avec un grand merci à Pierre-Jean Llorens pour sa forte contribution
Etude les marques DTC performant-elles sur l'expérience client post-achat ?
Avec une concurrence en ligne de plus en plus accrue, proposer une expérience client standard n'est plus suffisant. Les marques DIrect-To-Consumer l'ont bien compris et on placé l'expérience client au coeur de leurs préirités, depuis bien longtemps.
Mais ces marques DTC parviennent-elles à maintenir le même niveau de qualité d'expériecne, tout au long de leur parcours client ?
C'est ce qu'à voulu vérifier ParcelLab, leader mondial de la gestion de l'Operation Experience, en sélectionnant 11 marques DTC (11 e-commerçants DTC Cheerz, Envie de Fraise, Jimmy Fairly, Kazidomi, Le Slip Français, Miliboo, Polette, Sézane, Tediber, Tikamoon, Typology...).
Les premiers enseignements sont saissisant :
- Manque de communication avec le client pendant la livraison 10 marques aur 11 communiquent en doublon avec le transporteur)
- La communication s'arrête souvient une fois le colis livé 72% des marques DTC testées notifient personnellement la livraison du cients, ce qui signifie que 1/3 négligent cette étape. Et 45% des DTC ne demandent pas d'évalutation produits.
- Un manque de personnalisation criant 90% des DTC analysées envoient des communication génériques lors de la phase opérationnelle.
[1] 20% des célibataires ont souffert de dépression ces douze derniers mois, soit deux fois plus que les personnes en couple (12%).
Droit à la déconnexion du salarié : quel encadrement à la veille des vacances d'été ?
- Plus de 4 ans après l’adoption du texte, où en est-on ?
- Comment se définit le droit à la déconnexion du salarié ? Quels sont ses objectifs et modalités d’exercice en entreprise ?
- Quelles sont les catégories de salariés concernées par le droit à la déconnexion ?
- Comment sont juridiquement encadrées les circonstances exceptionnelles pendant lesquelles le salarié doit être connecté ?
- Quels sont les devoirs des employeurs et des salariés face à la déconnexion ?
- Quels sont les risques encourus par l’employeur s’il ne respecte pas le droit à la déconnexion de ses salariés ?
- Peut-on qualifier de harcèlement moral toute remontrance de l’employeur à l’égard de ses salariés qui ont déconnecté pendants leurs vacances ?
- Comment faire la part entre qualité de vie au travail et impossibilité de décrocher ? Comment anticiper un burn-out ?
- Qu’est ce que l'hyperconnexion dit de notre relation au travail et à l’entreprise ?
- Collègues et/ou amis : réseaux sociaux d’entreprise ou entre collègues, comment rétablir la frontière ?
- Smartphones, ordinateurs, tablettes...À l'heure du tout numérique et de l'hyper-connexion, peut-on parler d'addiction ? Quel impact sur la santé des salariés ?
- Quelles sont les conséquences les plus fréquentes de ce type d’addiction ? Pouvons-nous parler de « burn-out numérique » ?
- Face à cette addiction, existe-t-il une prise en charge et un réel encadrement médical ?
- Observe-t-on une recrudescence de l’accompagnement spécialisé en entreprise face à ce phénomène ?
Fondation Abbé Pierre : les loyers de la métropole de Lyon de moins en moins accessibles aux ménages modestes.
Conférence de presse aujourd'hui à 9h (283 Rue de Créqui - 69007 Lyon)
Le cas de Paris n'est plus un phénomène unique. Les villes attractives comme Lyon empruntent des chemins similaires sur la hausse des prix à l'achat et la hausse des loyers. C'est ce que démontre cette nouvelle étude publiée ce mercredi 30 juin et menée par Loïc Bonneval, chercheur au Centre Max Weber - Université Lyon 2 pour le compte de l'agence régionale Auvergne-Rhône-Alpes de la Fondation Abbé Pierre.
Basée sur une analyse comparative entre l'évolution du prix des loyers et le taux d'effort (le poids des dépenses allouées pour se loger) de plus de 600 ménages locataires accueillis à la Maison de l'Habitat/Alpil à Lyon*, elle permet de voir l'évolution depuis 10 ans des prix des logements privés et des loyers dans la Métropole de Lyon et leurs incidences sur le budget des ménages les plus modestes.
Cette étude fait émerger plusieurs chiffres intéressants :
- Entre 2007 et 2017, les prix du logement privé, à l'achat, dans la métropole de Lyon ont augmenté d'environ 30 % alors que le revenu médian n'a lui augmenté que de 17 %.
- Les loyers des ménages locataires du parc privé interrogés ont augmenté en moyenne de 21 % entre 2007 et 2020, soit une hausse supérieure à celle de l'ensemble des loyers sur l'agglomération lyonnaise (+15 %).
- Pour ces ménages modestes, le taux d'effort moyen pour se loger est de 53 %. Certaines situations extrêmes se rapprochent même des 72 %.
Enfin, l'étude montre que les ménages concernés par un taux d'effort élevé sont moins précaires financièrement qu'en 2007, ce qui permet de conclure que l'alourdissement du budget logement n'est pas dû à un appauvrissement des ménages concernés mais bien à une augmentation des prix du logement privé dans la métropole lyonnaise.
Etude de Gleeph : 82% des jeunes Français préfèrent encore le livre papier au numérique
Alors que le numérique s'invite dans chaque domaine de notre vie et que nous accordons de plus en plus d'importance à nos smartphones, le livre papier a-t-il encore une place dans notre quotidien ? Les jeunes aiment-ils toujours lire ?
A l'époque de l'omniprésence d'internet dans les échanges, les 18-35 ans privilégient-ils encore le contact humain en librairie ?
L'application Gleeph a réalisé une étude auprès de 1100 lecteurs de moins de 35 ans pour découvrir quelle place ils accordent à la lecture.
Le livre papier encore largement plébiscité
L'équipe Gleeph a réalisé une étude auprès de ses utilisateurs pour décrypter leurs comportements d'achat. Le panel de répondants est constitué de jeunes lecteurs de moins de 35 ans. La génération des 18-35 ans est connue pour être très présente sur les réseaux sociaux et à l'aise avec les outils digitaux. Cela influence-t-il leur comportement d'achat de livres ?
L'étude montre que plus de 80% des lecteurs de moins de 35 ans achètent des livres en librairies et magasins spécialisés, ils privilégient donc largement le livre papier au livre numérique. Quand on regarde la population française et pas seulement les lecteurs de moins de 35 ans, les achats de livres en librairies et grandes surfaces spécialisées représentent 47% de part de marché.
En plus de privilégier les livres papiers les lecteurs de moins de 35 ans ayant répondu au questionnaire lisent beaucoup, plus de 50% des répondant achètent plus de 20 livres par an.
Les jeunes prennent leur temps en librairie
Les moins de 35 ans achètent beaucoup de livres par an et pour cela ils se rendent très fréquemment en librairies. 82% préfèrent se déplacer directement en librairie ou magasin spécialisé pour trouver leurs prochains coups de cœurs, plutôt que de les acheter sur internet.
En effet, les jeunes aiment prendre leur temps en librairie, car elles ont l'avantage d'être proches de chez eux et ils y apprécient le contact humain et les échanges qu'ils peuvent avoir avec les libraires.
Une application française associant réseaux sociaux et passion de la lecture
Une application mobile française lancée en 2019, permet à ses utilisateurs de prolonger l'échange à propos d'un livre après leur passage en librairie et leur lecture. Gleeph est un véritable réseau social pour les amoureux de la lecture, qui peuvent partager leurs coups de cœurs et découvertes littéraires.
Tous les jours l'application leur fait des suggestions pour leurs prochaines lectures et fonction de leurs goûts identifiés par l'application.
Dès qu'un utilisateur ajoute un livre dans sa liste de souhait, l'application lui propose de trouver ce livre près de chez lui, dans les librairies, magasins spécialisés ou bibliothèques municipales partenaires.
Gleeph ne remplace pas les libraires que les jeunes aiment tant, mais permet de prolonger l'expérience de la librairie.
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consultant sap pour un cdi en client final
ous cherchons pour notre client basé dans le département 26 pour son centre de compétences :
SAP FI CO Senior (60 ke) ou junior (40 ke)
SAP SD MM PP Senior (60 ke) ou junior (40 ke)
SAP ABAP Senior (60 ke) ou junior (40 ke)
Poste en CDI client final, compte tenu de la localisation il conviendra d'avoir un véhicule personnel,
Hervé Dulaire
IT Resourcer
ITProject-search
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Covid-19 ou pas, 8 Français sur 10 privilégient la France comme destination d’évasion et de vacances !
Selon un sondage de l’Agence Nationale pour les Chèques-Vacances (ANCV),
réalisé par l’institut d’études CSA
Alors que la crise sanitaire contraint depuis un an les Français dans leur quotidien, l’ANCV (Agence Nationale pour les Chèques-Vacances) en partenariat avec l’institut d’études CSA, a voulu en savoir plus sur leurs envies d’évasion. Un sondage dont les résultats révèlent que restrictions de déplacement ou non, la France, portée par la diversité de son offre touristique, reste indiscutablement le lieu de villégiature plébiscité des Français !
Depuis le début de la crise sanitaire, 2 Français sur 3 ont réalisé au moins un séjour hors de leur domicile pour motif personnel. Et c’est en France, pour la très grande majorité d’entre eux, qu’ils ont décidé de s’évader.
Si 35 % des répondants admettent avoir découvert ou redécouvert leur pays du fait de la pandémie, plus de 7 Français sur 10 (74 %) estiment que la Covid-19 n’a pas influencé leur choix de rester sur le territoire national en 2020.
Alors, qu’est-ce qui fait de la France une destination privilégiée ? Dans le top 3 : la richesse du patrimoine culturel et historique (38 %), sa facilité d’accès (36 %) et sa gastronomie (29 %).
94 % des Français considèrent que voyager en France, c’est soutenir la filière touristique et 21 % estiment même qu’il s’agit de l’une des premières raisons de partir en France actuellement.
Plus de chiffres dans le communiqué de presse et l'infographie en pièces jointes.
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« Compte tenu du contexte sanitaire, il n’est pas surprenant que les Français aient en majorité réalisé des séjours en France ces derniers mois. En revanche, il est très intéressant de remarquer qu’il ne s’agit pas d’un choix par défaut, loin de là ! Nos concitoyens sont conscients de toutes les bonnes raisons pour lesquelles la France est l’une des premières destinations touristiques mondiales. Par ailleurs, un Français sur trois n’est pas parti au cours des douze derniers mois. Le départ en vacances du plus grand nombre est plus que jamais essentiel pour répondre au besoin de répit et d’évasion après des mois difficiles. À l’ANCV, nous œuvrons en ce sens. », constate Frédéric Vigouroux, Président de l’ANCV.
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Enquête : Comment se marient les couples homosexuels ?
- 21% des couples de même sexe décide de se marier durant le mois de juin
- 1 couple sur 2 décide de se passer la bague au doigt avant de fêter leurs trois ans de relation
A l’occasion du Pride Month, Mariages.net, portail nuptial leader dans le monde, du groupe The Knot Worldwide s’est interrogé sur les célébrations de mariage des couples de même sexe.
Pour ce faire, Mariages.net a réalisé une radiographie des mariages des utilisateurs inscrits sur le portail.
- 3,1% des jeunes se déclarent pansexuels
- Un jeune sur dix a déjà utilisé des produits psychoactifs pendant un rapport sexuel
- 55,2% consomment régulièrement des pornos
Plus d’1/3 des jeunes a ressenti une pression sociale liée à son premier rapport sexuel, dont 41,2% de femmes contre 26,1% d’hommes.
Plus de 7 jeunes sur 10 ont une vision claire de ce qu’est le consentement. Pourtant 56% des femmes interrogées déclarent qu’au cours de leur vie sexuelle, leur consentement a été bafoué ou non respecté.
Une sexualité épanouie, qui passe par la masturbation, la consommation de contenus pornographiques, ou encore l’usage du sex toy.
Une vie sexuelle impactée par les confinements successifs
- Chloé Thibaud, journaliste indépendante rédac chef de la newsletter "les petites glo" by Les Glorieuses
- Carine Torset, Secrétaire générale de l'association Handsaway
- Aurélie Gourgeon, Porte-Parole Prévention chez HEYME
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81 % des développeurs de grandes entreprises admettent avoir publié des applicat… |
L'étude d'Immersive Labs montre que seulement 44 % des équipes de sécurité pensent que leur environnement de développeme…
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Observatoire du marché des télécoms de l’Arcep : les opérateurs, grands gagnants… |
Après l’urgence de la crise et le recours massif au télétravail, la croissance des revenus des opérateurs s’explique en …
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Sur la route des vacances, la voiture, un objet de pouvoir et de tensions dans le couple ?
Une enquête Ifop pour Caroom
A l’heure où les Français s’apprêtent à prendre la route des vacances, le volant sera-t-il cet été encore tenu par des hommes ou les rôles de genre ont évolué dans l’habitacle des voitures familiales ? Reposant sur tout un ensemble de stéréotypes culturels conférant aux hommes un « privilège de genre » sur de tout ce qui touche de près ou de loin à la sphère automobile, la prééminence masculine en la matière semble pourtant de plus en plus remise en cause au sein des couples au regard des résultats de cette étude menée par l’Ifop pour le mandataire automobile Caroom. Remontant à une époque – celles des premières heures de l’ère de l’automobile – où les femmes étaient pour l’essentiel assignées à leur foyer, les formes de domination masculine et de sexisme dont souffrent les femmes dans leur rapport avec les voitures n’en restent pas moins prégnantes…
Les chiffres clés
A - LA VOITURE, ENJEU DE POUVOIR ET DE DISPUTE DANS LE COUPLE ?
- Les hommes s’agrippent toujours au volant. Les hommes ne sont toujours pas enclins à lâcher le volant au profit de leur conjointe. Obéissant à ses stéréotypes de genre bien ancrés qui leur confèrent le rôle d’assurer la sécurité du foyer, ils estiment que la place du conducteur leur revient naturellement, particulièrement lorsqu’il s’agit d’effectuer de longs trajets. Ainsi, 8 hommes sur 10 sont au volant au moment de partir en vacances ou en week-end.
- Une perception différente du partage. De même, ils ont du mal à reconnaître dans leurs déclarations leur aptitude à partager ce même volant avec leur conjointe.
1 homme sur 10 seulement assume ce partage de la conduite sur des longs trajets quand plus de 2 femmes sur 10 déclarent que c’est une réalité dans leur couple. L’image qu’il convient de donner, celui de l’homme endossant seul la responsabilité de conduire sa famille à bon port, l’emporte visiblement sur les faits.
- Fréquentes disputes dans l’habitacle. Prolongement de la vie à l'extérieur, l’habitacle de la voiture, confiné par nature, est un lieu de conflits et de disputes pour plus de la moitié des couples interrogés (53%), tant sur les courts que sur les longs trajets. Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à faire état de ces disputes (57% contre 51%), particulièrement chez les dirigeantes d’entreprises (75%) habituées à prendre le contrôle, et donc à questionner la prééminence masculine en voiture, et chez celles âgées de 35 à 49 ans (68%), génération elle aussi plus encline à cette remise en question.
- La conduite masculine source de conflits. Plus de la moitié des femmes (52%) indiquent que le style de conduite est une source de dispute avec leur compagnon et 28% citent la vitesse. Objet de virilité, la voiture est pour de nombreux hommes le moyen de s’affirmer, par une conduite qui peut être à risque, brutale et agressive, vis-à-vis de leurs congénères également au volant. La forte hausse de ce motif de dispute (+ 18 points par rapport à 2017) est également un bon indicateur des tensions de plus en plus palpables dans la société, et donc au sein des couples. Plus étonnant à l’heure de la généralisation des systèmes de guidage, la direction à prendre est source de conflit pour plus des 2/3 des répondants, là aussi en hausse de 8 points en 4 ans. Découlant directement du style de conduite de leur conjoint, 43% des femmes en couple déclarent avoir déjà eu peur en voiture lorsque celui-ci conduit, contre 36% des hommes qui ont déjà éprouvé ce sentiment.
