avec un grand merci à Pierre-Jean Llorens pour son aide

Un voyageur sur deux est optimiste quant à la possibilité de voyager dans les 12 prochains mois
 
Une étude internationale d'Expedia Group révèle les tendances qui influenceront les choix des voyageurs en 2021
 
Paris, le 11 décembre 2020 — Expedia Group, la plateforme de voyages mondiale, révèle à l'occasion d'explore '20 sa conférence annuelle des partenaires, les facteurs déterminants dans les choix de voyage en 2021 et présente les améliorations technologiques qui aideront les voyageurs et les partenaires à prendre des décisions éclairées pour remplir leurs objectifs. Expedia Group partage ses connaissances et ses outils afin d'aider l'écosystème touristique à s'adapter aux évolutions des voyageurs et à rétablir la confiance au lendemain de la pandémie de COVID-19. L'étude d'Expedia Group™ Media Solutions, l'agence de publicité d'Expedia Group, montre que les voyageurs ont besoin d'être rassurés dans des domaines essentiels tels que la flexibilité, la propreté et la communication pour envisager de voyager de nouveau.
 
Cette étude révèle qu'un voyageur sur deux se sent optimiste — c'est-à-dire à l'aise ou même enthousiaste — à l'idée de voyager dans les 12 prochains mois. Bien que la confiance des voyageurs varie selon les pays et l'âge, trois indicateurs sont communs : l'importance des mesures d'hygiène, de la flexibilité de réservation et le confort financier. Les trois quarts des voyageurs ont déclaré que des mesures telles que le port du masque, les services sans contact et la flexibilité (politique de remboursements ou d'annulation) guideront leurs choix dans leur prochain voyage. 
 
En 2020, seul un tiers des voyageurs ont pu profiter de leur réservation, tandis que deux tiers des voyageurs ont vu leur déplacement prévu annulé en raison de la pandémie de Covid-19. Parmi ceux qui ont pu partir en vacances, huit voyageurs sur dix sont partis pour se ressourcer, c'est-à-dire pour jouir d'un changement de paysage ou de saison, ou alors pour voir leur famille ou leurs amis.
 
« Alors que le monde entier guette l'arrivée des vaccins et que les gens continuent à avoir envie de se dépayser ou de retrouver leurs proches, nous savons que la demande de voyages va augmenter », déclare Monya Mandich, Vice President of Global Marketing, Expedia Group Media Solutions. « La COVID-19 a eu un impact en profondeur sur les préférences et les habitudes des voyageurs. La compréhension de ces changements est essentielle aux efforts de relance et aux futures stratégies marketing. Cette étude donne un aperçu des mesures que les voyagistes peuvent prendre pour rassurer les voyageurs et les inciter à reprendre leurs recherches, leur planification et leurs réservations. »
 
Les tendances du tourisme au cours des 12 prochains mois
  • Globalement, les voyageurs sont plus susceptibles d'effectuer des voyages entre avril et septembre 2021. Les voyageurs brésiliens, chinois et mexicains ont une plus grande probabilité de voyager encore plus tôt, entre janvier et mars 2021, ce qui correspond à la confiance des voyageurs également observée sur ces marchés.
  • Mondialement, les Millénial et la génération Z ont 1,5 fois plus de chances que les autres générations, d'effectuer un séjour touristique entre janvier et mars 2021.
  • 57 % des voyageurs déclarent qu'ils sont à même de voyager si un vaccin est largement disponible. Une bonne nouvelle, étant donnée, qu'en octobre dernier cette opinion a déjà été exprimée alors qu'on n'avait pas encore de calendrier concernant un vaccin.
  • Sept voyageurs sur dix rechercheront à l'avenir la flexibilité telle que l'assurance voyage et la protection de voyage, l'annulation de séjour et le remboursement du transport et de l'hébergement. D'ailleurs, les données d'Expedia.com sur l'hébergement indiquent qu'en 2020, les logements proposant une annulation complète ont été, en moyenne, réservé 10 % qu'en 2019. Les recherches effectuées sur les sites d'Expedia Group indiquent que cette tendance devrait se confirmer.
 
Facteurs influençant les décisions en matière de transport et de logement 
  • Les voyageurs veulent être rassurés sur le fait que les voyagistes et les marques suivent et respectent les procédures de prévention contre la pandémie. L'utilisation et l'application des masques (50 %), le coût (47 %) et la facilité des remboursements ou des politiques d'annulation (45 %) seront les principaux facteurs dans les décisions futures en matière de transport, bien que l'importance accordée à chacun varie selon le mode de transport.
  • Pour les prochains déplacements en avion, 60 % des voyageurs seraient davantage enclins à prendre l'avion si des mesures de distanciation sociale étaient mises en place.
  • Pour plus de 50 % des voyageurs, les décisions en matière d'hébergement seront guidées par le respect des normes d'hygiène pour lutter contre la COVID-19. C'est le principal facteur à prendre en compte pour tous les types d'hébergement chaines hôtelières, hôteliers indépendants, hôtels-boutique, locations de vacances… parmi les autres facteurs à prendre en considération, citons le service d'étage et les plats à emporter sans contact (24 %) et les options de check-in sans contact (23 %).
  • Les voyagistes, ainsi que les offices de tourisme, doivent communiquer clairement les mesures de santé et d'hygiène prises, les protocoles anti-COVID-19 mis en place et les dispositions contractuelles appliquées pour rassurer et attirer les voyageurs.
 
Inspirer les futurs voyageurs
  • Les voyageurs se tournent vers les agences de voyages en ligne pour obtenir des informations et planifier leur voyage 24 % de plus qu'avant la pandémie, tandis que les sites de destination ont vu leur utilisation comme outil de planification augmenter de 20 %.
  • Les images et les messages informatifs présents dans les publicités de voyage ont 20 % plus d'influence qu'avant la pandémie, tout comme les organisations de voyage et les experts. Cela reflète l'évolution des priorités des voyageurs. En effet, les mesures d'hygiène et la flexibilité prenant le pas sur les expériences et les activités. D'où l'importance accrue accordée aux informations crédibles et récentes provenant de sources fiables.
 
La technologie au service de l'expérience touristique
Cette étude souligne que les consommateurs réserveront un voyage s'ils ont confiance en leur capacité à modifier leurs projets à voyager en toute sécurité. En investissant dans la technologie, Expedia Group offre aux voyageurs et aux partenaires d'hébergement un plus grand choix dans la manière de rechercher et de recevoir une assistance, tout en les aidant à accomplir leurs démarches plus rapidement et à prendre des décisions en connaissance de cause.
 
  • Améliorations des agents virtuels : Expedia Group a ajouté de nouvelles compétences à son agent virtuel alimenté par l'IA. Ces nouvelles capacités permettent de traiter les questions les plus courantes, telles que l'annulation ou la modification de voyages, la réception de remboursements, l'échange de bons et la réponse à des questions sur les mesures de sécurité. L'annulation en un clic, nouvelle fonctionnalité, permet aux voyageurs de demander l'annulation de tout ou partie de leur voyage. Cela fonctionne de manière transparente pour les réservations effectuées auprès des marques d'Expedia Group et respecte les politiques d'annulation du partenaire de voyage. Dans le cas de demandes complexes, l'agent virtuel met le voyageur en relation avec des agents humains ou directement avec le partenaire de voyage. Expedia Group a également développé son agent virtuel pour fournir un soutien à la demande aux partenaires d'hébergement. Ainsi le programme peut répondre aux questions élémentaires, en fournissant des ressources supplémentaires et en accomplissant rapidement des tâches telles que la révision des politiques d'annulation pour une réservation spécifique, la modification des politiques d'annulation et la recherche de cartes virtuelles Expedia pour les paiements et les bons.
 
