avec, comme toujours, un immense merci à Pierre-Jean Llorens pour son active participation à cette revue de presse sociale plutôt chargée ...

Sondage Ifop pour le site Pour une autre économie

Les Français et leur carte bancaireun couple inséparable

LEVEE D'EMBARGO LE MARDI 3 DÉCEMBRE 2019 À 6 h 00

« Jamais sans ma CB ! », tel est le principal enseignement du sondage Ifop pour le site Pour une autre économie, réalisé auprès d'un échantillon représentatif des Français âgés de 18 ans et plus. La carte bancaire, que quatre personnes sur cinq gardent toujours sur elles, est ainsi unanimement préférée à l'argent liquide et se renouvelle grâce au paiement sans contact, largement rentré dans les usages aujourd'hui. Une dématérialisation progressive des paiements qui va de pair avec la bonne image dont bénéficient les banques en ligne, acteurs de référence de « la CB pour tous ».

Sondage Ifop pour le site Pour une autre économie réalisé par questionnaire auto-administré en ligne du 19 au 20 novembre 2019 auprès d'un échantillon de 1 017 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Comment paient les Français aujourd'hui ? La carte bancaire détrône le liquide

Aujourd'hui, en France et contrairement à d'autres pays, la carte bancaire est un moyen de paiement aussi universel que le liquide, voire plus : 95% des Français disent l'avoir utilisée « traditionnellement » (en composant leur code confidentiel) au cours des douze derniers mois, contre 93% pour l'argent sonnant et trébuchant. Autre particularité française : le chèque fait de la résistance, avec 73% d'adeptes cette année et un usage qui reflète une fracture générationnelle béante (36% d'utilisateurs chez les moins de 25 ans, contre 89% chez les 65 ans et plus !).

S:\Projets\2019\116871 - OA ON ACCELERATION - Les Français et leur carte bancaire\116871 - Présentation - 25.11.2019\Diapositive7.PNG3000an$IN79801575296864389@VWP21DB02" width="605" style="box-sizing: content-box; vertical-align: middle; line-height: 1.4em; max-width: 10000px; width: 605px; height: 455px;">

Parmi les nouveaux moyens de paiement, le sans-contact par carte bancaire s'est rapidement imposé puisque près de trois quarts des Français déclarent en avoir fait usage au cours des douze derniers mois (73%). On observe d'ailleurs que si le paiement traditionnel par CB est universellement utilisé, le recours au sans-contact varie fortement selon situation personnelle ; et il ne s'agit pas d'un clivage d'âge, mais plutôt de « richesse » : ainsi, 87% des CSP+ ont récemment utilisé le sans-contact, contre 72% des ouvriers ; idem avec 84% des catégories aisées, contre 64% des catégories pauvres. Les autres moyens de paiement sans contact par téléphone, que ce soit par porte-monnaie électronique (Apple PayPaylib, etc.) ou par application dédiée (Lydia, etc.), touchent quant à eux une population plus marginale, entre 10 et 12% des Français, et particulière : l'utilisateur type est jeune, urbain... et plutôt pauvre.

Parmi les personnes qui n'ont jamais sauté le pas du sans-contact (par carte bancaire ou autre), la première excuse n'est ni le manque d'équipement ni celui de connaissance de ces nouveaux moyens de paiement : c'est la crainte de perdre la maîtrise de ses achats. En effet, 53% des non-utilisateurs du sans-contact jugent déterminant le manque de sécurité des transactions dans leur choix de ne pas utiliser le sans-contact. Et 35% avancent l'argument d'un acte d'achat qui deviendrait trop facile. Autrement dit, un problème de maîtrise technique d'un côté... et de maîtrise psychologique de l'autre.

« Jamais sans ma CB ! » entre praticité maximale et tracas du quotidien

Le match carte bancaire versus argent liquide est d'ores et déjà joué 84% des Français déclarent préférer la première, contre 16% pour les pièces et billets. Conséquence logique de cette préférence : 82% des personnes interrogées ont toujours leur carte bancaire avec elles. Chez cette population des « Jamais sans ma CB ! », on retrouve une tendance déjà observée chez les utilisateurs du sans-contact, à savoir une surreprésentation des plus privilégiés, ici amplifiée : 86% des CSP+ ne se séparent jamais de leur carte bancaire, contre 68% chez les ouvriers ; même clivage entre les catégories aisées (92% ont toujours leur CB sur elles) et les pauvres (70%).

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Si la carte bancaire représente aujourd'hui le couteau suisse du paiement chez les Français, une part non négligeable de ses utilisateurs subit encore des tracas liés à cet outil. Ainsi, 38% des détenteurs de CB disent avoir déjà été bloqués alors qu'ils n'avaient pas dépassé leur plafond de dépenses. Parallèlement, 37% ont rencontré le même problème... après avoir dépassé leur plafond. Parmi les étourderies, un quart des Français a déjà bloqué sa carte bancaire en composant le mauvais code (26%) ou tout simplement perdu son sésame (25%) ! Enfin, 14% se sont fait voler leur CB, une situation encore plus problématique dans une société où la carte bancaire règne en maître sur les moyens de paiement. Mais pour autant qu'elles soient agaçantes au quotidien, ces situations, et en particulier celles liées aux plafonds de paiement, sont aujourd'hui facilement et immédiatement corrigibles grâce aux services des banques en ligne...

La banque en ligne, en phase avec les attentes des Français

Aujourd'hui, près de vingt ans après l'arrivée des banques en ligne, seul un Français sur cinq (21%) déclare posséder un compte dans une banque en ligne, contre 94% dans une banque classique. Vis-à-vis de ce nouvel usage numérique, on pourrait croire qu'il existe de fortes disparités en fonction de l'âge. Or, celles-ci, même si elles existent, sont nettement moins prégnantes que la fracture socioprofessionnelle : alors que 37% des CSP+ possèdent un compte dans une banque en ligne, la proportion chute à 14% chez les ouvriers, une fracture similaire se dessinant selon le niveau de vie des personnes interrogées. On observe ainsi le paradoxe suivant : les plus démunis sont moins adeptes des banques en ligne alors que celles-ci sont réputées moins coûteuses à l'usage.

S:\Projets\2019\116871 - OA ON ACCELERATION - Les Français et leur carte bancaire\116871 - Présentation - 25.11.2019\Diapositive5.PNG3000an$IN79801575296864391@VWP21DB02" width="605" style="box-sizing: content-box; vertical-align: middle; line-height: 1.4em; max-width: 10000px; width: 605px; height: 454px;">

Car l'image des prestations des banques en ligne est excellente Elles permettent de gérer son compte à distance pour 90% des Français, disponibles 24 h / 24 pour 81%, gratuites pour 70% et sûres pour 63%. Seuls les items relatifs à l'accompagnement suscitent une adhésion massive mais non majoritaire : 48% estiment que les banques en ligne accompagnent leurs clients et 44% qu'elles accordent facilement des prêts. A noter que ces résultats sont encore plus positifs chez les personnes possédant un compte bancaire en ligne : l'essayer, c'est l'adopter.

Une certaine efficacité des banques en ligne, non seulement reconnue par les Français, mais aussi cruciale dans les critères de choix d'une banque ! En cela, les banque en ligne se montrent en phase avec les attentes des Français : environ la moitié estiment ainsi déterminant dans le choix d'une banque la facilité à gérer son compte (52%), le remboursement en cas de perte ou de vol de son moyen de paiement (52%)la facilité à entrer en contact avec quelqu'un en cas de problème (51%) et le coût de la carte bancaire (46%). A contrario, la facilité à obtenir des prêts (18%) ou des découverts (16%) apparait, elle, nettement moins cruciale.

Le point de vue de l'Ifop

L'hégémonie de la carte bancaire dans l'éventail des moyens de paiement des Français n'est plus à prouver et le boom des banques en lignes ne peut que conforter cette situation et la rendre encore plus profitable et flexible pour ses bénéficiaires. Toutefois, l'étude attentive des résultats de ce sondage fait apparaître un enjeu plus global : celui de la dématérialisation. De la même manière que ce phénomène progresse plus vite chez les plus jeunes et les plus favorisés tout en laissant de côté une partie de la population, on observe un clivage de CSP et de niveau de vie entre les utilisateurs intensifs de la CB et des banques en lignes par rapport au reste des Français. Un constat particulièrement paradoxal pour les banques en lignes puisque celles-ci mettent principalement en avant leur faible coût. Dès lors, faciliter le basculement des plus pauvres vers la banque en ligne constitue non seulement un enjeu de pouvoir d'achat pour les plus fragiles, mais aussi une manière de ne pas exclure ceux-ci de la pratique commune, le tout-CB. Mais pour faciliter ce basculement, encore faut-il y voir plus clair parmi l'offre pléthorique actuelle !

Jean-Philippe Dubrulle

Directeur d'études Ifop Opinion

 

Étude sur la situation financière des petites villes :

Une amélioration de la santé financière en 2018 et des interrogations qui demeurent sur la taxe d'habitation

L’Association des petites villes de France présidée par Christophe Bouillon, Député de Seine-Maritime, et La Banque Postale publient la 5ème édition de « Regard financier sur les petites villes ».

Cette étude porte sur les 4 059 petites villes comprises entre 2 500 et 25 000 habitants qui totalisent 26,1 millions d’habitants, soit 38 % de la population française au 1er janvier 2018.

Au-delà d’une diversité des situations individuelles, l’étude confirme, avec une progression de l’épargne de 5,2 % en euros par habitant, l’amélioration de la situation financière des petites villes en 2018, qui résulte en partie de d’une maîtrise accrue de leurs dépenses de fonctionnement. Stabilisées sur la période 2013 et 2018, les dépenses de fonctionnement des petites villes, 1 014 euros par habitant en moyenne, ont diminué de 0,8 % en 2018.

Les recettes de fonctionnement sont quant à elles restées stables (1 195 euros par habitant en moyenne) en raison d’une baisse globale de DGF et d’une utilisation modérée du levier fiscal : alors que 53 % des petites villes voient leur DGF diminuer en 2018, seules 17 % augmentent leur taux de TFPB et 6 % l’ont même diminué. Ces proportions sont les mêmes concernant la TH (respectivement de 17 % et 5 %).

La reprise de l’épargne accompagne une hausse de l’investissement : + 8,8 % en moyenne pour l’ensemble des petites villes en 2018. Mais des disparités fortes s’observent : une petite ville sur quatre investit moins de 163 euros par habitant, tandis qu’une sur quatre investit plus de 404 euros par habitant. Mais cette reprise de l’investissement ne suffit pas à rattraper le retard accumulé entre 2013 et 2015, soit une baisse de 15,5 % des dépenses d’investissement par an sur la période.

Le rebond de l’épargne et des investissements pourrait être remis en cause, dans les années à venir, en raison des incertitudes liées à la réforme fiscale en cours. La suppression de la TH, qui représente 27 % des recettes fiscales des petites villes, continue de soulever de nombreuses interrogations qui dépassent ses modalités de compensation. Elles portent notamment sur les marges de manœuvre possibles sur les bases de TH maintenues (essentiellement les résidences secondaires), sur l’impact en termes d’attractivité pour la construction de logements sociaux, enfin sur le calcul des indicateurs utilisés pour les dotations et la péréquation.

Télécharger le communiqué de presse

Télécharger l'étude "Regards financiers 2019" sur les petites villes

Âge de départ, espérance de vie après retraite, niveau de pension... Le système français, que le gouvernement veut réformer, est l’un des plus avantageux pour les salariés.

http://www.leparisien.fr/economie/retraites-les-francais-parmi-les-mieux-lotis-au-sein-de-l-ocde-04-12-2019-8209773.php

Le dernier rapport de l'OCDE sur les pensions de retraite est clair : si on le compare avec celui des autres pays développés, le système actuel en France est avantageux pour les retraités mais pèse un peu plus sur les dépenses et les revenus des actifs.

https://www.oecd-ilibrary.org/sites/b6d3dcfc-en/1/2/4/4/index.html?itemId=/content/publication/b6d3dcfc-en&_csp_=a8e95975da55b0299df9e90b37215621&itemIGO=oecd&itemContentType=book

En France, l'âge moyen du départ à la retraite est légèrement en deçà de la moyenne de l'Organisation de coopération et de développement économiques : 63,3 ans à égalité entre les hommes et les femmes, contre 64,2 et 63,5 respectivement dans l'ensemble des pays de l'organisation. La Norvège et l'Islande occupent le haut du classement avec un âge moyen de départ estimé à 67 ans, pour une personne commençant sa retraite en 2018 et ayant travaillé depuis ses 22 ans de façon ininterrompue. L'Italie suit de près (67 ans pour les hommes, 66,6 pour les femmes).

