avec un grand merci à Pierre-Jean Llorens qui s'est défoulé une fois encore pour nous abreuver de saines lectures :
Les entreprises peu digitalisées ont été 2 fois plus exposées à des problèmes qualité critiques pendant la crise du Covid-19
L’année 2020 a été sans précédent pour le commerce mondial, avec une mise sous tension inédite des chaînes d’approvisionnement, notamment en matière de qualité et de conformité. QIMA publie aujourd’hui les résultats de son Enquête QIMAone 2021 sur la transformation digitale des supply-chains. QIMAone est la plateforme logicielle Saas développée par QIMA à Lille : elle permet aux marques, distributeurs et fabricants de biens de consommation de digitaliser leurs inspections qualité, pour réaliser des importations sûres.
L’enquête s’appuie sur les réponses de plus de 700 entreprises dans l’univers des biens de grande consommation (alimentaire, textile, électronique …), ayant des supply-chains mondialisées. L’objectif : comprendre leurs enjeux et leur maturité concernant la digitalisation de leur supply-chain. L’enquête conclut que les entreprises qui n’ont pas encore pris le virage du numérique pour gérer leurs approvisionnements ont deux fois plus souffert de problèmes liés à la qualité de leurs produits. La digitalisation s’impose donc comme un avantage compétitif de taille dans un contexte du commerce mondial de plus en plus incertain et complexe. Les entreprises qui digitalisent leur processus qualité sont celles qui gagneront des parts de marché.
La qualité produits et la relation fournisseurs au cœur des impacts du Covid-19
Les entreprises ayant un faible niveau de digitalisation de leurs supply-chains ont deux fois plus pâti de problèmes de qualité produits lors de l’année 2020. En effet, 14% des entreprises qui gèrent encore leurs approvisionnements de manière manuelle (reporting papier, tableaux excels disparates …) témoignent avoir rencontré en 2020, à cause des effets de la pandémie mondiale, des problèmes très sérieux de qualité produits qui ont eu un impact fort sur leur activité. Ce taux chute à 7% pour les entreprises qui présentent un niveau élevé de digitalisation, soit moitié moins.
« Notre enquête valide ce qui semble tomber sous le sens : lorsque vous gérez des fournisseurs à 10 000 kilomètres, que vos consommateurs sont sans cesse plus exigeants sur la qualité et la conformité de vos produits, et qu’en plus vous devez soudainement faire face à une disruption globale, vous avez tout intérêt à avoir les outils en place permettant de réagir vite pour minimiser les impacts – ce que permet la digitalisation», explique Sébastien Breteau, Président-Fondateur de QIMA. « C’est l’orientation stratégique que nous avons prise en développant QIMAone, afin que tous le acteurs d’un réseau d’approvisionnement, de la marque au fournisseur de matière première, puissent collaborer efficacement à l’amélioration de la qualité produit » poursuit-il.
QIMAone est une plateforme Saas lancée en 2020 par QIMA. Développée à Lille, à partir de l’expérience de millions d’inspections réalisées par QIMA sur le terrain (dans les fermes, les usines, les entrepôts), QIMAone permet désormais à tous les acteurs de la chaîne de réaliser eux-mêmes leurs inspections et audits qualité, et de partager une information fiable, en temps réel, sur la qualité et la conformité des produits.
La nécessité de se digitaliser semble faire aujourd’hui consensus : pas moins de 94% des entreprises sondées dans l’enquête QIMAone disent avoir mis en place certaines actions de digitalisation. Mais les niveaux de maturité sont encore extrêmement variables, car 56% ont en fait un niveau très faible de digitalisation … et 6% traitent encore leurs processus qualité via des reporting « papier-crayon » : il reste encore du chemin à parcourir … !
77% des entreprises ont des zones d’ombre dans leur supply-chain
Les entreprises rencontrent une pression de plus en plus forte de la part de leur écosystème (clients, consommateurs finaux, pouvoirs publics) pour accroître la visibilité sur leur supply-chain. A l’heure du devoir de vigilance des entreprises multinationales, il n’est plus envisageable pour ces dernières de rejeter leur part de responsabilité lorsqu’un problème éthique ou environnemental survient, sous couvert de sous-traitance. Les marques ne le savent que trop bien et redoutent désormais ce type de scandales.
Ainsi, 26% des entreprises placent la visibilité sur leur supply-chain parmi leurs priorités pour 2021. Les entreprises souhaitent accroître leur connaissance de tous les acteurs qui interviennent aux différentes étapes de leur chaîne d’approvisionnement. Mais là encore, l’écart entre les aspirations et la réalité du terrain est saisissant, puisque 77% des entreprises disent avoir des zones d’ombre dans leur supply-chain. Ce taux, même s’il tend à diminuer par rapport aux études précédentes, est encore extrêmement élevé. En miroir, on peut conclure que seules 23% des entreprises pensent avoir identifié tous leurs fournisseurs. Il y a donc encore énormément de chemin à parcourir en matière de transparence pour lutter contre la sous-traitance sauvage.
Le Covid-19, a doublé la cadence de la digitalisation des supply-chains
Si on regarde le verre à moitié plein, au-delà de l’aspect « traumatisant » du Covid-19 sur les chaînes d’approvisionnement mondiales, la pandémie a agi comme un accélérateur de la digitalisation pour rendre les supply-chains plus agiles. En effet, l’étude QIMAone montre que le Covid-19 a doublé la cadence de la digitalisation : 63% des répondants de l’étude témoignent avoir mis en place de nouvelles solutions digitales pour leur supply-chain en 2020, dont 34% (soit environ la moitié) disent avoir sauté le pas en raison des impacts directs du Covid-19 sur leur activité.
Cet effet « booster » est particulièrement vrai en matière de contrôle qualité et conformité, puisque 66% des entreprises disent, en raison de la crise du Covid-19, mettre en place des outils digitaux pour mieux maîtriser la qualité et la conformité dans leur supply-chain.
Pour Sébastien Breteau « cette enquête QIMAone nous dévoile la manière dont le Covid-19 a mis dans un état de stress extrême les supply-chains internationales. Une fois l’onde de choc passée, la digitalisation de tous les maillons de la supply-chain s’impose comme une évidence, en particulier sur des questions de qualité et de conformité. Cela ne veut pas dire qu’il faut mettre moins d’humain dans la supply-chain, au contraire. Il faut garder une présence sur le terrain et mettre la collaboration et le partage d’expertise (au sein des équipes mais aussi entre marques, fournisseurs et experts qualité comme QIMA) au centre de tout. Mais il faut donner les bons outils à ceux qui sont responsables de la qualité et de la conformité des produits que nous consommons. Ainsi, les entreprises pourront prendre les meilleures décisions, de manière agile. QIMAone est la réponse que nous apportons face à ce besoin grandissant. »
Baromètre Bloom at Work
Crise sanitaire et Qualité de Vie au Travail : les impacts positifs innatendus
Bloom at Work, la solution d'enquêtes collaborateurs spécialiste de l'engagement au travail, publie les conclusions de son étude “Crise sanitaire et engagement professionnel : les indicateurs RH qui se sont améliorés”. A travers ce baromètre, Bloom at Work a souhaité mettre en lumière quelques impacts positifs de la crise sanitaire sur le monde du travail et le bien-être des salariés. Pour ce faire, la société a analysé les résultats issus de ses enquêtes d'engagement réalisées avant et pendant la crise auprès de plus de 100 000 salariés dans 126 entreprises.
La crise du Covid-19 bouleverse notre quotidien, à la maison comme au bureau. Souvent, pour le pire, mais parfois pour du mieux ! En effet, même si elle a eu de nombreux effets néfastes sur les employés (baisse d'énergie et de motivation, échanges lapidaires, sentiment de solitude…), la crise actuelle a également permis des évolutions rapides dans un monde de l'entreprise, parfois lent à évoluer. Ce sont ces bonnes nouvelles que Bloom at Work a choisi de valoriser dans l'étude qu'elle publie aujourd'hui.
QVT : TOUS LES NIVEAUX DE L'ENTRE
L'étude révèle que la communication top-down au sein des entreprises a été améliorée durant la crise sanitaire, grâce à une prise de parole des dirigeants plus directe, fréquente et transparente.
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Alors que seuls 65% des salariés des entreprises interrogées déclaraient que la communication de leur direction sur la stratégie de l'entreprise était claire avant le début de la crise, ils l'affirment désormais à 80%.
Alors que la crise a contraint les entreprises à innover sur de nombreux aspects de leur fonctionnement interne, le nombre d'initiatives mises en place pour améliorer le bien-être au travail a augmenté.
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69% des collaborateurs considèrent que le bien-être au travail est un sujet pris en charge par leur entreprise et que des initiatives sont proposées dans ce sens, contre 53% seulement avant la crise.
L'HUMAIN (RE)TROUVE SA PLACE DANS L'ORGANISATION
Le baromètre Bloom at Work nous apprend qu'au travail, le bonheur c'est les autres.
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Parmi les 10 piliers du bien-être au travail, les piliers sociaux, et notamment l'esprit d'équipe sont les mieux notés par les collaborateurs durant la pandémie, avec une progression de +0,35 points par rapport à l'avant crise.
En plus de son rôle fédérateur, la crise sanitaire a également agi comme un amplificateur de reconnaissance au sein des entreprises.
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81% des salariés estiment être considérés comme importants par leur hiérarchie, contre 75% avant le début de la crise. La progression des piliers “sens au travail” et “fierté d'appartenance” souligne, dans le même sens, que les employés sont plus en phase avec les valeurs et les missions de leur entreprise.
Les différentes périodes de confinement et la généralisation du télétravail ont encouragé les dirigeants à laisser plus de liberté et d'autonomie à leurs collaborateurs.
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Le nombre d'employés se déclarant peu ou pas autonomes et incités à innover a diminué de 35% depuis le début de la crise.
TROIS ENSEIGNEMENTS DE LA CRISE POUR ENGAGER DURABLEMENT LES EQUIPES
L'étude Bloom at Work met également en exergue trois challenges pour les RH, dirigeants et managers afin de réussir la sortie de crise et d'engager les collaborateurs dans la durée.
En premier lieu, il s'agirait de maintenir la flexibilité et l'autonomie dans l'organisation du travail.
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74% des employés interrogés considèrent que leur entreprise leur permet désormais d'intégrer des contraintes personnelles dans leur emploi du temps, contre seulement la 51% avant la crise sanitaire
Le second défi consiste à capitaliser sur la fierté d'appartenance développée pendant la crise dans certaines entreprises.
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58% des collaborateurs se disent encore plus fiers de travailler dans leur entreprise, malgré les nombreux préjudices financiers et sociaux provoqués par la crise.
Enfin, les entreprises doivent continuer de donner confiance en l'avenir de l'entreprise et clarifier la vision de long terme.
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66% des collaborateurs se disent plutôt sereins sur l'avenir de leur entreprise à 5 ans, malgré la crise.
Télécharger l'étude complète de l'étude Bloom at Work.
À propos de l'étude
Les résultats de cette étude sont issus des questionnaires qualité de vie au travail réalisés auprès des entreprises clientes de Bloom at Work :
- depuis 4 ans au sein
- +120 entreprises
- sur +100 000 collaborateurs
- + de 3 millions de réponses collectées
A propos de Bloom at Work
Créée en 2016, Bloom at Work est une solution proposée aux entreprises afin d'améliorer l'épanouissement des collaborateurs sur leur lieu de travail. Les salariés des sociétés abonnées reçoivent des questionnaires ludiques et réguliers afin de mesurer leur engagement et leur motivation au travail. Une plateforme permet aux DRH et aux managers de visualiser en temps réel les réponses anonymisées et le niveau d'épanouissement des équipes. Bloom at Work fait désormais partie des logiciels Lucca, un éditeur des solutions RH qui a pour mission de libérer les entreprises et surtout leurs collaborateurs des tâches administratives fastidieuses : gestion des congés et absences, notes de frais, feuilles de temps, dossier RH, Entretiens & Objectifs…
A propos de QIMA: QIMA est est un prestataire leader de solutions pour la conformité des chaines d’approvisionnement qui travaille avec des marques, distributeurs et importateurs internationaux pour sécuriser, améliorer et optimiser leur supply chain. Créée en 2005, QIMA propose des inspections qualité, audits fournisseurs, certification et tests en laboratoire dans plus de 85 pays. Avec son siège à Hong-Kong et plus de 35 bureaux et laboratoires dans le monde pour 4000 employés, QIMA réalise plusieurs centaines de milliers d’interventions par an auprès de 14 000 clients dans les produits de grande consommation et l’alimentaire, ce qui en fait un des leaders mondiaux du secteur.