  • Informer sur les destinations : Les marques d'Expedia Group, dont Expedia.com, ont récemment lancé le COVID-19 Travel Advisor, un outil interactif développé par Sherpa. C'est un guide qui a pour but d'aider les voyageurs à trouver des informations actualisées sur les restrictions de voyage dans la destination qu'ils prévoient de visiter, telles que la quarantaine, le port du masque obligatoire et les exigences d'un test COVID-19. Avant leur départ, les voyageurs peuvent entrer des détails tels que leur pays de départ et leur destination, la date de départ et le pays qui a délivré leur passeport pour avoir accès à des informations détaillées afin de préparer leur voyage.
 
Regarder explore ‘20 à la demande
Les enregistrements d'explore '20 seront disponibles sur www.exploreexpediagroup.com à partir du 14 décembre et jusqu'à la fin de l'année 2020.
 
Plus d'informations concernant le marketing des voyages 
Pour en savoir plus quant aux comportements, aux préoccupations et aux motivations des voyageurs, téléchargez l'étude mondiale Traveler Sentiment and Influences et restez à l'écoute des recherches régionales de l'Expedia Group Media Solutions qui seront présenté lors des prochains événements virtuels.
 
Découvrez le blog d'Expedia Group Media Solutions et connectez-vous sur Twitter et LinkedIn pour découvrir d'autres tendances en matière de voyage et des informations tirées de notre recherche personnalisée et de 300 pétaoctets de données exclusives sur les intentions et la demande de voyage d'Expedia Group.
 
Méthodologie de recherche
L'étude a utilisé un groupe fusionné des meilleurs panels en octobre 2020 avec 11 000 voyageurs dans 11 pays, dont l'Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la France, l'Allemagne, l'Italie, le Japon, le Mexique, le Royaume-Uni et les États-Unis. Les répondants représentent une variété de générations et de données démographiques pour une compréhension large et inclusive de ce que les voyageurs considèrent lorsqu'ils prennent des décisions concernant leur destination, leur transport et/ou leur hébergement.
 
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À propos d'Expedia Group
La volonté d'Expedia Group est d'abattre les obstacles au voyage en le rendant plus simple, plus agréable, plus abordable et plus accessible. Nous sommes là pour rendre le monde accessible pour nos clients et nos partenaires à travers le monde. Nous mettons notre plateforme et notre technologie à disposition au travers d'un large portefeuille d'entreprises et de marques pour orchestrer les déplacements des personnes et proposer des expériences de voyage au niveau local et international. Notre famille de marques de voyage comprend : la marque Expedia®, Hotels.com®, Expedia® Partner Solutions, Vrbo®, Egencia®, trivago®, HomeAway®, Orbitz®, Travelocity®, Hotwire®, Wotif®, ebookers®, CheapTickets®, Expedia Group™ Media Solutions, Expedia Local Expert®, CarRentals.com™, Expedia® CruiseShipCenters®, Classic Vacations®, Traveldoo®, VacationRentals.com et SilverRail™.
 
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42% des Français déclarent payer davantage en sans contact

depuis le début de la crise Covid-19

 

 

 

 

  • Visa a mandaté le cabinet de conseil GfK pour conduire une enquête sur l'impact de la Covid-19-19 sur les habitudes de paiement en Espagne, en France, en Italie et au Portugal.
  • Depuis le 1er confinement, les Français déclarent privilégier le paiement sans contact (+42%) et les cartes de paiement (+34%) en magasin, et faire davantage leurs courses en ligne : un quart des sondés se sont mis au e-commerce (22%)
  • 34% des consommateurs ont déclaré avoir réduit leur utilisation d’espèces depuis le début de la crise de la Covid-19.
  • Ces changements des comportements d'achat pourraient bien être permanents : d’ores et déjà, les consommateurs français perçoivent que les commerçants sont moins réticents à accepter  les paiements par carte en magasin (pour 34% d'entre eux).

Paris, le 14 décembre 2020 - Le confinement avec la fermeture des magasins non essentiels a profondément impacté les comportements des consommateurs français. Dans le cadre de son engagement à soutenir les économies locales dans cette période d’incertitude en leurs aidant à identifier des opportunités de développement, Visa a mandaté le cabinet d’étude GfK de mener une enquête auprès de consommateurs en Espagne, en France, en Italie et au Portugal sur les nouvelles tendances de paiements en magasins et en e-commerce.

Selon l’étude, avant la Covid-19, la France était le pays qui avait le moins recours aux paiements en espèces parmi les pays interrogés et le plus utilisateur du paiement sans contact (77% des Français privilégient le paiement en espèces en magasin vs 86% en Italie et 83% en Espagne et Portugal). Sur ce marché déjà mature, l’étude montre que le confinement a accéléré l’adoption des solutions de paiement digitales. Désormais, les consommateurs français les considèrent comme le meilleur moyen de payer en magasin et en ligne. En France, l’étude met en exergue une baisse de 34% des paiements en espèces ainsi qu’une augmentation de l’utilisation du sans contact (+42%) et des paiements par carte (+34%) en parallèle. Le e-commerce, pour sa part, fait un bond de +37%. De plus, de nouveaux modes de paiement apparaissent : +8% utilisent les portefeuilles numériques en ligne et +2% en magasin. 

« La fermeture des magasins et la pandémie ont conduit les clients à adapter leur mode de paiement en magasin et en ligne », explique Romain Boisson, Directeur Général de Visa en France. " La digitalisation des commerces physiques ainsi que le e-commerce ont été une bouée de sauvetage pour les consommateurs et les commerçants français. Nous avons été en première ligne pour promouvoir les paiements sans contact en magasin et aider les PME à ouvrir des markets place en ligne, en collaboration avec nos clients, les banques".

 

L'étude prouve que la pandémie accélère considérablement les changements d’habitudes d’achat des consommateurs français et leur manière de payer.

 

« En France, la COVID-19 a transformé les habitudes d’achat, et notamment de paiement en fonction de nouveaux besoins : l'essor du digital, et en particulier du paiement sans contact que nous avons observé, peut être considéré comme le signal fort de l'importance accordée par les consommateurs à la sécurité et à la commodité » explique François Le Gunehec, Responsable d’étude chez GfK France. « Aujourd'hui, nous constatons également que les consommateurs attendent des marques une mission plus large, prouvant que leurs intérêts ne sont pas que commerciaux, mais qu’elles sont prêtes à jouer leur rôle pour contribuer à la communauté au sens large. »*

 

En magasin, la carte de paiement et le paiement sans contact s’ancrent dans le quotidien des Français, alors que de nouveaux moyens de paiement commencent à émerger

 

Une tendance également soulignée par La Banque de France en septembre dernier : « La carte de paiement reste le moyen de paiement le plus utilisé en termes de nombre de transactions (58%) notamment en raison du doublement de l'utilisation du paiement sans contact » .

