mesures s'appuyant sur le feedback des collaborateurs, et présente les principales mesures que les dirigeants peuvent prendre pour améliorer l'expérience de leurs équipes en 2021. 
 
Pour cette étude, plus de 11 800 salariés à temps plein dans 20 pays différents - dont 800 en France - ont été interrogés sur ce qui a changé dans leur expérience de salarié, et ce qui conduit leur engagement dans un monde post-COVID.
 
 
Les chiffres clés de l'étude :
 

  • L'intention des collaborateurs à rester dans leur entreprise a bondi de + 14pts par rapport à 2020, et s'établit à 60%, ce qui impacte positivement le score global d'engagement de la France (+ 3pts, soit 58%).

 
Cependant, cette augmentation cache des résultats plus nuancés qui devraient alerter les entreprises sur un certain nombre d'enjeux :

  •  les entreprises doivent continuer de se concentrer sur leurs talents clés
    • Moins d'1 salariée sur 2 est prête à recommander son employeur (soit 11 points de moins que les hommes)
    • Moins de 1 salarié sur 2 ayant moins de 2 ans d'ancienneté a l'intention de rester dans l'entreprise
    • La plupart des salariés n'ont pas confiance en leur employeur pour prendre des mesures efficaces relatives à leur feedback. Ce sentiment de confiance a donc considérablement diminué depuis 2020, passant de 33% à seulement 18%.

 
« Depuis plusieurs années, la France est en retard par rapport à d'autres pays lorsqu'il est question d'engagement, et cela résulte de nombreux facteurs bien établis », déclare Douglas Rosane, responsable du développement de l'Expérience Collaborateur en France. « Cela se confirme à nouveau en 2020. Si, avec les événements tumultueux de ces 12 derniers mois, l'écart entre la France et ses voisins les plus proches se réduit, les entreprises ne semblent pas davantage à l'écoute. Moins de la moitié des salariés interrogés ont pu partager leur expérience sur ce qui a été une année pas comme les autres. Cela nous étonne que des organisations en France ne soient pas intéressées par les feedback de leurs salariés. Et lorsque c'est le cas, elles sont peu nombreuses à utiliser les informations récoltées. »
 
« Nous l'avons observé dans cette étude à travers le monde, l'impact de l'écoute et de l'action demeure primordial pour renforcer l'engagement. Les organisations qui ont profité de 2020 pour réinitialiser leurs programmes d'écoute en ont récolté les fruits. Pour ceux qui ne l'ont pas fait, 2021 représente une deuxième chance de placer les collaborateurs au centre de leurs activités et de créer des environnements de travail plus engageants et plus productifs.”
 
 
Qualtrics EmployeeXM™ est utilisé par les organisations du monde entier pour identifier ce dont leurs collaborateurs ont besoin, et les mesures à prendre pour améliorer l'expérience quotidienne et ainsi, la performance de l'entreprise. En 2020, Qualtrics EmployeeXM a été reconnu dans le rapport « The Forrester New Wave™: EX Management Platforms for Large Enterprises » comme un Leader en gestion de l'expérience collaborateur. Qualtrics est le seul leader qui a reçu une note différenciée dans sept des dix critères, y compris la vision, l'approche du marché et la personnalisation.
 
Pour en savoir plus sur le Global Employee Experience Trends Report 2021. veuillez cliquer ici. Pour en savoir plus sur les solutions (Experience Collaborateurs Qualrics EmployeeXM, veuillez cliquer ici.
 
 
 
A propos de Qualtrics
Qualtrics, leader de l'Experience Collaborateur et créateur de la catégorie Gestion de l'Expérience (XM), transforme la manière dont les organisations gèrent les quatre principaux domaines d'expérience : client, collaborateur, produit et marque. Plus de 12.000 entreprises dans le monde utilisent Qualtrics pour écouter, comprendre et exploiter les données d'expérience (X-data™) –– les sentiments, émotions et impressions qui expliquent pourquoi les choses se produisent. La solution Qualtrics XM Platform™ permet d'aider les entreprises à fidéliser leurs clients, à offrir aux salariés une culture d'entreprise positive et engageante, à développer des produits incontournables et à renforcer leur marque. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : qualtrics.com.

 

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Hervé Dulaire

IT Resourcer

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L'entreprise où je suis en mission cherche un RH en CDI,  N'hésitez pas à diffuser.
 
 
 

 

Enquête sur les pratiques dépilatoires et le

poids des injonctions liées à l’épilation

 

Levée d’embargo : Mercredi 3 Février 2021 à 06H00

 

A l’occasion du challenge du "Januhairy" invitant les femmes à se laisser pousser les poils pour lever les tabous pesant sur la pilosité féminine, le Pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l’Ifop a mené pour la plateforme de santé sexuelle Charles.co une enquête mesurant l’évolution de la pratique du "No Shave" (absence de dépilation) dans un contexte général marqué par l’essor de « tendances beauté » – comme le "No Poo" (absence de shampoing), le "No Make-up" (absence de maquillage) ou le "No Bra" (absence de soutien-gorge) – exprimant le même besoin de s’affranchir des normes de beauté féminine. Réalisée auprès d’un échantillon national représentatif de taille conséquente (2 000 personnes), cette enquête met ainsi en exergue un recul sans précédent des pratiques dépilatoires en France même si la pression à la dépilation pèse toujours beaucoup plus sur les corps féminins que masculins.

 

I - Vers un retour du poil pubien ?

1 - Le nombre de femmes ne « s’épilant » pas du tout le pubis a doublé en huit ans

La pratique du "No Shave" a doublé en huit ans (28% en 2021 contre 15% en 2013) avec une proportion de Françaises ne s’épilant pas ou plus du tout les poils du maillot qui s’est accrue de manière continue en huit ans. Ainsi, si les confinements ont sans doute créé des conditions propices à cette tendance (en hausse de 4 points par rapport à une mesure prise avant l’apparition du Covid-19), la crise sanitaire n’a fait qu’accélérer un « retour du poil » déjà perceptible depuis quelques années.

