Le "phénomène" des "Gilets Jaunes" embrase la France depuis le 17 novembre dernier. Chacun doit pouvoir, au fil des jours, faire la part des choses entre les "vraies" photos, celles qui sont truquées

; ce qui est sûr en revanche, c'est qu'il impossible de nier, de falsifier les images, les ressentis, sur le profond malaise des français. Certes, comme le diesel, ils sont longs à démarrer ... Mais il se peut qu'après 1789, 1968, 2018 soit le nouveau cru de l'expression physique et orale des français. Il est nécessaire par contre de se poser, de faire la part des choses, et d'être surtout très "conscient" des réalités. Les constats des dizaines d'années passées sont là. Tout a contribué à ces états de chose. Si vous regardez bien avant, pendant et après la Première Guerre Mondiale, la situation sociale des français, les avancées depuis la Seconde Guerre Mondiale sans parler de 1968. La constante, en tous temps, quels que soient les Siècles, c'est qu'il y a toujours eu des tours d'ivoire la tête au soleil et des hommes de l'ombre sur le terrain. Les donnes ne sont plus les mêmes aujourd'hui : il y a l'Europe, il y a la mondialisation. L'Histoire racontera à nos petits et arrières petits enfants les erreurs de nos aïeuls et les fantastiques avancées entre autre technologique. Pour finir, en tous temps les Hommes ont secoué les cocottiers des dirigeants, voire même leurs ont sacrément botté les fesses. Nous entrons dans une Ere de plus en plus irrespirables au sens propre comme au sens figuré. La violence est un signe des temps conflictuels. Ce n'est ni une raison ni une excuse, juste une explication. Elle ne doit pas exister. Elle ne devrait pas exister. Les Hommes ne devraient pas s'adonner à cela. C'est une régression dans tous les sens du terme. Alors, je vous en prie : exprimez vous, manifestez, faites entendre "ENFIN" vos voix mais s'il vous plaît, restez respectueux des autres, de leurs opinions même si elles ne sont pas les vôtres. La Loi du nombre devrait payer, pas la violence.

Claire Mollien

 

 

Hausse du prix des carburants : 27% des actifs en poste pourraient changer d’emploi pour travailler plus près de chez eux

Enquête Yougov pour RegionsJob/ParisJob

En cette période de contestation et de mobilisation citoyenne sans précédent contre la hausse du prix des carburants, RegionsJob/ParisJob (plateformes éditées par HelloWork, le n°2 de l’emploi, du recrutement et de la formation sur Internet en France), ont interrogé les français actifs en poste et en recherche d’emploi via l’institut Yougov. Objectif : connaitre l’impact de cette augmentation sur leur quotidien et leurs aspirations professionnelles. Voici les résultats :

79% des Français en poste ont vu leur budget transport augmenter pour se rendre sur leur lieu de travail lors des 12 derniers mois
- Face à constat seulement 16% des sondés ont changé de moyen de transport pour aller travailler
- Seuls 8% estiment que leur employeur a pris des mesures pour faciliter le trajet domicile/travail 
- Et 27% déclarent qu’ils pourraient changer d'emploi pour travailler plus près de chez eux
- Parallèlement, 81% des Français en recherche d’emploi pourraient être découragés de postuler à une offre loin de chez eux en raison de la hausse du prix des carburants

Paris, le 17 novembre 2018 – Alors que la hausse du prix des carburants est un sujet d’inquiétude pour de nombreux Français, RegionsJob/ParisJob a cherché à savoir si cela pouvait avoir un réel impact sur le quotidien et les aspirations des actifs en poste et en recherche d’emploi. 
Premier constat, les Français en poste sont 79% à avoir vu leur budget transport augmenter pour se rendre sur leur lieu de travail lors des 12 derniers mois. Ils sont même 24% à juger qu’il a « fortement augmenté ». Sur le panel vivant en région parisienne, ils sont 90% à estimer qu’il a augmenté.
Face à ce constat, seuls 16% des personnes interrogées en poste ont changé de moyen de transport pour aller travailler. Entre 18-24 ans, ils sont 30%.

Du côté des employeurs, selon la perception des salariés, peu ont pris des mesures pour aider leurs collaborateurs. Le panel d’individus en poste estime que seuls 8% d’entre eux ont mis en place des initiatives pour les soutenir et compenser cette hausse (primes, télétravail, participation à l'achat d'un vélo, incitation au covoiturage, etc). Le constat varie sensiblement sur le panel vivant en région parisienne avec 10% et celui des 18-24 ans avec 22%. 

L’augmentation du prix des carburants a des conséquences directes sur la recherche d’emploi. En effet, 81% des interrogés en recherche d’emploi pourraient être découragés de postuler à une offre si elle est loin de chez eux. Ils sont même 58% à dire qu’ils ne postuleraient « certainement pas ». 