En 2020, QIMA a lancé QIMAone, une plateforme collaborative développée en France qui digitalise la gestion de la qualité et conformité dans les chaînes d’approvisionnement internationales. Elle permet aux marques et distributeurs de biens de consommation de se connecter à leur réseau de fournisseurs pour contrôler et améliorer la qualité produit, augmenter la visibilité et la transparence de leur supply chain et réduire les inefficacités opérationnelles.
https://www.youtube.com/watch?v=oOpwc8c_oAY&t=84s
Si vous étiez salarié avant le 31 décembre 2014, vous disposez peut-être encore de droits DIF reportables sur votre compte formation.
Vous avez jusqu'au 30 juin 2021 pour effectuer cette opération.
Les heures DIF renseignées sont converties automatiquement en euros selon un taux de conversion de 15€/heure.
A compter du 1er juillet, ces heures seront automatiquement intégrées
dans votre compte CPF, selon le même taux et dans la limite de 5000€.
https://www.brighteon.com/4c5513aa-42fa-418a-a5b3-f92c42fb6777
https://www.bitchute.com/video/DJ5E0GbMvRwm/
BREAKING! Leaked Airline Documents Reveal HORRIFIC Details About 'Vaccinated' Pilots Stew Peters Show. June 21, 2021
Internal documents obtained by Dr. Jane Ruby illustrate catastrophe…
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Copie privée - Les ayants droit ne devraient pas sabler le champagne trop vite ! > Consulter le billet d'Alain Bazot, Président de l'UFC-Que Choisir |
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Adéquation formation-emploi : où en est-on ?
Retour sur les 25 dernières années
A l'heure où les cadres deviennent plus nombreux que les ouvriers et où les générations sont toujours plus diplômées, ce nouveau Céreq Bref interroge les « normes de qualification », constructions sociales qui ont tendu depuis les années 1950 a posé une relation forte entre formation et emploi. Les auteurs Christophe Guitton et Mickaële Molinari analysent 25 ans d'évolution des emplois et des diplômes et reviennent sur la pertinence actuelle de ces normes.
#1 : Un double mouvement : montée en qualification des emplois et élévation du niveau de diplômes
- Pour la première fois, comme le note l'Insee, « la part des cadres et professions libérales (20,4%) dans l'emploi total dépasse celle des ouvriers (19,2%) »
- Parallèlement, on observe une élévation du niveau de diplôme des actifs : la part des bac + 3 et plus passe de 9 % en 1994 à 25 % en 2019. Symétriquement, la part des sans diplôme chute fortement (de 38 % à 15 %).
Ces deux mouvements ne s'opèrent pas au même rythme et les emplois sont alimentés à des niveaux de diplômes toujours plus élevés entraînant un phénomène de « déclassement » pour les jeunes diplômés.
#2 : Obsolescence des normes de qualification et naissance des normes de professionnalité ?
- La logique « compétence » émerge au tournant des années 2000 et interroge la correspondance formation-emploi. Les entreprises privilégient la polyvalence et la réactivité et non plus seulement les compétences techniques certifiées par les diplômes.
- Le diplôme perd aussi de sa superbe dans les classifications salariales qui désormais vont distinguer les compétences techniques requises par les postes de celles attendues au niveau des salariés (initiative, autonomie et responsabilité).
- Dans ce contexte, pour recruter, les entreprises combinent le signal du diplôme, les dispositifs de la formation continue (plans de développement des compétences et compte personnel de formation) et la professionnalisation acquise sur le poste.
- Ces transformations s'illustrent notamment au niveau des employés, embauchés désormais à tous les niveaux de formation. Ils sont l'exemple même du brouillage actuel des normes de qualifications.
Plus que jamais, le fait-même que les entreprises survalorisent ou relativisent le diplôme démontre pour les auteurs l'affaiblissement voire l'obsolescence des normes de qualification. Au registre institutionnel de ces normes fondées sur le diplôme, se superpose désormais un nouveau registre, celui fondé sur la notion de compétence qui pose la question de sa reconnaissance à travers des repères collectifs.
Les normes de qualification sont-elles obsolètes ?
Christophe Guitton, Mickaële Molinari
Céreq Bref n°409, 2021, 4p.
En cas de reprise du communiqué, merci de citer le nom des auteurs et le titre de la publication.
Derniers Céreq Brefs parus :
Bref 408 - Le rôle des compétences transversales dans les trajectoires des diplômés du supérieur
Bref 407 - Les contrats courts dans l'aide à domicile, entre tensions et bricolages quotidiens
Bref 406 - Débuter en CDI : le plus des apprentis
Emploi : quelles reconversions pour les métiers impactés par la crise sanitaire ?
Depuis le 09 juin, nous assistons progressivement au retour des salariés dans les bureaux français. Suite au télétravail de longue durée, 58% d’entre eux sont en mal d’interactions humaines[1] et souhaitent retrouver une cohésion d’équipe. Paradoxalement, 8 personnes sur 10 ont pris goût à cette méthode de travail et prônent pour une flexibilité de l’emploi avec l’aménagement hybride de leur organisation.
Or de ce remodelage des dommages collatéraux inopinés apparaissent, notamment chez les agents d’entretien des bureaux. Impuissants, ils assistent en effet à la diminution graduelle de leur zone d’activité déjà bien restreinte depuis un an. Face à la menace et au manque de reconnaissance de leur métier – seuls 10% affirment avoir reçu une prime de leur employeur pendant l’épidémie du Covid-19 – nombre d’entre eux cherchent des solutions alternatives pour sauver leur emploi.
Parallèlement, sur un secteur qui prévoit d’embaucher 83 000 personnes, l’entreprise de services d’aide à la personne COVIVA y voit une solution gagnant-gagnant. En effet, les compétences des agents d’entretien répondent parfaitement aux besoins des postes à pourvoir. Immédiatement opérationnels pour se rendre chez les particuliers, ils peuvent candidater directement dans l’une des 15 franchises du réseau.
Auxiliaires de vie, aide-ménager(è)s, opérateurs de téléassistance… de nombreux postes sont ouverts partout en France sans qu’aucune reconversion ne soit demandée pour les professionnels du secteur !
Pour toute question sur :
- Le marché du service à la personne en France et ses besoins en recrutement
- Les formations dans les métiers dédiés aux services à la personne
- Le métier d’auxiliaire de vie
- …
Pour rencontrer recruteurs et salariés, l’ensemble des équipes Coviva se tiennent à votre disposition. Appelez-nous !
Contacts Médiatiser.TV :
Elodie Mazières Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - 07 68 29 77 94
Antoine Monnier Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - 06 03 71 76 10
A propos de Coviva :
Coviva est le réseau grandissant d’agences spécialisées dans les services à la personne pour Seniors depuis 2004. Ses valeurs centrales sont l’engagement, le respect, la proximité et l’entraide. Le réseau propose à tous les Seniors, qu’ils soient dynamiques ou dépendants, une offre complète de services d’aide destinée à leur faciliter le quotidien mais aussi à créer du lien social...
Dans toute la France, un réseau de professionnels qualifiés s’est développé dans :
- l’aide à domicile
- la livraison de repas
- l’aide au ménage
- l’accompagnement véhiculé
- la téléassistance
Auxiliaires de vie, livreurs, aide-ménagère... tous les intervenants sont expérimentés, respectueux, et toujours prêts pour un brin de conversation.
Paris, le 22 juin 2021 - Le RGPD fête son troisième anniversaire - mais les entreprises européennes sont-elles désormais bien positionnées en matière de protection des données ? La réponse est oui. C'est la conclusion d'une enquête représentative menée par la société de technologie Usercentrics et Siinda en coopération avec l'institut d'études de marché Innofact auprès de 600 cadres allemands, français et britanniques âgés de 25 à 69 ans.
L'étude conclut qu'une majorité d'entreprises se considèrent bien positionnées en termes de protection des données (68.5%) - dans les trois pays (61% en France). Dans le même temps, seuls 59,5% de tous les répondants déclarent utiliser une plate-forme de gestion du consentement sur leur site web. Mais les réponses sont très différentes selon les pays. Alors qu'une minorité d'Allemands (42%) utilise un CMP (plateforme de gestion du consentement), le recours à un CMP est beaucoup plus prononcé en France puisque 73.5% déclarent avoir mis en place une plateforme de gestion du consentement sur leur site Internet. Bien entendu, la taille de l'entreprise joue également un rôle. L'étude montre que plus l'entreprise est grande, plus il est probable qu'une plate-forme de gestion du consentement soit utilisée. De nombreuses entreprises semblent également avoir recours à un délégué à la protection des données. Seuls 16% déclarent ne pas avoir de délégué à la protection des données (interne ou externe).
En moyenne, plus d'un répondant sur trois ( 35% au UK, 29% en Allemagne et 41% en France) considère que la protection des données est bénéfique et importante pour les entreprises. En parallèle, près d'un répondant sur trois en moyenne (30% au UK, 41% en Allemagne et 25% en France) voit son modèle commercial menacé par des réglementations de plus en plus strictes en matière de protection des données. Ces chiffres montrent à quel point la relation avec la protection des données est ambivalente environ trois ans après l'introduction du RGPD.
L'étude révèle également des informations intéressantes sur les développements actuels du marché et les attitudes à l'égard des cookies tiers: la tendance du marché évolue clairement dans le sens des données primaires. Ainsi, 68% des répondants (69% en France) déclarent vouloir s'appuyer principalement sur l'utilisation de données primaires, c'est-à-dire des données utilisateur agrégées indépendamment. 83% des répondants français envisagent la fin imminente des cookies tiers contre 49,5% des répondants allemands, mais très peu d'entreprises semblent être inquiètes de cette évolution. Il semble qu'il y ait un grand besoin d'éclaircissements à ce sujet en Allemagne. Plus de la moitié des personnes interrogées déclarent ne pas être au courant de ces évolutions.
Stéphanie Vérilhac, directrice des affaires européennes de Siinda, a déclaré: «Cette étude disruptive portant sur 600 dirigeants d'entreprise donne des informations très précieuses sur la manière dont la protection des données est perçue et gérée par les PME européennes. La protection de la vie privée et des données personnelles est sans aucun doute une question importante dorénavant débattue dans les conseils d'administration et par les cadres supérieurs grâce au RGPD, mais des questions opérationnelles concrètes telles que la gestion des données internes et tierces ou des différences régionales émergent. La numérisation des PME en Europe s'est accélérée au cours de l'année écoulée et une gestion cohérente de la protection des données est essentielle pour favoriser cette tendance à venir. "
Jürgen Weichert, CRO chez Usercentrics, commente l'étude: «La confidentialité est la nouvelle norme. Bien que nous ayons encore dû faire beaucoup d'éducation au début du RGPD, une image différente se dessine maintenant. Le sujet des données la protection semble faire partie des activités quotidiennes de nombreuses petites et moyennes entreprises. Dans le même temps, cependant, il devient évident qu'il existe de nombreuses différences régionales. Par exemple, il semble que les Français soient beaucoup plus avertis de la protection des données que leurs homologues allemands ou britanniques, ce qui est probablement dû à l'application rigoureuse par l'autorité française de protection des données CNIL.”
À propos de l'enquête: commandée par Usercentrics et Siinda, l'institut d'études de marché Innofact a interrogé 600 cadres (257 femmes et 343 hommes) d'Allemagne (200), de France (200) et du Royaume-Uni (200) âgés de 25 à 69 ans en avril 2021. Entreprises variait en taille de 5 à 250 employés.