2 - Les femmes n’en restent pas soumises à une injonction au glabre nettement plus forte que les hommes

Malgré cette évolution notable, les femmes restent soumises à une pression à la dépilation nettement plus forte que les hommes : seuls 21% hommes hétérosexuels apprécient les pubis féminins avec tous leurs poils, soit un niveau d’acceptation à leur état naturel beaucoup plus faible que ce que l’on observe pour les pubis masculins lorsqu’on interroge les femmes hétérosexuelles (41%) sur le sujet. Révélatrice du regard particulier de la société sur le poil féminin, cette différenciation entre les sexes transparaît tout particulièrement dans l’injonction à l’épilation intégrale qui s’avère deux fois plus pesante pour les femmes (32%) que pour les hommes (14%).

3 - L’épilation intégrale progresse ainsi de manière continue chez les femmes depuis 2013

Cette « pression » n’est sans doute pas étrangère au nombre croissant de Françaises s’épilant totalement le maillot… Avec un quart d’adeptes (24%), la pratique de l’épilation intégrale apparaît ainsi en nette progression en huit ans (+10 points en moyenne par rapport à 2013). Et en regardant les chiffres au plus près, il apparaît que cette pratique popularisée par les films X n’est plus l’apanage des jeunes de moins de 25 ans (56%) mais qu’elle s’est aussi diffusée aux femmes de 25-34 ans (48%, +22 points) et de 35-49 ans (31%, +20 points).

 

II - Des pratiques dépilatoires des Françaises de moins en

moins fréquentes, notamment depuis le confinement

4 - Une baisse globale de la fréquence des différentes pratiques dépilatoires

La tendance à une plus grande acceptation du poil féminin se retrouve dans d’autres indicateurs qui tendent à montrer une dépilation moins intensive. Par rapport à une enquête menée il y a huit ans, les résultats de cette étude mettent ainsi en exergue une baisse significative chez les Françaises de l’épilation des aisselles (81%, -10 points), des jambes (80%, -12 points) ou du maillot (75%, -10 points). La fréquence de dépilation des corps féminins reste sans commune mesure à ce que l’on peut observer pour les hommes : à peine un homme sur dix s’épilent au moins une fois par semaine les aisselles (10%, contre 45% des femmes) ou le maillot (11%, contre 28% des femmes).

5 - Un « effet confinement » important, notamment  chez les jeunes et les femmes en télétravail

Si la crise sanitaire n’a pas amené toutes les Françaises à jeter d’un coup au placard leur rasoir ou leurs cires dépilatoires, force est de constater que les périodes de confinement ont constituer une période souvent propice à un changement de rythme. Ainsi, près d’une femme sur cinq (18%) déclarent s’enlever les poils des aisselles, du maillot ou des jambes « moins souvent qu’avant le premier confinement », sachant que ce taux monte à 34% chez les jeunes de moins de 25 ans et à 31% chez les femmes en télétravail, signe que les pratiques dépilatoires tiennent beaucoup à leur degré de sociabilité et au regard d'autrui dans la gestion de son apparence corporelle.

6 - Un arrêt de dépilation qui pourrait concerner encore plus de femmes

Au-delà de leurs pratiques et fréquence d’épilation actuelles, les femmes expriment un rejet plus large de cette « pression à la dépilation » qui se traduit, pour nombre d’entre elles, pour la possibilité d’arrêter cette chasse au poil éperdue. Ainsi, plus d’une Française sur deux déclarent qu’elles pourraient cesser un jour de s’enlever les poils du maillot (56%) et des jambes (58%). Cependant, cet arrêt ne serait complet que pour une minorité d’entre elles : seules 19% des femmes s’épilant actuellement le maillot pourraient arrêté de le faire,  y compris durant les saisons (printemps, été) où ils sont généralement plus visibles.

 

III – Des stéréotypes de genre moins pesants mais qui

associent encore profondément le glabre à la féminité

7 - Le lien entre dépilation et séduction féminine reste fort mais il n’est plus autant un objet de consensus

L’analyse approfondie des normes culturelles relatives à la pilosité tend à montrer qu’un corps lisse et soyeux reste encore pour beaucoup un aspect fondamental de la féminité. Ainsi, l’idée selon laquelle l’absence de pilosité est un critère de séduction féminine est toujours beaucoup plus ancrée (à 73% dans la gent féminine) que l’idée selon laquelle l’épilation serait un critère de séduction masculine (à 33% aux yeux des hommes). Il est cependant important de signaler que l’adhésion à ce stéréotype fait beaucoup moins consensus que dans le passé : - 17 points par rapport à ce que l’on pouvait observer en 2013, signe sans doute de l’impact des discours et mouvements prônant une plus grande acceptation de la pilosité féminine.

8 - La présence de poils féminins n’est un frein au désir sexuel que pour une minorité d’hommes

L’enquête brise également certaines idées reçues liant par exemple le désir masculin à l’absence de pilosité féminine. Contrairement à certains clichés, le maintien d’une pilosité chez une femme ne constitue  pas un frein au désir sexuel masculin : la grande majorité des hommes attirés par les femmes déclarant qu’ils pourraient faire l’amour avec une femme non épilée au niveau des aisselles (66%) ou des jambes (61%) mais aussi à l’état brut au niveau pubien (70%).

9 - Une pression à l’invisibilité pileuse qui pèse toujours beaucoup plus sur les corps féminins

Le risque de “pénalités sociales” lié à l’affichage de sa pilosité n’en reste pas moins toujours  beaucoup plus grand pour les femmes que pour les hommes si l’on en juge par les résultats qui montrent que le malaise suscité par la vue de poils sous les aisselles est quatre fois plus important pour des aisselles féminins (57%) que masculins (15%). De même, des jambes poilues chez une femme « dérangent » plus (57%) qu’un dos poilu chez un homme (36%).

 

L’enquête a été menée du 18 au 21 décembre 2020 et du 19 au 20 janvier 2021 auprès d’un échantillon de 2 027 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

En cas d’utilisation, un lien vers Charles.co serait le bienvenu pour notre équipe.

 

A propos de Charle.co :

Charles.co est une plateforme de santé dédiée aux hommes. Créée en Avril 2019 
par Simon Burellier et Olivier Algoud, la plateforme Charles.co intègre information,
téléconsultation avec un spécialiste et livraison à domicile de traitements depuis des
pharmacies pour aider les hommes à résoudre leurs problèmes de santé sexuelle
en toute confidentialité et sécurité.

