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LA TOILE DE VOTRE RÉSEAU - Les Réseaux Sociaux Professionnels : pour quels objectifs ?

 

 I) Pourquoi un Réseau Social Professionnel ? 

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La première des questions : pourquoi faire ? La seconde : dans quel(s) but(s) et quel(s) objectif(s) ? Qu’est-ce qui peut bien pousser une personne à

vouloir se créer son propre Réseau ou à vouloir en rejoindre un autre ?

Quelle est la réelle utilité de ces réseaux ? À quoi servent-ils ? Est-ce un passage obligé pour exister ? Voilà des questions que nombre  d’internautes doivent se poser face à l’embarras du choix. Pas de recette miracle. Chacun doit se faire sa propre opinion. Il faut se poser les bonnes questions : ce que je suis et vers où je veux aller. Quel chemin dois-je emprunter pour y parvenir ? L’un de ces chemins passe-t-il par des réseaux ? Si oui, lesquels ? Pourquoi ? Comment ? Qu’est-ce qui les distingue les uns des autres ?

Chacun va alors farfouiller et creuser la question. Faut-il apparaître sur plusieurs ou sur un seul de ces réseaux ? Là encore, il faut savoir se positionner sur son marché, sa situation à un moment donné et connaître précisément ses attentes. En effet, au-delà des possibilités qu’offrent ces réseaux, un minimum d’implication et de sérieux sont nécessaires pour donner un réel sens à cette démarche de visibilité.

Une chose est sûre : tous ces réseaux répondent à certaines règles. Hormis les contingences techniques et le temps nécessaire incontournable, mais programmable, il y a surtout le « profil » que l’on souhaite donner, l’image que l’on désire avoir, la cohérence pour faire un tout : être un professionnel reconnu. Et surtout ne pas oublier la règle prédominante : « donner pour recevoir »… ; c’est certainement le tout premier « travail pratique » à réaliser pour être en phase avec soi-même : ai-je un brin d’empathie ?

Mais avant toute chose, considérons la nature et ce dont l’homo sapiens aurait fort à gagner à se rapprocher de ses modèles miniatures !
Devinette ! Ils sont petits, font « crrrrr » ou « bzzzz », un peu comme dans la pub pour les éradiquer. Avec des pattes pour les premiers, des ailes pour les autres ! Mais sur la ligne d’arrivée, ils sont ex aequo et l’homo sapiens est l’un des bons derniers de sa classe !

Entre les deux, beaucoup d’espèces se distinguent : les orangs-outangs plus proches des homo sapiens. Ces colonies, communautés, réseaux sont soudés, solidaires, conscients que l’union fait la force ! Ils ont chacun leur rôle, interchangeable, pour cette vie sauvegardant la cohésion de la vie sociale et la survie de chacun.

Vous les avez reconnus ? Allez, un petit effort ! Les abeilles et les fourmis bien sûr sans parler des termites ! Les unes sont nourricières, couveuses, chasseurs, soldats, les autres aérateurs, transporteurs, producteurs. Une merveille de la nature !

Les quelques peuples non encore exploités, supprimés, dépaysés, éradiqués, exterminés, pratiquent encore et toujours, de façon ancestrale, cette coutume qu’ils ont dans leurs gênes (contrairement à d’autres homo sapiens, soi-disant plus évolués et plus intelligents).

Dans les coins du monde les plus reculés et inaccessibles par les modes de locomotions modernes, ces peuples connaissent encore la solidarité. Les pays les plus pauvres préservent, tant qu’ils ne sont pas touchés par les conquérants voraces de pouvoir, ces valeurs humaines. Où est la normalité ? Force est de constater que les efforts sont inverses dans tous les pays industrialisés et évolués comme certains aiment à se prévaloir fièrement.

La communauté des hommes, depuis leurs origines, a nécessité des règles de vie ensemble, des codes de conduite et de comportement, un langage social et gestuel. La perception de l’ensemble et leurs applications varient en fonction de l’éducation retransmise et acceptée.

Pour que tous ces humains puissent communiquer, entretenir des rapports sociaux, il est nécessaire que tous partagent certaines valeurs humanistes telles que l’éthique du respect d’autrui, la valeur de la parole donnée, l’honnêteté dans ce qui est dit et fait. Les liens humains engagent les uns vis-à-vis des autres. Quand l’osmose est parfaite, l’entente conviviale, voire amicale, le réseau social trouve sa raison d’être. Des regroupements sont possibles et génèrent des actes plus altruistes.

Cela implique une certaine maturité personnelle de chacun pour parvenir à un réseau social pérenne et durable. La relation humaine durable implique en effet une constante dans le temps. S’il s’agit d’une stratégie opportuniste de répondre aux codes et valeurs de ses congénères, chassez le naturel, il revient vite au galop. Alors, gare au retour de vestes !

Une toile d’araignée : voilà à quoi pourrait ressembler, vu de haut, un réseau d’humains. Les ramifications sont nombreuses, les voies à emprunter pour couvrir toute la surface de la toile sont multiples. Tel un tableau, chaque couleur que constitue la représentation d’un membre donne un effet d’ensemble. Une toile d’araignée ainsi construite est ainsi bâtie pour recevoir et capter toutes les informations extérieures qui viendront nourrir ses occupants.

