avec, comme toujours, un grand remerciement à notre Pierre-Jean Llorens national, fidèle parmi les fidèles ...

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COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 03/02/2022

 
 

Semaine du 24 au 30 janvier 2022 : Le nombre de tests hebdomadaires repasse sous la barre des 10 millions, les délais de validation sont inchangés

 

Entre le 24 et le 30 janvier 2022, 9 293 400 tests RT-PCR et antigéniques pour la détection du SARS-Cov2 ont été validés (dont 68,0 % de tests antigéniques), contre 10 663 100 tests (dont 69,3 % de tests antigéniques) la semaine précédente, soit une baisse de 1 369 700 tests. Avec la 5ème vague début novembre, le volume de tests a fortement augmenté jusqu’à atteindre un pic de plus de 2 millions de tests validés le 10 janvier 2022. Il amorce une décrue depuis deux semaines, en particulier chez les moins de 66 ans.

 

La part des tests (ensemble des tests RT-PCR et antigéniques) validés en moins de 24 heures augmente légèrement par rapport à la semaine précédente, à 98 % cette semaine (contre 97 % la semaine précédente). La médiane et la moyenne des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR sont stables, respectivement à 0,4 et 0,5 jour.

Graphique 1A • Nombre de tests RT-PCR et antigéniques réalisés par jour et semaine glissante

 
 
 
 

Lecture : Le 30 janvier 2022, 363 571 résultats de tests ont été validés, dont 267 779 tests antigéniques. Du 24 janvier au 30 janvier 2022, 9 293 419 résultats de tests ont été validés, dont 6 319 425 tests antigéniques.
Champ : Tests RT-PCR remontés via l’enquête DREES auprès des laboratoires entre le 1er mars 2020 et le 7 juin 2020 ; et tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation depuis le 7 juin 2020, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Du fait de la montée en charge progressive de la saisie des tests antigéniques, le nombre de tests antigéniques dans SI-DEP est sous-estimé jusqu’à fin novembre 2020. Avant cette date, les résultats positifs associés étaient intégrés directement dans Contact-Covid afin de permettre le dispositif de contact tracing.
Source : SI-DEP - Enquête DREES Laboratoires ; calculs DREES

 

Le nombre de tests validés du 24 au 30 janvier 2022 est en diminution pour l’ensemble des tranches d’âge en particulier pour les moins de 66 ans (graphique 1B) : -417 000 tests pour les 0-15 ans, -288 000 tests pour les 16-25 ans, -326 000 pour les 26-40 ans, -307 000 tests pour les 41-65 ans, -26 000 tests pour les 66-75 ans et -5000 tests pour les plus de 75 ans.

 

Graphique 1B • Nombre de tests (RT-PCR et antigéniques) sur 7 jours glissants par tranche d’âge

 
 
 
 

Lecture : Entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022, 1 396 967 tests validés concernaient les 16-25 ans.
Champ : Tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation depuis le 7 juin 2020 et âge renseigné, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h.
Source : SI-DEP ; calculs DREES
Sur la semaine du 24 au 30 janvier, la part des tests antigéniques dans l’ensemble des tests est la plus élevée chez les 16-25 ans (77 %) et la plus faible chez les plus de 75 ans (35 %) (graphique 3).


Graphique 1C • Proportion de tests antigéniques réalisés parmi le total des tests RT-PCR et antigéniques (en %) par tranche d’âge, en date de validation sur une semaine glissante

 
 
 
 

Lecture : 77,0 % des tests réalisés par les 16-25 ans validés entre le 24 et le 30 janvier 2022 sont des tests antigéniques.
Champ : tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation jusqu’au 30 janvier 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.
Source : SI-DEP ; calculs DREES.


Tableau 1 • Comparaison de la proportion de tests antigéniques réalisés parmi le total des tests RT-PCR et antigéniques (en %) par tranche d’âge, entre les tests validés du 24 au 30 janvier 2022 et ceux validés entre le 17 au 23 janvier 2022

 
 
 
 

Lecture : 77,0 % des tests réalisés par les 16-25 ans validés entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022 sont des tests antigéniques.
Champ : tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation du 17 janvier au 30 janvier 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.
Source : SI-DEP ; calculs DREES.


Le volume de tests salivaires est concentré sur les plus jeunes âges et diminue depuis le 14 janvier 2022 avec le changement de protocole sanitaire en milieu scolaire (graphique 1D).

 

Graphique 1D • Nombre de tests salivaires sur 7 jours glissants par tranche d’âge

 
 
 
 

Lecture : Entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022, tests RT-PCR salivaires concernaient les 0-11 ans.
Champ : Tests RT-PCR salivaires avec dates de validation depuis le 1er février 2021 et âge renseigné, remontés dans les envois quotidiens SIDEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.
Source : SIDEP ; calculs DREES

 

La médiane et la moyenne des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR sont stables, respectivement à 0,4 et 0,5 jour (graphique 2).

 

Graphique 2 • Évolution des délais entre prélèvement et validation du résultat pour les tests RT-PCR en France

 
 
 
 

Lecture : Entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022, la moitié des tests RT-PCR ont été validés en 0,4 jour ou moins. Sur la même période, la moyenne du délai était de 0,5 jour.
Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation depuis le 25 juin 2020, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

La part des tests RT-PCR validés en moins de 24 h augmente légèrement à 93 % (contre 92 % la semaine précédente, graphiques 3 et 4).

 

Graphique 3 • Distribution des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR

 
 
 
 

Lecture : 99,5 % des tests RT-PCR validés entre le 24 et le 30 janvier 2022 ont été prélevés dans les 72h précédentes.
Champ : Tests RT-PCR remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Graphique 4 • Répartition des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022

 
 
 
 

Lecture : 93,4 % des tests RT-PCR validés entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022 ont été prélevés dans les 24h précédentes.
Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Plus de 8 départements sur 10 ont un délai médian entre prélèvement et validation du résultat d’un test RT-PCR inférieur à 12 h (cartes 1 et 2).

 

Carte 1 • Délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR par département entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022

 
 
 
 

Lecture : Entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022, le délai médian pour les résidents de l’Ain (01) est compris entre 0 et 0,5 jour, c’est-à-dire que plus de la moitié des tests ont un délai entre prélèvement et validation du résultat inférieur à 0,5 jour.
Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants. Le département est le département de résidence du patient.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Carte 2 • Délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR en Île-de-France entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022

 
 
 
 

Lecture : Entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022, le délai médian pour les résidents des Yvelines (78) est compris entre 0 et 0,5 jour, c’est-à-dire que plus de la moitié des tests ont un délai entre prélèvement et validation du résultat inférieur à 0,5 jour.
Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants. Le département est le département de résidence du patient.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

La part des tests antigéniques dans l’ensemble des tests réalisés est de 68% pour la France entière, Il y a cependant de fortes disparités territoriales. Les départements pour lesquels cette part est la plus importante sont la Guadeloupe (90,9 %), la Martinique (84,8 %) et les Hautes-Alpes (84,5 %, carte 3).

 

Carte 3 • Proportion de tests antigéniques par département entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022 (en %)

 
 
 
 

Lecture : Entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022, la part des tests antigéniques validés dans le Finistère (29) se situait entre 60 et 80 %.
Champ : Tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Le département est le département de résidence du patient.
Source : SI-DEP ; calculs DREES


Sur l’ensemble des tests (RT-PCR et antigéniques) validés la semaine du 24 janvier au 30 janvier 2022, la part des tests validés en moins de 24 heures s’élève à 98 %, contre 97 % la semaine précédente (graphique 5). Si l’on considère le délai en journées, et non plus en heures, ce sont 99 % des tests dont le résultat a été validé le jour ou le lendemain du prélèvement, comme lors de la semaine précédente (graphique 6).

 

Graphique 5 • Part des résultats validés en moins de 24 heures pour les tests RT-PCR et antigéniques

 
 
 
 

Lecture : 93,4 % des tests RT-PCR validés entre le 24 et le 30 janvier 2022 ont été prélevés dans les 24 heures précédentes. 97,8 % des tests RT-PCR et antigéniques validés entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022 ont été prélevés dans les 24 heures précédentes.
Champ : Tests RT-PCR et antigéniques remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.
Source : SI-DEP ; calculs DREES


Graphique 6 • Part des résultats validés le jour ou le lendemain du prélèvement pour les tests RT-PCR et antigéniques

 
 
 
 

Lecture : 98,6 % des tests RT-PCR validés entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022 ont été prélevés le jour-même ou la veille. 99,5 % des tests RT-PCR et antigéniques validés entre le 24 janvier et le 30 janvier 2022 ont été prélevés le jour-même ou la veille.
Champ : Tests RT-PCR et antigéniques remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 1er février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 
 
Consulter la datavisualisation
 
 

Méthodologie

 

La DREES exploite les données pseudonymisées du système d’information SI-DEP, qui portent notamment sur l’ensemble des tests RT-PCR réalisés par les laboratoires d’analyse médicale, et comportent des informations à la fois sur les résultats des tests et sur leurs délais de réalisation. Le calcul des délais pour les tests RT-PCR se fait à partir de la date de prélèvement du test (jour, heure, minute), déclarée par le laboratoire, et de la date d’intégration (jour, heure, minute) du test dans le système d’information, intégration qui doit se faire très rapidement après la validation du test. Les délais ici présentés pour les tests RT-PCR correspondent aux délais entre la date de prélèvement et la date d’intégration des résultats dans SI-DEP. Cependant, la date d’envoi des résultats aux patients par le laboratoire peut être postérieure à l’intégration des résultats dans SIDEP. Les délais entre date de prélèvement et réception des résultats des tests RT-PCR par les patients pourraient donc être supérieurs à ceux mesurés via SIDEP. Les statistiques présentées portent sur l’ensemble des tests RT-PCR réalisés, en date de validation du résultat.

 

Depuis le 17 octobre 2020, les tests antigéniques sont autorisés dans le cadre des dépistages individuels. Ils doivent être remontés depuis lors dans la base SIDEP par les laboratoires. En revanche, la saisie d’information dans SIDEP pour les professionnels de santé n’est possible que depuis le 16 novembre 2020, et a connu une phase de montée en charge. Afin d’estimer le nombre total de tests antigéniques réalisés depuis le 17 octobre 2020, la DREES utilise les données de l’Assurance maladie sur le nombre de tests remboursés en date de soins en complément des données renseignées dans SIDEP. Les tests antigéniques sont des tests pour lesquels le résultat est connu très rapidement, avec un délai entre prélèvement et validation du résultat généralement inférieur à 30 minutes.

 

Par ailleurs, si une même personne a réalisé successivement deux tests, ces deux tests sont donc comptés. Les données sur le nombre de tests diffèrent de celles publiées par Santé publique France, en date de prélèvement du test.

 

Enfin, entre début mars et début juin 2020, préalablement au déploiement complet de SIDEP, la DREES a mis en place à la demande du centre de crise sanitaire un système d’information permettant de comptabiliser le nombre de tests RT-PCR réalisés en France, à partir des déclarations des sites réalisant les tests (et non les prélèvements comme dans SIDEP).

 

Dans le cadre de l’exploitation des données SIDEP, la DREES procède à quelques retraitements des données. En particulier, les tests remontés avec un pseudonyme manquant sont supprimés. Dans le cas d’un même test remonté plusieurs fois (mise à jour de certaines informations sur le patient par exemple), la DREES conserve la ligne la plus récente, à l’exception de la date d’intégration dans SIDEP dont on retient la valeur la plus ancienne, assimilée à la date de validation du résultat.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Sous embargo jusqu’au 4 février 2022 à 6 heures

 
 

Paris, le 03/02/2022

 
 

Les prestations santé versées par les organismes complémentaires en nette baisse en 2020

 

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie le rapport annuel à destination du Parlement sur la situation financière des organismes complémentaires assurant une couverture santé. Ce rapport analyse les principaux aspects de l’activité d’assurance santé de ces organismes : cotisations collectées, prestations reversées, charges de gestion, rentabilité. Il analyse également leur solvabilité financière globale ainsi que leur démographie.


En 2020, année marquée par la crise de Covid-19, les prestations versées par les organismes complémentaires diminuent de 7,9 %, hors provisions pour sinistres
Les prestations hors provisions pour sinistres s’établissent à 27,9 Md€ en 2020, après 30,3 Md€ en 2019. Les provisions pour sinistres comprennent, pour cette année, les provisions constituées par les organismes complémentaires en prévision du versement de la contribution exceptionnelle liée à l’épidémie de Covid 19 instituée par la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2021. Si on inclut les variations de provisions pour sinistres, les prestations santé diminuent de 1,8 %, à 29,8 Md€. Cette baisse est liée au ralentissement historique de l’ensemble de la consommation de soins et biens médicaux (CSBM) en 2020, du fait des mesures de restriction sanitaire.

 

Les cotisations en santé diminuent également en 2020, de 0,3 % (38,2 Md€)
Cette baisse s’explique notamment par la montée en charge de la réforme de la Complémentaire santé solidaire (CSS) qui réduit progressivement les cotisations perçues par les organismes complémentaires au titre d’un contrat d’Aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS). Au-delà de cet effet, l’évolution des cotisations reflète également la dégradation du marché du travail consécutive à la pandémie de Covid-19.


En 2020, les organismes ont reversé aux assurés 78 % de leurs cotisations sous forme de prestations, après 79 % en 2019
Hors provisions pour sinistres, ce ratio diminue fortement en 2020, à 73 %, du fait de la baisse exceptionnelle des prestations versées.


En 2020, les organismes complémentaires ont dans leur ensemble dégagé des excédents sur leur activité santé
Ces excédents représentent au total 637 millions d’euros, soit 1,7 % des cotisations collectées hors taxe en 2020. Les excédents de 2020 sont supérieurs à ceux de 2019 qui s’élevaient à 462 millions d’euros, ce qui reflète notamment la baisse des prestations (y compris variation de provisions) plus marquée que celle des cotisations, en lien avec la crise de Covid-19.


Sur la totalité de leur activité d’assurance, les organismes exerçant une activité d’assurance santé ont en moyenne dégagé des excédents en 2020
En outre, ces organismes sont financièrement solides : les montants de fonds propres dont ils disposent sont très supérieurs aux minima réglementaires.


La concentration du marché de la complémentaire se confirme en 2020
Le nombre d’organismes exerçant une activité santé baisse depuis le début des années 2000. Ainsi, le nombre de mutuelles a été divisé par cinq depuis 2001 et celui des institutions de prévoyance par deux. En revanche, le nombre de sociétés d’assurances a peu baissé durant cette période.