 

 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 29/01/2021

 
 

Lancement de l’enquête Vie quotidienne et santé :

mieux connaître l’état de santé des personnes

 

La collecte de l’enquête Vie quotidienne et santé débute le 29 janvier 2021 sur l’ensemble du territoire français, y compris dans les DOM. L’Insee interroge des personnes dans plus de 220 000 ménages sur les difficultés qu’elles rencontrent dans les actes de la vie quotidienne (par exemple se laver, sortir de son logement, etc.) afin de mesurer les situations de handicap et de perte d’autonomie. Cette enquête questionne également les aides que reçoivent les personnes qui font face à ces difficultés. Pour la première fois, les résultats pourront être analysés à l’échelle des départements.


Apporter un éclairage sur les difficultés rencontrées dans les actes de la vie quotidienne
L’enquête Vie quotidienne et santé (VQS) s'intéresse aux conditions de vie des personnes, à leurs difficultés à réaliser les activités de la vie quotidienne et aux aides qu'elles reçoivent pour ces activités. Ces informations permettent de produire des statistiques, afin notamment d’éclairer les politiques publiques en faveur des personnes en situation de handicap ou de perte d’autonomie.


Large enquête à partir de fin janvier sur internet
Les personnes enquêtées sont averties par courrier postal du démarrage de l’enquête. Elles peuvent y répondre en quelques minutes sur Internet. Leurs réponses sont strictement confidentielles. Elles servent uniquement à établir des statistiques.


La participation de chacun est essentielle, quel que soit son état de santé
Les personnes sélectionnées et leurs proches sont interrogés sur l’état de santé général de chacun d’entre eux, sur leurs éventuelles difficultés à se déplacer, à voir, à entendre et sur l’aide quotidienne qui peut leur être apportée. La participation de tous permet de garantir la qualité des résultats et de donner une vision sur la diversité des situations sur le territoire national.


Conçue par la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), collectée par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), cette enquête bénéficie du soutien de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA), de la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares), de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), de l'Association de gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées (Agefiph), de Santé publique France et de la Direction des sports.


À propos de la Drees
Créée par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) fait partie avec l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) et les autres services statistiques ministériels du service statistique public. Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la Drees s’appuie, depuis vingt ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La Drees est aussi une direction de l’administration centrale des ministères sanitaires et sociaux, dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.


À propos de l’Insee
L'Insee collecte, produit, analyse et diffuse des informations sur l'économie et la société française. L’Insee est une direction générale du ministère en charge de l’économie et des finances implantée dans l’ensemble du territoire français, dont les salariés sont des agents de l'État. L’Insee conduit ses travaux en toute indépendance professionnelle. L'Insee travaille quotidiennement avec Eurostat (office de statistique de l’Union européenne) et ses homologues européens. Il contribue ainsi à l'édification de l'espace statistique communautaire de l'Union européenne.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 

 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Sous embargo jusqu’au 14 janvier 2021 à 8h15

 
 

Paris, le 14/01/2021

 
 

Le nombre de tests réalisés entre le 4 et le 10 janvier 2021 repart à la hausse ; les délais de rendu des résultats restent à un niveau plancher

 

Entre le 1er mars 2020 et le 10 janvier 2021, on estime qu’environ 40,5 millions de tests RT-PCR et antigéniques ont été réalisés en France : environ 36,4 millions de tests RT-PCR et 4,1 millions de tests antigéniques.


Au cours de la semaine du 4 au 10 janvier 2021, 2 041 800 résultats de tests RT-PCR et antigéniques ont été validés par un professionnel de santé, parmi lesquels un peu plus d’un quart (26,4 %) étaient des tests antigéniques. Le nombre de tests validés au cours de cette semaine augmente (+173 200 tests) par rapport à la semaine précédente, où 1 868 600 tests RT–PCR et antigéniques avaient été réalisés, dont environ un tiers étaient des tests antigéniques (36,9 %). La hausse du nombre de tests RT-PCR fait plus que compenser la baisse du nombre de tests antigéniques. L’essentiel de la hausse du nombre de tests est attribuable au fait que la semaine du 4 au 10 janvier ne comporte pas de jour férié, contrairement à la semaine précédente (qui incluait le vendredi 1er janvier).

 

La part des tests (ensemble des RT-PCR et antigéniques) validés en moins de 24 h reste pratiquement stable avec 93 % des tests validés au plus tard 24 h après le prélèvement, contre 94 % la semaine précédente.

 

 
 
 
 

La part des tests RT-PCR validés en moins de 24 h reste stable à 91 %


Entre le 4 et le 10 janvier 2021, la part des tests RT-PCR validés dans les 24 h suivant le prélèvement est stable à 91 %. La médiane et la moyenne des délais entre prélèvement et validation du résultat restent constants, respectivement à 0,4 et 0,6 jour.

 
 
 
 
 
 
 
 

3 départements sur 4 ont un délai médian entre prélèvement et validation du résultat d’un test RT-PCR inférieur à 12 h

 
 
 
 
 
 

La part de tests antigéniques a diminué

 

La part de tests antigéniques parmi l’ensemble des tests réalisés a diminué dans la quasi-totalité des départements.

 

C’est en Île-de-France, dans le Sud-Est et en Corse ainsi que dans certains départements d’outre-mer que cette part est la plus élevée (Carte 3).

 
 
 
 

Sur l’ensemble des tests (RT-PCR et antigéniques), 93 % sont validés dans les 24 h qui suivent le prélèvement, une quasi-stabilité par rapport à la semaine précédente

 

La part de tests RT-PCR et antigéniques avec des résultats validés en moins de 24 h s’établit à 93 % entre le 4 janvier 2021 et le 10 janvier 2021, contre 94 % la semaine précédente, en raison d’une baisse de la part des tests antigéniques dont les délais de résultats sont très courts. Si l’on considère le délai en journées, et non plus en heures, ce sont plus de 99 % des tests dont le résultat a été validé le jour ou le lendemain du prélèvement.

