https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11752?xtor=EPR-100
La mise en place du prélèvement à la source qui était prévue au 1er janvier 2018 va être
reportée au 1er janvier 2019. Ce report doit permettre d'organiser un audit et une expérimentation afin de mieux évaluer ce que le prélèvement à la source implique pour les collecteurs, notamment les entreprises. C'est ce qu'a annoncé le Premier ministre mercredi 7 juin 2017.
Les modalités d'imposition pour 2018 resteront donc inchangées par rapport à celles en vigueur en 2017, les dispositifs concernant l'année de transition étant reportés d'un an.
À noter :
La mise en œuvre de ce report doit faire l'objet de mesures législatives et réglementaires.
Rappel :
Le prélèvement à la source consiste à prélever l'impôt directement sur les revenus au moment de leur perception.
Et aussi sur service-public.fr
Pour en savoir plus
Merci à Pierre-Jean Llorens pour cet article :
Une enquête réalisée en mai 2017 (*) révèle un désamour croissant des hommes français envers leurs compatriotes féminines au profit des femmes d'origine étrangère. Ils sont même 57% à préférer se mettre en couple avec une étrangère plutôt qu'avec une française pour une relation sérieuse. Une tendance qui confirme l'accroissement des couples de nationalités mixtes et de la mobilité internationale, sous fond de « mondialisation des relations amoureuses ».
72% des hommes trouvent les femmes françaises trop exigeantes et difficiles
D'où provient ce désamour pour les femmes françaises ? « Probablement de la perception qu'ont les hommes de leurs comportements dans la séduction. Les femmes françaises sont parmi les plus difficiles à séduire, et les hommes français, latins, susceptibles, souffrent beaucoup de cette situation, souvent dans le plus grand silence, par fierté. » explique Samuel Quinconneau le fondateur de www.rencontre-exotic.com un réseau de troisplateformes leaders en France pour les célibataires préférant réaliser des rencontres sèrieuses à l'international.
97% des hommes interrogés pensent que «les femmes françaises ne traitent pas les hommes avec respect sur les sites de rencontres», et ils sont 72% à penser qu'elles sont « trop exigeantes ».
Une explication confirmée par la grande enquête réalisée par le site de rencontres Badoo en 2012 (**) et qui place les femmes françaises comme étant les plus difficiles à séduire sur les sites de rencontres parmi les européennes.
Les femmes étrangères séduisent davantage et sont réputées « plus faciles à vivre »
« Moi qui n’était ni beau, ni riche, ni un Don Juan, je n’en revenais pas de me retrouver aux bras d’une splendide jeune femme d’origine Kazakh.. j’ai bien senti l’étonnement autour de moi..mêlé à un peu de jalousie ! Et puis elle est si gentille et si douce." témoigne gêné cet homme célibataire, ancien timide, converti lui aussi aux joies des amours exotiques, et pour qui se remettre en couple avec une française est désormais quasiment exclu.
A la question « Pensez-vous que les femmes étrangères sont plus faciles à vivre que les françaises ? », les hommes interrogés sont même 92% à acquiescer ! Les femmes étrangères seraient « plus aimantes » à 63% et « plus aptes à les rendre heureux » à 59%.
Une opinion que la science semble confirmer dans une étude (***) publiée en 2006 dans le journal Psychological Science et qui montre que plus le patrimoine génétique est différent entre un homme et une femme et plus l'attirance est forte.
L'herbe serait-elle plus verte ailleurs ? Et les amours plus florissants ? Pas forcément, puisqu'il ne s'agit que d'une opinion de la part des hommes célibataires français qui ne traduit pas forcément une réalité. Les femmes françaises, qui ne manquent ni de charmes ni d'atouts, ont le choix entre s'assumer telles qu'elles sont ou se remettre en question pour redorer leur réputation face à « la concurrence étrangère » dans un contexte de mondialisation de nos relations amoureuses.
En savoir plus sur l'enquête :
« Femmes françaises VS Femmes étrangères : la perception des hommes célibataires français »
Contact presse :
Samuel Quinconneau
e-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser._body" class="adr black-to-orange contextEntry" target="_blank" style="border: 0px; color: rgb(68, 68, 68); text-decoration-line: none;">Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
tél : 06 12 25 34 70
Fondateur de sites de rencontres sérieuses à l'international
(*) Sondage réalisé en mai 2017 auprès de 1857 membres masculins du réseau de sites de rencontres www.rencontre-exotic.com
(**) Sondage réalisé par le site de rencontres www.Badoo.com en octobre 2012 auprès de ses membres féminins
(***) Etude menée par la psychologue Christine Garver-Apgar, de l'université de New Mexico à Albuquerque, aux Etats-Unis, en 2006 et publiée dans Psychological Science
LES FRANCAIS ET LEURS HABITUDES ALIMENTAIRES
Si la consommation des Français reste largement traditionnelle, ils adoptent progressivement de nouvelles tendances alimentaires.
http://www.sillon38.com/blog/tag/habitudes-alimentaires/
- Le nombre de petits-déjeuners pris à l’extérieur augmente de 10 % en 2016
- Les repas pris au domicile changent de structure avec une contraction du nombre d’entrées et de desserts.
