avec un grand merci à Pierre-Jean Llorens pour sa large contribution à ces lectures en partage :
Avis d'expert : Les Français perdent en moyenne une journée entière par an pour trouver une place de parking
Paris, le 5 avril 2019 – 70% des salariés français déclarent utiliser la voiture pour se rendre au travail au quotidien. Et, sans surprise, les habitants des grandes villes sont confrontés le plus souvent à la problématique du stationnement. L’entreprise montpelliéraine MyCarSpot estime qu’en moyenne, un collaborateur perd une journée entière par an pour trouver une place de parking. Le coût de cette journée reste toujours à charge de l’employeur. À ce titre, une société qui met au cœur de son activité le bien-être des employés se voit donc obligée d’assouplir les contraintes horaires afin de limiter les problématiques de transport.
Face à ces constats, Stéphane Seigneurin, co-fondateur de MyCarSpot, solution 100% automatisée proposant un service en ligne d'optimisation des places de parking en amont, fait le point sur l’amélioration du bien-être au travail et apporte les réponses aux problématiques liées au stationnement :
Pour toute demande d’interview avec Stéphane Seigneurin, merci de contacter :
Diana MURAVYOVA / Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / 01 44 94 95 78
1 À propos de MyCarSpot
• Quelles solutions pour faire face aux difficultés de stationnement en entreprise ?
• Quelles sont les contraintes de stationnement ?
• Combien cela coûte aux employeurs ?
• Comment s’engager dans une économie collaborative et responsable ?
• Quels sont les bénéfices du service d’optimisation du parking ?
• Quel est l’impact environnemental de la réorganisation des places de parking ?
|
|
|
|
|
l’or de la Banque de France
On note également l’existence d’environ 52,5 milliards d’euros en devises, une somme relativement stable d’un mois sur l’autre. Mais elle reste très en-dessous de la valeur des réserves en or, prouvant si besoin était que même les États accordent désormais davantage de crédit aux métaux précieux qu’aux devises. Du reste, les monnaies de réserves détenues à la Banque de France étant principalement le dollar US mais aussi la livre sterling, certains s’interrogent sur les conséquences d’un éventuel Brexit à l’issue du référendum anglais du 23 juin prochain.
Enfin, en comptant les créances sur le FMI dépassant les 14 milliards d’euros, les réserves officielles de change de l’État français s’élevaient au total, à la fin du mois de mai 2016, à 153,35 milliards d’euros(contre un peu plus de 178 milliards en avril). En un an, le montant de ces réserves a progressé d’un peu plus de 8 milliards d’euros seulement.
Rassurer ou prévoir ?
Rappelons que l’une des raisons d’être des réserves officielles de change est de montrer aux marchés que le pays a les moyens de résister à un choc économique (hausse des prix des matières premières, par exemple), mais aussi financier (crise du crédit), voire à une catastrophe naturelle majeure. L’objectif est donc avant tout d’amener les acteurs de l’économie mondiale à faire confiance à la France, mais aussi par ricochet à l’Euro. Or, ce dernier aspect se révèle de moins en moins facile à gérer, en raison notamment des nombreuses menaces qui planent sur la zone Euro mais aussi sur l’Union Européenne dans son ensemble. Et la probabilité, même faible, d’une sortie du Royaume-Uni n’est pas de nature à rassurer les marchés.
D’un autre côté, comme précisé plus haut, on ne peut s’empêcher de constater la part grandissante de l’or qui représente désormais plus de 55% de la valeur totale des réserves. Et cette proportion est même beaucoup plus importante dans d’autres pays du monde comme par exemple l’Allemagne (67%) ou les États-Unis (72%). Certains y voient le signe que les économies du monde se préparent à un changement du rôle de l’or dans le système monétaire mondial. Ainsi, des experts vont même jusqu’à évoquer la possibilité que, d’ici 10 ans, un panier constitué de plusieurs monnaies adossées à l’or puisse remplacer le système actuel.