 
 
 
 
 
 

Méthodologie

 

La DREES exploite les données pseudonymisées du système d’information SI-DEP, qui portent notamment sur l’ensemble des tests RT-PCR réalisés par les laboratoires d’analyse médicale, et comportent des informations à la fois sur les résultats des tests et sur leurs délais de réalisation. Le calcul des délais pour les tests RT-PCR se fait à partir de la date de prélèvement du test (jour, heure, minute), déclarée par le laboratoire, et de la date d’intégration (jour, heure, minute) du test dans le système d’information, intégration qui doit se faire très rapidement après la validation du test. Les délais ici présentés pour les tests RT-PCR correspondent aux délais entre la date de prélèvement et la date d’intégration des résultats dans SI-DEP. Cependant, la date d’envoi des résultats aux patients par le laboratoire peut être postérieure à l’intégration des résultats dans SIDEP. Les délais entre date de prélèvement et réception des résultats des tests RT-PCR par les patients pourraient donc être supérieurs à ceux mesurés via SIDEP. Les statistiques présentées portent sur l’ensemble des tests RT-PCR réalisés, en date de validation du résultat.

 

Depuis le 17 octobre, les tests antigéniques sont autorisés dans le cadre des dépistages individuels. Ils doivent être remontés depuis lors dans la base SIDEP par les laboratoires. En revanche, la saisie d’information dans SIDEP pour les professionnels de santé n’est possible que depuis le 16 novembre, et a connu une phase de montée en charge. Afin d’estimer le nombre total de tests antigéniques réalisés depuis le 17 octobre, la DREES utilise les données de l’Assurance maladie sur le nombre de tests remboursés en date de soins en complément des données renseignées dans SIDEP. Les tests antigéniques sont des tests pour lesquels le résultat est connu très rapidement, avec un délai entre prélèvement et validation du résultat généralement inférieur à 30 minutes.

 

Par ailleurs, si une même personne a réalisé successivement deux tests, ces deux tests sont donc comptés. Les données sur le nombre de tests diffèrent de celles publiées par Santé Publique France, en date de prélèvement du test.

 

Enfin, entre début mars et début juin 2020, préalablement au déploiement complet de SIDEP, la DREES a mis en place à la demande du centre de crise sanitaire un système d’information permettant de comptabiliser le nombre de tests RT-PCR réalisés en France, à partir des déclarations des sites réalisant les tests (et non les prélèvements comme dans SIDEP).

 

Dans le cadre de l'exploitation des données SIDEP, la DREES procède à quelques retraitements des données. En particulier, les tests remontés avec un pseudonyme manquant sont supprimés. Dans le cas d'un même test remonté plusieurs fois (mise à jour de certaines informations sur le patient par exemple), la DREES conserve la ligne la plus récente, à l'exception de la date d'intégration dans SIDEP dont on retient la valeur la plus ancienne, assimilée à la date de validation du résultat.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

sondage Bluelinea : 4 seniors sur 10 en Ehpad souhaitent se faire vacciner

sondage réalisé par Bluelinea (entreprise de téléassistance pour les seniors) sur le consentement des seniors au sein des Ehpad pour le vaccin :

  • 4 seniors sur 10 veulent se faire vacciner
  • 2 sur 10 ne le souhaitent pas
  • 4 sur 10 ne savent pas encore et attendent l'avis de leur médecin traitant

 
*Le sondage a été réalisé auprès de 1 000 seniors, après le début de la campagne de vaccination en Ehpad.

 

Etude Visa/ GfK - Paiement/Conso: impact de la Covid19 sur les habitudes des français

42% des Français déclarent payer davantage en sans contact

depuis le début de la crise Covid-19

 

 

 

 

  • Visa a mandaté le cabinet de conseil GfK pour conduire une enquête sur l'impact de la Covid-19 sur les habitudes de paiement en Espagne, en France, en Italie et au Portugal.
  • Depuis le 1er confinement, les Français déclarent privilégier le paiement sans contact (+42%) et les cartes de paiement (+34%) en magasin, et faire davantage leurs courses en ligne : un quart des sondés se sont mis au e-commerce (22%)
  • 34% des consommateurs ont déclaré avoir réduit leur utilisation d’espèces depuis le début de la crise de la Covid-19.
  • Ces changements des comportements d'achat pourraient bien être permanents : d’ores et déjà, les consommateurs français perçoivent que les commerçants sont moins réticents à accepter  les paiements par carte en magasin (pour 34% d'entre eux).

Paris, le 30 décembre 2020 - Le confinement avec la fermeture des magasins non essentiels a profondément impacté les comportements des consommateurs français. Dans le cadre de son engagement à soutenir les économies locales dans cette période d’incertitude en leurs aidant à identifier des opportunités de développement, Visa a mandaté le cabinet d’étude GfK de mener une enquête auprès de consommateurs en Espagne, en France, en Italie et au Portugal sur les nouvelles tendances de paiements en magasins et en e-commerce.

Selon l’étude, avant la Covid-19, la France était le pays qui avait le moins recours aux paiements en espèces parmi les pays interrogés et le plus utilisateur du paiement sans contact (77% des Français privilégient le paiement en espèces en magasin vs 86% en Italie et 83% en Espagne et Portugal). Sur ce marché déjà mature, l’étude montre que le confinement a accéléré l’adoption des solutions de paiement digitales. Désormais, les consommateurs français les considèrent comme le meilleur moyen de payer en magasin et en ligne. En France, l’étude met en exergue une baisse de 34% des paiements en espèces ainsi qu’une augmentation de l’utilisation du sans contact (+42%) et des paiements par carte (+34%) en parallèle. Le e-commerce, pour sa part, fait un bond de +37%. De plus, de nouveaux modes de paiement apparaissent : +8% utilisent les portefeuilles numériques en ligne et +2% en magasin. 

« La fermeture des magasins et la pandémie ont conduit les clients à adapter leur mode de paiement en magasin et en ligne », explique Romain Boisson, Directeur Général de Visa en France. " La digitalisation des commerces physiques ainsi que le e-commerce ont été une bouée de sauvetage pour les consommateurs et les commerçants français. Nous avons été en première ligne pour promouvoir les paiements sans contact en magasin et aider les PME à ouvrir des markets place en ligne, en collaboration avec nos clients, les banques".