Avec les règles actuelles, les Français sont les champions de l'espérance de vie à la retraite : il reste aux hommes une durée de vie moyenne de 22,7 ans et aux femmes 26,9 ans, après leur pot de départ. Attention, toutefois : ces statistiques ne prennent pas en compte l'espérance de vie en bonne santé. Selon une récente étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), l'espérance de vie sans incapacité, c'est-à-dire sans « être limité dans ses activités quotidiennes », est de 64,5 ans pour une femme et de 63,4 ans pour un homme.

Une part du PIB qui pourrait reculer

Sur le plan financier, les retraités sont-ils plus mal lotis que le reste de la population ? C'est le cas dans la grande majorité des pays de l'OCDE, où les plus de 65 ans gagnent moins que les autres tranches d'âge. Mais sur ce point, la France, comme le Luxembourg et Israël, fait figure d'exception : les plus âgés perçoivent un revenu supérieur de 3,2 % à la moyenne nationale. Les situations d'extrême pauvreté sont peu fréquentes comparées aux autres pays développés : la part de retraités gagnant moins que 50 % du revenu médian national est de 3,4 %, contre 13,5 % dans l'ensemble des pays de l'OCDE.

La contribution des actifs à leur système de retraite est en revanche particulièrement élevée en France, avec une part de 27,5 % du revenu. L'Hexagone est sur le podium des Etats de l'OCDE, derrière l'Italie (33 %) et la République tchèque (28 %). Côté dépenses publiques, la France occupe également la 3e place avec 15 % du PIB consacré aux retraites, talonnant ainsi la Grèce (17,3 %) et l'Italie (15,6 %).

Selon le rapport, la France devrait reculer à la 6e place de ce classement en 2050, avec une part de PIB dédiée aux pensions diminuant pour atteindre 13,8 %. Et ce, que la réforme voulue par Emmanuel Macron entre en vigueur ou non, précise l'OCDE : « Il s'écoule souvent un long délai entre le moment où une réforme des retraites a lieu et celui où elle commence à affecter les dépenses. »

Les entreprises Françaises ne croient-elles plus au Père Noël ?

41% des entreprises ne célébreront pas Noël au sein de leur société

Les 2 principales actions et festivités prévues :

82% : Décoration des bureaux

65% : une soirée en équipe

76% des entreprises ne dépasseront pas un budget de 50 par personne

64% des collaborateurs avouent ne pas aimer fêter Noël en entreprise

4388an$IN8580157586822863@VWP21DB01" width="400" style="box-sizing: content-box; vertical-align: middle; line-height: 1.4em; max-width: 10000px; width: 400px; height: 267px;">

Paris, le 9 décembre 2019

Finis les cadeaux en entreprise ? Les goûters de Noël et autres festivités au travail Deskeo, premier opérateur de bureaux flexibles en France, a voulu savoir comment les entreprises françaises préparaient les célébrations de Noël. Une enquête effectuée auprès de plus de 2 112 sociétés qui dévoilent de surprenants résultats et une perte d'engouement certaine pour cet évènement de l'année. 

Fête en voie de disparition...

Les traditionnelles célébrations de Noël en entreprises, sont-elles en voie de disparaître ? Il semble possible que ces festivités deviennent de plus en plus marginales dans le cadre professionnel au fil des années. En effet, plus de 41% des entreprises interrogées déclarent qu'elles ne vont pas célébrer Noël au sein de leur société cette année.

Allez-vous célébrer Noël dans votre entreprise ?

Réponses

Pourcentages

Oui

59%

Non

41%

Déco & Co

Pour les 59% qui se préparent quand même à la fête, les actions programmées seront relativement simples. Ainsi, ce sont les décorations des bureaux qui passent avant toute autre activité à plus de 82%. En deuxième place, 65% des entreprises organiseront une soirée d'équipe ou bien un déjeuner à 43%. Noël n'est apparemment pas un moment privilégié pour une activité interne ou un team building (9%), un onéreux séminaire ou voyage professionnel (3%) et le goûter de Noël ne semble plus avoir la cote (3%).

Si oui, quelles sont les actions que vous avez programmées ?

Classement

Réponses

Pourcentages

N°1

Décoration des bureaux

82%

N°2

Soirée d'équipe

65%

N°3

Déjeuner d'équipe

43%

N°4

Team building / activité d'équipe

9%

N°5

Séminaire / voyage d'équipe

3%

N°6

Goûter de Noël

2%

N°7

Autre

2%

Qui fait quoi ?

Pour la gestion des préparatifs, tout le monde s'y colle... ou presque ! En effet, pour 69% des entreprises, c'est toute l'équipe qui participer à l'organisation de Noël. Seulement 21% délèguent cette tâche à un groupe de 5 à 10 personnes et 8% entre 2 et 4 personnes. Seulement 2% n'ont qu'une seule bonne âme pour s'occuper de tout.

Combien de personnes sont en charge de ces préparatifs ?

Réponses

Pourcentages

1 seule

2%

Entre 2 et 4 personnes

8%

Entre 5 et 10 personnes

21%

Toute l'équipe

69%

Des sous-sous par milliers ?

Côté budget, plus de 76% des entreprises ne dépasseront pas 50 par personne. Dans le détail, 42% entre 20 à 50 et 34% moins de 20 par salarié. Seulement 21% pousseront jusqu'à 100 et 3% de chanceux ont prévu une enveloppe supérieure à 100.

Quel budget avez-vous prévu ?

Réponses

Pourcentages

Moins de 20 par personne

34%

20 à 50 par personne

42%

50 à 100 par personne

21%

Plus de 100 par personne

3%

Privées de sorties ?

Sur les 59% de sociétés qui fêteront Noël, moins d'une sur deux a prévu de le faire à l'extérieur des locaux (43%). D'ailleurs, pour 89% il s'agit juste de créer un événement agréable dans l'entreprise. 9% en profitent pour réaliser une bonne action, solidaire ou humanitaire dans le cadre de leur politique RSE. Enfin, 3% ont décidé d'immortaliser ce jour spécial avec la création d'un contenu (photo, enregistrement vidéo ou sonore, etc.).

Ces célébrations seront organisées :

Réponses

Pourcentages

Dans l'entreprise

57%

Dans un lieu extérieur

43%

A cette occasion, vous privilégiez :

Réponses

Pourcentages

Juste un événement agréable dans l'entreprise

86%

Une action RSE solidaire, humanitaire

9%

Réalisation d'un souvenir : vidéo, enregistrement, création, etc.

3%

Autre

2%

Le Père Noël d'entreprise est une ordure...

Si les cadeaux d'entreprise ont fait la joie des enfants nés dans les années 80, rares seront celles et ceux en 2019 à en avoir le souvenir... En effet, 97% des entreprises ne savent pas encore, début décembre, si une distribution de cadeaux est prévue. Soit, il ne va effectivement rien se passer, soit les organisateurs dans l'entreprise savent bien garder un secret.

Une distribution de cadeaux est-elle prévue ?

Réponses

Pourcentages

Oui, par l'entreprise

2%

Oui, par les salariés entre eux

1%

Je ne sais pas encore

97%

Des experts en interne

A la question « Faites-vous appel à des professionnels ? », plus de 54% répondent par la négative. Cependant, 36% feront appel à un traiteur, parfois couplé à des animateurs (12%) ou bien des artistes (11%). 

Faites-vous appel à des professionnels ?

Réponses

Pourcentages

Non

54%

Traiteur

36%

Animateurs

12%

Musiciens, DJ, etc.

11%

Autre

3%

(dé)Fêtes de Noël ?

Et si la célébration de Noël en entreprise ; n'était finalement pas aimée du tout ? Plus de 64% des collaborateurs interrogés avouent qu'ils n'apprécient pas du tout de fêter Noël au sein de leur entreprise. Seulement 12% adorent ça et 24% juste un peu.

En tant que collaborateur, appréciez-vous ces célébrations en entreprise ?

Réponses

Pourcentages

Oui absolument

12%

Oui un peu

24%

Non pas du tout

64%

*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 2 112 professionnels répartis sur l'ensemble du territoire français, effectuée en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 15 au 25 novembre 2019. Profils des personnes interrogées : 22% d'indépendants, 21% de Dirigeants d'entreprise, 26% de DAF / RAF / CFO, Autres : 31%. Nombre de salariés : 24% de 1 à 10, 36% de 10 à 50, 32% de 50 à 200 : 8% plus de 200. Répartition des secteurs d'activités concernés : Assistanat, Administration : 6% / BTP, Chantier, Bureau d'études : 6% / Commerce, Marketing, Vente : 17% / Conseil : 8% / Direction générale, Direction centre de profits : 5% / Informatique, Télécoms : 17% / Restauration, Tourisme, Hôtellerie, Loisirs : 14% / Santé, Social, Service à la personne : 9% / Production, Maintenance : 1% / Environnement, Aménagement : 1% / Distribution, Magasin : 5% / Gestion, Finance, RH, Comptabilité, Audit : 6% / Métallurgie, Mécanique, Aéronautique : 1% / Logistique, Achat, Stock, Transport : 3%, Agri-Agro - Agriculture, Viticulture, Pêche : 1%. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.

À propos de Deskeo

Créée en juin 2016 par Frank Zorn et Benjamin Teboul, Deskeo est un opérateur de bureaux flexibles qui recherche, aménage et gère les sièges sociaux d'entreprises de 10 à 500 salariés. Deskeo fait  partie du  groupe Knotel, le géant américain des bureaux flexibles. Cette fusion permet de proposer aux entreprises un environnement à leur image aux quatre coins du monde (France, Allemagne, Angleterre, Etats-Unis, Brésil...). Knotel compte près de 500.000 m2 de bureaux aménagés dans le monde et gère les sièges sociaux d'entreprises telles que Shell, AXA, EDF, Netflix, Starbucks, Amazon ou encore Uber.

Plus d'informations www.deskeo.fr

 

A l'occasion du SIMI, le rendez-vous de l'immobilier d'entreprise du 11 au 13 décembre à Paris, Deskeo, premier opérateur de bureaux flexibles en France, dévoile les tendances réelles qui affectent l'immobilier commercial au niveau mondial et qui vont impacter le marché Français dès 2020.

«2019 a été une année plus que mouvementée pour le secteur de l'immobilier d'entreprise. Le coworking continue de faire face à l'incertitude du marché alors que de plus en plus d'entreprises se tournent vers les bureaux flexibles pour leurs espaces de travail. À l'heure de faire des prévisions pour l'année à venir, nous avons l'opportunité de vivre en direct les évolutions du marché outre-Atlantique de par notre appartenance au groupe américain Knotel, leader mondial des bureaux flexibles. Un atout qui nous permet de voir les changements qui risquent de secouer le marché français dans les prochains mois et ainsi de s'y préparer dès maintenant», a déclaré Frank Zorn, co-fondateur de Deskeo.

L'adoption du modèle de la gestion hôtelière à l'immobilier d'entreprise

Aux Etats-Unis, les contrats de location flexibles attirent de plus en plus d'entreprises, surtout des groupes de plusieurs centaines de salariés pour qui la gestion des espaces de travail est un enjeu critique. Cette adoption est une réponse évidente au besoin de souplesse exprimé par la plupart des entreprises, quelle que soit leur taille. De ce fait, le secteur de la location des espaces de travail est forcé de s'adapter et d'évoluer pour proposer une offre plus proche de l'hôtellerie que ce que l'on trouve habituellement.

« Plutôt que de s'engager sur un bail à très long terme, on préfère s'offrir le confort de la flexibilité et des services », constate Frank Zorn« Les contrats de location flexibles représentaient 2% du marché de l'immobilier d'entreprise en 2018. Cette année, ce chiffre a atteint les 3,5%. Cette croissance se confirme en cette fin d'année et les prévisions tablent sur plus de 9% d'ici trois ans ».

 1868an$IN9680157604370637@VWP21DB01" width="600" style="box-sizing: content-box; vertical-align: middle; line-height: 1.4em; max-width: 10000px; width: 600px; height: 371px;">

Les plus grands bailleurs seront des opérateurs

687 000 m² de bureaux ont été pris à bail par les opérateurs de bureaux flexibles durant les trois premiers trimestres de 2019. Un chiffre en hausse de 15% par rapport à l'an dernier. Cela représente 12% des prises à bail de bureaux en Europe, une part qui ne cesse d'augmenter, signe que les opérateurs d'espaces de travail deviennent des acteurs majeurs de l'immobilier d'entreprise dans les grandes villes.

