de France Lumiere - UNE VERSION PAPIER de la "TOILE DE VOTRE RESEAU" vient de sortir pour 12,99 € - dédicace par l'auteur sur le salon du DEVCOM A LYON ENTRE 11 ET 11H30 LE 19 MARS 2014 C CCI LYON
http://www.amazon.fr/France-Lumi%C3%A8re/e/B00AHVC1C2/ref=ntt_athr_dp_pel_1
La meilleure des recettes : s'avérer malhonnête, escroc, mauvais payeur, profiteur, exploiteur. C'est donc bien pire encore que le mensonge, le manque de parole, de fiabilité, d'éducation, d'éthique, de valeur. Alors narrons une histoire qui illustre parfaitement ce qu'il faut faire pour se voir rayer définitivement de la toile imprimée. Chacun sait en
effet qu'il est toujours plus difficile de se créer une bonne notoriété rapidement que de quitter un habit détestable de la mauvaise réputation sur du long terme.
Relatons un personnage, en profession libérale, qui s'entoure de divers collaborateurs freelances, spécialistes de la communication écrite. Pour alimenter la publication sur le web d'un hebdomadaire, ainsi qu'un magazine papier, ce personnage sollicite de ses prestataires, selon un cadencement calendaire précis, des articles avec photos. Des mois durant, il offre à ses sponsors, clients publicitaires, abonnés, des reportages de qualité.
Tout semble tourner comme sur des roulettes. Vient toutefois le moment de payer. Une partie du contrat est rempli par les correspondants locaux : la production rédactionnelle est réalisée et surtout publiée. Semaine après semaine, le téléphone sonne dans le vide. Les mails restent sans réponse. Les uns après les autres, les rédacteurs s'interrogent sur cette pratique. Un mois, deux mois, trois mois, quatre mois passent. Rien ne vient. Certains se renseignent, se mobilisent, agissent.
Le sentiment sur lequel les mots s'inscrivent : « il se paye notre tête ». En effet, à défaut de régulariser les factures légitimement émises, il persiste à adresser des incitations à de nouveaux écrits. Le calendrier des productions reste vide. Les hebdomadaires continuent à paraître.
Si d'aventure cet entrepreneur peu scrupuleux s'aventurait sur les réseaux pour rechercher d'autres pigeons, il est fort à parier qu'un vent de rébellion se leverait pour couper court à cette nouvelle tentative d'escroquerie. Le mal est déjà fait. D'autres ne se feront pas piéger. Le monde des rédacteurs est petit, tout se sait. Jusqu'au jour où quelqu'un paraitra au bas de sa porte.
France Lumiere