À propos du rapport
Par la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2009 (article 12 modifiant l’article L.862-7 du Code de la Sécurité sociale), le Gouvernement a été chargé d’établir, chaque année, à destination du Parlement et de rendre public un rapport présentant la situation financière des organismes d’assurance complémentaire en santé qui ont acquitté la taxe de solidarité additionnelle aux cotisations d’assurance (TSA). Ce rapport, élaboré par la DREES, présente les résultats obtenus pour l’année 2020 et les compare à ceux des années précédentes. Ceux-ci s’appuient principalement sur des données recueillies par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) et par l’Urssaf Caisse nationale. Ce rapport se concentre en particulier sur l’activité santé (« frais de soins ») des organismes d’assurances. Ce rapport comprend six chapitres. Le premier présente les organismes du marché de l’assurance complémentaire santé et leur démographie. Les quatre suivants analysent tour à tour les principaux aspects de l’activité d’assurance santé : cotisations collectées, prestations reversées, charges de gestion, rentabilité. Enfin, le dernier chapitre analyse, pour les organismes qui exercent une activité de complémentaire santé, leur solvabilité financière globale et leur respect des règles prudentielles.

 
 
Consulter la publication
 
 

Pour en savoir plus

  • Consulter le Rapport 2020 – La Situation financière des organismes complémentaires assurant une couverture santé
  • le Panorama 2020 – Les dépenses de santé en 2020 – Résultats des comptes de la santé 2020 - Edition 2021

 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

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PROFESSIONNELS DE SANTÉ Publié le 31 janvier 2022

Vaccination et dose de rappel obligatoires pour certaines professions

Agents publics ou salariés, les personnels des établissements et services sanitaires et médico‑sociaux avaient jusqu'au 15 octobre 2021 pour (...)   Lire la suite >

 SOCIAL - SANTÉ

PROTECTION CONTRE LE COVID-19 Publié le 03 février 2022

Des masques FFP2 gratuits en pharmacie pour les personnes immunodéprimées

Les personnes immunodéprimées qui présentent un risque de développer des formes graves du Covid-19 peuvent obtenir gratuitement des masques FFP2 (...)   Lire la suite >

ÉPIDÉMIE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 31 janvier 2022

Une 5e distribution de masques gratuits pour les personnes précaires

Le port du masque est obligatoire notamment dans les espaces publics clos, au travail, dans les transports en commun. Il est recommandé de (...)   Lire la suite >

PRESTATIONS SOCIALES Publié le 02 février 2022

Allocations journalières du proche aidant et de présence parentale, allocation adultes handicapés : ce qui change à partir de janvier 2022

Le congé de proche aidant est étendu et revalorisé, l'allocation journalière de présence parentale est rehaussée, la durée de la prestation de (...)   Lire la suite >

ALLOCATIONS FAMILIALES Publié le 02 février 2022

En cas de décès d'un enfant, les prestations familiales sont-elles maintenues ?

Les prestations familiales comme les allocations familiales, l'allocation forfaitaire, le complément familial et sa majoration, l'allocation de (...)   Lire la suite >

 ARGENT

IDÉE REÇUE Publié le 03 février 2022

Doit-on déclarer les revenus tirés de ventes d'objets personnels sur internet ?

[Vidéo] Vous vendez une voiture d'occasion, des meubles ou de l'électroménager dont vous souhaitez vous débarrasser. Vous vendez des objets que vous fabriquez ou encore vous achetez des biens pour les revendre... Service-Public.fr fait le point sur les règles qui s'appliquent pour les ventes sur internet, sur une application, ou en face à face, par exemple lors d'un vide-greniers.   Lire la suite >

EDF Publié le 02 février 2022

La hausse des tarifs réglementés de l'électricité plafonnée à 4 % au 1er février

Les tarifs réglementés de l'électricité augmentent de 4 % au 1er février 2022, cette hausse est plafonnée dans le cadre du « bouclier tarifaire » (...)   Lire la suite >

PÉAGES Publié le 01 février 2022

Nouveaux tarifs d'autoroutes au 1er février 2022

Les tarifs des péages d'autoroutes augmentent d'environ 2 % à partir du 1er février 2022 chez l'ensemble des sociétés d'exploitation. En (...)   Lire la suite >

À PARTIR DU

01 FÉVR.

2022

 

ÉPARGNE

Livret A : taux augmenté à 1 % au 1er février 2022

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 FAMILLE

BACCALAURÉAT 2022 Publié le 01 février 2022

Les épreuves de spécialité du bac sont reportées en mai 2022

Initialement programmées mi-mars, les épreuves de spécialité du bac général et technologique sont reportées du 11 au 13 mai 2022, en raison des (...)   Lire la suite >

 LOGEMENT

SYNDICS DE COPROPRIÉTÉ Publié le 02 février 2022

Assemblées générales de copropriété à distance : jusqu'à quand et à quelles conditions ?

Vous êtes copropriétaire ? Depuis le début de la crise sanitaire, vous avez expérimenté les assemblées générales à distance ? Ces dernières sont (...)   Lire la suite >

PROPRIÉTAIRES-BAILLEURS Publié le 03 février 2022

Loc'Avantage : réduire ses impôts en louant moins cher 

Louer moins cher à un locataire aux revenus modestes présente des avantages fiscaux pouvant aller jusqu'à 65 % de réduction d'impôt sur les (...)   Lire la suite >

VIE-PUBLIQUE.FR Publié le 01 février 2022

Épandage de pesticides près des habitations : quelles nouvelles règles ?

Les règles concernant l'usage de pesticides près des zones habitées viennent d'être précisées par deux textes publiés au Journal officiel du 26 (...)   Lire la suite >

NEIGE, PLUIE, VAGUES... Publié le 31 janvier 2022

Comprendre les niveaux de vigilance en cas d'alerte météo

[Vidéo] Vents violents, pluie, neige, grand froid, vagues... : quelle vigilance en cas de danger météorologique ? Pour tout savoir sur le sujet, retrouvez notre vidéo avec toutes les réponses pratiques aux questions que vous vous posez sur les niveaux de vigilance météorologique.   Lire la suite >

Tout savoir sur le passe vaccinal

Publié le 03 février 2022

Depuis le 24 janvier 2022, le passe vaccinal est obligatoire pour accéder à certains lieux recevant du public comme les cinémas, les musées, les (...)   Lire le dossier >

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La campagne de vaccination contre la grippe se poursuit jusqu'au 28 février 2022

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COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 04/02/2022

 
 

La vague Omicron a d’abord frappé les régions du Nord-Ouest, pour les cas puis pour les hospitalisations


L’actualisation des résultats relatifs à l’épidémie de Covid-19 publiés chaque semaine par la Drees à partir des données de tests, de vaccination et d’hospitalisation confirme la surreprésentation des personnes non vaccinées dans les évènements liés au Covid-19 par rapport à leur part dans la population générale, et la protection conférée par le vaccin contre les formes graves.

 

Entre le 27 décembre 2021 et le 23 janvier 2022, les 8 % de personnes non vaccinées dans la population française de 20 ans ou plus représentent :
- 15 % des tests PCR positifs chez les personnes symptomatiques ;
- 35 % des admissions en hospitalisation conventionnelle avec Covid-19 ;
- 48 % des entrées en soins critiques avec Covid-19 ;
- 44 % des décès après hospitalisation avec Covid-19.


De plus, entre le 24 et le 30 janvier 2022, le variant Omicron concerne, selon nos estimations :

- 99 % des tests PCR positifs ;
- 94 % des entrées hospitalières conventionnelles ;
- 87 % des admissions en soins critiques ;
- 74 % des décès survenus à l’hôpital avec Covid-19.


La représentation moindre du variant Omicron chez les personnes hospitalisées que chez celles testées positives demeure donc, même si cette différence de prévalence s’amenuise semaine après semaine. Elle est la résultante de deux effets :

- d'une part, la temporalité de ces évènements diffère puisque les infections précèdent les hospitalisations d’environ une semaine, elles-mêmes précédant les décès d’environ une semaine ;
- d’autre part, le rythme d’augmentation de la part de variant Omicron chez les personnes hospitalisées est plus modéré que chez les personnes testées positives, mais toutes ces parts devraient finir par atteindre près de 100 %

 

L’estimation de la protection conférée par le vaccin et son rappel contre les formes graves – hospitalisations et décès - selon le variant est également mise à jour, via une modélisation qui distingue l’efficacité vaccinale par âge. Ainsi, le vaccin, et plus particulièrement avec dose de rappel, reste protecteur contre les formes graves d’Omicron (plus de 75 % de protection vaccinale pour les 20 ans ou plus) et particulièrement contre les décès (90 % de protection vaccinale pour les 40 ans ou plus) même si la protection est réduite par rapport au variant Delta. En revanche, la protection contre l’infection symptomatique diminue nettement pour le variant Omicron par rapport au variant Delta.

 

Quelle que soit la protection vaccinale des patients, le variant Omicron apparaît, selon cette modélisation, bien moins létal que le variant Delta : les patients atteints par Omicron voient leur risque de décéder après être passé à l’hôpital réduit de plus de la moitié pour tous les statuts vaccinaux et classes d’âge par rapport au variant Delta.

 

Les durées d’hospitalisation apparaissent, à ce stade, un peu plus courtes pour le variant Omicron que pour le variant Delta, mais ces estimations peuvent encore être revues dans les prochaines semaines à mesure que davantage de séjours complets auront pu être observés.

 

Nouveauté cette semaine, la propagation du variant Omicron au sein des régions françaises est retracée pour les tests puis les hospitalisations. En France métropolitaine, elle a commencé plus précocement dans le Nord-Ouest et a été plus tardive dans les régions du Sud (cartes).

 

Cartes : proportion d’Omicron détecté parmi les patients dont un test RT-PCR a été positif (ligne 1), admis en hospitalisation conventionnelle (ligne 2) et en soins critiques (ligne 3).
En moyenne durant 3 semaines: semaine du 26 décembre 2021 (colonne 1), du 9 janvier 2022 (colonne 2) et semaine du 23 janvier 2022 (colonne 3).

 
 
 
 

Les données sous-jacentes à ces résultats nationaux ainsi que des déclinaisons régionales et par classe d’âge sont mises à disposition sous forme de fichiers csv permettant d’exploiter plus finement les résultats présentés. Ces fichiers ainsi que des graphiques complémentaires en format pdf sont disponibles sur le site de données ouvertes de la DREES. En particulier, le fichier par âge contient les variables de proportion d’Omicron parmi les tests et les entrées hospitalières.

 
 
Consulter la note détaillée de la DREES
 
 
Données au niveau nationale
 
 
Données par âge
 
 
Données régionales
 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 04/02/2022

 
 

Les prestations santé versées par les organismes complémentaires en nette baisse en 2020

 

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie le rapport annuel à destination du Parlement sur la situation financière des organismes complémentaires assurant une couverture santé. Ce rapport analyse les principaux aspects de l’activité d’assurance santé de ces organismes : cotisations collectées, prestations reversées, charges de gestion, rentabilité. Il analyse également leur solvabilité financière globale ainsi que leur démographie.


En 2020, année marquée par la crise de Covid-19, les prestations versées par les organismes complémentaires diminuent de 7,9 %, hors provisions pour sinistres
Les prestations hors provisions pour sinistres s’établissent à 27,9 Md€ en 2020, après 30,3 Md€ en 2019. Les provisions pour sinistres comprennent, pour cette année, les provisions constituées par les organismes complémentaires en prévision du versement de la contribution exceptionnelle liée à l’épidémie de Covid 19 instituée par la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2021. Si on inclut les variations de provisions pour sinistres, les prestations santé diminuent de 1,8 %, à 29,8 Md€. Cette baisse est liée au ralentissement historique de l’ensemble de la consommation de soins et biens médicaux (CSBM) en 2020, du fait des mesures de restriction sanitaire.

 

Les cotisations en santé diminuent également en 2020, de 0,3 % (38,2 Md€)
Cette baisse s’explique notamment par la montée en charge de la réforme de la Complémentaire santé solidaire (CSS) qui réduit progressivement les cotisations perçues par les organismes complémentaires au titre d’un contrat d’Aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS). Au-delà de cet effet, l’évolution des cotisations reflète également la dégradation du marché du travail consécutive à la pandémie de Covid-19.


En 2020, les organismes ont reversé aux assurés 78 % de leurs cotisations sous forme de prestations, après 79 % en 2019
Hors provisions pour sinistres, ce ratio diminue fortement en 2020, à 73 %, du fait de la baisse exceptionnelle des prestations versées.


En 2020, les organismes complémentaires ont dans leur ensemble dégagé des excédents sur leur activité santé
Ces excédents représentent au total 637 millions d’euros, soit 1,7 % des cotisations collectées hors taxe en 2020. Les excédents de 2020 sont supérieurs à ceux de 2019 qui s’élevaient à 462 millions d’euros, ce qui reflète notamment la baisse des prestations (y compris variation de provisions) plus marquée que celle des cotisations, en lien avec la crise de Covid-19.


Sur la totalité de leur activité d’assurance, les organismes exerçant une activité d’assurance santé ont en moyenne dégagé des excédents en 2020
En outre, ces organismes sont financièrement solides : les montants de fonds propres dont ils disposent sont très supérieurs aux minima réglementaires.


La concentration du marché de la complémentaire se confirme en 2020
Le nombre d’organismes exerçant une activité santé baisse depuis le début des années 2000. Ainsi, le nombre de mutuelles a été divisé par cinq depuis 2001 et celui des institutions de prévoyance par deux. En revanche, le nombre de sociétés d’assurances a peu baissé durant cette période.


À propos du rapport
Par la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2009 (article 12 modifiant l’article L.862-7 du Code de la Sécurité sociale), le Gouvernement a été chargé d’établir, chaque année, à destination du Parlement et de rendre public un rapport présentant la situation financière des organismes d’assurance complémentaire en santé qui ont acquitté la taxe de solidarité additionnelle aux cotisations d’assurance (TSA). Ce rapport, élaboré par la DREES, présente les résultats obtenus pour l’année 2020 et les compare à ceux des années précédentes. Ceux-ci s’appuient principalement sur des données recueillies par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) et par l’Urssaf Caisse nationale. Ce rapport se concentre en particulier sur l’activité santé (« frais de soins ») des organismes d’assurances. Ce rapport comprend six chapitres. Le premier présente les organismes du marché de l’assurance complémentaire santé et leur démographie. Les quatre suivants analysent tour à tour les principaux aspects de l’activité d’assurance santé : cotisations collectées, prestations reversées, charges de gestion, rentabilité. Enfin, le dernier chapitre analyse, pour les organismes qui exercent une activité de complémentaire santé, leur solvabilité financière globale et leur respect des règles prudentielles.

 
 
Consulter la publication
 
 

Pour en savoir plus

  • Consulter le Rapport 2020 – La Situation financière des organismes complémentaires assurant une couverture santé
  • le Panorama 2020 – Les dépenses de santé en 2020 – Résultats des comptes de la santé 2020 - Edition 2021

 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

Comment recruter et fidéliser
les jeunes talents ?