 

L'étude prouve que la pandémie accélère considérablement les changements d’habitudes d’achat des consommateurs français et leur manière de payer.

 

« En France, la COVID-19 a transformé les habitudes d’achat, et notamment de paiement en fonction de nouveaux besoins : l'essor du digital, et en particulier du paiement sans contact que nous avons observé, peut être considéré comme le signal fort de l'importance accordée par les consommateurs à la sécurité et à la commodité » explique François Le Gunehec, Responsable d’étude chez GfK France. « Aujourd'hui, nous constatons également que les consommateurs attendent des marques une mission plus large, prouvant que leurs intérêts ne sont pas que commerciaux, mais qu’elles sont prêtes à jouer leur rôle pour contribuer à la communauté au sens large. »*

 

En magasin, la carte de paiement et le paiement sans contact s’ancrent dans le quotidien des Français, alors que de nouveaux moyens de paiement commencent à émerger

 

Une tendance également soulignée par La Banque de France en septembre dernier : « La carte de paiement reste le moyen de paiement le plus utilisé en termes de nombre de transactions (58%) notamment en raison du doublement de l'utilisation du paiement sans contact »* .

 

Une attention accrue est portée sur la sécurité et la praticité a entraîné l’essor du paiement sans contact en magasin : 42% des clients français ont déclaré que, depuis la crise du coronavirus, ils utilisent plus qu'avant le paiement sans contact. Les Français adoptent également les habitudes de paiement sans contact dans des secteurs où le paiement en espèces était ancré dans les habitudes : le stationnement et les transports publics (36% des Français utilisent de plus en plus le paiement sans contact). Ceci reflète une tendance nationale : les villes en France sont de plus en plus nombreuses à adopter l’Open Payment dans leurs réseaux de transport public.

 

Autre conséquence de la pandémie, les consommateurs français commencent à adopter de nouveaux modes de paiement tels que le paiement mobile (+6%) et les portefeuilles numériques / applications qui permettent de débiter directement un compte (+2%).

 

 

Source : étude GfK pour Visa « l’impact de la Covid-19 sur les habitudes de paiement des consommateurs », Novembre 2020

La crise a levé des freins du paiement sans contact, qui entre lentement mais sûrement dans le quotidien des Français

 

En mai dernier, Visa a travaillé avec ses partenaires en France pour augmenter les limites de paiement sans contact jusqu'à 50 euros, afin d'aider les consommateurs à payer plus facilement et de manière plus sûre, en limitant les situations nécessitant de saisir son code secret. Les consommateurs français interrogés dans le cadre de l’étude portent un regard bienveillant sur cette hausse du plafond du paiement sans contact : 81% le perçoivent comme positif. Et cette évolution pourrait bien être permanente car, comme le suggère l’étude, ils sont prêts à adopter de manière pérenne le paiement sans contact et le paiement par carte : 66% d'entre eux souhaitent conserver la limite relevée dans le futur. Cette attitude positive montre que les Français privilégient les moyens de paiement pratiques et faciles : 34% des Français interrogés souhaitent même pouvoir laisser leur portefeuille à la maison et tout payer avec leur smartphone! 

 

La sécurité est la clé de l'adoption du paiement digital, et on constate l’essor de la confiance des Français envers les nouveaux moyens de paiement. Ce sont des signes encourageants et des clés pour les commerçants afin de rassurer leurs consommateurs et de s'adapter à ce nouveau paradigme.

 

L’e-commerce en plein essor en France depuis le confinement

 

Les Français se situaient déjà en tête des acheteurs en ligne, avant même le confinement (64%). Les restrictions de déplacement et les fermetures de magasins non essentiels ont boosté l’e-commerce.

Consommateurs et commerçants ont saisi la possibilité d'acheter et de vendre en ligne, comme l'a souligné la Fédération du E-commerce et de la Vente A Distance (FEVAD) au deuxième trimestre 2020 : « Ce sont les achats en ligne auprès des enseignes magasins qui ont le plus accéléré ce trimestre avec une progression de +83% »** . L’étude menée avec GfK montre que de nombreux clients qui préféraient auparavant faire leurs achats en magasin ont opté pour les achats en ligne : près de la moitié des clients français ont commencé ou augmenté leurs achats en ligne (47%). Sans surprise, l'ordinateur portable reste de loin l'appareil préféré pour faire ses achats en ligne (60%), tandis que le smartphone est utilisé par 40% des clients français et la tablette par seulement 14%. Mais qu’est-ce-que les Français achètent en ligne depuis la crise de la Covid-19 ? Selon les Français interrogés par GfK, principalement les produits de première nécessité : les produits alimentaires (+14% des acheteurs français) et les produits d'hygiène (+11% des acheteurs français).

Source : étude GfK pour Visa « l’impact de la Covid-19 sur les habitudes de paiement des consommateurs », Novembre 2020

À noter que, si l’étude montre que le commerce électronique se développe en France après le premier confinement, la tendance n'est pas aussi forte que dans des autres pays interrogés : la croissance des cartes de paiement est de +15% (vs. +20% d'augmentation en moyenne) et celle du portefeuille numérique de +8% en France (vs. +17% en Espagne et +13% en moyenne). Néanmoins, la commodité, la sécurité et l'innovation devraient continuer à façonner les habitudes françaises en matière d’e-commerce.

 

* Rapport annuel de la Banque de France 2019

** FEVAD, résultats du e-commerce pour le second trimestre 2020

 

Méthodologie

L'enquête a été menée par GfK en France, en Italie, au Portugal et en Espagne. 3 200 personnes ont été interrogées (800 pour chaque pays) en août et septembre 2020 sur leur perception des paiements.