 

Une attention accrue est portée sur la sécurité et la praticité a entraîné l’essor du paiement sans contact en magasin : 42% des clients français ont déclaré que, depuis la crise du coronavirus, ils utilisent plus qu'avant le paiement sans contact. Les Français adoptent également les habitudes de paiement sans contact dans des secteurs où le paiement en espèces était ancré dans les habitudes : le stationnement et les transports publics (36% des Français utilisent de plus en plus le paiement sans contact). Ceci reflète une tendance nationale : les villes en France sont de plus en plus nombreuses à adopter l’Open Payment dans leurs réseaux de transport public.

 

Autre conséquence de la pandémie, les consommateurs français commencent à adopter de nouveaux modes de paiement tels que le paiement mobile (+6%) et les portefeuilles numériques / applications qui permettent de débiter directement un compte (+2%).

 

 

Source : étude GfK pour Visa « l’impact de la Covid-19 sur les habitudes de paiement des consommateurs », Novembre 2020

La crise a levé des freins du paiement sans contact, qui entre lentement mais sûrement dans le quotidien des Français

 

En mai dernier, Visa a travaillé avec ses partenaires en France pour augmenter les limites de paiement sans contact jusqu'à 50 euros, afin d'aider les consommateurs à payer plus facilement et de manière plus sûre, en limitant les situations nécessitant de saisir son code secret. Les consommateurs français interrogés dans le cadre de l’étude portent un regard bienveillant sur cette hausse du plafond du paiement sans contact : 81% le perçoivent comme positif. Et cette évolution pourrait bien être permanente car, comme le suggère l’étude, ils sont prêts à adopter de manière pérenne le paiement sans contact et le paiement par carte : 66% d'entre eux souhaitent conserver la limite relevée dans le futur. Cette attitude positive montre que les Français privilégient les moyens de paiement pratiques et faciles : 34% des Français interrogés souhaitent même pouvoir laisser leur portefeuille à la maison et tout payer avec leur smartphone! 

 

La sécurité est la clé de l'adoption du paiement digital, et on constate l’essor de la confiance des Français envers les nouveaux moyens de paiement. Ce sont des signes encourageants et des clés pour les commerçants afin de rassurer leurs consommateurs et de s'adapter à ce nouveau paradigme.

 

L’e-commerce en plein essor en France depuis le confinement

 

Les Français se situaient déjà en tête des acheteurs en ligne, avant même le confinement (64%). Les restrictions de déplacement et les fermetures de magasins non essentiels ont boosté l’e-commerce.

Consommateurs et commerçants ont saisi la possibilité d'acheter et de vendre en ligne, comme l'a souligné la Fédération du E-commerce et de la Vente A Distance (FEVAD) au deuxième trimestre 2020 : « Ce sont les achats en ligne auprès des enseignes magasins qui ont le plus accéléré ce trimestre avec une progression de +83% »** . L’étude menée avec GfK montre que de nombreux clients qui préféraient auparavant faire leurs achats en magasin ont opté pour les achats en ligne : près de la moitié des clients français ont commencé ou augmenté leurs achats en ligne (47%). Sans surprise, l'ordinateur portable reste de loin l'appareil préféré pour faire ses achats en ligne (60%), tandis que le smartphone est utilisé par 40% des clients français et la tablette par seulement 14%. Mais qu’est-ce-que les Français achètent en ligne depuis la crise de la Covid-19 ? Selon les Français interrogés par GfK, principalement les produits de première nécessité : les produits alimentaires (+14% des acheteurs français) et les produits d'hygiène (+11% des acheteurs français).

Source : étude GfK pour Visa « l’impact de la Covid-19 sur les habitudes de paiement des consommateurs », Novembre 2020

À noter que, si l’étude montre que le commerce électronique se développe en France après le premier confinement, la tendance n'est pas aussi forte que dans des autres pays interrogés : la croissance des cartes de paiement est de +15% (vs. +20% d'augmentation en moyenne) et celle du portefeuille numérique de +8% en France (vs. +17% en Espagne et +13% en moyenne). Néanmoins, la commodité, la sécurité et l'innovation devraient continuer à façonner les habitudes françaises en matière d’e-commerce.

 

* Rapport annuel de la Banque de France 2019

** FEVAD, résultats du e-commerce pour le second trimestre 2020

 

Méthodologie

L'enquête a été menée par GfK en France, en Italie, au Portugal et en Espagne. 3 200 personnes ont été interrogées (800 pour chaque pays) en août et septembre 2020 sur leur perception des paiements.

Les études de cas, les comparaisons, les statistiques, les recherches et les recommandations sont fournies "en l’état" et ne sont destinées qu'à des fins d'information. Il ne faut pas se baser sur cette étude pour obtenir des conseils opérationnels, marketing, juridiques, techniques, fiscaux, financiers ou autres. Visa Inc. ne donne aucune garantie ni ne fait aucune déclaration quant à l'exhaustivité ou à l'exactitude des informations contenues dans ce document, et n'assume aucune responsabilité qui pourrait résulter de la confiance accordée à ces informations. Les informations contenues dans le présent document ne sont pas destinées à servir de conseils en matière d'investissement ou de droit, et les lecteurs sont encouragés à demander l'avis d'un professionnel compétent lorsqu'un tel avis est nécessaire.

 

À propos de Visa Inc.

Visa Inc. (NYSE : V) est le leader mondial des paiements digitaux. Notre mission est de connecter le monde via le réseau de paiement le plus innovant, fiable et sécurisé du marché, permettant aux individus, aux entreprises et aux économies de prospérer. VisaNet, notre réseau de traitement mondial, permet un paiement fiable et sécurisé partout dans le monde et est capable de traiter plus de 65 000 transactions par seconde. L’innovation perpétuelle chez Visa est un catalyseur de croissance rapide pour le commerce connecté sur tous les terminaux. Alors que nous passons d’un monde matériel à un monde digital, Visa mobilise sa marque, ses produits, ses équipes, son réseau et sa taille pour redéfinir l’avenir du commerce.

Pour en savoir plus, consultez Visa.fr, le blog de Visa France et @Visa_Fr.

 

Étude happn : un célibataire sur deux déclare ressentir une pression

Alors que les fêtes de Noël riment souvent avec retrouvailles et festivités, l'ambiance est bien différente du côté des célibataires ! Selon un récent sondage happn, un célibataire sur deux* déclare ressentir une pression sociale liée à sa situation amoureuse lors des fêtes de fin d'année. 

"Alors toujours célibataire ?"

Bien souvent, les réunions de famille font l'objet de questions intrusives sur la vie sentimentale des célibataires. Une pression sociale bien réelle, puisque 35% des utilisateurs happn avouent avoir déjà menti à leur famille sur leur situation amoureuse pour éviter les remarques culpabilisantes de leurs proches. Une confession plutôt inattendue qui montre bien un certain mal-être chez les célibataires !

Le holidating, une tendance amoureuse avérée ? 

Inspirée du film Netflix “Holidate”, cette nouvelle façon de dater consiste à se trouver un alibi amoureux à l'approche des fêtes de fin d'année. Pourtant il semblerait bien que la fiction prenne le pas sur la réalité : selon le sondage happn, 40% des utilisateurs déclarent être capables de se mettre en couple juste pendant cette période de l'année, afin d'éviter la pression sociale et familiale.