Une telle éventualité serait d’ailleurs plutôt bien perçue par la population si l’on en croit une enquête OpinionWay/AuCoffre réalisée en mai dernier dans la quelle on apprenait par exemple que 60% de Français souhaiteraient que l’Euro soit garanti par l’or présent dans les coffres des banques centrales (par exemple la Banque de France). Enfin, l’or dispose d’un tel capital confiance auprès de la population que, toujours selon la même enquête, 36% des Français considèrent que le métal précieux pourrait être une meilleure monnaie que l’Euro.
La France, 4e réserve d’or mondiale
Au 3e trimestre 2017, avec 2 435,9 tonnes d’or dans ses coffres, la France demeure la 4e plus grosse réserve d’or, derrière les Etats-Unis (8 133,5 tonnes), l’Allemagne (3 373,7 tonnes) et quasiment à égalité avec l’Italie (2 451,8 tonnes). Avec cette position, la France continue de s’inscrire dans la tradition de l’or.
|
||||||
|
||||||
|
||||||
|
||||||
|
||||||
|
||||||
|
||||||
|
||||||
|
||||||
|
||||||
|

Le CREDOC publie une note de synthèse sur le mouvement des gilets jaunes issue de son enquête barométrique de début 2019. 6% se déclarent gilets jaunes, 56% soutiennent le mouvement. La note donne à voir les conditions de vie, les ambitions, les aspirations et les opinions de ceux qui se disent gilets jaunes et de ceux qui les soutiennent. Lien vers la note: https://www.credoc.fr/publications/les-gilets-jaunes-un-precipite-des-valeurs-de-notre-societe
|
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
|
![]() |
||
![]() |
![]() |
|||
![]() |
|
Le « mal-dormir », c’est-à-dire un sommeil non récupérateur, touche aujourd’hui plus d’1 Français sur 2. Si le sommeil est un besoin universel, femmes et hommes sont-ils égaux en matière de sommeil ?
Selon les résultats du 1er Observatoire du Sommeil réalisé par la Fondation Adova et l’institut Ipsos, 66 % des hommes dorment 7h ou moins contre 59 % pour les femmes. Pourtant, ces dernières sont 60 % à affirmer avoir le sentiment d’avoir mal dormi (vs 50 % pour les hommes). Les femmes sont également 67 % à estimer manquer de sommeil, soit 11 % de plus que les hommes et sont plus nombreuses à penser avoir besoin d’au moins 8h de sommeil par nuit pour être en forme (28% pour les femmes, contre 19 % pour les hommes).
Toutefois et ce quelque soit le sexe, la durée passée dans les bras de Morphée ne garantie pas un sommeil de qualité, puisqu'en moyenne 68 % des hommes et 77 % des femmes sont confrontés au moins 1 fois par semaine à l’impression d’avoir mal dormi. Le baromètre révèle également que les femmes ont un sommeil plus perturbé : elles sont 30 % à se réveiller 3 fois ou plus durant la nuit, soit 9 % de plus que les hommes, ce qui impacte considérablement la qualité de leur sommeil.
- Les femmes et les hommes ont-ils besoin du même temps de sommeil ? Qui dort le plus ?
- L’horloge biologique a-t-elle impact sur la régularisation des cycles de sommeil selon les sexes ?
- Quelles sont les conséquences du manque de sommeil ?
- Quelles sont les populations les plus susceptibles d’être impactées par le mal-dormir ?
- Quels sont les principaux troubles du sommeil et qui y est le plus sensible ?
- Comment faire pour mieux dormir ? Comment savoir si votre sommeil est de bonne qualité ?
- Les nouveaux traitements (hypnose, acupuncture, micro-siestes, luminothérapie) sont-ils vraiment efficaces ? Faut-il adapter le traitement en fonction du sexe du patient ?
- ect.
Autant de questions auxquelles se proposent de répondre les professionnels et experts du sommeil de la Fondation Adova.