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À propos de Usercentrics
Harmonisez votre stratégie marketing et vos données en toute conformité
L'entreprise technologique munichoise Usercentrics est leader dans le domaine des plateformes de gestion du consentement (CMP). La solution SaaS de Usercentrics permet aux entreprises de collecter le consentement de leurs utilisateurs, de l'administrer et de le documenter, et ce sur tous les supports numériques (sites internet, applications, etc.), avec pour résultat des taux d'opt-in élevés. Elle leur garantit le respect des directives internationales actuelles et à venir en matière de protection des données personnelles, telles que le RGPD, la directive européenne « vie privée et communications électroniques », ou encore la loi californienne « California Consumer Privacy Act » (CCPA), et leur permet d'harmoniser leur stratégie marketing et leur politique en matière de données. Depuis sa création fin 2017 par Mischa Rürup, Usercentrics n'a cessé de croître et de renforcer son influence. L'entreprise compte à ce jour parmi ses clients des entreprises de renom, telles que le groupe bancaire allemand Commerzbank, le réassureur allemand Munich RE, l'opérateur mondial de téléphonie mobile T-Mobile ou encore la multinationale espagnole de télécommunications Telefónica. Pour plus d'informations, rendez-vous sur notre site www.usercentrics.com.
A propos de Siinda
Siinda est la principale association à but non lucratif basée en Europe qui rassemble des entreprises des secteurs de la recherche, de la publicité numérique, des médias, du mobile et de l'industrie «à la demande». Nous sommes un forum de ressources pour toute entreprise desservant les marchés PME, B2B ou Entreprise. Chez Siinda, vous pouvez échanger des idées, connaître les dernières tendances, accéder à des études de marché critiques, vous tenir au courant de la technologie tout en vous connectant et en partageant avec des membres du monde entier. Chez Siinda, nous favorisons le développement de partenariats positifs et continus qui permettent aux entreprises de prospérer et de se développer. Nous fournissons également une plate-forme où les start-ups au niveau des semences peuvent se mêler aux leaders de l'industrie. Notre réseau mondial de membres favorise l'échange d'idées et l'encouragement des partenariats. Plus d'informations sur www.siinda.org
Le collaborateur, élément pivot du travail de demain
selon une étude conduite par IDC en France
Si la pandémie mondiale a accéléré la mutation du travail, les entreprises doivent repenser la gestion de l'humain et l'intégrer pleinement à l'environnement informatique pour accompagner leurs trajectoires d'amélioration dans le monde de demain
Lausanne / Boston — 22 juin 2021 – Nexthink, leader du pilotage de l'expérience numérique des collaborateurs (DEX) publie aujourd'hui les résultats d'une nouvelle étude « Observatoire Future of Work 2021 » qui s'intéresse au futur du travail dans les entreprises françaises, dans un contexte de pandémie mondiale. Conduite par IDC entre février et mars 2021, l'étude souligne que si les entreprises françaises tendent définitivement vers un modèle de travail hybride, elles doivent replacer le collaborateur au cœur des processus. Des efforts de personnalisation de l'outil informatique et des politiques managériales ciblées doivent ainsi faire suite aux mesures prises pour permettre la continuité d'activité.
Un modèle de travail hybride qui se confirme
8 organisations sur 10 interrogées ont favorisé le télétravail et la majorité d'entre-elles prévoient de le faire perdurer. D'ailleurs, 81% des répondants ont, ou vont signer prochainement de nouveaux accords pour régir les pratiques du télétravail en interne. En outre, le nombre de collaborateurs concernés par le travail distanciel augmente passant de 11% avant la crise à 42% dans les prochains mois. Les résultats de l'étude montrent également que le monde du travail se dirige vers un modèle hybride, une société sur deux ayant déjà prévu de réaménager ses bureaux avec des espaces dédiés aux réunions à distance. Parmi les entreprises convaincues, 33% estiment que le manque de sociabilisation des collaborateurs peut constituer un frein potentiel au développement du télétravail dans leur organisation. Enfin, ils sont 27% à confirmer ne pas vouloir encourager la flexibilité des horaires de travail après la crise.
Mais 20% des entreprises restent encore réfractaires au télétravail. Si 38% des Directions Générales sont réticentes d'un point de vue culturel, seules 11% déclarent craindre une baisse de productivité. Sur le plan technique, les raisons principales évoquées sont le manque de débit des connexions internet à domicile (41%), la sécurité à distance (27%), suivi par les coûts IT supplémentaires (24%) notamment liés à l'acquisition de PC portables.
Des investissement accordés au hardware pour faire évoluer l'environnement de travail…
89% des responsables IT sont convaincus que la qualité de l'environnement informatique est un vecteur d'efficacité des collaborateurs. En effet, la crise sanitaire a été un accélérateur de dépenses liées à la transformation de l'environnement informatique dans 7 entreprises sur 10. Les budgets consacrés à l'IT se sont développés en 2020 dans 63% des organisations sondées et resteront globalement stables en 2021 (67%). Néanmoins, ces investissements sont très liés à la continuité d'activité - achat d'ordinateurs portables (46%), de tablettes ou smartphones (23%), d'outils de travail collaboratifs (21%) - sans prendre part aux besoins en modernisation des processus de l'entreprise et d'engagement collaborateurs. Ces achats de matériel posent la question de l'optimisation des coûts informatiques : regarder les dépenses dans leur globalité est une nécessité dans une optique de digitalisation à grande échelle.
… mais l'individu écarté du débat
77% des responsables informatiques et 87% des responsables Métiers déclarent que les collaborateurs sont intégrés aux prises de décisions concernant leur environnement de travail mais les méthodes employées restent basiques. Si dans 23% des entreprises, les collaborateurs ne sont pas du tout associés aux décisions, la manière la plus courante de les consulter est verbale voire informelle et en grand majorité via des groupes de travail impliquant les métiers et la direction IT (43%). Les outils d'enquêtes, de sondage flash voire d'Analytics restent très minoritaires (11%) alors qu'ils permettent un suivi simplifié, des retours anonymisés et un gain de temps pour les collaborateurs comme pour l'analyse côté managers. Le constat est similaire sur la mesure de la satisfaction des collaborateurs au regard de l'usage et de la performance des outils informatiques mis à leur disposition. Plus d'un tiers des organisations ne la mesurent pas et lorsque c'est le cas, la mesure de l'usage, mêmes d'éléments précis et factuels, se fait principalement par des interactions directes (30%), là où les outils d'Analytics sont utilisés que dans 28% des organisations. C'est encore plus vrai sur la mesure de la satisfaction (35%) qui est recensée par des outils analytiques dans seulement 14% des cas.
Personnaliser l'expérience informatique de chaque fonction pour gagner en efficacité
Le besoin de personnalisation est une demande sous-jacente des collaborateurs, qui prend encore plus de sens avec des équipes de plus en plus réparties géographiquement et souvent isolées. Les entreprises restent 33% à ne pas savoir comment améliorer la satisfaction au regard de l'outil informatique dans les prochaines années. 33% des Métiers estiment quant à eux qu'une évolution positive de l'environnement de travail passerait par une meilleure réponse apportée par l'entreprise aux besoins de leur département et 21% d'entre eux attendent même des configurations adaptées aux besoins de chaque collaborateur de manière individuelle pour gagner en granularité et renforcer l'engagement. Si plus de 6 organisations sur 10 estiment qu'une solution de suivi de l'expérience informatique serait bénéfique, près de la moitié des sondés (48%) pensent que ces outils vont permettre aux managers et aux RH de disposer d'indicateurs clés pour une meilleure prise de décision tandis que pour 21% d'entre eux, ils contribueront à prévenir les incidents informatiques constituant ainsi un révélateur de qualité de service pour la DSI.
« La crise sanitaire mondiale a forcé les entreprises à tout mettre en œuvre pour garantir la continuité de leur activité et de celle de leurs collaborateurs », déclare Thibaut Rivier, Directeur France de Nexthink. « Mais offrir la meilleure expérience digitale de travail ne dépend pas uniquement du fonctionnement optimal de l'écosystème informatique mais surtout de la compréhension de l'expérience des usagers. Intégrer les collaborateurs dans la Digital Workplace du futur développera la productivité, améliorera la rétention des talents et l'attractivité de la marque et, en fin de compte, aura un meilleur impact sur la rentabilité. »
Méthodologie
L'observatoire Future Of Work réalisé par IDC a été conduit par IDC entre février et mars 2021 auprès de Directeurs et Responsables informatiques et responsables Métiers d'organisations privées ou publiques d'au moins 500 personnes en France.
Pour télécharger le rapport complet, veuillez suivre le lien suivant.
À propos de Nexthink
Nexthink est un acteur incontournable sur le marché des logiciels de gestion de l'expérience numérique des collaborateurs. Offrant une visibilité sans précédent au niveau du poste de travail sur l'expérience technologique des collaborateurs au quotidien, Nexthink permet aux directions informatiques de passer d'une résolution réactive des dysfonctionnements IT à une optimisation proactive de l'expérience informatique. Grâce à Nexthink, plus de 1 000 organisations à travers le monde offrent une expérience numérique optimale à plus de 11 millions de collaborateurs. Basée à Lausanne en Suisse et à Boston, dans le Massachusetts, Nexthink compte 9 bureaux à travers le monde. Pour en savoir plus : www.nexthink.com/fr/
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Bientôt un “chèque bureau” pour le télétravail hors domicile ? Une trentaine de personnalités économiques, syndicales et politiques proposent de créer un “chèque bureau” pour “faciliter l'accès à des espaces de travail de proximité”. Et éviter l'isolement des télétravailleurs. |
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Une étude montre que les Français boudent (enfin !) les régimes pour perdre du poids
Alors que 76% des Français déclarent vouloir faire davantage pour leur santé suite à la pandémie de Covid-19, ils sont nombreux à avoir pris conscience de l'importance du mieux manger.
Pourtant, alors qu'une étude vient de montrer qu'un léger surpoids est un facteur de risque de forme grave de la maladie, ce n'est pas cette dimension qui les préoccupe le plus.
Bien au contraire : ils sont plus de 7 sur 10 à avoir profité de cette période difficile pour interroger en profondeur leurs mauvaises habitudes alimentaires et cherchent, là-aussi, à retrouver du sens et du bien-être.
Les résultats de l'étude "Les effets de la pandémie sur la santé, le poids et les attentes des Français", réalisée par le site d'information et conseil en nutrition SagesseSanté.fr, révèlent d'ailleurs de nombreuses surprises.
On y apprend notamment que les Français sont bien décidés à bouder les régimes minceur et les salles de sport !
L'ÉTÉ 2021 : LE "SUMMER OF LOVE" DE LA GÉNÉRATION COVID ?
ENQUÊTE SUR LA VIE SEXUELLE DES CELIBATAIRES CET ÉTÉ
Embargo de diffusion : jeudi 24 juin à 6h00
Avec le retour des beaux jours et la réouverture des bars et des discothèques, les célibataires vont-ils passer l'été à rattraper tous ces mois de « retenue » sexuelle imposés durant les confinements ? Après plus d'un an où leur sociabilité affective a été plus que jamais bridée, les millions de célibataires français vont-ils se laisser porter par un vent d'insouciance et de légèreté les amenant à une boulimie de sexe ? Alors que les expressions (« Hot Vax Summer », « Horny Summer »...) fleurissent pour décrire ce qui s'annoncerait comme un grand moment de « liberté sexuelle » du même type que le « Summer of love » de 1969 , le pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l'Ifop a mené, pour CAM4 et Hot Vidéo, une enquête auprès d'un millier de célibataires pour savoir quelles vont être leurs réelles intentions sexuelles et sentimentales cet été.
1) Libérés du confinement, délivrés sexuellement ?
Après une année marquée par des frustrations et restrictions sociales sans cesse répétées, un peu plus d'un célibataire sur trois (37%) devrait être « plus ouvert » sexuellement qu'à l'accoutumée, et ceci dans une proportion beaucoup plus forte dans la gent masculine (46%) que féminine (27%) mais aussi beaucoup plus grande chez les jeunes (44%) que chez les personnes âgées de 50 ans et plus (22%).