Bonjour Claire,

Vous vous demandez comment satisfaire les attentes des nouvelles générations comme les Z, cette ultime énigme ?

Selon Agnès Duroni, fondatrice d’Adevea, « les jeunes candidats ont plus envie d’avoir une idée de la vraie vie de l’entreprise que de lire un texte institutionnel » … du bon sens finalement !

Entre nouvelles aspirations des futures générations et fausses croyances des recruteurs, il est facile de s’y perdre…

En collaboration avec Parlons RH, Monster vous propose un guide complet dans lequel vous découvrirez qui ils sont vraiment mais aussi toutes les techniques pour mieux les recruter et les fidéliser.

Inclus dans ce livre blanc spécial jeunes diplômés :

  • Recruter sur TikTok & co : pourquoi vous devez passer le cap
  • 5 soft skills pour aider les managers à s’adapter aux nouvelles générations
  • Des témoignages d’experts
  • 9 conseils pour leur donner envie de postuler
  • Fidélisation des salariés : savoir donner des perspectives aux jeunes
  • Intégration des jeunes dans l’entreprise : 9 conseils pour réussir l’on-boarding
  • + un dossier spécial de 6 pages sur l’alternance 
Je télécharge le guide
 
Est-ce légal de ne pas être augmenté chaque année ?
Cadremploi a interrogé un avocat sur le caractère obligatoire ou facultatif de l'augmentation individuelle.
Lire la suite

E T U D E :

Le Cercle Perspectives qui regroupe 17 cabinets d’expertise-comptable parmi les plus importants du marché national, présents dans plus de 840 villes françaises a conduit en décembre 2021 une enquête sans précédent auprès de 4 433 TPE/PME, dont 333 en Auvergne Rhône-Alpes, afin de faire le point sur leur situation et leurs perspectives de développement après deux ans d’une crise sanitaire et économique qui les a mises à rude épreuve.

 

Cette enquête montre que les TPE/PME ont su faire preuve d’inventivité pour surmonter la crise et qu’elles sont aujourd’hui très majoritairement confiantes dans l’avenir, en dépit des défis qu’il leur reste à relever (hausse des prix, difficultés à recruter, ruptures d’approvisionnement etc).

 

L’objectif du Cercle Perspectives consiste à promouvoir les TPE, ETI et PME en étant force de propositions vis-à-vis des pouvoirs publics et autres instances représentatives du monde économique.

Si vous le souhaitez, Antoine de Riedmatten, président du directoire du cabinet In Extenso, membre du Cercle Perspectives, serait heureux de commenter les résultats de cette étude pour la région Auvergne Rhône-Alpes.

 

10 chiffres clés sur la situation des TPE/PME dans la région Auvergne Rhône-Alpes

Cette étude montre que les TPE/PME sont, dans la région Auvergne Rhône-Alpes : 

  1. 76,2% à estimer que leur chiffre d’affaires sera, en 2022, plus élevé ou égal à celui de 2019, avant la pandémie (contre 73,2% au niveau national) ;
  2. Elles sont confiantes dans l’avenir de leur entreprise dans les 3 prochaines années à 80,4% (contre 79,5% au niveau national) ;
  3. 36,7% à prévoir de réaliser de nouveaux investissements (33,1% au niveau national), 31,3% à envisager de développer de nouveaux services ou produits (37,3% au niveau national), et 30,9% à souhaiter réaliser de nouveaux partenariats (28,9% au niveau national) ;
  4. 8/10 à déclarer avoir pu améliorer ou maintenir la qualité de leur relation client (même chiffre qu’au niveau national) ;
  5. 65,7% ont bénéficié d’au moins une aide publique pour affronter la crise (66,6% au niveau national), dont les PGE mais peu encore l’ont remboursé
  6. pour celles qui ont contracté un PGE, 85,8% ne l’ont pas encore remboursé (84,4% au niveau national) et 32,1% à déclarer penser avoir des difficultés à la rembourser (33,5% au niveau national) ;
  7. 83,2% déclarent que la hausse des prix impacte leurs coûts de production (84,1% au niveau national) et 70,7% à être perturbées par les ruptures d’approvisionnement (68,1% au niveau national). ;
  8. 82,3% ont des difficultés à recruter - pour celles qui ont des recrutements en cours- ou à conserver des profils correspondant à leurs besoins (82,9% au niveau national) ;
  9. 53,3% estiment que leurs engagements sociaux et environnementaux sont importants (56,3% au niveau national)
  10. 26,4% à avoir renforcé récemment leur protection face aux cyber-attaques (20,2% au niveau national) et 20,8% seulement à estimer avoir le temps et les ressources nécessaires pour anticiper les risques pouvant peser sur leur activité (24,6% au niveau national).

 

RH, les créations de postes se multiplient

On ne le dira jamais assez. Rares ont été les périodes où les professionnels des fonctions RH ont été autant sollicités et sommés de s’adapter à une situation de pandémie mondiale inédite et dont on connaît les résonnances sur le monde du travail...

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Les Français lisent-ils plus que leurs voisins ?

Paris, le 8 février 2022

L'institut Gallup révélait cette semaine que les Américains ont lu en 2021 en moyenne trois livres de moins qu’en 2016 . Ce chiffre grimpe à 7 livres lus en moins qu’en 2016 pour les jeunes diplômés.
En France, on constate que, malgré deux années de pandémie, le secteur du livre se porte plutôt bien. En effet, en 2020 en dépit des confinements le marché du livre n’a connu qu’une baisse de 2% .
Qu’en est-il en France, lit-on toujours autant ? Comment des entreprises françaises nous incitent-elles à lire davantage ?

1 La lecture concurrencée par d’autres loisirs
2 Les Français aiment toujours lire
3 Une application associant plaisir de lire et réseaux sociaux
4 A propos de Gleeph

 

 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Sous embargo jusqu’au 9 février 2022 à 6 heures

 
 

Paris, le 08/02/2022

 
 

Fortes inégalités sociales face au risque de survenue d’un accident vasculaire cérébral en France et dans sa prise en charge

 

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie une nouvelle étude sur la survenue des accidents vasculaires cérébraux (AVC), leur fréquence, la prise en charge et les séquelles selon le niveau de vie des personnes. À partir des données appariées de l’échantillon démographique permanent et des données de santé (EDP-santé), cette étude décrit les inégalités sociales de santé relatives aux AVC : un taux de survenue plus important chez les personnes au niveau de vie le plus modeste, une moindre prise en charge dans les unités spécialisées neuro-vasculaire (UNV), des séquelles plus importantes à la sortie de l’hospitalisation et à l’inverse, un risque de décès à 1 an plus faible chez les personnes les plus aisées.

 

En 2019, 123 000 personnes ont été hospitalisées pour un AVC. Les accidents vasculaires cérébraux représentant une cause importante de handicap et constituent l’une des principales causes de mortalité.


Le risque de survenue d’un AVC est plus élevé parmi les personnes au niveau de vie le plus modeste

Entre 2014 et 2017, la fréquence de survenue d’un accident vasculaire cérébral parmi les personnes appartenant aux 25% les plus modestes est 40 % plus élevée que parmi celles appartenant aux 25 % les plus aisées. Ces disparités varient selon l’âge : plus faibles avant 45 ans, c’est parmi les 45-64 ans qu’elles sont le plus marquées avant de s’estomper aux grands âges (85 ans ou plus) (cf. Graphique). Parmi les 45-64 ans, le taux de survenue est presque deux fois supérieur chez les plus modestes par rapport aux plus aisés.

 
 
 
 

Une moindre chance d’être pris en charge dans une unité neuro-vasculaire pour les personnes les plus âgées et les plus modestes

La prise en charge hospitalière diffère selon la gravité de l’état de santé du patient et du type d’accident vasculaire cérébral. Dans le cas des AVC ischémiques (liés le plus souvent à une occlusion d’une artère cérébrale par un caillot de sang), les services les plus adaptés sont les unités neuro-vasculaires (UNV). Entre 2014 et 2017, seulement 52 % des patients ayant eu un AVC ischémique ont été pris en charge en UNV. Un faible niveau de vie est associé à une chance moindre d’être pris en charge en UNV à âge, sexe et nombre de lits dans le département comparables : les personnes les plus modestes ont 10 % de chances en moins d’être accueillies dans ces unités. De même, ces chances diminuent avec l’âge, ce constat pouvant être relié à l’offre de soins en lits d’UNV : le nombre de ces lits étant limité, ils seraient réservés en priorité aux patients les plus jeunes.

 

Un risque de séquelles plus élevé parmi les personnes les plus modestes

Après un AVC, plusieurs séquelles peuvent survenir dont les plus fréquentes sont la paralysie et les troubles du langage. Appartenir aux 25 % des personnes les plus modestes augmente le risque de 22 % de paralysie qui persiste au-delà de 24 heures. De même pour les troubles du langage où le risque est accru de 11 % chez les plus modestes par rapport aux personnes appartenant aux 25% les plus aisées.

 

Un risque de décès un an après l’AVC plus faible parmi les plus aisés

27 % des patients décèdent dans l’année qui suit leur AVC avec une différence notable selon le type d’AVC : le pourcentage s’élève à 41 % pour les AVC hémorragiques contre 23 % pour les AVC ischémiques. Si l’on compare le risque de décès à caractéristiques démographiques comparables (âge, sexe, vivre seul, état de santé et type de prise en charge), il apparait qu’un niveau de vie élevé est associé à une diminution de 11 % du risque de décès à un an. Parmi les AVC ischémiques, la diminution du risque de décès à un an parmi les plus aisés est de 13 %.

 
 
Consulter la publication
 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 10/02/2022

 
 

Semaine du 31 janvier au 6 février 2022 : un quart de tests en moins par rapport à la semaine précédente, les délais de validation restent inchangés

 

Entre le 31 janvier et le 6 février 2022, 6 990 900 tests RT-PCR et antigéniques pour la détection du SARS-Cov2 ont été validés (dont 65,7 % de tests antigéniques), contre 9 308 900 tests (dont 68,0 % de tests antigéniques) la semaine précédente, soit une baisse d’environ 25 % du volume de tests.

 

Depuis le pic observé le lundi 10 janvier 2022 (jour où plus de 2 millions de tests ont été validés), le nombre de tests est en repli. La baisse est particulièrement marquée chez les moins de 65 ans.

 

La part des tests (ensemble des tests RT-PCR et antigéniques) validés en moins de 24 heures reste stable par rapport à la semaine précédente, à hauteur de 98 %.

 

Graphique 1A • Nombre de tests RT-PCR et antigéniques réalisés par jour et semaine glissante

 
 
 
 

Lecture : Le 6 février 2022, 240 535 résultats de tests ont été validés, dont 162 852 tests antigéniques. Du 31 janvier au 6 février 2022, 6 990 940 résultats de tests ont été validés, dont 4 593 413 tests antigéniques.
Champ : Tests RT-PCR remontés via l’enquête DREES auprès des laboratoires entre le 1er mars 2020 et le 7 juin 2020 ; et tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation depuis le 7 juin 2020, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h.
Source : SI-DEP - Enquête DREES Laboratoires ; calculs DREES

 

Le nombre de tests validés du 31 janvier au 6 février 2022 est en diminution pour l’ensemble des tranches d’âge mais de façon plus notoire chez les moins de 66 ans (évolution du nombre de tests : 0-15 ans : -752 000 tests, 16-25 ans : -392 000 tests, 26-40 ans : -532 000 tests, 41-65 ans : -550 000 tests, 66-75 ans : -55 600 tests, 76-100 ans : -39 000 tests, graphique 1B).

 

Graphique 1B • Nombre de tests (RT-PCR et antigéniques) sur 7 jours glissants par tranche d’âge

 
 
 
 

Lecture : Entre le 31 janvier et le 6 février 2022, 1 007 112 tests validés concernaient les 16-25 ans.
Champ : Tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation depuis le 7 juin 2020 et âge renseigné, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Les tests antigéniques représentent 65,7 % de l’ensemble des tests. Cependant, leur part, parmi l’ensemble des tests réalisés est très disparate entre les classes d’âge. Au cours de la semaine du 24 au 30 janvier 2022, elle est de 75 % pour les 16-25 ans contre 35 % chez les plus de 75 ans (graphique 2).

 

Graphique 1C • Proportion de tests antigéniques réalisés parmi le total des tests RT-PCR et antigéniques (en %) par tranche d’âge, en date de validation sur une semaine glissante

 
 
 
 

Lecture : 75,4 % des tests réalisés par les 16-25 ans validés entre le 31 janvier et le 6 février 2022 sont des tests antigéniques.
Champ : tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation jusqu’au 6 février 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.
Source : SI-DEP ; calculs DREES.


On observe une hausse du nombre de tests salivaires depuis le début du mois de septembre, concentrée sur les plus jeunes âges, en lien avec la rentrée scolaire (graphique 1D).

 

Graphique 1D • Nombre de tests salivaires sur 7 jours glissants par tranche d’âge

 
 
 
 

Lecture : Entre le 31 janvier et le 6 février 2022, tests RT-PCR salivaires concernaient les 0-11 ans.
Champ : Tests RT-PCR salivaires avec dates de validation depuis le 1er février 2021 et âge renseigné, remontés dans les envois quotidiens SIDEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h. Suppression des lignes avec pseudonymes manquants et des tests en doublon.
Source : SIDEP ; calculs DREES

La médiane et la moyenne des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR diminuent et atteignent respectivement à 0,4 et 0,5 jour (graphique 2).

 

Graphique 2 • Évolution des délais entre prélèvement et validation du résultat pour les tests RT-PCR en France

 
 
 
 

Lecture : Entre le 31 janvier et le 6 février 2022, la moitié des tests RT-PCR ont été validés en 0,4 jour ou moins. Sur la même période, la moyenne du délai était de 0,5 jour.
Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation depuis le 25 juin 2020, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

La part des tests RT-PCR validés en moins de 24 h augmente pour atteindre 95 % contre 93 % la semaine précédente (Graphiques 3 et 4).

 

Graphique 3 • Distribution des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR

 
 
 
 

Lecture : 99,6 % des tests RT-PCR validés entre le 31 janvier et le 6 février 2022 ont été prélevés dans les 72h précédentes.
Champ : Tests RT-PCR remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Graphique 4 • Répartition des délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR entre le 31 janvier et le 6 février 2022

 
 
 
 

Lecture : 94,8 % des tests RT-PCR validés entre le 31 janvier et le 6 février 2022 ont été prélevés dans les 24h précédentes.
Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 31 janvier et le 6 février 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Plus de 9 départements sur 10 ont un délai médian entre prélèvement et validation du résultat d’un test RT-PCR inférieur à 12 h (Cartes 1 et 2).