Que pensent les Français des avocats et du système juridique ?
39% des Français ont déjà fait appel à un avocat
58% des femmes pour une affaire personnelle et 48% des hommes pour le professionnel
44% des Français n'ont pas eu une bonne collaboration avec leur avocat
28% des Français dénoncent un mauvais suivi de leur dossier
63% des Français sont globalement mécontents des services juridiques en France
72% des hommes et 79% des femmes ont peur des coûts liés à une action en justice
Paris, 8 avril 2019
mon-avocat.fr, la plateforme de mise en relation entre avocats et particuliers, a interrogé plus de 16.000 personnes afin de mieux connaître leur opinion sur le système juridique français. Un sondage qui dévoile une relation délicate avec un fort besoin de clarté et d'amélioration des relations entre justiciables et avocats.
Pour télécharger l'infographie : http://bit.ly/sondage-francais-et-avocats-mon-avocat-fr-infographie
412an$IN15480155469603451@VWP21DB01" width="800" style="box-sizing: content-box; vertical-align: middle; line-height: 1.4em; max-width: 10000px; width: 800px; height: 565px;">
Plus d'1 Français sur 3 a déjà vu un avocat
Faire appel à un service juridique est une pratique qui tend à se généraliser en France. Ainsi, sur plus de 16.000 personnes interrogées, 39%déclarent avoir déjà contacté un avocat. Les hommes sont d'ailleurs plus nombreux dans ce cas (41%) que les femmes (38%).
Avez-vous déjà fait appel aux services d'un avocat ? |
|||
Réponses |
Global |
Femmes |
Hommes |
Oui |
39% |
38% |
41% |
Non |
61% |
62% |
59% |
Un avocat, pour quoi ?
En séparant les deux principaux cadres pour lesquels les Français peuvent faire appel aux services d'un avocat, une distinction s'opère entre les deux sexes. En effet, 58% des femmes disent avoir contacté un avocat pour une affaire personnelle alors que les hommes l'ont fait dans un cadre professionnel à 48%. Cependant, globalement, 49% des Français utilisent les services juridiques d'un point de vue personnel.
Si oui, dans quel(s) cadre(s) ? |
|||
Réponses |
Global |
Femmes |
Hommes |
Professionnel |
39% |
31% |
48% |
Personnel |
49% |
58% |
39% |
Les deux |
12% |
11% |
13% |
Une collaboration moyenne...
A la question " la collaboration avec votre avocat s'est-elle bien passée ? ", 56% des Français répondent par "oui". Dans le détail, 43% avouent tout de même que cette relation s'est moyennement bien passée. Et si les femmes sont 48% dans ce cas, les hommes sont nettement moins enthousiastes et déclarent à 46% que la collaboration ne s'est pas bien déroulée du tout.
La collaboration avec votre avocat s'est-elle bien passée ? |
|||
Réponses |
Global |
Femmes |
Hommes |
Oui parfaitement bien |
13% |
11% |
15% |
Oui mais moyennement bien |
43% |
48% |
39% |
Non pas bien du tout |
44% |
41% |
46% |
Pour quelle raison ?
La raison principale évoquée, lors d'une mauvaise ou médiocre collaboration avec un avocat, concerne la question des honoraires pour 29% des femmes. De leur côté, les hommes soulignent à 31% un mauvais suivi de leur dossier. C'est d'ailleurs ce même manque qui ressort pour 28% des Français.
Si non, pour quelle raison principale ? |
|||
Réponses |
Global |
Femmes |
Hommes |
Pour une question d'honoraires |
26% |
29% |
22% |
Pour une mésentente entre les parties |
7% |
9% |
6% |
Pour un mauvais suivi du dossier |
28% |
25% |
31% |
Pour un manque d'accessibilité |
5% |
4% |
7% |
Pour un défaut de procédure |
7% |
5% |
8% |
Pour un manque de réactivité et de communication |
26% |
27% |
25% |
Autre |
1% |
1% |
1% |
Une insatisfaction générale
Dans l'ensemble, les Français ne plébiscitent pas vraiment les services juridiques qui leur sont proposés. Ainsi, 37% déclarent être globalement satisfaits (9% très satisfaits et 28% moyennement), ce qui laissent 63% de mécontents (34% moyennement et 29% très insatisfaits).