“Le regard insistant sur les célibataires et leur situation amoureuse peut très vite devenir un sujet agaçant lors des réunions familiales. Alors que le modèle traditionnel du couple évolue et continue de se réinventer, il reste tout de même difficile d'échapper à l'attitude culpabilisante de la famille, pour qui “être en couple” reste un objectif à atteindre.” explique Marine Ravinet, Head of Trends chez happn.

¨Sondage in-app happn réalisé la semaine du 4 décembre 2020 sur un panel de 500 utilisateurs 

 

CADEAUX, DEPENSES ALIMENTAIRES, INTENSITE DE NOEL :

LES FRANÇAIS VEULENT PASSER UNE FIN D’ANNEE COMME LES AUTRES MALGRE LES INQUIETUDES LIEES A LA CRISE

 

 

 

Thème 3 : « Le luxe, un superflu aujourd’hui nécessaire ? » — Enquête 3/3, décembre 2020 : « Achats, budget, comment les Français se paient-ils petits et grands luxes ? »

 

Les zooms de l’Observatoire Cetelem analysent les modes de vie et proposent d’explorer un grand thème en trois temps, sollicitant l’avis des Français au travers de trois vagues de sondage. Les zooms viennent ainsi compléter et enrichir le dispositif d’observation et d’études existant de l’Observatoire Cetelem.

 

 

Après avoir exploré le rapport des Français au luxe à la fin d’une année 2020¬ chahutée par le Coronavirus et travaillé sur le thème de la responsabilité dans ce secteur de premier plan pour l’économie tricolore, les zOOms de l’Observatoire Cetelem se penchent sur la question des prévisions et attentes des consommateurs en matière de luxe à l’approche les fêtes de fin d’année. Dans quelles conditions les Français sont-ils prêts à acheter du luxe ? Quels sont les luxes qu’ils souhaiteraient s’offrir ? Par quels canaux d’achat ?

 

• Après une année morose, les Français et en particulier les jeunes veulent retrouver l’esprit de Noël, en offrant à leurs proches des produits alimentaires (72%), des produits (51%) ou des expériences (32%) de luxe, conformément à leurs habitudes. Chocolats, saumon, bûche et foie gras figureront bien au menu pour plus de 8 Français sur 10.

 

• Plus de la moitié des Français (52%) déclare dans le même temps n’avoir pas particulièrement envie de profiter de la fin d’année pour se faire plaisir car ils n’ont pas l’esprit à la fête ; 1/3 prévoit d’ailleurs un budget inférieur à celui de l’année dernière. Ils n’utiliseront donc pas l’épargne accumulée pour cette occasion.

 

• Une habitude au moins est amenée à être bousculée : le mode d’achat des cadeaux. Plus d’1/4 (26%) des Français envisage d’effectuer plus d’achats en ligne que l’an dernier. Au total, presque autant de cadeaux seront achetés sur la toile (76%) que dans les magasins physiques (82%).

 

• Perçu comme un moyen de rebondir dans le contexte actuel (84%) autant que de cibler une nouvelle clientèle (jeunes, clients étrangers, 83%), le virage du digital pris par le secteur du luxe est globalement bien accueilli.

 

• Pour la plupart des Français (57%), l’émergence de plateformes comme Amazon ou C-Discount impacte peu le commerce du luxe — une large majorité (64%) préférant de toute façon acheter les produits de luxe en boutique —, même si les trois quarts (75%) considèrent que les petits commerçants sont désavantagés par cette concurrence.

 

Les Français préfèrent les luxes qui leur semblent plus accessibles

Les produits ou expériences qui semblent les plus accessibles aux Français appartiennent souvent au domaine du bien-être quotidien : une séance de spa ou de massage paraît accessible à 69% de la population, un parfum de luxe à 67%, et un produit cosmétique à 58%. À l’opposé se trouvent les grands investissements, représentés par la voiture de luxe, que 21% seulement considèrent comme accessible, l’œuvre d’art (22%), ou encore le bijou de luxe (33%).

 

Pour autant, les Français désirent-ils plus fortement ces objets ? Au contraire, ils sont plus nombreux à désirer ce qui est à leur portée : ainsi, la séance de spa ou de massage (62%), l’expérience de restauration (58%) et le parfum de luxe (57%) figurent parmi les plaisirs les plus affectionnés. De manière générale, les différents luxes paraissent aussi accessibles que réellement désirés — excepté toutefois la voiture de luxe, que plus de 4 Français sur 10 (43%) aimeraient s’offrir. Et ce même si, dans le même temps, près des deux tiers des Français (64%) affirment préférer la rareté à la régularité.

 

Les Français aiment s’offrir de petits luxes liés à la gastronomie, comme une sortie au restaurant (63% souvent ou de temps en temps) ou un produit alimentaire de marque plus prestigieuse qu’à l’ordinaire (50%). L’achat d’un vêtement provenant d’une boutique plus haut de gamme que d’habitude (33%), ou une séance de spa/massage (28%) arrivent ensuite. Chez les moins de 35 ans, on note une propension plus grande à s’offrir des voyages (44% contre 34% en moyenne), des vêtements (50% contre 33%) ou des objets visant uniquement à se faire plaisir (50% contre 33%).

 

Par ailleurs, hommes et femmes ne convoitent pas systématiquement les mêmes types de luxe. S’ils sont également attirés par les vêtements, les lunettes, les meubles et les places à l’opéra, c’est moins le cas des expériences de spa/massage, parfums, produits cosmétiques, bijoux et autres sacs, préférés par les femmes, tout comme des expériences de restauration,  voitures, produits numériques, montres et œuvres d’art, plus affectionnés par les hommes.

 

 

Le luxe indissociable de l’expérience d’achat…

Dans un contexte général de digitalisation des achats, le luxe semble toujours très associé à l’expérience traditionnelle de l’achat physique, que près des deux tiers des Français déclarent privilégier (64%), tandis que la moitié préfère même effectuer ses achats directement auprès d’une boutique de la marque de luxe concernée — ils sont très peu (14%) à opter pour l’achat en grand magasin. Parmi la minorité préférant commander en ligne (36%), l’achat sur le site de la marque (19%) et celui sur une plateforme multimarque (14%) sont les options préconisées, tandis que l’achat sur le site d’un grand magasin reste marginal (3%).

 

Les soldes, plébiscitées par presque 9 Français sur 10, font office de promotion par excellence pour s’offrir des produits de luxe, même si d’autres opérations exceptionnelles (78%) ou ventes privées (75%) sont également populaires. À l’inverse, la contrefaçon recueille peu de suffrages : un quart seulement envisage d’y avoir recours. Les Français les plus jeunes, aux revenus souvent moins importants que leurs aînés montrent davantage d’appétence pour les solutions permettant d’obtenir des remises… jusqu’à un plus grand attrait pour la contrefaçon, qui pourrait séduire pas moins d’un jeune sur deux (48%).

 

Les produits de luxe sont donc reconnus pour leur valeur intrinsèque de qualité, qui dépasse la simple imposition d’un logo. Pour preuve, même s’il s’agit de produits chers, près de la moitié des Français (44%) indique que le prix des produits de luxe leur paraît généralement justifié.