Les études de cas, les comparaisons, les statistiques, les recherches et les recommandations sont fournies "en l’état" et ne sont destinées qu'à des fins d'information. Il ne faut pas se baser sur cette étude pour obtenir des conseils opérationnels, marketing, juridiques, techniques, fiscaux, financiers ou autres. Visa Inc. ne donne aucune garantie ni ne fait aucune déclaration quant à l'exhaustivité ou à l'exactitude des informations contenues dans ce document, et n'assume aucune responsabilité qui pourrait résulter de la confiance accordée à ces informations. Les informations contenues dans le présent document ne sont pas destinées à servir de conseils en matière d'investissement ou de droit, et les lecteurs sont encouragés à demander l'avis d'un professionnel compétent lorsqu'un tel avis est nécessaire.

 

À propos de Visa Inc.

Visa Inc. (NYSE : V) est le leader mondial des paiements digitaux. Notre mission est de connecter le monde via le réseau de paiement le plus innovant, fiable et sécurisé du marché, permettant aux individus, aux entreprises et aux économies de prospérer. VisaNet, notre réseau de traitement mondial, permet un paiement fiable et sécurisé partout dans le monde et est capable de traiter plus de 65 000 transactions par seconde. L’innovation perpétuelle chez Visa est un catalyseur de croissance rapide pour le commerce connecté sur tous les terminaux. Alors que nous passons d’un monde matériel à un monde digital, Visa mobilise sa marque, ses produits, ses équipes, son réseau et sa taille pour redéfinir l’avenir du commerce.

Pour en savoir plus, consultez Visa.fr, le blog de Visa France et @Visa_Fr.

 

 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 29/12/2020

 
 

Résultats 2019 sur les mesures d’aide sociale départementale

et les dépenses associées

 

La DREES met à disposition les dernières statistiques détaillées sur l’aide sociale des départements en 2019, aux niveaux national et départemental, et en séries historiques. Elles portent sur les différentes aides sociales accordées aux personnes âgées ou handicapées, ainsi que sur les mesures d’aide sociale à l’enfance. Sont également diffusées des données nationales provisoires sur les dépenses annuelles d’aide sociale des départements, qui couvrent aussi le revenu de solidarité active (RSA). Ces résultats sont issus de l’enquête Aide sociale, menée annuellement auprès de l’ensemble des conseils départementaux français.


En décembre 2019, les personnes âgées bénéficient de 1,475 million d’aides sociales départementales, en France métropolitaine et dans les départements et régions d’outre-mer (DROM), hors Mayotte. Ce nombre augmente de 0,7 % par rapport à fin 2018, comme celui des bénéficiaires de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA), à domicile ou en établissement. L’APA représente en effet 90 % de l’ensemble des aides aux personnes âgées. L’aide sociale à l’hébergement (ASH) en établissement ou chez des particuliers concerne 124 000 personnes, en 2019 comme en 2018. Enfin, des aides ménagères sont attribuées à 17 000 personnes, un nombre stable également. La dépense des départements, nette des recouvrements, récupérations et remboursements, pour l’aide sociale aux personnes âgées s’élève à 7,6 milliards en 2019, en hausse de 0,5 % en euros constants1 en un an.


Les départements comptent 559 000 droits ouverts à une aide sociale aux personnes handicapées au 31 décembre 2019, soit 2,3 % de plus que fin 2018. Cette augmentation est principalement portée par la dynamique (+4,5 %) de la prestation de compensation du handicap (PCH), représentant 59 % des aides aux personnes handicapées. Bien que remplacée depuis 2006 par la PCH, l’allocation compensatrice de tiers personnes (ACTP) constitue encore 10 % des aides aux personnes handicapées. Des aides à l’hébergement en établissement ou chez des particuliers ou à l’accueil de jour sont accordées à 154 000 personnes (+1,1 % par rapport à 2018) et des aides ménagères à 21 000 bénéficiaires. La dépense nette associée à ces différentes aides s’établit à 8,1 milliards d’euros en 2019 (+1,5 % en euros constants par rapport à 2018). Plus de 60 % de ce montant est consacré aux aides à l’accueil.


367 000 mesures d’aide sociale à l’enfance (ASE) sont en cours fin 2019, dont 53 % consistent en des placements de mineurs ou des accueils de jeunes majeurs en dehors de leur milieu de vie habituel. Les autres mesures sont des actions éducatives exercées en milieu familial. Le nombre total de mesures d’ASE progresse de 3,4 % en 2019, une augmentation proche de celle déjà observée en 2018. Si le nombre d’action éducatives croit de 2 % en 2019, cette tendance est principalement portée par la hausse du nombre d’enfants et de jeunes accueillis (+ 4,7 % en 2019), et en particulier par le fort accroissement du nombre de mineurs non accompagnés (MNA) confiés à l’ASE (+16 % en 2019). Ce dernier ralentit toutefois par rapport aux années précédentes (+27 % entre fin 2017 et 2018). Les dépenses annuelles nettes des départements pour l’ASE, y compris celles relatives aux assistants familiaux mais hors dépenses pour les autres personnels départementaux, s’élèvent à 8,3 milliards d’euros en 2019. Elles augmentent de 2,7 % en euros constants par rapport à 2018.


Les dépenses totales nettes d’aide sociale des départements s’établissent à 39,2 milliards d’euros en 2019. Dans ce montant global, s’ajoutent aux trois domaines déjà cités, 11,9 milliards d’euros consacrés au RSA (allocations et accompagnement) et 3,3 milliards d’autres dépenses d’aide sociale, comprenant notamment les frais de personnels non comptabilisés par ailleurs. Les dépenses totales augmentent de 1,0 % en euros constants en un an.

 

1Les évolutions de dépenses sont indiquées en euros constants 2019. Elles sont donc déflatées de l’indice général des prix à la consommation de l’ensemble des ménages de la France entière. En 2019, cet indice a augmenté de 1,1 % en moyenne annuelle.


Télécharger les résultats complets sur data.Drees :
Données sur les bénéficiaires de l’aide sociale
Données sur les dépenses d’aide sociale

 

Pour en savoir plus :
- Consulter la page consacrée à l’enquête : Aide sociale auprès des conseils départementaux
- Consulter la publication de référence sur le site de la DREES « L’aide et l’action sociales en France - Perte d’autonomie, handicap, protection de l’enfance et insertion - édition 2020 », sous la direction de Cheikh Tidiane Diallo et d’Isabelle Leroux. Collection Panoramas de la DREES. Octobre 2020.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 

 

 

République FrançaiseLa lettre Service-Public.fr
Lettre n°1004 du 28 décembre 2020 Abonnement aux sujets d'actualité  twitter @servicepublicfr  service-public.fr sur Facebook

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Tarifs réglementés du gaz : + 0,2 % au 1er janvier 2021

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PNEUMATIQUES Publié le 23 décembre 2020

Sécurité routière : quels pneus en hiver ?