Dans l'ensemble, êtes-vous satisfait(e) des services juridiques en France ? |
|||
Réponses |
Global |
Femmes |
Hommes |
Oui, très |
9% |
6% |
11% |
Oui, à peu près |
28% |
28% |
29% |
Non, pas tellement |
34% |
35% |
33% |
Non, je suis très insatisfait |
29% |
31% |
27% |
Un système compliqué, long et coûteux...
Parmi les points problématiques soulevés par les Français, la complexité des procédures juridiques est évoquée à plus de 35%. Elle est suivie par la longueur des actions à 27% et par les coûts importants pour 23%.
Selon vous, les procédures juridiques sont : |
|||
Réponses |
Global |
Femmes |
Hommes |
Compliquées |
35% |
36% |
34% |
Longues |
27% |
28% |
25% |
Coûteuses |
23% |
22% |
24% |
Simples |
10% |
8% |
12% |
Courtes |
4% |
4% |
4% |
Peu coûteuses |
1% |
2% |
1% |
La perle rare
56% des Français soulignent également la difficulté de trouver un bon avocat. Pour cela, 32% utilisent des annuaires, 26% passent par des plateformes et des sites spécialisés et 24% préfèrent les conseils de leurs proches ou de connaissances.
Avez-vous des difficultés à trouver un avocat ? |
||||||
Réponses |
Global |
Femmes |
Hommes |
|||
Oui |
56% |
57% |
55% |
|||
Non |
44% |
43% |
45% |
|||
Comment choisissez-vous votre avocat ? |
||||||
Réponses |
Global |
Femmes |
Hommes |
|||
Par le bouche-à-oreille |
13% |
16% |
11% |
|||
Par les conseils de connaissances |
24% |
21% |
28% |
|||
Via des annuaires |
32% |
33% |
32% |
|||
Via des sites spécialisés |
26% |
26% |
25% |
|||
Auprès des barreaux |
3% |
2% |
3% |
|||
Autre |
2% |
2% |
1% |
|||
Des coûts qui font peur
Au-delà des montants alloués aux services d'un avocat, les coûts liés à une action en justice font extrêmement peur à plus de 72% des hommes et 79% des femmes interrogés ; que cette action soit finalement en faveur ou non de la personne.
Avez-vous peur des coûts liés à une action en justice ? |
|||
Réponses |
Global |
Femmes |
Hommes |
Oui |
76% |
79% |
72% |
Non |
24% |
21% |
28% |
*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 16.024 personnes représentatives de la population nationale française âgées de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 11 au 21 mars 2019. Profils des personnes interrogées : 51% de femmes et 49% d'hommes répartis sur l'ensemble du territoire français.
Tranches d'âges : 8% de 18-24 ans, 21% de 25-34 ans, 39% de 35-44 ans, 28% de 45-54 ans et 4% de plus de 55 ans.
Répartition des secteurs d'activités concernés : Assistanat, Administration : 5% / BTP, Chantier, Bureau d'études : 7% / Commerce, Marketing, Vente : 16% / Conseil : 9% / Direction générale, Direction centre de profits : 6% / Informatique, Télécoms : 16% / Restauration, Tourisme, Hôtellerie, Loisirs : 13% / Santé, Social, Service à la personne : 10% / Production, Maintenance : 2% / Environnement, Aménagement : 1% / Distribution, Magasin : 4% / Gestion, Finance, RH, Comptabilité, Audit : 5% / Métallurgie, Mécanique, Aéronautique : 1% / Logistique, Achat, Stock, Transport : 2% Agri-Agro - Agriculture, Viticulture, Pêche : 1%, Artistique : 2%. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives
mon-avocat.fr en chiffres :
145.000 visiteurs mensuels
3.034 avocats clients actifs
20.000 mises en relation mensuelles entre justiciables et avocats
50 contacts qualifiés en moyenne par an et par avocat
A propos de Mon-avocat.fr
Créé en 2015, mon-avocat.fr est une plateforme de mise en relation entre avocats et particuliers (justiciables). L'entreprise accompagne les avocats dans leur évolution numérique afin de fluidifier les échanges et faciliter l'accessibilité du droit.
