avec un grand merci à Pierre-Jean Llorens, toujours fidèle au poste des partages enrichissants :
chef de projet sap sd mm pour un cdi en client final dans le 91
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La Caisse nationale d’allocations familiales a présenté son bilan annuel de la lutte contre la fraude de la branche famille. Comme de nombreuses autres administrations, l’organisme sert d’appât aux escrocs pour piéger leurs victimes. Décryptage.> Lire la suite |
Démarchage en assurance - Une directive européenne, cheval de Troie du retour en force des pratiques toxiques ? > Consulter le billet d'Alain Bazot, Président de l'UFC-Que Choisir |
Plus de 8 Français sur 10 renoncent à certaines de leurs dépenses-plaisirs pour pouvoir maintenir leur budget à l'équilibre |
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Thème #2 : Les contours du plaisir en temps de crises Enquête 3/3 : Plaisir et bien-être, à quel prix ? |
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Les zOOms de l'Observatoire Cetelem continuent d'explorer le plaisir en temps de crises avec un troisième volet d'enquête consacré à sa place dans l'emploi du temps quotidien des Français et leur budget. |
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• 35% des Français refusent de rogner sur leur temps de plaisir, même face à d’autres obligations ; les jeunes sont davantage susceptibles de sanctuariser le temps qu’ils dédient à leur plaisir (46% des moins de 50 ans).
• Une majorité de Français apprécient prendre le temps de se préparer euxmêmes leur repas (68%), ou de faire du lèche-vitrine pour choisir un achat (65%), plutôt que de recourir à la livraison à domicile (respectivement 32% et 35%). • 7 Français sur 10 éprouvent davantage de plaisir à faire une bonne affaire qu’à faire une folie pour s’offrir l’objet de leurs rêves. • Près de 6 Français sur 10 (59%) estiment leur budget plaisir plus faible aujourd’hui qu’il y a six mois.
• 83% des Français déclarent aujourd’hui renoncer à certaines dépenses qui leur feraient plaisir dont plus d’1/4 à la plupart
• Un renoncement temporaire pour une majorité (79%) qui reporteront leurs dépenses-plaisirs à court (34%) ou moyen terme (45%) ; 21% d’entre eux pensent au contraire y renoncer définitivement.
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Le plaisir, une place à part entière dans l’agenda des Français
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Enquête réalisée par Harris Interactive en ligne du 14 au 16 juin 2022. Échantillon de 1 021 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle de et région de l'interviewé(e).
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Retrouvez dans le rapport et la note d'analyse les résultats complets de ce sondage. L'ensemble des éléments sont à télécharger sur le site de l'Observatoire Cetelem |
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Sondage OpinionWay : Lille, Marseille, Nantes…
Les entreprises parisiennes se tournent vers les régions
Résultats du sondage OpinionWay pour Newton Offices
sur l’attractivité des régions auprès des entreprises basées en région parisienne
Avec la crise sanitaire et dans un contexte de fortes tensions de recrutement, les entreprises réinventent leurs conditions de travail pour proposer plus de flexibilité. Face à cette nouvelle donne et selon le sondage OpinionWay réalisé en mai 2022 pour Newton Offices, spécialiste des bureaux flexibles en régions, les PME franciliennes cherchent de plus en plus à développer leur présence hors Île-de-France. Une grande majorité d’entre elles (61%) comptent désormais des salariés vivant en dehors de la région parisienne et 10% prévoient d’ouvrir des bureaux dans les métropoles régionales, avec une préférence pour Lille, Aix-Marseille, Bordeaux et Nantes.
Chiffres clés
● 31% des PME basées en Île-de-France ont déjà au moins un bureau en régions, principalement pour capter une nouvelle clientèle (67%) et pour profiter d’un nouveau bassin d’emploi (27%).
● Parmi les 69% d’entreprises installées uniquement en IDF, un tiers (33%) a permis à certains collaborateurs de partir vivre en régions tout en conservant leur emploi depuis le début de la crise sanitaire. Dans le même temps, plus d’un quart d’entre elles (26%) ont recruté des collaborateurs n’habitant pas en région parisienne.
● 10% des entreprises interrogées envisagent d'ouvrir des bureaux en dehors de la région parisienne à l'avenir, ce qui pourrait représenter jusqu’à 100.000 emplois dans les principales métropoles régionales.
● 21% des sondés proposent à leurs salariés de télétravailler à 100% dont 14% depuis le début de la crise, et 8% prennent en charge un forfait coworking pour leurs collaborateurs vivant en dehors de la région parisienne. Une pratique qui s'accélère, ce chiffre a doublé avec la crise.
Depuis les épisodes de confinement dus au COVID-19, la tentation de quitter la région parisienne pour changer de mode de vie est sur toutes les lèvres. À l’été 2021, on apprenait ainsi que 82% des cadres franciliens souhaitaient quitter Paris(55% d’entre eux se déclarant même prêts à changer de métier pour y parvenir).
Pour Guillaume Pellegrin, Président Fondateur de Newton Offices : “En tant qu’entrepreneur marseillais, je suis convaincu que le pays a besoin d’un mouvement de décentralisation, tant d’un point de vue écologique, qu’économique ou social. Cependant, la recherche d’emploi est le principal frein à la mobilité géographique. Chez Newton Offices, nous observons depuis 2021 une forte hausse des recherches de bureaux à Marseille, Aix-en-Provence, Lyon ou Lille de la part d’entreprises parisiennes. Ce sondage réalisé par OpinionWay confirme donc ce que nous constatons sur le terrain tous les jours. Le COVID a ouvert les yeux non seulement aux travailleurs, mais aussi aux entreprises qui se tournent de plus en plus vers les opportunités que représentent les métropoles régionales.”
La part de salariés vivant hors Ile-de-France en hausse suite à la crise sanitaire…
De plus en plus de salariés décident de quitter la région parisienne, et tentent de conserver leur poste (et leur salaire) parisien. Ainsi, 61% des entreprises interrogées déclarent employer des personnes vivant en dehors de la région parisienne. Par ailleurs, pour 22% des dirigeants sondés, la part des salariés vivant en dehors de la région parisienne a augmenté depuis la crise sanitaire, un chiffre qui monte à 34% chez les entreprises basées dans Paris intra-muros, où le coût et la qualité de vie sont les plus décourageants.
Peu à peu, et plus encore depuis la crise sanitaire, une forme d’hybridation du travail se met en place, avec la prise en charge totale ou partielle des frais de déplacement/hébergement pour 29% des sondés, et la possibilité d’un télétravail à 100% chez 21% des sondés. Certaines entreprises n’ayant pas de bureaux hors d’Ile-de-France ont recours à d’autres solutions pour répondre aux besoins de leurs salariés mais aussi pour remédier aux difficultés de recrutement. Un tiers d’entre elles (33%) ont ainsi permis à certains collaborateurs de partir vivre hors de la région parisienne tout en conservant leur emploi et plus d’un quart (26%) ont recruté des collaborateurs n’habitant pas en région parisienne.
Pour Frédéric Micheau, Directeur des études d’opinion chez OpinionWay : “Au départ, ces projets sont souvent initiés par la décision d’un ou plusieurs salariés de quitter Paris. Leur employeur préfère les accompagner dans leur nouvelle vie plutôt que de perdre des talents dans un marché de l’emploi toujours plus tendu. À terme, mettre en place une stratégie multi-sites a plusieurs avantages pour les entreprises parisiennes : 67% des dirigeants concernés justifient leur choix de s’ouvrir aux régions pour capter une nouvelle clientèle et 27% de profiter d’un nouveau bassin d’emploi“.
… nécessitant l’ouverture de nouveaux bureaux en régions
À l’heure actuelle, 31% des PME franciliennes ont au moins un bureau en dehors de la région parisienne et 10% envisagent d'ouvrir de nouveaux bureaux hors IDF à l'avenir. “C’est énorme !” indique Guillaume Pellegrin. “Au-delà de l’entrepreneuriat local, c’est aussi en attirant des entreprises nationales que les métropoles gagneront en attractivité. Ces projets d’extensions régionales représentent près de 100.000 emplois à répartir aux quatre coins de la France. De quoi redynamiser les métropoles et encourager les Parisiens qui hésitent à franchir le pas de peur que ce changement de vie ne nuise à leur carrière.”
Les zones géographiques les plus recherchées sont Lille (33%), Aix-Marseille (24%) et Bordeaux (22%), suivis de Nantes (16%) et Lyon (12%) où la majorité des sondés compte déjà une implantation (58%).
On note également que cette nouvelle donne induit des enjeux inédits pour les entreprises parisiennes qui voient une part grandissante de leurs effectifs évoluer loin de leurs murs. Ainsi, 29% des entreprises interrogées prennent en charge partiellement ou totalement les frais de déplacement/hébergement de leurs salariés vivant en dehors de la région parisienne et 8% les frais d’espaces de coworking. Une pratique en hausse, ce chiffre a doublé depuis la crise.
“Ce n’est pas parce qu’on souhaite partir vivre ailleurs qu’on est prêts à travailler seul chez soi 5 jours sur 5,” commente Guillaume Pellegrin. “La qualité de l’environnement de travail est primordiale pour le bien-être des salariés, qu’ils travaillent sur site ou à distance. Les espaces de coworking et autres tiers lieux se développent partout en France et constituent un moyen idéal pour proposer des conditions de travail optimales aux salariés isolés. Cela permet aussi de rencontrer du monde et de créer des synergies avec des entreprises locales qui constituent peut-être de futurs partenaires ou clients.”
Conclusion
La crise sanitaire a considérablement impacté l’organisation du travail au sein des entreprises. Le télétravail devient plus fréquent et une part importante des Parisiens cherchent à quitter l’Île-de-France, amenant leurs entreprises à se développer en régions. “De nouveaux horizons s’ouvrent pour les entreprises parisiennes,” commente Guillaume Pellegrin. “Dans notre podcast Extra-Muros, nous interrogeons des entreprises de premier plan qui ont franchi le pas et sont ravies des résultats obtenus, comme Doctolib et Faguo à Nantes ou encore ManoMano à Bordeaux. Elles parviennent à recruter des salariés plus fidèles qu’à Paris, et cela les incite à renforcer leur culture d’entreprise pour que leurs valeurs se transmettent même à distance. La France marche dans les pas d’autres pays comme l’Allemagne qui a depuis longtemps adopté une répartition décentralisée de son économie avec de nombreuses externalités positives (embouteillages, prix de l’immobilier…). De Marseille à Lille en passant par Lyon ou Aix-en-Provence, les équipes de Newton Offices sont fières d’aider les entreprises parisiennes à suivre ce mouvement de fond et d’accompagner le déploiement de l’économie dans les villes et les territoires.”