Pneus cloutés, chaînes, pneus neige... Retrouvez avec la Sécurité routière tout ce qu'il faut savoir sur la question des pneus au moment de (...)   Lire la suite >

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Les 20 ans de Service-Public.fr en vidéo

Depuis 20 ans, le site officiel de l'administration française évolue constamment pour être au service des usagers. Rétrospective en vidéo !   Lire la suite >

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CALENDRIER SCOLAIRE

Les dates des vacances scolaires de Noël 2020

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LA QUESTION DE LA SEMAINE

Peut-on être expulsé pendant la trêve hivernale ?

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Il est grand temps de les supprimer ces manipulateurs esclavagistes

https://www.businessbourse.com/2021/01/01/catherine-austin-fitts-2-choix-soffrent-a-vous-desormais-la-liberte-ou-lesclavage-la-porte-nest-pas-encore-fermee-mais-reagissez-et-vite/

 
 

La porte n’est pas fermée, réagissez!....  écoute claire cette femme

 

 

Baromètre Sport Santé FFEPGV/Ipsos : les bonnes résolutions 2021 des Français

Baromètre Sport Santé FFEPGV / Ipsos – 10ème édition

Les bonnes résolutions 2021 impactées par la crise : la pratique de l'activité physique arrive largement en tête pour 37% des Français

 

 

Montreuil, le 28 décembre – Pour la 10ème année consécutive, la Fédération Française d’Éducation Physique et de Gymnastique Volontaire (FFEPGV) publie en collaboration avec l’institut IPSOS son Baromètre Sport-Santé. Cette nouvelle vague d’enquête vient montrer à quel point la crise sanitaire a eu des conséquences sur les résolutions des Français pour 2021. Jamais ils n’ont tant prévu de pratiquer pour l’année prochaine une activité physique ou sportive régulière, c’est un record !

 

Avec la crise sanitaire, jamais autant de Français n’ont pris la résolution de pratiquer une activité physique ou sportive !

 

Avec un contexte exceptionnel, les bonnes résolutions s’en trouvent en partie bousculées et les Français expriment le souhait de se concentrer sur certaines priorités. Sur le podium des bonnes résolutions 2021 :

  • En 1er : Pratiquer une activité physique régulière : 37% (+2 pts vs 2019), c’est un record. C’est plus particulièrement vrai chez les moins de 35 ans (41%)
  • En 2nd : passer plus de temps en famille : 29% (+8% vs 2019, une progression très forte) surtout chez les personnes de 60 ans et plus (37%). Le confinement et le couvre-feu les sépare et suscite l’envie forte de se retrouver.
  • En 3ème : avoir une alimentation plus équilibrée pour 22% des Français (-1 pt).  

 

 

Les femmes fortement impactées par le manque d’activité physique

 

Si elle tient la tête des bonnes résolutions encore plus fortement cette année, c’est que la pratique d’une activité physique a parfois été compliquée pour certains. 67% des Français considèrent que la crise sanitaire a rendu plus difficile la possibilité de pouvoir avoir activité physique ou sportive.

 

Alors que les professionnels de santé et l’ensemble de l’écosystème sportif a tiré la sonnette d’alarme sur les conséquences d’un manque d’activité physique, les Français à leur tour confirment : 75% ont ressenti au moins un impact négatif sur leur bien-être physique, psychologique ou leur état de forme général parce qu’il leur était plus difficile d’avoir une activité physique.  

Ce sont les femmes qui sont les plus pénalisées à tous les niveaux

  • Sur leur bien-être physique : 62% d’entre elles ont ressenti un impact vs 55% des hommes
  • Sur le bien-être psychologique : 59% d’entre elles impactées (59%) vs 42% des hommes (42%)
  • Sur les relations sociales : 44% d’entre elles le ressentent (les seniors impactés à 52% car logiquement plus isolés).
  • Sur l’état de forme en général : les femmes sont à nouveau plus impactées (57%) (contre 47% chez les hommes)
 

Les Français attachés au sport "quoi qu'il en coûte" 

 

L’impact de la crise sanitaire, les confinements successifs et les règles de distanciation sociale auront tout de même eu un impact positif : la proportion de Français faisant du sport a considérablement augmenté mais sur des durées beaucoup plus courtes.  

  • 81% des Français pratiquent une activité sportive (+17 points par rapport à décembre 2019)
  • Une pratique sur une durée moyenne de 2,9h par semaine (vs 3,7h en décembre 2019)

 

Enfin dans l’optique d’une reprise possible des activités sportives en janvier 2021, comme annoncé par le Gouvernement, 75 % des Français ont l’intention de reprendre le sport. Un chiffre qui monte même à 84% pour ceux ayant trouvé difficile de faire du sport pendant la crise.

 

« La crise sanitaire a mis à l’arrêt de nombreuses pratiques sportives et plus durement pénalisé les fédérations non compétitives comme la FFEPGV. Pour autant, les chiffres de notre Baromètre Sport Santé confortent nos convictions : les Français placent la pratique sportive comme une priorité essentielle dans leur vie et son rôle de lien social se retrouve particulièrement dans nos clubs EPGV. Ces chiffres reflètent que la crise a complètement modifié la place du sport et que nous devons en tenir compte dans, ce que certains appelleront, « le monde d’après ». La pratique sportive de demain doit se renouveler et évoluer pour répondre à ce qu’expriment les Français à travers notre baromètre Sport Santé. » explique Patricia Morel, Présidente de la FFEPGV.

 

*Enquête réalisée par l’institut IPSOS pour la FFEPGV auprès de 2 004 personnes de 16 ans et plus, du 10 au 15 Décembre 2020.