Le rôle de mon-avocat.fr est double : rendre le droit plus accessible et accompagner les avocats dans leur évolution numérique en leur permettant de se concentrer sur leur cœur de métier, le conseil et la défense. mon-avocat.fr fait partie du groupe Digital Directories (anciennement W3), qui regroupe également les plateformes my-lawyer.be (17.000 visiteurs uniques /mois), LeBonComptable.com et Jurifiable.com, gérées par une équipe de 40 collaborateurs experts dans leurs domaines basés à Paris et 10 personnes à Londres
|
|||||||
|
|||||||
|
|||||||
|
|||||||
|
|||||||
|
|||||||
|
|||||||
|
|||||||
|
|||||||
|
|||||||
|
|
||||||||||
|
||||||||||
|
||||||||||
|
||||||||||
|
||||||||||
|
||||||||||
|
||||||||||
|
||||||||||
|
||||||||||
|
|
|||||||||
|
|||||||||
|
|||||||||
|
|||||||||
|
|||||||||
|
|||||||||
|
|||||||||
|
|||||||||
|
|||||||||
|
|||||||||
|
|||||||||
|
CRÉDIT IMMOBILIER : CE QUE VOUS ALLEZ GAGNER AVEC LA SUPP
Un amendement au projet de loi Pacte vient supprimer l’obligation pour un client de domicilier ses revenus au sein d’une banque, dès lors qu’il y a souscrit un prêt immobilier.
https://www.capital.fr/immobilier/credit-immobilier-exit-les-clauses-de-domiciliation-non-mais-vous-avez-a-y-gagner-1332330
Dans la pratique, les banquiers pourront toujours demander la domiciliation à leur client... Mais c'est bien ce dernier qui aura la main.
C’est une pratique perverse que les députés tentent, une nouvelle fois, de réglementer. Dans le cadre du vote du projet de loi Pacte à l’Assemblée, ceux-ci viennent d’adopter un amendement mettant fin à l’obligation de domicilier ses revenus dans une banque, lorsqu’on y souscrit un crédit immobilier.
Second écueil : l’ordonnance fixait donc à 10 ans le délai au bout duquel ledit avantage était définitivement acquis par le client. Autrement dit, une fois engagé et ses revenu domiciliés, l’emprunteur était enchaîné à sa banque pendant 10 ans. S’il venait à annuler la domiciliation de ses revenus avant l’expiration de ce délai, la banque pouvait lui retirer son avantage individualisé et donc majorer son taux de crédit. Un énorme frein à la mobilité bancaire, dénoncé en janvier dernier par le Comité consultatif du secteur financier (CCSF), dans un rapport remis au ministre de l’Economie.
Quel avantage pour l’emprunteur ?
Si cette décision satisfait une majorité des acteurs du secteur, associations de consommateurs en tête, elle ne met pour autant pas fin à la pratique de domiciliation. Car en supprimant l’ordonnance, les députés ont acté un retour à la situation antérieure à celle-ci. La domiciliation des revenus consécutive à l’octroi d’un crédit redevient donc un accord oral entre le banquier et son client.