B - LA CONTESTATION DE LA PRÉÉMINENCE MASCULINE DANS LES DÉPENSES LIÉES A LA VOITURE
- L’expertise des hommes remise en cause. Les femmes sont de moins en moins nombreuses à demander l’avis de leur entourage masculin lorsqu’elles envisagent d’acheter une voiture. Moins de la moitié d’entre elles (44%) le font aujourd’hui quand elles étaient près des 2/3 (62%) en 1990. Il y a là une nette émancipation de la gent féminine vis-à-vis de l’image de l’homme expert véhiculée des décennies durant au travers de multiples stéréotypes – métiers, sports automobile, publicités… Il n’en reste pas moins que les plus jeunes sont celles qui se soumettent le plus à l’avis masculin avant l’acte d’achat : 55% des 18-24 y ont recours contre seulement 36% des femmes âgées de plus de 50 ans, lesquelles ont gagné au fil de leur de vie une plus grande autonomie vis-à-vis de l’image patriarcale associée à la voiture.
- Achat et dépenses liées à l’automobile : l’homme se donne le beau rôle, la femme gagne en contrôle. Malgré tout, la gent masculine veut garder le contrôle sur toutes les décisions concernant le domaine de la voiture, même si la réalité telle que la perçoivent les femmes est quelque peu différente. Plus de 9 hommes sur 10 (94%) assurent que les dépenses auto relèvent de leur décision quand près d’1 femme sur 2 (47%) vivant en couple sous le même toit que son compagnon en revendique le choix. Choix qui s’affirme également de plus en plus lors de l’acte d’achat d’une voiture : 45% des femmes se disent aujourd’hui décisionnaires quand elles n’étaient que 15% en 1994. Autre signe fort de la remise en cause de la domination masculine dans le domaine de l’automobile.
C - LA PERSISTANCE DES CLICHÉS ET STÉRÉOTYPES DE GENRE RELATIFS À LA CONDUITE AUTOMOBILE
- Les femmes se jugent meilleures conductrices. Plus d’1 femme sur 3 (38%) estime que les femmes conduisent mieux que les hommes quand seulement 17% des hommes pensent la même chose. Mais ces derniers sont plus nombreux (67% contre 53%) à ne pas faire de différence entre la conduite des unes et des autres. Ce sentiment que le sexe n’entre pas en ligne de compte en matière de conduite – 59% des Français y adhèrent - est en progression de 8 points par rapport à une étude menée en 1988. Mais dans la réalité, les hommes sont effectivement bien plus impliqués et concentrent jusqu’à 95% des délits routiers. Quant à l’origine des accidents de la route, hommes et femmes sont d’accord en 2021 (50 et 51%) pour dire qu’elle est plus masculine que féminine. Un rééquilibrage par rapport à la fin des années 80 où 66% des Français attribuaient la responsabilité des accidents aux hommes.
- Les femmes et les garagistes : le divorce est consommé. Parce qu’elles sont de plus en plus nombreuses à remettre en cause le sacro-saint pouvoir de l’homme sur tout ce qui touche à l’auto et s’affirment en tant que clientes autonomes et non plus sous tutelle, les femmes perçoivent avec une acuité renforcée le sexisme émanant de ce monde quasi exclusivement masculin qu’est le garage. Près de 9 sur 10 (89%) pensent que leur garagiste les voit comme des clientes faciles à arnaquer (contre 71% en 2008), 7 sur 10 (69%) qu’elles sont considérées différemment selon qu’elles viennent seules ou accompagnées et plus de 6 sur 10 (63%) qu’il pense qu’elles sont de mauvaises conductrices. Et même si leur nombre est en légère baisse, elles sont toujours 71% à penser que leur garagiste les considère comme étant nulles en mécanique. On le voit, les garagistes ont d’énormes progrès à faire pour gagner la confiance de leurs clientes. La féminisation de la profession y contribuera-t-elle ? C’est loin d’être gagné : en 2017, une étude montrait que moins de 1% des femmes s’intéressaient au métier de mécanicienne…
Le point de vue de François Kraus, directeur du pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » à l’Ifop
La proportion croissante de Françaises ne consultant pas leur entourage masculin ou décidant de l’achat de la voiture du foyer constitue autant de symptômes d’une remise en cause de la domination masculine sur les questions relatives à l’automobile et notamment de l’« expertise » technique qui fut longtemps attribuée de facto aux hommes en la matière. Cependant, force est de constater que tenir le volant reste encore l’apanage des hommes dans la grande majorité des couples, peut-être parce que cet objet de pouvoir et de contrôle est encore trop chargé symboliquement pour que son partage entre les deux sexes ne soit perçu comme une remise en question de leur virilité.
POUR CITER CETTE ÉTUDE , IL FAUT UTILISER A MINIMA LA FORMULATION SUIVANTE : « Étude Ifop pour Caroom, réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 22 au 23 juin 2021 auprès d’un échantillon de 1 012 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. »
En cas d’utilisation, un lien vers Caroom serait le bienvenu pour notre équipe.
Investigation réalisée et certifiée par la rédaction FLASHS
A propos : Le site Caroom est un
comparateur de voitures et véritable
guide d’achat. Il propose des offres de
mandataires auto, et permet d’acheter
moins cher une voiture neuve,
d’occasion ou d’un leasing auto.
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35% des français éprouvent des difficultés
L’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (ARCEP) vient de rendre public son Baromètre annuel du numérique pour l’année 2020. Chaque année, ce baromètre mesure l'évolution des pratiques en France.
Parmi les chiffres marquants cette année, on relève que 35% des français éprouvent des difficultés qui les empêchent d’utiliser pleinement les outils numériques et internet. Pour autant, les français souhaitent apprendre et lorsqu’ils n’arrivent pas à réaliser une démarche en ligne, 56% d’entre eux préfèrent qu’on leur explique comment la réaliser seul, plutôt qu’on la fasse à leur place.
Cette volonté d’apprendre se ressent également à travers le point de vue des français sur la formation. 62% des actifs considèrent que la formation continue prépare bien à l’utilisation du numérique au travail, et ils sont même 72% parmi les télétravailleurs, ce qui montre bien qu’il y a un besoin de formation d’autant plus fort dans le contexte actuel.
- Comment expliquer que près d’un tiers des français soient en difficulté avec le numérique et internet lorsque l’on connait notre dépendance grandissante vis-à-vis de ces outils ?
- A l’heure où le télétravail se généralise, quels sont les enjeux de la fracture numérique pour les entreprises ?
- Quelles solutions pour exaucer le vœu des français souhaitant se former ?
DIRECTION DES OPÉRATIONS ET IT :
DES FONCTIONS SOUS TENSION DANS L’INDUSTRIE PENDANT LA CRISE
Paris, juillet 2021. Selon une étude du cabinet Robert Walters Management de transition, le nombre de cadres dirigeants dans les fonctions opérations et IT a largement augmenté en 2020 dans les secteurs industriels gagnants de la crise sanitaire : l’agro-alimentaire, l’énergie et la santé. Dans ce dernier, deux postes ont été particulièrement recherchés, à savoir VP opérations et qualité (+ 24 % de professionnels) et Chief Technology Officer (+ 11 % de professionnels). A contrario, les secteurs en souffrance comme l’automobile et l’aéronautique accusent des reculs dans la plupart des fonctions dirigeantes.
SECTEURS SANTÉ, ÉNERGIE ET AGRO-ALIMENTAIRE : LES FONCTIONS DES OPÉRATIONS ET DE L’IT SURSOLLICITÉES
Dans le secteur de la santé, le nombre de cadres dirigeants dans les fonctions opérations et IT a connu une belle croissance en 2020 (+18 % et +5 % de professionnels). Deux postes ont été particulièrement recherchés pendant la crise : VP opérations et qualité (+ 24 % de professionnels) et Chief Technology Officer (+ 11 % de professionnels). Cette dernière tendance s’explique notamment par la croissance des téléconsultations, la collecte des données patients, le développement de systèmes ERP et d’outils décisionnels liés à la pandémie.
Dans l’énergie, le volume de professionnels au sein de la direction digitale a augmenté de 16 % en moyenne, et même de 20 % pour le Head of Digital. L’explosion de la Data a par ailleurs entraîné un besoin accru de compétences au sein des directions juridiques du secteur, notamment pour se mettre en conformité avec les réglementations liées au traitement des données personnelles. Le nombre de Data Protection Officer a ainsi augmenté de 8%.
Avec de nouvelles installations de production d’énergies vertes (éolien, biomasse, biogaz...), le secteur de l’énergie a montré le besoin de se réinventer et a fait appel aux compétences clés de la direction des opérations. Par conséquent, le nombre de directeurs de sites énergies renouvelables a crû de 16 % en 2020.
Dans l’industrie agro-alimentaire, l’accélération de la production de nombreux produits de première consommation a entrainé une augmentation du nombre de professionnels dans les directions des opérations (+7%). « Dans les secteurs qui ont connu un accroissement de la demande conséquent et totalement imprévisible, le besoin d’assurer la continuité des opérations s’est fait nettement ressentir. Il a fallu assurer les livraisons et la continuité de la chaîne logistique avec moins de personnel sur site. Nous avons d’ailleurs constaté une nette augmentation du nombre de missions en management de transition dans ce domaine. » constate Cyril Berthelemy, Senior Advisor au sein de Robert Walters Management de Transition.
SECTEURS AÉRONAUTIQUE ET AUTOMOBILE : LES DIRECTIONS OPÉRATIONS & IT EN SOUFFRANCE
A l’inverse, les industries aéronautique et automobile ont été contraintes de réduire fortement leurs cadences de production, voire de les stopper.
Dans le secteur de l’aéronautique, l’étude révèle que les directions des opérations ont accusé le coup avec en moyenne une baisse de 15 % de professionnels en 2020, allant même jusqu’à -23 % de cadres au poste de VP opérations. Le secteur, qui n’a pas fait de la digitalisation de ses outils de production une priorité, a vu le nombre de Chief Digital Officer reculer de 11 % en 2020.
Dans le secteur de l’automobile, le nombre de professionnels en IT a également connu un léger recul (-3 %) qui s’explique notamment par la digitalisation déjà très avancée de ce secteur traditionnellement innovant. Si le nombre de cadres dirigeants a pu diminuer dans les secteurs les plus touchés par la crise sanitaire, « les managers de transition capables d’assurer la continuité de l’activité ou de gérer des plans de redressement ont quant à eux été particulièrement sollicités » affirme Hugues Roussel, Senior Advisor au sein de Robert Walters Management de transition.
Pour Karina Sebti, Managing Director de Robert Walters Management de transition : « Les entreprises ayant désormais plus de visibilité sur les transformations stratégiques à lancer, les missions en management de transition de réorganisation, de redressement et de retournement devraient s’accélérer dans le secteur industriel dans les mois à venir. »
Méthodologie de l’étude
Les chiffres présentés dans cette étude se fondent sur les analyses de l’équipe Business Intelligence Robert Walters qui étudie en temps réel les mouvements de cadres et cadres dirigeants sur le marché de l’emploi, ainsi que sur l’analyse des missions en management de transition de Robert Walters en France. Les pourcentages présentés dans l’étude concernent l’année 2020. L’étude est centrée sur le périmètre suivant :
- Santé = Industrie pharmaceutique, Biotechnologies et Dispositifs médicaux
- Energie = Energies, énergies renouvelables et services pour l’environnement
- Agro-alimentaire = Agro-alimentaire et agriculture
- Aéronautique = Aéronautique et aérospatial
À propos de Robert Walters Mangement de Transition
Référence mondiale du recrutement spécialisé, Robert Walters intervient sur le recrutement de cadres en top et middle management dans les domaines d’activité suivants : Finance, Banque, Assurance, Ressources Humaines, Juridique & Fiscal, Private Practice, IT & Digital, Ingénieurs, Logistique & Achats, Immobilier & Construction, Retail & Grande Consommation, Conseil et Santé. Le cabinet a également développé une activité de Management de Transition, qui répond aux besoins urgents et stratégiques des entreprises pour faire face à des situations de changement, de crise ou d’internationalisation.
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Sondage Ifop pour Caroom : Les femmes et leur garagiste, le divorce est consommé
Une récente enquête menée par l’Ifop pour Caroom sur le rapport des couples français à l’automobile a mis en évidence la mainmise que continuent d’exercer les hommes dans le domaine de la voiture, qu’il s’agisse de prendre le volant ou de décider des dépenses qui y sont liées.
Et s’il est un secteur quasi exclusivement masculin dans lequel la défiance entre sexes est de rigueur, c’est bien celui des garages. Comme le montre cette étude, une très large majorité de femmes se sentent méprisées lorsqu’elles mettent seules les pieds dans un atelier de réparation ou un showroom.
Au vu des chiffres, rétablir la confiance, si tant est qu’elle ait déjà existé, va demander beaucoup d’efforts et de pédagogie aux mécaniciens et autres vendeurs, professions où les femmes sont par ailleurs quasi absentes ou très sous-représentées.
Je vous remercie de l’intérêt que vous porterez à cette information.
Les Françaises et leur garagiste :
le divorce est consommé
Quand bien même les hommes disent le contraire, 47% des femmes affirment avoir voix au chapitre quand il s’agit de décider des dépenses en relation avec la voiture familiale. Qu’elles vivent seules ou dans un couple où le partage des tâches est à l’œuvre, elles sont donc de plus en plus nombreuses à se rendre chez le garagiste pour y effectuer entretien et réparations. Et le moins que l’on puisse en dire, c’est qu’elles ne s’y rendent pas en toute sérénité.
76% des Françaises pensent que leur garagiste les voit comme nulles en mécanique
Elles sont donc plus 7 Françaises sur 10 (76%) à lire dans les yeux et dans les sous-entendus de leur garagiste le peu de crédit que ce dernier accorde à leurs connaissances en mécanique. La proportion est légèrement plus faible (71%) quand on interroge les conductrices principales au sein du foyer. Certes, hommes comme femmes, peu d’entre nous peuvent se targuer de reconnaître un piston au premier coup d’œil, mais il y a manière et manière de le faire sentir, et en l’espèce, la gent féminine se sent particulièrement méprisée.
89% des conductrices principales estiment que pour les garagistes, les femmes sont des clientes qu’on peut facilement arnaquer.
Ce très fort sentiment ressenti par les conductrices principales au sein de leur foyer, en hausse de 18 points depuis 2008, découle assez naturellement du point précédent. « S’il pense que je suis nulle, alors mon garagiste ne va pas hésiter à me facturer des réparations ou des changements de pièces qui ne se justifient pas forcément. » Mais avérée ou non, la possibilité d’une arnaque n’est pas une fatalité : demander un devis détaillé et, lorsque c’est possible, s’adresser à un autre professionnel pour vérifier que tout concorde permet souvent d’éviter soit une erreur d’appréciation du garagiste, soit la volonté de gonfler la facture. À noter que les femmes qui ne se déclarent pas comme conductrice principale sont moins sévères : 71% d’entre elles sont d’accord avec cette affirmation. Peut-être parce qu’elles fréquentent moins les garages ?
72% des Françaises pensent qu’elles sont considérées différemment si elles se rendent au garage seules ou accompagnées.
Ce chiffre en dit long sur les stéréotypes qui régissent toujours le monde de l’automobile et la manière dont les femmes le perçoivent. Sans la « tutelle » ou la « protection » de leur conjoint lorsqu’elles se rendent dans leur garage, elles ont clairement l’impression d’être considérées différemment - et généralement pas dans le bon sens. Celles d’entre elles qui conduisent principalement au sein de leur foyer, et se rendent possiblement plus souvent seule chez leur garagiste, ressentent peu ou prou la même chose (69%). En tous les cas, la présence d’une femme seule dans un garage reste encore largement perçue sinon comme une anomalie, en tous les cas comme une sorte d’incongruité. Il n’est d’ailleurs pas rare de constater que lorsqu’un couple hétérosexuel se rend dans un garage, le garagiste ou le vendeur s’ils sont des hommes s’adresseront principalement à Monsieur plutôt qu’à Madame.