 

Carte 1 • Délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR par département entre le 31 janvier et le 6 février 2022

 
 
 
 

Lecture : Entre le 31 janvier et le 6 février 2022, le délai médian pour les résidents de l’Ain (01) est compris entre 0 et 0,5 jour, c’est-à-dire que plus de la moitié des tests ont un délai entre prélèvement et validation du résultat inférieur à 0,5 jour.
Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 31 janvier et le 6 février 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants. Le département est le département de résidence du patient.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Carte 2 • Délais entre prélèvement et validation du résultat des tests RT-PCR en Île-de-France entre le 31 janvier et le 6 février 2022

 
 
 
 

Lecture : Entre le 31 janvier et le 6 février 2022, le délai médian pour les résidents des Yvelines (78) est compris entre 0 et 0,5 jour, c’est-à-dire que plus de la moitié des tests ont un délai entre prélèvement et validation du résultat inférieur à 0,5 jour.
Champ : Tests RT-PCR avec dates de validation entre le 31 janvier et le 6 février 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants. Le département est le département de résidence du patient.
Source : SI-DEP ; calculs DREES 


Les départements où la part des tests antigéniques est la plus élevée sont la Guadeloupe (90,6 %) et la Martinique (84,9 %, carte 3).

 

Carte 3 • Proportion de tests antigéniques par département entre le 31 janvier et le 6 février 2022 (en %)

 
 
 
 

Lecture : Entre le 31 janvier et le 6 février 2022, la part des tests antigéniques validés dans le Finistère (29) se situait entre 60 et 80 %.
Champ : Tests RT-PCR et antigéniques avec dates de validation entre le 31 janvier et le 6 février 2022 inclus, remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h. Le département est le département de résidence du patient.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Sur l’ensemble des tests (RT-PCR et antigéniques) validés la semaine du 31 janvier au 6 février 2022, la part des tests validés en moins de 24 heures s’élève à 98 %, un pourcentage identique à celui de la semaine précédente (graphique 5). Si l’on considère le délai en journées, et non plus en heures, ce sont plus de 99 % des tests dont le résultat a été validé le jour ou le lendemain du prélèvement (graphique 6).

 

Graphique 5 • Part des résultats validés en moins de 24 heures pour les tests RT-PCR et antigéniques

 
 
 
 

Lecture : 94,8 % des tests RT-PCR validés entre le 31 janvier et le 6 février 2022 ont été prélevés dans les 24 heures précédentes. 98,1 % des tests RT-PCR et antigéniques validés entre le 31 janvier et le 6 février 2022 ont été prélevés dans les 24 heures précédentes.
Champ : Tests RT-PCR et antigéniques remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 

Graphique 6 • Part des résultats validés le jour ou le lendemain du prélèvement pour les tests RT-PCR et antigéniques

 
 
 
 

Lecture : 98,7 % des tests RT-PCR validés entre le 31 janvier et le 6 février 2022 ont été prélevés le jour-même ou la veille. 99,5 % des tests RT-PCR et antigéniques validés entre le 31 janvier et le 6 février 2022 ont été prélevés le jour-même ou la veille.
Champ : Tests RT-PCR et antigéniques remontés dans les envois quotidiens SI-DEP reçus par la DREES jusqu’au 8 février 2022 5h. Exclusion des tests avec délais aberrants.
Source : SI-DEP ; calculs DREES

 
 
Consulter la datavisualisation
 
 

Méthodologie

 

La DREES exploite les données pseudonymisées du système d’information SI-DEP, qui portent notamment sur l’ensemble des tests RT-PCR réalisés par les laboratoires d’analyse médicale, et comportent des informations à la fois sur les résultats des tests et sur leurs délais de réalisation. Le calcul des délais pour les tests RT-PCR se fait à partir de la date de prélèvement du test (jour, heure, minute), déclarée par le laboratoire, et de la date d’intégration (jour, heure, minute) du test dans le système d’information, intégration qui doit se faire très rapidement après la validation du test. Les délais ici présentés pour les tests RT-PCR correspondent aux délais entre la date de prélèvement et la date d’intégration des résultats dans SI-DEP. Cependant, la date d’envoi des résultats aux patients par le laboratoire peut être postérieure à l’intégration des résultats dans SIDEP. Les délais entre date de prélèvement et réception des résultats des tests RT-PCR par les patients pourraient donc être supérieurs à ceux mesurés via SIDEP. Les statistiques présentées portent sur l’ensemble des tests RT-PCR réalisés, en date de validation du résultat.

 

Depuis le 17 octobre 2020, les tests antigéniques sont autorisés dans le cadre des dépistages individuels. Ils doivent être remontés depuis lors dans la base SIDEP par les laboratoires. En revanche, la saisie d’information dans SIDEP pour les professionnels de santé n’est possible que depuis le 16 novembre 2020, et a connu une phase de montée en charge. Afin d’estimer le nombre total de tests antigéniques réalisés depuis le 17 octobre 2020, la DREES utilise les données de l’Assurance maladie sur le nombre de tests remboursés en date de soins en complément des données renseignées dans SIDEP. Les tests antigéniques sont des tests pour lesquels le résultat est connu très rapidement, avec un délai entre prélèvement et validation du résultat généralement inférieur à 30 minutes.

 

Par ailleurs, si une même personne a réalisé successivement deux tests, ces deux tests sont donc comptés. Les données sur le nombre de tests diffèrent de celles publiées par Santé publique France, en date de prélèvement du test.

 

Enfin, entre début mars et début juin 2020, préalablement au déploiement complet de SIDEP, la DREES a mis en place à la demande du centre de crise sanitaire un système d’information permettant de comptabiliser le nombre de tests RT-PCR réalisés en France, à partir des déclarations des sites réalisant les tests (et non les prélèvements comme dans SIDEP).

 

Dans le cadre de l’exploitation des données SIDEP, la DREES procède à quelques retraitements des données. En particulier, les tests remontés avec un pseudonyme manquant sont supprimés. Dans le cas d’un même test remonté plusieurs fois (mise à jour de certaines informations sur le patient par exemple), la DREES conserve la ligne la plus récente, à l’exception de la date d’intégration dans SIDEP dont on retient la valeur la plus ancienne, assimilée à la date de validation du résultat.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Sous embargo jusqu’au 11 février 2022 à 6 heures

 
 

Paris, le 10/02/2022

 
 

Un tiers des foyers éligibles un trimestre donné ne recourent pas au RSA et un cinquième de façon durable

 

La réduction du non-recours aux minima sociaux est l’une des priorités de la politique de lutte contre la pauvreté. Lorsque des personnes ne bénéficient pas de prestations auxquelles elles auraient droit, il existe un risque accru de pauvreté et d’exclusion, en particulier lorsque les prestations concernées sont destinées aux plus démunis. La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) propose dans sa collection des Dossiers de la DREES une méthode d’estimation régulière du non-recours au revenu de solidarité active (RSA), en s’appuyant sur la richesse des informations contenues dans l’enquête annuelle sur les revenus fiscaux et sociaux de l’Insee (ERFS), représentative de la population résidant en France métropolitaine dans un logement ordinaire, et sur la microsimulation de la législation sociale à partir du modèle Ines.

 

Un tiers des foyers éligibles ne recourent pas au RSA en moyenne chaque trimestre et un cinquième de façon durable
En 2018, un tiers (34 %) des foyers éligibles au RSA seraient non-recourants chaque trimestre, et un sur cinq (20 %) le serait de façon pérenne trois trimestres consécutifs. Le montant de RSA auquel ils pourraient prétendre s’élèverait à 330 euros en moyenne par mois et par unité de consommation (en tenant compte de la composition familiale du foyer RSA), soit un montant proche de celui perçu en moyenne par les foyers recourants. Au total, les sommes non-versées du fait du non-recours au RSA atteindraient 750 millions d’euros, par trimestre, sur le champ couvert.

 

Un non-recours plus limité pour ceux qui bénéficient déjà d’autres prestations
La proportion de non-recourants au RSA est de façon générale limitée pour les foyers bénéficiant déjà d’une autre prestation. Parmi les éligibles au RSA, 18 % des bénéficiaires d’aides au logement, 21 % de ceux percevant des prestations familiales et 16 % des allocataires de la prime d’activité n’y recourent pas, contre respectivement 57 %, 40 % et 39 % des non-bénéficiaires de ces prestations.

 

Et un non-recours plus important parmi les personnes en couple sans enfant, diplômées, jeunes, propriétaires, résidant dans des territoires ruraux ou en agglomération parisienne

En première analyse, les personnes en couple et sans enfant, diplômées, jeunes, propriétaires, résidant dans des territoires ruraux ou en agglomération parisienne sont les plus concernées par le non-recours.
Ainsi, 16 % des femmes seules avec enfants éligibles à la prestation seraient en situation de non-recours au RSA contre la moitié (49 %) des couples éligibles sans enfant. Il en va de même pour 15 % des locataires en HLM contre 33 % des locataires du parc privé et 61 % des propriétaires (y compris accédants). Un cinquième des foyers éligibles résidents dans une agglomération de taille moyenne seraient non-recourants contre presque la moitié dans les unités urbaines de moins de 5 000 habitants ou dans celle de Paris.
Ces résultats ont peu évolué par rapport à ceux mis en avant il y a dix ans par le Comité national d’évaluation du RSA, peu après la mise en place de la prestation : le non-recours au RSA socle avait alors été estimé à 36 % via une enquête dédiée.

 

La nécessité de données complémentaires sur les revenus mensuels pour estimer le non-recours à la prime d’activité
Pour estimer le non-recours à la prime d’activité, des données complémentaires sur les revenus mensuels d’activité, aujourd’hui non disponibles dans l’ERFS, demeurent nécessaires. L’accès à un dispositif statistique plus complet sur les revenus fait encore l’objet d’investigations. Par ailleurs, des travaux plus approfondis sont menés sur les déterminants du non-recours.


Consulter
Hannafi, C., Le Gall, R., Omalek, L., Marc, C. (2022). Mesurer régulièrement le non-recours au RSA et à la prime d’activité : méthode et résultats. DREES, Les Dossiers de la DREES, 92.

 

Pour en savoir plus
Gonzalez, L., Nauze-Fichet, E. (coord.) (2020). Le non-recours aux prestations sociales - Mise en perspective et données disponibles. DREES, Les Dossiers de la DREES, 57.

 
 
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À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

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VIRUS

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COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 11/02/2022

 
 

Un tiers des foyers éligibles un trimestre donné ne recourent pas au RSA et un cinquième de façon durable

 

La réduction du non-recours aux minima sociaux est l’une des priorités de la politique de lutte contre la pauvreté. Lorsque des personnes ne bénéficient pas de prestations auxquelles elles auraient droit, il existe un risque accru de pauvreté et d’exclusion, en particulier lorsque les prestations concernées sont destinées aux plus démunis. La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) propose dans sa collection des Dossiers de la DREES une méthode d’estimation régulière du non-recours au revenu de solidarité active (RSA), en s’appuyant sur la richesse des informations contenues dans l’enquête annuelle sur les revenus fiscaux et sociaux de l’Insee (ERFS), représentative de la population résidant en France métropolitaine dans un logement ordinaire, et sur la microsimulation de la législation sociale à partir du modèle Ines.

 

Un tiers des foyers éligibles ne recourent pas au RSA en moyenne chaque trimestre et un cinquième de façon durable
En 2018, un tiers (34 %) des foyers éligibles au RSA seraient non-recourants chaque trimestre, et un sur cinq (20 %) le serait de façon pérenne trois trimestres consécutifs. Le montant de RSA auquel ils pourraient prétendre s’élèverait à 330 euros en moyenne par mois et par unité de consommation (en tenant compte de la composition familiale du foyer RSA), soit un montant proche de celui perçu en moyenne par les foyers recourants. Au total, les sommes non-versées du fait du non-recours au RSA atteindraient 750 millions d’euros, par trimestre, sur le champ couvert.

 

Un non-recours plus limité pour ceux qui bénéficient déjà d’autres prestations
La proportion de non-recourants au RSA est de façon générale limitée pour les foyers bénéficiant déjà d’une autre prestation. Parmi les éligibles au RSA, 18 % des bénéficiaires d’aides au logement, 21 % de ceux percevant des prestations familiales et 16 % des allocataires de la prime d’activité n’y recourent pas, contre respectivement 57 %, 40 % et 39 % des non-bénéficiaires de ces prestations.

 

Et un non-recours plus important parmi les personnes en couple sans enfant, diplômées, jeunes, propriétaires, résidant dans des territoires ruraux ou en agglomération parisienne

En première analyse, les personnes en couple et sans enfant, diplômées, jeunes, propriétaires, résidant dans des territoires ruraux ou en agglomération parisienne sont les plus concernées par le non-recours.
Ainsi, 16 % des femmes seules avec enfants éligibles à la prestation seraient en situation de non-recours au RSA contre la moitié (49 %) des couples éligibles sans enfant. Il en va de même pour 15 % des locataires en HLM contre 33 % des locataires du parc privé et 61 % des propriétaires (y compris accédants). Un cinquième des foyers éligibles résidents dans une agglomération de taille moyenne seraient non-recourants contre presque la moitié dans les unités urbaines de moins de 5 000 habitants ou dans celle de Paris.
Ces résultats ont peu évolué par rapport à ceux mis en avant il y a dix ans par le Comité national d’évaluation du RSA, peu après la mise en place de la prestation : le non-recours au RSA socle avait alors été estimé à 36 % via une enquête dédiée.

 

La nécessité de données complémentaires sur les revenus mensuels pour estimer le non-recours à la prime d’activité
Pour estimer le non-recours à la prime d’activité, des données complémentaires sur les revenus mensuels d’activité, aujourd’hui non disponibles dans l’ERFS, demeurent nécessaires. L’accès à un dispositif statistique plus complet sur les revenus fait encore l’objet d’investigations. Par ailleurs, des travaux plus approfondis sont menés sur les déterminants du non-recours.


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Pour en savoir plus
Gonzalez, L., Nauze-Fichet, E. (coord.) (2020). Le non-recours aux prestations sociales - Mise en perspective et données disponibles. DREES, Les Dossiers de la DREES, 57.

 
 
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Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

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COMMUNIQUE DE PRESSE

 
 

Paris, le 11/02/2022

 
 

Le nombre d’hospitalisations liées à la vague Omicron est en baisse, pour les patients admis pour Covid-19 comme pour l’ensemble de ceux porteurs du virus

 

L’actualisation des résultats relatifs à l’épidémie de Covid-19 publiés chaque semaine par la Drees à partir des données de tests, de vaccination et d’hospitalisation confirme la surreprésentation des personnes non vaccinées dans les évènements liés au Covid-19 par rapport à leur part dans la population générale, et la protection conférée par le vaccin contre les formes graves.