Méthodologie
Interviews réalisées du 25 avril au 27 mai 2022, auprès d’un échantillon de 300 dirigeants d’entreprises de 50 à 499 salariés basées en Île-de-France, représentatif des entreprises franciliennes de 50 à 499 salariés. OpinionWay a réalisé cette enquête en appliquant les procédures et règles de la norme ISO 20252. Les résultats de ce sondage doivent être lus en tenant compte des marges d'incertitude : 5,6 points au plus pour un échantillon de 300 répondants.
Télécharger l’étude complète
À propos de NEWTON OFFICES (Groupe TIVOLI CAPITAL associé à KKR) :
Créé par Guillaume Pellegrin, fondateur du Groupe TIVOLI CAPITAL, Newton Offices propose des immeubles de travail modulables en régions alliant bureaux privatisables sur-mesure, bureaux flexibles prêts à l’emploi et espaces de coworking. Dédiés aux grands groupes comme aux TPE, les établissements comprennent des espaces totalement privatisables, des bureaux « clé en main », des salles de réunions, des espaces bien-être et détente ainsi que des services de conciergerie qui facilitent la vie au bureau. Un concept répondant aux attentes des entreprises d’aujourd’hui en quête de flexibilité, d’échange et de productivité. Plus d‘informations sur : newtonoffices.com
Baromètre emploi HelloWork
Marché de l’emploi Plus de 4,2 millions d’offres d’emploi proposées au 1er semestre 2022 |
Paris, 6 juillet 2022 – HelloWork, premier acteur digital français de l’emploi et du recrutement, a diffusé 4,2 millions d’offres d’emploi sur sa plateforme de recrutement au 1er semestre 2022. Ses 5 millions de Visiteurs Uniques* chaque mois lui permettent de proposer un panorama complet des dynamiques de l’emploi en France.
Voici un état des lieux de l’évolution du marché de l’emploi depuis le début de l’année 2022 :
Un marché de l’emploi très dynamique au 1er semestre, au-delà du contexte économique |
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Le premier semestre 2022 a vu le volume d’offres d’emploi doubler (+104%) par rapport à la même période en 2021, malgré l’incertitude du contexte économique sur le second trimestre. Les offres en CDI et en CDD connaissent la plus forte augmentation en un an (respectivement +131% et +166%) comparé à la même période en 2021. |
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En progression constante depuis le début de l’année, le nombre d’offres d’emploi a enregistré deux pics majeurs : en mars et en juin. Les entreprises continuent à recruter, en atteste les derniers chiffres de la DARES. Au total, plus de 1,6 million d’offres en CDI et 1,9 million d’offres en Intérim ont été diffusé sur la plateforme HelloWork avec en complément près de 500 000 offres en CDD et plus de 125 000 offres en alternance.
Régions les plus dynamiques : l’Ile-de-France retrouve son leadership, suivie de l’Auvergne-Rhône Alpes et des Pays de la Loire
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L’Ile-de-France continue sa dynamique engagée au premier trimestre 2022, et retrouve la tête du classement des régions qui recrutent le plus. Avec 15% du volume d’offres en CDI, CDD, Alternance et Intérim, la région francilienne gagne 2 points par rapport au premier semestre 2022. Signe de son leadership retrouvé, le volume d’offres d’emploi dans la région a plus que doublé (+135%) par rapport au premier semestre 2021 avec la forte reprise des secteurs du tourisme, de la restauration, de l’évènementiel et de la culture (comparé au premier semestre 2021).
L’Auvergne-Rhône Alpes (2ème) suit de près l’Ile-de-France à la 2ème place, avec 15% du volume national, suivie des Pays de la Loire et de la Nouvelle Aquitaine, respectivement à 10% du volume national d’offres d’emploi.
Parmi les régions qui ont vu leur volume d’offres d’emploi doubler par rapport au 1er semestre 2022, l’Auvergne Rhône-Alpes (+103%), la Nouvelle-Aquitaine (+106%), la Bretagne (+107%), la Bourgogne Franche-Comté (+106%) et les régions du Sud de la France - PACA (+105%), Occitanie (+105%) - se détachent.
Le Grand Paris et Lyon, en tête des métropoles qui recrutent le plus
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La métropole du Grand Paris et celle de Lyon pèsent à elles seules près de la moitié (48%) du volume d’offres en CDI, CDD, Alternance et en Intérim à pouvoir dans ce top 10 des métropoles. Le poids de Lyon dans ce classement reste inchangé, tandis que la métropole parisienne gagne 4 points par rapport au 1er semestre 2021. Une évolution également observée en termes de volume d’offres d’emploi : celui du Grand Paris a plus que doublé en un an, avec 150% d’augmentation.
La métropole d'Aix-Marseille-Provence complète ensuite ce podium avec 11% du volume du top 10, suivie de Nantes et Bordeaux (respectivement 8%). La métropole de Rennes, 8ème dans ce classement, a vu son volume d’offres d’emploi augmenter de 135% en un an. |
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Les 10 plus grandes métropoles concentrent 36% des offres en CDI/CDD et Alternance au 1er semestre 2022, au même niveau qu’au 2ème semestre 2021. L’influence des métropoles sur les emplois en CDI, CDD, Alternance ne faiblit pas. En Intérim, le top 10 des métropoles revient à son niveau du 1er semestre 2021 (19%), après une légère augmentation au 2ème semestre 2021 (+1 point).
Les villes moyennes consolident leur place |
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Dijon se hisse à la première place des villes moyennes qui recrutent le plus, avec 12% du volume au 1er semestre 2022, ex-aequo avec Saint-Etienne et Angers Loire Métropole. Caen la Mer et la Roche Sur Yon représentent respectivement 11% et 10% des offres d’emploi diffusées dans ces 10 métropoles.
A l’instar des métropoles, les 10 villes moyennes du classement ont subi une forte croissance de leurs offres d’emploi (entre 54% et 122%) au premier semestre 2022, renforçant leur place dans le paysage de l’emploi en France. La dynamique est particulièrement notable pour le Grand Dijon, Valence-Romans Sud Rhône-Alpes et Saint-Etienne, qui ont vu leur volume d’offres d’emploi doubler par rapport au 1er semestre 2021.
Rebond des métiers de la comptabilité en CDI, CDD, Alternance |
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Les métiers de la Comptabilité, Gestion, Finance, Audit se positionnent en tête des fonctions qui recrutent les plus en CDI, CDD, Alternance, avec 14% du volume global. C’est également la fonction qui a vu son volume d’offres d’emploi le plus augmenter en un an (multiplié par 4 par rapport au 1er semestre 2021). Les fonctions commerciales sont toujours particulièrement demandées (13%), suivie de la Santé et le Social (12%) qui a gagné un point en un an. Les métiers de la Production et Maintenance industrielle perdent un point (12%) au profit de la Gestion et relation clients (9%) et des Ressources Humaines (8%).
Ainsi, après les métiers de la Comptabilité, Gestion, Finance, Audit (tels que comptable, expert-comptable et contrôleur de gestion), ce sont les fonctions RH/Formation/Recrutement (Gestionnaire paie, chargé de recrutement, consultant en recrutement), la Gestion et Relation client (Assistant administratif, hôte d’accueil) et la Santé/Social (infirmier, aide-soignant) qui ont vu leur volume plus que doubler en un an.
Emploi en intérim : l’ensemble des fonctions sont au vert |
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Parmi les fonctions les plus dynamiques en intérim au 1er semestre 2022, celles de la Production/Maintenance Industrielle (Opérateur de production, technicien de maintenance industrielle) conservent leur première place avec 25% du volume global. Les métiers du BTP et de la Construction (22%) – maçon, électricien, plombier – et les fonctions de Technicien et Ingénierie Industrielle (9%) – câbleur, électromécanicien – perdent quelques points au profit des métiers de la Logistique/Transport/Supply Chain (22%) – cariste, préparateur de commande.
« Dans un contexte économique incertain, l’emploi fait bonne figure avec plus de 4,2 millions d’offres d’emploi diffusées sur la plateforme hellowork.com au premier semestre 2022. Et la dynamique ne faiblit pas ces derniers mois et continue d’atteindre des niveaux records, malgré l’inflation et le contexte international avec toutefois un ralentissement de la croissance en mai et juin. Parmi les régions qui recrutent le plus, l’Ile-de-France retrouve son leadership naturel tandis que le dynamisme des régions Auvergne-Rhône-Alpes, Pays de la Loire et Nouvelle Aquitaine est toujours aussi fort. Les recrutements des fonctions supports sont toujours très nombreux (comptabilité, gestion, RH...). Seul bémol, un début de ralentissement de la croissance des recrutements en intérim dans le BTP. Les candidats de leurs côtés sont toujours plus nombreux, notamment les candidats en poste qui n’hésitent plus à démissionner pour trouver un nouvel emploi répondant à leurs aspirations de sens, d’évolution ou salariales. », explique David Beaurepaire, Directeur Délégué de HelloWork.
Dans le cadre de la fusion des sites emploi du groupe HelloWork (RegionsJob et ses plateformes régionales, Cadreo et RegionsJob Intérim), l’ensemble des données ont été recalculées à périmètre égal.
Plus de détails disponibles et visuels HD sur demande au service de presse.
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A propos de HelloWork Group
HelloWork Group est le premier acteur privé français de l’emploi, du recrutement et de la formation sur Internet. A travers ses différentes solutions, le groupe accompagne les actifs tout au long de leur vie professionnelle, les entreprises, cabinets de recrutement, ETT sur leurs enjeux RH et recrutement et les centres de formation/écoles sur la valorisation de leurs offres de formation. Emploi
Fort de 430 collaborateurs, 71 millions € de commandes en 2021, les services d’HelloWork Group sont utilisés par 30 000 professionnels chaque mois et génèrent plus de 4 400 recrutements et 300 formations par jour*. Les différentes plateformes du groupe ont réuni 5,7 millions de Visiteurs Uniques en mars 2021 (Médiamétrie//NetRatings - Mesure Internet Global).
* Sur un échantillon de 847 000 répondants, data récoltées sur une période de 9 mois en 2021. |
Sécurité routière - Des boîtes noires dans les nouvelles voitures
Des enregistreurs de données automobiles seront obligatoirement montés sur tous les véhicules présentés à l’homologation en Europe. Des machines qui ne serviront pas à grand-chose du point de vue de l’automobiliste. Explications.> Lire la suite |
Pouvoir d’achat - Nos tests, une arme anti-inflation
Nos tests prouvent régulièrement que les meilleurs produits ne sont pas forcément les plus chers. Alors en cette période d’inflation, il est plus qu’utile de consulter nos tests afin de ne pas surpayer certains produits. Exemples.> Lire la suite |
Piscines - Faut-il se jeter à l’eau ?