 

 

…et toujours peu associé au digital

Si le luxe reste associé en priorité à des achats physiques, les Français semblent favorables aux innovations digitales du secteur. Vue comme un bon moyen de continuer à vendre en période de crise et d’assignation à domicile pour 84% des sondés, la digitalisation permet aussi aux marques d’adresser une nouvelle clientèle (plus jeune, étrangère, etc.) selon 83% d’entre eux. Les Français se disent également convaincus du potentiel d’Internet et du digital concernant l’innovation et la créativité des acteurs — respectivement 71% et 67% —, en vue de renforcer une image accessible du luxe (70%). Une courte majorité (46%) estime que cette digitalisation ne correspond pas à l’image qu’elle se fait du luxe ; ce qui indique l’existence d’un décalage entre luxe et digital. Le virage de la digitalisation n’apparaît donc pas encore complètement acquis.

 

La présence du luxe sur les réseaux sociaux ne semble d’ailleurs pas constituer un levier d’achat déterminant chez les Français — en tout cas pas de manière consciente. Parmi différentes opérations marketing qui les inciteraient à acheter des produits de luxe, les Français sont plus réceptifs aux offres personnalisées (28%) et/ou uniques (25%). L’engagement éthique se positionne également comme un levier important (25%). À l’inverse, les contenus médiatiques sont perçus comme les moins incitatifs quel que soit le support — médias traditionnels, 17% ; contenus sur les réseaux sociaux, 10% ; recommandations d’influenceurs.ses, 8%. Les plus jeunes se déclarent nettement plus sensibles aux contenus présents sur les réseaux sociaux (11%).

 

Les Français considèrent les grands groupes de vente en ligne comme des concurrents aux petits commerces (75%) et aux marques françaises de manière générale (66%). Ils se montrent moins sensibles à leur impact sur l’industrie du luxe (43%), probablement perçue comme moins vulnérable.

 

 

Les Français aspirent à un Noël comme les autres

Le contexte particulier de cette fin d’année 2020 marquée par la pandémie du Coronavirus ne semble pas bouleverser outre mesure les habitudes des Français lorsqu’ils se projettent dans leurs achats festifs. Néanmoins, plus d’1 Français sur 4 (26%) prévoit d’acheter plus de cadeaux en ligne cette année que l’an dernier. Ainsi, il y aura cette année presque autant de cadeaux achetés en ligne (76%) qu’en physique (82%) sous les sapins de Noël.

 

Interrogés sur les différents types de cadeaux qu’ils envisagent de faire à leurs proches, les Français déclarent privilégier, les produits alimentaires (72%) ainsi que les produits de luxe, qui devraient être présents sous le sapin d’un Français sur deux (51%). La majorité ne montre aucune intention de changer ses habitudes à ce niveau. Quant aux repas de fêtes, chocolats, saumon, bûche et foie gras sont bel et bien prévus au menu pour plus de 8 Français sur 10 ; et pour environ 6 sur 10, ces différents aliments seront présents en quantité équivalente à l’année dernière. Une attention particulière sera néanmoins portée aux dépenses : près d’un tiers envisage de limiter son budget (35% souhaitent dépenser moins pour les achats alimentaires, et 32% pour les cadeaux).

 

Les Français se montrent aussi fort partagés entre l’envie de profiter de la période d’autant plus intensément du fait du contexte difficile (48%) et l’inquiétude liée à la crise (52%). Une inquiétude légèrement plus marquée chez les femmes (55%) et surtout chez les personnes âgées (65 ans et plus, 65%). Malgré un moral en berne, les Français souhaitent conserver des fêtes les plus intactes possibles.

 

 

 

 Télécharger le rapport de l'étude

Enquête réalisée par Harris Interactive en ligne les 24 et 25 novembre 2020. Échantillon de 1 027 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l’interviewé(e).

 

 

 

 

À propos de L'Observatoire Cetelem

Créé en 1985, l’Observatoire Cetelem est une structure d’études et de veille économique du groupe BNP Paribas Personal Finance, dirigée par Flavien Neuvy.

Dans une période de transformation profonde du commerce et des modes de consommation, l’Observatoire Cetelem a pour vocation de comprendre les mutations de la consommation. Pour répondre à cette exigence, l’Observatoire Cetelem a mis en place un dispositif d’observation et d’analyse fondé sur la diversité et la complémentarité de contenus avec :

• Les Observatoires : 2 études de référence grand public annuelles menées au niveau international, l’une sur l’automobile à l’échelle mondiale (15 pays), l’autre sur la consommation au niveau européen (15 pays).

• L’Œil, les nouveaux faits de consommation à la loupe, repère les micro-faits qui préfigurent les innovations et mutations marquantes en matière de consommation.

• Les zOOms, les modes de vie en vue, propose d’explorer un grand thème (l’habitat, le sport, l’éducation, la culture, le corps…) en 3 temps, sollicitant l’avis des Français au travers de 3 vagues de sondage.

www.observatoirecetetem.com | @obs_cetelem

Sondage OpinionWay pour Aucoffre « L’impact de la crise sanitaire sur l’épargne »
Comment les Français changent-ils leur comportement d’épargne ?

Paris, 14 décembre 2020. La situation économique en France s’aggrave, mais effraie-t-elle pour autant les Français ? A-t-elle changé leur comportement en matière d’épargne ? Et quel est son impact sur la confiance accordée aux institutions financières, au livret A, à l’immobilier, à l’or ? Ce sont les questions qu’OpinionWay a posées à 1 019 personnes durant le mois de novembre pour AuCoffre.com. Explications.

9 FRANCAIS SUR 10 S’INQUIETENT DE LA SITUATION ECONOMIQUE

Alors que la France traverse un deuxième confinement, le sondage montre que 87% de Français estiment que la situation économique de la France s’aggrave. L’inquiétude augmente avec l’âge : 68% des jeunes âgés de 18 à 24 ans se déclarent préoccupés par la situation contre 82% des personnes âgées de 35 à 49 ans et 92% des personnes âgées de 65 ans et plus. Si de nombreux Français déclarent ne pas avoir connu de baisse du pouvoir d’achat, probablement grâce aux aides du gouvernement en cette période particulière, on remarque que les plus précaires sont moins nombreux à en bénéficier. 62% des foyers dont le revenu mensuel est inférieur à 1000€ déclarent une perte de pouvoir d’achat sur les six derniers mois (-11 points par rapport à 2019).

INSTITUTIONS FINANCIERES : LA CONFIANCE REGNE (OU PAS) ?

Si la confiance dans la politique financière française reste minoritaire auprès du grand public, elle est quand même en augmentation (41%, +12 points). On constate également une hausse de la confiance dans deux des institutions : la Banque Centrale Européenne (48%, +5 points par rapport à avril 2020) et le Ministère de l’économie (43%, +3 points). La confiance dans d’autres institutions comme le Fonds Monétaire International, les banques et les sociétés d’assurance évolue peu. On note que le taux de confiance dans les bourses reste très bas (28%).

3 FRANÇAIS SUR 4 PESSIMISTES CONCERNANT L’IMPACT DE LA CRISE SUR LEUR EPARGNE

Dans ce contexte particulier, les Français font preuve d’un optimisme fragile concernant l’impact de leur situation personnelle sur leur épargne (44% sont optimistes). En revanche, les Français sont beaucoup plus pessimistes concernant l’impact de la situation économique du pays sur leur épargne (75% sont pessimistes). Même constat pour l’international (72%) malgré une lueur d’espoir suite aux élections américaines (58% d’optimistes). En revanche, concernant leur situation personnelle, les catégories socioprofessionnelles les plus aisées sont beaucoup plus optimistes (58% contre 37% dans les catégories populaires).