« Cette tendance a toutes les chances de s'accentuer à l'avenir. Ces nouveaux acteurs permettent de satisfaire d'un côté les propriétaires qui recherchent de la stabilité à long terme pour leurs actifs et de l'autre les entreprises en quête de flexibilité pour leurs espaces de travail », prédit Frank Zorn.

À propos de Deskeo

Créée en juin 2016 par Frank Zorn et Benjamin Teboul, Deskeo est un opérateur de bureaux flexibles qui recherche, aménage et gère les sièges sociaux d'entreprises de 10 à 500 salariés. Deskeo fait  partie du  groupe Knotel, le géant américain des bureaux flexibles. Cette fusion permet de proposer aux entreprises un environnement à leur image aux quatre coins du monde (France, Allemagne, Angleterre, Etats-Unis, Brésil...). Knotel compte près de 500.000 m2 de bureaux aménagés dans le monde et gère les sièges sociaux d'entreprises telles que Shell, AXA, EDF, Netflix, Starbucks, Amazon ou encore Uber.

Plus d'informations www.deskeo.fr

 

 Paris, le 12 décembre 2019

 
 

SOUS EMBARGO

Jusqu'au 13 décembre 2019 à 6 heures

 
 

À PARAÎTRE :

Aides-soignants : de moins en moins de candidats

à l’entrée en formation et une baisse du nombre d’inscrits

Yannick Croguennec (DREES)
Coll. Études et résultats 
n° 1135 ,

décembre 2019

 

En 2018, 26 200 élèves sont inscrits dans l’un des 484 établissements dispensant une formation d’aide-soignant. Le nombre de diplômés de cette formation est quasi-stable et s’élève à 22 800 en 2018. En revanche, le nombre d’inscrits en formation baisse pour la deuxième année consécutive (-6 % entre 2016 et 2018), tout comme celui des candidats au concours d’entrée qui diminue fortement depuis 2014 (- 42 %).

En 2017, l’âge moyen d’entrée en formation est de 28 ans et 7 mois. Les étudiants qui commencent une formation d’aide-soignant sont en moyenne plus âgés que ceux intégrant une autre formation de la santé (25 ans et 5 mois pour l’ensemble), notamment parce qu’ils sont moins nombreux à sortir de formation initiale (26 % contre 65 % dans l’ensemble des formations de santé).

Si les promotions des formations de santé sont très largement féminines, celles d’étudiants aides-soignants figurent parmi les plus féminisées : 90 % des nouveaux entrants en formation sont des femmes, contre 84 % pour l’ensemble des formations de santé.

La part d’inscrits ayant un père employé ou ouvrier (68 %) et celle d’inscrits ayant une mère employée ou ouvrière (63 %) sont supérieures aux parts d’employés ou d’ouvriers au sein de la population ayant déjà occupé un emploi.

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Ce que la réforme des retraites changera pour les cadres

Cotisations, âge pivot, caisse complémentaire : En plein mouvement social contre la réforme des retraites, il est temps de faire le point sur l’impact que pourrait avoir le “système universel” sur les cadres.

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61% des Français ne prendront aucune bonne résolution professionnelle pour 2020

Les objectifs pour 2020 20% des Français veulent moins de responsabilités, 19% plus de salaire et 18% plus de loisirs

2020 rime avec : « rien » pour 42%, « entrain » pour 33% et « chagrin » pour 25% des Français

La première journée de travail de l'année est vécue difficilement par 51% des Français

La première tâche de la première journée : prendre un café pour 59% des Français

Paris, 30 décembre 2019

Comme chaque année, les Français profitent du nouvel an pour formuler de bonnes résolutions... Sauf peut-être côté professionnel !

En effet, QAPA, l'agence d'intérim 100% onlinea interrogé plus de 4,5 millions de personnes afin de savoir si cette nouvelle année sera placée sous le signe des bonnes résolutions pour leur travail et apparemment, ce ne sera pas vraiment le cas pour 2020.

Lien officiel : www.qapa.fr

*Méthodologie : Sondage réalisé entre le 16 et 26 décembre 2019 auprès de 4,5 millions de candidats sur QAPA. Parmi ces personnes interrogées, 52% d'entre eux sont des non-cadres et 48% sont des cadres. Les chiffres et statistiques représentent un état des lieux de l'emploi en France. Toutes les informations mises en avant par les candidats sont déclaratives.

Première bonne résolution professionnelle pour 2020 : rien...

Pour la majorité des Français, l'année 2020 ne sera pas celle consacrée à l'épanouissement de leur vie professionnelle. En effet, plus de 63% des femmes et 59% des hommes interrogés avouent qu'ils ne prendront aucune bonne résolution concernant leur travail ou leur carrière.

Pour cette nouvelle année, avez-vous pris de bonnes résolutions concernant votre travail, votre carrière ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

39%

37%

41%

Non

61%

63%

59%

Quels objectifs ?

Même si 20% des Français ont comme objectif principal d'avoir plus de salaire en 2020, ce souhait reste beaucoup plus important chez les hommes (24%) que chez les femmes (16%). De leur côté, les femmes sont 21% à prévoir pour la nouvelle année de faire moins d'heures de travail, mais également d'avoir moins de responsabilités (20%). Le deuxième objectif pour les hommes est d'avoir plus de loisirs à 19%.

Votre objectif prioritaire au niveau professionnel pour cette nouvelle année est :

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Plus de salaire

19%

16%

22%

Plus de responsabilités

8%

5%

11%

Plus de loisirs

18%

17%

19%

Plus de temps avec mes proches

15%

18%

13%

Moins de responsabilités

20%

21%

18%

Moins d'heures de travail

17%

21%

14%

Autre

3%

3%

3%

2020 rime avec...

Les Français voient-ils la nouvelle année avec enthousiasme, neutralité ou bien morosité Il semblerait que pour 42% des Français, 2020 est une année qui ne rime avec « rien » ! Pour 33%, cette nouvelle année est quand même vue avec « entrain » et pour 25% elle rime avec « chagrin ».

Pour vous, la rentrée 2020 rime avec :

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Chagrin

25%

28%

22%

Rien

42%

39%

44%

Entrain

33%

33%

34%

Dur, dur la reprise !

Une fois les fêtes passées, la première journée de travail est vécue très différemment par les Français. Ainsi, elle semble difficile par 51% et seulement 25% vivent cette reprise normalement. Enfin, 24% la trouvent très facile à passer.

Comment considérez-vous votre première journée de rentrée :

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Difficile

51%

55%

46%

Normale

25%

23%

28%

Facile

24%

22%

26%

Pour 2020... on ne change rien !

Pas question de se lever plus tôt pour la première journée de boulot. Ainsi, 53% des Français mettront leur réveil à la même heure que d'habitude. Et si seulement 22% se lèveront un peu plus tôt, plus de 26% iront même jusqu'à dormir plus longtemps.

Pour votre première journée de 2020 :

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Vous vous levez plus tôt que d'habitude

22%

23%

21%

Vous vous levez à la même heure

53%

51%

54%

Vous vous levez plus tard

26%

26%

25%

Si la majorité des Français arrive au travail aux mêmes horaires que d'habitude, plus de 65% partent également à la même heure que les autres jours de l'année. Voir même un peu plus tôt pour 18% des personnes interrogées et seulement 17% vont faire un peu de zèle pour bien commencer l'année.

Une fois cette première journée terminée, vous rentrez :

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Plus tard que d'habitude

17%

15%

19%

A la même heure que d'habitude

65%

66%

64%

Plus tôt que d'habitude

18%

19%

17%

Un café... what else ?

Quelle est la première chose que font les Français lorsqu'ils arrivent sur leur lieu de travail Pour plus de 61% des femmes et 57% des hommes c'est le café avec les collègues. Certainement pour se raconter en détail les festivités de la fin d'année. 17% de courageux commencent à travailler directement et 15% entament la lecture de leurs messageries avant toute chose.

La première chose que vous faites en arrivant au boulot :

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Prendre un café avec les collègues

59%

61%

57%

Ouvrir mon courrier

8%

7%

9%

Lire tous mes emails et messages

15%

13%

17%

Commencer à travailler directement

17%

18%

15%

Autre

1%

1%

2%

A propos de Qapa.fr

Qapa.fr est le partenaire emploi de tous les Français. 100% positif 0% souci. Qapa.fr rassemble aujourd'hui 4,5 millions de candidats, 200.000 nouveaux inscrits chaque mois dans tous les secteurs et dans toute la France. En 2016, Qapa.fr a lancé le 1er service de recrutement d'intérimaires en temps réel 100% digital et mobile.

 

De moins en moins de demandeurs d'emploi diplômés en 2020

Tous les chiffres de l'emploi pour la nouvelle année 2020

Les 3 jobs qui recrutent le plus pour janvier 2020 :

N°1 : Commerce/Vente, N°2 : Hôtellerie/Restauration et N°3 : Service à la personne/Santé

Répartition des contrats proposés : CDI 46%, CDD 16% et Intérim 30%

Paris, 6 janvier 2020

QAPA, l'agence d'intérim 100% online, présente le premier baromètre de l'année 2020 avec tous les chiffres importants concernant l'emploi en France. Une nouvelle année placée sous le signe des contrats indéterminés et de l'intérim et de la baisse du niveau d'études.

Lien officiel : www.qapa.fr

Quels sont les jobs de lnouvelle année en France  

Les emplois proposés par les recruteurs et ceux recherchés par les candidats sont toujours en inadéquation en ce début d'année 2020.

Ainsi, les trois métiers qui embauchent le plus sont Technicien informatiqueCommercial et Préparateur de commandes.

De leur côté, les candidats recherchent avant tout des emplois comme Conseiller clientèleServeur et Aide à la personne.

Trois métiers se distinguent par rapport aux salaires proposés. Le poste de Directeur service technique propose le plus haut salaire avec 110 000, devant celui de Directeur commercial avec 100 000 et celui de Ingénieur méthodes et process avec 95 000.

Les métiers de janvier 2020

TOP

Ceux qui recrutent

Recherchés par les candidats

Ceux qui payent le plus (en brut)

N°1

Technicien informatique

Conseiller clientèle

Directeur service technique

110 000

N°2

Commercial

Serveur

Directeur commercial

100 000

N°3

Préparateur de commandes

Aide à la personne

Ingénieur méthodes et process

95 000

CDI VS CDD VS Intérim

Les CDD n'ont vraiment plus du tout la cote en 2020. En effet, si les CDI restent en tête des contrats les plus proposés avec 46% de représentativité, l'intérim arrive à la deuxième place avec 30%, bien loin devant les CDD avec 16%.

Répartition des contrats proposés pour la rentrée

CDI

46%

CDD

16%

Intérim

30%

Autres

8%

Les secteurs qui recrutent le plus en 2020

Pour les candidats qui veulent mettre toutes les chances de leur côté et décrocher un emploi en 2020, mieux vaut postuler dans les trois secteurs qui recrutent le plus :

Celui du Commerce / Vente arrive en première place, suivi du secteur Hôtellerie / Restauration puis à la troisième position le secteur Service à la personne / Santé.

Top 3 des secteurs qui recrutent début 2020

1

Commerce / Vente

2

Hôtellerie / Restauration

3

Service à la personne / Santé

Beaucoup moins de candidats diplômés en 2020

Les candidats sans aucun diplôme représentaient 15% en janvier 2019 alors que ce chiffre augmente de façon considérable pour atteindre les 21% en 2020. Même constat pour les autres niveaux d'études : CAP, BEP ou équivalent passent de 29% à 27%, le Bac baisse de 21% à 17% et le Bac+2 de 23% à 14%. Seuls les Bac+3 à Bac +5 augmentent de 9% à 12% et le Bac +5 plus de 3% à 9% mais représentent une faible proportion au niveau global.