Et chez les jeunes de moins de 25 ans, ce « gender gap » se retrouve dans tous les situations testées : 43% des jeunes hommes célibataires annoncent qu'ils sont disposés à avoir un rapport sexuel sans en être amoureux (contre 27% des jeunes femmes), 40% qu'ils céderont plus facilement aux avances de quelqu'un (contre 23% des jeunes femmes) et 36% à dire qu'ils seront plus directs dans la manière d'indiquer leur intérêt à un potentiel partenaire (contre 17% des jeunes femmes). A noter que si les hommes (27%) seront globalement plus enclins que les femmes (13%) à assouplir leurs critères de choix d'un partenaire cet été, ce ne sera pas le cas pour les femmes trentenaires qui seront aussi nombreuses (26%) que les hommes (25%) à être « moins exigeant(e)s » qu'à l'accoutumée. Enfin les hommes homosexuels seront bien plus ouverts (68%) que les hétérosexuels (45%).
ÉTÉ 2021, DES CÉLIBATAIRES MOINS EXIGEANTS ?
2) Une flexibilité qui ne va pas de pair avec un désir d'enchainer les partenaires tout l'été
Cette plus grande « ouverture d'esprit » des célibataires ne signifie pas pour autant l'envie de basculer dans une surconsommation d'aventures sans lendemain... Au contraire, après des mois de solitude forcée, les célibataires expriment plutôt un besoin de stabilité affective : 86% d'entre eux préférant chercher un seul partenaire pour établir une relation stable plutôt que « multiplier les partenaires sexuels » (14%).
En cela, l'impact du Covid sur les perspectives conjugales des célibataires français est proche de celui observé Outre-Atlantique par le Kinsey Institute dans une enquête qui montrait récemment que seuls 10% des célibataires américains de 18 à 45 ans étaient en quête de relations d'un soir (contre 52% en recherche d'une relation engagée).
En France, la proportion de célibataires en quête de « coups d'un soir » a sensiblement augmenté (+4 points) par rapport au premier déconfinement (étude Ifop - juin 2020) mais elle reste marginale en dehors des pans de la population traditionnellement les plus ouverts aux formes de sexualité récréative tels que les gays (38%) ou les jeunes hommes de 25 à 34 ans (28%). De même, les profils masculins physiquement et socialement avantagés - comme les chefs d'entreprise (37%) et les hommes se considérant comme beaux (38%) - sont bien plus disposés que la moyenne à ne pas inscrire leur vie sexuelle dans le cadre d'une relation stable.
Enfin, les taux observés auprès des utilisateurs actuels de sites de rencontres - dont 78% recherchent aussi une relation sérieuse - remettent quelque peu en cause la dimension sexuelle donnée à la tendance du « revenge dating » qui, si l'on se fiait aux données d'études non représentatives sur le sujet (cf sondage réalisé le 18 mai 2021 auprès de 400 membres de l'application Happn), serait amener à rythmer l'été des célibataires.
LES PERSPECTIVES AFFECTIVES DES CELIBATAIRES APRES LA LEVEE DES RESTRICTIONS SANITAIRES
Le point de vue de François Kraus de l'Ifop
Contrairement à certaines idées reçues, cette enquête montre que les célibataires sortent de la crise sanitaire avec plus l'envie d'avoir un partenaire de longue durée qu'une multitude de partenaires occasionnels, et ceci y compris dans un contexte estival pourtant propice aux aventures d'un soir. Ce besoin de sécurité affective et sexuelle paraît assez logique pour une catégorie de la population qui a particulièrement souffert psychologiquement[1] de l'isolement social imposé de manière plus ou moins continue durant un an. Et pour ces célibataires dont beaucoup ont le sentiment d'avoir perdu un an de leur vie, cela va de pair avec l'envie de « ne plus perdre leur temps » avec des critères ou des jeux de séduction d'intérêt secondaire. La question se pose de savoir si cette tendance à une sélection moins stricte des partenaires et/ou à une sexualisation plus rapide des relations sera éphémère ou un des marqueurs sexuels d'une « génération Covid ».
3) La peur du virus pèse encore aujourd'hui sur la sociabilité affective des célibataires
Si la fear of dating again - FODA ou peur de faire de nouveau des rencontres amoureuses - devrait s'atténuer avec la généralisation du vaccin contre le COVID, elle est loin d'avoir disparue : plus d'un tiers (34%) des célibataires ont déjà éprouvé la crainte d'attraper le coronavirus lors d'une rencontre avec un(e) inconnu(e) et ils sont encore près d'un quart (22%) à admettre toujours ressentit cette peur (dont 26% chez les femmes).
L'AMPLEUR DE LA "FEAR OF DATING AGAIN" CHEZ LES CÉLIBATAIRES
Ainsi, le COVID-19 constituera toujours cet été un frein à la sociabilité sexuelle des célibataires comme source d'angoisse limitant la fréquentation des lieux de rencontre ou les potentiels contacts physiques. En effet, près d'un tiers des célibataires (32%) verra sa sexualité freinée par la peur du virus, sachant qu'un quart d'entre eux déclarent que cette crainte va les empêcher de fréquenter un lieu où rencontrer de potentiels partenaires (25%) ou d'embrasser quelqu'un qui leur plaît (24%).
L'IMPACT DE LA PEUR DU VIRUS SUR LA SOCIABILITÉ SEXUELLE DES CÉLIBATAIRES DURANT L'ETE 2021
4) Des célibataires moins en manque de sexe que de (nouvelles) rencontres...
Contrairement aux idées reçues, tous les célibataires n'ont pas interrompu leur activité sexuelle pendant la pandémie : près de la moitié d'entre eux ont eu au moins un rapport sexuel avec depuis mars 2020 (45%). Signe des difficultés à faire des rencontres autant qu'à prendre des risques avec des inconnus, la plupart en ont eu avec une personne avec laquelle ils avaient déjà eu des relations sexuelles (ex : « ex », partenaire sexuel régulier ou occasionnel...) : 34%, contre seulement 17% avec quelqu'un rencontré après le 11 mai 2020.
LE NOMBRE ET LA NATURE DES PARTENAIRES SEXUELS RENCONTRÉS PAR LES CELIBATAIRES
DEPUIS L'ECLATEMENT DE LA CRISE DU COVID
Un quart (27%) seulement des célibataires ont réalisé de nouvelles rencontres en face à face avec de potentiels partenaires depuis l'éclatement de la crise du Covid. Et ils sont encore moins nombreux (13%) à en avoir une qui a débouché sur une véritable relation (affective ou sexuelle). Au regard de ces résultats, le principal manque pour les célibataires semble donc moins d'avoir du sexe pour du sexe que d'effectuer de nouvelles rencontres leur permettant de renouveler ou d'augmenter leur vivier de potentiels partenaires...
LA RÉALISATION DE NOUVELLES RENCONTRES AVEC DE POTENTIELS PARTENAIRES DEPUIS
L'ECLATEMENT DE LA CRISE DU COVID
Étude Ifop pour CAM4 et Hot Vidéo réalisée par questionnaire auto-administré en ligne 7 au 10 mai 2021 auprès d'un échantillon de 3 003 personnes, représentatif de la population âgée de 18 à 69 ans résidant en France métropolitaine.
Le point de vue de François Kraus, directeur du pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l'Ifop
Au regard de ces résultats, la phase de sortie du troisième confinement n'a pas poussé tous les célibataires français à la « boulimie » de partenaires qu'aurait pu susciter le besoin de rattraper les mois de « disette sexuelle » imposée par les confinements. Au contraire, si une part non négligeable seront plus « ouverts » dans leurs critères de sélection de leur partenaire, une autre part semble rester dans la prudence face à une possible contamination et à la volonté de trouver une relation stable plutôt qu'une succession d'aventures. Si l'impact du COVID-19 sur la vie sexuelle et affective des célibataires sera donc particulièrement intéressant à observer sur le long terme, en attendant un élément se démarque et qui n'est pas la simple envie d'avoir des relations sexuelles : c'est le souhait d'en avoir avec de nouvelles personnes. Cet été la rencontre et la nouveauté sembleront donc être au cœur des esprits plus que la recherche de sexe pour le sexe.
François Kraus
Directeur du pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l'Ifop
Collaborateur à la revue Sexologies
POUR CITER CETTE ETUDE, IL FAUT UTILISER A MINIMA LA FORMULATION SUIVANTE :
« Étude Ifop pour CAM4 et Hot Vidéo réalisée par questionnaire auto-administré en ligne 7 au 10 mai 2021 auprès d'un échantillon de 1 000 célibataires, extrait d'un échantillon national représentatif de 3 003 personnes âgées de 18 à 69 ans résidant en France métropolitaine. »
À PROPOS DE CAM4 Et HOTVIDEO
Le site CAM4 leader mondial des webcams amateurs et le magazine Hotvideo leader de la presse pour adulte en France, s'associent pour étudier les comportements sexuels des Français, notamment des jeunes, des LGBT et des célibataires.
Lancé en 2007, CAM4.fr leader mondial internet de partage de webcams gratuites sexe live, regroupe aujourd'hui une communauté de plus de 20 millions de webcameurs (hétero, Bi, Gay et Trans) dans plus de 230 pays dans la monde. Avec plus de 200 millions de visites par mois, 75.000 live show webcam sexe par jour, CAM4.fr se classe dans les 200 premiers sites mondiaux et est au cœur du phénomène de l'exhib sur internet. Il propose à ceux qui le souhaitent de regarder ou faire une exhib gratuitement mais aussi de gagner de l'argent en faisant des shows sexy.
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Baromètre « Impact de la crise sanitaire sur la santé mentale des français »
La crise sanitaire a chamboulé en profondeur nos habitudes de vie, notre rapport à l'autre, au travail, nos fonctionnements individuels et collectifs.
Dans la continuité d'un premier baromètre réalisé en avril, Upfeel.io, une start-up dédiée au mieux-être des salariés, a souhaité connaître l'évolution de l'état de santé des français suite au retour en entreprise et à la levée des restrictions.
Le baromètre a été réalisé par Diffusis France pour Upfeel.io.
Le baromètre a révélé, en ce mois de juin, les grandes lignes suivantes :
Pour 63% des français interrogés, la crise a eu un impact sur leur santé mentale et/ou physique
64% des sondés sont heureux de retourner travailler en entreprise, changer d'environnement et pouvoir à nouveau séparer vie privée et vie professionnelle
Pour 69% d'entre eux, le télétravail leur a fait prendre conscience du lien collectif dans leur bien-être individuel.
76% considèrent que l'entreprise joue un rôle déterminant dans leur bien-être
83% adhèrent à une nouvelle organisation de travail, une forme hybride entre présentiel et télétravail : 44% pour éviter quotidiennement de perdre des heures dans les transports en commun, pour 21% l'important c'est de se rendre quelques jours en entreprise pour avoir un lien collectif,
17% considèrent que c'est un bon compromis à condition d'être bien accompagné sur les jours télétravaillés
48% aimeraient que l'entreprise propose des actions dédiées au collectif (espaces collaboratifs, challenges d'équipe etc.) pour créer une bonne ambiance au travail mais aussi à travers des séances de développement personnel pour favoriser l'esprit de groupe et agir sur des leviers individuels tels que la motivation et la confiance en soi.
- La crise sanitaire a eu un impact sur la santé mentale et/ou physique des français
La crise sanitaire a eu un impact sur la santé mentale de 29% des français interrogés, autant sur leur santé à la fois mentale et physique. Pour 37%, la crise n'a eu aucun impact.
La crise sanitaire a-t-elle eu un impact néfaste sur votre santé ? |
Pourcentage |
Non, elle n'a eu aucun impact |
37 |
Mentale |
29 |
Les deux |
29 |
Physique |
6 |
- Le retour au travail : 33% sont heureux de pouvoir regagner la vie collective en entreprise.
12% ressentent un soulagement de pouvoir retourner travailler en entreprise car avaient de réelles difficultés à gérer à la fois leur vie de famille et leur travail à distance.