Autre bénéfice : les sanctions, ou plutôt les majorations de taux prévues pour non-respect de la clause de domiciliation ne pourront, elles, plus être inscrites au contrat. Aussi, si le client vient à domicilier ses revenus ailleurs dans le cadre de l’ouverture d’un compte courant chez une enseigne concurrente, par exemple sa banque ne pourra plus majorer son taux.
Leader français des petites annonces sur le web, Le Bon Coin est le paradis des bons plans, mais aussi un repère de choix pour les escrocs de tous poils. Comment repérer ces arnaques Et quelles sont les bonnes pratiques pour acheter sans stress
En un peu plus de dix ans, Le Bon Coin est devenu la Mecque de la consommation de seconde main. Simple, pratique, efficace, le site a surfé sur la soif de bons plans de Français rendus inquiets par la crise économique. Résultat ce sont actuellement entre 800 000 et un million d’annonces qui y sont postées chaque jour, toutes, sans exception filtrées par des algorithmes basés sur de l'intelligence artificielle promet la communication du Bon Coin. Sur le lot, toutefois, certaines annonces frauduleuses passent entre les mailles du filet.
Car l’essor des transactions entre particuliers a constitué une véritable aubaine pour les escrocs, qui ont profité de cette évolution majeure des habitudes de consommation pour mettre du beurre dans leurs épinards. Ce sont ainsi plus de 870 000 personnes, en 2017, qui ont été victimes d’une arnaque initiée en ligne, selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (1).
Combien sur Le Bon Coin ? Difficile à dire, le site ne communiquant pas sur le sujet. Ceux qui retombent sur leurs pieds sont rares : seulement 17% des victimes d’escroqueries ont été partiellement ou totalement remboursées ou indemnisées. Raison de plus pour éviter de tomber dans les pièges tendus.
Une diversité d’arnaques, mais un point commun
Et ils sont nombreux. Il y a une diversité incroyable d’arnaques sur Le Bon Coin et ailleurs constate Charles-Henri Gougerot-Duvoisin, très bon connaisseur du sujet en tant que CEO d’Obvy, un service dédié aux achats et ventes entre particuliers.
Les escroqueries de base vendre un bien sans l’expédier ; récupérer un bien sans le payer - ne trompant plus grand monde, les escrocs ont en effet dû apporter de plus en plus de sophistication à leurs modes opératoires.
Du SMS surtaxé à l’intimidation physique lors d’une remise en main propre, en passant par les arnaques au faux courriel PayPal, au chèque de banque, au don d’animal ou de voiture, le prisme est de plus en plus large.
Ces arnaques, toutefois, ont un point commun : la technique d’approche. Il y a un double enjeu pour les escrocs : capter l’attention de la victime, et gagner sa confiance poursuit le patron du moyen de paiement sécurisé Obvy. Cela commence en général par un message direct, via la messagerie interne au site ou un SMS : Bonjour. Je suis intéressé par votre bien, merci de me contacter à l’adresse mail suivante…
Premier indice que quelque chose ne tourne pas rond : l’acheteur ou le vendeur, car les escrocs postent aussi des fausses annonces trouve des excuses pour éviter les contacts téléphoniques, prétextant qu’il n’a plus de crédit sur son mobile, qu’il est à l’étranger, voire qu’il est mal-entendant Objectif notamment : éviter d’être démasqué par un accent, nombre de ces arnaques étant organisées depuis l’étranger.
Pour achever de capter l’attention de leur victime, les escrocs utilisent une ficelle, assez grosse mais visiblement efficace : proposer de payer le bien plus cher que demandé sur l’annonce, ou à l’inverse consentir une énorme ristourne sur le prix du bien vendu.
Dans la vraie vie, ce genre d’aubaine n’arrive jamais tranche Charles-Henri Gougerot-Duvoisin.
Attention au moyen de paiement !