On compte désormais 1,55 million de piscines enterrées et 1,64 million de bassins hors sol en France. Achat plaisir ou investissement rentable, on vous présente les différentes options.> Lire la suite |
Crédits immobiliers - Des difficultés d’emprunt vont persister malgré la hausse du taux d’usure
La hausse du taux d’usure des crédits immobiliers réouvre un peu plus d’opportunités sur le marché du crédit en cette période d’inflation forte. Mais les taux d’intérêt continuant de remonter, cette relative souplesse ne devrait pas durer très longtemps.> Lire la suite |
Palmarès - Opérateurs de téléphonie mobile
Notre palmarès mis à jour prend en compte la couverture du réseau, la qualité des services proposés, le nombre de litiges générés par l’opérateur, mais aussi l’efficacité de l’assistance technique et la transparence des contrats.> Consultez le test |
Alimentation - Une succession de crises
Explosion des coûts de fonctionnement, commerce perturbé par la guerre en Ukraine et, désormais, sécheresse. La production alimentaire hexagonale est chahutée par un cumul inédit de difficultés. Revue.> Lire la suite |
Pass sanitaire - Vérifiez sa validité avant de voyager !
Le passe sanitaire ne rythme plus notre quotidien depuis mars 2022, mais reste obligatoire dans certains lieux (établissements de santé, maisons de retraite…) et est également nécessaire pour voyager à l’étranger. Il est donc utile de vérifier s’il est toujours valide.> Lire la suite |
Fruits et légumes - Comment éviter les pesticides
Avec la belle saison, fruits à croquer et crudités s’invitent à table. Mais ils peuvent être lourdement assaisonnés de pesticides. Comment éviter ces toxiques ?> Lire la suite |
Étiquetage des aliments - Les produits végétaux ne pourront plus utiliser de dénominations liées à la viande
Les termes associés aux produits à base de viande ou de poisson seront bientôt réservés aux produits d’origine animale ou contenant une part très limitée de protéines végétales. Un décret clarifie désormais l’information aux consommateurs.> Lire la suite |
Soleil - Quand la peau réagit sous l’action des rayons
Si l’été rime avec soleil et chaleur, ça n’est pas toujours pour le bonheur de tous. Certaines peaux réagissent quand elles sont exposées aux UV, ce qui peut être douloureux.> Lire la suite |
Alimentation - Le bio, parent pauvre des aides à l’agriculture
Pour la Cour des comptes, le soutien des pouvoirs publics au bio est très insuffisant. L’institution énonce 12 recommandations pour soutenir plus efficacement ce mode de production, aujourd’hui en difficulté.> Lire la suite |
Bricolage - Comment débloquer un robinet thermostatique de radiateur
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Données personnelles - Halte à l’intrusion de Google dans nos vies > Consulter le billet d'Alain Bazot, Président de l'UFC-Que Choisir |
Arnaques en ligne : 35 % des adultes Français déjà victimes plusieurs fois dans leur vie |
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● Plus de la moitié (56 %) des Français craint les arnaques en ligne ; ils sont 93 % à limiter les informations qu’ils partagent en ligne pour éviter d’être escroqués. |
● 55 % estiment que des productions Netflix telles que L’Arnaqueur de Tinder et Inventing Anna montrent à quel point les arnaques en ligne ont gagné en sophistication. |
● Les escrocs se font passer pour des services tels que Netflix et Amazon (13 %), des amis (45 %) et même des conjoints (4 %) pour leurrer leurs proies en ligne. |
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Londres, Roy. - Uni, 5 juillet 2022 : 35 % des adultes français reconnaissent avoir déjà été la cible d’une fraude en ligne, phénomène d’ailleurs récemment mis en évidence par le film L’arnaqueur de Tinder et la série Inventing Anna diffusés sur Netflix, qui montrent le degré de sophistication atteint par les subterfuges utilisés. Une enquête publiée par Avast, leader mondial des solutions de sécurité digitale et de confidentialité en ligne, montre également que 18 % des Français ont déjà été ciblés par une arnaque sentimentale où un escroc se fait passer pour un prétendant potentiel pour son propre bénéfice financier. Si près d’un quart (22 %) du panel a déjà été invité à donner de l’argent à une personne uniquement rencontrée en ligne, 4 % a fini par passer à la caisse. |
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De même, près d’un tiers (31 %) a déjà été sollicité pour effectuer un transfert d’argent par une personne qu’il pensait connaître, mais finalement avait pris une fausse identité. Le plus souvent, les escrocs se sont fait passer pour des services tels que Netflix et Amazon (13 %), 45 % pour un ami de leur victime et 4 % du panel a même cru qu’il s’agissait de son mari ou sa femme. |
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L’analyse des réponses des 2000 adultes interrogés a montré que près de 7 personnes sur 10 (69 %) comprend à quel point il est facile de se faire escroquer ; deux tiers (66 %) pense qu’il est bien plus facile qu’il y a 5 ans de tomber dans un piège en ligne. |
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Près de la totalité du panel (91 %) s’accorde sur l’idée que les arnaques en ligne ont nettement gagné en sophistication, les principales raisons les plus citées étant la disponibilité de technologies plus avancées (54 %), la possibilité de dissimuler facilement son identité en ligne (38 %) et le partage excessif d’informations personnelles en ligne (56 %), qui fait des personnes concernées des proies de choix pour les escrocs. |
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L’enquête révèle par ailleurs que les emails (73 %) constituent la principale voie de ciblage utilisée par les escrocs, suivie des SMS (37 %) et des réseaux sociaux (24 %). Sur la totalité des personnes ciblées, près d’un tiers (28 %) a fini par être victime d’une arnaque d’une manière ou une autre, tandis que 53 % des Français redoutent d’être piégés et escroqués un jour, ce qui les « mettrait en colère », les « secouerait » et ils se sentiraient « stupides » selon leurs propres termes. |
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« Malheureusement, nous n’avons été guère surpris de constater que plus de la moitié des Français craignent d’être escroqués en ligne. La réalité est que les arnaqueurs sévissant en ligne n’ont aucun scrupule et cherchent à tirer parti des émotions, des événements ou de circonstances particulières pour soutirer de l’argent à des tiers », souligne Jaya Baloo, Responsable de la sécurité des systèmes d'information chez Avast. « Etant donné que les subterfuges utilisés sont de plus en plus sophistiqués, nous invitons tout un chacun à réfléchir à deux fois avant de partager des informations personnelles en ligne ou de cliquer sur des liens qui peuvent avoir été piégés par des escrocs se faisant passer pour une autre personne. Nous souhaitons donner au public les outils et les connaissances nécessaires pour rester en sécurité et profiter pleinement de sa liberté digitale en ligne. » |
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Néanmoins, de récents épisodes retentissants ont poussé la population à repenser ce qu’elle publie en ligne : 95 % des Français interrogés jugent important que le public soit mieux sensibilisé pour repérer de loin une tentative d’escroquerie, et 93 % des personnes limitent déjà par sécurité les informations qu’elles partagent en ligne par crainte de se faire arnaquer en ligne. |
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Pour en savoir plus sur les solutions permettant de rester en sécurité en ligne et apprendre à repérer les tentatives d’escroquerie en ligne, rendez-vous sur : https://blog.avast.com/avoid-scams-while-helping-loved-ones-avast |
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#DigitalFreedom |
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A propos de l’enquête : |
L’enquête a été réalisée par OnePoll, entre le 11 et le 15 mars 2022 auprès de 2000 adultes. |
Notes pour les journalistes |
Top 5 des moyens utilisés par les escrocs : |
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À propos d’Avast |
Avast (LSE : AVST), une entreprise du FTSE 100, est un leader mondial des produits de sécurité et de confidentialité en ligne. Elle protège activement sous les marques Avast et AVG plus de 435 millions d'utilisateurs sur Internet contre les menaces informatiques et celles grandissantes contre les objets connectés. Ses réseaux de détection des menaces sont parmi les plus avancés dans le monde, utilisant le machine learning et l’intelligence artificielle pour détecter et contrer les menaces en temps réel. Les solutions Avast pour ordinateurs, Mac et smartphones ont obtenu de nombreuses récompenses et certifications, notamment par VB100, AV-Comparatives, AV-Test ou Se Labs. Avast est en outre membre de la Coalition against Stalkerware, de No More Ransom et de l’Internet Watch Foundation. |
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nquête Diplomeo : Les villes préférées des étudiants
Saint Etienne : Les étudiants mentionnent le coût de la vie abordable |
Paris, 5 juillet 2022 – Pour les étudiants et leur famille, les choix d’orientation s’accompagnent de multiples questions : dans quelle ville étudier ? À plusieurs centaines de kilomètres de chez soi ou à deux pas du domicile familial ? Diplomeo, la plateforme d’orientation pour lycéens et étudiants du groupe HelloWork, a interrogé 2 449 étudiants du 7 au 27 juin 2022 sur leur ressenti concernant les métropoles où ils étudient selon 13 critères.
Qualité de l’enseignement supérieur, coût de la vie, qualité de la vie et de l’offre culturelle ou encore l’accès au logement… Quelle est la meilleure ville étudiante de France selon les étudiants ?
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Saint Etienne : Les étudiants mentionnent le coût de la vie abordable
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Strasbourg, la ville étudiante la plus attractive
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Parmi les 22 métropoles françaises sondées, la capitale alsacienne s’impose comme la plus appréciée par les jeunes pour leurs études. L’Eurométropole se classe dans le top 10 pour une majorité de critères (9 sur 13) : première en sécurité et en mobilité douce, Strasbourg se distingue également pour la qualité de ses transports (2ème), sa qualité de vie générale (2ème), la qualité de ses infrastructures (3ème) et bien entendu son offre de formation (3ème).
Elle est suivie de Rennes et Toulouse, particulièrement recommandées (respectivement à 96% et 94%) par les étudiants à d’autres jeunes Français souhaitant changer de lieu d’études. Tours se classe 4ème dans ce classement général, tandis que Bordeaux devance à la 5ème place les autres villes étudiantes.
Coût de la vie, accès au logement, loisirs et culture : les critères clés qui séduisent les étudiants |
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Au-delà du classement général, des villes se détachent sur certains critères importants aux yeux des étudiants. Toulouse est par exemple privilégiée pour sa qualité de vie (1ère) et la qualité de ses infrastructures (2ème).