63% des conductrices principales estiment que les garagistes les voient comme de mauvaises conductrices.
En 13 ans, c’est le pourcentage qui connaît la plus forte progression : la proportion de femmes se déclarant conductrice principale au sein de leur foyer qui pensent que les garagistes les voient comme de mauvaises conductrices passe de 37% en 2008 à 63% en 2021 ! Le mépris affiché par certains professionnels ou la sensibilité de plus en forte des femmes vis-à-vis de ce genre de stéréotypes expliquent-ils une telle hausse ?
Pour autant, la même enquête de l’Ifop montre que la (très) mauvaise blague sexiste « Femme au volant, accident au tournant » n’est absolument pas d’actualité dans la population française : 67% des hommes pensent que les femmes ne conduisent ni mieux ni moins bien qu’elles, et 17% jugent qu’elles sont meilleures conductrices qu’eux.
La majorité des Français des deux sexes s’accordent par ailleurs pour dire que les hommes sont majoritairement responsables des accidents - ce que confirment toutes les statistiques d’accidentologie -, et seuls 8% des hommes jugent que les femmes sont à l’origine de plus d’accidents qu’eux.
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Paris, le 12 juillet 2021 - Un selfie, un monument historique, un paysage inspirant ou un moment de partage en famille… il y a toujours une bonne raison de prendre des photos en vacances. D’ailleurs, 28 % des Français prennent en moyenne plus de 120 photos pendant leurs congés. Mais que les Français capturent-ils le plus au quotidien ? Quelles sont selon eux les destinations les plus photogéniques? Quels outils utilisent-ils pour prendre des photos ? Et comment stockent-ils ces photos ?... C’est ce que révèle Hubside, service de création de sites internet, dans sa dernière étude.
Alors que les juilletistes ont pris ou ne vont pas tarder à prendre la route des vacances, Hubside a souhaité en savoir plus sur les destinations considérées comme photogéniques par les Français. Et il semble que les Français soient plutôt chauvins puisque c’est la France qui remporte de loin les suffrages :
Le Taj Mahal, les Pyramides d’Egypte, Le Machu Picchu… Quels sont les monuments que les Français souhaiteraient pouvoir photographier une fois dans leur vie ?
Si 6 français sur 10 déclarent photographier en priorité des paysages, en voyage, les monuments sont aussi un incontournable. Quels sont les monuments que les Français rêvent de photographier au moins une fois dans leur vie ?
Enfin, pour obtenir le cliché idéal, 63 % de ceux qui immortalisent leurs souvenirs avec un appareil photo déclarent réaliser moins de 4 prises.
Cependant 37 % des Français affirment avoir déjà perdu une série de photos souvenirs de vacances. Pour éviter ces déboires, 37 % enregistrent leurs souvenirs sur un disque externe/une clé USB et 21 % d’entre eux vont en plus du support externe sauvegarder leurs clichés sur une plateforme de cloud.
ETUDE BADOO* : Sept célibataires sur dix jugent gênant de parler d’argent au premier rendez-vous
● L’argent reste un tabou pour la majorité des célibataires : 71 % des répondants estiment qu'il est gênant de parler d'argent au premier rendez-vous, et ils sont 54 % à se déclarer rebutés par quelqu’un qui parle beaucoup d’argent à cette occasion. ● Les célibataires français sont prêts à dépenser en moyenne 43,2 € lors d’un premier rendez-vous. Si 25 % d’entre eux préfèrent partager l'addition équitablement (option préférée), ils sont seulement 7 % à attendre que leur partenaire en règle la totalité. ● Les femmes célibataires sont plus mal à l’aise que les hommes à l’idée de parler de leur salaire (29 % vs 20 %), ou de la situation financière de leur famille (41 % vs 31 %). Victimes de la pression sociale, elles sont 45 % à craindre de paraître « intéressées par l’argent » en abordant ces sujets (33 % pour les hommes). ● Badoo s'est associé à Alice Tapper, experte financière et auteur de l’ouvrage Go Fund Yourself proposant une nouvelle approche des finances personnelles, pour promouvoir " l'honnêteté en matière d'argent ", pour encourager les personnes vivant une relation amoureuse à tendre vers des conversations honnêtes sur leurs finances.
Paris, le 12 juillet 2021 – Qu'il s'agisse de partager l'addition du premier rendez-vous ou de s’accorder sur le paiement des vacances, parler d’argent reste un tabou dans les relations amoureuses des Français. Badoo a mené l’enquête pour y voir plus clair. Bien que 56 % des personnes interrogées déclarent que la compatibilité financière est un bon indicateur de la réussite d'une relation, 71 % d'entre elles estiment qu'il est indécent de parler d'argent lors d'un premier rendez-vous.
S’il est d’usage qu’un premier rendez-vous se fasse autour d’un verre ou d’un bon dîner, la question fatidique "qui paiera l’addition ?" finit toujours par arriver. L’application de rencontre Badoo s’est intéressée à la place qu’occupent les finances dans les premières rencontres et les relations amoureuses suivies. A travers son étude, la marque observe que 59 % des personnes interrogées admettent que la pandémie a mis leurs finances personnelles à rude épreuve, et qu’ils sont nombreux à s'inquiéter de savoir comment aborder les questions d'argent en amour. Lors d’un premier rendez-vous, les célibataires sont prêts à dépenser en moyenne 43,2 €, et sont en parallèle 67 % à préférer qu’ils soient peu coûteux pour rester à l’aise et détendus. Lorsqu'il s'agit de régler l'addition, 25 % des personnes interrogées préfèrent partager l'addition à parts égales, tandis que 7 % d’entre elles s'attendent à ce que leur partenaire paie la totalité de l'addition. Néanmoins, ils demeurent 18 % à déclarer qu’ils devraient payer l’intégralité de l’addition à tour de rôle, et 11 % qu’il est préférable de la payer eux-mêmes sans avoir à en parler. S’il existe une certaine gêne lorsqu’il est question d’argent lors des premiers rendez-vous, la stabilité financière apparaît pourtant comme un critère essentiel : 39 % des répondants recherchent un partenaire qui ait les mêmes objectifs financiers qu'eux. En outre, 14 % souhaitent un partenaire qui dépense de l'argent pour eux, tandis qu’ils sont 53 % à se sentir à l'aise avec une personne qui gagne plus qu'eux. L’enquête révèle également que les femmes sont plus gênées d’aborder le sujet que les hommes. Elles sont plus mal à l’aise à l’idée de parler de leur salaire (29 % vs 20 %), ou de la situation financière de leur famille (41 % vs 31 %). Victimes de la pression sociale ? Elles sont 45 % à avoir peur de paraître vénales (33% des hommes), et 38 % à redouter d’être jugées sur l’argent qu’elles ont ou n’ont pas (27 % des hommes). Mais passé le premier rendez-vous, une bonne entente sur les sujets financiers est considérée comme essentielle. Ainsi, 73 % des célibataires interrogés pensent que l'honnêteté financière favorise la réussite d'une relation. Un domaine où il n’est d’ailleurs pas facile de s’affranchir des préjugés puisque 59 % des répondants s’accordent à dire que nous évoluons toujours au sein d’une culture sexiste dans les attitudes des hommes et des femmes vis-à-vis de l'argent dans les relations.
Les discussions autour de l'argent peuvent aussi être un terrain miné dans les relations établies. Qu'il s'agisse de dépenses liées aux vacances ou autres cadeaux d'anniversaires, il peut être difficile de se mettre d’accord avec son partenaire. En ce qui concerne les dépenses de la vie quotidienne des couples, seulement 17 % des personnes interrogées pensent que la personne qui gagne le plus devrait payer davantage, tandis que 39 % d’entre elles déclarent que le partage devrait être équitable. Pour plus de transparence financière dans leur prochaine relation, 51 % des répondants seraient prêts à établir un budget commun pour les dépenses et les petits plaisirs, tandis que seulement 13 % d’entre eux partageraient leur salaire et leurs économies. Enfin, 29 % des personnes interrogées discuteraient de la façon dont elles ont géré les finances dans leurs précédentes relations.
Pour aider ses utilisateurs à réussir dans leur relation, Badoo s'est associé Alice Tapper, militante pour l’éducation financière scolaire et auteur de l’ouvrage Go Fund Yourself proposant une nouvelle approche des finances personnelles, pour créer un guide sur les rencontres et l'argent, depuis le premier rendez-vous à la relation exclusive suivie. Dans le cadre de cette étude, Badoo et Alice Tapper dévoilent de nouveaux comportements reflétant les différentes attitudes des célibataires en matière de rencontres et d'argent en 2021, notamment : ● Le Répartiteur, attaché à une certaine indépendance financière dans les relations et partage toujours les coûts à 50/50. ● Le Partageur, facile à vivre dans sa gestion de l'argent dans ses relations. Il ne tient pas compte du partage des dépenses dans le détail et reste convaincu que tout finit toujours par s'équilibrer. ● Le Dépensier, qui préfère garder le contrôle des dépenses dans les relations. Il paiera toujours une addition et il lui tient à cœur d’offrir des cadeaux à son partenaire. ● L'Épargnant, qui est plus qu'heureux que son partenaire règle une facture. Il préfère garder la main sur son argent et aime être choyé.
Alice Tapper, auteur de Go Fund Yourself, commente : "Même après une pandémie où les finances ont été au cœur des préoccupations de beaucoup d'entre nous, le sujet de l'argent peut demeurer toujours aussi embarrassant. Malgré tout, je suis une grande défenseuse de l'honnêteté financière et je pense qu'elle est plus que jamais nécessaire. J'espère réellement que les conseils proposés conjointement avec Badoo aideront tous ceux qui se lancent pour vivre de nouvelles expériences personnelles en restant fidèles à eux-mêmes, en particulier lorsque les situations autour des dépenses se présenteront." Stéphanie Gabriel, directrice de Badoo France commente : "Alors que les célibataires peuvent enfin recommencer à se rencontrer en personne, il est tout à fait normal de s'interroger sur le bon déroulement d’un premier rendez-vous. Qu'il s'agisse de choisir un lieu de rencontre adapté, ou d’aborder le partage d’une addition, le coût d'un rendez-vous peut être un facteur délicat. Dans sa démarche, Badoo a eu la volonté de proposer des conseils pratiques sur la façon d'aborder des conversations potentiellement gênantes, y compris en matière de dépenses dans les relations amoureuses. Par exemple, si le fait de révéler vos revenus n'est pas conseillé lors d'un premier rendez-vous, nous encourageons les célibataires à faire le choix d’un premier lieu de rencontre accessible voire peu coûteux, où les discussions informelles pourront prendre place naturellement, avec convivialité mais surtout en toute honnêteté. »
*Méthodologie L’enquête a été menée par l’institut de sondage OnePoll, auprès de 1000 célibataires utilisateurs des sites de rencontre, en France entre le 17 et 18 juin 2021.
À propos de Badoo Lancée en 2006, Badoo est l'application de rencontre qui encourage ses utilisateurs à faire des rencontres honnêtes. Badoo fonctionne dans 190 pays et est disponible dans 51 langues différentes, ce qui en fait le réseau de rencontres le plus utilisé au monde. Badoo est un service gratuit, qui offre des abonnements supplémentaires aux utilisateurs. L'application est disponible sur iOS, Android et le web. Contact Presse
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Dieynaba Kébé
Senior Account Manager
+33 (0)7 62 78 08 07 / +33 (0)1 55 30 80 96
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15-17 rue Marsollier, 75002 Paris
grayling.fr / citigatedewerogerson.com/fr/
GraylingFrance / CitigateDeweRogerson
@GraylingFrance / @CDR_Paris
Citigate Dewe Rogerson x Grayling est une agence de conseil en communication intégrée, filiale du groupe Huntsworth coté à la Bourse de Londres. Forte d’une expertise de plus de 25 ans, l’agence accompagne ses clients dans la conception et la mise en œuvre de leur stratégie de communication en France et à l’international en s’appuyant sur un double réseau de premier plan en Europe, aux Etats-Unis ou en Asie. Le bureau parisien propose des services intégrés – communication corporate, financière, de marque, affaires publiques, communication de crise, marketing digital, etc. –, et compte aujourd’hui 35 consultants.
Grayling a été élue Agence Affaires Publiques de l’Année lors des SABRE Awards EMEA 2019.
28 secondes pour découvrir comment nous abordons 2020 !
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Un célibataire sur deux compte sur la vaccination pour pouvoir faire des rencontres
Eté 2021 : les célibataires veulent se détendre et tomber amoureux !
Après 18 mois de crise sanitaire, en ce début d'été un vent d'optimisme et de liberté retrouvée souffle sur les célibataires ! Pour preuve, 76% d'entre eux déclarent être dans un état d'esprit positif et 36% se disent même excités à l'idée de faire des rencontres ! A quoi ressemblera leur été 2021 ? Meetic les a interrogés pour en savoir plus sur leurs attentes.
Faire des rencontres, oui, mais en toute confiance !
77% d'entre eux sont prêts à faire des rencontres IRL**, ils sont globalement très enthousiastes à cette idée et 1/3 d'entre eux envisage de mettre toutes les chances de leur côté pour le premier rendez-vous (choix de la tenue, du lieu…)…
Entre conscience du Covid et manque de pratique. 40% d'entre eux avouent être un peu stressés, ayant perdu l'habitude de dater dans la vraie vie. Aussi, plus d'un célibataire sur deux compte continuer à respecter les gestes barrières lors de ses rencontres (d'ailleurs 23% conservent le “check du coude” pour dire bonjour !) et 53% tendent à être plus à l'aise si la personne est vaccinée.
Comment les célibataires envisagent les rendez-vous cet été :
Faire des rencontres dans le respect des gestes barrières. 53%
Comme avant la crise : sans geste barrière et profiter ! 42%
Faire des rencontres selon des conditions strictes : test PCR, preuve de vaccination… 2%
Je ne compte pas vivre de rendez-vous, je ne suis pas assez en confiance pour le moment. 3%
S'amuser mais surtout envie d'aimer !
Malgré les températures qui montent, loin d'eux l'idée de perdre les bonnes habitudes acquises ces derniers mois : 1 célibataire sur 2 souhaite prendre le temps de bien connaitre l'autre avant la rencontre et 19% souhaitent rester sélectifs !
Parce qu'été rime aussi avec vraie histoire : 55% des célibataires interrogés l'affirment : ils veulent commencer une histoire qui dure, et pas qu'un amour de vacances ! C'est tout ce qu'on leur souhaite !
CET ÉTÉ MEETIC VIENT À LA RENCONTRE DES CÉLIBATAIRES !
Les événements pour célibataires sont de retour !
Expert des événements pour célibataires avec près de 10.000 événements organisés en Europe, Meetic revient cet été avec un programme fun et ludique :
· Tournoi de pétanque à Paris le 21 juillet
· Une chasse au trésor en Segway à Nantes le 22 juillet
· Un jeu de piste à Toulouse le 24 juillet
Pour s'inscrire : www.meetic.fr/p/events/
L'Icebreaker Tour à travers la France !
Cet été plus que jamais Meetic souhaite célébrer les premiers rendez-vous ! Les 17, 18 et 24 juillet dans les parcs de Paris, Lyon et Bordeaux, Meetic viendra à leur rencontre et leur offrira de quoi se rafraîchir et briser la glace !
LES CÉLIBATAIRES AFFICHENT LEUR VACCIN !
Un célibataire sur deux compte sur la vaccination pour pouvoir faire des rencontres comme avant. A l'approche de l'été et pour les rassurer, Meetic vient de lancer une fonctionnalité leur permettant d'afficher dans leur profil qu'ils sont vaccinés. Un simple badge qui devrait tranquilliser voire libérer un bon nombre de célibataires dans leur quête amoureuse !
Paris, le 19 juillet 2021,
L'entreprise francilienne Bluelinea accompagne, jour et nuit, près de 30 000 personnes âgées en France à domicile, et assiste les soignants de plus de 1 000 EHPAD. Engagée auprès des seniors depuis son lancement, l'entreprise réalise régulièrement des enquêtes auprès des professionnels et des particuliers pour connaître leurs besoins et attentes. Aujourd'hui, Bluelinea présente les résultats d'une statistique inédite en France : le temps de réponse des soignants à un appel d'un résident en EHPAD. Les chiffres encourageants mais qui laissent apparaître le besoin de repenser l'organisation du personnel en établissements spécialisés. Explications.