Profils des candidats

Niveaux d'études

Pourcentages en 2019

Pourcentages en 2020

Sans diplôme

15%

21%

CAP, BEP ou équivalent

29%

27%

Bac

21%

17%

Bac+2

23%

14%

Bac+3 à Bac +5

9%

12%

Bac +5 plus

3%

9%

*Méthodologie : baromètre basé sur l'analyse de plus de 450.000 offres d'emploi, toutes fonctions confondues, déposées par les 135.000 recruteurs qui publient leurs offres d'emploi sur QAPA (commerçants, artisans, TPE, PME, grosses entreprises). Ces offres d'emploi concernent tous les secteurs d'activité partout en France métropolitaine et sur une base de plus de 4,5 millions de candidats. Parmi ces candidats, 50% d'entre eux sont des non-cadres et 50% sont des cadres. Les chiffres et statistiques représentent un état des lieux de l'emploi en France pour l'ensemble de l'année 2019. Toutes les informations mises en avant par les candidats et par les recruteurs sont déclaratives.

À propos de QAPA

QAPA est le partenaire emploi de tous les Français. 100% positif 0% souci. QAPA rassemble aujourd'hui 4,5 millions de candidats, 200.000 nouveaux inscrits chaque mois dans tous les secteurs et dans toute la France. En 2016, Qapa.fr a lancé le 1er service de recrutement d'intérimaires en temps réel 100% digital et mobile.

 

Le mercredi 29 janvier, de 9h à 12h, le CFPB-Ecole supérieure de la banque organise une Journée Portes Ouvertes à Lyon (2 rue de la Fraternelle).

Cette JPO marque le début de la campagne Alternance du CFPB-Ecole supérieure de la banque qui vise à POURVOIR PLUS DE 350 POSTES EN ALTERNANCE que les banques d'Auvergne Rhône-Alpes cherchent à pourvoir pour la rentrée 2020.

Un tremplin vers l'emploi pour les jeunes qui commencent déjà à réfléchir à leur orientation. Rappelons qu'en Auvergne Rhône-Alpes, les jeunes peuvent suivre les formations en alternance du CFPB-Ecole supérieure de la banque à ANNECY, ANNEMASSE, CHAMBERY, CLERMONT-FERRAND, GRENOBLE, LYON, SAINT-ÉTIENNE ET VALENCE.

 

 Paris, le 6 janvier 2020

 
 

SOUS EMBARGO

Jusqu'au 7 janvier 2020 à 6 heures

 
 

À PARAÎTRE :

Médecins en secteur 2 : les dépassements d'honoraires diminuent quand la concurrence s'accroît

Anne Pla (DREES), Philippe Choné (Ensae- CREST) et Élise Coudin (Insee - CREST)
Coll. Études et Résultats
DREES, janvier 2020

 

En France, les tarifs pratiqués par les médecins libéraux exerçant en secteur 1 sont fixés par l’Assurance maladie, alors que les médecins exerçant en secteur 2 peuvent ajouter au prix conventionnel de l’acte un dépassement d’honoraires.

Entre 2011 et 2014, une majorité des nouveaux spécialistes libéraux faisant l’objet de cette étude (gynécologues, ophtalmologues et pédiatres) s’installent en secteur 2.

En secteur 1, le volume de soins fournis ne dépend que des caractéristiques individuelles du praticien, comme sa situation familiale ou ses revenus non professionnels, alors qu’en secteur 2, des mécanismes de concurrence sont systématiquement mis en évidence.

En cas de hausse de la densité médicale locale, le volume de soins fournis par un spécialiste de secteur 2 augmente, alors que le prix pratiqué diminue. Il peut ainsi maintenir le niveau de ses honoraires. Face à l’arrivée de nouveaux concurrents, les spécialités techniques adaptent leur activité en augmentant les actes techniques pratiqués pour compenser la baisse du nombre des consultations.

Enfin, si en secteur 1, l’activité des médecins ne dépend pas du niveau de vie de la population locale, celui-ci joue fortement sur l’offre de soins et le tarif fixé des spécialistes de secteur 2.

 

Les entreprises françaises adorent la galette des rois

78% des Français sont favorables à la galette des rois en entreprise

On mangera une galette en janvier dans 71% des entreprises françaises

Une galette organisée la plupart du temps (69%) par les salariés eux-mêmes et offerte par seulement 38% des entreprises

Un moment convivial pour 58% des Français, gênant pour 31% d'entre eux

54% obligent le ou la plus jeune à aller sous la table et 42% à ce que le roi embrasse la reine

59% des personnes qui trouvent la fève au bureau préfèrent la cacher par timidité !

 4940an$IN7480157831682367@VWP21DB02" width="500" style="box-sizing: content-box; vertical-align: middle; line-height: 1.4em; max-width: 10000px; width: 500px; height: 333px;">

Paris, le 6 janvier 2020

Deskeo, premier opérateur de bureaux flexibles en France, interrogé plus de 2 200 sociétés sur le premier sujet sérieux de la rentrée : la galette des rois ! Une fête qui semble extrêmement prisée par les sociétés françaises, mais avec parfois des réactions surprenantes...

Vive les rois !

Apparemment, les Français aiment célébrer l'épiphanie... à moins que ce soit par gourmandise pour la galette à la frangipane. En effet, plus de 78% des Français sont favorables à fêter la galette des rois au travail. De plus, 71% déclarent qu'une dégustation sera organisée dans leur entreprise cette année.

Etes-vous favorable à la galette des rois au travail ?

Oui

78%

Non

22%

Allez-vous célébrer la galette des rois dans votre entreprise ?

Oui

71%

Non

29%

Une fête entre collègues

Pour autant, cette célébration n'est pas un événement officiel. Ainsi, plus de 69% des entreprises interrogées avouent que la galette n'est pas organisée par la société mais par les salariés eux-mêmes. Seules 38% des entreprises françaises offrent cette dégustation à leurs employés.

Cette galette est-elle organisée par l'entreprise ?

Oui

31%

Non

69%

Est-elle offerte par l'entreprise ?

Oui

38%

Non

62%

Un moment convivial avant tout

Cette fête à l'origine religieuse semble aujourd'hui être davantage un évènement convivial entre collègues, comme le déclarent 58% des entreprises. 31% des répondants y voient cependant une obligation gênante...

Selon vous la galette des rois au travail, c'est :

Un moment convivial entre collègues

58%

Une obligation gênante

31%

Avant tout une tradition

8%

Autre

3%

Un petit côté bizutage...  

Si on oblige la plus jeune personne à se mettre sous la table en famille pour choisir les parts lors de la distribution, cela semble également le cas en entreprise (54% des cas)On va même jusqu'à obliger les rois et les reines à s'embrasser dans près d'une entreprise sur deux (42%) !

Obligez-vous la personne la plus jeune à se mettre sous la table pour attribuer les parts ?

Oui

54%

Non

46%

Le roi et la reine sont-ils obligés de s'embrasser ?

Oui

42%

Non

58%

Beaucoup de galettes sans fèves...

Si les Français semblent apprécier la galette des rois, il est surprenant de constater que 59% des personnes qui trouvent la fève dans leur part vont la cacher pour ne pas avoir à porter la couronne. Sans doute par timidité, peur du ridicule ou bien pour ne pas avoir à payer une autre galette des rois à tous les collègues !

Si vous avez la fève, allez-vous la cacher pour ne pas avoir la couronne ?

Oui

59%

Non

41%

*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 2 205 professionnels répartis sur l'ensemble du territoire français, effectuée en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 31 décembre 2019 et 3 janvier 2020. Profils des personnes interrogées : 22% d'indépendants, 21% de Dirigeants d'entreprise, 26% de DAF / RAF / CFO, Autres : 31%. Nombre de salariés : 24% de 1 à 10, 36% de 10 à 50, 32% de 50 à 200 : 8% plus de 200. Répartition des secteurs d'activités concernés : Assistanat, Administration : 6% / BTP, Chantier, Bureau d'études : 6% / Commerce, Marketing, Vente : 17% / Conseil : 8% / Direction générale, Direction centre de profits : 5% / Informatique, Télécoms : 17% / Restauration, Tourisme, Hôtellerie, Loisirs : 14% / Santé, Social, Service à la personne : 9% / Production, Maintenance : 1% / Environnement, Aménagement : 1% / Distribution, Magasin : 5% / Gestion, Finance, RH, Comptabilité, Audit : 6% / Métallurgie, Mécanique, Aéronautique : 1% / Logistique, Achat, Stock, Transport : 3%, Agri-Agro - Agriculture, Viticulture, Pêche : 1%. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.

À propos de Deskeo

Créée en juin 2016 par Frank Zorn et Benjamin Teboul, Deskeo est un opérateur de bureaux flexibles qui recherche, aménage et gère les sièges sociaux d'entreprises de 10 à 500 salariés. Deskeo fait  partie du  groupe Knotel, le géant américain des bureaux flexibles. Cette fusion permet de proposer aux entreprises un environnement à leur image aux quatre coins du monde (France, Allemagne, Angleterre, Etats-Unis, Brésil...). Knotel compte près de 500.000 m2 de bureaux aménagés dans le monde et gère les sièges sociaux d'entreprises telles que Shell, AXA, EDF, Netflix, Starbucks, Amazon ou encore Uber.

Plus d'informations www.deskeo.fr

 

Nouvelle année 2020 : Les bonnes résolutions riment-elles avec "habitation" ?

68% des Français veulent changer leur déco en 2020

Priorité pour la chambre parentale à 46%, le salon/salle à manger à 42%, et la salle de bain à 27%

49% des hommes bricolent pour rafraîchir quand 45% des femmes ont besoin de changement

Qui fait les travaux ? Les femmes disent que ce sont elles à 38% et les hommes à 56%

36% des Français prévoient une enveloppe budgétaire ne dépassant pas 5 000

La bonne résolution des travaux avait été abandonnée en 2019 par 87% des Français...

 4752an$IN7880157838163769@VWP21DB01" width="365" style="box-sizing: content-box; vertical-align: middle; line-height: 1.4em; max-width: 10000px; width: 365px; height: 200px;">

7 janvier 2020

Bricozor, le pure player du bricolage, spécialisé en quincaillerie, en outillage et en plomberie, a voulu savoir si les Français avaient pris de bonnes résolutions pour leur habitation en 2020. Un sondage mené auprès de plus de 17.200 personnes qui montre un réel intérêt mais peut-être moins suivi par des faits...

Lien officiel https://www.bricozor.com/

Bonne résolution : changer de décoration

Parmi les bonnes résolutions de 2020, et même si les hommes sont plus mitigés (59%) que les femmes (77%), plus de 68% des Français ont tout de même prévu pour cette nouvelle année de changer la décoration de leur intérieur.

Pour la nouvelle année, avez-vous prévu de changer la décoration de votre intérieur ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

68%

77%

59%

Non

32%

23%

41%

Chambre et salon

Parmi toutes les pièces d'une habitation, trois d'entre elles sortent clairement du lot pour être refaites cette année. Avec 46% des votes, la chambre parentale arrive en tête du classement, suivie du salon/salle à manger avec 42%, puis la salle de bain en troisième position avec 27%.

Si oui, par ordre de priorité, quelle(s) pièce(s) aimeriez-vous refaire ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Cuisine

12%

9%

15%

Salle de bain

27%

31%

22%

Chambre parent

46%

48%

44%

Chambre enfant

20%

20%

19%

Chambre d'amis

10%

11%

9%

Jardin

19%

17%

21%

Terrasse, balcon

3%

2%

3%

Salon, salle à manger

42%

44%

39%

Entrée

7%

5%

8%

Sanitaires

24%

21%

26%

Grenier

1%

1%

1%

Garage

2%

1%

2%

Salle de jeux, sport, détente

1%

1%

1%

Autre

2%

1%

2%

Toute l'habitation

13%

13%

12%

Des raisons différentes

Les femmes et les hommes ne refont pas leur décoration et les travaux de leur habitation pour les mêmes raisons. En effet, 45% des femmes ont envie de changement pour 2020 quand les hommes sont 49% à vouloir plutôt rafraîchir la décoration. L'arrivée d'un bébé concerne également 16% des répondants qui vont donc aménager un nouvel espace de vie cette année.

Pour quelle(s) raison(s), parmi les suivantes, avez-vous prévu d'effectuer des travaux chez vous cette année ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Je souhaite rafraîchir la décoration

40%

31%

49%

J'ai envie de changement

37%

45%

29%

Je souhaite aménager un nouvel espace jusqu'ici inexploité

2%

1%

2%

Je dois mettre aux normes certaines installations ou effectuer des rénovations

1%

1%

1%

J'accueille quelqu'un chez moi pour une longue durée (parent(s), ami(es).. etc.) et vais lui aménager un espace de vie/une chambre

2%

3%

2%

Je m'apprête à avoir un enfant et vais lui aménager un espace de vie/une chambre

16%

16%

15%

Autre

2%

3%

2%

Les Français semblent également très actifs côté bricolage puisque presque la moitié (46%) d'entre eux déclare avoir effectué des travaux depuis moins d'un an et 23% entre un et deux ans.