 

Pour la première fois depuis le début des exploitations par la Drees des appariements SI-VIC, SI-DEP et VAC-SI, les analyses sont distinguées selon le motif d’hospitalisation – « pour Covid-19 » ou pour un autre motif (le patient étant alors incidemment porteur du SARS-CoV-2).

 

Entre le 3 et le 30 janvier 2022, les 8 % de personnes non vaccinées dans la population française de 20 ans ou plus représentent :
- 15 % des tests PCR positifs chez les personnes symptomatiques ;
- 32 % des admissions en hospitalisation conventionnelle avec Covid-19 ;
- 43 % des entrées en soins critiques avec Covid-19 ;
- 42 % des décès après hospitalisation avec Covid-19.

 

De plus, en se restreignant au champ des personnes admises pour Covid-19, ces chiffres sont similaires :
- 35 % des admissions en hospitalisation conventionnelle avec Covid-19 ;
- 46 % des entrées en soins critiques avec Covid-19 ;
- 44 % des décès après hospitalisation avec Covid-19.

 

Enfin, entre le 31 janvier et le 6 février 2022, le variant Omicron concerne :
- 99 % des tests PCR positifs ;
- 96 % des entrées hospitalières conventionnelles ;
- 93 % des admissions en soins critiques ;
- 83 % des décès de patients hospitalisés avec Covid-19.

 

La représentation moindre du variant Omicron chez les personnes hospitalisées que chez celles testées positives, qui émanait à la fois d’une différence de temporalité entre tests et hospitalisations et de sévérité d’Omicron par rapport à Delta, demeure mais s’amenuise semaine après semaine et est proche aujourd’hui de se résorber.

 

En définitive, il ressort des différentes analyses les conclusions suivantes :

- depuis le 30 janvier 2022, les hospitalisations après hospitalisation avec Covid-19 sont en baisse, pour la première fois depuis la fin de l’automne 2021 (graphiques 1 et 2 ci-dessous) ;

 

- la proportion de personnes admises à l’hôpital pour Covid-19 parmi l’ensemble des personnes hospitalisées avec Covid-19 est en baisse continue depuis l’apparition d’Omicron (mi-décembre 2021) tant en hospitalisation conventionnelle qu’en soins critiques (graphique 3), en raison de l’incidence bien plus élevée d’Omicron dans la population que celles observées lors des vagues précédentes ;

 

- la vaccination, et plus particulièrement la dose de rappel, reste efficace contre les formes graves d’Omicron (plus de 75 % d’efficacité vaccinale pour les 20 ans ou plus) et particulièrement contre les décès (90 % d’efficacité vaccinale pour les 40 ans ou plus), même si l’efficacité est réduite par rapport au variant Delta. En revanche, l’efficacité contre l’infection symptomatique diminue nettement pour le variant Omicron par rapport au variant Delta. Ces effets protecteurs contre les formes graves et les décès sont très similaires pour Delta et marginalement revus à la hausse pour Omicron lorsqu’ils sont estimés sur les seuls hospitalisés pour Covid-19 plutôt que sur l’ensemble des patients avec SARS-CoV-2 ;

 

- enfin, les durées de séjours hospitaliers demeurent légèrement plus courtes avec Omicron qu’avec Delta, en particulier s’agissant du temps passé en soins critiques (autre nouveauté de cette publication) : les durées y sont plus courtes d’environ 20 % avec Omicron qu’avec Delta. Ces différences de durées par variant persistent sur le seul champ des séjours pour Covid-19.


Graphique 1 : nombre quotidien d’entrées en hospitalisation conventionnelle (pour Covid-19 ou autre motif) pour lesquelles un test RT-PCR positif a été identifié, selon l’indication de variant

 
 
 
 

Graphique 2 : nombre quotidien de décès à l’hôpital (pour covid et autres causes) pour lesquelles un test RT-PCR positif a été identifié, selon l’indication du variant

 
 
 
 

Graphique 3 : part des patients en hospitalisation conventionnelle admis pour Covid-19, par tranches d’âge (en %, moyenne sur 7 jours glissants)

 
 
 
 

Les données sous-jacentes à ces résultats nationaux ainsi que des déclinaisons régionales et par classe d’âge sont mises à disposition sous forme de fichiers csv permettant d’exploiter plus finement les résultats présentés. Ces fichiers ainsi que des graphiques complémentaires en format pdf sont disponibles sur le site de données ouvertes de la DREES. En particulier, le fichier par âge contient les variables de proportion d’Omicron parmi les tests et les entrées hospitalières.

 

Consulter 

  • https://data.drees.solidarites-sante.gouv.fr/pages/accueil/
  • https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/article/statut-vaccinal-des-personnes-hospitalisees
 
 
Consulter la note détaillée de la DREES
 
 
Données au niveau nationale
 
 
Données par âge
 
 
Données régionales
 
 

À propos de la DREES

 

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L'Action Sociale
 
 
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TROUBLES DU COMPORTEMENT

(Enfants en souffrance, Professionnels démunis)
 
REVISITER LES PRATIQUES

À L'AUNE DE L'ATTACHEMENT
 
JEUDI 7 AVRIL
 
Programme : 

Mots d’accueil et présentation de la journée

> Karine Senghor, directrice générale de l’Action Sociale, société d’édition et de formation portant l’Ecole de la Protection de l’Enfance.

La dégradation préoccupante de la Santé mentale des enfants et des réponses apportées

> Eric Delemar, Défenseur des enfants, adjoint de la Défenseure des droits, co-auteur du rapport annuel du Défenseur des droits “Santé mentale des enfants : le droit au bien-être”.


Troubles du comportement : de quoi parle-t-on ? Définitions et réalité du phénomène en protection de l’enfance

> Catherine Claveau-Milanetto, consultante, spécialiste de ces questions, auteure de la recommandation sur “ L’accompagnement des enfants ayant des difficultés psychologiques perturbant gravement les processus de socialisation” (Anesm, 2017).

Témoignage : les troubles du comportement à Hauteur d’enfants

> Gautier Arnaud-Melchiorre*, auteur du rapport “À (h)auteur d’enfants, issu de la mission qui lui a été confiée par Adrien Taquet sur la parole des jeunes accompagnés en protection de l’enfance (1500 jeunes rencontrés dans 16 départements).


Le méta besoin de sécurité : facteur premier d’équilibre et de développement des enfants

> Marie-Paule Martin–Blachais, auteure du rapport sur “Les Besoins fondamentaux de l’enfant en Protection de l'enfance” en 2017 issu de la démarche de consensus éponyme conduite à la demande du gouvernement, directrice scientifique de l’Ecole de la Protection de l’Enfance.

Les troubles du comportement à l’aune des systèmes d’attachement

> Anne Raynaud, psychiatre adultes-enfants, fondatrice et directrice de l’Institut de la Parentalité, auteure notamment de “Enfant sécurisé, enfant heureux. Éduquer au quotidien grâce au lien d attachement”, éditions Marabout, 2021.

Questions – réponses avec le public


Pause déjeuner


Capsule vidéo : Quand les assistants familiaux sont formés à la théorie de l’attachement (avec Isabelle Hernandez, assistante familiale).


Foyer de l'enfance, entre inconditionnalité de l'accueil et urgence, une équipe formée à la théorie de l'attachement : ça change quoi ?

> Cyril Laval, chef de service au Centre Départemental de l’Enfance et de la Famille (CDEF) de Gironde.

 Questions réponses avec le public 

Assurer le méta-besoin de sécurité et mieux appréhender les manifestations agressives, un dispositif ITEP en coopération avec le Québec.

> Stéphane Ragueneau, directeur du Dispositif ITEP Blésois-Sud-Loire (Audronnière - Loir-et-Cher).

Questions réponses avec le public 

Sanitaire et social : les équipes mobiles Ressources (EMR) de l’association Jeunesse et Avenir assurent l’indispensable rapprochement des compétences de l’ITEP vers celles de l’ASE

> Mathieu Mousset, directeur adjoint du Ditep de l’association Jeunesse et Avenir en Loire-Atlantique.

Questions réponses avec le public 

Conclusion par Geneviève Avenard, grand témoin de la Conférence,           auteure du rapport “Handicap et protection de l’enfance, des droits pour des enfants invisibles” du Défenseur des droits (2015).


                                         Fin de la Conférence à 17h00

                               L’animation de la conférence sera assurée
                        par Catherine Claveau-Milanetto et Karine Senghor.
 
 

Public : 
Formation destinée aux professionnels éducatifs ou médico-sociaux exerçant auprès d’enfants accompagnés en protection de l’enfance.

Modalités pédagogiques et d’évaluation :
La formation est centrée sur les participants. Les apports formatifs alterneront avec des échanges interactifs à partir des expériences des participants. L’évaluation des acquis sera réalisée, en fin de conférence par un questionnaire écrit.

Les pré-requis :
Aucun pré-requis nécessaire. Une expérience ou connaissance préalable du champ de la protection de l’enfance facilitera l’intégration.


TARIF : 260 € nets

 
 
Toutes nos formations sont accessibles aux personnes en situation de handicap.
N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus. Tel : 01 53 10 24 10 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
 
 
 
 
PROGRAMME ET BULLETIN D'INSCRIPTION
 
 
www.ecoleprotectionenfance.com
 
 
La web-conférence sera menée sur une journée via l'application Zoom, en deux sessions de trois heures  (10:00-13:00 et 14:00-17:00) pour un total de 6 heures de formation et au coût unitaire de 260€ nets.

Financement par votre OPCO possible. L’École de la Protection de l’Enfance est une entité de la SARL L’Action Sociale, organisme de formation N° 11753620475 auprès de la préfecture de la Région Ile de France et certifié Qualiopi.

LOGEMENTS VACANTS

https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/logements-vacants-du-parc-prive-par-anciennete-de-vacance-par-commune-et-par-epci/
 

Dans le cadre du Plan national de lutte contre les logements vacants (https://www.ecologie.gouv.fr/plan-national-lutte-contre-logements-vacants), un jeu de données sur les logements vacants, les données LOVAC ont été mises en place par la DHUP en partenariat avec le CEREMA Hauts-de-France.

Issu du croisement des fichiers 1767BISCOM et des Fichiers Fonciers retraités par le CEREMA (https://datafoncier.cerema.fr/lovac), le présent fichier est une extraction agrégées des données LOVAC désormais disponibles en open data par commune et par EPCI.

Présentation du jeu de données :
Ces données permettent de dénombrer le nombre de logements du parc privé vacants par commune et par EPCI et par ancienneté de vacance.
Elles permettent ainsi de distinguer la vacance de courte durée, dite frictionnelle, de la vacance de longue durée, dite structurelle, cible du plan national de lutte contre les logements vacants.

Au niveau national, 2,984 millions de logements du parc privé sont vacants (9,3%) dont 1,871 million depuis moins de deux ans (5,9%) et 1,112 million depuis au moins deux ans (3,5%).
La majorité des logements vacants le sont donc pour une courte durée. Cette vacance dite frictionnelle correspond à la période de transition entre deux occupants, elle est nécessaire à la fluidité du marché du logement.

Les indicateurs renseignent sur la vacance des logements du parc privé au 01/01/2019, à l’échelle de la commune et des EPCI (Établissement public de coopération intercommunale). Le champ couvert est la France entière. La géographie des communes et des EPCI est celle en vigueur au 1er janvier 2020.

Le seuil de secrétisation est de 11 logements. Les communes comptant moins de 11 logements du parc privé vacants depuis moins de deux ans et moins de 11 logements du parc privé vacants depuis deux ans ou plus n'apparaissent pas dans ces données. Les EPCI ne figurant pas dans ces données sont ceux pour lesquels le nombre de logements vacants de courte ou longue durée est inférieur à 11 dans l'ensemble des communes non disponibles dans le fichier communal.

Les champs disponibles sont les suivants :
-Nombre de logements du parc privé
-Nombre de logements vacants du parc privé au 01/01/2019
-Nombre de logements du parc privé vacants depuis moins de deux ans au 01/01/2019
-Nombre de logements du parc privé vacants depuis deux ans ou plus au 01/01/2019
-Taux de logements vacants du parc privé au 01/01/2019
-Taux de logements du parc privé vacants depuis moins de deux ans au 01/01/2019
-Taux de logements du parc privé vacants depuis deux ans ou plus au 01/01/2019

Précautions d’emploi
Les données LOVAC sont issues des données fiscales qui surestiment légèrement la vacance par rapport au recensement de population.
Cette surestimation s’explique notamment par le fait qu'une partie des logements « fiscalement vacants » correspond à des logements non habitables (bâtiments à l’abandon, garages, etc.), détruits ou retirés du marché en vue de leur démolition pour lesquels l’information fiscale n’a pas encore été mise à jour.
Les taux de vacance très faibles ou au contraire très élevés de certaines communes doivent être interprétés avec prudence. Ces valeurs extrêmes concernent généralement de faibles effectifs.

 

PENURIE HISTORIQUE 

https://www.info-chimie.fr/penurie-historique-de-matieres-premieres-pour-les-producteurs-de-colles-et-d-adhesifs,117497

Maintenance des usines. Ralentissement de la production pétrolière. Problèmes logistiques. Le secteur des colles et adhésifs souffre d’une pénurie de matières premières multifactorielle qui booste l’innovation. Mais l’ampleur historique de la pénurie et les contraintes réglementaires de l’industrie chimique laissent les entreprises dans une impasse dont elles n’entrevoient pas encore la sortie. 

« Nous vivons actuellement une crise sans précédent », constate Jérôme des Buttes, président de l’Association française des industries des colles, adhésifs, mastics et mousses expansives (AFICAM). Depuis le dernier trimestre de l’année 2020, les industriels du secteur font face à des difficultés d’approvisionnement et une hausse des prix des matières premières historiques. « Pour la première fois, l’ampleur de la crise est telle que les entreprises ont du mal à absorber le choc », insiste le président de l’AFICAM. 

La pénurie actuelle est globale : l’industrie automobile manque de composants électroniques, l’industrie du bâtiment d’acier, l’industrie papetière de bois… Mais elle englobe néanmoins une diversité de problématiques propres à chaque industrie. 

« Dans la chimie, il y a des spécificités liées notamment à la technicité de nos produits qui sont souvent fabriqués à partir de dizaines de substances différentes », souligne Jérôme des Buttes. Au-delà des impacts de la pandémie de Covid-19, les industriels font actuellement face à une crise d’approvisionnement multifactorielle qui met en lumière certaines failles dans le fonctionnement de l’industrie chimique. 

Dès le début de l’année 2020, la baisse de l’activité économique dans les entreprises s’est traduite par une optimisation dans la gestion des stocks. « Nous achetons des matières périssables pour fabriquer des produits à durée de vie limitée dont nous devons garantir la stabilité et la qualité. 

Nous ne pouvons pas monter des stocks de matière première sans savoir si nous pourrons la transformer puis vendre le produit sur le marché », analyse Jérôme des Buttes.