Si près d’un Français sur trois (28%) déclare que la situation actuelle n’a pas d’effet sur son comportement en matière d’épargne, la majorité de la population (51%) préfère ne pas diversifier son épargne pour le moment.

ÉPARGNE CHANGE DE VISAGE : PLUS DE 1 FRANÇAIS SUR 2 A DAVANTAGE CONFIANCE DANS L’OR QUE DANS LA MONNAIE

En revanche, le produit d’épargne jugé comme le plus approprié actuellement n’est plus le même qu’en avril dernier : il s’agit maintenant de l’immobilier (23%, +3 points) devant le livret A qui enregistre une forte baisse (19%, -12 points). L’or est avant tout jugé le plus sécurisé (28%) après le livret A (1 Français sur 3). Il est également perçu comme l’un des plus rentables (22%) derrière l’immobilier (25%) et transmissible (19%) après l’immobilier (29%) et l’assurance-vie (24%). À ce titre, plus d’un Français sur deux (55%) a davantage confiance dans l’or que dans la monnaie des différents pays.

En pleine crise sanitaire et économique, la politique de soutien du gouvernement français a permis d’éviter à de nombreux Français de perdre en pouvoir d’achat. Cela a entraîné un sursaut de la confiance de la population dans les institutions politico-financières françaises et européennes ainsi que dans leur politique. Dans un contexte économique perturbé, l’or reste une valeur qui rassure les Français. Ces derniers préfèrent maintenant investir dans des produits « physiques » à l’image de l’immobilier ou de l’or plutôt que dans des produits financiers comme le livret A.

Cette étude a été réalisée par questionnaire autoadministré en ligne auprès d’un échantillon de 1019 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas. Les interviews ont été réalisées les 12 et 13 novembre 2020

Pour visualiser le Sondage dans son intégralité, cliquez ici.

Pour visualiser l'infographie "Les Français et leur épargne dans le contexte de crise sanitaire et économique", cliquez ici.


1 A Propos d’AuCOFFRE.com
 
 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 15/12/2020

 
 

L’orientation et l’accompagnement des bénéficiaires du RSA : légère baisse des délais d’orientation en 2019

 

Fin 2019, 2,1 millions de bénéficiaires du RSA sont soumis aux droits et devoirs associés à cette prestation, soit environ 99 % des adultes bénéficiaires du RSA. Ces droits et devoirs désignent l’obligation de rechercher un emploi, d’entreprendre les démarches nécessaires à la création de leur propre activité ou d’entreprendre les actions nécessaires à une meilleure insertion sociale ou professionnelle avec, en contrepartie, le droit à bénéficier d’un accompagnement destiné à être aidé dans ces démarches. 82 % des bénéficiaires du RSA soumis aux droits et devoirs sont orientés vers un parcours d’insertion par les collectivités territoriales chargées de l’insertion des bénéficiaires du RSA sur leur territoire. Cette part est d’autant plus forte que l’ancienneté dans le RSA est élevée : elle est de 86 % dans le cas d’une ancienneté de 1 an ou plus, de 75 % pour les personnes dont l’ancienneté est comprise entre 6 mois et moins de 1 an et de 48 % pour celles ayant une ancienneté inférieure à 6 mois.

 

En moyenne, en 2019, 95 jours se sont écoulés entre la date d’entrée1 dans le RSA et celle d’orientation vers un parcours d’insertion2. A champ constant3, ce délai a diminué de 5 jours par rapport à 2018. Ce délai est supérieur à 120 jours dans environ 30 % des conseils départementaux ou territoriaux.

 

L’organisme référent unique du parcours d’insertion des bénéficiaires du RSA orientés est Pôle emploi dans 41 % des cas et le conseil départemental ou territorial dans 31 %. Pour les autres, il s’agit soit d’organismes du Service public de l’emploi (SPE) autres que Pôle emploi (6 % des cas), soit d’organismes hors SPE autres que le conseil départemental ou territorial (22 % des cas, principalement des centres communaux d’action sociale, des associations et d’autres organismes d’insertion à dominante sociale). Cette répartition est globalement stable par rapport à l’année précédente.

 

50 % des bénéficiaires du RSA orientés vers un organisme autre que Pôle emploi disposent d’un contrat d’engagements réciproques (CER). Cette part est globalement stable par rapport à 2018 (+1 point de pourcentage, à champ constant). Le délai moyen entre la date de première orientation et celle de signature du premier CER4 est à peu près stable par rapport à 2018 (1 jour de moins, à champ constant) : il est de 53 jours en 2019. 35 % des CER comportent au moins une action visant l’accès aux soins.

 

1 Cette date correspond en général au 1er jour du mois de l’ouverture des droits au RSA du foyer dont dépend le bénéficiaire.
2 Pour les personnes entrées dans le RSA en 2019, soumises aux droits et devoirs et orientées au 31/12/2019 et n’ayant eu qu’une orientation sur la période.
3 C’est-à-dire en se restreignant aux collectivités pour lesquelles la réponse est exploitable à la fois en 2018 et 2019 sur ce sujet. Elle l’est pour 62 en 2018 et pour 85 en 2019 (pour 58, elle l’est à la fois en 2018 et 2019).
4 Pour les personnes entrées dans le RSA en 2019, soumises aux droits et devoirs et ayant un CER au 31/12/2019 et n’ayant eu qu’une orientation et qu’un CER sur la période.

 

Téléchargez les résultats complets sur le site open data de la DREES
 
 

À propos de l’enquête annuelle sur l’orientation et l’accompagnement des bénéficiaires du RSA (OARSA)


La DREES publie chaque année les résultats détaillés nationaux et départementaux, déclinés selon les caractéristiques des bénéficiaires, de son enquête annuelle sur l’orientation et l’accompagnement des bénéficiaires du RSA (effectifs, part des personnes orientées, répartition par organisme référent unique, etc.). Cette enquête, centrée sur les bénéficiaires soumis aux droits et devoirs, fait partie du système de suivi statistique prévu par la loi du 1er décembre 2008 généralisant le revenu de solidarité active et réformant les politiques d’insertion. En 2019, 104 collectivités territoriales ont été interrogées, couvrant exhaustivement les territoires français au sein desquels le RSA existe. Toutes ont répondu à l’enquête, dont 101 présentant au moins un résultat exploitable.

 

Le questionnaire a été fortement révisé pour la vague 2017 de l’enquête, rendant depuis possible l’étude :

- des délais entre la date d’entrée dans le RSA et la date de première orientation ;

- des délais entre la date de première orientation vers un organisme autre que Pôle emploi et la date de signature du premier contrat d’engagements réciproques (CER) ;

- des taux de CER pour chaque type d’organisme référent unique ;

- des durées et actions inscrites dans les CER.

 

Les données remontées dans l’enquête OARSA sont des données statistiques agrégées, qui ne permettent de ventiler les informations que selon un nombre limité de caractéristiques des personnes concernées. Pour compléter ces résultats, la DREES travaille actuellement à la mise en place de remontées individuelles de données sur l’insertion et l’accompagnement des bénéficiaires du RSA (projet « RI-insertion »). Cette information fine sera collectée auprès des départements durant 2021 et la base statistique devrait être disponible au printemps 2022.