Comment vous sentez-vous à l'idée de retourner travailler en entreprise ? |
Pourcentage |
Je suis heureux, la vie en entreprise (son dynamisme, la socialisation professionnelle, voir mes collègues) me manquait trop. |
33 |
Je respire : je peux enfin sortir de chez moi, changer d'environnement, faire une distinction entre ma sphère professionnelle et privée, être libre de mes mouvements. |
31 |
Ça m'est égal, j'aimais bien travailler de chez moi. |
24 |
Je n'ai aucune envie de retourner sur site, j'aurais aimé rester en télétravail à 100%. |
16 |
C'est un soulagement, j'avais du mal à gérer ma vie de famille et mon travail. |
12 |
- Enjeux prioritaires des entreprises : Pour 47% des français, l'entreprise doit mettre en place des actions pour recréer du lien entre les équipe.
43% souhaitent faire un bilan du vécu individuel en entreprise suite aux bouleversements des modes de vie, engendrés par l'arrivée de la crise sanitaire.
Selon vous, quels sont les enjeu (x) prioritaire(s) que votre entreprise doit mettre en place pour votre retour sur site (plusieurs réponses possibles) : |
Pourcentage |
Recréer du lien entre les équipes. |
47 |
Faire un bilan du vécu individuel de cette période, car chacun l'a vécu différemment. |
43 |
Fixer des règles d'un nouveau mode de travail hybride avec une part de télétravail et une part de travail en présentiel. |
41 |
Développer des espaces collaboratifs, de co-développement, pendant les jours de travail sur site. |
19 |
- 69% ont pris conscience de l'importance du lien collectif dans leur bien-être individuel, un chiffre particulièrement élevé qui montre l'enjeu de la socialisation dans l'état de santé global de l'humain.
Le télétravail vous a-t-il fait prendre conscience de l'importance du lien collectif dans votre bien-être individuel ? |
Pourcentage |
Oui |
69 |
Non |
31 |
- 72% des français interrogés avaient un degré de bien-être qui oscillait entre 4 et 7 durant la crise sanitaire (le degré 5 concentre le plus de répondants)
Lors du précédent baromètre, en avril dernier, le degré de leur bien-être perçu était plus bas : 85% des sondés ont un degré de bien-être entre 2 et 7. (le degré 4 concentre le plus de répondants)
- Aujourd'hui, pour 72% des français, le degré de bien-être oscillent entre 7 et 10, (le degré 8 concentre le plus de répondants) : une progression significative liée au retour au travail et à la levée des restrictions.
L'état de bien-être des français est revenu à un niveau relativement similaire à celui d'avant-crise : Pour rappel, lors du précédent baromètre, 80% des français interrogés avaient un degré de bien-être entre 7 et 10, avant-crise. (le degré 8 concentre le plus de répondants)
Sur une échelle de 1 à 10 (10 étant le degré le plus élevé de bien-être), quel était votre degré de bien-être durant cette crise sanitaire ? |
Pourcentage |
1 |
3 |
2 |
4 |
3 |
9 |
4 |
7 |
5 |
31 |
6 |
20 |
7 |
14 |
8 |
6 |
9 |
3 |
10 |
3 |
Sur une échelle de 1 à 10 (10 étant le degré le plus élevé de bien-être), quel est votre degré de bien-être aujourd'hui ? |
Pourcentage |
1 |
1 |
2 |
1 |
3 |
3 |
4 |
4 |
5 |
12 |
6 |
11 |
7 |
14 |
8 |
26 |
9 |
19 |
10 |
13 |
- L'entreprise joue un rôle majeur dans l'état de bien-être de leurs collaborateurs : 76% des répondants estiment que l'entreprise influe sur leur état de santé.
Pensez-vous que l'entreprise joue un rôle dans votre état de bien-être ? |
Pourcentage |
Oui |
76 |
Non |
24 |
- A la question comment l'entreprise peut-elle contribuer à améliorer leur état de santé ? La bienveillance, l'Ecoute et le Collectif, les axes à privilégier !
- 46% des français attendent de leur entreprise qu'elle écoute leurs besoins et envies, 37% veulent une entreprise qui leur permette d'être eux-mêmes en prenant en compte leur état émotionnel.
- 48% aimeraient que l'entreprise propose des actions dédiées au collectif pour créer une bonne ambiance au travail et aussi à travers des séances de développement personnel pour favoriser l'esprit de groupe et agir sur des leviers individuels tels que la motivation et la confiance en soi.
- 32% souhaitent bénéficier en entreprise d'un accompagnement individuel à travers des séances gratuites de psychologie et/ou de développement personnel.
Si oui, comment peut-elle contribuer à l'améliorer (plusieurs réponses possibles) ? |
Pourcentage |
En prenant en compte mes besoins et envies sur les questions liées à : ma demande d'évolution, mon confort au travail, flexibilité des horaires, encadrement/management etc. |
46 |
En prenant en compte mon état émotionnel et en me permettant d'être moi-même, vrai. |
37 |
En mettant en place des initiatives collectives dédiées à créer une bonne ambiance au travail et recréer du lien : espaces collaboratifs, team building, challenges d'équipe, after-work etc. |
35 |
En proposant des séances gratuites d'accompagnement individuel : psychologie, développement personnel etc. |
32 |
En proposant des séances collectives de développement personnel pour améliorer l'esprit de groupe mais aussi pour agir sur mes leviers individuels : motivation, confiance en soi, prise de parole, acceptation de soi etc. |
13 |
D'une manière générale, qu'est ce qui peut contribuer à améliorer votre santé mentale ou votre bien être (plusieurs réponses possibles) ? |
Pourcentage |
Revoir mes amis, sortir au restaurant ... |
71 |
Gagner plus d'argent |
54 |
Voyager |
51 |
Avoir une bonne ambiance au travail |
41 |
Me dépenser, faire du sport |
36 |
Prendre de la distance face aux difficultés et contrariétés de la vie |
25 |
Reprendre mon activité professionnelle |
24 |
Avoir une entreprise qui écoute mes besoins, des dirigeants avec qui je peux dialoguer |
22 |
Aller vivre au bord de mer |
14 |
Aller vivre à la montagne |
11 |
Aller vivre à la campagne |
10 |
- 61% craignent une reprise de la pandémie à la rentrée
Craigniez-vous une reprise de la pandémie à la rentrée ? |
Pourcentage |
Oui |
61 |
Non |
39 |
Pour 63% (le plus de répondants) des français, la restriction des libertés est l'aspect qui les inquiète le plus. (vs. 75% lors du dernier baromètre réalisé en avril, période de confinement)
49% sont inquiets de devoir porter à nouveau un masque. (vs. 45% lors du dernier baromètre réalisé en avril )
La rupture du lien social est aussi un sujet qui inquiète 47% des sondés. (vs. 64% lors du dernier baromètre réalisé en avril, période de confinement)
La toute première autopsie d’une personne vaccinée contre le COVID-19, qui a été testée négative 18 jours plus tard lors de son admission à l’hôpital, mais 24 jours après le vaccin, a révélé que l’ARN viral était présent dans presque tous les organes du corps. Le vaccin, tout en déclenchant une réponse immunitaire, n’a PAS empêché le virus de pénétrer dans tous les organes du corps.
L’ARN viral a été trouvé dans presque tous les organes du corps, ce qui signifie que les protéines Spike aussi.
Il existe des anticorps (comme ceux que le “vaccin” est censé créer), mais ils ne sont pas pertinents car, d’après une étude japonaise, nous savons maintenant que c’est la protéine spike S1 qui cause les dommages.
Nous avons parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d’un hôpital du New Jersey ce matin. Nous lui avons envoyé les résultats de l’autopsie et lui avons demandé son avis.
Lorsqu’il nous a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué. Il nous a dit : “Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l’hôpital si vous le faites”. Nous avons accepté de dissimuler son identité.
Il nous a ensuite dit :
“Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du vaccin.
D’après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde – finalement – aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.
Cet ARNm était censé rester sur le site d’injection, mais ce n’est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l’ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.
Pire encore, la présence de l’ARN viral dans tous les organes, malgré un vaccin, indique :
1) Soit que le vaccin ne fonctionne pas du tout ;
2) Soit que le virus bénéficie d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu’il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.Il s’agit d’une bombe à retardement mondiale”.
Selon le rapport d’autopsie publié, l’homme vacciné était âgé de 86 ans et a été testé NÉGATIF pour le COVID-19 lorsqu’il a été admis à l’hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires. Voici ce que décrit le rapport :
Nous rapportons le cas d’un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate. Le 9 janvier 2021, l’homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des 2 semaines suivantes, il n’a présenté aucun symptôme clinique (tableau 1). Le jour 18, il a été admis à l’hôpital pour une diarrhée qui s’est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l’isolement dans un cadre spécifique n’a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d’antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs.
Le rapport de l’autopsie précise que les tests n’ont montré “aucun changement morphologique associé au COVID” dans ses organes.
“Morphologique” signifie structurel. On sait maintenant que l’infection par le COVID provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu’elle infecte. CES CHANGEMENTS N’ÉTAIENT PAS apparus chez l’homme vacciné avant sa mort.
L’homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF pour le COVID, et le rapport indique qu’ils pensent que l’homme vacciné décédé a attrapé le COVID après avoir été admis, par l’autre patient dans la même chambre.
Les dommages causés aux organes de l’homme vacciné aujourd’hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu’il ne soit infecté par le COVID par l’autre patient de la chambre d’hôpital.
Pire, une fois que l’homme vacciné a effectivement été infecté par le COVID, celui-ci s’est propagé si rapidement dans son corps qu’il n’a apparemment eu aucune chance. Voici des images de tissus :
Le rapport post-mortem complet est publié sur ScienceDirect.com (ICI)
QUELQUES BONNES BLAGUES POUR SE DETENDRE :
Celles-ci ne s’en occupent pas et continuent de pédaler. Au troisième appel, la sœur supérieure s’impatiente et s’écrie :
– Si vous ne rentrez pas tout de suite, je remet les selles sur vos vélos !
C’est un curé qui monte en chaire un dimanche matin et dit à ses fidèles :
– Mes chers paroissiens, le titre du sermon de dimanche prochain sera : « Fourrer, pénétrer, décharger et jouir ». À dimanche prochain…
Le message s’est transmis durant la semaine, de bouche à oreille dans le village. Le dimanche suivant, l’église était bondée, il y avait jusqu’à trois rangées de personnes debout en arrière.
Arrive le sermon, le curé monte en chaire et dit :
– Mes très chers paroissiens, je vous remercie d’être venus en si grand nombre ce matin et, tel que promis la semaine dernière, le sujet spécial de ce matin est : « FOURREZ-VOUS bien dans la tête que pour PÉNÉTRER dans le royaume des cieux, il faut vous DÉCHARGER de vos péchés afin de JOUIR du paradis éternel. Amen.
PS : Pour avoir eu de mauvaises pensées, vous direz 1 Pater et 3 Ave.
Un prêtre et une nonne sont dans une tempête de neige. Après un moment, ils trouvent une petite cabane. Exténués, ils se préparent à dormir. Il y a une pile de couvertures et un duvet sur le sol, mais seulement un lit.
Gentleman, le prêtre dit : « Ma sœur, vous dormirez dans le lit, et je dormirai sur le sol, dans le duvet. »
Alors qu’il venait juste de fermer son duvet, et commençait à s’endormir, la nonne dit : « Mon père, j’ai froid ». Il ouvre la fermeture de son duvet, se lève, prend une couverture et la pose sur elle.
De nouveau, il s’installe dans le duvet, le ferme et se laisse sombrer dans le sommeil, quand la nonne dit encore : « Mon père, j’ai toujours très froid ». Il se lève à nouveau, met une autre couverture sur elle et retourne se coucher.
Juste au moment où il ferme les yeux, elle dit : « Mon père, j’ai siiiiii froid ». Cette fois, il reste couché et dit : « Ma sœur, j’ai une idée : nous sommes ici au milieu de nulle part, et personne ne saura jamais ce qui s’est passé. Faisons comme si nous étions mariés ».