A quand remontent les derniers travaux que vous avez effectués chez vous ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Je n'ai jamais effectué de travaux chez moi

2%

3%

1%

Il y a plus de trois ans

12%

16%

8%

Entre deux et trois ans

16%

19%

14%

Entre un et deux ans

23%

27%

18%

Moins d'un an

46%

33%

58%

Je ne sais pas

1%

2%

1%

Les travaux : c'est moi !

Etrangement, à la question « Chez vous, quelle(s) personne(s) est(sont) en charge de réaliser des travaux en 2020 ? », la majorité répond que c'est elle-même  38% chez les femmes et 56% chez les hommes. Seulement 19% des hommes avouent que leur femme est une bricoleuse quand 36% des femmes redonnent la main à leur conjoint.

Chez vous, quelle(s) personne(s) est(sont) en charge de réaliser des travaux en 2020 ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Moi

47%

38%

56%

Mon(ma) conjoint(e)

28%

36%

19%

Un professionnel

13%

15%

12%

Un(des) ami(s)

4%

2%

6%

Un parent

8%

9%

7%

Quid du budget ?

Côté financier, les Français espèrent ne pas trop dépenser pour leurs travaux en 2020. Ainsi, plus de 36% prévoient une enveloppe budgétaire ne dépassant pas 5 000 et 27% envisagent moins de 10 000.

Quel budget prévoyez-vous pour vos travaux en 2020 ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Moins de 1 000

10%

8%

12%

Moins de 5 000

36%

38%

34%

Moins de 10 000

27%

29%

24%

Moins de 20 000

16%

15%

17%

Moins de 50 000

8%

7%

9%

Moins de 100 000

3%

3%

4%

Des bonnes résolutions abandonnées

Si les Français ont prévu en 2020 de faire des travaux dans leur habitation, 87% avouent qu'ils avaient déjà espéré le faire en 2019. Une bonne résolution qui avait donc été abandonnée par 78% des hommes et plus de 96% des femmes !

En 2019, aviez-vous déjà prévu de faire des travaux qui n'ont pas été réalisés ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

87%

96%

78%

Non

13%

4%

22%

*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 17 216 personnes représentatives de la population nationale française âgées de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 20 décembre 2019 au 2 janvier 2020. Profils des personnes interrogées : 51% de femmes et 49% d'hommes répartis sur l'ensemble du territoire français. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives

A propos de Bricozor

Lancé en 2010 par deux anciens spécialistes du web et du marketing (Nicolas Guelle et Philippe Allais), Bricozor est le pure player du bricolage, spécialisé en quincaillerie, en outillage et en plomberie. Le site web à destination des particuliers et des professionnels propose dès l'origine plus de 30 000 références en stock. Bricozor travaille main dans la main et en toute confiance avec plus de 600 marques afin de développer un catalogue très riche et pointu. Bricozor bénéficie d'une logistique impressionnante avec des entrepôts de plus de 30 000 m² situés en Normandie et qui permet de servir les clients en 24h partout en France.

Avec plus de vingt personnes, l'équipe de Bricozor est constituée d'une parité d'hommes et de femmes, d'un âge moyen de 29 ans. En 2019 Bricozor prévoit plus de 10 M de CA en élargissant sa clientèle vers les professionnels et va passer de 20 à 27 personnes avec des recrutements dans tous les services clés : développement web, service client, service commercial et marketing, etc.

Pour plus d'informations : https://www.bricozor.com/

 

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Les Français ont-ils peur du « Blue Monday » ?

45% des Français se disent déprimés à cause du climat politique et social

68% des Français connaissent le pire jour de l'année en 2020 contre 23% en 2018

66% des femmes et 61% des hommes se disent être plus déprimés que l'année dernière

En 2020, 41% des Français craignent et sont influencés par le Blue Monday, contre 31% en 2018

L'année 2020 sera : meilleure pour 30%, pareille pour 31%, pire qu'en 2019 pour 39% des Français !

 3488an$IN6980157889222461@VWP21DB02" width="600" style="box-sizing: content-box; vertical-align: middle; line-height: 1.4em; max-width: 10000px; width: 600px; height: 407px;">

Paris, 13 janvier 2020

A l'approche du pire jour de l'année, déterminé au 20 janvier, QAPA, l'agence d'intérim 100% online, a interrogé* plus de 4,5 millions de personnes pour connaître le véritable impact de ce « Blue Monday » sur le moral des Français.

Lien officiel : www.qapa.fr

*Méthodologie : Sondage réalisé entre le 6 et 10 janvier 2020 auprès de 4,5 millions de candidats sur QAPA. Parmi ces personnes interrogées, 52% d'entre eux sont des non-cadres et 48% sont des cadres. Toutes les informations mises en avant par les candidats sont déclaratives.

Une journée qui gagne à ne pas être connue

La date du pire jour de l'année, n'a pas été donnée au hasard. C'est en 2005 que le psychologue Cliff Arnall, professeur à l'université de Cardiff au Pays de Galles, a déterminé ce jour correspondant au troisième lundi du mois de janviercalculé à partir d'une formule « scientifique » : {[W + (D-d)] x T^Q} ÷ [M x N_a] (décomposition de la formule W = temps, D = dette, d = salaire mensuel, M = bas niveau de motivation, Na = sentiment de nécessité d'agir).

Si en 2018, seulement 23% des Français connaissaient l'existence de ce pire jour de l'année, ils sont aujourd'hui plus de 68%.

Saviez-vous que le troisième lundi de l'année était considéré comme la pire des journées ?

Réponses

2018

2020

Femmes

Hommes

Femmes

Hommes

Oui

25%

21%

64%

71%

Non

75%

79%

36%

29%

Totale déprime

En 2008, les Français se sentaient partagés quant à leur moral. Les femmes étaient plus nombreuses (46%) à se sentir davantage déprimées quand les hommes ne voyaient pas de différence (45%) à l'année précédenteEn 2020, les deux sexes sont en adéquation 66% des femmes et 61% des hommes avouent être plus déprimés que l'année dernière à la même époque.

Vous sentez-vous plus ou moins déprimé(e) que l'année dernière à la même époque ?

Réponses

2018

2020

Femmes

Hommes

Femmes

Hommes

Plus

46%

37%

66%

61%

Pareil

43%

45%

25%

24%

Moins

11%

18%

9%

15%

Tremblez Le"Blue Mondayarrive...  

La pire journée de l'année semble même avoir à présent une influence sur le moral des Français. En 2018, le Blue Monday touchait l'état de 31% seulement des personnes interrogées alors que ce chiffre atteint les 41% en 2020.

Le fait de savoir que le lundi 20 janvier est le pire jour de l'année influence-t-il votre état ?

Réponses

2018

2020

Femmes

Hommes

Femmes

Hommes

Oui

42%

21%

49%

32%

Non

58%

79%

51%

68%

Les Français déprimés à cause de quel climat ?

Si le Blue Monday semble avoir un impact, les Français n'ont pas le moral pour différentes causes bien précises. Ainsi, c'est le climat politique et social qui touche plus de 43% des femmes et 46% des hommes alors qu'en 2018, le climat professionnel arrivait en tête avec 35% pour les femmes et 44% pour les hommes.

Qu'est-ce qui vous déprime le plus ?

Réponses

2018

2020

Femmes

Hommes

Femmes

Hommes

Le climat familial

9%

3%

17%

9%

Le climat météorologique

22%

10%

11%

7%

Le climat politique et social

32%

42%

43%

46%

Le climat professionnel

35%

44%

24%

35%

Le climat sanitaire

2%

1%

5%

3%

2020 sera... encore pire !

En 2018, la grande majorité des Français était assez optimiste (62%). En 2020, ce n'est plus le cas du tout ! En effet, si 30% des Français déclarent que l'année sera meilleure et 31% pareille qu'en 2019, plus de 39% pensent que 2020 sera bien pire !

Selon vous, cette nouvelle année sera :

Réponses

2018

2020

Femmes

Hommes

Femmes

Hommes

Meilleure

65%

59%

28%

32%

Pareille

9%

12%

31%

31%

Pire

26%

29%

41%

37%

A propos de Qapa.fr

Qapa.fr est le partenaire emploi de tous les Français. 100% positif 0% souci. Qapa.fr rassemble aujourd'hui 4,5 millions de candidats, 200.000 nouveaux inscrits chaque mois dans tous les secteurs et dans toute la France. En 2016, Qapa.fr a lancé le 1er service de recrutement d'intérimaires en temps réel 100% digital et mobile.

 

 

 
 
 

Invitation presse
Paris, le 14 janvier 2020

 
 

Conférence de presse

« Pratiques et conditions d’exercice en médecine générale :
E-santé, soins non programmés et démographie médicale »

Mardi 21 janvier 2020 de 9h30 à 10h30
(accueil à partir de 9h15)

À la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
10, place des Cinq-Martyrs-du-Lycée-Buffon - Paris 14e  - Salle 4232 R

En raison du plan Vigipirate, une pièce d'identité vous sera demandée à l'entrée de l'immeuble ;
nous vous invitons à prévoir votre heure d'arrivée en conséquence.

******

E-santé : quelle utilisation des principaux outils numériques par les médecins généralistes ?

Par Martin Monziols (DREES)

L’utilisation par le médecin généraliste du  dossier patient informatisé, du logiciel d’aide à la prescription et la messagerie sécurisée de santé varie selon différentes caractéristiques :
âge, organisation du cabinet, etc.

Comment les médecins généralistes s’organisent pour prendre en charge les soins non programmés ?
Par Pierre Verger (ORS Paca)

Les demandes de soins non programmés, considérées comme les demandes de soins pour le jour-même ou le lendemain, constituent une part importante de l’activité des médecins généralistes qui organisent leur activité pour répondre à ces demandes.

Comment les médecins généralistes adaptent leur pratique dans la perspective d’une offre de soins locale en baisse ?

Par Bruno Ventelou (AMSE)

La perception de l’offre de soins locale qu’ont les médecins généralistes joue sur leur pratique. Nombre d’entre eux s’attendent à une baisse de cette offre dans les années à venir et déclarent adapter leurs pratiques en modulant leur temps de formation ou encore la durée de leur journée de travail. Certains déclarent aussi se « spécialiser » dans certains domaines de la médecine ou encore miser sur l’éducation thérapeutique des patients.

Trois publications issues d’une contribution collective :  Hélène Chaput, Martin Monziols (DREES), Bruno Ventelou, Anna Zaytseva (AMSE), Guillaume Chevillard, Julien Mousquès (IRDES), Lisa Fressard, Pierre Verger (ORS Provence-Alpes-Côte-D’azur), Marie-Christine Bournot, Jean-François Buyck, Anne Jolivet (ORS Pays de la Loire), Florence Zemoour (URPS-ML Provence-Alpes-Côte-D’azur), Thomas Hérault (URML Pays de la Loire)

 
 
 

Communiqué de presse
Paris, le 15 janvier 2020

 
 

Sous embargo jusqu’au 16 janvier 2020 à 6 heures

« Les rendez-vous des droits élargis » des Caf :

un dispositif qui augmente le recours aux prestations sociales

L’expérimentation des « rendez-vous des droits élargis » pilotée par la DREES montre que ce dispositif proposé par les Caisses d’allocations familiales (Caf) aux demandeurs d’emploi en début ou fin de droits augmente significativement le recours aux prestations sociales. Cette expérimentation a été menée en partenariat avec la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf), Pôle Emploi et l’École d’économie de Paris / J-PAL Europe.


Depuis 2014, la Cnaf s’engage dans une action ambitieuse pour réduire le non-recours aux prestations sociales, à travers la mise en place du « rendez-vous des droits ». Les Caf proposent à leurs allocataires les plus vulnérables un entretien personnalisé pour faire le point sur un grand nombre de droits sociaux, qu’ils soient gérés ou non par les Caf. Le « rendez-vous des droits » a pour objectif de proposer, dans une démarche proactive et individualisée, une information complète et adaptée et un accompagnement renforcé pour les personnes qui en ont le plus besoin.


Réalisée fin 2017, l’expérimentation des « rendez-vous des droits élargis » a étendu ce dispositif à des demandeurs d’emploi en début ou en fin de droits avec de faibles ressources. Contrairement aux « rendez-vous des droits » classiques, 42 % des personnes sélectionnées dans le cadre de cette expérimentation ne sont pas allocataires d’une Caf. Pourtant, elles se trouvent dans une situation de transition, indemnisation chômage ou fin des droits au chômage, qui peut déclencher une éligibilité nouvelle aux prestations sociales.