78% des appels acquittés en moins de 15 minutes
Un an et demi après le début d'une crise sanitaire, ayant particulièrement touché le monde des EHPAD, la question de la qualité de service ressentie par les familles n'a jamais été aussi importante. En s'appuyant sur les données récoltées auprès de 66 EHPAD (associatifs, publics et privés), équipés de son offre d'appel infirmier Serenea®, Bluelinea a eu la capacité d'effectuer une analyse statistique à propos de l'usage et la réactivité entre les résidents et soignants.
La qualité de service proposée aux résident(e)s se confronte nécessairement aux contraintes inhérentes à la vie quotidienne d'un établissement. Par exemple, le temps d'attente à la suite d'un appel émis est un sujet particulier. Il est soumis à la sensibilité des résident(e)s et de leur famille, mais aussi à celle des soignants, souvent épuisés. 5 minutes d'attente est un objectif de réactivité des équipes semblant faire l'objet d'un consensus entre professionnels et familles. Selon les chiffres de Bluelinea, 43% des appels sont acquittés dans ce délai. Dans son ensemble, 78% des appels sont acquittés en moins de 15 minutes.
9% des appels ne sont jamais acquittés
L'objectif, dans un EHPAD, est d'offrir une réactivité rassurante et une intégration cohérente dans le quotidien d'un soignant. Un(e) résident(e) utilise son bouton d'appel 17 fois par mois en moyenne. Le véritable usage des solutions d'appel infirmier est souvent méconnu. Quelle fréquence ? Quelle nature ? Les données récoltées nous confirment une chose : le besoin éprouvé des résidents d'avoir un contact régulier.
L'EHPAD, lieu de vie à part entière, doit répondre à un double objectif de sécurité et de sérénité. Bluelinea remarque que 9% des appels ne sont jamais acquittés par le personnel alors que le besoin de traçabilité est aujourd'hui fondamental. Fondamental pour l'amélioration de la qualité de service et l'optimisation du temps de travail dans chaque équipe de soignants. L'acquittement donne des informations précieuses pour une bonne lisibilité du fonctionnement d'un établissement. Que cela soit par omission ou du fait d'une mauvaise compréhension de l'utilité de ce geste quotidien, l'absence d'acquittement doit être limitée au maximum.
Des pics d'appels à 9h et 19h
Pour se doter d'une visibilité claire sur la situation dans chaque établissement, les technologies actuelles peuvent offrir des statistiques précieuses pour optimiser le planning de chaque soignant. À l'échelle d'un groupe, ce type de rapports personnalisés permet d'améliorer la compréhension et d'en tirer des enseignements à tout niveau. Sans surprise, en moyenne, Bluelinea constate des pics d'activités sur les plages horaires du lever (8h/10h) et du coucher (19h/21h).
Laurent Levasseur, Président du Directoire de Bluelinea, commente ainsi ces chiffres : « Permettre aux responsables d'établissements de mieux reconnaitre la qualité de service des équipes contribue nécessairement à améliorer leur qualité de vie au travail. Ce vecteur essentiel de bien-être au sein d'un EHPAD renforce également les liens humains avec les familles des résidents. »
A propos de Bluelinea
Fondé en 2006, Bluelinea s'est rapidement imposé comme acteur de référence dans le déploiement de bouquets de services connectés au domicile de personnes âgées ou en situation de handicap. Forte de cette expérience dans la Silver Économie, la société a investi les champs de l'innovation dans les établissements de santé et plus particulièrement les EHPAD. Avec plus de 30.000 particuliers abonnés à ses services connectés, 1000 établissements médico-sociaux équipés de ses solutions, Bluelinea propose une offre différenciante et unique sur son marché, reposant sur un triple enjeu : protéger les personnes fragiles et dépendantes, assister les soignants et accompagner les aidants.
Site Web : https://bluelinea.com
Alors que les juilletistes ont pris ou ne vont pas tarder à prendre la route des vacances, Hubside a souhaité en savoir plus sur les destinations considérées comme photogéniques par les Français. Et il semble que les Français soient plutôt chauvins puisque c’est la France qui remporte de loin les suffrages :
Le Taj Mahal, les Pyramides d’Egypte, Le Machu Picchu… Quels sont les monuments que les Français souhaiteraient pouvoir photographier une fois dans leur vie ?
Si 6 français sur 10 déclarent photographier en priorité des paysages, en voyage, les monuments sont aussi un incontournable. Quels sont les monuments que les Français rêvent de photographier au moins une fois dans leur vie ?
Enfin, pour obtenir le cliché idéal, 63 % de ceux qui immortalisent leurs souvenirs avec un appareil photo déclarent réaliser moins de 4 prises.
Cependant 37 % des Français affirment avoir déjà perdu une série de photos souvenirs de vacances. Pour éviter ces déboires, 37 % enregistrent leurs souvenirs sur un disque externe/une clé USB et 21 % d’entre eux vont en plus du support externe sauvegarder leurs clichés sur une plateforme de cloud.
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sa croissance
Les recrutements portent principalement sur des profils de commerciaux. Toutefois, la fintech est aussi à la recherche de talents sur les fonctions supports telles que Finance ; Compliance ; Middle Office, Risk ou encore Produit.
Ces embauches viennent soutenir une activité ultra dynamique, renforcée par la récente opération financière de 200 millions d'euros avec l'américain Marlin Equity Partners opérée en mai dernier. Parmi les opportunités à pourvoir, iBanFirst ouvre 20 postes en France et 39 en Allemagne, Belgique, Pays Bas, Roumanie et Bulgarie.
Acteur international des services financiers proposant des solutions au-delà des frontières bancaires, iBanFirst aide les PME internationales à se développer en leur permettant de réaliser des transactions multidevises rapides, sécurisées et économiques. Grâce à iBanFirst, les équipes financières peuvent envoyer et recevoir des paiements dans plus de 30 devises et se couvrir contre les risques de change.
Fondée par Pierre-Antoine Dusoulier en 2013, iBanFirst compte à ce jour plus de 250 collaborateurs. Après plus d'un an de crise sanitaire, le télétravail est, et reste un mode d'organisation privilégié au sein de la fintech. En effet, chez iBanFirst, les nouveaux collaborateurs se voient eux aussi offrir la possibilité de télétravailler, parfois même à temps plein pour certains types de postes.
Depuis le début de l'année, plus de 90 recrutements tous pays confondus ont été réalisés chez iBanFirst.
« La crise sanitaire que nous avons vécu a profondément bouleversé l'organisation du travail en entreprise avec la généralisation forcée du travail à distance. Post-covid, chez iBanFirst, nous privilégions un modèle hybride mêlant présentiel et télétravail, fondé sur la confiance et le flex-office. Pour soutenir notre croissance, nous voulons attirer les meilleurs talents et cela implique de se réinventer en continu et de faire preuve de flexibilité. », déclare Jennifer Bos, Directrice des Ressources Humaines chez iBanFirst.
POUR CANDIDATER Les candidat(e)s sont invité(e)s à consulter l'ensemble des offres sur : https://careers.ibanfirst.com/
iBanFirst est un acteur international des services financiers offrant des solutions au-delà des frontières bancaires. Véritable alternative à l'offre traditionnelle des banques, iBanFirst aide les PME internationales à se développer tout en simplifiant leurs opérations quotidiennes. iBanFirst a développé une plateforme bancaire de pointe qui permet aux entreprises de réaliser des transactions multidevises rapides, sécurisées et économiques. Grâce à iBanFirst, les équipes financières peuvent envoyer et recevoir des paiements dans plus de 30 devises et couvrir leurs risques de change.
Créé à Paris en 2013, iBanFirst est une entreprise française réglementée par la Banque Nationale de Belgique en tant qu'établissement de paiement habilité à exercer dans toute l'Union européenne. Elle sert aujourd'hui des milliers de clients dans toute l'Europe. Membre du réseau SWIFT et homologuée SEPA, iBanFirst dispose des licences AISP et PISP en vertu de la DSP2. Elle a levé 46 millions d'euros auprès de Xavier Niel ainsi que de grands fonds de capital-risque européens comme Elaia et Bpifrance Large Venture. En mai 2021, la société de private equity californienne Marlin Equity Partners est entrée au capital d'iBanFirst avec la conclusion d'un accord de growth capital.
La reprise est au rendez-vous ! +23% d’offres d’emploi au 2e trimestre 2021
Baromètre emploi RegionsJob/ParisJob
Paris, 21 juillet 2021 - HelloWork, le premier acteur digital français de l’emploi, du recrutement et de la formation (qui édite les plateformes RegionsJob, ParisJob, Cadreo,..) a diffusé plus de 1 753 000 offres d’emploi au 1er semestre 2021. Ses 5 millions de Visiteurs Uniques* chaque mois lui permettent de proposer un panorama complet des dynamiques de l’emploi en France.
Voici un état des lieux de l’évolution du marché de l’emploi en 2021.
Un marché de l’emploi très dynamique au 2e trimestre |
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Le second trimestre a vu une progression de 23 % du volume d’offres d’emploi proposé par rapport au premier en lien avec les différentes étapes du déconfinement et de la reprise économique : (786 000 au T1 et 967 00 au T2).
L’Auvergne-Rhône Alpes et l’Île-de-France en tête des régions qui recrutent le plus |
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L’emploi conserve la dynamique du premier trimestre 2021. L’Auvergne-Rhône-Alpes reste ainsi à la 1ère place du classement des régions qui recrutent le plus en CDI et CDD au second trimestre et représente 18% des 317 436 offres publiées. Après un premier trimestre en décroissance, l’Île-de-France n’en demeure pas moins l’une des régions proposant le plus d’offres d’emploi CDI/CDD et se positionne à la seconde place, avec 17% du volume national. La Nouvelle Aquitaine et les Pays de la Loire occupent respectivement la 3ème et 4ème place avec 10% du volume national. Le Centre-Val de Loire, la Normandie et la Bourgogne-Franche-Comté, en revanche, ne représentent que 4% du volume d’offres d’emploi proposé au 2e trimestre 2021 chacune, comme c’était déjà le cas au premier trimestre.
L’Auvergne-Rhône-Alpes, 1ère région du recrutement en intérim
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Sur les 649 212 offres en intérim analysées, l’Auvergne-Rhône-Alpes occupe également la 1ère place du classement des régions qui recrutent le plus en intérim (15%). Les Pays de la Loire et la Nouvelle Aquitaine prennent respectivement la 2ème et 3ème place avec 11% du volume national. La Bourgogne-Franche-Comté et le Centre-Val de Loire sont celles qui proposent le moins d’offres de travail temporaire (5%). La 8e place de l’Île-de-France traduit quant à elle l’impact des contraintes sanitaires et des fermetures d’établissements qui ont fortement pesées sur la région francilienne notamment sur les secteurs du tourisme et de la culture.
Le Grand Paris en tête des métropoles qui recrutent le plus |
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La Métropole du Grand Paris et la Métropole de Lyon pèsent à elles deux près de la moitié des offres en CDI /CDD à pourvoir dans ce Top 10 des métropoles (46%) ; et leurs places dans le classement restent inchangées par rapport au 1er trimestre. Nantes Métropole complète ensuite le podium avec 10% du volume d’offres en CDI /CDD et ce, y compris en intérim. Les Métropoles d’Aix-Marseille et Bordeaux Métropole occupent ensuite respectivement la 4e et 5e place. Montpellier Méditerranée Métropole ne pèse que pour 3% des offres en CDI /CDD et intérim à pourvoir en France. |
Les villes moyennes poursuivent leur lancée |
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Les 10 plus grandes métropoles concentrent 34% des offres en CDI/CDD au 2e trimestre 2021, contre 36% en 2020. Depuis six mois, nous observons une baisse de l’influence des métropoles sur les emplois au profit des ville moyennes (Cholet, Angers, Vannes…). De la même façon, le top 10 des métropoles concentraient 24% des offres en intérim en 2020 et n’en concentrent plus que 19% au 2e trimestre 2021. |
Les fonctions commerciales toujours très demandées |
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Le classement des postes les plus dynamiques est composé des fonctions commerciales (16% du volume des offres mises en ligne en CDI/CDD et a pris une place par rapport au 1er trimestre 2021), suivies des métiers de la Production et de la Maintenance industrielle (15%) et des techniciens en ingénierie industrielle (13%). Ces trois métiers représentent à eux seuls près de la moitié (44%) des offres en CDI/CDD à pourvoir. A noter, les métiers de la logistique et du Transport et les postes en développement informatique montent de 2 places dans le classement au second trimestre. En revanche, ceux du BTP et de la construction en perdent 4.
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Le BTP et la construction, métiers les plus populaires en intérim |
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En revanche, les métiers du BTP et de la construction sont très demandés (26%) en intérim. Il en est de même pour la Production et la Maintenance industrielle (24%) et les métiers de la logistique et du transport (23%). Ces trois domaines représentent à eux seuls près de trois quarts (73%) des offres en intérim diffusées au 2e trimestre.
« Nous constatons une reprise forte de l’emploi avec plus de 1 753 000 offres d’emploi mises en ligne au premier semestre 2021. L’Île-de-France n’a pas retrouvé son niveau d’avant crise, traduisant l’ampleur de l’impact de la pandémie sur les emplois en région francilienne ; les métiers du BTP, de la logistique et du transport ainsi que de la production industrielle recrutent toujours aussi fortement. Nous sommes confiants pour les prochains mois grâce aux perspectives de sortie de la crise sanitaire et aux diverses mesures de soutien à l’économie associés à un rebond de la consommation et de l’investissement des entreprises », observe David Beaurepaire, Directeur Délégué de Hellowork.
Méthodologie : Analyse basée sur 1 753 163 offres d’emploi diffusées du 01/01/2021 au 31/06/2021 (dont 595 367 en CDI/CDD/Alternance et 1 157 796 en intérim). *(Médiametrie//NetRatings - Mesure Internet Global)
Plus de détails disponibles sur demande au service de presse. |
A propos de HelloWork HelloWork, le premier acteur digital français de l’emploi, du recrutement et de la formation, accompagne les actifs tout au long de leur vie professionnelle, les entreprises, cabinets de recrutement, ETT sur leurs enjeux RH et recrutement et les centres de formation/écoles sur la valorisation de leurs offres de formation. Les services HelloWork génèrent + de 2 000 recrutements par jour. *
Fort de 350 collaborateurs, 51 millions € de commandes en 2020, HelloWork accompagne 11 000 clients. Les différentes plateformes d’HelloWork ont réuni 5,7 millions de Visiteurs Uniques en mars 2021 (Médiametrie//NetRatings - Mesure Internet Global).
HelloWork édite : • les plateformes emploi et recrutement : Cadreo.com ; Jobijoba.com ; Parisjob.com ; Regionsjob.com • la plateforme dédiée à la formation professionnelle MaFormation.fr • la plateforme dédiée à l’orientation pour l’enseignement supérieur Diplomeo • BDM, le media de référence pour les professionnels du web et BDM/tools,
HelloWork développe des solutions RH pour accompagner et favoriser l'expérience recruteur et candidat sur l'intégralité des process de recrutement : • CVCatcher, logiciel RH de captation de CV et JAI, le chatbot spécialisé dans le recrutement • Holeest, solution programmatique RH • Seekube, le spécialiste de l’évènement digital RH • SmartForum, solutions digitales emploi et attractivité pour les collectivités territoriales, salons et forums • Talent Detection, solution de gestion de candidatures, • Talentplug, solution de multi-diffusion d’offres d’emploi et de stages,
HelloWork est une société du Groupe Télégramme.
* Sur un échantillon de 490 000 répondants, data récoltées sur une période de 6 mois en 2020. |
Enquête :
Depuis 18 mois, l'usage du vélo en France a littéralement explosé, accompagné par le développement de milliers de kilomètres de pistes cyclables, mais aussi par la très forte hausse des achats de vélos électriques, soutenu par les différentes aides de l'état ... A cela s'ajoute les nombreuses innovations développées autour du vélo comme par exemple, le vélo de fonction, lancé il y a plus de 2 ans par Zenride ... et beaucoup d'autres.