Lyon, Grenoble, mais aussi Clermont-Ferrand séduisent leurs étudiants grâce à la qualité de leur environnement et leur image. Lyon, Montpellier et Bordeaux se distinguent également pour la qualité de leurs transports, mais perdent des places en raison de leur coût de la vie plus élevé. |
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Tours, 4ème au classement général, figure dans plusieurs top 10 : coût de la vie plus abordable, qualité en termes de transport et d’offre culturelle. La ville est aussi plébiscitée par les étudiants pour son accès au logement (2ème après Saint-Etienne). |
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Les villes du Sud de la France sont particulièrement appréciées par les étudiants pour leur environnement géographique : Nice (1ère), Toulon (2ème) et Montpellier (3ème) figurent dans le top 3 sur ce critère. Quant au dynamisme économique et au marché de l’emploi, ce sont les 5 mêmes villes qui se détachent : Bordeaux, Rennes, Toulouse, Lyon et Nantes. Une tendance qui se confirme par le baromètre de l’emploi de la plateforme de recrutement HelloWork.
Paris, Rennes, Lyon : des villes pour poursuivre ses études et développer sa carrière |
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Les étudiants interrogés par Diplomeo ont également noté leur métropole selon les possibilités de poursuite d’études intéressantes et de développement de carrière. Les étudiants ont placé Bordeaux (98%) et Toulouse (96%) en tête des villes dans lesquelles la poursuite de leurs études leur semble être la plus intéressante. Ces métropoles se hissent dans le top 10 en termes de développement de carrière. |
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Sur le pan de l’emploi, ce sont les métropoles de Rennes et Lyon qui dominent le classement avec 93% des étudiants interrogés qui pensent que leur ville offre un développement de carrière intéressant. Viennent ensuite Paris (88%) et les villes de Toulouse et Nantes avec près de 9 étudiants sur 10 (87%).
Méthodologie de l’étude : Enquête réalisée en ligne du 7 au 27 juin 2022 auprès d’un panel de 2 449 personnes qui étudient dans les 22 métropoles citées. Une note globale a été appliquée à chaque ville à partir d’une pondération des critères selon leur importance aux yeux des sondés.
Plus de détails disponibles et visuels HD sur demande au service de presse.
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A propos de HelloWork Group
HelloWork Group est le premier acteur privé français de l’emploi, du recrutement et de la formation sur Internet. A travers ses différentes solutions, le groupe accompagne les actifs tout au long de leur vie professionnelle, les entreprises, cabinets de recrutement, ETT sur leurs enjeux RH et recrutement et les centres de formation/écoles sur la valorisation de leurs offres de formation.
Anciennement RegionsJob et Cadreo, les sites emploi du groupe se rassemblent autour d’une plateforme de recrutement unique hellowork.com en avril 2022.
Formation
• MaFormation.fr, la plateforme dédiée à la formation professionnelle • Diplomeo, la plateforme dédiée à l’orientation pour l’enseignement supérieur
Fort de 430 collaborateurs, 71 millions € de commandes en 2021, les services d’HelloWork Group sont utilisés par 30 000 professionnels chaque mois et génèrent plus de 4 400 recrutements et 300 formations par jour*. Les différentes plateformes du groupe ont réuni 5,7 millions de Visiteurs Uniques en mars 2021 (Médiamétrie//NetRatings - Mesure Internet Global). HelloWork Group est une société du Groupe Télégramme.
* Sur un échantillon de 847 000 répondants, data récoltées sur une période de 9 mois en 2021. |
Enquête Diplomeo : Les villes préférées des étudiants
Clermont-Ferrand : 7ème ville la plus attractive de France selon les étudiants |
Paris, 5 juillet 2022 – Pour les étudiants et leur famille, les choix d’orientation s’accompagnent de multiples questions : dans quelle ville étudier ? À plusieurs centaines de kilomètres de chez soi ou à deux pas du domicile familial ? Diplomeo, la plateforme d’orientation pour lycéens et étudiants du groupe HelloWork, a interrogé 2 449 étudiants du 7 au 27 juin 2022 sur leur ressenti concernant les métropoles où ils étudient selon 13 critères.
Qualité de l’enseignement supérieur, coût de la vie, qualité de la vie et de l’offre culturelle ou encore l’accès au logement… Quelle est la meilleure ville étudiante de France selon les étudiants ? |
Clermont-Ferrand : 7ème ville de France la plus attractive selon les étudiants |
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Strasbourg, la ville étudiante la plus attractive
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Parmi les 22 métropoles françaises sondées, la capitale alsacienne s’impose comme la plus appréciée par les jeunes pour leurs études. L’Eurométropole se classe dans le top 10 pour une majorité de critères (9 sur 13) : première en sécurité et en mobilité douce, Strasbourg se distingue également pour la qualité de ses transports (2ème), sa qualité de vie générale (2ème), la qualité de ses infrastructures (3ème) et bien entendu son offre de formation (3ème).
Elle est suivie de Rennes et Toulouse, particulièrement recommandées (respectivement à 96% et 94%) par les étudiants à d’autres jeunes Français souhaitant changer de lieu d’études. Tours se classe 4ème dans ce classement général, tandis que Bordeaux devance à la 5ème place les autres villes étudiantes.
Coût de la vie, accès au logement, loisirs et culture : les critères clés qui séduisent les étudiants |
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Au-delà du classement général, des villes se détachent sur certains critères importants aux yeux des étudiants. Toulouse est par exemple privilégiée pour sa qualité de vie (1ère) et la qualité de ses infrastructures (2ème).
Lyon, Grenoble, mais aussi Clermont-Ferrand séduisent leurs étudiants grâce à la qualité de leur environnement et leur image. Lyon, Montpellier et Bordeaux se distinguent également pour la qualité de leurs transports, mais perdent des places en raison de leur coût de la vie plus élevé. |
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Tours, 4ème au classement général, figure dans plusieurs top 10 : coût de la vie plus abordable, qualité en termes de transport et d’offre culturelle. La ville est aussi plébiscitée par les étudiants pour son accès au logement (2ème après Saint-Etienne). |
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Les villes du Sud de la France sont particulièrement appréciées par les étudiants pour leur environnement géographique : Nice (1ère), Toulon (2ème) et Montpellier (3ème) figurent dans le top 3 sur ce critère. Quant au dynamisme économique et au marché de l’emploi, ce sont les 5 mêmes villes qui se détachent : Bordeaux, Rennes, Toulouse, Lyon et Nantes. Une tendance qui se confirme par le baromètre de l’emploi de la plateforme de recrutement HelloWork.
Paris, Rennes, Lyon : des villes pour poursuivre ses études et développer sa carrière |
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Les étudiants interrogés par Diplomeo ont également noté leur métropole selon les possibilités de poursuite d’études intéressantes et de développement de carrière. Les étudiants ont placé Bordeaux (98%) et Toulouse (96%) en tête des villes dans lesquelles la poursuite de leurs études leur semble être la plus intéressante. Ces métropoles se hissent dans le top 10 en termes de développement de carrière. |
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Sur le pan de l’emploi, ce sont les métropoles de Rennes et Lyon qui dominent le classement avec 93% des étudiants interrogés qui pensent que leur ville offre un développement de carrière intéressant. Viennent ensuite Paris (88%) et les villes de Toulouse et Nantes avec près de 9 étudiants sur 10 (87%).
Méthodologie de l’étude : Enquête réalisée en ligne du 7 au 27 juin 2022 auprès d’un panel de 2 449 personnes qui étudient dans les 22 métropoles citées. Une note globale a été appliquée à chaque ville à partir d’une pondération des critères selon leur importance aux yeux des sondés.
Plus de détails disponibles et visuels HD sur demande au service de presse.
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A propos de HelloWork Group
HelloWork Group est le premier acteur privé français de l’emploi, du recrutement et de la formation sur Internet. A travers ses différentes solutions, le groupe accompagne les actifs tout au long de leur vie professionnelle, les entreprises, cabinets de recrutement, ETT sur leurs enjeux RH et recrutement et les centres de formation/écoles sur la valorisation de leurs offres de formation.
Anciennement RegionsJob et Cadreo, les sites emploi du groupe se rassemblent autour d’une plateforme de recrutement unique hellowork.com en avril 2022.
Formation
• MaFormation.fr, la plateforme dédiée à la formation professionnelle • Diplomeo, la plateforme dédiée à l’orientation pour l’enseignement supérieur
Fort de 430 collaborateurs, 71 millions € de commandes en 2021, les services d’HelloWork Group sont utilisés par 30 000 professionnels chaque mois et génèrent plus de 4 400 recrutements et 300 formations par jour*. Les différentes plateformes du groupe ont réuni 5,7 millions de Visiteurs Uniques en mars 2021 (Médiamétrie//NetRatings - Mesure Internet Global). HelloWork Group est une société du Groupe Télégramme.
* Sur un échantillon de 847 000 répondants, data récoltées sur une période de 9 mois en 2021. |
Ruée sur l’Europe : +45% de touristes américains voyagent à Lyon en train cette année comparé à 2019 |
• Trainline enregistre un nombre record de touristes américains ayant réservé des billets de train pour explorer la France cette année, avec une hausse des ventes +93 % par rapport aux niveaux pré-pandémie, et +45% pour Lyon.
• Selon les données publiées par Trainline, les réservations de train effectuées par des touristes américains en France sont 14 fois plus élevées qu'il y a un an à la même période.
• Paris, Nice et Bordeaux sur le podium des destinations plébiscitées par les Américains
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Paris 4 juillet 2022 – Selon une étude publiée aujourd'hui par Trainline, un nombre record touristes américains ont réservé des billets de train pour explorer le France cette année. Une hausse des ventes +93% a été constatée, comparé à l’année 2019, période de référence pré-Covid. Une tendance constatée dans toute l’Europe , avec +50% de touristes américains ayant choisi le train en 2022, toutes destinations confondues.
Les destinations en France plébiscitées par les touristes américains
Trainline dévoile le palmarès des destinations françaises les plus plébiscitées par les Américains et constate que la France, sa culture, son art de vivre et ses paysages d’exception attirent un nombre grandissant de voyageurs Outre-Atlantique.
Les destinations balnéaires connaissent une très forte augmentation de leur fréquentation, avec Nice qui voit une hausse de réservation de billets 182% par rapport à 2019, Monaco +240% et Marseille +128%. Lyon, quant à elle, connait une hausse des voyageurs américains venant en train de 45%.
Top 10 des destinations 1. Paris 3. Nice 4. Bordeaux 4. Avignon 5. Lyon 6. Marseille 7. Monaco 8. Giverny 9. Aix-en-Provence 10. Reims
Carton plein pour nos voisins italiens, la dolce vita fait encore rêver les Américains
Nos voisins italiens constatent également un engouement significatif des Américains. Trainline enregistre, en effet, une hausse de 137% des réservations en train en Italie par des clients en provenance des Etats-Unis, par rapport à l’année 2019. Selon les données de Trainline, Rome, Florence, Milan et Venise sont les destinations les plus prisées des touristes américains.