Enfin exaucée, la nonne répond : « Oui, c’est d’accord ».
Et le prêtre crie : « Alors tu lèves ton cul et tu prends toi-même ta putain de couverture, conasse ! »
– Dis-moi, Seigneur, pourquoi as-tu donné des oreilles aux hommes, si finalement ils t’écoutent si peu ?
– Mon fils, en 2020, il y aura une pandémie sur terre…
– Alors ils écouteront enfin ?
– Non, mais ils auront besoin des oreilles pour y fixer des masques…
Dieu et le syndicat
Un prêtre et un industriel discute. Le prêtre dit :
- Vous vous rendez compte : Dieu n’a mis que 6 jours à créer le monde.
- Hélas oui. Aujourd’hui, le même boulot avec les syndicats sur le dos, ça lui prendrait 6 mois !
Blague alsacienne : un Alsacien dans le train
C'est un Alsacien qui monte dans un train.
Dans le compartiment se trouvent déjà deux hommes en costumes et cravates qui tapent sur leur ordinateur.
Notre brave Alsacien s'installe près de ces 2 hommes et commence à manger un sandwich au mettwurscht.
Au bout de quelques minutes, il demande à l'un des deux hommes en costume, avec un fort accent alsacien :
- Puiche-je savoir où vous s'allez ?
Les deux hommes se regardent en riant. Le premier fait un clin d’œil au second, et répond en imitant l'accent alsacien : "Moi, che vais à PARISS"
L'Alsacien pense avoir mal compris et répond :
- "PARISSSS ?"
Et le voyageur rétorque :
- "OUI, PARIS avec deux S !!!"
L'Alsacien se demande pourquoi Paris avec deux s mais n'en rajoute pas et continue à déguster son sandwich au mettwurscht.
Un peu plus tard, il s'adresse à l'autre homme et lui demande :
- "Et vous, où allez-vous ?"
- "Et bien moi, répond le deuxième homme, également d'un air moqueur, che vais à Bordeauxxx, avec deux X !!!"
Le deux hommes pouffent de rire.
L'Alsacien, qui comprend qu'ils se moquent de lui, ne répond pas.
Tout à coup l'un des deux hommes se tourne vers l'Alsacien et lui demande :
- "Et toi, où vas-tu ?"
- "Et bien moi, j'vais à Macon... avec deux cons !"
https://www.youtube.com/watch?v=oOpwc8c_oAY&t=84s
https://nouveau-monde.ca/
Il y a deux mois, nous avons tenté d’alerter sur les résultats paradoxaux des vaccin covid19 en publiant les courbes de mortalité pré et post vaccination d’Israël et de Grande-Bretagne[1] qui montraient déjà que ces vaccinations ont été suivies d’une hausse considérable des contaminations et de la mortalité durant 6 à 8 semaines après le début de la vaccination.[2]
https://nouveau-monde.ca/lhecatombe-post-vaccinale-setend-dans-le-monde/
Depuis cette période, les campagnes de vaccination se sont étendues mondialement même aux pays où le covid était peu présent. Et partout elles ont été suivies d’une hausse considérable des nouvelles infections et de la mortalité pendant plusieurs semaines ou mois.[3]
Combien faudra-t-il de morts et d’accidents sévères pour que les dirigeants, l’OMS, les agences de santé FDA, EMA entre autres, regardent les résultats avérés de cette pseudo-vaccination expérimentale dans le monde réel et en tirent les conséquences ?
Rappel des faits avérés publiés par l’OMS
Nous présentons ci-après les courbes de l’épidémie des pays les plus vaccinés telles que publiées par l’OMS (avec nos commentaires en rouge).
ASIE
Au Népal, pays de 28 millions d’habitants
La campagne de vaccination, utilisant le vaccin chinois et l’Astra Zeneca indien, a commencé fin janvier 2021. Jusque là, après dix mois d’épidémie, le pays comptait 270 092 cas confirmés et 2017 morts et la moyenne journalière de nouveaux cas s’élevait à 350.
Quatre mois après le début de la vaccination, l’épidémie a explosé avec une moyenne actuelle de 8000 nouveaux cas quotidiens. Au 22 mai, le Népal comptait 497052 (+90%) cas confirmés et 6024 morts (+200%.)
En Thaïlande, pays de 70 millions d’habitants
La campagne de vaccination utilisant le vaccin chinois a commencé dans la première semaine de mars. Jusque là, depuis le début de l’épidémie, le pays ne recensait que 25000 contaminés et 83 morts attribuées au Covid19.
Depuis le début de la vaccination, en 2 mois, le nombre des contaminés a été multiplié par 5 (123 066 au 22/5) et celui des morts par 9 (735 au 22/5).
Au Cambodge, pays de 27 millions d’habitants
En Mongolie, pays de 3, 3 millions d’ habitants
Amérique du Sud
En Colombie, pays de 50 millions d’habitants
pays fortement éprouvé par la maladie l’épidémie amorçait une franche décrue jusqu’au début de la campagne de vaccination le 18 février2021.
Depuis, le nombre de contaminations quotidiennes a quadruplé et la mortalité journalière multiplié par 3
Chili, pays de 18 millions d’habitants
La vaccination a commencé le 24 décembre et un total de près 17,1 millions de doses de vaccin a été administré à moins de 20 millions d’habitants. Mais malgré un taux de couverture vaccinal le plus élevé d’Amérique du Sud et des confinements durs, le nombre de contaminations quotidiennes et le nombre de décès restent près du triple de ce qu’ils étaient avant le démarrage de la campagne vaccinale …
Au Brésil, pays de 217 millions d’habitants
La vaccination a débuté le 18 janvier alors que la mortalité hebdomadaire se stabilisait autour de 7000
Moyen-Orient
Aux Émirats Arabes Unis, pays de 10,5 millions d’habitants
Au Koweït, pays de 4,2 millions d’habitants
EUROPE
En Hongrie, pays de 9,8 millions d’habitants
La campagne de vaccination débutée fin février a été suivie d’une forte hausse des contaminations hebdomadaires passées de 25576 le 25/2 à 62265 un mois plus tard, avant de redescendre progressivement au niveau pré vaccinal.
En deux mois et demi la Hongrie a ainsi doublé ses chiffres de contaminés (400000 à 800000) et de morts (de 14000 à 29000) atteints après 11 mois d’épidémie
En Roumanie, pays de 20 millions d’habitants
La campagne de vaccination a débuté fin décembre à une période où l’épidémie décroissait, et d’après les données officielles du 4 mai 21, Bucarest a le taux de vaccination le plus élevé du pays avec 31,2% de sa population éligible vaccinée. Mais peu après le début de la vaccination, le nombre des contaminations quotidiennes et la mortalité ont augmenté.
Avant la vaccination après dix mois d’épidémie, la Roumanie recensait 618000 infectés et 15000 morts. Après cinq mois de vaccination, elle en compte le double.
Monaco, pays de 38000 habitants
comptait seulement 3 décès avant la vaccination et 32 depuis la vaccination
Gibraltar, 34000 habitants
: la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une augmentation de 800% de la mortalité de 10 à 94)
Que peut-on déduire de ces données officielles. Hypothèses
Les victoires à la Pyrrhus[4] israélienne et britannique
Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne, actuelles sont faibles.
Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition d’une grande partie des personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.
Le « moissonnage » vaccinal
Dans ces deux pays, la mortalité attribuée au Covid a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines égalisant la totalité des morts de l’année 2020. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.
Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l’équivalent d’une année complète de mortalité Covid sans vaccin (l’année 2020) a fortement réduit le nombre d’Israéliens à risque, entraînant de facto probablement une diminution du risque apparent de mortalité dans l’année à venir, dans cette tranche d’âge.
Mais parallèlement à cette diminution de sa cible initiale, le virus s’est transformé par mutation pour s’attaquer à d’autres segments de la société et en particulier aux groupes d’âge plus jeunes.
En novembre 2020, les données du ministère israélien de la Santé ont révélé qu’Israël avait détecté 400 cas de coronavirus chez des enfants de moins de deux ans. En février 2021, ce nombre est passé à 5 800.
Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne. Comme le Covid19 ne menace qu’une petite partie de la population (les grands vieillards avec comorbidité) la disparition péri vaccinale d’une grande partie de cette population (autant que les morts de l’année 2020) à risque, diminue mathématiquement la mortalité observée, au moins transitoirement.
Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en Grande-Bretagne (934/M) dépasse le double de celle des Pays-Bas (411/M).
La régression naturelle de l’épidémie
Explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés
Les courbes de mortalité par million d’habitants suivent la même temporalité dans ces deux pays proches. Celle du Royaume-Uni souffre d’un pic péri vaccinal beaucoup plus élevé, la mortalité actuelle des Pays-Bas est légèrement plus élevée traduisant l’absence du « moissonnage » anglais.
La vaccination actuelle, accélérateur de l’épidémie et de la mortalité ?
La revue des principaux pays apôtres de la vaccination large montre qu’en population réelle, la vaccination généralisée se comporte plus comme un accélérateur de l’épidémie et de la mortalité que comme une prévention de celles-ci.[5]
Dans tous les pays très vaccinés, la mortalité comptabilisée durant les deux mois post vaccinaux égale ou dépasse celle de toute l’année 2020.
ABSENCE DE DONNÉES EXPÉRIMENTALES SOLIDES
Les essais de ces vaccins ont été insuffisants, sans recul, car ils sont en cours. Les premiers résultats sont promis pour début 2023.
Aucun d’entre eux n’a signalé la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires. Ils sont peu informatifs sur les effets secondaires plus ou moins graves, comme la fréquence des accidents vasculaires précoces dans les jours suivant la vaccination, ou encore les multiplications de fausse-couche et les troubles menstruels des femmes par exemple et bien sûr les possibles complications plus tardives à moyen et long terme.
La course à la vaccination accélérée à tout prix pourrait à terme être contre performante pour la confiance populaire en toutes les vaccinations. Rien ne sert de courir, il faut partir à point aurait dit la Fontaine. Mais les nouveaux milliardaires comme le PDG de Moderna ne pensent probablement pas comme la tortue de la Fable ayant d’ores et déjà amassé des fortunes.
L’AVENIR EST AUX TRAITEMENTS PRÉCOCES MAÎTRISÉS PAR LES MÉDECINS DE TERRAIN
Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives, si une nouvelle poussée survenait.
D’autant que l’avenir, après cette hécatombe vaccinale, reste très incertain. Les dirigeants qui ont violé les bases de la médecine et de la démocratie en imposant la vaccination expresse sans respect des procédures habituelles pour la sécurité et l’efficacité des drogues mises sur le marché, se retrouvent tous à promettre à leurs populations des traitements précoces pour les vagues futures, prouvant par-là, comme Boris Johnson qu’ils ne croient plus à la vaccination qu’ils ont imposée.[6]
LA MÉDECINE NE DOIT PAS ÊTRE DÉCIDÉE PAR LA POLITIQUE
La politique sanitaire ne doit plus être imposée ni guidée par des simulations le plus souvent inexactes (et leurs affichages parfois influencés par les politiques comme l’avouent les scientifiques anglais), mais doit reposer sur le respect de la démocratie et de l’expérience clinique des médecins de terrain guidés éventuellement par de simples recommandations non contraignantes.
Toutes les données doivent être transparentes comme les chiffres du Réseau Sentinelles qui reflète le nombre de malades réels, consultant les médecins pour des signes cliniques. Beaucoup plus fiables que les éternels chiffres de contamination basés sur des tests PCR peu fiables.
LIBERTÉ DE SOIGNER ET D’ÊTRE SOIGNÉ
Surtout les médecins doivent être autorisés à traiter librement leurs patients avec tous les moyens à leur disposition sans diktat bureaucratique, et ce dès le début de la maladie, comme dans toute autre pathologie. Dès le début de l’épidémie, les traitements précoces basés sur les antibiotiques, macrolides, l’hydroxychloroquine, l’Artemisia, les vitamines D et C et le zinc, puis l’ivermectine étaient connus et diabolisés par les médecins de plateau au service de nouvelles drogues hors de prix comme le remdésivir, et surtout des futurs vaccins.