Face à ce boom du vélo, 3 leaders sur leur secteur d'activité, Alltricks, Obvy et Troc Vélo ont souhaité connaitre les différents comportements d'achat, d'utilisation et de maintenance d'un vélo.
Il résulte de cette enquête des données très intéressantes :
63% des répondants déclarent avoir un vélo, et 22% en avoir plusieurs.
71% l'ont acheté neuf et 29% d'occasion.
A noter que les répondants sont désormais 40% à vouloir acheter prochainement un vélo d'occasion, et 49% choisirez un vélo électrique.
37% se déplacent à vélo plusieurs fois par semaine.
A noter qu'en cette période de grandes vacances, 47% des répondants font ou vont faire du vélo pendant leurs vacances.
Avec les lenteurs de production actuelles sur les vélos neufs, 56% des français ont été confrontés à des ruptures de stocks, face à cela, 55% envisagent de se tourner vers un vélo d'occasion.
85% ont préféré acheter un vélo d'occasion car c'est moins cher qu'un vélo neuf. 39% pour des raisons écologiques car le marché de l'occasion permet de lutter contre la surproduction.
69% préfèrent payer au comptant (la carte bancaire étant plébiscitée par 76% des sondés)
19% sont prêts à utiliser le paiement en plusieurs fois pour l'achat d'un vélo d'occasion.
85% des répondants qui ont acheté un vélo d'occasion, l'ont fait pour des raisons économiques
23% car ils en ont marre de se faire voler leur vélo
Dans ce contexte de tension sur le marché du neuf, 55% des répondants sont prêts à acheter un vélo d'occasion
La peur des arnaques reste la réticence principale des français de se procurer un vélo d'occasion (47%)
A noter que 79% des sondés ne savent pas réparer eux-mêmes leur vélo et 72% ne savent pas réparer un pneu crevé
- 63% des personnes interrogées déclarent avoir un vélo. 71% d'entre eux l'ont acheté neuf quand 29% ont opté pour un vélo d'occasion.
Est-ce que vous avez un vélo ? |
Pourcentage |
Oui |
63 |
Non |
21 |
Plusieurs |
16 |
Si oui, l'avez-vous acheté ? |
Pourcentage |
Neuf |
71 |
D'occasion |
29 |
- Si les répondants devaient acheter prochainement un vélo, 40% l'achèteraient d'occasion.
- Parmi les différents types de vélo d'occasion :
- 49% opteraient pour un vélo électrique
- 34% pour un vélo VTT
- 32% pour un vélo de ville.
- 17% pour un vélo d'occasion pour enfants.
Si vous deviez acheter prochainement un vélo, est ce que vous l'achèteriez d'occasion ? |
Pourcentage |
Oui |
40 |
Non |
60 |
Si oui, quel type de vélo d'occasion achèteriez-vous ? |
Pourcentage |
Vélo électrique |
49 |
Vélo VTT |
34 |
Vélo de ville |
32 |
Vélo enfants |
17 |
Vélo de course |
15 |
Vélo cargo |
2 |
Les Commerces et les sites choisis par les français pour se procurer un vélo d'occasion :
- 69% privilégient les sites généralistes de petites annonces pour acheter un vélo d'occasion.
- 33% portent leur choix d'achat sur un site spécialisé comme Troc Vélo.
- 29% préfèrent acheter leur vélo d'occasion dans un magasin tel que Trocathlon, Intersport, Sport 2000 ...
Où allez-vous acheter votre vélo d'occasion ? (Plusieurs réponses possible) |
Pourcentage |
Sur un site généraliste de petites annonces (Paruvendu, le Boncoin ...) ? |
69 |
Sur un site spécialisé de petites annonces comme Troc Vélo ? |
33 |
Dans un magasin de sport comme occasion Décathlon (Trocathlon), Intersport, sport 2000 ... ? |
29 |
Dans une boutique de vélos ? |
12 |
Entre amis, voisins, famille ... |
3 |
Brocante, vide grenier ... |
1 |
Parmi les moyens de paiement : la carte bancaire est plébiscitée par 76% des sondés.
- 19% déclarent être prêts à payer en plusieurs fois leur vélo d'occasion.
- Si 69% préfèrent payer au comptant, 18% des songés portent leurs choix sur le paiement en 3 fois, 21% en 4 fois, 6% en 10 fois. (Occasion et neuf)
Quel moyen de paiement allez-vous utiliser ? (Plusieurs réponses possible) |
Pourcentage |
Carte bancaire |
76 |
Argent Liquide |
25 |
Le paiement en 3, 4 ou 10 fois (Obvy, uniquement marché de l'occasion) |
19 |
Cheque |
11 |
Pay pal... |
5 |
Virement bancaire |
1 |
Préférez-vous payer (neuf et occasion) : (Plusieurs réponses possible) |
Pourcentage |
En 1 fois |
69 |
En 3 fois |
18 |
En 4 fois |
21 |
En 5 fois |
10 |
En 10 fois |
6 |
Quelles sont les raisons qui incitent les français à acheter un vélo d'occasion au lieu d'un vélo neuf :
- 85% des sondés portent leur choix sur un vélo d'occasion pour des raisons de coûts.
- 39% parce que c'est un acte écoresponsable, qui permet de lutter contre la surproduction.
- 23% se tournent sur le marché de la seconde main à cause du vol des vélos neufs.
Pourquoi est-ce que vous préférez acheter un vélo d'occasion ? (Plusieurs réponses possible) |
Pourcentage |
Parce que c'est beaucoup moins cher |
85 |
Parce que c'est éco responsable, ça permet de lutter contre la surproduction. |
39 |
Parce que j'en ai marre de me faire voler mon vélo |
23 |
Parce qu'il y a plus de choix |
15 |
Les réticences des répondants face à l'achat d'un vélo d'occasion :
- 59% des sondés ont peur d'un vice caché qui rendrait obsolète un vélo d'occasion récemment acheté.
- 47% des français interrogés ont peur des arnaques.
- 33% craignent que le vélo acheté d'occasion a été précédemment volé par le vendeur.
- 16% ne se tourne pas sur le marché circulaire en raison de l'absence de conseils sur le choix de leur matériel.
Si vous n'avez jamais pensé ou ne pensez pas acheter un vélo d'occasion, quelles en sont les raisons ? (Plusieurs réponses possible) |
Pourcentage |
J'ai peur qu'il ait un vice caché, qu'il tombe souvent en panne, qu'il soit très usé ... |
59 |
J'ai peur de me faire arnaquer |
47 |
J'ai peur d'acheter un vélo qui a été volé |
33 |
Je ne peux pas avoir de conseils sur le choix de mon matériel |
16 |
Je ne connais pas les prix du marché |
14 |
Système de livraisons compliquées |
11 |
Je ne connais pas l'âge du vélo |
7 |
Les lenteurs de production actuelles sur les vélos neufs bénéficient au marché de l'occasion : en effet, 55% sont prêts à acheter un vélo d'occasion dans ce contexte de tension sur le marché du neuf.
La pénurie des vélos neufs face au boom du vélo, vous incite-t-elle à vous tourner vers le marché de la seconde main pour acheter votre vélo d'occasion ? |
Pourcentage |
Non |
45 |
Oui |
55 |
74% déclarent ne pas acheter des pièces détachées pour leur vélo
Achetez-vous des pièces détachées pour votre vélo ? |
Pourcentage |
Non |
74 |
Oui |
26 |
Réparation, réglage de vélos :
- 79% des sondés ne savent pas réparer eux-mêmes leur vélo.
- Quant au réglage de leur vélo : 35% savent le régler, 65% ne savent pas le régler.
Savez-vous réparer vous-même votre vélo ? |
Pourcentage |
Non |
79 |
Oui |
21 |
Savez-vous régler vous-même votre vélo ? |
Pourcentage |
Non |
65 |
Oui |
35 |
Parmi les 65% qui ne savent pas régler leur vélo, 87% ne savent pas remplacer la potence, le dérailleur, le câble de frein, 72% ne savent pas réparer un pneu crevé ...
Si non, vous ne savez pas : |
Pourcentage |
Remplacer la potence, un dérailleur, un câble de frein ... |
87 |
Régler le dérailleur avant et arrière |
75 |
Réparer un pneu crevé |
72 |
Régler les freins |
65 |
Remettre la chaine en place lorsqu'elle a déraillé |
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
ZARA, H&M, SEZANE, KIABI, MANGO, ASOS, PIMKIE, STRADIVARIUS et NIKE marques les plus mentionnées en France |
ETUDE EXCLUSIVE KOLSQUARE ANALYSE LE COMPORTEMENT D’UNE CENTAINE DE MARQUES MODE & ACCESSOIRES SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX
Kolsquare dévoile son étude de plus d’une centaine de marques mode & accessoires et de 6,8 millions de posts sur Instagram, TikTok, Twitter et Facebook. Elle se base sur l’analyse d’1,7 million d’influenceurs dont plus de 200.000 profils spécifiques à l’industrie de la mode. Une étude riche en tendances, en analyses et en interventions d’acteurs de l’industrie, avec des classements des meilleures marques sur les réseaux.
Le milieu de la mode est au cœur des tendances digitales – social commerce, défilés en live, communication sur les réseaux. L’Influence, une industrie qui devrait atteindre les 14 milliards de dollars en 2021, vient booster ces différentes pratiques et offre aux marques ciblage, authenticité et créativité.
Cette étude sur l’Influence marketing et le marché de la mode et des accessoires analyse la performance de cette industrie sur les réseaux sociaux, identifie les tendances à venir et les performances des marques entre juin 2020 et mai 2021 grâce à la data Kolsquare et aux interviews offrant les points de vue de nombreux acteurs de l’industrie : Kiabi, Twitch, Pinterest, l’ARPP, Kantar, l’Union des Marques, Livescale, Zmirov Communication, Ogilvy Paris, El Corte Inglés, Kantar, Cabaïa, Tartine et Chocolat, Sessùn, Pimkie et Nach Bijoux.
En exclusivité dans cette étude approfondie de l’Influence mode : un classement des marques Fashion les plus actives sur les réseaux sociaux pour quatre pays - France, Allemagne, Royaume-Uni et Espagne – dans les secteurs du luxe, des marques indépendantes, du sportswear, de l’accessoire, de la chaussure, de la lingerie, des bijoux et de la mode enfant.
Chaque secteur est présenté en trois pages détaillant ses performances sur les réseaux, les parts de voix des marques sur Instagram en termes d’EMV et d’engagements, et enfin le top 5 des marques ayant la plus grande part de voix sur TikTok, Instagram, Twitter et Facebook.
Le top 5 des marques au meilleur EMV* sur Instagram en France, par secteur :
Luxe : Dior, Louis Vuitton, Chanel, Gucci, Yves Saint-Laurent
Marques indépendantes : Sézane, Saaj, Parisienne et alors, Balzac, Stella et Suzie, Opullence
Sportswear : Nike, Lacoste, Adidas, Asics, Puma
Chaussures : Jonak, Converse, Vans, Bocage, Bobbies
Lingerie : Calzedonia, Calvin Klein, Undiz, Seass Swimwear, Intimissimi
Enfants : Vertbaudet, Kiabi, Petit Bateau, Cyrillus, Tape à l’œil
Accessoires : Polène, Jimmy Fairly, Cabaïa, Lancaster, Lancel
Bijoux : Emma et Chloé, Moa, Maison Altesse, Swarovski, Pandora
Parmi les principaux enseignements à retenir de cette analyse de plus de 1,7 millions d’Influenceurs :
- Les marques les plus mentionnées par des influenceurs sur Instagram en France sont : Zara, H&M, Sézane, Kiabi, Shein , Mango, Asos, Pimkie, Stradivarius et Nike
- C’est @zara qui remporte le plus de mentions sur Instagram en France, tout secteur confondu
- L’industriel Fashion pèse près de 3000 milliards de dollars, et la part du e-commerce dans cette industrie devrait atteindre 668 milliards de dollars cette année
- En 2021, 90% des annonceurs pensent que l’Influence Marketing fonctionne pour accompagner la croissance de leur marque.
- 6 863 491 posts fashion ont été publiés entre juin 2020 et mai 2021 sur les réseaux analysés, dont 70,3% d’images et 18,8% de stories.
- 90% des publications consacrées à la mode et aux accessoires ont été publiés sur Instagram
- 26 milliards d’engagements ont été comptabilisés sur la thématique fashion, dont 54,3% sur Instagram et 44,7% sur TikTok.
- Le taux d’engagement moyen dans l’industrie de la mode est de 1,9% - il est de 1,23% sur Instagram et 48,2% sur TikTok, au global.
- Le luxe représente 61,15% de l’EMV Fashion sur les réseaux, suivi par le milieu Sportswear (19,4%) puis la Lingerie (6,25%).
La répartition de l’EMV* par secteur sur les réseaux sociaux :
Luxe (61,1%), Sportswear (19,4%), Lingerie (6,2%), Chaussures (4,6%), Bijoux (3,2%), Accessoires (2,1%), Marques indépendantes (1,9%), Mode enfant (1,1%)
TÉLÉCHARGER L’ÉTUDE COMPLÈTE
Les tendances à retenir
L’explosion du social commerce et du live stream. Ces deux phénomènes prennent une importance grandissante et s’accordent parfaitement à l’Influence. Tous les réseaux développent aujourd’hui de nouveaux outils de social commerce
Des réseaux qui créent les tendances. Si Instagram est toujours numéro un, qu’on parle de mode ou d’Influence, TikTok poursuit sa croissance et offre toujours un engagement très élevé. En particulier dans les milieux luxe et sportswear,
D’autres réseaux s’imposent aussi dans ce milieu : Pinterest, réseau de l’inspiration qui offre de plus en plus de fonctionnalités pour chercher des produits et les acheter en direct. Et Twitch, réseau du livestream et du gaming par excellence qui séduit aujourd’hui les KOLs comme les maisons de mode.
Une mode inclusive et body positive. Sur TikTok ou Instagram, beaucoup militent pour l’acceptation de soi, pour le #stylenotsize, loin des carcans habituels de la mode. On souhaite aussi une mode plus green et éthique, avec le #slowfashionmovement et l’#upcycling qui a un bel avenir.
Méthodologie
Cette étude des tendances de l’industrie de la mode et de l’Influence est issue de l’analyse des données Kolsquare. Elle se base sur plus d’1,7 million d’influenceurs Kolsquare dont 207 019 de profils spécifiques aux différents secteurs de la mode : accessoires, bijoux, lingerie, chaussures, enfants, luxe, sportswear, marques indépendantes. Les posts analysés entre juin 2020 et mai 2021 ont été identifiés grâce aux hashtags liés à la mode et aux mentions de marques sur Instagram, Youtube, TikTok, Facebook et Twitter.
À propos de Kolsquare
Kolsquare est une solution technologique d’Influence Marketing destinée aux marques et aux agences. Notre mission est de permettre à tout type d’organisation (start-up, associations, PME, grands comptes,...) l’accès à la puissance des KOLs (Key Opinion Leaders) pour maximiser l’impact de leurs stratégies marketing. Notre technologie s’appuie sur le Big Data, l’IA et le Machine Learning pour activer des partenariats qui répondent en tous points aux objectifs de campagnes (branding, acquisition de nouveaux clients,...) grâce à un ciblage ultra-affinitaire basé sur un catalogue de +1.5M de KOLs de +5000 followers dans 180 pays sur Instagram, TikTok, Twitter, Facebook et Youtube.
Kolsquare est devenue société à mission en décembre 2020 et a lancé son manifeste pour une influence positive en juin 2021.
www.kolsquare.com
Contact Presse :
BérengèreWeber - Brand & Communication Director @Kolsquare
Directrice de la TaskForce Influence Marketing de l'IAB
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - 06 71 39 35 64
*L’EMV ou Earned Media Value est un indicateur qui permet de comparer les coûts de l’Influence à ceux du marketing traditionnel et de mesurer les performances des marques. Il est calculé en mettant en rapport l’engagement global lié à une marque sur les réseaux (les mentions, commentaires, vues, partages) et le coût de ces engagements.