Christopher Michau, Directeur des relations Partenaires Europe chez Trainline : « Ces chiffres sont une excellente nouvelle pour le secteur du rail en France et en Europe. Toutes les destinations touristiques à travers le pays doivent se préparer à un afflux de visiteurs américains cet été, car les réservations sont 14 fois plus élevées en France qu'il y a un an à la même période. Ce record s’explique à la fois par une meilleure compréhension des restrictions de voyage liées au Covid-19, mais surtout par une volonté de voyager de façon plus durable. »
En rassemblant les itinéraires de la majorité des opérateurs européens, Trainline facilite le voyage en train pour les touristes étrangers peu habitués au fonctionnement du système ferroviaire en Europe.
Méthodologie : Les chiffres sont basés sur les données de vente de Trainline sur les billets achetés par des clients américains pour la période de mars à juin 2022 et pour les mêmes périodes en 2021 et en 2019.
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À propos de Trainline Trainline est la première application de train et de bus en Europe qui vend des billets à des millions de voyageurs dans le monde entier, leur permettant de rechercher, réserver et gérer leurs voyages en un seul endroit via son site Web et son application mobile plébiscitée. Trainline est un guichet unique pour les voyages en train et en bus qui regroupe des millions d'itinéraires, de tarifs et de durées de voyage de 270 transporteurs ferroviaires et bus dans 45 pays. La vocation de Trainline est de faciliter l’accès aux voyages en train et en bus, et encourager les voyageurs à opter pour une solution de transport plus respectueuse de l’environnement |
Enquête Diplomeo : « La quête de sens des jeunes français »
La jeunesse face à ses attentes : pour 80% des jeunes Français il est très important que l’entreprise s’engage pour le bien-être des salariés
Paris, 14 juin 2022 – Conséquence de la crise sanitaire mais pas que, la Génération Z appréhende le monde du travail et l’école autrement que leurs aînés. En grande majorité inquiets face à leur avenir, les jeunes Français de 16 à 25 ans recherchent avant tout un cadre leur permettant de s’épanouir grâce à un poste qui soit à la fois rémunérateur et qui offre des missions intéressantes, en adéquation avec leurs valeurs. Le bien-être au travail devient le critère majeur pour les jeunes au moment de choisir un futur employeur avec comme points essentiels : l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, et une communication sincère et transparente au sein de l’entreprise.
C’est dans ce contexte que Diplomeo, la plateforme dédiée à l’orientation pour l’enseignement supérieur de HelloWork Group, a mené une étude auprès de 2 541 jeunes Français de 16 à 25 ans, du 24 mars au 11 avril 2022, pour faire le point sur le rapport de la Génération Z au travail et à l’école, ainsi qu’à ses valeurs. Quels sont les objectifs des 16-25 ans dans leurs choix d’orientation ? Quel est leur quotidien professionnel idéal ? Qu’attendent-ils des écoles et des entreprises ?
Au cœur des préoccupations des jeunes : le travail |
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Le travail occupe une place cruciale dans la vie des 16-25 ans en France. L’insertion professionnelle est leur préoccupation majeure (61%), vient ensuite la réussite scolaire (55%), la préservation de la santé mentale (52%), le pouvoir d’achat (42%) et leur vie sociale (38%). Les femmes font de la santé mentale une priorité, la plaçant même devant l’insertion professionnelle (63% pour les femmes contre 43% pour les hommes).
Autre point différenciant, les femmes se sentent bien plus inquiètes que les hommes (67% contre 52%). Globalement, plus de la moitié des sondés a peur de ne pas trouver un travail en adéquation avec leurs études, à cause d’un trop grand nombre de candidats. Une inquiétude qui peut être exacerbée par la crise du Covid-19. En effet, ces dernières années se sont avérées compliquées pour les plus jeunes générations, avec une succession de crises. |
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En matière de formation, les attentes de la Génération Z sont fortement axées sur l’employabilité. Pour 78% des interrogés, les débouchés professionnels possibles représentent le critère numéro 1. Pour 7 répondants sur 10, la reconnaissance de la formation dans le monde professionnel est importante. De plus, pour beaucoup d’entre eux il est essentiel de bénéficier d’une bonne qualité d’accompagnement et d’encadrement (80%) et d’être passionné par les sujets abordés en cours (72%). De façon plus rationnelle, plus d’un jeune sur deux choisit son école en fonction de son coût. |
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Critères majeurs dans le choix de décision : la rémunération et les missions… |
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Au moment de choisir un emploi, les 16-25 ans considèrent en premier lieu le salaire et les avantages financiers (53%), l’intérêt pour le poste et les missions (41%), puis l’équilibre offert entre vie privée et vie professionnelle (40%). Enfin, pour 37% d’entre eux, il est nécessaire que l’emploi soit en phase avec leurs valeurs et offre des possibilités d’évolution, ainsi que des conditions de travail optimales (télétravail, flexibilité des horaires…). Seulement 25% des interrogés tiennent compte de la stabilité du poste. Bien plus qu’un job alimentaire, le monde professionnel est perçu comme une opportunité de s’épanouir pour 73% des 16-25 ans. 85% d’entre eux estiment qu’ils seraient fiers s’ils exerçaient un travail dans lequel ils s’épanouissent et plus d’un sur deux le serait s’ils touchaient un salaire élevé. |
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...mais également la transparence et la proximité |
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Par ailleurs, 80% des répondants estiment qu’il est très important que l’entreprise s’engage pour le bien-être des salariés, 68% pour ce qui concerne l’équilibre vie professionnelle/vie personnelle et 2 sur 3 sur le développement tout au long de la carrière. Il est donc capital pour les entreprises de privilégier le bien-être. A côté de cela, 27% des 16-25 ans s’inquiètent aussi de ne pas trouver un travail qui correspond à leurs valeurs. |
« Désormais, les jeunes Français sont désireux d’une meilleure prise en compte de leur équilibre personnel, du respect de leurs valeurs et de leur épanouissement tout simplement, dès l’école puis dans le cadre de leur activité professionnelle. Evoluer au sein d’une structure qui coche toutes les cases leur est indispensable. » explique Jérémy Plasseraud, Directeur de la EdTech de HelloWork Group |
Autre critère essentiel pour les jeunes : les valeurs portées par l’école et l’entreprise
38% des jeunes pensent qu’il est primordial que leur école soit en accord avec leurs valeurs et 37% d’entre eux le souhaitent pour l’entreprise dans laquelle ils travailleront. Près de la moitié des sondés (49%) considèrerait avoir réussi sa vie professionnelle si elle exerçait un travail qui a du sens par rapport à ses valeurs. Ils sont quasiment autant à le penser concernant un travail utile à la société.
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Concernant les causes chères à la Génération Z, la lutte contre les discriminations et le racisme arrive en tête (76%), suivie par l’égalité femmes/hommes (68%). Que ce soit vis-à-vis de leur école ou de leur futur employeur, les jeunes femmes sont plus nombreuses que les jeunes hommes à indiquer ce point comme crucial (respectivement 62% et 72% des femmes contre 35% et 43% des hommes). Les inégalités sociales et la précarité sont également des sujets préoccupants pour les 16-25 ans interrogés. Pour plus de la moitié des étudiants répondants (59%), il est décisif que leur école s’engage contre la précarité étudiante. |
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Méthodologie : Etude menée du 24 mars au 11 avril 2022, sur un échantillon de 2 541 jeunes Français âgés de 16 à 25 ans.
Plus de détails disponibles sur demande au service de presse.
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A propos de HelloWork Group
HelloWork Group est le premier acteur digital français de l’emploi, du recrutement et de la formation. A travers ses différentes solutions, le groupe accompagne les actifs tout au long de leur vie professionnelle, les entreprises, cabinets de recrutement, ETT sur leurs enjeux RH et recrutement et les centres de formation/écoles sur la valorisation de leurs offres de formation.
Anciennement RegionsJob et Cadreo, les sites emploi du groupe se rassemblent autour d’une plateforme de recrutement unique HelloWork.com en avril 2022.
Fort de 430 collaborateurs, 71 millions € de commandes en 2021, les services d’HelloWork Group sont utilisés par 30 000 professionnels chaque mois et génèrent plus de 4 400 recrutements et 300 formations par jour*. Les différentes plateformes du groupe ont réuni 5,7 millions de Visiteurs Uniques en mars 2021 (Médiamétrie//NetRatings - Mesure Internet Global).
Formation
HelloWork Group est une société du Groupe Télégramme.
* Sur un échantillon de 847 000 répondants, data récoltées sur une période de 9 mois en 2021. |
Trottinettes électriques à Bordeaux :
Qui les utilise ?
● Une enquête menée par Voi Technology auprès des utilisateurs bordelais révèle le profil de l'utilisateur habituel des trottinettes électriques en libre-service dans la ville.
● Cette dernière démontre l'importance, l'efficacité et la durabilité du service de partage de trottinettes dans la ville de Bordeaux.
Bordeaux, le 7 juin 2022 - Voi Technology, leader des services de partage de micromobilité électrique en Europe et présent à Bordeaux depuis 2019, annonce les résultats d'une enquête urbaine présentant le profil de l'utilisateur type du service de partage de trottinettes électriques dans la ville.
La décision que prendra la Métropole de Bordeaux pour choisir les opérateurs qui pourront gérer les services de micro-mobilité partagée pour les prochaines années sera donc déterminante et influencera la façon dont ces profils circuleront dans la ville.
Qui utilise le plus le service de partage de trottinettes électriques à Bordeaux?
Selon les réponses obtenues lors d'une enquête menée du 22 avril au 26 avril, ce sont les bordelais qui utilisent le plus les trottinettes électriques Voi, dans plus de deux tiers des cas soit près de 72% (vs. 26.5% de bordelaises).
“Ces données sont révélatrices qu’un travail encore important est à faire auprès des femmes pour qu’elles se sentent davantage en confiance à utiliser les solutions de micromobilité. Il y a beaucoup à faire, et c’est pourquoi nous continuons à réaliser des formations en rue, ainsi que des campagnes de sensibilisation” déclare Charlotte Serres, directrice générale de Voi Technology pour la France, l’Espagne et la Belgique. “L’utilisation des trottinettes avec les transports publics peuvent générer des gains de temps non-négligeables pour que davantage de femmes puissent faire d’avantage de choses chaque jour, de manière sûre, écologique et ludique”
Nous constatons que l’utilisation de nos véhicules se fait principalement par les étudiants (surtout les étudiants universitaires), qui représentent plus de la moitié des utilisateurs réguliers de Voi. Les étudiants et les employés représentent 92,3%. Seuls 6% sont des entrepreneurs et des freelances.
73%
73% des personnes interrogées appartiennent à la génération Z appelés : les "natifs du numérique".
Ajouté aux millennials, ces deux générations représentent la quasi-totalité : 92%.