 

Consulter la méthodologie d’enquête : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/open-data/aide-et-action-sociale/article/enquete-annuelle-sur-orientation-et-accompagnement-des-beneficiaires-du-RSA


Consulter la présentation du projet « RI-insertion » : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/open-data/aide-et-action-sociale/article/remontees_individuelles_insertion

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 
 
 
 

AVIS DE PARUTION

Sous embargo jusqu’au 16 décembre 2020 à 6 heures

 
 

Paris, le 15/12/2020

 
 

Évolution des effectifs salariés hospitaliers depuis 15 ans

Méthodologie de construction d’agrégats nationaux

Pauline Charnoz, Aurélie Delaporte, Céline Dennevault, Élodie Pereira, Fabien Toutlemonde (DREES)
Les Dossiers de la DREES n° 69,
Drees, décembre

 

 

 

 
 
Consulter la publication
 
 

Plusieurs publications donnent des éléments sur l’emploi salarié du secteur hospitalier, qui renvoient à des notions et des périmètres variables. Ces différentes mesures, tout en étant compatibles entre elles, sont marquées par des spécificités de champ et de concepts qui ne sont pas toujours suffisamment documentées, si bien que cela nuit à l’usage qui peut en être fait pour éclairer le débat public sur ce sujet.

 

Avec ce dossier, la DREES rend compte de la méthodologie qu’elle a retenu en matière de suivi statistique des effectifs hospitaliers, après un long travail d’exploration et de comparaison des données qui alimentent les publications existantes. Ce travail a conduit à creuser trois sources de données administratives distinctes : le système d’information des agents du secteur public (SIASP, Insee), le fichier des déclarations annuelles de données sociales « grand format » (DADS-GF, Insee) et la statistique annuelle des établissements de santé (SAE, DREES). L’identification des notions sous-jacentes (nature des emplois suivis, critère de rattachement aux établissements du champ, fenêtre d’observation, périmètre géographique) conduit à clarifier le positionnement de chacune de ces trois sources.

 

Des différences majeures entre SIASP-DADS, d’une part, et la SAE, d’autre part, rendent ces sources difficiles à apparier au niveau de la donnée élémentaire1. Pour cette raison, la méthode pragmatique retenue consiste à com-biner les atouts de chaque source, pour produire des données sur les effectifs salariés en personnes physiques présents au 31 décembre dans les établissements du secteur hospitalier. En production courante, les estimations s’appuieront désormais sur des extractions de données SIASP pour le secteur public et DADS-GF pour le secteur privé : ces données, qui sont construites à partir des fichiers de paie des établissements, donnent, en effet, l’image la plus fiable des effectifs réellement sous contrat dans le secteur hospitalier.

 

Ces données ne sont pas toujours disponibles avant 2010 et, quand elles le sont, elles comportent de nombreuses perturbations, liées notamment à des changements méthodologiques intervenues dans leur processus de production. La production des effectifs salariés du secteur hospitalier pour les années antérieures à 2010 nécessite donc de recourir à des données retravaillées de la SAE : leurs évolutions sont appliquées « à rebours » de manière à remonter jusqu’en 2003 pour constituer des séries rétropolées homogènes avec les chiffres qui seront livrés en production courante. Le champ des estimations est enfin complété avec la SAE de manière à intégrer le service de santé des armées (SSA) et Mayotte.

 

Ce travail de construction par étape permet finalement de disposer de séries d’effectifs salariés au 31 décembre des années 2003 à 2017, en distinguant le secteur public du secteur privé, et en identifiant 7 groupes professionnels de salariés : médecins (y compris odontologistes et pharmaciens), internes, sages-femmes, infirmiers, aides-soignants, personnels administratifs, autres personnels soignants et autres personnes non soignants. Ces nouvelles séries sont à privilégier pour étudier les évolutions des effectifs hospitaliers, tandis que les données de la SAE seront utilisées en structure pour creuser plus finement la répartition des postes de travail par métiers et spécialisations médicales, mais aussi par catégories d’établissements de santé.

 

Ce travail de mise en cohérence conduit sur les données SIASP et DADS-GF rend nos séries sur les effectifs salariés hospitaliers plus faciles à rapprocher d’autres données d’emploi et de salaires. Parce que produits en utilisant des concepts et un champ homogène, nos estimations d’emploi salarié hospitalier sont directement comparables à celles des autres secteurs d’activité (produites par l’Insee). Elles peuvent également être rapprochées des travaux de la DREES sur les rémunérations des salariés du secteur hospitalier, qui recourent aux mêmes sources de données, avec des méthodologies contrôlées et comparables.

 

1En particulier, la maille de collecte « établissement » n’est pas identifique dans ces sources de données : dans DADS-GF et SIASP, un établissement est repéré par son numéro Siret (répertoire SIrene de l’Insee) tandis que dans la SAE, l’établissement est repéré par un numéro Finess géographique (répertoire Finess de la DREES).

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 
 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 16/12/2020

 
 

Le nombre de salariés du secteur hospitalier a progressé de 14 % en 15 ans

 

La DREES publie de nouvelles séries de données sur les effectifs salariés du secteur hospitalier. Celles-ci sont à privilégier désormais pour étudier les évolutions des effectifs salariés hospitaliers sur longue période. Elles permettent, pour la première fois, de disposer de séries comparables public-privé, sur 15 ans, en déclinant quelques grandes catégories de personnels.

 

Entre fin 2003 et fin 2017, les effectifs salariés du secteur hospitalier ont progressé de 14 %, passant de 1,2 million de salariés à 1,4 million. Le taux de croissance annuel de ces effectifs s’atténue néanmoins depuis 2010, passant de +1,6 % fin 2010 à +0,3 % fin 2016. Au 31 décembre 2017, les effectifs salariés hospitaliers enregistrent même un léger repli (-0,3 %).

 

Une progression des effectifs plus rapide dans le privé que dans le public

 

Les effectifs salariés du secteur privé ont connu une augmentation plus rapide (+20 % entre fin 2003 et fin 2017) que ceux du public (+12 %). De ce fait, le poids du secteur privé dans l’ensemble des effectifs salariés hospitaliers a augmenté, passant de 21,7 % des effectifs totaux à 22,9 %.

 

Une augmentation des effectifs observée pour presque tous les groupes de professions

 

Entre fin 2003 et fin 2017, les personnels médicaux au sens large1 ont connu la plus forte augmentation en termes d’effectifs (+30 %). Parmi eux, les effectifs de médecins et assimilés ont augmenté de 20 %, le nombre d’internes de 76 % et le nombre de sages-femmes de 34 %, en lien avec l’extension du numerus clausus sur la période. Les effectifs salariés d’infirmiers ont progressé de 23 %, ceux d’aides-soignants et de personnel administratif de 15 % chacun.

 

Une évolution de la structure des effectifs hospitaliers vers davantage de personnels médicaux et d’infirmiers

 

La part des personnels médicaux a nettement augmenté depuis 15 ans : elle est passée de 10,2 % à 11,7 % des effectifs totaux. La part des infirmiers a progressé encore plus, de 24,1 % à 26,0 %, tandis que celles des aides-soignants (21 %) et des personnels administratifs (11 %) sont restées stables. Enfin, la part des « autres personnels » a reculé de 34,0 % à 30,4 %. Cette structure du personnel, qui vaut pour l’ensemble des effectifs du secteur hospitalier, est sensiblement différente entre le secteur du privé et le secteur public : le premier compte moins de personnels médicaux (probablement parce qu’une grande proportion de médecins exerce en libéral et non sous statut salarié dans ces établissements privés) mais un peu plus de personnels soignants non médicaux.