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ondage Beebs : 88% des Français accordent un budget de moins de 300€
Alors que les vacances d'été ont débuté, Beebs, la première application d'achat et revente dédiée à l'univers de l'enfance, a souhaité mettre en lumière les comportements d'achat de produits de seconde main des Français pour leurs enfants cet été. Elle dévoile aujourd'hui les résultats d'un sondage réalisé auprès d'un panel représentatif de 1135 répondants âgés entre 18 ans et 65 ans, mené entre le 18 juillet et le 20 juillet 2021.
Cette année, les ménages français dépenseront en moyenne 1505 euros pour leurs vacances[1]. Un budget qui comprend le logement, la nourriture et les sorties et qui peut être conséquent pour les familles si l'on y ajoute les frais liés à l'achat de vêtements, d'accessoires ou de jeux de plage. C'est pourquoi les Français se tournent de plus en plus vers des articles d'été de seconde main afin de faire baisser la note - c'est ce que révèle aujourd'hui l'étude menée par Beebs.
En effet, 88% des Français déclarent accorder un budget de 300 euros maximum cet été pour les produits de seconde main pour leurs enfants. Un phénomène qui s'explique par une prise de conscience de leur part sur la nécessité de consommer de manière plus éco-responsable, mais aussi la crise sanitaire qui les a, pour 44.5% d'entre eux, incités à revoir à la baisse leur budget.
Ainsi, 79% d'entre eux ont diminué leur budget de 100 euros tandis qu'ils sont près de 20% à l'avoir diminué de 200 euros. Sans surprise, les vêtements arrivent en tête (91,8%) des articles d'été de seconde main pour enfants le plus achetés suivi des accessoires comme les lunettes, chapeaux, etc. (39,8%), les jeux d'eau (37,6%) et les chaussures (30,6%).
Départ en retraite - Vos indemnités sont-elles imposables ?
Le régime fiscal des indemnités perçues par les salariés qui partent à la retraite dépend des conditions de leur départ et de leur montant. Leur fraction imposable peut bénéficier du système du quotient.> Lire la suite |
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COMMUNIQUE DE PRESSE
Sondage inédit OpinionWay pour Gamma Pulse
Covid-19 : la France a peur ?
56% des Français craignent les contaminations dans les lieux clos
notamment : 47% dans les transports en commun
30% dans les discothèques, à la piscine
27% au cinéma ou au théâtre
Paris, 26 juillet 2021 - Alors que la forte croissance des contaminations par le variant DELTA laisse présager de nouvelles restrictions et que la mise en place du passe sanitaire fait polémique, quel est le sentiment des Français face à la propagation du virus dans les lieux clos ? Ont-ils des craintes différenciées selon la nature des espaces collectifs ? En France, quelles sont les stratégies efficaces de purification de l'air ? Gamma Pulse, Deep Tech spécialisée dans la décontamination de l'air, a souhaité savoir précisément ce que pense les Français.
Les inquiétudes sont réelles, notamment pour un certain nombre de lieux très prisés cet été. Gamma Pulse révèle les résultats d'un sondage inédit d'OpinionWay. Décryptage.
La peur de la propagation dans les espaces clos : une crainte partagée de façon homogène
Plus d'1 Français sur 2 (56%) se dit clairement inquiet face aux risques de contamination au moins un espace clos (56%). Un résultat globalement homogène entre les hommes (58%) et les femmes (55%). Ce sont les 50-64 ans qui se révèlent les plus inquiets (60%) contre les 18-24 ans pour les moins inquiètes (53%). |
« Nous passons 80% de notre temps dans les espaces clos et plusieurs études démontrent que 90% des contaminations au minimum ont lieu dans ces espaces, la crainte majoritairement partagée dans l'étude est légitime. Il faut par ailleurs bien distinguer les % de Français inquiets et non inquiets des autres qui ne sont pas concernés. A titre d'exemple concernant les transports en commun pour se rendre au travail, 36% des répondants se disent non concernés, aussi les 31% de Français inquiets par cet espace clos font face à 33% d'utilisateurs non inquiets. Concrètement, pour celles et ceux qui prennent les transports en commun, près d'1 personne sur 2 est inquiète, et c'est énorme et ça dure depuis maintenant 18 mois ... » explique le Dr. Carmen Dumitrescu, fondatrice et présidente de Gamma Pulse. « Nous savons également que la plupart des établissements recevant du public ne disposent pas d'équipement efficace pour la décontamination de l'air, voire d'aucun équipement faute de connaissance et de moyen. Face au SARS-CoV-2, l'urgence sanitaire est pourtant de pouvoir décontaminer l'air intérieur en temps réel ET en continu. Le défi est de taille pour viser une innocuité de l'air dans des environnements aussi différents qu'un bureau, une salle de sport, un restaurant, un bus ou encore une salle de cinéma. »
Les transports en commun et loisirs boudés cet été à cause du Covid ?
Mais quels sont les lieux les plus visés par l'inquiétude des français ?
- Près d'un Français sur deux concerné (47%) éprouve de l'inquiétude à propos des risques de contamination dans les transports en commun.
- Avec les congés d'été, les départs en vacances inquiètent particulièrement : 33% des personnes interrogées se disent préoccupées par un risque de contamination lors d'un long trajet en bus et 29% dans chacun des autres moyens de transports testés (l'avion, le train ou encore le covoiturage).
Les loisirs dans un lieu clos sont anxiogènes pour plus d'un quart de la population :
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Les parents, plus inquiets que les autres ?
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Le sondage OpinionWay mené par Gamma Pulse montre que les parents expriment une plus forte inquiétude face à ces situations que les adultes n'ayant pas d'enfant :
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De manière générale, ils manifestent davantage d'inquiétude concernant les situations se rattachant à un loisir : 52% se déclarent préoccupés par les risques de contamination pour au moins un de ces loisirs en intérieur contre 50% des interviewés sans enfants.
DÉCONTAMINER L'AIR INTERIEUR PAR LE NETTOYAGE DES PARTICULES EN SUSPENSION AVEC KILLVID™ IMAGINEE PAR GAMMA PULSE
KillViD™ (« Kill Virus Device ») : cette technologie basée sur des microréacteurs à plasma atmosphérique à puissance pulsée est capable de détruire, instantanément et en continu, la charge virale dans tous types d'espaces clos publics ou privés (restaurants, hôpitaux, écoles, bureaux, commerces, salles de spectacle, milieux industriels ou agro-alimentaires, logements, véhicules, lieux publics, etc.), quels que soient leur taille et le nombre de personnes présentes. En effet la technologie stérilise l'air, sans produits chimiques ni pressurisation, en enlevant aussi tous les autres particules nocives (microbes, spores, etc.) Totalement inoffensif sur l'homme comme sur l'environnement, et pouvant être utilisé en présence humaine 24h/24.
Sollicité par Gamma Pulse pour éprouver l'efficacité du KillViD™, les essais cliniques pilotés par l'INSERM ont mené des expérimentions et ont ainsi certifié de l'efficacité virucide du purificateur KillViD™ à un niveau au moins équivalent à 99,9999 % (LOG6)
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Méthodologie
L'étude « les Français et les risques de contamination en intérieur » pour Gamma Pulse a été réalisée auprès d'un échantillon de 1045 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L'échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d'âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d'agglomération et de région de résidence. L'échantillon a été interrogé par questionnaire auto-administré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview). Les interviews ont été réalisées du 30 juin au 1er juillet 2021. OpinionWay a réalisé cette enquête en appliquant les procédures et règles de la norme ISO 20252. Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : « Sondage OpinionWay pour Gamma Pulse » et aucune reprise de l'enquête ne pourra être dissociée de cet intitulé. |
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À propos de Gamma Pulse : Gamma-Pulse SAS est une Deep Tech créée en 2014 avec l'ambition de devenir un leader mondial de la sécurité et de la protection des personnes et des biens. Fondée par des scientifiques au sein de la pépinière de l'École Polytechnique, la société développe une technologie disruptive reposant sur l'utilisation du plasma à puissance pulsée pour détecter les explosifs et SNM (Matières Nucléaires Spéciales) dissimulés. Suite à la crise sanitaire engendrée par la COVID-19, les experts de Gamma Pulse ont développé la technologie KillViDTM , un système virucide innovant capable de décontaminer l'air des espaces clos à plus de 99,9999% (LOG 6). Des brevets ont été déposés courant 2020 et le procédé, qui a déjà séduit de premiers actionnaires, à l'instar de Sagemcom, se prépare à entrer en phase d'industrialisation.
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Etude surpoids et Covid-19 : cet été, les Français boudent les régimes
Alors que 76% des Français déclarent vouloir faire davantage pour leur santé suite à la pandémie de Covid-19, ils sont nombreux à avoir pris conscience de l'importance du mieux manger.
Pourtant, alors qu'une étude vient de montrer qu'un léger surpoids est un facteur de risque de forme grave de la maladie, ce n'est pas cette dimension qui les préoccupe le plus.
Bien au contraire : ils sont plus de 7 sur 10 à avoir profité de cette période difficile pour interroger en profondeur leurs mauvaises habitudes alimentaires et cherchent, là-aussi, à retrouver du sens et du bien-être.
Les résultats de l'étude "Les effets de la pandémie sur la santé, le poids et les attentes des Français", réalisée par le site d'information et conseil en nutrition SagesseSanté.fr, révèlent d'ailleurs de nombreuses surprises.
On y apprend notamment que les Français sont bien décidés à bouder les régimes minceur et les salles de sport !
Etude : Photos de vacances, quelles sont les destinations les plus photogéniques
Un selfie, un monument historique, un paysage inspirant ou un moment de partage en famille… il y a toujours une bonne raison de prendre des photos en vacances. D’ailleurs, 28 % des Français prennent en moyenne plus de 120 photos pendant leurs congés. Mais que les Français capturent-ils le plus au quotidien ? Quelles sont selon eux les destinations les plus photogéniques? Quels outils utilisent-ils pour prendre des photos ? Et comment stockent-ils ces photos ?... C’est ce que révèle Hubside, service de création de sites internet, dans sa dernière étude.
Alors que les juilletistes ont pris ou ne vont pas tarder à prendre la route des vacances, Hubside a souhaité en savoir plus sur les destinations considérées comme photogéniques par les Français. Et il semble que les Français soient plutôt chauvins puisque c’est la France qui remporte de loin les suffrages :
Le Taj Mahal, les Pyramides d’Egypte, Le Machu Picchu… Quels sont les monuments que les Français souhaiteraient pouvoir photographier une fois dans leur vie ?
Si 6 français sur 10 déclarent photographier en priorité des paysages, en voyage, les monuments sont aussi un incontournable. Quels sont les monuments que les Français rêvent de photographier au moins une fois dans leur vie ?
Enfin, pour obtenir le cliché idéal, 63 % de ceux qui immortalisent leurs souvenirs avec un appareil photo déclarent réaliser moins de 4 prises.
Cependant 37 % des Français affirment avoir déjà perdu une série de photos souvenirs de vacances. Pour éviter ces déboires, 37 % enregistrent leurs souvenirs sur un disque externe/une clé USB et 21 % d’entre eux vont en plus du support externe sauvegarder leurs clichés sur une plateforme de cloud.
Alors que les experts de l'INED prévoient une « hausse des divorces dans les prochaines années » (Libération, 18 juillet 2021) comme ils l'avaient constaté après la crise financière de 2008, le pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l'Ifop a réalisé une enquête tentant d'évaluer l'ampleur des ruptures conjugales à venir autant que l'évolution des itinéraires conjugaux des Français depuis le premier confinement. Réalisée auprès d'un échantillon national représentatif de taille conséquente (3 000 personnes âgées de 18 à 69 ans), cette étude menée pour le site de préparation au mariage YesWeBloom.com montre que derrière la relative stabilité de la situation conjugale des Français observée depuis mars 2020, un certain attentisme pourrait laisser augurer une hausse notable des désunions lorsque la crise sera finie.
LES CHIFFRES CLÉS
1 - La crise du Covid a ébranlé nombre de relations de couple...
Une personne sur quatre en couple (27%) admet avoir eu envie de rompre avec son conjoint au cours des périodes de confinement et/ou couvre-feux successifs imposés depuis mars 2020, sachant que cette tentation a particulièrement affecté les « jeunes » couples (50% des moins de 30 ans, contre 14% des plus de 60 ans), les plus précaires économiquement ou financièrement - 46% des hommes ayant un revenu mensuel net par individu inférieur à 900 € (contre 21% chez ceux gagnant plus de 2500 €) ont eu envie de rompre, tout comme 35% des ouvrières (contre à peine 23% des cadres) - ainsi que les Français des grandes métropoles qui, comme ceux de l'agglomération parisienne (32%), vivent généralement dans des logements plus exigus qu'en milieu rural (24%).
2 - ... notamment à cause d'un manque de communication
Si la dégradation d'une relation de couple est généralement un phénomène multi-causal, force est de constater que certains facteurs ont contribué plus que d'autres à la fragilisation des relations vécue depuis le premier confinement, et que leur impact s'avère très genré... Pour les femmes ayant le sentiment que les confinements ont distendu leur relation de couple, c'est le manque de communication qui arrive en tête (70%) - devant la mésentente sexuelle (64%) ou le stress lié au travail (59%) - alors que chez les hommes, ce sont les différences de besoins sexuels (67%) qui ont le plus joué, loin devant d'autres problèmes comme le stress lié au travail, le manque de temps passé à deux, les désaccords liés à l'argent ou le manque de communication (54 à 58%).
3 - Dans le contexte de crise, la tendance a toutefois été plutôt à la stabilité conjugale, sauf chez les jeunes
Si l'envie de rompre a traversé l'esprit de nombre de couples au cours des confinements et couvre-feux successifs, ils sont loin d'être tous passés à l'acte au regard de la grande stabilité des itinéraires conjugaux des Français entre le début du premier confinement (17 mars 2020) et la fin du troisième (19 mai 2021) : 89% des individus âgés de 18 à 69 ans ont exactement la même situation conjugale qu'avant le premier confinement. Cependant, dans les jeunes générations, les unions ont été beaucoup plus souvent rompues ou renouvelées : 20% des jeunes de moins de 25 ans n'ont plus la même situation conjugale qu'en mars 2020, dont 7% qui sont désormais seuls alors qu'ils étaient en couple, 7% qui se sont mis en couple alors qu'ils étaient seuls et 6% qui ont un partenaire différent qu'avant le premier « lockdown ».
4 - ... mais nombre de ruptures ou de divorces semblent reportés à l'après-crise sanitaire
Si cette envie de rompre semble pour beaucoup être restée au stade de l'intention, un certain nombre de personnes en couple n'en exprime pas moins le souhait de passer à l'acte une fois la crise sanitaire passée : 12% des de personnes en couple souhaitent prendre leurs distances avec leur partenaire à l'issue de la crise, dont 4% de manière définitive. Et si l'on procède à une extrapolation de ce pourcentage sur la base des 28 millions de personnes âgées de 18 à 69 ans actuellement en couple (RP2018), ce risque de rupture concernerait au minimum un million de couples. Mais ce risque de séparation n'affecte pas toutes les tranches de la population de la même façon... Très logiquement, l'envie de rompre émane surtout des personnes dont la relation a été affectée le plus négativement par les confinements, à savoir les jeunes de moins de 30 ans - notamment les hommes (23%) - les habitants des grandes agglomérations (16% des habitants en agglomération parisienne) et les personnes aux revenus les plus modestes (ex : 26% des hommes ayant un revenu mensuel net par individu inférieur à 900 €).