Se fondant sur une expérience aléatoire, cette expérimentation permet d’évaluer précisément l’effet du « rendez-vous des droits » sur cette population. Le fait d'appartenir au groupe expérimental (personnes invitées au rendez-vous, qu’elles y participent effectivement ou non) augmente de 1,8 point de pourcentage la proportion de personnes ayant ouvert un nouveau droit dans les six mois, cette part étant de de 26,7 % en moyenne hors expérimentation (personnes non invitées au rendez-vous). Pour les 21% de personnes du groupe expérimental qui ont effectivement participé à un rendez-vous des droits, cette proportion est plus élevée de 8,4 points de pourcentage. On ne peut pas conclure de ce dernier résultat que si les demandeurs d’emploi bénéficiaient tous d’un rendez-vous des droits, la part de ces personnes ouvrant un nouveau droit dans les six mois augmenterait de 8,4 points car les personnes qui se rendent au rendez-vous et celles qui ne le font pas ne présentent pas les mêmes caractéristiques (en termes de droits potentiels aux prestations notamment).


Cet effet positif très net est principalement lié à l’ouverture de droit au revenu de solidarité active (RSA), à la prime d’activité et, dans une moindre mesure, aux allocations logement.


Parmi les demandeurs d’emploi, ce sont ceux en fin de droits qui sont les principaux bénéficiaires du rendez-vous en matière d’ouverture de droits, au RSA et à la prime d’activité principalement. Ce public pourrait ainsi être une cible à prioriser dans le cadre de l’élargissement du dispositif actuel. En revanche, la participation au rendez-vous n’a pas eu d’effet significatif sur l’ouverture de droits à des prestations non gérées par les Caf, en l’occurrence celles gérées par l’Assurance maladie (couverture maladie universelle complémentaire, CMU-C, et aide à la complémentaire santé, ACS).


D’autres résultats de cette expérimentation présentés dans ce Dossier de la DREES constituent des pistes de réflexion pour améliorer l’offre de service des organismes de protection sociale en matière de lutte contre le non-recours.


Télécharger la publication :

Les rendez-vous des droits des Caf : quels effets sur le non-recours ? Enseignements de l’expérimentation des « rendez-vous des droits élargis ». Kim Antunez, Laura Castell, Etienne Perron-Bailly, avec la participation de Marc Gurgand, Clément Imbert et Todor Tochev. Les dossiers de la DREES n°47, janvier 2020.

 

Seconde vague du baromètre: Les préoccupations des Français en matière de protection sociale

 


Sondage Harris Interactive pour AG2R La Mondiale

Paris, le 17 janvier 2020,


Deux ans après la première édition de son baromètre, AG2R La Mondiale a choisi de reconduire son partenariat avec Harris Interactive fin 2019, afin d'évaluer le niveau d'information et les préoccupations des Français en matière de santé, d'épargne, de retraite et de dépendance.

Téléchargez le rapport complet sur notre site.


Quels sont les principaux enseignements de cette enquête ?

Au cours de la vie et dans la durée, la santé et la situation financière apparaissent comme les préoccupations principales des Français.

  • Les différences d'âge font apparaître des priorités divergentes: épanouissement personnel et situation professionnelle pour les plus jeunes, situation financière et enfants pour les Français de 35 à 49 ans, santé et risque de dépendance pour les 50 ans et plus, etc. Néanmoins, la santé (51%) et la situation financière (50%) font l'unanimité dans l'ensemble de la population française et s'imposent à la fois comme les deux préoccupations majeures de la vie quotidienne aujourd'hui mais également comme celles qui prendront le plus de place à l'avenir.
  • Dans l'ensemble, on note que les problématiques liées à la protection sociale (santé, épargne, retraite, et dépendance) sont celles qui s'imposent en premier lieu lorsque les Français se représentent leurs préoccupations pour l'avenir. En particulier, la dépendance est un sujet qui les interroge aujourd'hui plus qu'en 2017 (+5 points), signe de l'émergence de ce thème comme un sujet majeur de réflexion et d'inquiétude.

La protection sociale, un enjeu central pour lequel l'information peut encore être améliorée

  • Les Français se disent aujourd'hui préoccupés par toutes les dimensions de la protection sociale, et notamment la santé (86%, +3 points) et la dépendance (78%, +6 points), dont le souci est particulièrement marqué chez les femmes et les plus âgés. La retraite (69%) et l'épargne (69%) représentent également des préoccupations fortes pour tous.
  • Il y a ainsi de fortes attentes vis-à-vis de l'information concernant ces sujets qui sont des sources d'inquiétude chez les Français. Et si, en ce qui concerne le fonctionnement du système de santé et des solutions d'épargne, ils se sentent majoritairement bien informés, le fonctionnement du système des retraites (49% se sentent bien informés) et les solutions pour faire face au risque de dépendance (39%) restent mal connus de la plupart.
  • Cette fragilité du niveau d'information est relayée par une inquiétude plus large liée au système de protection sociale actuelle. Si les Français estiment aujourd'hui que le système fonctionne bien, ils se montrent majoritairement inquiets quant à son avenir (60% ne sont pas confiants).
  • Dans ce contexte, les Français se montrent exigeants face à l'information qui leur sera fournie par les acteurs de la protection sociale, qu'ils veulent fiable, claire et complète avant tout. Son accessibilité digitale, quoique moins prioritaire que d'autres enjeux, s'avère être de plus en plus importante (36% « très importante », +3 points). Les Français font majoritairement confiance, pour leur apporter cette information, à la Sécurité sociale et aux associations.

La retraite, un point sensible dans un contexte d'évolutions

  • La retraite est un passage craint à de nombreux niveaux (finances, santé, vie sociale) par les Français qui n'ont pas encore franchi le cap. Dans les faits, les mauvaises expériences rencontrées par les retraités sont beaucoup moins nombreuses.
  • Cette peur des conséquences de la retraite est intrinsèquement liée au déficit d'information qui existe sur le sujet, 59% des non-retraités ne sachant pas à quel âge ils pourront partir en retraite – un sujet qui les inquiète largement, 75% - et 71% ne sachant pas comment leur pension sera calculée, le montant de cette pension s'avérant un point de crispation sensible également (85%).
  • Le projet actuel de réforme des retraites tend à ajouter des incertitudes dans la perception des Français, et a fortiori de ceux qui ne sont pas encore en retraite, qui se sentent mal informés sur tous les futurs aspects de la réforme.
  • On note cette année, dans ce contexte de bouleversement du système de retraite, que les retraités eux-mêmes se montrent un peu plus inquiets et un peu moins bien préparés que lors de la dernière vague d'enquête, ce qui manifeste un niveau de préoccupation en hausse quant à leur situation personnelle.

L'épargne, une zone de sécurité pour les Français

  • La majorité des Français déclarent pouvoir épargner chaque mois aujourd'hui (77%), plus d'un tiers (38%) réussissant même à mettre de côté 100€ ou plus.
  • L'épargne a avant tout un objectif de précaution (préparer l'avenir et anticiper des situations difficiles, que ce soit pour soi ou pour ses proches), bien plus que de réalisation de projets, d'investissements ou même de constitution de patrimoine.
  • L'épargne est perçue comme essentielle par les Français qui considèrent notamment nécessaire d'épargner pour sa retraite durant sa vie active (94%), et même, pour nombre d'entre eux, dès le début de sa vie professionnelle.
  • Et pourtant, les Français qui se disent soucieux au quotidien de leurs finances se montrent relativement mal informés sur ces questions, seul le rendement actuel de leur épargne étant clair pour une majorité.

La complémentaire santé, zone de satisfaction

  • Près de 9 Français sur 10 (87%) indiquent être dotés d'une complémentaire santé, pour beaucoup (68%) contractée auprès d'une mutuelle. Pour la plupart (73%), ils se montrent satisfaits et se sentent bien couverts par leur complémentaire, qui leur apporte ce dont ils ont besoin pour eux et leur famille (71%).
  • Dans l'ensemble, ils estiment également être bien informés sur la couverture que leur apporte leur complémentaire, avec quelques nuances. Si le coût que cela représente pour eux est clair (79%), ce n'est pas toujours le cas de l'étendue de leurs droits ou de la nature de ce qu'ils paient en cotisant, plus d'un tiers montrant des interrogations sur ces sujets.

Le risque de dépendance, une préoccupation plus grande et un besoin d'information plus pressant

  • Le risque de dépendance préoccupe un plus grand nombre de Français aujourd'hui qu'en 2017. Pour la plupart, ils redoutent de se trouver eux-mêmes dans cette situation (82%) notamment parce qu'ils redoutent de s'imposer à leurs proches (79%, +3 points). L'enjeu du financement de la dépendance est également au cœur des inquiétudes (77%).
  • Aujourd'hui, plus de la moitié des Français (54%) ne se sentiraient pas capables de faire face à une situation de dépendance, et le sentiment d'information à l'égard des solutions qui existent pour y faire face, déjà faible, est en baisse.
  • Les Français se montrent ainsi, sur le sujet, demandeurs d'un meilleur accompagnement, notamment du point de vue de la coordination des soins. On note que les plus âgés (les plus directement concernés par ce risque) se montrent certes, particulièrement inquiets, mais également particulièrement volontaires pour anticiper ces situations.

Focus sur les travailleurs indépendants

  • Sur de nombreux indicateurs, les travailleurs indépendants manifestent un niveau d'implication et d'information proche de celui des Français sur de nombreux sujets relatifs à la protection sociale.
  • En raison de leur statut particulier, ils se montrent particulièrement préoccupés par la question de la retraite. Ils se disent néanmoins mieux informés et moins inquiets que les autres actifs en ce qui concerne l'âge auquel ils pourront prendre celle-ci.
  • Compte tenu de cette préoccupation, ils se montrent également un peu plus avertis que la moyenne sur les questions relatives à l'épargne. Le fait d'épargner est selon eux particulièrement nécessaire pour préparer son avenir, et notamment sa retraite. De fait, ils semblent connaître les différentes solutions pour gérer son épargne mieux que la moyenne des Français.
  • Si la majorité d'entre eux ont une complémentaire santé, celle-ci est moins systématiquement souscrite auprès d'une mutuelle que pour l'ensemble des Français (et un peu plus souvent auprès d'une compagnie d'assurance).
NOTRE RAPPORT ET NOTRE INFOGRAPHIE

Enquête réalisée en ligne du 29 octobre au 12 novembre 2019. Échantillon de 3081 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.  Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l'interviewé(e).

Merci de noter que toute diffusion de ces résultats doit être accompagnée d'éléments techniques tels que : la méthode d'enquête, les dates de réalisation, le nom de l'institut – Harris Interactive –, la taille de l'échantillon.

 
À propos de Harris Interactive
Harris Interactive France est un acteur historique du marché des études.
Dirigé par ses fondateurs Nathalie Perrio-Combeaux et Patrick Van Bloeme, l'institut propose des approches innovantes, qualitatives et quantitatives, en France comme à l'international.
Harris Interactive repense le marché en alliant innovation technologique et accompagnement d'experts au-delà des études. Pour aider ses clients à prendre les meilleures décisions, avec un temps d'avance.
Harris Interactive Europe (regroupant Harris Interactive France, Allemagne et UK) appartient au groupe international ITWP.
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Contacts :
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Laurence Lavernhe - Directrice Marketing & Communication - 01 44 87 60 94 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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SONDAGE IFOP POUR FREELANCE.COM

LES NOUVELLES FORMES DE TRAVAIL

Depuis plusieurs années, le marché du travail évolue mettant en avant de nouveaux statuts comme celui de travailleur indépendant. Cette nouvelle forme de travail gagne en popularité chez les cadres, 80% d’entre eux l’estimant totalement adaptée aux attentes des actifs.

En France, un million de personnes ont le statut de travailleur indépendant. Ce sondage IFOP exclusif pour FREELANCE.COM met en lumière la manière dont le freelancing est perçu par les cadres.

Le travail en freelance de plus en plus populaire auprès des cadres

En France, 77% des cadres ont une bonne opinion du travail en freelance (78% chez les cadres d’entreprises et 74% chez les ingénieurs/cadres techniques). Dans le même temps 3 français sur 10 ont déjà songé à quitter un emploi pour travailler en freelance.