Gagner la confiance de leurs victimes ensuite. Pour cela, certains escrocs proposent à leurs victimes d’utiliser, pour la transaction, non pas un moyen de paiement classique cash, chèque, virement mais un moyen de paiement sécurisé comme PayPal. Sécurisé, vraiment Nombreuses sont les personnes qui pensent que PayPal conserve les fonds le temps que la transaction aille à son terme. Ce n’est pas le cas : PayPal ne fait que du paiement direct rappelle le patron d’Obvy.
Les escrocs jouent habilement de cette méconnaissance. Ils expédient par exemple à leur victime un faux courriel PayPal, qui explique que l’argent est bloqué et qu’il faut s’acquitter d’une taxe supplémentaire pour le débloquer. Un surplus à régler sous la forme de recharge pour carte prépayée (PCS, Neosurf, ToneoFirst, etc.) ou de mandat (Western Union, Moneygram, etc.). Là, le drapeau rouge est agité : ces moyens de paiement sont en effet les favoris des escrocs, pour une raison simple : ils permettent l’anonymat et sont donc impossibles à tracer.
Si l’arnaque PayPal est l’une des plus répandues, il en existe de nombreuses variantes. Le faux courriel peut également avoir pour objectif de vous voler vos coordonnées de carte bancaire. L’arnaque peut aussi fonctionner en usurpant l’identité d’un transporteur, DHL ou Chronopost par exemple, qui vous explique que votre colis est bien en sa possession, mais que sa livraison nécessite le paiement d’une taxe supplémentaire. On en revient toujours au même : vous faire payer pour quelque chose qui n’existe pas, et vous subtiliser au passage des données personnelles.
Que fait Le Bon Coin ?
Le Bon Coin n’est évidemment pas le seul site de petites annonces concerné par les tentatives d’escroquerie. Paru Vendu, La Centrale, etc. Tous les sites qui ont un minimum d’audience sont concernés explique Charles-Henri Gougerot-Duvoisin. Sans parler de Facebook, où les groupes dédiés aux ventes entre particuliers pullulent. Mais en tant que leader incontestable du marché, Le Bon Coin est particulièrement exposé.
Que fait le site pour limiter la casse Il tente d’abord de repérer les fausses annonces, d’abord, grâce à des filtres algorithmiques. Il fait de la pédagogie également :
Des messages d’alerte sont intégrés dans le formulaire de contact avec le vendeur demandant d’être attentif explique la communication du Bon Coin : ne pas donner ses coordonnées bancaires, se méfier des propositions trop alléchantes et des prix trop bas ne jamais verser d’acompte à un vendeur inconnu, etc. Le site annonce également répondre aux demandes de réquisition de la Justice, lorsqu’il y a dépôt de plainte.
Enfin, Le Bon Coin sur lequel 110 millions de transactions sont réalisées chaque année (dont 20% à distance) a lancé son propre service de paiement, où il se place comme tiers de confiance entre l’acheteur et le vendeur. Un service gratuit, mais limité, juge Charles-Henri Gougerot-Duvoisin, en l’absence de suivi des colis ou d’interface fonctionnelle pour les remises en main propre.
(1) ONDRP - Victimation 2017 et perceptions de la sécurité / Résultats de l’enquête Cadre de vie et sécurité 2018
https://www.cbanque.com/actu/73063/le-bon-coin-comment-eviter-les-arnaques#OZADtj6t43VShQz3.