5 - ... notamment pour les personnes se sentant « physiquement » avantagées sur le marché de la rencontre
Cependant, l'analyse détaillée des résultats met aussi en lumière l'importance du capital physico-esthétique dans la tentation d'un retour au célibat, signe que la capacité à séduire d'autres potentiels partenaires est un critère déterminant dans la volonté de revenir sur le marché matrimonial ou sexuel. En effet, l'envie de rompre après la crise s'avère particulièrement forte (30%) chez les hommes et les femmes se trouvant très beaux/belles (contre à 13% des personnes ne se trouvant pas belles). De même, la proportion d'hommes voulant prendre leurs distances avec leur partenaire actuel à l'issue de la crise liée au COVID est plus forte chez ceux affichant une corpulence correspondant aux normes esthétiques dominantes : 26% chez ceux ayant un indice de masse corporelle inférieur à la normale, contre 14% en moyenne dans la gent masculine.
Le point de vue de François Kraus, directeur du pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l'Ifop
La relative stabilité des itinéraires conjugaux observée depuis mars 2020 ne doit pas occulter l'impact négatif que les confinements ou couvre-feux successifs ont pu avoir sur la vie de couple des Français, en particulier des plus jeunes qui, pour beaucoup, ont vécu leur première expérience de vie conjugale constante et intense. Pour nombre de Français, les conditions de vie imposées par la crise sanitaire - notamment la forte promiscuité ou la présence constante du partenaire - ont en effet accentué les difficultés préexistantes, faisant de ces huis clos une véritable épreuve pour leur couple au point d'envisager de rompre avec leur conjoint. L'absence de passage à l'acte est symptomatique d'un certain attentisme, somme toute classique en période de crise (ex : guerre, crise économique), qui tient sans doute à la crainte de la solitude - notamment dans les conditions d'isolement et de rencontre imposées par le Covid-19 - mais aussi à des raisons pratiques (ex : logement, école des enfants...) et financières : une séparation, qu'il s'agisse d'un divorce, d'une rupture de Pacs ou d'une rupture d'union libre, se traduisant généralement par une baisse du niveau de vie pour les ex-conjoints. Ainsi, s'il s'avère hasardeux de pronostiquer un « divorce boom » à l'issue immédiate de la crise, il est probable qu'on assiste alors à une hausse significative des désunions lorsque le contexte sanitaire et économique rendra plus facile les ruptures conjugales.
François Kraus
Directeur du pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l'Ifop
Collaborateur à la revue Sexologies
POUR CITER CETTE ETUDE, IL FAUT UTILISER A MINIMA LA FORMULATION SUIVANTE :
«Étude Ifop pour YesWebloom.com réalisée par questionnaire auto-administré en ligne 7 au 10 mai 2021 auprès d'un échantillon de 3 003 personnes, représentatif de la population âgée de 18 à 69 ans résidant en France métropolitaine»
LES PRINCIPAUX ENSEIGNEMENTS DE L'ENQUETE
I - LES CONFINEMENTS ET COUVRE-FEUX SUCCESSIFS ONT CONDUIT NOMBRE DE FRANÇAIS A REMETTRE LEUR RELATION EN QUESTION
Depuis mars 2020, les couples français n'ont jamais passé autant de temps ensemble. On observe de fortes conséquences sur la santé des couples de ce repli sur "soi et l'autre" : plus d'un quart des hommes Français en couple (28%) et un quart des femmes (25%) déclarent avoir eu envie de rompre.
L'âge, le genre et l'orientation sexuelle ont un impact important sur la fragilisation de la relation de couple...
- Les jeunes sont la population la plus marquée par l'envie de changement. En particulier, les hommes de moins de 30 ans : ils sont un sur deux (50%) à avoir eu l'intention de rompre avec leur partenaire depuis le début de la crise du COVID-19. Cette proportion est près de 20 points supérieure à celle des femmes de moins de 30 ans (31%), ce qui démontre un plus grand attachement des femmes de cet âge-là à leur stabilité conjugale.
- L'avancée en âge semble avoir un effet important sur le désir de stabilité et la pérennité des relations de couple. En effet, l'intention de rompre décroît avec l'âge, chez les hommes comme chez les femmes: 37% des hommes de 30 à 39 ans ont eu envie de rompre, une proportion qui chute à 27% des hommes de 40 à 49 ans, et à 16% des hommes de 50 ans et plus.
- Chez les femmes la diminution de l'intention de rompre en fonction de l'âge est moins nette, avec 29% des femmes de 30 à 39 ans, 27% des femmes de 40 à 49 ans, et à 19% des femmes de 50 ans et plus. On constate cependant des trajectoires croisées sur l'envie de rompre par genre en fonction de l'âge : plus les couples avancent en âge, plus l'envie de rompre des femmes tend à dépasser celle des hommes.
- Ce sont les couples homosexuels et bisexuels qui souffrent le plus de la crise du COVID-19 : 40% des hommes et 50% des femmes homo ou bi déclarent avoir eu envie de rompre depuis mars 2020. Une volatilité beaucoup plus marquée que chez les couples hétérosexuels, chez qui environ un quart ont eu l'intention de rompre (27% des hommes et 24% des femmes).
Mais la situation financière et le mode de cohabitation jouent également un rôle déterminant...
- Chez les Français(es) en couple ne partageant pas la même adresse, le désir de rompre est plus élevées que chez ceux qui vivent ensemble, touchant 37% des hommes et 32% des femmes. Cela peut s'expliquer en partie par des couples plus récents et moins engagés l'un envers l'autre, que les périodes de séparation "forcée" ont fragilisé.
- La crise du COVID-19 met en lumière l'impact des conditions financières sur la stabilité conjugale : moins les revenus sont hauts, plus les couples ont, en général, eu l'intention de rompre. Plus de deux fois plus d'hommes ayant des revenus de moins de 900 euros net/mois (46%) ont eu envie de rompre que ceux gagnant plus de 2500 euros (21%). Sans surprise, l'aisance matérielle semble faciliter l'entente conjugale, tandis que la précarité financière contribue à faire exploser les réalités les moins dorées.
II - DES COUPLES FRAGILISÉS NOTAMMENT A CAUSE D'UN MANQUE D'ENTENTE SEXUELLE, D'UN DÉFICIT DE COMMUNICATION ET DU STRESS LIÉ AU TRAVAIL
Le temps passé "ensemble" physiquement durant ces mois de confinement ne débouche pas nécessairement sur une amélioration de la communication chez les couples : le manque de communication (68%) arrive en tête des raisons qui ont contribué le plus négativement à la qualité des relations de couple chez les personnes ayant eu l'intention de rompre pendant l'année du COVID-19.
Un « gender gap » très net dans la perception de motifs d'éloignement des conjoints
On observe une différence de genre notoire quant à l'importance du manque de communication dans la dégradation de la relation de couple :
- La gent féminine souffre beaucoup plus du manque de communication avec leur partenaire que les hommes : 70% des femmes ayant eu l'intention de rompre citent ce facteur comme contribuant négativement à leur relation, soit près de 20 points de plus que les hommes (54%). Dans le même ordre d'idée, le manque de temps passé à deux est cité par 56% des Français (55% des hommes et 58% des femmes) comme ayant eu des conséquences négatives sur leur relation. Tout comme le manque de communication, cela tend à démontrer que la promiscuité imposée par les confinements n'a pas toujours pour effet de rapprocher les couples, mais peut au contraire remettre en question leur équilibre.
- En deuxième place des facteurs ayant contribué le plus négativement à la qualité des relations de couple pendant les confinements successifs arrive la sexualité. Encore une fois, proximité ne veut pas dire intimité, et pour beaucoup, le fait d'être confinés ne semble pas avoir eu d'effet aphrodisiaque : 66% des Français(e)s ayant eu l'envie de rompre depuis le premier confinement citent des différences de besoins ou d'attentes sexuelles comme un facteur ayant impacté négativement leur relation. Les hommes sont un peu plus à même de citer cette source de mécontentement au sein des couples (67% vs 64% des femmes).
- L'impact du COVID-19 sur la relation au travail a également eu un rôle à jouer sur l'équilibre conjugal des Français. Près de six français sur dix ayant eu l'intention de rompre (59%) citent le stress lié au travail comme un facteur qui a détérioré leur relation de couple ces derniers mois. Le télétravail, les changements d'organisation et l'incertitude pesant sur la situation professionnelle de nombreux Français pendant les crises successives liées au COVID-19 ont mis de nombreux couples à l'épreuve. Cet impact n'a pu être que renforcé par l'effacement de la "frontière" entre vie professionnelle et vie conjugale amenée par les confinements.
- L'équilibre des "couples-parents" a également été mis à mal par l'année des 3 confinements. Chez les couples qui ont des enfants ayant eu l'intention de rompre avec leur partenaire, plus de la moitié (53%) invoquent le fait d'avoir des enfants comme un élément qui a contribué négativement à leur relation au cours des 12 derniers mois. La présence des enfants au domicile en continu, l'école à la maison, et la multiplication des tâches parentales et domestiques qui en découlent ont exacerbé la pression sur les couples vivant avec leur progéniture, et eu un impact déterminant sur leur bien-être.
Une perception très genrée des motifs d'éloignement des conjoints
Pour une moitié de Français(e)s ayant eu envie de rompre pendant cette année placée sous le signe du COVID-19, on retrouve en cause des sujets de contentieux "classiques" chez les couples :
- les désaccords au sujet de l'argent, cités par 50% des Français(e)s ayant eu l'intention de rompre. Cela met en lumière les changements amenés par la crise du COVID-19 sur la situation financière de nombreux foyers, qui ont pu accentuer les tensions liées à ce sujet au sein des couples.
- une répartition peu équitable des tâches ménagères (cité par 49% des Français(e)s ayant eu l'intention de rompre). Il est intéressant de noter que ce facteur est cité autant par les hommes (49%) que par les femmes (48%). Les confinements et le fait d'être tous les deux à la maison "à plein temps" pourraient avoir eu un impact à la fois sur la répartition des tâches ménagères et sur la perception d'une répartition "équitable" de ces tâches, redistribuant certaines cartes et modifiant les termes du débat.
- des problèmes avec les amis et/ou la famille du partenaire (48%) : la distanciation imposée par les confinements successifs semble avoir rendu les relations avec le "2ème" cercle plus compliquée chez certains couples.
Au total, on retient que le COVID-19 et les confinements successifs ont pu exercé une pression supplémentaire sur les individus, notamment liée au travail et à la présence des enfants. En outre, ces confinements ont pu cristalliser les tensions préexistantes sur certains sujets (finances, répartition des tâches ménagères, relations avec les proches) au sein des couples.
III - MALGRÉ LES ENVIES DE SEPARATION, DES PARCOURS CONJUGAUX GLOBALEMENT STABLES DEPUIS LE PREMIER CONFINEMENT A L'EXCEPTION DES JEUNES
La crise du Covid-19 a mis au jour un paradoxe chez les Français en couple : s'ils sont nombreux à avoir envisagé de quitter leur partenaire, peu ont franchi le cap de la séparation, la faute à une période de grande incertitude économique et sociale où le couple est vécu comme un point d'ancrage. Ainsi, seulement 1 Français sur 10 (11%) a vécu un changement de situation conjugale depuis le 1er confinement, avec seulement 8% des Français qui ont traversé une séparation.
- Une frilosité moins sensible chez les moins de 25 ans en couple qui ont continué à voir évoluer leurs relations : la proportion de changement de situation conjugale s'envole à 20%, pour 13% de séparations.
- Un écart significatif entre les hommes et les femmes s'exprime d'ailleurs dans la population jeune : seulement 37% des hommes de moins 25 ans étaient en couple avec la même personne avant le premier confinement (mars 2020) et à la fin du troisième (mai 2021), contre 50% des femmes de moins de 25 ans.
- L'impact de la crise du Covid sur le couple revêt également une dimension sociale, la vie conjugale des hommes chômeurs ayant été particulièrement impactée. Ils sont 18% à avoir changé de situation conjugale depuis le 1er confinement, dont 13% à avoir vécu une séparation. Plus frappant encore, 50% des hommes chômeurs sont seuls à la sortie du troisième confinement et l'étaient déjà avant le premier confinement, contre 28% de la population française. Quand la précarité professionnelle s'ajoute à la distanciation sociale, l'impact est lourd sur la capacité à faire des rencontres amoureuses.
IV - UNE STABILITE QUI S'APPARENTE A UN COMPTE A REBOURS POUR AU MOINS UN MILLION DE COUPLES
Avec plus d'un français sur 10 (12%) qui veut prendre ses distances avec son partenaire à l'issue de la crise du Covid-19 (dont 4% de manière définitive). Et si l'on procède à une extrapolation de ce pourcentage sur la base des 28 millions de personnes âgées de 18 à 69 ans actuellement en couple (RP2018), ce risque de rupture concernerait au minimum un million de couples.
- Le contexte des confinements successifs a mis les couples à l'épreuve. Ils ont passé plus de temps ensemble que jamais, et pour ceux qui ont souffert de cette promiscuité, l'incertitude économique et sanitaire les a empêchés de mettre en œuvre leur volonté de se séparer. Le genre et l'âge occupent une place prépondérante dans la volonté de mettre un terme à sa relation : 14% des hommes déclarent vouloir prendre leurs distances, contre seulement 10% de femmes. Les hommes sont donc largement plus enclins à faire leurs valises, en particulier les hommes jeunes (26% des moins de 30 ans).
*Estimation sur la base du nombre de personnes en couples au dernier recensement (environ 28 millions de personnes âgées de 18 à 69 ans en 2018 - RP2018)
La valeur perçue sur le marché de la rencontre entre aussi fortement en jeu dans la volonté de quitter son/sa partenaire : les hommes ayant une très bonne opinion de leur physique sont près de 4 sur 10 à souhaiter prendre leurs distances à la fin de crise Covid (38%). Un phénomène constaté également chez la gent féminine, avec près d'une femme sur cinq (19%) ayant une très bonne opinion de son physique qui souhaite prendre ses distances. C'est deux fois moins que les hommes, mais deux fois plus que l'ensemble des femmes (10%). Quand la beauté donne des envies d'ailleurs...
- Les conditions de vie dans lesquelles le confinement s'est déroulé impactent directement la volonté des personnes en couple de se séparer. Ainsi les couples des catégories les plus modestes ont davantage souffert que les couples plus aisés. Chez les hommes, 13% des Français ayant des revenus mensuels nets supérieurs à 2500€ souhaitent se séparer de leur conjoint à l'issue de la crise, là où la proportion double (26%) chez les Français aux revenus mensuels nets inférieurs à 900€. Dans un contexte où les classes populaires ont déjà été les plus exposées au virus pendant les périodes de confinement (impossibilité de télétravail, obligation d'assurer les services essentiels), cette réalité sociale indique à quel point les populations les moins favorisées vont continuer à payer le plus lourd tribut à la crise sanitaire.
- La facilité à faire de nouvelles rencontres amoureuses joue également un rôle dans la volonté de prendre ses distances. Vivant dans la région qui offre la plus grande concentration de célibataires en France, les habitants de l'agglomération parisienne ont beaucoup plus tendance à vouloir prendre leurs distances avec leurs partenaires que leurs compatriotes provinciaux (18% des hommes et 14% des femmes résidant en région parisienne vs 13% et 10% résidant en communes urbaines de province).
Le point de vue de François Kraus, directeur du pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l'Ifop
La relative stabilité des itinéraires conjugaux observée depuis mars 2020 ne doit pas occulter l'impact négatif que les confinements ou couvre-feux successifs ont pu avoir sur la vie de couple de Français, en particulier des plus jeunes qui, pour beaucoup, ont vécu leur première expérience de vie conjugale constante et intense. Pour nombre de Français, les conditions de vie imposées par la crise sanitaire - notamment la forte promiscuité ou la présence constante du partenaire - ont en effet accentué les difficultés préexistantes, faisant de ces huis clos une véritable épreuve pour leur couple au point d'envisager de rompre avec leur conjoint. L'absence de passage à l'acte est symptomatique d'un certain attentisme, somme tout classique en période de crise (ex : guerre, crise économique), qui tient sans doute à la crainte de la solitude - notamment dans les conditions d'isolement et de rencontre imposées par le Covid-19 - mais aussi à des raisons pratiques (ex : logement, école des enfants...) et financières : une séparation, qu'il s'agisse d'un divorce, d'une rupture de Pacs ou d'une rupture d'union libre, se traduisant généralement par une baisse du niveau de vie pour les ex-conjoints. Ainsi, s'il s'avère hasardeux de pronostiquer un « divorce boom » à l'issue immédiate de la crise, il est probable qu'on assiste alors à une hausse significative des désunions lorsque le contexte sanitaire et économique rendra plus facile les ruptures conjugales.