Une situation qui s’explique par le fait que 80% des personnes interrogées estiment que le travail en freelance est totalement adapté aux attentes des actifs, leur permettant ainsi d’atteindre leurs objectifs professionnels tout en ayant une certaine indépendance.

Un statut qui offre de nombreux atouts

Une personne interrogée sur trois se déclare intéressé par le travail en indépendant. Un score élevé qui traduit les aspirations professionnelles des cadres et les nombreux atouts qu’offrent ce statut.

Ainsi, plus de la moitié des sondés sont séduits par la liberté octroyée par le statut de freelance. En entrant dans le détail, les atouts qui reviennent les plus souvent sont l’organisation du temps de travail (25%), le choix des missions (17%) une accointance avec les sujets traités (12%) et l’absence de hiérarchie (11%).

Il est important de prendre en compte la réelle aspiration des cadres qui est, pour un interrogé sur trois, la volonté de trouver un équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle. L’épanouissement professionnel passe également par la recherche d’utilité dans son travail et ce à hauteur de 21%.

Les nouvelles formes de travail au cœur de l’actualité

Pour rappel, en 2017, le gouvernement a décidé de rattacher le régime social des indépendants (RSI) au régime général, avec une mise en œuvre progressive entre le 1er janvier 2018 et le 1er janvier 2020. Ainsi, le RSI n’existe plus aujourd’hui.

Toujours selon ce sondage IFOP pour Freelance.com, 61% des cadres pensent que « le rattachement du régime social des indépendants (RSI) au régime général des retraites est de nature à influencer la décision de se lancer en tant que Freelance ». Parallèlement, plus d’une personne sur 2 interrogée considère que le déploiement des nouvelles formes de travail doit constituer une priorité pour le gouvernement.

« Les aspirations des cadres pour ces nouvelles formes d’emploi offrant plus d’autonomie, de liberté et d’épanouissement personnel illustrent un véritable changement sociétal » indique Claude Tempé, Vice-Président de Freelance.com« Nous sommes convaincus que cette tendance va continuer de s’accélérer et que les pouvoirs publics, tous comme les entreprises, ont déjà pris la mesure de ces changements. De nouvelles solutions, comme celles de Freelance.com, émergent aujourd’hui pour répondre aux attentes des cadres et des entreprises qui en ont besoin, et ainsi redéfinir la relation employeur - salarié »

Plateforme de référence de l’écosystème Talents - entreprises, Freelance.com est au cœur des problématiques de transformation du monde du travail. Nous souhaitons vous proposer d’échanger avec Claude Tempé, Vice-Président du groupe Freelance.com, sur les résultats de cette étude.

Pour télécharger l’étude dans son intégralité, cliquez ici

A propos du groupe Freelance.com

Au cœur de la transformation du monde du travail, Freelance.com est la plateforme globale de référence pour l’écosystème talents - entreprises. Son spectre de solutions - recrutement des talents, gestion des ressources et mise en conformité, portage salarial… - libèrent les énergies pour que les talents soient le plus impactant là où ils agissent. Simples, lisibles, intelligentes, collaboratives, ces solutions facilitent la vie des entreprises et des talents, accélèrent leurs succès et participent au développement du travail libéré avec humanité et responsabilité.

Acteur précurseur et audacieux, Freelance.com n’a cessé d’étendre ses savoir-faire pour maîtriser l’ensemble de l’écosystème entre les entreprises et les talents, avec plus d'1 million d'utilisateurs de ses plateformes. Fort de 15 agences en région et 4 implantations internationales (Allemagne, Angleterre, Maroc, Suisse), le groupe Freelance.com a réalisé un chiffre d’affaires de 187 M€ en 2018 et se donne pour objectif d’atteindre 235 M€ pour l’année 2019. Le groupe Freelance.com est coté en Bourse sur Euronext Growth à Paris.

 

Les métiers du numérique recrutent.
Nous organisons le 30 janvier 2020 à 09h00 au Pole Emploi de St Chamond une rencontre avec le Greta et le club Digital League Cluster un temps d'échange sur les métiers du numérique et le Greta interviendra sur les formations à venir dans ce secteur.
Pour vous inscrire, envoyer un mail à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. merci d'indiquer semaine du numérique dans votre mail

 

Je vous prie de trouver en p.j. et ci-dessous l'appel à projets de Mécèn'Ardèche à l’attention de porteurs de projets d’intérêt général (associations et collectivités).



L’appel à projets 2020 de Mécèn’Ardèche est en ligne !

https://www.mecenardeche.fr/appel-a-projets-2020

Réponse attendue jusqu’au 7 février 2020.


Bien cordialement.
 
Lucie ROUCHON
Pôle Entrepreneurial de Vidalon
 
Direction de l'économie et du marketing territorial
Pôle développement et attractivité du territoire
Ville d'Annonay / Annonay Rhône Agglo
 
Pôle Entrepreneurial de Vidalon
698 Chemin de Vidalon
07430 DAVEZIEUX
Tél : 04 75 33 75 24 
 

Meilleures villes pour les familles 2020

L'étude dévoile les villes qui offrent les meilleures conditions de vie pour les familles, selon les données sur la qualité de vie en ville, la législation familiale et des sondages auprès des parents.

  • Helsinki, en Finlande, est la meilleure ville pour les familles dans le monde entier, grâce à de généreux congés parentaux payés, une éducation de haute qualité et d'excellents soins de santé. Québec, au Canada, et Oslo, en Norvège, se classent respectivement au deuxième et au troisième rang.
  • La capitale finlandaise est également très bien notée pour la convivialité familiale, se classant au deuxième rang après Oslo selon un sondage qui demandait aux parents locaux d'évaluer leur ville. Tokyo, au Japon, et Zurich, en Suisse, ont tout deux également obtenu la meilleure note pour le sentiment de sécurité dans les quartiers.
  • Strasbourg est la ville française la mieux classée, en atteignant la 40ème position de notre classement. Elle est suivie par Lyon en 51ème place et Toulouse à la 74ème place.

Berlin,Allemagne, janvier 2020 -  L’entreprise experte en déménagement Movinga a publié une étude qui dévoile quelles villes du monde offrent les meilleures conditions pour élever une famille. Après avoir analysé les meilleures villes pour diverses opportunités telles que trouver l'amour, l'éducation, l'emploi ou démarrer une la création d’entreprise ; Movinga a décidé de se pencher sur les caractéristiques fondamentales d'une ville qui concernent les parents ou les futurs parents, lorsqu'ils cherchent à déménager. Le résultat est cette nouvelle étude complète comprenant seize facteurs, qui dévoile les meilleures villes pour les familles dans le monde.

Comment l'étude a été menée :

Pour cette étude, Movinga a sélectionné 150 villes dans le monde, dont dix en France, qui ont pour réputation d'être des lieux propices à la vie familiale. L'étude a ensuite été divisée en de nombreux facteurs répartis en trois catégories qui indiquent à quel point une ville est favorable à la vie familiale. Ces facteurs comprennent les éléments essentiels qui influent sur la qualité de vie en ville, comme le logement, l'éducation, le taux de chômage et le coût de la vie, ainsi que la législation sur la famille, comme le nombre de jours de congés parentaux et l’inclusion des couples de même sexe.

Il était également important d'inclure l'opinion des familles qui vivent elles-mêmes dans ces villes. Movinga a donc commandé deux sondages auprès des parents de chaque ville de l’étude afin de mesurer le sentiment du public à l’égard de leur ville. Le premier sondage demandait aux parents d'indiquer ce qu'ils pensaient de la sécurité de leurs enfants dans leur quartier. Le second sondage leur demandait s'ils croyaient que leur ville était un bon endroit pour les familles en général. Enfin, l’étude analyse l'attrait et l'étendue des activités de loisirs axées sur la famille dans une ville.

L'indice final combine tous ces facteurs pour déterminer quelles sont les villes au monde qui offrent les meilleures conditions pour élever une famille.

Ceci est un extrait du communiqué de presse complet.Étant donné que ce document dépasse la limite permise par courriel, veuillez visiter ce lien pour consulter la version PDF de l'ensemble du communiqué de presse: https://sweetspotpr.com/wp-content/uploads/Movinga/COOF/Strasbourg.pdf. Si vous préférez recevoir le fichier en pièce jointe, n'hésitez pas à me le faire savoir et je vous l'enverrai en réponse..

Veuillez trouver la méthodologie complète avec une explication complète de chaque facteur et de plus amples informations sur la page des résultats: https://www.movinga.fr/etudes/villes-dopportunites-meilleures-villes-pour-les-familles

 

 

 

2030 :

Alors qu’une nouvelle journée de grève et de manifestation est attendue ce vendredi 24 janvier, les réseaux de transport en commun connaitront à nouveau de fortes perturbations sur l’ensemble du territoire. Une nouvelle journée noire qui, au-delà des répercussions sur le fonctionnement des entreprises, ne sera pas sans conséquence pour l’environnement.

Comme le souligne une étude de l’Insee publiée en mai 2019,la présence de polluants dans l'air due au trafic automobile est en effet plus forte en période de grève des transports en commun. L’Insee souligne par ailleurs que ces pics de pollution de l’air issus du trafic automobile entraînent une hausse des admissions aux urgences pour des affections du système respiratoire. En travaillant à distance,les espaces de coworking permettent aux salariés de réduire leur temps de trajet en voiture et participent aux efforts de réduction de gaz carbonique dans les grandes villespendant mais aussi en dehors des périodes de grève.

En effet, selon la récente étude « Regus Flexible Working Economic Study » proposée par Regus, marque du groupe International Workplace Group (IWG)*, en 2030, le travail flexible permettra de réduire l’émission de plus de 6 millions de tonnes de CO² en France. L’importante diminution des rejets en CO² s’explique notamment par la croissance programmée du nombre de tiers-lieux. Ces derniers permettront aux professionnels d’une grande majorité de secteurs, de travailler à distance, et de réduire la durée de leur trajet pour se rendre sur leur lieu de travail.

Même s’ils ont déjà été multipliés par 10 en 5 ans, ces espaces sont amenés à se développer et seront donc plus accessibles et mieux répartis sur l’ensemble du territoire. Ainsi, utiliser sa voiture pour les migrations pendulaires ne sera plus une nécessité.

 

comment le changement climatique affectera les grandes métropoles autour du globe dans les prochains vingt à trente ans. L’Indice Changement Climatique Villes 2050 prend en compte les possibles changements de température, de la montée du niveau de la mer et de stress hydrique pour 85 villes autour du monde afin de donner un aperçu des défis urbains et climatiques auxquels les prochaines générations devront faire face.

L’embargo pour cette étude a été fixée au Mercredi 29 Janvier. Cependant, n’hésitez pas à revenir vers moi si vous rencontrez la moindre contrainte de publication ou si souhaitez publier en avance. J’ai également un communiqué de presse à ma disposition si cela vous intéresse. Si vous croyez que cette étude peut intéresser un de vos collègues vous pouvez bien entendu lui renvoyer mon mél.

Les résultats finaux et toute la méthodologie sont accessible ici: https://www.nestpick.com/fr/2050-climate-change-city-index/

 

ÉTUDE DE RÉMUNÉRATION 2020
DU CABINET DE RECRUTEMENT ROBERT WALTERS

Le cabinet Robert Walters dévoile son étude de rémunération, et avec elle les grandes tendances du marché de l'emploi des cadres. Malgré un léger ralentissement de la croissance économique en 2019, la majorité des secteurs d'activité a atteint le plein emploi. L'immobilier, la finance, l'IT, le juridique et les ressources humaines tirent leur épingle du jeu en 2020. La pénurie de profils experts entraînera de fortes augmentations de salaires dans certaines fonctions.

LA MOBILITÉ DES CADRES ACCENTUÉE EN 2020

En 2019, les incertitudes liées au ralentissement de la croissance économique ont provoqué, dans les entreprises, un effet « stop-and-go » sur le recrutement. Ce phénomène a profité au marché de l'emploi des cadres, dont le volume des offres a continué de croître en 2019 (+19%)*.

Pour la troisième année consécutive, la majorité des secteurs d'activité a atteint le plein emploi et 80% des cadres sont confiants quant au marché de l'emploi dans leur domaine d'activité**. Cet optimisme est nettement favorable aux mouvements : 74% des cadres pensent à changer d'emploi cette année. En outre, ils sont 73% à attendre une augmentation de salaire en 2020.