Parallèlement, plus d’un quart des sondés en poste (27%) pourraient changer d'emploi pour travailler plus près de chez eux (11% déclarent qu’ils pourraient changer « très certainement » d’emploi pour se rapprocher de chez eux). 
Les 25-34 ans en poste répondent quant à eux qu’ils pourraient changer à 34%. Plus tranché encore, 44% des 18-24 ans déclarent la même chose que leur aîné.


          Méthodologie :

      * L'enquête a été réalisée sur 1002 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 

       18 ans et plus. Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire YouGov France du 8 au 9 novembre

       2018.


Plus de détails disponibles sur demande au service de presse. 

A propos d’HelloWork qui édite RegionsJob :
HelloWork, acteur majeur de l’emploi, du recrutement et de la formation sur Internet en France, accompagne les actifs tout au long de leur vie professionnelle, les entreprises, cabinets de recrutement et ETT sur leurs enjeux RH et recrutement et les centres de formation sur la valorisation de leurs offres.
Fort de 250 collaborateurs, 38 millions € de commandes en 2017 et 18 années d’expérience, les différentes plateformes d’Hellowork réunissent plus de 4 millions de Visiteurs Uniques par mois (Médiametrie//NetRatings - Mesure Internet Global – Mars 2018). HelloWork a généré plus de 11 millions de mises en relation candidats-recruteurs auprès de 10.000 entreprises en 2017.
HelloWork édite : 
- les plateformes emploi et recrutement : Regionsjob.com ; Parisjob.com ; Cadreo.com ; Bdmjob.com et Jobijoba.com
- les plateformes dédiées à la formation professionnelle MaFormation.fr et Bdmskills.com
- Blogdumoderateur.com, le media de référence pour les professionnels du web : ressources, outils, décryptages et actualités
HelloWork est également actionnaire de référence de la société Aladom, le spécialiste de l’emploi et du recrutement pour les services à la personne et du jobbing qui édite les plateformes Aladom.fret Jemepropose.com.
HelloWork développe des logiciels RH pour accompagner et favoriser l'expérience recruteur et candidat  sur l'intégralité des process de recrutement : CVCatcher, logiciel RH de captation de CV,Talent Detection, solution de gestion de candidatures et Talentplug, solution de multi-diffusion d’offres d’emploi et de stages. Jobijoba équipe également plus de 40 collectivités locales, dont la ville de Paris, en plateformes emploi.

 

 

et merci à Pierre-Jean Llorens pour son active participation à cette revue d'actualité ...

 

17 novembre: cette symbolique du gilet jaune que vous ignorez

image.png

 

image.png

 

image.png

 

image.png

 

image.png

 

image.png

 

image.png

 

image.png

 

image.png

 

image.png

 

 

image.png

image.png

 

image.png

 

 

 

Prix ​​de l'essence,

image.png

 

Attention ces graphiques ne prennnent même pas en compte le niveau de vie du pays ou son éloignement ou encore son indépendance énergetique. Mais ce que ces graphiques vous disent est que vous vous faites "entuber" (au sens pipe-line). Ainsi même le Luxembourg, grande lessiveuse bancaire, est moins cher. Pas étonnant que les voitures de police et gendarmeries françaises s'y rendent pour faire le plein...

Moralité, le gouvernement Macron se moque TOTALEMENT des Français et ne veut qu'une seule chose, les appauvrir au point qu'il leur reste juste assez pour survivre et aller travailler.

Seule solution pour les Français aujourd'hui: renverser ce gouvernement de technocrates AVANT qu'ils ne se retrouvent au RSA et sans domicile à cause de tous ces impôts et taxes.

PS: vous avez remarqué que les journa**** de BFM, etc., se sont bien gardé de vous donner ces graphiques, se contentant de vous dire qu'en Italie l'essence est plus chère, oubliant de parler des autres pays évidemment. Manipulation des médias sous vos yeux... 

PS2: comme vous pouvez le voir, c'est la politique grecque qui est appliquée à la France. La hausse massive de l'essence à Athènes avait été décidée par Berlin pour que le pays rembourse ses dettes, je le rappelle. 

PS3: s'il y a des statisticiens parmi vous, je vous invite à nous faire un joli graphique comparatif entre niveau de vie et prix du Big Mac, voici les liens sur le prix monde via Statista et sur le BI qui a pris le tableau de l'UBS.

 

 

Hausse du prix des carburants : 8 Français sur 10 découragés de postuler à un emploi

 

Hausse du prix des carburants : 27% des actifs en poste pourraient changer d’emploi pour travailler plus près de chez eux!