Fait intéressant, la génération des baby-boomers, c'est-à-dire les personnes d'environ 50 ans, est représentée par un pourcentage de 3%.
À quelle fréquence utilisent-ils le service de partage de trottinettes à Bordeaux?
Près de 30% des usagers utilisent le service de partage des trottinettes sur une base hebdomadaire : une ou plusieurs fois par semaine.
Toutefois, si l'on considère ceux qui l'utilisent une ou plusieurs fois dans le mois, le pourcentage passe à près de 70% du total.
Pourquoi les Bordelais utilisent-ils les trottinettes ?
40% des Bordelais utilisent ce moyen pour se rendre à des événements sociaux tels que d’aller voir ses amis, aller au restaurant, etc.
30 % l'utilisent pour se rendre ou repartir du travail ou à l'université.
14% disent l'utiliser pour le seul plaisir de la conduite, tandis que près de 10% l'utilisent pour faire quelques courses quotidiennes.
Outre la destination pour laquelle ils choisissent la trottinette, la principale motivation est que pour près d'un utilisateur sur trois, celle-ci est vraiment facile et agréable à utiliser (1 sur 3) ou bien parce qu'il est facile de la trouver sur les routes.
Comment les Bordelais se déplacent-ils en trottinette ?
40% des utilisateurs des trottinettes à Bordeaux ont effectué un déplacement intermodal, c'est-à-dire en complément d'un autre moyen de transport individuel, ou dans le cadre du service public de la ville.
Dans ces 40%, 52% correspondent à des déplacements en complément d'un trajet effectué en tramway et seulement 8% sont réalisés en complément d'un trajet effectué en voiture personnelle.
Cela signifie que le trottinette est considérée comme un complément au service public, ce qui augmente la possibilité pour les personnes qui ne se déplacent habituellement qu'en voiture privée d'envisager un service de transport en commun pour compléter le service partagé.
Les personnes interrogées ont également été invitées à réfléchir aux trajets typiques qu'elles effectuent en trottinette. Ensuite, on leur a également demandé de songer à un autre mode de transport qu'elles utiliseraient pour effectuer le même trajet. Le résultat est frappant : dans 12 % des cas, les trottinettes remplacent la voiture privée, contribuant ainsi de manière significative à la réduction des encombrements causés par l'utilisation excessive des véhicules individuels en ville, sans parler des avantages en termes de réduction des émissions de CO2.
Selon les Bordelais, peut-on rouler en trottinette en toute sécurité ?
D'après notre enquête, les utilisateurs de Voi sont sensibles à la qualité du produit avec lequel ils choisissent de voyager. Cet aspect est important pour environ 45% des répondants.
Par conséquent, Voi a récemment changé sa flotte de trottinettes électriques. Les Bordelais ont désormais accès au dernier modèle : la Voiager 5. Ce véhicule est équipé de flèches clignotantes à l'avant et à l'arrière, d'une double béquille, de roues plus grandes, d'une suspension plus souple et plus solide, et d'un marchepied plus large. “80 % des personnes interrogées se sont déclarées "sûres de conduire une trottinette Voi".
Nous constatons également que la population bordelaise est attentive aux infrastructures existantes pour effectuer les déplacements en trottinette dans la ville.
En effet pour 16%, il est essentiel qu'il y ait des pistes cyclables dédiées, ainsi que pour 14% il est primordial que le revêtement de la route soit en bon état.
Charlotte Serres, directrice générale pour la France, l’Espagne et la Belgique chez Voi Technology, déclare : «Nous sommes très heureux de pouvoir partager avec l'administration de la ville et de la Métropole de Bordeaux le point de vue de nos clients bordelais. Notre intention est de faire de la micromobilité électrique partagée non seulement une alternative mais un acteur majeur dans la redéfinition de la façon dont nous nous déplaçons dans les villes de demain. Un moyen plus efficace, inclusif, sûr et durable qui place les habitants au cœur des villes, mettant fin à la dictature imposée par l'utilisation inconditionnelle de la voiture privée."
A propos de Voi
Fondée en 2018, Voi Technology est une entreprise suédoise de mobilité urbaine proposant le partage de trottinettes électriques en partenariat avec les villes et les collectivités locales. Nous pensons que les trottinettes électriques peuvent jouer un rôle central pour changer la façon dont les gens se déplacent dans nos villes à l'avenir. Et nous voulons nous assurer que la transformation se passe dans le bon sens - grâce à une véritable technologie innovante, un dialogue ouvert et transparent avec les villes et les gouvernements et en adaptant nos produits aux besoins locaux. Montez sur l'une de nos trottinettes électriques et déplacez-vous en ville en quelques minutes. Voi est une entreprise neutre en carbone depuis janvier 2020 et a adopté les objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies comme cadre directeur, et a également défini un programme clair pour réduire et compenser les émissions.
Voi Technology opère dans 80 villes à travers 12 pays. Elle a son siège à Stockholm et emploie environ 1,000 personnes. À ce jour, Voi compte plus de 6 millions d'utilisateurs et a desservi plus de 100 millions de trajets.
Hyperinflation + une perte de 1600 milliards de dollars pour l'économie mondiale
Hyperinflation + une perte de 1600 milliards de dollars pour l'économie mondiale
L'amuse-gueule du jour : la France est le cinquième plus gros producteur mondial d'huile de tournesol, sur 81 pays producteurs, et comme par hasard, nous manquons d'huile de tournesol...La France produit 9,4 kilos d'huile de tournesol par an, par personne... Je pense qu'on en a assez, non ?Alors évidemment l'Ukraine et la Russie en produisent plus de 8 millions de tonnes, mais ça n'explique pas pourquoi l'huile manquerait soudain chez nous, d'autant que l'huile de tournesol n'est pas produite au jour le jour. Nous consommons cette année, la récolte de l'an dernier !!! Je veux bien qu'une partie des 4 millions de tonnes produites par la Russie soit bloquée, quoi que à mon avis, elle est déjà vendue depuis longtemps, mais les 4 millions de tonnes d'huile Ukrainienne ? Le tournesol est récolté en Aout, et l'huile se fait dans la foulée. Ainsi que les ventes.C'est un peu la même arnaque qu'avec le carburant. On augmente le prix à la pompe au jour le jour alors que les cuves des stations-service ont 20 jours de stockage, mais quand le prix baisse, ils vous disent qu'il faut attendre que la cuve soit vide !Si nous continuons à nous laisser mener comme ça par le bout du nez, on n'a pas fini de passer pour des couillons, et on n'a pas fini d'en baver. L'idée pour eux, c'est de nous mettre sur la paille. Ils veulent qu'on vide les bas de laine ! C'est le but...Modification ce samedi, 2021 a été une année record ! Estimée à 1,9 Mt, la moisson 2021 serait ainsi « la plus forte depuis 2000 » : elle progresse de 18,1 % sur un an et de 37 % par rapport à la moyenne quinquennale ! !!!Comme quoi ! La production de tournesol en France a battu des records en 2021Vive .....La Finance ..
Prime à la conversion des véhicules et Bonus écologique 2022
Précarité : de nombreux artisans et dirigeants de TPE sur le fil du rasoir
https://www.batiactu.com/edito/precarite-nombreux-artisans-et-dirigeants-tpe-sur-fil-64282.php
Regardez "Charles Gave : Vers un effondrement monétaire en Europe ?" sur YouTube
https://youtu.be/cNtdyJzNnfs
La crise inflationniste, la trappe dette, l'ursus magnus, Charles Gave vous explique ce qui arrive.
https://www.youtube.com/watch?v=lDEZ3QVQiuQ
4 Video a Regardez "Charles Gave : Pourquoi on vas vers un effondrement monétaire en Europe ?" sur YouTube
Charles Gave : Vers un effondrement monétaire en Europe ?
Effondrement économique, monétaire & civilisationnel ? Charles Gave & Olivier Delamarche
Nos monnaies vont s'effondrer du fait de l'imbécilité" - Charles Gave
CHARLES GAVE : "J'ai toujours pensé que Macron était bête !" a ECOUTER
Regardez "Les premiers seront les derniers! 🌍 [Yamb Ntimba]" sur Youtu.be
https://youtu.be/j6mTAk0hvEg
Vaccins anti-Covid : confirmation des effets secondaires graves
https://infodujour.fr/sante/58874-vaccins-confirmation-des-effets-secondaires-graves
Les 17 erreurs de management qui provoquent des démissions
Les 17 erreurs de management qui provoquent des démissions
https://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-carriere/detail/article/promu-manager-les-5-erreurs-a-ne-pas-faire.html
Mis à jour le 18 juillet 2022
Parmi les 17 erreurs classiques des managers, l'erreur numéro 12 : fixer des objectifs impossibles.... Extrait d'une infographie ©Cadremploi
- Jouer au petit chef
- Imposer sa vision et ses idées
- Ne pas écouter ses équipes
- Considérer les collaborateurs comme des exécutants
- Diviser pour mieux régner
- Fermer les yeux sur les conflits
- Faire du favoritisme
- Manager de façon uniforme
- S’affranchir des règles de vie au travail
- Faire cavalier seul
- Déléguer sans accompagner ni contrôler
- Fixer de faux objectifs
- Faire preuve d’abus de pouvoir
- Rejeter la faute sur les collaborateurs
- Ne pas féliciter ses collaborateurs
- Etre une passoire émotionnelle
- Refuser le changement
En image les 17 erreurs de management qui provoquent des démissions
Cliquez sur l'image OU ici pour télécharger l'infographie complète des 17 erreurs de management et la partager avec vos N+1 ou N-1 :)
Jouer au petit chef
Ce n’est pas parce que vous êtes en charge du management de l’équipe que vous avez toute autorité sur les collaborateurs. Pratiquer l’autorité, le flicage et la sanction constitue une erreur de management car ce type de management engendre la peur -de mal faire-, la frustration -de n’avoir aucune marge de manœuvre- et l’absence de prise d’initiative.
Faire sentir le rapport hiérarchique entre vous et les collaborateurs est le meilleur moyen de créer de la défiance et du désengagement.
- Antoine, 40 ans : « Je manage à l’inverse de ma cheffe faussement bienveillante »
Imposer sa vision et ses idées
En tant que manager, vous devez donner des orientations au travail de l’équipe : les objectifs à atteindre, les moyens à disposition, les organisations possibles au sein de l’équipe. Toutefois, donner une direction ne signifie pas imposer ses idées. Tomber dans ce travers exclut toute forme d’intelligence collective et rend difficile l’adhésion des collaborateurs.
Ne pas écouter ses équipes
L'une des erreurs de management à ne pas commettre est de ne pas écouter ses équipes.