Le choix politique d’interdire le libre choix du traitement par les autorités a conduit dans plusieurs pays du monde, dont la France, à des morts nombreuses dont au moins une partie était évitable. Les procès en cours donneront la parole aux familles des victimes sans réparer l’irréparable perte d’un être cher.
MORATOIRE INDISPENSABLE
Le totalitarisme, la censure systématique et la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales n’aboutissent en science, en médecine comme en économie, qu’à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables.
Il est grand temps de revenir aux faits avérés et à leur examen critique sans a priori. Dans tous les pays, les vaccinations expérimentales ont été suivies par une augmentation des contaminations et de la mortalité attribuée au Covid19 et l’apparition de mutants. Tant que le phénomène n’aura pas été élucidé, un moratoire des vaccinations anticovid est indispensable et urgent.
- [1] Grande-Bretagne : résultats réels de la vaccination anti-Covid-19 au 29 mars – (ripostelaique.com) []
- [2] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) []
- [3] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/[]
- [4] Une victoire à la Pyrrhus est une victoire tactique, obtenue au prix de pertes si lourdes pour le vainqueur qu’elles compromettent ses chances de victoire finale.[]
- [5] F Gobert Depuis qu’on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14 Agoravox https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/depuis-qu-on-vaccine-anticovid-la-233252[]
- [6] https://www.francesoir.fr/societe-sante/boris-johnson-veut-un-traitement-precoce-contre-la-covid-dici-lautomne[]
Qu'est-ce qui vous inquiète le plus quant à l'annonce de nouvelles mesures restrictives en cas de reprise de l'épidémie (plusieurs réponses possibles) ? |
Pourcentage |
La restriction de mes libertés |
63 |
Le port du masque |
49 |
La rupture du lien social (famille, proches, collègues) |
Étude : 78% des Français souhaitent pouvoir profiter à nouveau de loisirs
l'été est enfin là et les Français semblent bien déterminés à profiter de vacances bien méritées ! La réouverture des boîtes de nuit, prévue le 09 juillet 2021, n'est pas passée inaperçue et semble ravir un bon nombre de futurs vacanciers. Abandon du masque, contacts physiques sur la piste de danse, nouvelles rencontres… La pandémie semble s'effacer peu à peu.
Face à ces constats, Dynata, la plus grande plateforme de données au monde pour les informations, l'activation et la mesure a interrogé 1000 Français. L'étude a été menée dans 11 pays dans le monde et a consolidé un total de plus de 11 000 réponses.
Les résultats sont significatifs : les Français n'en peuvent plus. Tandis que la situation semble se stabiliser, 66% des répondants affirment avoir besoin de retrouver un contact physique avec les autres. Mais à quel prix ?
- 52% des répondants affirment qu'ils devraient être vaccinés pour retrouver un mode de vie totalement normal.
- Seulement 39% des répondants se sentent à l'aise à l'idée d'assister à un événement collectif. Parmi eux, 43% sont vaccinés.
- 55% des répondants affirment qu'ils se sentiront bien à l'idée de reprendre leur rythme d'activités uniquement lorsque leur famille sera totalement vaccinée.
Étude : l'avenir de l'assurance pour les Français
48,3% des Français se méfient de l'utilisation de leurs données
Une étude réalisée par Coverd auprès d'un panel de Français s'intéressant à la téléphonie
Paris, 09 Juin 2021 - Le secteur de l'assurance connaît une vraie révolution depuis ces dernières années. Grâce à l'apparition de nouveaux services ou de nouvelles entreprises souhaitant dépoussiérer ce secteur, ce domaine est en plein boom et regorge d'innovations technologiques pour faciliter la vie des assurés. En effet, entre l'utilisation des données et l'apparition de l'assurance responsable ou ponctuelle, les français voient les offres de plus en plus diversifiées. Autant dire que le marché de l'assurance a le vent en poupe. Coverd, la première insurtech française spécialisée dans la couverture des objets nomades (smartphones, tablettes, ordinateurs ou encore écouteurs sans fils), a décidé de s'intéresser à ces nouveaux comportements et d'en tirer des conclusions : Quel est l'avenir du secteur de l'assurance ?
Coverd met en exergue 5 infos révélatrices pour mieux comprendre ces nouveaux comportements. Décryptage en chiffres.
90,9% des français ne savent toujours pas ce qu'est une insurtech
L'univers de l'assurance a débuté sa transformation digitale poussé en cela par les nouveaux modes de consommation des Français et l'arrivée sur le marché des insurtech qui bousculent les règles du jeu. Mais le passage au numérique est désormais incontournable pour les acteurs historiques de l'assurance et ses nouveaux arrivants sur le marché. Pourtant, selon l'étude réalisée par Coverd auprès d'un panel de français s'intéressant à la téléphonie, il semblerait que plus de 90% des français ne sachent toujours pas ce qu'est une insurtech. Si l'innovation est compréhensible par tous, le secteur de l'insurtech semble encore nébuleux pour les français qui ne se retrouvent pas encore dans cette nouvelle définition.
80% préfèrent les rendez-vous physiques ou par téléphone lorsqu'ils souscrivent à une assurances
Si le secteur de l'assurance est en proie à des évolutions constantes, il semblerait que les Français soient toujours désireux d'avoir un contact humain lorsqu'il s'agit d'assurances. En effet, l'humain reste encore au cœur de ce secteur et les innovations permettant de simplifier la souscription à l'assurance ne semblent pas encore plébiscitées par les français aujourd'hui. Seulement 16,7% des français souscrivent à une assurance via un formulaire en ligne et 3,3% via à un chat. L'avenir de l'assurance montre que les acteurs actuels doivent garder l'humain au cœur de leur offre pour séduire les consommateurs et ne pas s'axer uniquement sur le digital pour perdurer.
48,3% des français se méfient de l'utilisation des données par les acteurs de l'assurance
Si l'on pense d'abord à leur praticité et à leurs avantages, il est aussi crucial de réfléchir à ce que cette collecte de données intensive implique pour les assureurs, et les potentielles dérives qui vont avec. En possession de ces informations, les assureurs doivent agir en transparence avec leurs consommateurs. En effet, il semblerait que 48,3% des français se méfient de l'utilisation de leurs données. Pour aller plus loin, cette étude montre aussi que 13,8% des français ont peur pour leur individualité. Ce chiffre montre qu'en plus du danger et de la méfiance, les assurées souhaitent une transparence totale vis à vie de leurs données personnelles.
81,2% préfèrent faire confiance à un leader du marché de l'assurance
Beaucoup de nouveaux acteurs ont fait leur apparition sur le marché de l'assurance. En effet, les startups et les plus grands retailers y voient une opportunité pour dépoussiérer le secteur et ancrer l'innovation au cœur de ce domaine encore nébuleux pour la plupart des français. Si 81,2% préfèrent faire confiance à un leader du marché, il semblerait que 12,5% aient pris le pas de faire confiance à une startup contre 3,1% à un retailer international. Ce chiffre nous montre qu'il y a une évangélisation de la part des startups de ce secteur qui n'est pas prêt de baisser.
71,4% préfèrent avoir une assurance à l'année
D'après cette même étude, il semblerait que les français préfèrent avoir une assurance à l'année. En effet, ce sondage montre que l'assurance ponctuelle n'est pas préférée par les français (28,6%) qui préfèrent être couverts tout le temps.
Paiement par coupons PCS - Gare aux arnaques
Police et gendarmerie multiplient les alertes aux escroqueries s’appuyant sur les coupons PCS, un moyen de paiement intraçable qui fait la fortune des cyberdétrousseurs.> Lire la suite |
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Moins de 1 salarié sur 2 ayant moins de 2 ans d'ancienneté a l'intention de rester dans son entreprise ! C'est ce que révèle le Global Employee Experience Trends Report 2021 réalisé par Qualtrics[1].
Emploi : quelles reconversions pour les métiers impactés par la crise sanitaire ?
Depuis le 09 juin, nous assistons progressivement au retour des salariés dans les bureaux français. Suite au télétravail de longue durée, 58% d’entre eux sont en mal d’interactions humaines[1] et souhaitent retrouver une cohésion d’équipe. Paradoxalement, 8 personnes sur 10 ont pris goût à cette méthode de travail et prônent pour une flexibilité de l’emploi avec l’aménagement hybride de leur organisation.
Or de ce remodelage des dommages collatéraux inopinés apparaissent, notamment chez les agents d’entretien des bureaux. Impuissants, ils assistent en effet à la diminution graduelle de leur zone d’activité déjà bien restreinte depuis un an. Face à la menace et au manque de reconnaissance de leur métier – seuls 10% affirment avoir reçu une prime de leur employeur pendant l’épidémie du Covid-19 – nombre d’entre eux cherchent des solutions alternatives pour sauver leur emploi.
Parallèlement, sur un secteur qui prévoit d’embaucher 83 000 personnes, l’entreprise de services d’aide à la personne COVIVA y voit une solution gagnant-gagnant. En effet, les compétences des agents d’entretien répondent parfaitement aux besoins des postes à pourvoir. Immédiatement opérationnels pour se rendre chez les particuliers, ils peuvent candidater directement dans l’une des 15 franchises du réseau.
Auxiliaires de vie, aide-ménager(è)s, opérateurs de téléassistance… de nombreux postes sont ouverts partout en France sans qu’aucune reconversion ne soit demandée pour les professionnels du secteur !
Pour toute question sur :
- Le marché du service à la personne en France et ses besoins en recrutement
- Les formations dans les métiers dédiés aux services à la personne
- Le métier d’auxiliaire de vie
- …
Pour rencontrer recruteurs et salariés, l’ensemble des équipes Coviva se tiennent à votre disposition. Appelez-nous !
Contacts Médiatiser.TV :
Elodie Mazières Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - 07 68 29 77 94
Antoine Monnier Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - 06 03 71 76 10
A propos de Coviva :
Coviva est le réseau grandissant d’agences spécialisées dans les services à la personne pour Seniors depuis 2004. Ses valeurs centrales sont l’engagement, le respect, la proximité et l’entraide. Le réseau propose à tous les Seniors, qu’ils soient dynamiques ou dépendants, une offre complète de services d’aide destinée à leur faciliter le quotidien mais aussi à créer du lien social...
Dans toute la France, un réseau de professionnels qualifiés s’est développé dans :
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Fuites de données : + 19 % de personnes touchées en 2020 |
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L’écosystème français des startups de la cybersécurité profite de la crise |
Si l’investissement national dans les startups de la sécurité cyber s’est solidement structuré pour les accompagner au c…
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La Plus Belle Façon d’Embaucher, 2ème numéro du magazine |
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En cette période de relance de la vie sociale, culturelle et économique du pays, la Fédération Française des Geiq (FFGeiq) annonce la sortie du n°2 (juin 2021) de son magazine gratuit, La Plus Belle Façon d’Embaucher, disponible en consultation et en téléchargement sur son site Internet. Sa ligne éditoriale fait la part belle à des parcours d’insertion réussis en matière d’emploi et de qualification, en lien avec les entreprises qui recrutent. | |
Moustapha, Preng, Achref, Nicolas, Sarah, Georges, Céline, Pascal, Ketsia, Stéphane, Laureen ou encore Sankoumba… Autant de témoignages à découvrir dans ce n°2 de La Plus Belle Façon d’Embaucher afin de mettre en lumière ce dispositif concret et efficace, présent partout sur le territoire. Véritable remède face à la crise, l’enjeu est qu’il bénéficie demain à un plus large public parmi celles et ceux qui se retrouvent éloignés de l’emploi, dans un contexte économique fragile.