Enquête Yougov pour RegionsJob/ParisJob

En cette période de contestation et de mobilisation citoyenne sans précédent contre la hausse du prix des carburants, RegionsJob/ParisJob (plateformes éditées par HelloWork, le n°2 de l’emploi, du recrutement et de la formation sur Internet en France), ont interrogé les français actifs en poste et en recherche d’emploi via l’institut Yougov. Objectif : connaître l’impact de cette augmentation sur leur quotidien et leurs aspirations professionnelles. Voici les résultats :

79% des Français en poste ont vu leur budget transport augmenter pour se rendre sur leur lieu de travail lors des 12 derniers mois
- Face à constat seulement 16% des sondés ont changé de moyen de transport pour aller travailler
- Seuls 8% estiment que leur employeur a pris des mesures pour faciliter le trajet domicile/travail 
- Et 27% déclarent qu’ils pourraient changer d'emploi pour travailler plus près de chez eux
- Parallèlement, 81% des Français en recherche d’emploi pourraient être découragés de postuler à une offre loin de chez eux en raison de la hausse du prix des carburants

Paris, le 20 novembre 2018 – Alors que la hausse du prix des carburants est un sujet d’inquiétude pour de nombreux Français, RegionsJob/ParisJob a cherché à savoir si cela pouvait avoir un réel impact sur le quotidien et les aspirations des actifs en poste et en recherche d’emploi.


Premier constat, les Français en poste sont 79% à avoir vu leur budget transport augmenter pour se rendre sur leur lieu de travail lors des 12 derniers mois. Ils sont même 24% à juger qu’il a « fortement augmenté ». Sur le panel vivant en région parisienne, ils sont 90% à estimer qu’il a augmenté.
Face à ce constat, seuls 16% des personnes interrogées en poste ont changé de moyen de transport pour aller travailler. Entre 18-24 ans, ils sont 30%.

Du côté des employeurs, selon la perception des salariés, peu ont pris des mesures pour aider leurs collaborateurs. Le panel d’individus en poste estime que seuls 8% d’entre eux ont mis en place des initiatives pour les soutenir et compenser cette hausse (primes, télétravail, participation à l'achat d'un vélo, incitation au covoiturage, etc). Le constat varie sensiblement sur le panel vivant en région parisienne avec 10% et celui des 18-24 ans avec 22%. 

L’augmentation du prix des carburants a des conséquences directes sur la recherche d’emploi. En effet, 81% des interrogés en recherche d’emploi pourraient être découragés de postuler à une offre si elle est loin de chez eux. Ils sont même 58% à dire qu’ils ne postuleraient « certainement pas ». 

Parallèlement, plus d’un quart des sondés en poste (27%) pourraient changer d'emploi pour travailler plus près de chez eux (11% déclarent qu’ils pourraient changer « très certainement » d’emploi pour se rapprocher de chez eux). 
Les 25-34 ans en poste répondent quant à eux qu’ils pourraient changer à 34%. Plus tranché encore, 44% des 18-24 ans déclarent la même chose que leur aîné.


Méthodologie :
* L'enquête a été réalisée sur 1002 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 
18 ans et plus. Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire YouGov France du 8 au 9 novembre 2018.

Plus de détails disponibles sur demande au service de presse. 

A propos d’HelloWork qui édite RegionsJob :
HelloWork, acteur majeur de l’emploi, du recrutement et de la formation sur Internet en France, accompagne les actifs tout au long de leur vie professionnelle, les entreprises, cabinets de recrutement et ETT sur leurs enjeux RH et recrutement et les centres de formation sur la valorisation de leurs offres.
Fort de 250 collaborateurs, 38 millions € de commandes en 2017 et 18 années d’expérience, les différentes plateformes d’Hellowork réunissent plus de 4 millions de Visiteurs Uniques par mois (Médiametrie//NetRatings - Mesure Internet Global – Mars 2018). HelloWork a généré plus de 11 millions de mises en relation candidats-recruteurs auprès de 10.000 entreprises en 2017.
HelloWork édite : 
- les plateformes emploi et recrutement : Regionsjob.com ; Parisjob.com ; Cadreo.com ; Bdmjob.com et Jobijoba.com
- les plateformes dédiées à la formation professionnelle MaFormation.fr et Bdmskills.com
- Blogdumoderateur.com, le media de référence pour les professionnels du web : ressources, outils, décryptages et actualités
HelloWork est également actionnaire de référence de la société Aladom, le spécialiste de l’emploi et du recrutement pour les services à la personne et du jobbing qui édite les plateformes Aladom.fret Jemepropose.com.
HelloWork développe des logiciels RH pour accompagner et favoriser l'expérience recruteur et candidat  sur l'intégralité des process de recrutement : CVCatcher, logiciel RH de captation de CV,Talent Detection, solution de gestion de candidatures et Talentplug, solution de multi-diffusion d’offres d’emploi et de stages. Jobijoba équipe également plus de 40 collectivités locales, dont la ville de Paris, en plateformes emploi.