 

Une baisse des effectifs de sages-femmes dans le privé depuis 2010

 

Depuis 2010, deux groupes de professions ont vu leurs effectifs salariés reculer. C’est d’abord le cas des sages-femmes du secteur privé. Jusqu’en 2010, leurs effectifs salariés ont progressé de manière similaire dans les deux secteurs, public et privé, puis ils ont continué à augmenter dans le public tandis qu’ils ont légèrement reculé dans le privé (-1,7 %). Ceci fait écho au fait que le secteur privé a réduit son implication dans les activités périnatales et que de nombreuses maternités privées ont fermé. Entre 2007 et 2017, le nombre d’accouchements réalisés par les cliniques privées a ainsi baissé de 40 000 au profit des maternités publiques qui concentrent 68 % des accouchements en 2017, contre 64 % en 2007.

 

Une baisse des effectifs « autres personnels soignants » dans le public depuis 2010

 

Dans le secteur public, les effectifs salariés des « autres personnels soignants »2 ont connu une baisse sensible depuis fin 2010 (-5,2 %). Celle-ci pourrait s’expliquer par la baisse des contrats aidés en 2016 et 20173 . En effet, dans la fonction publique hospitalière (FPH), de nombreux contrats aidés concernent les agents de service hospitaliers (ASH), profession majoritaire au sein des « autres personnels soignants ». Dans le secteur privé, les effectifs de ce groupe sont moins dépendants des contrats aidés et ont continué à augmenter ces dernières années.

 

1Médecins et assimilés, internes et sages-femmes
2Ce groupe hétérogène comprend les agents de service hospitaliers (ASH), le personnel d’encadrement des services de soins, le personnel de rééducation et les psychologues.
3Insee (2019, mars). « En 2017, l’emploi public est quasiment stable malgré la diminution des contrats aidés ». Insee, Insee Première, 1741.
Insee (2018, mars). « L’emploi dans la fonction publique en 2016 - L’emploi augmente sauf dans le versant territorial ». Insee, Insee Première, 1691.


Méthodologie

 

Plusieurs publications donnent des éléments sur l’emploi salarié du secteur hospitalier, qui renvoient à des notions et des périmètres variables. Ces différentes mesures, tout en étant compatibles entre elles, sont marquées par des spécificités de champ et de concepts qui ne sont pas toujours suffisamment documentées, si bien que cela nuit à l’usage qui peut en être fait pour éclairer le débat public sur ce sujet.

 

Avec ce dossier, la DREES rend compte de la méthodologie qu’elle a retenu en matière de suivi statistique des effectifs hospitaliers, après un long travail d’exploration et de comparaison des données qui alimentent les publications existantes. Ce travail a conduit à creuser trois sources de données administratives distinctes : le système d’information des agents du secteur public (SIASP, Insee), le fichier des déclarations annuelles de données sociales « grand format » (DADS-GF, Insee) et la statistique annuelle des établissements de santé (SAE, DREES). Des différences majeures entre SIASP-DADS, d’une part, et la SAE, d’autre part, rendent ces sources difficiles à apparier au niveau de la donnée élémentaire.

 

Pour cette raison, la méthode pragmatique retenue consiste à combiner les atouts de chaque source, pour produire des données sur les effectifs salariés en personnes physiques présents au 31 décembre dans les établissements du secteur hospitalier. En production courante, les estimations s’appuieront désormais sur des extractions de données SIASP pour le secteur public et DADS-GF pour le secteur privé : ces données, qui sont construites à partir des fichiers de paie des établissements, donnent, en effet, l’image la plus fiable des effectifs réellement sous contrat dans le secteur hospitalier.

 

Consulter la publication :

« Évolution des effectifs salariés hospitaliers depuis 15 ans Méthodologie de construction d’agrégats nationaux », Pauline Charnoz, Aurélie Delaporte, Céline Dennevault, Élodie Pereira, Fabien Toutlemonde (DREES), décembre 2020, Les Dossiers de la DREES.

 

 

Accéder aux données sur data.drees
 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

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REPORT DES SOLDES 2021 Publié le 07 décembre 2020

La date du début des soldes d'hiver décalée au 20 janvier

Les soldes d'hiver 2021 débuteront le mercredi 20 janvier 2021 et non pas le mercredi 6 janvier 2021. C'est ce qu'a annoncé le ministère de (...)   Lire la suite >

ACHAT EN LIGNE Publié le 07 décembre 2020

Achat à distance : quels recours en cas de litige ?

Vous avez effectué un achat à distance (par internet, téléphone...) et votre commande n'a pas été livrée ou s'avère non conforme... Votre achat (...)   Lire la suite >

LA QUESTION DE LA SEMAINE Publié le 09 décembre 2020

Faux vendeurs de calendriers : comment se protéger ?

La question : « Je reçois depuis la fin du mois de novembre la visite de vendeurs de calendriers. J'ai même été démarché plusieurs fois par des (...) »   Lire la suite >

 LOGEMENT

ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ Publié le 04 décembre 2020

Prêt social de location-accession (PSLA) et prêt à taux zéro (PTZ) : les conditions d'attribution évoluent

Vous avez des revenus modestes et vous envisagez de devenir propriétaire d'un logement neuf ou ancien ? Le Prêt social de location-accession (...)   Lire la suite >

 FAMILLE

ÉPIDÉMIE DE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 10 décembre 2020

Fêtes de fin d'année : les recommandations sanitaires

Comment fêter Noël en famille dans le contexte de l'épidémie ? Pour cette soirée, le couvre-feu entrant en vigueur le 15 décembre 2020 avec le (...)   Lire la suite >

LYCÉENS Publié le 09 décembre 2020

Bac 2021 : en quoi consiste le Grand oral ?

À compter de la session 2021, les candidats au baccalauréat en voie générale et technologique passent un Grand oral à la fin de l'année de (...)   Lire la suite >

DU

21 DÉC.

AU

04 JANV.

2020

 

CALENDRIER SCOLAIRE

Les dates des vacances scolaires de Noël 2020

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 LOISIRS

ÉPIDÉMIE DE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 08 décembre 2020

Stations de ski : ouverture des remontées mécaniques à certains publics

Téléskis, télésièges, télécabines... Si les stations de ski sont accessibles durant la période des fêtes de fin d'année pour les séjours et les (...)   Lire la suite >

Ce qui change en décembre 2020

Publié le 09 décembre 2020

Hausse des tarifs du gaz, complémentaire santé, droits à la retraite en période d'activité partielle, prime de Noël, dates limites de paiement (...)   Lire le dossier >

À VOIR

Les 20 ans de Service-Public.fr en vidéo

Depuis 20 ans, le site officiel de l'administration française évolue constamment pour être au service des usagers. Rétrospective en vidéo !   Lire la suite >

AGENDA

DU

01 NOV.

AU

31 MARS

2021

 

LA QUESTION DE LA SEMAINE

Peut-on être expulsé pendant la trêve hivernale ?

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JUSQU'AU

15 DÉC.

2020

 

FISCALITÉ

Impôt sur le revenu : puis-je corriger une erreur ou un oubli dans ma déclaration ?

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JUSQU'AU

15 DÉC.

2020

 

FISCALITÉ

Taxe d'habitation : vous pouvez modifier vos prélèvements mensuels pour 2021

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