Un manager doit être à l’écoute des attentes et des motivations des collaborateurs. Vous devez ainsi prendre en compte les remarques qu’ils peuvent émettre durant un projet ou au terme de celui-ci. Ainsi, vous les valoriserez et pourrez trouver des axes d’amélioration pour les projets futurs. Vous êtes gagnant sur tous les plans : humain et économique.
- Pratiquez-vous l'écoute active dans votre équipe ?
Considérer les collaborateurs comme des exécutants
Il n’y a pas d’un côté celui qui décide -vous-, et de l’autre ceux qui font. Traiter les collaborateurs comme des machines les incite à se désinvestir. Au contraire, faites preuve d’intelligence relationnelle, misez sur les atouts de chacun pour faire évoluer l’équipe. En gommant le rapport hiérarchique, vous créez de la confiance, de l’implication et de la prise d’autonomie.
Diviser pour mieux régner
Certains mauvais managers considèrent que les relations conflictuelles au sein de leur équipe favorisent leur position hégémonique. Si cette tactique peut fonctionner sur le court terme, elle est inefficace à long terme ; la mauvaise ambiance ayant généralement des répercussions négatives sur la qualité du travail.
Fermer les yeux sur les conflits
A l’inverse, une autre erreur de management serait de faire l’autruche face à des situations conflictuelles au sein de son équipe. Un manager doit en effet veiller à ce que les collaborateurs travaillent correctement ensemble dans une ambiance de travail saine et sereine.
En cas de conflits au travail, il est de la responsabilité du manager de réguler, d’arbitrer et de prendre des décisions.
- Les 12 vertus de la communication non-violente en entreprise
Faire du favoritisme
Faire du favoritisme peut nuire à votre management. Certes vous êtes humain et il est possible que vous ayez plus d’affinités avec certains collaborateurs plutôt que d’autres.
Toutefois, vos décisions de manager doivent être justes et objectives. Dans le cas contraire, vous risquez de perdre en légitimité, d’affecter la confiance des collaborateurs et de générer des tensions au sein de l’équipe.
Manager de façon uniforme
Pour être juste, vous décidez de traiter tous les collaborateurs à la même enseigne.
Erreur : en fonction des profils, des personnalités, des parcours et des expériences, chacun a des attentes différentes. Certains auront par exemple besoin d’un fort accompagnement quand d’autres réclameront plus d’autonomie. Il est conseillé d'adapter son management à chaque profil pour ne pas faire d'erreur.
S’affranchir des règles de vie au travail
Horaires, tenue vestimentaire, langage : ce n’est pas parce que vous êtes manager que vous êtes dispensé de respecter les règles qui s’imposent à l’équipe.
Au contraire : c’est vous qui donnez le ton. Sur ces sujets, soyez irréprochable !
Faire cavalier seul
Vous ne voulez pas déléguer car vous êtes certain de mieux faire le travail seul ? Face à la direction, vous défendez davantage vos intérêts personnels ? Vous vous attribuez les réussites de votre équipe ? Vous vous faites briller en écrasant vos collaborateurs ou en minimisant leur travail ? Dans ce cas, vous n’êtes pas fait pour être manager. Car bien manager, c’est savoir déléguer efficacement, valoriser l’équipe et penser collectif.
Déléguer sans accompagner ni contrôler
Dans l’excès inverse, une autre erreur de management consiste à tout déléguer sans accompagner, en laissant l’équipe en roue libre. Par exemple refiler les « patates chaudes » -ces dossiers ultra-sensibles que personne ne veut- ou affecter des missions sans objectif précis ni accompagnement lors de la réalisation.
Fixer de faux objectifs
Mal définis, ambigus, irréalistes : si vous fixez des objectifs à votre équipe, veillez à ce qu’ils soient des objectifs SMART. Cela nécessite une réflexion en amont de votre part : vision, planification, instauration de KPIs, reporting. En l’absence de directives claires, impossible pour les collaborateurs d’avancer correctement.
- La Position Du Démissionnaire #11 : Partir à cause de son manager
Faire preuve d’abus de pouvoir
Si vous pensez que votre posture de manager vous autorise toutes sortes de pratiques pour parvenir à vos fins, vous avez tort. Chantage, rétention d’informations, pratiques discriminantes : attention, car ces erreurs de management peuvent vous coûter cher.
Rejeter la faute sur les collaborateurs
Face à un échec ou un problème, le manager doit assumer la responsabilité pour son équipe. Ne pas reconnaître ses propres erreurs ou faire porter le chapeau à son équipe sont des fautes de management qui ôtent toute légitimité au manager.
Ne pas féliciter ses collaborateurs
Autre erreur de management classique : ne pas valoriser ses équipes. Vos collaborateurs ont fait du bon travail ? Dites-leur ! Cette communication s’avère essentielle pour motiver vos collaborateurs et leur donner envie d’atteindre des sommets. Un bon manager doit savoir dire quand il est insatisfait, mais il doit également savoir féliciter ses équipes lorsque les objectifs ont été atteints avec brio.
- Management : savez-vous vraiment reconnaître le travail de vos collaborateurs ?
Etre une passoire émotionnelle
Vous êtes de mauvaise humeur, triste, en colère, stressé ? Même si vous subissez une très forte pression de la part de la direction, ne transmettez pas vos émotions négatives à l’équipe. Apprenez à maîtriser votre ressenti émotionnel pour continuer à porter et motiver les collaborateurs.
Pour autant, cela ne signifie pas d’être dans la représentation permanente. Vous avez le droit de dire à vos collaborateurs « Excusez-moi mais je suis en petite forme aujourd’hui ». Reconnaître ses faiblesses en tant que manager permet d’instaurer un rapport de confiance et d’égalité avec son équipe. A vous de trouver le juste milieu.
Refuser le changement
La souplesse et l’adaptabilité sont des qualités majeures pour réussir en management. Et même si la recette que vous appliquez aujourd’hui fonctionne bien, ce serait une erreur de management que de vouloir rester dans l’immobilisme.
Car de fait, c’est impossible : un collaborateur qui change de poste, un concurrent qui nécessite de moderniser ses pratiques, de nouvelles compétences à intégrer, des urgences à gérer.
L’évolution est inévitable : à vous d’impulser la bonne dose d’innovation et d’agilité pour permettre à l’équipe de s’adapter.
- Qu'est-ce que la conduite du changement en entreprise ?
Première parution : Juin 2014. Dernière mise à jour : 18 juillet 2022
Formée au journalisme et à l’édition, Fleur commence sa carrière chez Hachette Livre au département jeunesse. Après Bécassine et Franklin, elle s’immerge dans l’univers du luxe en agence de communication. Très vite, le digital devient incontournable. Petites agences et jolis clients - Harry Winston, Benjamin de Rothschild, l’Atelier BNP Paribas, Yann Arthus-Bertrand - permettent d’alterner réflexions stratégiques et création de contenu innovant. En 2010, Fleur fait le choix de l’indépendance. Elle se concentre alors sur son cœur de métier : donner du sens par le contenu. Cadremploi figure parmi ses heureuses collaborations.
GRAPHÈNE / 5G - LES VACCINÉS EN DANGER
GRAPHÈNE / 5G - LES VACCINÉS EN DANGER
DE LA CRISE À L'EFFONDREMENT (Robert Kiyosaki)
https://www.youtube.com/watch?v=VraArMfXGVA
Les astuces naturelles pour dire stop aux insectes
• Gare aux moustiques
Impossible de fermer l’œil à cause de ce moustique qui vous tourne autour? Testez ce piège infaillible à base de sucre et de levure de bière, deux ingrédients qui interagissent entre eux et attirent immanquablement les moustiques.
Pour cela, versez 20cl d’eau chaude dans une bouteille coupée en deux, ajoutez 50g de sucre brun, mélangez puis versez 1g de levure de bière sans remuer. Déposez dessus l’autre moitié de la bouteille, goulot vers le bas. Attirés par le gaz de la fermentation du sucre, les moustiques ne pourront plus ressortir et vous passerez enfin des nuits tranquilles!
• Adieu les tiques
Ces petites bêtes, responsables de la maladie de Lyme (une maladie infectieuse qui touche la peau, les articulations et le système nerveux), s’attaquent aussi bien aux hommes qu’aux animaux. Misez sur les huiles essentielles comme le tea tree (arbre à thé), un véritable répulsif naturel.</ahref="https:>
Il suffit d’en diluer 10 gouttes dans une cuillerée à soupe d’alcool pur acheté en pharmacie. Versez ensuite dans un vaporisateur, ajoutez 200ml d’eau, mélangez et vaporisez sur le bas de vos vêtements avant de faire une balade en forêt. Pour les animaux, les huiles essentielles peuvent être toxiques. Il est plutôt recommandé d’acheter en magasin un répulsif à base de géraniol, à vaporiser sur le poil, loin des muqueuses. Si votre région est très infestée par les tiques, il est préférable de faire vacciner votre animal. Dans tous les cas, demandez conseil à votre vétérinaire.</ahref="https:>
• Halte aux aoûtats
L’aoûtat désigne la larve d’une espèce de petit acarien qui provoque de fortes démangeaisons. Il prolifère lorsqu’il fait très chaud dans les prairies, les vergers. Avant d’utiliser des produits chimiques, essayez la terre de diatomée, une poudre naturelle composée de fossiles d’algues microscopiques. Elle s’avère être un redoutable insecticide qui repousse les aoûtats mais aussi les puces, les cafards, les poissons d’argent... Au jardin, répandez-la directement sur la pelouse, surtout dans les endroits où vous ne pouvez pas tondre à ras.
• Exit les mites
Moins entêtant et nocif que la naphtaline, le clou de girofle repousse tout aussi efficacement les mites. Pour cela, piquez des citrons ou des oranges de clous de girofle et placez-les dans vos placards: ces bêtes indésirables ne reviendront plus! Autre astuce, déposez sur vos étagères des copeaux de savon de Marseille, ils parfumeront en même temps agréablement vos vêtements.
• Fini les acariens
Pas cher et ultra-efficace, le bicarbonate de soude est le produit miracle contre les acariens. Pour assainir matelas et oreillers, saupoudrez-en 8 cuillerées à café pour un lit de deux places. Brossez pour répartir uniformément et laissez agir de quatre à huit heures, puis aspirez. Vous pouvez aussi utiliser un vaporisateur et diluer une cuillerée à soupe de poudre dans un litre d’eau. Laissez agir avant d’aspirer.
Regardez "L'INFLATION va-t-elle S'ARRÊTER ? (spoiler : NON) - Avec @Olivier Delamarche" sur YouTube
https://youtu.be/j-XDmuhAJ9I
pourquoi ce général n’est-il pas invité sur les plateaux de télé
https://www.editionsjcgodefroy.fr/point-de-vue-du-general-francais-jacques-guillemain-situation-russie-ukraine/
Regardez "Energie/EDF : La France dans le noir cet hiver ? - Politique & Eco n°353 avec Loïk Le Floch-Prigent" sur YouTube
https://youtu.be/HieAIvP_gog
La mort de l’Euro
Vous connaissez cette chanson ? C’est l’envoûtante “The End”, des Doors…
Et ça pourrait bientôt devenir l’hymne de notre Europe à l’agonie.