Cela revient donc à dire que pour qu’un réseau ait un sens, il ne faut pas uniquement se cantonner à tisser des liens : il faut surtout les fidéliser, solliciter, animer, relancer, dynamiser en permanence. Pour ce faire, partager ses informations, ses tuyaux, ses connaissances, ses interrogations, sensibiliser sont les verbes d’action à employer.

Comment en effet appeler un Réseau Social si tout est uniquement basé sur la notion restrictive de mise en « contact » ? Un Réseau est-ce uniquement cela ? Non. C’est bien plus encore.

L’un des challenges des sites Réseau tels que Viadeo, LinkedIn et d’autres comme Facebook, est de parvenir à mobiliser l’attention, à inciter les réactions dans des débats de société parfois très ouverts, des forums de discussion. Personne n’ignore que l’on s’expose sur internet avec ses écrits et ses photos. La vigilance impose donc souvent une grande neutralité voire un non-engagement tout simplement. Mais pas seulement.

L’apathie : mot apparu au XVIIIe siècle et dérivé du nom apathie (« absence de réaction »), lui-même venant a priori du grec ancien apatheia (« impassibilité ») peut définir certains de ces comportements nonobstant le manque d’intérêt pur et simple.

C’est pourtant à partir des échanges d’idées que les choses avancent. Certes, les échanges et joutes verbales ne se font plus spécialement autour d’un bon verre dans les bistrots. Sans être une période révolue, il faut tout de même bien constater que le béret, la baguette de pain et le coup de rouge passent un peu de mode, sauf dans les profondes campagnes où internet n’a pas encore sévi.

Mais quelle que soit la forme que peuvent prendre ces débats et le nom que l’on peut leur donner, ce qu’il faut retenir c’est qu’un certain nombre d’individus vont se croiser et dialoguer entre eux et ça c’est l’une des richesses des réseaux sociaux à apprécier.

Le réseau, au sens large, est constitué de toutes les personnes qui vous entourent tout au long de votre vie privée, sociale (activité sociale, culturelle, sportive…) et professionnelle (collègues, ex-collègues, anciens responsables, responsables actuels, clients, fournisseurs).

Notre vie sociale, en particulier depuis les années 1990, connaît une transformation, en grande partie due à l’évolution du marché du travail. Le chômage et la crise mondiale amènent chaque pays et ses habitants à s’adapter comme à chaque période de guerre. Qu’il s’agisse de la guerre par le feu où des millions de soldats et de civils perdent la vie, qu’il s’agisse d’une guerre économique entre toutes les grandes puissances, les victimes se comptent par millions : suicides, exclus, sans-abri, etc.

Les Hommes doivent, de tout temps, s’adapter à leur environnement, changer leur mode de vie, se coller aux règles de survie, qu’il le veuille ou non. Certains peuvent plus facilement le réaliser que d’autres. C’est pourquoi la solidarité prend tout son sens. Savoir changer de métier, de secteur d’activité, de statut.

Quant à la mutation sociale professionnelle, l’évolution, la transformation est en cours. Quand le train est en marche, il faut savoir le prendre au bon moment. Seulement aujourd’hui, certains sont capables de le saisir au passage, voire de monter dedans à l’arrêt, mais une majorité de passagers potentiels n’ont pas été préparés à cet exercice de haut vol.

Sans compter qu’il ne faut pas se tromper de compartiment. Certaines catégories professionnelles vont être plus concernées que d’autres. Les techniciens, assimilés-cadres et cadres auront en première classe à vivre un traitement particulier comme au XIXème et XXème siècle, mais cette fois sans doute pas à leur avantage.

La mutation pousse vers l’extérieur de l’entreprise tout le lest des salariés qui pèse par le poids entre autres de l’âge et de l’expérience et donc de salaire. Plus le CV est lourd et l’âge avancé, plus l’ex-salarié doit, pour exister et vivre de son métier, se créer sa propre activité, société, micro-entreprise. Tous les statuts sont à sa portée de main. Mais est-il prêt à faire le grand saut pour devenir lui-même un entrepreneur sans y être en particulier psychologiquement préparé ?

Un réseau social n’a-t-il alors pas vocation à aider par l’écoute, l’échange, le partage d’idées, de pistes, d’humanité et de solidarité ? L’expérience des uns est très formatrice pour les autres… et normalement facilement accessible par les rencontres.

« Il y a environ 2 500 à 3 000 personnes qui gravitent autour de chaque personne au cours de la vie », selon une citation. Ce réseau est constitué d’un certain nombre de sous-groupes ou de « hubs », de familles de réseau.

« Lorsqu’il s’agit de la vie professionnelle, et de la recherche d’emploi, notamment, le réseau est aussi et avant tout un état d’esprit », explique-t-il, « celui de donner pour recevoir, être dans une dynamique gagnant-gagnant. »

Lorsque l’on fait vivre son réseau, on donne sans forcément calculer et un jour en principe, on reçoit en retour. C’est un peu le principe de la chaîne. Tous ces points seront abordés tout au long de cet ouvrage.



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