- Les marchés de la charcuterie et de la viande connaissent une baisse importante de leur consommation.
LES FRANÇAIS PRENNENT GOÛT AUX REPAS HORS DOMICILE
Les Français accordent un poids important à la consommation alimentaire à domicile avec seulement 25 % des repas pris à l’extérieur. Nouveauté majeure en 2016, on observe une hausse de 10 % du nombre de petits-déjeuners pris à l’extérieur.
La tendance hors domicile influence également la composition de ce repas qui évolue vers des produits plus pratiques, parfois plus gourmands, en particuliers chez les Millennials,enfants du millénaire qui mangent plus souvent que leurs aînés à l’extérieur. Malgré cela, le premier repas de la journée reste l’emblème de la consommation à la maison puisque 97 % des Français prennent six des sept petits-déjeuners de la semaine chez eux.
LA STRUCTURE DES REPAS SE MODIFIE
Le traditionnel quatuor entrée, plat, fromage et dessert se fragilise avec une contraction du nombre d’entrées (- 10,2 millions d’entrées chaque semaine vs 2014) et de desserts (- 8,4 millions de desserts chaque semaine vs 2014).
En cause, une recherche de plus de praticité, qui entraîne également un essor de l’apéritif (+ 1 million d’apéritifs chaque semaine vs 2014), une tendance encore plus marquée chez les Millennials. enfants du millénaire
Le snacking gagne également du terrain et représente 19 % de la consommation à domicile. À titre de comparaison ce chiffre s’élève à 28 % au Royaume-Uni.
BAISSE DE LA CONSOMMATION DE VIANDE ET DE CHARCUTERIE
La perte de vitesse des entrées et des desserts, ainsi que la prise en compte grandissante par les consommateurs des questions de sécurité sanitaire et de l’impact de leurs achats sur l’environnement induisent une baisse de la consommation de viande et de charcuterie. Plus largement, tous les marchés concernés par les repas doivent se réinventer, à l’image des fruits.
Pénalisé par la baisse des desserts, le marché des fruits a réussi à se dynamiser et connaît aujourd’hui une consommation en hausse sur les autres moments.
Les industriels doivent donc se diversifier pour mieux surfer sur les tendances émergentes de consommation et s’y installer au plus tôt.
Une réforme de la tarification va entraîner une baisse des dotations annuelles allouées dans le public
http://www.lest-eclair.fr/27479/article/2017-06-07/moins-200-millions-pour-les-maisons-de-retraite
La Fédération hospitalière de France (FHF) demande au nouvel exécutif un moratoire sur une réforme, s’appliquant depuis le 1er janvier 2017, qui va selon elle, fragiliser l’accompagnement des 300 000 personnes âgées accueillies en maison de retraite publique en obligeant de nombreuses structures à réduire leur personnel.
La loi sur l’adaptation de la société au vieillissement, entrée en vigueur en 2016, est centrée sur le maintien à domicile des personnes âgées en perte d’autonomie, mais elle comprend également des mesures visant à harmoniser et rendre plus transparente la tarification des maisons de retraite.
Un décret d’application, publié en décembre 2016, prévoit un nouveau mode de calcul pour les budgets dépendance des établissements, financés majoritairement via l’allocation personnalisée à l’autonomie (APA) versée par les départements, souligne la FHF.
La section dépendance permet le financement des prestations d’aide et de surveillance, pour l’accomplissement des actes ordinaires de la vie courante : psychologue, aide-soignant, etc.
Jusqu’à présent, ce budget était négocié avec le conseil départemental, selon les besoins et les particularités de la maison de retraite et de ses résidents.
Avec la réforme tarifaire les conseils départementaux distribueront un budget dépendance moyen entre tous les Ehpad, sans prise en compte des disparités regrette la FHF.
Lecture différente chez le syndicat national des établissements privés S’il se veut plus juste au travers d’une équation dite objective ce nouveau mode de calcul implique une importante ponction de l’enveloppe destinée aux maisons de retraite publiques alerte la FHF.
Les 200 millions qui leur seront retirés seront redistribués aux autres établissements, sans exigence particulière .
Le Syndicat national des établissements et résidences privés pour personnes âgées (Synerpa) a fait une lecture différente de cette réforme attendue depuis des années de bon sens, de simplification, qui prend en compte des paramètres objectifs .
http://www.synerpa.fr/454-tarification_des_ehpad_les_dernieres_publications_-2.html
Ce dispositif se met en place sur sept ans, la convergence tarifaire devant être réalisée pour 2023 a précisé la déléguée générale du Synerpa, Florence Airnaiz-Maumé.
Selon elle, la plupart des établissements vont y gagner car on a aujourd’hui environ 6500 établissements publics, associatifs ou commerciaux qui sont sous la norme de financement aussi bien sur la dépendance que sur le soin (financé par l’Assurance-maladie). |