François Kraus
Directeur du pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l'Ifop
Collaborateur à la revue Sexologies
POUR CITER CETTE ETUDE, IL FAUT UTILISER A MINIMA LA FORMULATION SUIVANTE :
«Étude Ifop pour YesWeBloom.com réalisée par questionnaire auto-administré en ligne 7 au 10 mai 2021 auprès d'un échantillon de 3 003 personnes, représentatif de la population âgée de 18 à 69 ans résidant en France métropolitaine»
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Etude Qualtrics : 58% des Français sont satisfaits de leur expérience client en ligne
Le Dr David Martin et son équipe ont analysé plus de 4000 brevets déposés avant 2019 sur le SARS-CoV-2, les tests et les traitements du COVID19. Chaque étape de la vidéo permet de comprendre l'origine du virus, l'organisation d'un business très lucratif et les évidents conflits d'intérêt d'un grand nombre de laboratoires pharmaceutiques dont les noms sont clairement cités.
Le Dr Martin préside la société MCA International Risk Management, de notoriété internationale pour avoir réalisé les enquêtes autour des attaques par l'anthrax. De par son activité, la société assure depuis 1998 la plus grande veille en matière de propriété intellectuelle (brevets déposés dans 168 pays), mais également de subventions fédérales et de nombreux dossiers administratifs dont ceux du CDC.
En début de semaine, Bruxelles a organisé une rencontre paneuropéenne de deux jours dans le but de mobiliser le développement et la production de traitements pour aider les personnes souffrant de la maladie de Covid-19.
Si les vaccins jouent un rôle crucial dans la lutte contre la Covid-19, les traitements sont nécessaires pour limiter le besoin d’hospitalisation, accélérer le temps de guérison, réduire la mortalité et soulager les symptômes durables ou la Covid-19 longue. Ils continueront à jouer un rôle essentiel alors que le coronavirus ne cesse de muter et qu’il reste de nombreuses personnes qui ne peuvent ou ne veulent pas se faire vacciner.
L’événement a rassemblé 250 participants tout au long de la chaîne de valeur, provenant de 25 États membres de l’UE et d’autres pays, dans le but d’accélérer et d’accroître le développement et la production de produits thérapeutiques pour la Covid-19 dans l’UE. La rencontre s’est également concentrée sur les nouveaux médicaments et la réadaptation de ceux destinés à traiter tous les stades de la maladie.
Par ailleurs, les réunions visaient également à augmenter la participation des entreprises dans les chaînes de valeur de l’UE pour les produits thérapeutiques contre la Covid-19, à renforcer les liens entre les organisations et les entreprises et à faciliter la planification de la production.
Dans son discours d’ouverture, la commissaire à la santé Stella Kyriakides a déclaré que le fait que la moitié de la population adulte de l’UE soit entièrement vaccinée ne suffit pas encore à écarter le danger.
« Avec la propagation des variants et la résurgence des cas dans l’UE ces dernières semaines, le développement de traitements est plus nécessaire que jamais. J’encourage les entreprises à se manifester et à unir leurs forces pour développer et produire des médicaments contre la Covid-19 dans l’UE », a-t-elle indiqué.
Le commissaire au marché intérieur Thierry Breton a, quant à lui, souligné l’importance de nouveaux partenariats dans l’ensemble du système industriel.
« Nous voulons maintenant forger de nouvelles collaborations pour faire en sorte que l’Europe soit également à la pointe du développement de nouveaux traitements contre la Covid-19 permettant de sauver des vies », a-t-il déclaré.
L’événement constitue la dernière étape de la mise en œuvre de la stratégie de la Commission visant au développement et à la disponibilité des traitements adoptée en mai 2021. Cette stratégie couvre l’ensemble du cycle de vie des médicaments, depuis la recherche, le développement, la sélection de candidats prometteurs, l’approbation réglementaire rapide, la fabrication et le déploiement jusqu’à l’utilisation finale.
Cinq médicaments prometteurs
L’objectif fixé dans le cadre de la stratégie est d’obtenir l’autorisation de trois nouvelles thérapies contre la Covid-19 d’ici à octobre 2021 et éventuellement deux autres d’ici à la fin de l’année.
Le premier portefeuille de médicaments comporte cinq candidats, qui sont à un stade avancé de développement et pourraient bientôt être disponibles pour traiter des patients dans toute l’UE, a été annoncé à la fin du mois de juin.
Quatre de ces produits sont des anticorps monoclonaux en cours d’examen par l’Agence européenne des médicaments (EMA). Un autre est un immunosuppresseur, dont l’autorisation de mise sur le marché pourrait être étendue au traitement des patients atteints de la Covid-19.
Infographie : EURACTIV
De nouvelles thérapies devraient être ajoutées prochainement, car la Commission devrait établir un portefeuille d’au moins 10 thérapies potentielles pour la Covid-19 d’ici à octobre.
Étant donné que différents types de produits sont nécessaires pour différentes populations de patients et différents stades et gravité de la maladie, le groupe d’experts identifiera des catégories de produits et sélectionnera les candidats les plus prometteurs pour chaque catégorie sur la base de critères scientifiques.
[Post-édité par Anne Damiani]
La cigale et la fourmis
Le professeur a donné un travail à ses élèves d'une classe de cinquième
Demandez à vos parents de vous raconter une histoire avec une morale à la fin.
Le lendemain, les enfants reviennent et, un par un, commencent à raconter leurs histoires.
Il y avait toutes sortes d’histoires... du lait renversé au dollar sauvé.
Seul Pierre n'avait rien raconté.
Pierre, as-tu une histoire à partager avec nous ?
Oui madame !
Mon papa m'a raconté une histoire au sujet de ma maman.
Elle était pilote de guerre et son avion a été touché.
Elle a dû s'éjecter au-dessus du territoire ennemi, et tout ce qu'elle avait, c'était une bouteille de whisky, un pistolet et un couteau de survie.
Elle a bu le whisky en descendant afin que la bouteille ne se brise pas, et puis son parachute la déposa au milieu de 20 rebelles irakiens.
Elle en a abattu 12 avec son pistolet, jusqu'à ce qu'elle manque de balles.
Puis, elle en a tué 4 de plus avec son couteau, jusqu'à ce que la lame se brise.
Enfin, elle a tué les 4 derniers avec ses mains nues.
Seigneur ! dit le professeur horrifié.
Qu'est-ce que ton papa t'a dit au sujet de la morale de cette histoire horrible ?
- Qu’il ne faut pas faire chier maman quand elle a bu !!
COVID et le cerveau : les chercheurs se concentrent sur la façon dont les dommages se produisent
COVID et le cerveau : les chercheurs se concentrent sur la façon dont les dommages se produisent
Comment COVID-19 endommage le cerveau devient de plus en plus clair. De nouvelles preuves suggèrent que l'assaut du coronavirus sur le cerveau pourrait être multiforme : il pourrait attaquer certaines cellules cérébrales directement, réduire le flux sanguin vers les tissus cérébraux ou déclencher la production de molécules immunitaires pouvant endommager les cellules cérébrales.
L'infection par le coronavirus SARS-CoV-2 peut provoquer des pertes de mémoire, des accidents vasculaires cérébraux et d'autres effets sur le cerveau. La question, dit Serena Spudich, neurologue à l'Université Yale à New Haven, Connecticut, est : « Pouvons-nous intervenir tôt pour traiter ces anomalies afin que les gens n'aient pas de problèmes à long terme ?
Avec autant de personnes touchées – des symptômes neurologiques sont apparus chez 80% des personnes hospitalisées avec COVID-19 qui ont été interrogées dans une étude 1 – les chercheurs espèrent que la base de preuves croissante ouvrira la voie à de meilleurs traitements.
Faire irruption dans le cerveau
Le SRAS-CoV-2 peut avoir des effets graves : une préimpression publiée le mois dernier 2 a comparé des images du cerveau des gens avant et après avoir eu COVID-19, et a trouvé une perte de matière grise dans plusieurs zones du cortex cérébral. (Les prépublications sont publiées sans examen par les pairs.)
Au début de la pandémie, les chercheurs ont émis l' hypothèse que le virus pourrait causer des dommages en pénétrant d'une manière ou d'une autre dans le cerveau et en infectant les neurones, les cellules responsables de la transmission et du traitement des informations. Mais des études ont depuis indiqué 3 que le virus a du mal à franchir le système de défense du cerveau - la barrière hémato-encéphalique - et qu'il n'attaque pas nécessairement les neurones de manière significative.
Le bilan de COVID sur l'odorat et le goût : ce que les scientifiques font et ne savent pas
Selon les experts, le SRAS-CoV-2 pourrait accéder au cerveau en passant par la muqueuse olfactive, la muqueuse de la cavité nasale, qui borde le cerveau. Le virus se trouve souvent dans la cavité nasale – l'une des raisons pour lesquelles les travailleurs de la santé testent le COVID-19 en tamponnant le nez.
Même ainsi, « il n'y a pas une tonne de virus dans le cerveau », dit Spudich, qui a co-écrit une revue d'autopsies et d'autres preuves qui a été publiée en ligne le 4 avril .
Mais cela ne signifie pas qu'il n'infecte aucune cellule du cerveau.
Des études suggèrent maintenant que le SRAS-CoV-2 peut infecter les astrocytes, un type de cellule abondant dans le cerveau et doté de nombreuses fonctions. «Les astrocytes font beaucoup pour soutenir le fonctionnement normal du cerveau», notamment en fournissant des nutriments aux neurones pour les maintenir en activité, explique Arnold Kriegstein, neurologue à l'Université de Californie à San Francisco.
Dans une prépublication publiée en janvier, Kriegstein et ses collègues ont rapporté 5 que le SRAS-CoV-2 infecte préférentiellement les astrocytes par rapport aux autres cellules cérébrales. Les chercheurs ont exposé des organoïdes cérébraux – des structures miniatures ressemblant à un cerveau cultivées à partir de cellules souches en laboratoire – au virus. Le SRAS-CoV-2 a presque exclusivement infecté les astrocytes sur toutes les autres cellules présentes.
Pour renforcer ces études en laboratoire, un groupe comprenant Daniel Martins-de-Souza, responsable de la protéomique à l'Université de Campinas au Brésil, a rapporté 6 dans une prépublication de février qu'il avait analysé des échantillons de cerveau de 26 personnes décédées avec COVID-19. Dans les cinq dont les cellules cérébrales présentaient des signes d'infection par le SRAS-CoV-2, 66% des cellules affectées étaient des astrocytes.
Les astrocytes infectés pourraient expliquer certains des symptômes neurologiques associés au COVID-19, en particulier la fatigue, la dépression et le « brouillard cérébral », qui comprend la confusion et l'oubli, fait valoir Kriegstein. «Ces types de symptômes peuvent ne pas refléter des dommages neuronaux, mais pourraient refléter des dysfonctionnements de quelque sorte. Cela pourrait être cohérent avec la vulnérabilité des astrocytes.
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Les astrocytes peuvent être vulnérables même s'ils ne sont pas infectés par le virus. Une étude publiée le 21 juin 7 a comparé les cerveaux de 8 personnes décédées qui avaient COVID-19 avec les cerveaux de 14 témoins. Les chercheurs n'ont trouvé aucune trace de SARS-CoV-2 dans le cerveau des personnes infectées, mais ils ont découvert que l'expression des gènes avait été affectée dans certains astrocytes, qui ne fonctionnaient pas correctement.
Compte tenu de toutes ces découvertes, les chercheurs veulent savoir combien de cellules cérébrales doivent être infectées ou endommagées pour provoquer des symptômes neurologiques, explique Ricardo Costa, physiologiste à la Louisiana State University Health à Shreveport, dont l'équipe étudie les effets du SRAS-CoV-2 sur le cerveau. cellules.
Malheureusement, il n'y a probablement pas de réponse simple, dit Kriegstein, soulignant que les cellules, y compris les neurones, dans certaines régions du cerveau provoqueront plus de dysfonctionnements que d'autres, si elles sont endommagées.
Bloquer le flux sanguin
Des preuves se sont également accumulées que le SRAS-CoV-2 peut affecter le cerveau en réduisant le flux sanguin vers celui-ci, altérant la fonction des neurones et finalement les tuant.
Les péricytes sont des cellules présentes sur de petits vaisseaux sanguins appelés capillaires dans tout le corps, y compris dans le cerveau. Une prépublication de février a signalé que le SRAS-CoV-2 pourrait infecter des cellules de type péricyte dans les organoïdes du cerveau 8 .
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En avril, David Attwell, neuroscientifique à l'University College London, et ses collègues ont publié une prépublication montrant des preuves que le SRAS-CoV-2 peut affecter le comportement des péricytes 9 . Les chercheurs ont observé que, dans des tranches de cerveau de hamster, le SRAS-CoV-2 bloque le fonctionnement des récepteurs sur les péricytes, provoquant une constriction des capillaires dans les tissus. "Il s'avère que c'est un grand effet", dit Attwell.
C'est une étude « vraiment cool », dit Spudich. "Cela pourrait être quelque chose qui détermine certaines des blessures permanentes que nous voyons – certains de ces accidents vasculaires cérébraux sur de petits vaisseaux."
Attwell suggère que les médicaments utilisés pour traiter l'hypertension artérielle, qui implique une restriction des vaisseaux sanguins, pourraient être utiles dans certains cas de COVID-19. Deux essais cliniques étudient actuellement l'effet du losartan, un médicament contre l'hypertension, pour traiter la maladie.
Dysfonctionnement immunitaire
Il existe également de plus en plus de preuves que certains symptômes et dommages neurologiques sont le résultat d'une réaction excessive du système immunitaire du corps et même de ratés après avoir rencontré le coronavirus.
Au cours des 15 dernières années, il est devenu clair qu'en réponse à une infection, le système immunitaire de certaines personnes fabrique par inadvertance des «auto-anticorps» qui attaquent leurs propres tissus, explique Harald Prüss, neuroimmunologue au Centre allemand des maladies neurodégénératives à Berlin. Cela peut provoquer des affections à long terme telles que la neuromyélite optique, dans lesquelles les personnes présentent des symptômes tels qu'une perte de vision et une faiblesse des membres. Dans une revue publiée le 10 mai , Prüss a résumé les preuves que ces auto-anticorps peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique et contribuer à des troubles neurologiques allant des troubles de la mémoire à la psychose.
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Cette voie pourrait également fonctionner dans COVID-19. Dans une étude publiée l'année dernière 11 , Prüss et ses collègues ont isolé des anticorps contre le SRAS-CoV-2 chez l'homme et en ont trouvé un capable de protéger les hamsters des infections et des lésions pulmonaires. L'objectif était de créer de nouveaux traitements. Mais les chercheurs ont également découvert que certains des anticorps pouvaient se lier au tissu cérébral, suggérant qu'ils pourraient l'endommager. « Nous essayons actuellement de le prouver cliniquement et expérimentalement », déclare Prüss.
Dans un deuxième article, publié en ligne en décembre dernier, une équipe comprenant Prüss a étudié le sang et le liquide céphalo-rachidien de 11 personnes gravement atteintes de COVID-19, qui présentaient toutes des symptômes neurologiques 12 . Tous ont produit des auto-anticorps capables de lier des neurones. Et il existe des preuves que l'administration aux patients d'immunoglobulines intraveineuses, un autre type d'anticorps, pour supprimer l'action nocive des auto-anticorps est « assez efficace », dit Prüss.
Ces voies – astrocytes, péricytes et auto-anticorps – ne sont pas mutuellement exclusives et ne sont probablement pas les seules : il est probable que les personnes atteintes de COVID-19 présentent des symptômes neurologiques pour diverses raisons. Prüss dit qu'une question clé est de savoir quelle proportion de cas est causée par chacune des voies. « Cela déterminera le traitement », dit-il.
doi : https://doi.org/10.1038/d41586-021-01693-6
Les références
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