Gérer les stocks pour pérenniser l’entreprise

La gestion des stocks était importante pour garantir la pérennité des entreprises. Mais quand l’activité économique a repris, fin 2020, les industriels ont fait face à une très forte demande et ils ont rapidement manqué de matières premières. Si la quasi-totalité de celles utilisées par l’industrie chimique sont en pénurie, il semblerait qu’elles ne le soient pas toutes pour les mêmes raisons.

 Les matières premières issues de la pétrochimie ont d’abord été impactées par de nombreux arrêts de maintenance simultanés sur les sites de production. Les industriels ont profité de la baisse d’activité mondiale engendrée notamment par les mesures sanitaires prises pour freiner la pandémie de Covid-19 pour enclencher ces procédures de maintenance.

 Avec de nombreuses usines à l’arrêt simultanément, la capacité mondiale de production a fortement diminué. A cela s’est ajouté un ralentissement de la production pétrolière consécutif à une chute de la demande de carburant. Fonctionnant au ralenti, les raffineries de pétrole ont produit moins de naphta indispensable à l’industrie chimique. Par ailleurs, des problèmes de logistique ont fortement impacté les approvisionnements de matières premières aussi bien d’origine pétrolière que naturelle. 

La diminution des flux commerciaux à travers le monde a fait chuter le nombre de transporteurs en activité. Leurs délais se sont allongés et leurs tarifs ont augmenté. Enfin, les entreprises doivent faire face à la hausse des prix de l’électricité. « En France, on produit l’électricité la moins chère d’Europe, mais son prix augmente car il est indexé sur le tarif du gaz sur le marché européen. C’est dommage car le prix de l’électricité pourrait compenser une partie des autres désagréments », regrette Jérôme des Buttes.

Une pénurie de transporteurs

Face à cette situation historique qui bouleverse l’organisation des entreprises, les industriels ont peu de solutions. Le secteur des colles et adhésifs est une industrie de formulation habituée à faire des substitutions de produits. « Il est rare que nous ayons un unique fournisseur pour une matière, c’est une mesure de sécurité d’approvisionnement. Pour chaque produit, nous avons des équivalents développés à partir de matières vendues par un ou deux autres fournisseurs. Mais actuellement, aucun de nos fournisseurs ne peut nous approvisionner en matière première », explique le président de l’AFICAM. Autre pratique habituelle : la reformulation de produits. L’industrie chimique est soumise aux règlements européens[…]

 

Pénurie de matières premières dans les colles et adhésifs : « La chimie en Europe est sous contrainte »
https://www.info-chimie.fr/penurie-de-matieres-premieres-dans-les-colles-et-adhesifs-la-chimie-en-europe-est-sous-contrainte,117502
 
Christophe Magnin, directeur général de Jowat France, explique qu'au-delà des impacts de la pandémie de Covid-19, les industriels des colles et des adhésifs font actuellement face à une crise d’approvisionnement multifactorielle.

« La chimie en Europe est en crise larvée depuis longtemps. C’est une industrie mondialisée organisée autour de groupes internationaux qui investissent plutôt en Amérique du Nord, au Moyen-Orient ou en Asie. En Europe, une activité pérenne s’est développée et, de manière cyclique, on manque régulièrement de matières premières fondamentales. C’est le cas, par exemple, des isocyanates indispensables à la fabrication des colles réactives.

Les choses se sont compliquées, fin 2020, avec la décision de l’Asie de fermer ses frontières pour répondre à la demande locale post-Covid.

Puis en février 2021, c’est la zone de production américaine qui a flanché. Pendant deux semaines, un froid polaire s’est abattu sur le Texas, forçant l’arrêt des usines de production dont le redémarrage a ensuite nécessité des travaux de maintenance. Or cette région représente une part très substantielle, par exemple, de la production mondiale de vinyle acétate monomère (VAM), l’une des matières premières essentielles pour le secteur des colles et des adhésifs. Le prix du VAM est passé d’environ 900 €, fin décembre 2020, à 2700 € en mars 2021, et reste encore à des niveaux très élevés.

C’est sans précédent ! A cela se sont ajoutés l’indisponibilité des containers pour les transports intercontinentaux, et le porte-conteneurs Evergreen qui a bloqué le canal de Suez, fin mars. Cerise sur le gâteau, à la fin de l’été 2021, l’ouragan Ida a frappé la Louisiane, mettant à nouveau à l’arrêt une grosse partie de l’industrie chimique pendant une semaine. Pris individuellement, ces évènements ne sont pas dramatiques en soi, mais combinés, c’est le chaos, et lorsque les deux autres zones de production ne répondent plus, l’Europe a du mal à gérer. »
 
 
Pénurie de matières premières dans les colles et adhésifs : « Un impact direct sur l’organisation de nos entreprises 
https://www.info-chimie.fr/penurie-de-matieres-premieres-dans-les-colles-et-adhesifs-un-impact-direct-sur-l-organisation-de-notre-entreprise,117507
 
Stéphane Tavano, directeur général d’Uzin Utz France, explique comment la pénurie actuelle bouleverse l’organisation des entreprises.
 Notre département achat lutte quotidiennement pour l’approvisionnement en matières premières. Malgré leurs efforts, nous subissons en permanence des retards, voire des annulations de livraisons qui peuvent conduire à l’annulation d’une partie de la fabrication sur deux ou trois jours.

Les équipes de production doivent alors redéfinir un programme de fabrication à partir des matières disponibles. La complexité à produire en quantité suffisante pour répondre à la demande nous oblige à faire des allocations des commandes afin de pouvoir servir l’ensemble de la profession.

Au service logistique, cette nouvelle organisation impose parfois de défaire des commandes complètes prêtes à être expédiées pour répartir les produits disponibles entre plusieurs clients. C’est un travail manuel supplémentaire pour lequel nous faisons appel à du personnel en intérim, car il ne s’agit pas d’un besoin de recrutement indéfini.
Ces modifications de commandes sont aussi une charge de travail supplémentaire au sein du service d’administration des ventes qui assure par ailleurs les échanges avec les clients pour leur expliquer la situation.
Malgré ce contexte difficile, nous avons une mobilisation formidable de toutes nos équipes qui, régulièrement, trouvent des solutions de manière à servir au mieux nos clients. »

 

Industrie dans le Dauphiné

Alpes frais production, en Isère, se porte très bien. « Elle est en pleine croissance comme le groupe Valentin traiteur, assure Emmanuel Brochot, président. Entre 2019 et 2021, on a une croissance de l’ordre de 14 %. La crise sanitaire est un événement inhabituel, mais les entreprises sont vouées à ça, à s’adapter. Nous n’avons pas été perturbés en termes de croissance mais en terme d’organisation. »
https://www.pierre-clot.fr/
2020 et le monde à l’arrêt, Alpes frais production a géré. Mais 2021 et les prix qui ne cessent de grimper… « Je n’ai jamais vu cette situation et ça fait bientôt 30 ans que je fais ce métier. Dans nos produits élaborés - avec beaucoup de matières premières différentes - il y a toujours eu des crises ; car la vie de l’agriculture est faite de crises. Mais c’est la première fois que tout est en crise, en même temps. »

Le beurre prend 48 %, l’huile 60 %Le chef d’entreprise illustre son propos. « Sur les huiles, on a pris 60 % de hausse. On achetait un litre un euro il y a six mois, aujourd’hui, il est à 1,6 euro. Sur les produits laitiers, on subit des hausses aux alentours de 15 %. La France et l’Europe connaissent une pénurie de matière grasse. Il y a un manque de quantités, car les collectes ont diminué ces dernières années, et parce qu’au niveau mondial, il y a beaucoup de demande sur la poudre de lait, bien valorisée. Le beurre va prendre 48 %. On est en train de signer des contrats d’achat sur 2022. »
https://www.presences-grenoble.fr/actualites-classement-grenoble/trophee-agroalimentaire-alpes-frais-production-grignote-des-parts-de
Côté emballage, le prix du plastique a flambé et les alternatives ont suivi la tendance. « La matière première et l’emballage représentent 45 % du prix de vente », annonce notre interlocuteur qui devra augmenter ses prix.

Intrégrer l’instabilité

« C’est peut-être simpliste, mais je dis souvent à mes équipes que le monde avant Covid était sous pression. Tout était optimisé, raconte Emmanuel Brochot. Le Covid a fait sauter les couvercles d’un certain nombre de cocottes-minute et là, je pense qu’on est parti dans un cycle de remises à plat du système industriel mondial pour remettre la qualité et le produit au cœur du sujet. »

Intégrer la crise et l’instabilité, c’est la stratégie de Valentin traiteur. « On intègre l’amont dans notre groupe. Il y a deux ans, nous avons créé une filière pommes de terre. La filière endive a été créée il y a un an. Nous sommes en train de travailler pour fabriquer notre propre farine, monter notre moulin car nous achetons 6 000 tonnes de farine par an. Même pour l’emballage, on est en train de discuter avec un fabriquant. Intégrer l’amont, je crois que ce sera une clé de réussite. »

Sur le site rivois d’Alpes frais production, les tartiflettes engloutissent 1 000 tonnes de pommes de terre par an. L’industriel a passé un contrat avec un agriculteur d’Orléans qui cultive sans se soucier de l’achat des semences ou de la logistique.
Le poids d’Alpes frais production lui permet de négocier d’éviter les intermédiaires… C’est stratégique. « Et on se fournit à 90  % sur le territoire français. C’est notre ADN et c’est plus simple », constate Emmanuel Brochot. Avec la hausse des tarifs du transport (qui pèse pour 7 % dans le prix de vente), l’idée est d’autant plus pertinente. Et bien sûr, il faudrait encore parler des difficultés de recrutement... Une rengaine bien installée.
 
 
https://tenthorey.com/
L’état des lieux de l’industrie textile ne déroge pas au triptyque en vogue ces jours-ci. 1, le secteur se porte bien. 2, il souffre de la hausse des matières premières et de l’énergie. 3, il fait face à un manque de main d’œuvre. Pour rappel, en France, plus de 50 % de la production va vers des usages techniques (aéronautique, auto, santé, agriculture, construction). L’habillement est loin d’être le secteur dominant ; même s’il reprend  des couleurs.
https://www.textile.fr/
«C’est un secteur en résilience, qualifie Yves Dubief, président de l’Union des industries textiles (UIT) et président de la société Tenthorey (Vosges). Depuis 2016, tant les chiffres d’affaires que les montants à l’export et les salariés sont en hausse de manière assez conséquente, de 2 à 5  % selon les domaines. » C’est bien le textile technique qui porte la croissance, mais les crises sanitaire et climatique ont réveillé le vêtement français… Toutes proportions gardées.

« Plus de 95 % des vêtements vendus en France sont importés, rappelle Yves Dubief. Si la production française gagne un point, c’est 4000 emplois créés en France. Aujourd’hui, tous les acteurs notent une appétence pour le made in France. Quelques fois, ce n’est qu’une collection “capsule”, mais une “capsule” peut faire des dizaines de milliers de mètres importants pour l’entreprise qui décroche le marché. » Le prêt-à-porter ne sera jamais franco-français, il faut s’y résoudre. « D’autant qu’on est confronté à une hausse des coûts des matières premières et de l’énergie, enchaîne Yves Dubief. Et inévitablement une hausse des salaires sensible l’année prochaine. »

Tout coûte plus cher. Le coton, le lin, le polyester, les acryliques, les polyamides, le gaz, l’électricité, les palettes, les films plastiques… « Pour le coton, l’indice mondial est passé d’une zone 40-50 (la livre) à une zone 90-100, en neuf mois, illustre le président. Le container Vietnam-Europe est passé de 2500 à 10 000, puis presque 20000 dollars. Là ça diminue un peu. »

«Parents et prescripteurs déconseillent notre secteur»

Au fait, vous le saviez, vous, que l’industrie textile française se portait bien ? Qu’elle s’était spécialisée dans le technique et qu’elle embauchait ?L’image des usines qui ferment et revendent leur matériel colle au secteur. « Les jeunes viennent vers nous. Malheureusement, la génération précédente et les prescripteurs déconseillent ce secteur », déplorent Vanessa de Saint-Blanquat, directrice, et Anne-Laure Milhe, responsable communication de l’UIT. « C’est pourtant 3 000 emplois à pourvoir par an à cause de départs à la retraite mais aussi pour répondre à la croissance, affirme Yves Dubief. Recruter n’est pas facile pour tout le monde. Le chômage baisse et on est en concurrence avec d’autres secteurs. Mais nous, on ne perd pas 110 000 salariés comme la restauration. »

Mi-octobre, l’Union des industries textiles réunissait ses membres pour parler du futur. Ils étaient reçus par Vanessa de Saint Blanquat, directrice de l’union, qui se charge de la rédaction d’un livre blanc à l’approche de l’élection présidentielle. L’UIT compte bien faire entendre ses besoins.

 

Le fabricant d'emballages en carton ondulé Smurfit Kappa annonce des hausses de prix allant jusqu'à 40% pour renouer avec des marges affectées par ses coûts de revient.

https://www.usinenouvelle.com/article/penuries-hausses-de-prix-l-industrie-du-papier-carton-ne-suit-plus-la-croissance-de-la-demande.N1157727
 
https://www.graphiline.com/article/38316/flambee-des-prix-l-uniic-crie-au-feu
 
https://www.graphiline.com/article/38427/les-nouvelles-hausses-des-prix-papier-mettent-en-danger-l-industrie-de-l-impression-denonce-intergraf

 

Les atouts d’une surcomplémentaire santé

https://www.sportsante.info/pourquoi-souscrire-une-surcomplementaire/

Pourquoi souscrire une surcomplémentaire ?

Dans le monde de l’assurance sanitaire, l’on ne connait que très peu la surcomplémentaire santé. Comme son nom l’indique, la surcomplémentaire santé est une complémentaire supplémentaire. Elle intervient pour soutenir la complémentaire santé traditionnelle. Il est vrai que la complémentaire santé comble déjà les déficits de la sécurité sociale, mais il existe certaines sommes qu’elle ne peut rembourser. Aussi, certains soins ne sont pas pris en charge ou que partiellement. Ainsi, les personnes insatisfaites des offres des complémentaires santés peuvent recourir aux surcomplémentaires santé pour compléter les vides. Découvrez les raisons pour lesquelles l’on doit intégrer une surcomplémentaire santé. 