« La difficulté des entreprises à recruter s'accentue en 2020. Les candidats, conscients de leur position de force, se mettront en mouvement et n'hésiteront pas à négocier à la hausse leur niveau de rémunération. », commente Coralie Rachet, Directrice Robert Walters France.

 
LA QUÊTE DE SENS, MOTEUR DES CADRES

Si la rémunération reste un élément important en termes d'attractivité des candidats, cet aspect purement financier remporte seulement la 5ème place dans le top des critères de satisfaction professionnelle des cadres, confirmant ainsi que la seule rémunération n'est pas un critère suffisant pour pérenniser les recrutements. En effet, pour 62% des cadres le sens de leur contribution est le plus important dans leur satisfaction.

De même, la confiance accordée par le management est déterminante pour les cadres (60%), qui n'hésitent plus à quitter une entreprise dès lors qu'ils sont en désaccord avec les pratiques managériales.***

Par ailleurs, l'étude Robert Walters démontre que 55% des cadres considèrent que l'équilibre vie professionnelle/vie personnelle est très important dans leur satisfaction professionnelle, bien loin devant les responsabilités offertes par leur poste (38%).
 

 
L'IMMOBILIER EN TÊTE DES AUGMENTATIONS DE SALAIRES
 
En 2020, l'immobilier va sortir du lot. Avec une croissance de 22% de la moyenne des augmentations de salaires, le secteur va profiter d'un marché de l'emploi cadre très dynamique, porté notamment par les fonctions de Directeur développement, Directeur programmes et Directeur asset management. En outre, 76% des cadres en immobilier s'attendent à recevoir une augmentation de salaire cette année.

La finance et le juridique vont également profiter de belles augmentations de salaire cette année, en moyenne de 9%. Les profils de Directeur M&A pourront notamment prétendre à une augmentation de 10% selon le niveau d'expérience. Le Directeur juridique business/contract avec plus de 12 ans d'expérience pourra quant à lui voir sa rémunération progresser de 12%.
 
Le nombre des offres d'emploi en IT & Digital a également fait un bond en 2019, avec une augmentation de 19% par rapport à 2018. Le responsable cybersécurité est particulièrement recherché, tout comme le data scientist dans un contexte d'accélération de la digitalisation des entreprises. Selon les fonctions, les augmentations de salaires dans ce domaine d'activité pourront atteindre 13% sur l'année 2020.
 
Au lendemain de la mise en œuvre de la loi PACTE et dans un contexte de guerre des talents accrue, la demande en profils experts dans les ressources humaines a augmenté de 13% en 2019. Cette hausse est largement portée par les fonctions Talent aquisition et Comp&Ben, dont les rémunérations augmentent en moyenne de 5% en 2020.

 

 Découvrez l'intégralité de 
l'étude de rémunération Robert Walters 2020





* Baromètre de l'emploi Robert Walters 2019
** Enquête candidat Robert Walters réalisée auprès de plus de 1 900 candidats en septembre 2019
*** Livre blanc Robert Walters,  Intégration et fidélisation des talents : les clés d'un recrutement réussi

Méthodologie de l'étude

  • Etude de rémunération France : Données issues d'entretiens réalisés auprès de 50 000 candidats et clients en France, de janvier à décembre 2019.
  • Enquête candidat Robert Walters France : Enquête réalisée auprès de plus de 1 900 candidats interrogés en ligne en septembre 2019 en France.
  • Baromètre de l'emploi Robert Walters 2019 : Etude réalisée sur la base des données du site www.jobfeed.fr, agrégateur recensant l'ensemble des offres d'emploi parues sur tous les job boards et sites carrières des entreprises. Les volumes présentés sont les volumes d'offres cadre/non cadre recensées sur la période du 1er janvier 2019 au 31 décembre 2019 (en comparaison avec la même période en 2018). L'étude se limite aux fonctions suivantes : Achats & Supply Chain, Assurance, Avocats, Banque, Conseil, Construction, Finance, Immobilier, Ingénieurs, IT & Digital, Juridique, Fiscal et Conformité, Sales & Marketing, Santé, Ressources Humaines.


A propos de Robert Walters – www.robertwalters.fr

Référence mondiale du recrutement spécialisé, Robert Walters intervient sur le recrutement de cadres en top et middle management dans les domaines d'activité suivants : Finance, Banque, Assurance, Ressources Humaines, Juridique & Fiscal, Private Practice, IT & Digital, Ingénieurs, Logistique & Achats, Immobilier & Construction, Retail & Grande Consommation, Conseil et Santé. Le cabinet a également développé une activité de Management de Transition, qui répond aux besoins urgents et stratégiques des entreprises pour faire face à des situations de changement, de crise ou d'internationalisation.
 
 




«Travailler dans le jeu vidéo, pourquoi pas vous ?»

       Quels métiers, quelles compétences, quelles formations ? Venez vous informer sur ce secteur
       en pleine dynamique de croissance et rencontrer des professionnels des studios de la région.

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l'événement est ouvert à toutes et tous!

 

Péril sur l'orthographe et la grammaire au travail !

75% des recruteurs pensent ne pas faire de fautes contre 38% des candidats

67% des candidats se relisent mais pas 1 recruteur sur 2

Pour 59% des candidats et 67% des recruteurs, les qualités rédactionnelles sont inutiles au travail

74% des employeurs n'ont jamais notifié à un candidat ses erreurs rédactionnelles...

Et 96% des demandeurs d'emploi n'ont jamais été repris par un recruteur !

Seulement 39% des candidats et 12% des recruteurs demandent de l'aide pour corriger leurs textes

Paris, 27 janvier 2020

QAPA, l'agence d'intérim 100% online, s'est penchée sur la rédaction des CV, des lettres de motivation et des annonces d'emploi. Une enquête menée auprès de 4,5 millions de candidats et plus de 135 000 recruteurs qui montre que les demandeurs d'emploi font un petit peu plus d'efforts que les recruteurs en matière d'écriture mais que les qualités rédactionnelles ne sont plus du tout au goût du jour.

Lien officiel : www.qapa.fr

*Méthodologie : Sondage réalisé entre le 13 et le 17 janvier 2020 auprès de 4,5 millions de candidats et 135 000 recruteurs sur QAPA. Parmi ces personnes interrogées, 52% d'entre eux sont des non-cadres et 48% sont des cadres. Les chiffres et statistiques représentent un état des lieux de l'emploi en France. Toutes les informations mises en avant par les candidats sont déclaratives.

Des recruteurs bien plus sûrs d'eux que les candidats

Si les demandeurs d'emploi sont plus de 62% à penser faire beaucoup de fautes d'orthographe ou de grammaire lorsqu'ils rédigent leur CV, les recruteurs de leur côté sont plutôt confiants dans leur maîtrise de l'écrit. Ils sont en effet plus de 75% à déclarer ne pas faire d'erreurs.

Lorsque vous écrivez (un CV, une lettre de motivation ou une annonce), pensez-vous faire des fautes d'orthographe ou de grammaire ?

Réponses

Candidats

Recruteurs

Oui

62%

25%

Non

38%

75%

A qui les fautes ?

Les recruteurs sont tellement persuadés d'être doués à l'écrit qu'ils sont plus de 49% à ne pas se relire après avoir rédigé une annonce quand les candidats sont 67% à le faire pour leur CV ou lettre de motivation. Pourtant, en 2019, QAPA enregistrait déjà plus de 58% d'offres d'emploi avec plus de 3 fautes.

Après avoir rédigé votre texte (CV, lettre de motivation, annonce), vous relisez-vous plusieurs fois pour corriger les fautes ?

Réponses

Candidats

Recruteurs

Oui

67%

51%

Non

33%

49%

Bien écrire ! Pour quoi faire ?

En 2015, l'orthographe et la grammaire avaient un rôle crucial au travail pour 98% des Français, mais ils n'étaient déjà plus que 77% à le penser en 2019. En 2020, rien ne va plus puisque seulement 59% des candidats et même 67% des recruteurs déclarent que les compétences rédactionnelles ne sont pas importantes pour avoir un emploi.

Pensez-vous que la grammaire et l'orthographe sont importantes pour un travail ?

Réponses

Candidats

Recruteurs

Oui

59%

67%

Non

41%

33%

Tout est bon !

Pour détecter d'éventuelles fautes dans un CV ou une lettre de motivation, il est bien-sûr nécessaire d'être un minimum doué en orthographe et en grammaire. C'est sans doute pour cette raison que 96% des candidats n'ont jamais été repris par un recruteur et que 74% des employeurs n'ont jamais notifié à un candidat ses erreurs rédactionnelles. 

Un recruteur vous a-t-il déjà dit que votre CV ou votre lettre de motivation comportaient des fautes d'orthographe ou en tant que recruteur, avez-vous déjà notifié à un(e) candidat(e) que son CV ou sa lettre de motivation comportaient des fautes d'orthographe ?

Réponses

Candidats

Recruteurs

Oui

4%

26%

Non

96%

74%

Au secours !

Quand on ne sait pas, mieux vaut demander... Malheureusement, les Français font appel à un avis extérieur de plus en plus rarement. Ainsi, seulement 39% des candidats et uniquement 12% des recruteurs avouent demander de l'aide à quelqu'un pour corriger leur texte.  

Pour éviter les erreurs, demandez-vous à quelqu'un de corriger votre texte (CV, lettre de motivation ou annonce) ?

Réponses

Candidats

Recruteurs

Oui

39%

12%

Non

61%

88%

A propos de Qapa.fr

Qapa.fr est le partenaire emploi de tous les Français. 100% positif 0% souci. Qapa.fr rassemble aujourd'hui 4,5 millions de candidats, 200.000 nouveaux inscrits chaque mois dans tous les secteurs et dans toute la France. En 2016, Qapa.fr a lancé le 1er service de recrutement d'intérimaires en temps réel 100% digital et mobile.

 

Plus d'1 Français sur 2 envisage de changer de banque en 2020

49% des Français ignorent le montant annuel de leurs frais bancaires

Plus de 62% des Français n'appellent pas leur banque en cas de frais supplémentaires

Seuls 19% des Français sont satisfaits de leurs services bancaires

Seulement 29% savent que les néo-banques et banques mobiles proposent les frais leplus bas

82% des Français sont prêts à quitter leur banque à cause de frais trop importants

Paris, 27 janvier 2020

Monewayla première néo-banque grand public évolutive et collaborative, a mené une enquête* auprès de 14 000 personnes sur le délicat sujet des frais bancairesUn sondage qui montre que, au-delà de la gestion chaotique des frais, leur insatisfaction bancaire grandit aussi vite que leur envie de changement en 2020.

Lien officiel : moneway.com

Des frais très flous

Les Français sont bien loin de scruter à la loupe leur relevé de compte pour analyser leurs comptes. En effet, plus de 49% des Français ne connaissent absolument pas de manière précise le montant annuel de leurs frais bancaires. 

Connaissez-vous le montant annuel total de vos frais bancaires ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui, au centime prêt

10%

8%

11%

Oui, mais très vaguement

41%

39%

42%

Non, pas de manière précise

49%

53%

47%

Peu de négociation avec leur banquier

Qui plus est, en cas de frais supplémentaires et inhabituels sur leur compte, plus de 62% des Français ne prennent même pas contact avec leur banquier pour obtenir plus d'informations ou pour éventuellement en négocier le montant (37% ne le font jamais et 25% très rarement). Seulement 24% le font lorsque ces frais sont beaucoup trop élevés.

En cas de frais supplémentaires sur vos relevés, contactez-vous votre banque ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui systématiquement

14%

11%

17%

Oui quand ils sont trop élevés

24%

26%

22%

Non très rarement

25%

26%

23%

Non jamais

37%

37%

38%

Des Français insatisfaits

A la question « Êtes-vous satisfait(e) des services de votre banque ? », seulement 19% des Français répondent par l'affirmative. Ainsi, 38% ne sont pas vraiment contents et plus de 43% sont littéralement pas du tout satisfaits.

Êtes-vous satisfait(e) des services de votre banque ?

Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui très

3%

4%

2%

Oui à peu près

16%

16%

15%

Non pas vraiment

38%

39%

37%

Non pas du tout

43%

41%

46%

Un manque d'informations

Pour 42% des Français, ce sont les banques en ligne qui proposent les frais les plus bas du marché. Or, il est avéré que ce sont les banques mobiles et les néo-banques qui sont aujourd'hui les plus attractives sur ces services, ce que savent seulement 29% des personnes interrogées.

Selon vous, quel type de banque propose les frais les plus bas ?

Réponses