Dominique Trébuchet, Directeur général de La France Mutualiste, et Etienne Mercier, Directeur du Pôle Opinion et Recherche Sociale d'Ipsos, ont dévoilé hier soir à l'occasion d'une grande soirée les résultats d'une enquête inédite sur les Français, la transmission et les relations intergénérationnelles dont vous trouverez les principaux enseignements ci-dessous :
- Pour les Français, il y a manifestement une « crise » de la transmission au sein de la société et une dégradation en la matière : pour 82% des français, la transmission de valeurs et de connaissances est un sujet auquel on n'accorde pas assez d'importance dans notre société ;
- Ce que les Français jugent prioritaire aujourd'hui de transmettre reflète avant tout leurs inquiétudes à l'échelle de la société français et de la planète : « le savoir-vivre, la politesse » est l'apprentissage que les Français jugent à 85% le plus important à transmettre aux jeunes ; avec 68%, la question environnementale est le deuxième apprentissage que les Français jugent le plus important à transmettre ;
- La famille demeure le lieu où se vient et se construit, avant tout, les ancrages affectifs : la présence affective est de 50% à 70% ce dont on est le plus reconnaissance au sein de la famille ;
- Plus de 7 Français sur 10 considèrent que les nouvelles technologies ont un impact négatif sur les relations intergénérationnelles bien qu'elles servent à communiquer au sein de la famille ;
- Ce sondage se propose aussi de comparer le regard que les Français portent sur les 5 générations qui cohabitent aujourd'hui (à retrouver en pièce jointe).
Les résultats ont ensuite été débattus dans le cadre d'une table ronde en présence de :
- Roger-Pol Droit, philosophe et écrivain
- Carole Gadet, chargée de projets intergénérationnels Education Nationale et fondatrice de l'association Ensemble Demain
- Jean-François Serres, fondateur de Monalisa
- Pauline Constant de l'association Tous en tandem
La soirée s'est conclue par l'annonce des 3 lauréats du Prix Photo La France Mutualiste créé pour récompenser de jeunes photographes de 18 à 30 ans, étudiants, amateurs ou professionnels, ayant à cœur de valoriser et d'interroger, à travers leur travail photographique, les notions de transmission et de solidarités intergénérationnelles. L'occasion de mettre en avant les valeurs chères à la mutuelle depuis sa création (solidarité, partage et générosité) dans l'esprit de famille qui la caractérise.
DANS LE SECTEUR DE LA CONSTRUCTION EN MARS :
LE BÂTIMENT AU PREMIER RANG
Paris, le 16 avril 2019 – Selon le cabinet de recrutement Walters People, le volume d'offres d'emploi de la fonction chef de chantier second œuvre connaît une augmentation de 30% en mars 2019 par rapport à mars 2018.
Le marché de l'emploi du secteur de la construction va bien en ce début d'année 2019. Porté par le projet du Grand Paris, il connaît une hausse du volume d'offres d'emploi de 16% en mars 2019 par rapport à 2018.
Les nombreux projets lancés dans le secteur du bâtiment ces dernières années ont entraîné une nette augmentation des besoins en ressources humaines. Si les chefs de chantier gros œuvre sont toujours au cœur de la demande des entreprises, les chefs de chantier second œuvre ont aussi la cote. La profession connaît une augmentation de 30% du volume d'offres d'emploi en mars 2019, ce qui s'explique par l'état d'avancement de certains chantiers dans le cadre du Grand Paris. En effet une fois les étapes de construction terminées, le chef de chantier second œuvre intervient logiquement à la suite du chef de chantier gros œuvre, sur l'ensemble des questions liées aux travaux d'intérieurs.
« La hausse de la demande en chef de chantier second œuvre s'explique également par la volonté des entreprises et des particuliers de transformer, moderniser et personnaliser l'aménagement intérieur de leurs locaux ou habitations. Cette appétence générale pour le changement profite largement à la profession. » commente Baptiste Siauve-Huard, Managing Consultant de la division construction du cabinet Walters People.
A propos de Walters People
Walters People( www.walterspeople.fr ) est la filiale du groupe Robert Walters dédiée au recrutement intérimaire et permanent pour les fonctions supports et financières des entreprises en France, Belgique, Espagne et Pays-Bas. Spécialistes du travail temporaire, nous recrutons également des candidats qualifiés pour des postes en CDI et CDD, du jeune diplômé au cadre expert, en administration des ventes et supply chain, en assistanat, en banque et assurance, en construction et immobilier, en comptabilité et finance, dans l'IT et les Life Sciences, en juridique et en ressources humaines. Walters People a été nommée Great Place to Work® en 2015 et 2017 .