Les atouts d’une surcomplémentaire santé

Bien que méconnue, les surcomplémentaires santé dispose de nombreux avantages qui font la différence avec les complémentaires santés classiques. Certains frais engendrés par les soins de santé ne sont pas pris en charge par les complémentaires santés traditionnelles vu leur importance. Pour éviter de mettre leur vie en danger, de nombreuses personnes préfèrent ne pas effectuer des soins de santé. Les surcomplémentaires santé représentent un recours de troisième catégorie et favorise la prise en charge des débordements de frais sanitaires. Cette solution est une protection personnalisée dans la mesure où elle est un moyen d’optimiser les atouts offerts par la mutuelle classique. Elle intervient dans la prise en charge des soins otique, orthodontique, dentaire, etc. Certaines dépenses sanitaires non prises en charges par les mutuelles sont couvertes par les surcomplémentaires. Découvrez plus d’infos sur la mutuelle REPAM. 

La mutuelle santé avant tout

De nombreux spécialistes affirment que la surcomplémentaire santé représente une excellente alternative de remboursement. A cause des atouts qu’elle présente à ses souscripteurs. La souscription à une mutuelle de santé classique est obligatoire si l’on souhaite bénéficier des avantages de la surcomplémentaire santé. Il convient également d’avoir une bonne connaissance des limites de sa complémentaire santé. Cela permettra de mieux choisir sa surcomplémentaire santé. Pour votre bien être, choisissez d’intégrer une surcomplémentaire santé. 

 

5700 lits fermés en 2020 L'hôpital est « dans une situation catastrophique

 Le seul pays à avoir fermé des lits en période épidémique pour des raisons économiques »

 

https://www.youtube.com/watch?v=Y16-QoXtv2M

 

L'hôpital est « dans une situation catastrophique »

https://www.youtube.com/watch?v=tcLy8nGTqdM

 

Le Doctothon : Le 10 et 11 décembre, des centaines de médecins feront le point de la situation COVID-19. André Bercoff en parle avec Cécile Maïchak.
DOCTOTHON - 24H DE LIVE AVEC 300 MÉDECINS POUR UNE AUTRE VÉRITÉ SANS CENSURE
https://www.youtube.com/watch?v=Ndy0sRpeyD8
 

DOCTOTHON - 24H DE LIVE AVEC 300 MÉDECINS POUR UNE AUTRE VÉRITÉ SANS CENSURE

https://www.youtube.com/watch?v=boFzPOcM4kA
 
Vécu est le Média Citoyen Indépendant à vocation internationale et au cœur de la véritable actualité. Grâce à l'équipe de nos Citoyens Reporters et en toute transparence, vous pouvez vivre en direct de nombreux évènements; Nous accompagnons les luttes sociales qui se propagent à travers le monde.
 
https://www.youtube.com/channel/UChSI-H1_cv1zRL2cOWtqBaA

 

Une révolte profonde contre les dérives d’une France de plus en plus connectée

https://www.francesoir.fr/politique-france/sabotages-dinfrastructures-numeriques-en-france
 

Le premier avril dernier, France Inter rapportait un bilan de 174 infrastructures télécoms endommagées en un an, sabotées ou incendiées. Antennes-relais, câbles… le bilan réalisé par le média en ligne Reporterre est légèrement inférieur en raison du manque de sources. Le site comptabilise 140 infrastructures endommagées en deux ans, qui témoignent d’une diffusion de la méfiance envers les nouvelles technologies, contre le déploiement de la 5G et la généralisation de l’utilisation sans limite d’Internet. Certaines personnes choisissent donc l’action illégale pour prendre les choses en main et tenter d’en finir avec les équipements qui permettent les connexions.

Une révolte profonde contre les dérives d’une France de plus en plus connectée

Pour mieux comprendre ce phénomène, Reporterre publie un dossier complété par une carte qui répertorie les 140 sabotages identifiés ces deux dernières années. La carte distingue les sabotages en fonction de la nature des actes commis : soit contre les antennes, la fibre optique ou armoires électriques, soit contre le matériel d'entreprise (comme à Toulouse, où quatre camionnettes d’une entreprise d’installation de fibre optique ont été incendiées).

 
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Manque de transparence sur le nombre exact de sabotages par peur de l’effet boule de neige

Pour arriver à recenser les 174 sabotages signalés par un rapport interne du ministère de l’Intérieur, Reporterre a demandé à avoir accès à ce document privé, mais le ministère de l’Intérieur n’a pas souhaité le communiquer. Le nombre réel de sabotages reste donc inconnu par manque de transparence, et les chiffres mentionnés par les entreprises de télécommunications laissent penser que le nombre est bien supérieur à l’estimation mentionnée par le ministère. Les opérateurs et les autorités sont très prudents quant à ces actions, par peur de motiver davantage de citoyens mécontents à rejoindre le mouvement. « Il s’agit même plutôt de ne pas trop ébruiter ces éléments afin d’éviter de donner des idées à certaines personnes », a expliqué Ariel Turpin, le délégué général de l’Avicca (l’Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l’audiovisuel). Orange par exemple, aurait subi 130 attaques en deux ans, dont 61 sur des sites de téléphonie mobile. Environ une antenne par semaine est la cible de vandalisme, révélait en septembre Cyril Luneau, directeur des relations avec les collectivités locales du groupe Orange.

Mobilisation démocratique ou “terrorisme numérique” ?

Dans un sondage IFOP publié en septembre 2020, pas moins de 20 % des personnes interrogées se disaient favorables à la destruction des antennes-relais 5G. Malgré ce pourcentage non négligeable d’opposants farouches, le gouvernement fait du déploiement de la 5G un pilier de sa stratégie numérique. Alors que les acteurs de l’industrie des télécommunications se disent gravement touchés par les pertes économiques que ces sabotages représentent, et n’hésitent pas à parler de « terrorisme numérique » (comme c’est le cas de Vincent Cuvillier, le président de l’Association française des opérateurs d’infrastructure de téléphonie mobile), d’autres acteurs trouvent ce phénomène plutôt compréhensible. Stephen Kerckhove, de l’association Agir pour l’environnement, constate : « Je n’ai aucun étonnement à voir des gens prendre leur clé à molette. À l’instant où les canaux légaux et institutionnels classiques des associations peinent à obtenir des résultats, ça se décale forcément sur du sabotage. C’est une photographie de notre incapacité collective et de l’irresponsabilité du gouvernement. Cela engendre légitimement une rage folle, je comprends que des gens puissent se mobiliser ainsi. » François Jarrige, historien des sciences explique que ce processus de contestation n’est pas nouveau. Il s’est manifesté à chaque période de l’histoire où les choix techniques étaient encore incertains et pas totalement enracinés dans les imaginaires et dans les institutions : les OGM, le nucléaire, mais aussi la voiture, ont déjà fait l’objet de ce type de mobilisation.

 
 

Auteur(s): FranceSoir

 

https://odysee.com/@lecourrierdesstrateges:7/Araujo:a
Virginie de Araujo, avocate, qui nous a expliqué la plainte qu'elle dépose au nom de l'association Bon Sens contre Jean Castex et Olivier Véran pour empoisonnement.
 
https://www.francesoir.fr/politique-france/castex-veran-blanquer-plainte-cjr
 

https://bonsens.info/

 

Carlo Brusa, avocat fondateur de l'association Réaction 19 + explication sur la vaccination ARNm" - Robert W. Malone

https://odysee.com/@lecourrierdesstrateges:7/Brusa:9 
Carlo Brusa, avocat fondateur de l'association Réaction 19, nous a accordé une interview sur la question du vaccin et sur ses effets secondaires. 
Il nous explique le sens de son combat, notamment le sens de la requête judiciaire qu'il a introduite contre Pfizer devant le tribunal judiciaire de Paris.
 
https://reaction19.fr/
 

Avertissement concernant la vaccination ARNm" - Robert W. Malone (vostfr)

https://odysee.com/@Isildan:8/robert-malone-avertissement:6

Robert Wallace Malone est un biologiste moléculaire, épidémiologiste, spécialiste des maladies infectieuses. Il a travaillé sur l’ARN messager et découvre la façon dont il peut être introduit dans les cellules de l'organisme afin que celui ci fabrique des protéines, aujourdhui à la base des vaccins ARN.

C'est à la fin de l'année 1987, que Robert Malone a réalisé une expérience historique. Il mélange des brins d'ARN messager avec des gouttelettes de graisse, pour créer une sorte de mélange moléculaire. Les cellules humaines baignées dans ce mélange génétique ont absorbé l'ARNm et ont commencé à produire des protéines à partir de celui-ci.

Réalisant que cette découverte pourrait avoir un potentiel de grande envergure en médecine, Malone, alors étudiant diplômé du Salk Institute for Biological Studies à La Jolla, en Californie, a ensuite pris quelques notes, qu'il a signées et datées pour consigner sa découverte. "Si les cellules pouvaient créer des protéines à partir de l'ARNm qui leur était délivré", écrivait-il le 11 janvier 1988, "il serait peut-être possible de traiter l'ARN comme un médicament". Un autre membre du laboratoire Salk a également signé les notes pour la postérité. Plus tard cette année-là, les expériences de Malone ont montré que les embryons de grenouilles absorbaient un tel ARNm. C'était la première fois que quelqu'un utilisait des gouttelettes grasses pour faciliter le passage de l'ARNm dans un organisme vivant.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Malone

 

Lettre d'une médecin généraliste indignée, interdite de soigner

https://blogs.mediapart.fr/eliseg/blog/151221/lettre-dune-medecin-generaliste-indignee-interdite-de-soigner 
 
Mesdames et Messieurs les Député⸱e⸱s, Sénatrices et Sénateurs. Je vous écris pour tirer la sonnette d’alarme et témoigner de la situation que je rencontre actuellement en tant que médecin, ne partageant pas la politique sanitaire du gouvernement contre le covid-19, afin que vous mesuriez les conséquences des décisions gouvernementales sur la santé de nos concitoyen⸱ne⸱s.
 

Courrier adressé à Mesdames et Messieurs les Député⸱e⸱s, Sénatrices et Sénateurs le 12 Décembre 2021

Mesdames, Messieurs,

Je vous écris pour tirer la sonnette d’alarme et témoigner de la situation que je rencontre actuellement en tant que médecin, ne partageant pas la politique sanitaire du gouvernement contre le covid-19, afin que vous mesuriez les conséquences des décisions gouvernementales sur la santé de nos concitoyen⸱ne⸱s.

Je suis médecin généraliste, âgée de 38 ans, installée depuis 8 ans dans la campagne drômoise. J’exerce dans un pôle santé où nous sommes deux médecins. J’assure le suivi régulier d’environ 800 patient⸱e⸱s. Je participe à la permanence des soins en assurant les gardes de soirs et week-ends à
tour de rôle avec mes confrères/soeurs du secteur. Comme dans la plupart de nos campagnes françaises, l’offre de soins est largement insuffisante et nous sommes régulièrement sollicité⸱e⸱s par des patient⸱e⸱s qui ne parviennent pas à trouver un⸱e médecin, et qui faute de pouvoir se faire soigner en cabinet, consultent aux urgences ou renoncent aux soins.

Depuis le début de la pandémie, tout comme les autres professionnel⸱le⸱s de santé, j’ai dû m’adapter pour continuer à soigner. J’ai assuré la continuité des soins avec ma consoeur, en maintenant les consultations au cabinet. D’abord sans masque en tout début d’épidémie. Puis avec les masques offerts gracieusement par des patient⸱e⸱s qui avaient la chance d’en avoir en stock. Et enfin, avec le stock d’état qui a tardé à arriver. Sans surblouse non plus, pour aller en visite à domicile, certain⸱e⸱s d’entre nous devant s’équiper de sacs poubelles afin de protéger et de se protéger, je vous laisse imaginer.

Pendant les premiers mois, j’ai demandé aux patient⸱e⸱s d’attendre dans leur voiture plutôt que dans la salle d’attente, les appelant un⸱e à un⸱e par téléphone pour les inviter à entrer.

Puis avec les beaux jours nous avons finalement décidé de rouvrir la salle d’attente, une salle d’attente encore plus froide qu’avant : sans jouets pour enfants, sans revues, toujours pour limiter le risque de contamination.

J’ai également mis en place la téléconsultation, qui s’est initialement révélée être un outil rassurant et sécurisant pour les patient⸱e⸱s et pour moi-même, limitant leurs déplacements et le risque de transmission. Mais un outil ô combien déshumanisant ! Consulter derrière mon écran, sans voir, ni examiner, ni ressentir, ce n’est pas ainsi que je conçois la pratique de la médecine. Et pourtant la téléconsultation nous est présentée comme l’outil de santé de demain, incitée par les ROSP (Rémunération sur Objectifs de Santé Publique), soit de l’argent public indirectement versé aux prestataires « numériques » de téléconsultation par notre intermédiaire.

J’ai continué à assurer mon rôle de médecin, à consulter les patient⸱e⸱s infecté⸱e⸱s par le covid qui nécessitaient un suivi rapproché, et recevoir toutes celles et ceux qui préféraient une vraie consultation à la téléconsultation et qui heureusement sont encore nombreux/ses. J’ai écouté et entendu l’inquiétude, l’angoisse, la peur, la colère, bien légitimes des patient⸱e⸱s, qui souffrent bien plus psychologiquement des répercussions des mesures gouvernementales mises en oeuvre depuis le début de la crise, que du virus lui-même.

Le vaccin est ensuite arrivé, d’abord dédié aux personnes fragiles. J’ai alors pu conseiller à mes patient⸱e⸱s à risque, de se faire vacciner contre le covid-19. Puis le mois de juillet 2021 et la contrainte vaccinale, le gouvernement se substituant au corps médical concernant la prescription vaccinale. Etant sur le terrain, au contact direct de la population, nous avons été les premier/ères à recevoir l’anxiété générée et croissante des gens et à faire face à leurs questionnements vis à vis des décisions gouvernementales. J’ai alors reçu des mamans en pleurs, non obligées mais contraintes de faire vacciner leurs enfants pourtant sans risques de présenter une forme grave du covid.

Bref, comme tou⸱te⸱s les soignant⸱e⸱s, j’ai été en première ligne pour accueillir, écouter et soigner nos concitoyen⸱ne⸱s.

Ainsi, je ne partage pas la politique sanitaire du gouvernement, que ce soit la contrainte vaccinale pour toute la population (sauf les enfants de moins de 12 ans pour l’instant) ainsi que l’obligation vaccinale des soignant⸱e⸱s :

Parce que la médecine se doit d’individualiser la prise en charge, et donc d’adapter l’indication vaccinale selon l’état de santé de chacun⸱e, car nous ne sommes pas égaux/égales face à ce virus. Parce que la médecine doit prendre en compte la balance bénéfice/risque : « primum non nocere », le risque d’effets indésirables des vaccins n’étant pas nul et le recul encore trop faible pour pouvoir les évaluer précisément.

Parce que l’intérêt de cette vaccination dans un but altruiste reste limité étant donné qu’elle n’empêche ni d’être infecté par le virus, ni de le transmettre. Parce qu’une obligation vaccinale revient à forcer le consentement libre et éclairé. Parce que l’information fournie par les autorités sanitaires à nos concitoyen⸱ne⸱s ne respecte pas les principes de loyauté et de sincérité mais est basée sur la peur, le chantage et la culpabilisation.