 

 

A propos de la FFEPGV

Issue d’un mouvement sportif créé en 1888 pour améliorer la santé publique par la démocratisation de la pratique sportive, la FFEPGV voit le jour en 1971, avec la réunion de plusieurs structures fédérales sportives. La Fédération a pour vocation d’organiser des activités physiques et sportives, orientées vers les loisirs et le bien-être. Elle est reconnue d’utilité publique depuis 1976, et compte près d’un demi-million de licenciés et pratiquants à travers 5 600 clubs. Les cours sont délivrés dans chaque club par des animateurs sportifs formés et diplômés par la Fédération.

Pour information  www.sport-sante.fr

 

Contacts presse :

SHADOW Communication – Rachel ALINE DIOT / Aurélie VINZENT / Karima DOUKKALI

Tel : 07 77 92 35 65 / 06 58 66 80 49 / 07 77 36 64 10

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
 
 
Baromètre FFEPGV-2.jpg
 

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Baromètre Sport Santé FFEPGV/Ipsos : En Auvergne Rhône Alpes

Baromètre Sport Santé FFEPGV / Ipsos – 10ème édition

Les bonnes résolutions 2021 impactées par la crise :  la pratique de l'activité physique arrive largement en tête pour 34% des habitants d’Auvergne Rhône-Alpes

 

 

Montreuil, le 28 décembre – Pour la 10ème année consécutive, la Fédération Française d’Éducation Physique et de Gymnastique Volontaire (FFEPGV) publie en collaboration avec l’institut IPSOS son Baromètre Sport-Santé. Cette nouvelle vague d’enquête vient montrer à quel point la crise sanitaire a eu des conséquences sur les résolutions des Français pour 2021. En Auvergne Rhône-Alpes, 36% des habitants ont prévu de pratiquer pour l’année prochaine une activité physique ou sportive régulière, c’est un record !

 

Avec la crise sanitaire, la résolution de pratiquer une activité physique plus importante en Auvergne Rhône-Alpes !

 

Avec un contexte exceptionnel, les bonnes résolutions s’en trouvent en partie bousculées et les Français expriment le souhait de se concentrer sur certaines priorités. Sur le podium des bonnes résolutions 2021 des habitants d’Auvergne Rhône-Alpes :

  • En 1er : Pratiquer une activité physique régulière : 36% 
  • En 2nd : Passer plus de temps en famille, entre amis 29% (+3% vs 2019), une progression remarquable
  • En 3ème : Se réserver de vrais moments de détente (22%) à égalité avec le souhait de s’alimenter de façon plus équilibrée (22%)

 

 

Les femmes fortement impactées par le manque d’activité physique

 

Si elle tient la tête des bonnes résolutions encore plus fortement cette année, c’est que la pratique d’une activité physique a parfois été compliquée pour certains. 70% des habitants d’Auvergne Rhône-Alpes (vs 67% moyenne des Français) considèrent que la crise sanitaire a rendu plus difficile la possibilité de pouvoir avoir une activité physique ou sportive.

 

Alors que les professionnels de santé et l’ensemble de l’écosystème sportif a tiré la sonnette d’alarme sur les conséquences d’un manque d’activité physique, les habitants d’Auvergne Rhône Alpes confirment à leur tour : 76% d’entre eux ont ressenti au moins un impact négatif sur leur bien-être physique, psychologique ou leur état de forme général parce qu’il leur était plus difficile d’avoir une activité physique.

 

En Auvergne Rhône-Alpes, ce sont les femmes qui sont les plus pénalisées à tous les niveaux

  • Sur leur bien-être physique : 62% d’entre elles ont ressenti un impact (vs 62% au national)
  • Sur le bien-être psychologique : 63% d’entre elles impactées (vs 59% au national)
  • Sur l’état de forme en général : 61% déclarent un impact négatif (vs 57% au national)

En revanche sur les relations sociales, 63% des hommes se déclarent être les plus impactés.

 

L’Auvergne Rhône-Alpes très attachée au sport "quoi qu'il en coûte" 

 

L’impact de la crise sanitaire, les confinements successifs et les règles de distanciation sociale auront tout de même eu un impact positif : la proportion des habitants d’Auvergne Rhône-Alpes faisant du sport a considérablement augmenté mais sur des durées plus courtes

  • 88% des habitants de la région pratiquent une activité sportive (vs 63% par rapport à décembre 2019)
  • Une pratique sur une durée moyenne de 2,3h par semaine (vs 3,5h en décembre 2019).

 

Enfin dans l’optique d’une reprise possible des activités sportives en janvier 2021, comme annoncée par le Gouvernement, 77% des habitants d’Auvergne Rhône-Alpes ont l’intention de reprendre le sport.

 

 

« La crise sanitaire a mis à l’arrêt de nombreuses pratiques sportives et plus durement pénalisé les fédérations non compétitives comme la FFEPGV. Pour autant, les chiffres de notre Baromètre Sport Santé confortent nos convictions : les Français placent la pratique sportive comme une priorité essentielle dans leur vie et son rôle de lien social se retrouve particulièrement dans nos clubs EPGV. Ces chiffres reflètent que la crise a complètement modifié la place du sport et que nous devons en tenir compte dans, ce que certains appelleront, « le monde d’après ». La pratique sportive de demain doit se renouveler et évoluer pour répondre à ce qu’expriment les Français à travers notre baromètre Sport Santé. » explique Patricia Morel, Présidente de la FFEPGV.

 

*Enquête réalisée par l’institut IPSOS pour la FFEPGV auprès de 2 004 personnes de 16 ans et plus, du 10 au 15 Décembre 2020.

 

 

A propos de la FFEPGV

Issue d’un mouvement sportif créé en 1888 pour améliorer la santé publique par la démocratisation de la pratique sportive, la FFEPGV voit le jour en 1971, avec la réunion de plusieurs structures fédérales sportives. La Fédération a pour vocation d’organiser des activités physiques et sportives, orientées vers les loisirs et le bien-être. Elle est reconnue d’utilité publique depuis 1976, et compte près d’un demi-million de licenciés et pratiquants à travers 5 600 clubs. Les cours sont délivrés dans chaque club par des animateurs sportifs formés et diplômés par la Fédération.

Pour information  www.sport-sante.fr