Moins entrainante que l’Ode à la joie, c’est sûr… mais plus proche du réel.
Car l’UE, telle que nous la connaissons, n’en finit plus de sombrer : covid, Ukraine, inflation…
Et maintenant, crise politique en Italie : « Super » Mario Draghi, ex-patron de la BCE reconverti en premier ministre italien depuis 2021, vient de démissionner.
Pas de chance, c’était lui qui était supposé conduire le plan de relance et de transformation de l’économie italienne… Un plan à 190 milliards d’euros, soit 30% du plan de relance européen à 750 milliards.
Ça tombe mal, car l’Europe n’avait vraiment pas besoin de ça.
Locomotive en panne
Depuis plusieurs mois, je vous avertis face au cocktail vénéneux qui nous ronge : la stagflation.
Car l’inflation « toute seule », c’est déjà raide… mais quand le coût de la vie monte alors qu’il n’y a plus de croissance, c’est la catastrophe.
Or, où que l’on regarde, la machine économique européenne est en panne.
L’indice PMI (Purchasing Manager’s Index), qui mesure le dynamisme des secteurs manufacturiers, est en baisse dans pratiquement tous les pays de l’UE.
L’indice ZEW de « sentiment économique » est au plus faible depuis 10 ans.
L’indice Sentix de « confiance des investisseurs » est en chute libre.
Dans mon dernier mail, je vous ai parlé de la dégringolade de l’euro face au dollar…
Mais gardez bien à l’esprit que l’euro baisse face à pratiquement toutes les monnaies (même le rouble, qui se porte bien, lui…) : au-delà du dollar qui s’apprécie, c’est surtout l’euro qui inquiète tout le monde.
Côté balance commerciale, la France a battu un double record en mai dernier : déficit de 13 milliards d’€ sur un mois, et de 113,9 milliards sur les 12 derniers mois… autant vous dire que nous ne sommes pas des champions de l’exportation, loin s’en faut.
Mais la nouveauté qui fait peur, c’est que l’Allemagne, locomotive de l’Europe, est elle aussi dans une situation économique déplorable.
Oui cette même Allemagne qui avait l’habitude de payer pour les largesses et excès des autres (en échange d’une influence supérieure aux autres auprès des instances de l’UE)…
Pour la première fois depuis la réunification de 1994, la balance commerciale allemande est elle aussi déficitaire, d’1 milliard d’€ en mai.
On pourrait se dire que ça vient de la hausse du prix des matières premières, vu à quel point l’Allemagne est tributaire de ses importations en gaz…
Mais ça n’est qu’une partie de la vérité.
Depuis plusieurs mois, le marché extérieur de l’Allemagne diminue.
L’Allemagne exporte moins et importe plus, ça n’est pas « juste » l’un ou l’autre.
En Allemagne aussi, l’indicateur PMI est tombé… et tout indique que le PIB allemand est en train de baisser assez fortement.
Vous m’avez bien lu : l’Allemagne aussi est en récession.
Alors forcément, la presse allemande est à cran.
Les décisions de la BCE, son laxisme vis-à-vis de l’Europe du Sud, ses mécanismes de « solidarité » alors qu’il n’y a plus un pays d’Europe capable de payer pour les autres…
Tout ça irrite l’opinion publique, au point qu’on a même entendu le terme « GERXIT » pour la première fois au détour d’articles et de discussions dans les médias.
Oui, les Allemands étaient europhiles et anti-nucléaire il y a encore peu de temps, désormais c’est tout l’inverse. Tout fout le camp.
L’Italie, c’est autre chose que la Grèce…
À l’avant, donc, la locomotive cale.
Et à l’arrière, quelques wagons menacent de se décrocher.
Or parmi ces wagons, il y en a sans qui le train ne serait plus le même…
Je vous parle de la troisième économie de la zone euro, l’Italie.
Quand c’était la Grèce qui était en crise, au début des années 2010, les analystes étaient déjà anxieux quant à l’avenir de l’Union.
On avait fait rentrer « trop de pays », « trop différents les uns des autres », et étendre la monnaie unique à des pays en développement était une hérésie.
Je vous rassure, c’est toujours vrai.
Mais à l’époque, quand c’était la Grèce qui coulait, on parlait d’un pays d’à peine 10 millions d’habitants avec un PIB inférieur à 300 milliards de dollars. On pouvait redresser le tir sans se faire trop mal.
L’Italie, c’est une autre paire de manches : 60 millions d’habitants, un PIB autour de 2000 milliards de dollars.
Un gros morceau.
Un morceau endetté à 152% de son PIB, avec un indice PMI qui dégringole… ce qui ne va pas les aider à rembourser !
Plus grave encore : le PIB italien hors inflation en 2021 est le même que celui de 2000.
Vous m’avez bien lu : l’Italie est au même niveau qu’en 2000… Et 6,6% plus bas qu’à son apogée de 2007. C’est cruel, mais il n’y a aucun doute quant au déclin de la puissance italienne.
Le problème, c’est qu’un pays surendetté, qui n’arrive plus à croître et dont la production manufacturière s’effondre… ça souffre plus de la hausse des taux que les autres.
C’est d’ailleurs une des explications à l’inaction de la BCE pendant tout ce temps : monter les taux était souhaitable pour les économies qui peuvent l’encaisser, typiquement les « frugaux » d’Europe du Nord.
Mais en montant les taux directeurs, la BCE augmente le coût de la dette italienne… Car ces taux augmentés se répercutent sur les marchés où l’Italie se refinance.
Or, le taux d’intérêt sur les obligations d’État italiennes à 10 ans grimpe dangereusement, au-delà de 3,4%... c’est-à-dire même au-delà du taux grec.
Cela signifie que les marchés font plus confiance à la Grèce qu’à l’Italie pour rembourser sa dette… alors que la dette grecque est à 190% de son PIB.
Quand on regarde l’écart des taux entre les obligations italiennes (3,4%) et allemandes (environ 1,1%), on voit que le fossé s’accentue, ce qui entérine la vision que nous avons tous d’une UE à deux vitesses : le Nord productif et rigoureux, le Sud improductif et dispendieux.
La question est : combien de temps pourra-t-on maintenir l’unité d’une zone où les pays les plus endettés payent toujours plus cher pour se refinancer, sans croissance, tandis que les bons élèves ne veulent plus (et ne peuvent plus) payer pour eux ?
Passons vite sur la crise politique italienne, qui s’ajoute à la crise économique : Mario Draghi a échoué à maintenir l’union nationale, démissionne et ouvre la voie à des élections en automne.
Élections où les partis eurosceptiques sont bien placés pour faire un carton.
Plus de ZMO = plus d’euro
Je pourrais continuer longtemps à vous expliquer que les Italiens coulent et que les Allemands en ont marre de payer, mais vous avez compris.
Vous avez aussi compris que le destin italien préfigure le destin français : on a longtemps considéré l’Italie comme le « laboratoire politique » de l’Europe, car les scenarii électoraux qui s’y jouent sont généralement « imités » ailleurs, plus tard.
Cela semble aujourd’hui s’étendre à l’économie, car la France et sa dette à 115% du PIB, sa balance commerciale qui ressemble à une catapulte et son équipe de bras cassés au pouvoir n’est pas si loin du gouffre non plus…
Mais au-delà de tout ça, la zone euro est en péril car elle n’a plus de raison d’être.
Je vous explique :
En économie, on parle de « Zone Monétaire Optimale », ou ZMO, pour qualifier la situation où un groupe de pays a intérêt à créer une monnaie unique.
Cette situation est déterminée par un ensemble de facteurs :Or, en Europe, certes on échange beaucoup entre nous…
- Échanges intenses entre les pays du groupe
- Facteurs de production mobiles d’un pays à l’autre
- Caractéristiques économiques communes (budget, fiscalité, niveau de développement, objectif monétaires…)
Mais les facteurs de production ne sont pas si mobiles que ça, notamment les travailleurs, du fait de frontières linguistiques – entre autres – et surtout, on constate une très forte disparité entre les pays de la zone euro, qui va en s’accélérant.
On a d’un côté des pays très industrialisés (Pays-Bas, Allemagne, Autriche), de l’autres des pays qui peinent à suivre (Grèce, Italie, Espagne, Portugal), des dettes publiques qui vont de 10% du PIB (Estonie) à près de 200% (Grèce), des fiscalités et des budgets tout sauf harmonisés…
Et de ces différences naissent aussi des objectifs différents.
Comme on l’a vu, les pays d’Europe du Sud auraient préféré que la BCE rachète des obligations pour renflouer leurs dettes, là où l’Europe du Nord voulait assainir la situation au plus vite par une hausse des taux.
Or, quand on est dans la même voiture, on ne peut pas décider d’aller à gauche ET à droite en même temps. L’économie, ce n’est pas de la physique quantique… et tout indique que la zone euro est en train de se fragmenter.
Quand tout va exploser
Il est impossible de savoir quand et comment la zone euro va exploser.
La seule certitude, c’est qu’elle va a minima connaître des mutations profondes dans les années à venir.
Les cultures économiques inconciliables entre Nord et Sud, les attentes différentes des États-membres vis-à-vis des institutions, la récession et l’inflation, la possible faillite d’un ou plusieurs membres, le bras de fer entre la BCE et la Bundesbank, la défiance des peuples et l’absence de leader européen clair…
Tous ces facteurs d’instabilité finiront bien par dynamiter tout ou partie du grand projet européen, cette belle idée qui a été si mal exécutée.
Peut-être que ce sera l’Allemagne, hantée par l’hyperinflation de Weimar, qui claquera la porte en premier à cause d’un euro trop faible, tiré vers le bas par les boulets d’Europe du Sud.
Peut-être que ce sera l’Italie qui fera faillite, forçant la zone à rebattre les cartes et se réinventer – ou les partis eurosceptiques qui précipiteront sa sortie avant ça.
Peut-être que ce sera les désaccords géopolitiques sur l’énergie, le rapport à l’OTAN ou la guerre en Ukraine qui feront tout sauter.
Ou bien ce seront les peuples, agacés par le fonctionnement antidémocratique et autoritaire de l’Union, qui voteront çà et là pour conserver leur souveraineté…
D’ici là, il est urgent de diversifier son patrimoine… car détenir des euros n’a jamais été aussi risqué.
Une stratégie anti-crise à base de valeurs défensives et de matières premières semble indiquée – je vous en dis plus ici.
Amicalement,
Marc Schneider