 

 

 

 

Activité des artisans d'Auvergne-Rhône-Alpes / Tendance à la stagnation

La dernière étude de conjoncture conduite par les CAPEB d'Auvergne-Rhône-Alpes pour mesurer le ressenti et le moral des chefs d'entreprise confirme les résultats présentés par la CAPEB nationale. La reprise d'activité en Auvergne-Rhône-Alpes reste fragile avec des indicateurs qui stagnent par rapport au trimestre précédentPour relancer l'activité de manière pérenne et durable, la CAPEB attend des mesures stables et fortes notamment pour favoriser les travaux de performance énergétique.

Dominique Guiseppin, Chef d'entreprise artisanale de peinture (Département de Savoie), Président de la CAPEB Auvergne-Rhône-Alpes « Même si le niveau d'activité se maintient ce trimestre, nous pouvons être inquiet pour l'avenir, à la lecture du projet de loi de finances 2019. Celui-ci prévoit notamment, l'exclusion de tous les ouvrants (portes, fenêtres, volets...) du champ du CITE (Crédit d'impôt pour la transition énergétique), la suppression du taux réduit de la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques)et bien d'autres encore. Concernant la hausse du carburant,celui-ci constitue un poste significatif dans les charges de nos entreprises artisanalesLeurs marges  sont déjà très réduites et on constate ce trimestre qu'elles baissent pour 20% des entreprises. C'est pourquoi, la CAPEB se bat au quotidien pour faire entendre à nos élus politiques la voix de l'artisanat et de la ruralité.

Un niveau d'activité et une visibilité qui reste positifs ce trimestre

36% d'entre eux relèvent un bon, voire un très bon niveau d'activité (3%)Cependant, la reprise reste toujours inégale puisque 27% déplorent encore des difficultés. C'est particulièrement le cas pour près d'1/3 de maçons, couvreurs-zingueurs et des entreprises tous corps d'états.

Au niveau des carnets de commandes, la visibilité reste bonne, même si elle diminue légèrement par rapport au trimestre précédent. Elle restesupérieure à 3 mois pour 46% des chefs d'entreprise, ou entre 1 et 3 mois pour 37%. Les couvreurs-zingueurs, les maçons, les charpentiers et les carreleurs sont les métiers qui ont la meilleure visibilité, avec plus de 70% d'entre eux qui ont une visibilité supérieure à 3 mois.

Les indicateurs financiers toujours fragiles

La tendance est à la stabilité pour plus d'un artisan sur deux. Les chefs d'entreprise dont le chiffre d'affaires baisse sont moins nombreux ce trimestre (15% au lieu de 18%).

Au niveau de la trésorerie, la situation reste très partagée1/3 relèvent une trésorerie bonne ou très bonne, 1/3 une trésorerie stable, 1/3 une trésorerie insuffisante.

Les marges, elles, restent toujours problématiques. Peu élevées dans l'ensemble, elles stagnent pour 71% des entreprises et diminuent même encore pour 20% d'entre elles.

Seules 8% constatent une amélioration, chiffre encore en baisse par rapport au trimestre précédent de 2 points.

Des difficultés de recrutement qui persistent

39% des entreprises ayant répondu ont des projets de recrutement. Par rapport au trimestre précédent, les prévisions d'embauche en CDI baissent au profit de celles en CDD, respectivement 48 % (- 10 points) et 41% (+ 5 points). Elles sont toujours confrontées à des difficultés de recrutement et déplorent toujours un manque de main d'œuvre qualifiée. En Auvergne-Rhône-Alpes, près de 200 postes sont à pourvoir.

Retrouvez les résultats complets de l'enquête sur le site de la CAPEB Auvergne-Rhône-Alpes

À propos de la CAPEB Auvergne-Rhône-Alpes 

La CAPEB, Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment, est le syndicat patronal représentant l'artisanat du Bâtiment, lequel dénombre en Auvergne-Rhône-Alpes 68 000 entreprises artisanales (98% des entreprises de la branche) et 76 000 salariés, dont 100 apprentis. Il représente également 10,5 milliards de chiffre d'affaires (64% du total de la branche).

Contact presse : Sandrine Bouton - Chargée de communication
Tél. 04 72 85 06 66 – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser._body" class="adr black-to-orange contextEntry" target="_blank" style="border: 0px; color: rgb(68, 68, 68); text-decoration-line: none;">Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

www.capeb-auvergnerhonealpes.fr / Suivez nous également sur Facebook et Twitter @capebaura

1