Parce que les jeunes, peu touché⸱e⸱s par le covid, sont contraint⸱e⸱s à la vaccination pour avoir libre accès à l’éducation, à la culture et aux loisirs pour celles et ceux qui en ont la chance.

Parce que le Conseil Consultatif National d’Ethique ne se prononce pas favorablement à la vaccination pour les 12-18 ans en l’absence de comorbidité du fait d’un bénéfice individuel insuffisant.

Parce que l’OMS préconise de « convaincre » plutôt que de « contraindre ». Parce que nul⸱le ne devrait avoir le sentiment d’une atteinte à sa dignité, comme celles et ceux qui se sont fait⸱e⸱s vacciner sous la contrainte. Parce que pour nous, soignant⸱e⸱s, ces mesures vont à l’encontre de nos libertés individuelles et de notre droit au travail.

Parce que depuis le début de la crise sanitaire, nous prenons toutes les précautions nécessaires et efficaces afin de protéger nos patient⸱e⸱s et nous-mêmes, avec les moyens qui nous ont été donnés non sans difficulté.

Parce que nous, soignant⸱e⸱s, ironie du sort, avons été applaudi⸱e⸱s tous les soirs à 20H. Nous voilà maintenant méprisé⸱e⸱s, allant jusqu’à nous accuser de conduite anti déontologique, et essayer de nous faire culpabiliser en nous qualifiant d’irresponsables, de malfaisant⸱e⸱s.

Parce que paradoxalement, les soignant⸱e⸱s testé⸱e⸱s positif/ves ont été et sont toujours tout de même appelé⸱e⸱s à aller travailler en cas d’infection covid bien tolérée, en raison du sous-effectif déjà présent que cela aggraverait.

Parce que les nombreuses suspensions de soignant⸱e⸱s hospitalier/ères ainsi que les nombreux arrêts d’activités libérales mettent en péril l’accès aux soins de nos concitoyen⸱ne⸱s.

Parce que l’hôpital, à bout de souffle, tient, tant bien que mal, uniquement grâce à ses soignant⸱e⸱s en souffrance, qui ne cessent de manifester leur colère, avant même la pandémie.

Parce que la suppression des lits hospitaliers continue encore et toujours sans qu’aucune leçon ne soit tirée de cette pandémie, soi-disant faute de moyens.

Parce que des millions d’euros par mois ont été annoncés pour contrôler le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux, plutôt que d’être affectés à améliorer l’offre de soins.

Parce que la crise sanitaire profite à certains laboratoires qui s’enrichissent avec de l’argent public alors que, dans ce contexte d’épidémie mondiale, les brevets ne sont toujours pas levés pour permettre au monde entier d’en profiter.

Parce que l’inaction climatique gouvernementale et son mépris face aux conséquences en cours et à venir seront bien plus dramatiques sur la santé planétaire que l’épidémie de covid elle-même.

Pour toutes ces raisons je suis en désaccord avec la politique de contrainte vaccinale pour tou⸱te⸱s et je refuse de me soumettre à l’obligation vaccinale des soignant⸱e⸱s.

Pour revenir à mon activité, j’ai dû choisir entre fermer le cabinet ou bien continuer quoi qu’il en soit à assurer la continuité des soins, tout en ayant connaissance de la loi et des sanctions auxquelles je  m’exposais : contravention de 135 euros dans un premier temps, puis si verbalisation à plus de trois reprises, « 6 mois d’emprisonnement, 3750 euros d’amende et de la peine complémentaire de travail  d’intérêt général », rien que ça.

Sont venues les menaces de l’ARS, l’absence de soutien de l’Ordre des médecins, allant même jusqu’à interdire les médecins non vacciné⸱e⸱s de téléconsulter, de trouver un⸱e remplaçant⸱e pour leurs patient⸱e⸱s, et de prescrire pour eux/elles-mêmes et leurs proches tellement nous serions dangereux/ses, tellement nous ne serions pas assez obéissant⸱e⸱s !

Toute cette violence morale a eu raison de moi. Le virus ne m’avait jusqu’à présent pas empêchée de soigner. Ce sont vos lois qui l’ont fait. Surtout, vos lois ont détruit les liens existants entre mes patient⸱e⸱s et moi.

Pensez-vous vraiment que le légal soit ici moral ?

S’en est suivie une fermeture du cabinet, des centaines de patient⸱e⸱s se retrouvant donc sans médecin, peinant à trouver quelqu’un qui pourrait assurer leur suivi, à savoir des confrères/soeurs déjà surchargé⸱e⸱s.

S’en est suivi aussi beaucoup d’incompréhension de leur part, ne s’attendant pas à ce que l’obligation vaccinale des soignant⸱e⸱s les touche eux aussi. Beaucoup de soutien également, qui dans ces situations révoltantes font du bien. Du soutien de patient⸱e⸱s, mais aussi de soignant⸱e⸱s, de
citoyen⸱ne⸱s, vacciné⸱e⸱s, non vacciné⸱e⸱s, de gens qui se battent aussi pour que soient respectées nos libertés fondamentales. Jour après jour, une belle toile de bienveillance et de solidarité ne cesse de continuer à se tisser et à s’étoffer.

Une chose est sûre : nul ne me volera ni mes connaissances ni mes compétences que je mettrai à nouveau, en temps voulu, au service des autres, quels qu’en soient les moyens.

Puisse ce témoignage vous impulser un élan d’humanité en pensant à toutes celles et ceux qui comme moi ne peuvent plus soigner, aux patient⸱e⸱s qui ne peuvent être soigné⸱e⸱s, ainsi qu’à toutes celles et ceux qui sont ou ont été contraint⸱e⸱s de prendre une décision contraire à leur volonté.

Je vous remercie d’avoir pris le soin de me lire et de me répondre si le coeur vous en dit. Surtout, je vous remercie par avance de reconsidérer votre position quant aux décisions sanitaires, en interpelant les autorités compétentes si cela vous semble nécessaire, afin que cette situation cesse.

Je ne manquerai bien sûr pas d’informer mes patient⸱e⸱s de la suite que vous pourriez donner à mon courrier.

Veuillez recevoir, Mesdames, Messieurs, l’assurance de mes respectueuses salutations.

Dr Elise Gérard, médecin généraliste

 

Courrier des lecteurs : Désactivation du graphène - Cogiito
NOTE : “ Le courrier des lecteurs“, comme son nom l’indique est un courrier envoyé par des lecteurs et publié par cogiito.com tel qu’il nous est envoyé, pour le laisser dans son jus, nous ne le corrigeons pas. Donc, si vous trouvez des fautes, des coquilles, elles incombent aux auteurs de ces documents. Ces personnes font de leur mieux, soyez tolérants.
cogiito.com

Comment il gagne 600 € par jour à 29 ans (6 sources de revenus)

Sébastien Koubar
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https://www.youtube.com/watch?v=b-oYYdQmSzA
Quelles sont mes 6 sources de revenus, combien chacune me rapporte et bien sûr, combien j'ai gagné en tout en 2021.
 
🔥 Mon Challenge Privé pour faire 20 % /an en bourse : https://bit.ly/3u3eFN9 ► Une action complètement GRATUITE (jusqu'à 200 €) sur Trade Republic : https://bit.ly/38TEas6 ► Une seconde action complètement GRATUITE (jusqu'à 100 €) sur Trading212 avec le code 212SBK : https://bit.ly/33J58PH ► Bricks : Investissement immo à partir de 10 € (+1% bonus) : https://bit.ly/3mr9ipQ ► Mon site pour choisir les MEILLEURES actions : https://moning.co/fr ► Instagram : https://www.instagram.com/sebkoub/ ► La chaine secondaire ACTUBIF : https://www.youtube.com/channel/UCmuq... 0:00 Introduction 1:14 Source 1 : Intérêts Ceci étant dit, je te propose de commencer avec la toute première source de revenus qui sont les intérêts que je reçois en échange de prêts que j'accorde sur la plateforme de crowdfunding Mintos. J'ai commencé à investir sur cette plateforme en juin 2020 à hauteur de 100 € par mois soit un total de 1 800 €. En 2021, j'ai donc reçu un total en intérêts de 160,35 €. 1:58 Source 2 : Dividendes Mes dividendes proviennent de deux flux. Le premier, ce sont mes actions individuelles que j'achète au sein de mon challenge mensuel que je filme sur cette chaine et sur lequel j'investis 1000 € tous les mois. Et le second flux, ce sont les dividendes que je reçois de mon portefeuille d'ETF sur lequel j'investis environ 700 € tous les mois. Mon portefeuille ETF vaut aujourd'hui 9 989 € et m'a rapporté 153 € de dividendes en 2021, automatiquement réinvesti grâce aux ETF capitalisant. Et mon portefeuille d'actions à dividendes vaut 26 707 € et m'a rapporté 382 € de dividendes. En tout, j'ai donc reçu 556 € de dividendes en 2021 grâce à mes investissements boursiers. 3:41 Source 3 : Loyers J'ai deux flux de revenus locatifs. Le premier c'est l'immobilier physique avec 4 appartements que j'ai acheté au Liban et le deuxième, c'est de l'immobilier papier via mes investissements sur la plateforme Bricks, qui fait du financement participatif de biens immobiliers. Alors Bricks, c'est tout nouveau et les premiers loyers viennent tout juste de tomber pour un total de 4,78 € en cette année 2021. Au sujet de mes 4 appartements, si tu m'as un peu suivi ces derniers temps, tu as probablement entendu que l'hyperinflation est en train de durement frapper le Liban. En 2021, j'ai donc récupéré 17 dollars de loyer par mois et par appart. Soit un total pour les 4 apparts et sur l'année entière de 816 dollars soit 720 €. Bref, en tout sur l'immobilier, j'ai donc reçu en 2021 un total 724,78 €. 5:53 Source 4 : Challenge Privé Ce challenge, c'est un portefeuille d'actions à croissance qui a pour objectif de générer sur long terme un rendement moyen de 20 % par an. Le concept est simple, chaque mois nous analysons les marchés à la recherche de petites pépites sur lesquelles investir 1000 dollars et auxquelles nous croyons sur long terme. Plusieurs centaines de membres nous font confiance et ont rejoins l'aventure pour un cout de 29 € par mois ou bien de 300 € par an. Depuis le lancement de ce challenge privé, j'ai touché personnellement la somme de 21 600 €. 6:49 Source 5 : Publicité Youtube Ce format rémunère aux 1000 vues et le montant va bien sûr dépendre de beaucoup de facteurs. Chaque Youtubeur va donc recevoir un revenu pour 1000 vues différent. Sur le montant payé par l'annonceur qu'on appelle le CPM, pour Cout pour mille, une partie va être récupérée par Youtube et l'autre va m'être reversé. Dans mon cas, mon CPM moyen sur 2021 est de 13,52 € et mon RPM, c'est à dire ma part du gateau est de 7,75 €, soit à peu près 57 %. Suffit maintenant de multiplier mon RPM de 7,75 par mon nombre de vues sur l'année 2021 qui s'elève à 3,1 million. Ce qui nous donne un revenu total généré sur Youtube de 23 759,16 € en 2021. Soit en moyenne 65 € par jour. 8:39 Source 6 : Affiliation Je parle de l'affiliation qui consiste à gagner de l'argent sous forme de commissions que me verse des produits et services que je recommande dans mes vidéos à chaque fois qu'une personne s'y inscrit. Jusqu'à maintenant, j'ai principalement fait de l'affiliation pour 4 plateformes qui sont les courtiers Trading212 et TradeRepublic, la plateforme de crowdlending Mintos et dernièrement la plateforme de financement participatif immobilier Bricks. 10:18 Objectifs 2022 Premièrement, merci à vous. Je sais que tout ceci n'aurait pas été possible sans vous, mon audience qui me confiance et me suit dans cette excitante aventure qui est la quête de liberté au final. Je veux continuer de faire croitre l'activité avec un objectif précis de +50 % en 2022. En gros, je veux viser les un peu plus de 300 000 € de revenus d'ici la fin de l'année prochaine. Est-ce que la vidéo t'a plu ? Démolis-moi ce bouton LIKE et abonne-toi. Un gros MERCI et on se retrouve au sommet ✌️ Sébastien. #SebastienKoubar #Trading212 #YoutubeMoney

 

L'équipe du film Hold on l'offre en accès libre - Ciel Voilé

oir La video
https://crowdbunker.com/v/hBlXXMg1Sr

 
https://www.cielvoile.fr/2021/12/l-equipe-du-film-hold-on-l-offre-en-acces-libre.html 
 

HOLD ON (Primum Nocere ) by Citizen Light

 

Confrontés à la vaccination des enfants de moins de 5 ans qui a déjà commencé, nous avons décidé au nom du collectif de mettre en accès libre HOLD ON sur tous les réseaux.

 

Immense Merci à tous ceux qui ont participé à l'achat du film renforçant ainsi notre indépendance financière.

 

Immense Merci à nos donateurs de France, de Suisse et de Navarre qui nous ont permis de produire et de co-réaliser ce travail d'enquête inédit.

 

Nous allons bientôt mettre en pré-vente le film "HOLD OUT" qui sera le dernier volet de cette trilogie.

 

Vous le savez, la sortie de Hold On a été difficile à cause de nombreux problèmes techniques et de l'inexorable censure qui règne sur les grandes plateformes de diffusion.

 

C'est la raison pour laquelle nous vous offrons pour Noël, à tous ceux qui ont "joué le jeu" en achetant ou louant Hold On, le film Thanatos (que vous recevrez par email) qui reste l'antidote à cette peur hystérique de la mort.

 

Merci encore à vous tous; Joyeux Noël & belles fêtes de fin d'année à vous, malgré tout <3 Grâce à vous, nous construisons notre indépendance financière, garante de notre indépendance éthique et éditoriale en vivant de notre travail.

vidéo 2h30'

 

INTERDICTION DE LOUER !! NOUVELLE RÉFORME DPE 2022
⇩⇩⇩ Déroulez la barre pour plus d'infos ⇩⇩⇩ La nouvelle réforme sur le DPE 2022 va faire mal à beaucoup d'investisseurs dans l'immobilier. ABONNE-TOI, LIKE et COMMENTE ! 📅 WEBCONFÉRENCES EN DIRECT SOUS-LOCATION \u0026 CONCIERGERIE AIRBNB 📅 Inscrivez-vous à nos prochaines dates disponibles gratuitement : https://cutt.ly ...
www.youtube.com

LE SYSTEME IMUNITAIRE 

https://rumble.com/user/Agoratvnews

 

Témoignage d'un médecin qui explique les dommages des vaccins COVID

https://rumble.com/vu5x6w-tmoignage-dun-mdecin-qui-explique-les-dgts-des-vaccins-covid.html