La plus belle façon d’embaucher, le magazine gratuit de la Fédération Française des Geiq, Il faut l’avoir vécu pour le comprendre : la recherche d’emploi pour une personne sans qualification et avec peu d’expérience relève du parcours du combattant. Pour beaucoup, les portes se ferment. Celles du Geiq restent ouvertes pour lever les freins à l’emploi en les formant et les accompagnant sur une période de 6 à 24 mois. Les Geiq et leurs entreprises toujours engagées pour l'inclusion Les Geiq accompagnent les entreprises dans leurs recrutements via l’alternance. En proposant des profils différents, accompagnés tout au long du parcours de formation et d’insertion, ils permettent de répondre à leurs besoins en main-d’œuvre dans de nombreux secteurs en tension. En 2020, et comme de nombreuses entreprises, les Groupements d’employeurs pour l’insertion et la qualification (Geiq) ont été touchés de plein fouet par la crise sanitaire. Directement liés à leurs adhérents, ils ont vu leur activité s’arrêter presque totalement au mois de mars, puis repartir progressivement. Pourtant, malgré des disparités selon les secteurs d’activité et les territoires, les Geiq ont su conserver un certain niveau d’activité, données chiffrées à l’appui (voir en p.7 du magazine). Si quelques Geiq sont en grande difficulté, notamment dans le secteur du tourisme, la plupart d’entre eux ont surmonté la crise grâce à une gestion rigoureuse et à la volonté des entreprises. Le soutien des pouvoirs publics sur l’alternance a également permis de poursuivre le travail de formation et de qualification avec les entreprises.
“Si les aides de l’État ont permis de soutenir l'économie, il faut désormais faire de l’inclusion un pilier central de la nouvelle dynamique de relance pour engager les entreprises dans une société plus responsable et solidaire”, introduit Pierre Lobry, président de la FFGeiq, dans son édito. “Les entreprises qui sont partenaires des Geiq, ce ne sont pas des grands groupes internationaux. Ce sont des acteurs de terrain, des TPE et des PME, avec à leur tête des chefs d’entreprises qui restent dans une relative discrétion et qui ont un vrai sens de l’écoute et de l’humain avec leurs salariés”, explique Alain Régnier, délégué interministériel chargé de l’accueil et de l’intégration des réfugiés (Diair) auprès du ministre de l’Intérieur, dans un entretien en page 8. À l’issue des parcours, les entreprises adhérentes des Geiq ont la possibilité d’employer directement le salarié. En 2020, les Geiq ont accompagné 14 883 personnes avec un taux de réussite à l’examen exemplaire : 94 %. Parmi les sortants du dispositif, 65 % ont été embauchés. Le dispositif Geiq, un remède face à la crise Mineur isolé (Moustapha, p.13), jeune (Sarah, p.18 ; Ketsia, p.26 ; Laureen, p.28), en reconversion (Céline, p.20 ; Stéphane, p.27), porteur d’un handicap (Pascal, p.25), réfugiés (Georges, p.19 ; Sankoumba, p.30)... Leurs témoignages sont à lire dans le n°2 de La Plus Belle Façon d’Embaucher. “Après des débuts difficiles et des réticences de certains encadrants, compte tenu de son faible niveau en français, Preng les a convaincus par sa pugnacité, son sérieux au travail et sa volonté d’apprendre et de progresser”, explique Floriane Livet (Geiq BTP 42). Ces récits illustrent autant de parcours réussis où rien n’était gagné d’avance. “Alors qu’il n’avait ni formation ni expérience relatives, Stéphane a été embauché en CDI et occupe aujourd’hui un poste d’encadrement puisqu’il est chef d’équipe”, raconte Emmanuelle Delgado (Geiq Geste Vaucluse). “Sans le Geiq, Nicolas n'aurait jamais été recruté en direct par cette entreprise”, relate Pauline Ruy (Geiq Industrie Gard Vallée et Delta du Rhône).
Toutes ces histoires prouvent à quel point ces accompagnements personnalisés sont un remède efficace pour l'emploi grâce à la collaboration entre le Geiq, ses entreprises adhérentes et les personnes salariées en alternance. Pour preuve, les 189 Geiq interviennent dans de nombreux secteurs professionnels en tension : industrie, tourisme, hôtellerie-restauration, médico-social, BTP, transports, propreté, logistique, espaces verts, mécanique, propreté, relation client, etc. C’est le fil rouge de La plus belle façon d’embaucher : les Geiq méritent d’être connus et de se développer car ils permettent, aux personnes qui en bénéficient, d’être rémunérées, formées, aidées, avec un emploi durable à la clé. “Sur le terrain, les Geiq ont une volonté de faire, c’est un mouvement engagé”, souligne Alain Régnier. “La prise en charge, le tutorat, c’est un élément central qui différencie les Geiq des dispositifs classiques parce que, là, il va y avoir un suivi au long cours d’une personne vulnérable, issue d’un public qui est loin de l’emploi.” |
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Contact presse : Maël NONET – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / 06 62 33 20 32 |
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La FFGeiq est à la disposition des journalistes qui souhaiteraient réaliser des interviews. Vous pouvez également consulter la carte du réseau pour contacter directement un Geiq proche de votre média : www.lesgeiq.fr/trouver-un-geiq |
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À propos de la Fédération Française des Geiq (FFGeiq) et de son magazine, La Plus Belle Façon d’Embaucher La FFGeiq regroupe les Geiq (Groupements d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification) et GE (Groupements d’Employeurs) adhérents répartis sur le territoire national. La FFGeiq a pour vocation de soutenir et d’accompagner le développement des Geiq dans le respect de ses valeurs. Elle est garante de l’identité du réseau et de la qualité des actions menées par ses adhérents. En plus d’un rôle classique de fédération (représentation, valorisation, service aux adhérents), elle assure, en partenariat avec l’État, l’attribution de l’appellation Geiq. La ligne éditoriale de La Plus Belle Façon d’Embaucher, le magazine de la FFGeiq, fait écho à l’éthique et aux valeurs humaines qui animent le réseau : témoigner de vraies histoires via des parcours d’insertion réussis et des entretiens qui prennent le temps de l’immersion. Son objectif est que les lecteurs puissent se plonger dans le fonctionnement et l’efficacité du dispositif Geiq à renfort d’exemples concrets, de témoignages et d’interviews. Regardez notre vidéo de présentation : video.lesgeiq.fr |
Recrutement et nouvelle usine pour MAP Space Coatings
Point d'orgue de son projet d'évolution d'entreprise "MAP 2020", les équipes de MAP Space Coatings ont investi leurs nouveaux locaux, à Mazères (09), il y a quelques semaines. Ce nouvel outil de pointe répond à l'ambition de l'entreprise ariègeoise de se projeter à 5 ans comme le leader mondial de la finition thermique pour satellites et lanceurs.
Un projet ambitieux qui se traduit aujourd'hui par le recrutement de 5 Ingénieurs et 1 Technicienne de laboratoire venant renforcer le pôle Recherche & Développement en vue de supprimer les solvants des formulations MAP Space Coatings.
Ces recrutements contribueront également à travailler sur l'industrialisation des procédés de production ainsi que sur les aspects logistiques.
Paris, le 22 juin 2021 - Le RGPD fête son troisième anniversaire - mais les entreprises européennes sont-elles désormais bien positionnées en matière de protection des données ? La réponse est oui. C'est la conclusion d'une enquête représentative menée par la société de technologie Usercentrics et Siinda en coopération avec l'institut d'études de marché Innofact auprès de 600 cadres allemands, français et britanniques âgés de 25 à 69 ans.
L'étude conclut qu'une majorité d'entreprises se considèrent bien positionnées en termes de protection des données (68.5%) - dans les trois pays (61% en France). Dans le même temps, seuls 59,5% de tous les répondants déclarent utiliser une plate-forme de gestion du consentement sur leur site web. Mais les réponses sont très différentes selon les pays. Alors qu'une minorité d'Allemands (42%) utilise un CMP (plateforme de gestion du consentement), le recours à un CMP est beaucoup plus prononcé en France puisque 73.5% déclarent avoir mis en place une plateforme de gestion du consentement sur leur site Internet. Bien entendu, la taille de l'entreprise joue également un rôle. L'étude montre que plus l'entreprise est grande, plus il est probable qu'une plate-forme de gestion du consentement soit utilisée. De nombreuses entreprises semblent également avoir recours à un délégué à la protection des données. Seuls 16% déclarent ne pas avoir de délégué à la protection des données (interne ou externe).
En moyenne, plus d'un répondant sur trois ( 35% au UK, 29% en Allemagne et 41% en France) considère que la protection des données est bénéfique et importante pour les entreprises. En parallèle, près d'un répondant sur trois en moyenne (30% au UK, 41% en Allemagne et 25% en France) voit son modèle commercial menacé par des réglementations de plus en plus strictes en matière de protection des données. Ces chiffres montrent à quel point la relation avec la protection des données est ambivalente environ trois ans après l'introduction du RGPD.
L'étude révèle également des informations intéressantes sur les développements actuels du marché et les attitudes à l'égard des cookies tiers: la tendance du marché évolue clairement dans le sens des données primaires. Ainsi, 68% des répondants (69% en France) déclarent vouloir s'appuyer principalement sur l'utilisation de données primaires, c'est-à-dire des données utilisateur agrégées indépendamment. 83% des répondants français envisagent la fin imminente des cookies tiers contre 49,5% des répondants allemands, mais très peu d'entreprises semblent être inquiètes de cette évolution. Il semble qu'il y ait un grand besoin d'éclaircissements à ce sujet en Allemagne. Plus de la moitié des personnes interrogées déclarent ne pas être au courant de ces évolutions.
Stéphanie Vérilhac, directrice des affaires européennes de Siinda, a déclaré: «Cette étude disruptive portant sur 600 dirigeants d'entreprise donne des informations très précieuses sur la manière dont la protection des données est perçue et gérée par les PME européennes. La protection de la vie privée et des données personnelles est sans aucun doute une question importante dorénavant débattue dans les conseils d'administration et par les cadres supérieurs grâce au RGPD, mais des questions opérationnelles concrètes telles que la gestion des données internes et tierces ou des différences régionales émergent. La numérisation des PME en Europe s'est accélérée au cours de l'année écoulée et une gestion cohérente de la protection des données est essentielle pour favoriser cette tendance à venir. "
Jürgen Weichert, CRO chez Usercentrics, commente l'étude: «La confidentialité est la nouvelle norme. Bien que nous ayons encore dû faire beaucoup d'éducation au début du RGPD, une image différente se dessine maintenant. Le sujet des données la protection semble faire partie des activités quotidiennes de nombreuses petites et moyennes entreprises. Dans le même temps, cependant, il devient évident qu'il existe de nombreuses différences régionales. Par exemple, il semble que les Français soient beaucoup plus avertis de la protection des données que leurs homologues allemands ou britanniques, ce qui est probablement dû à l'application rigoureuse par l'autorité française de protection des données CNIL.”
À propos de l'enquête: commandée par Usercentrics et Siinda, l'institut d'études de marché Innofact a interrogé 600 cadres (257 femmes et 343 hommes) d'Allemagne (200), de France (200) et du Royaume-Uni (200) âgés de 25 à 69 ans en avril 2021. Entreprises variait en taille de 5 à 250 employés.
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À propos de Usercentrics
Harmonisez votre stratégie marketing et vos données en toute conformité
L'entreprise technologique munichoise Usercentrics est leader dans le domaine des plateformes de gestion du consentement (CMP). La solution SaaS de Usercentrics permet aux entreprises de collecter le consentement de leurs utilisateurs, de l'administrer et de le documenter, et ce sur tous les supports numériques (sites internet, applications, etc.), avec pour résultat des taux d'opt-in élevés. Elle leur garantit le respect des directives internationales actuelles et à venir en matière de protection des données personnelles, telles que le RGPD, la directive européenne « vie privée et communications électroniques », ou encore la loi californienne « California Consumer Privacy Act » (CCPA), et leur permet d'harmoniser leur stratégie marketing et leur politique en matière de données. Depuis sa création fin 2017 par Mischa Rürup, Usercentrics n'a cessé de croître et de renforcer son influence. L'entreprise compte à ce jour parmi ses clients des entreprises de renom, telles que le groupe bancaire allemand Commerzbank, le réassureur allemand Munich RE, l'opérateur mondial de téléphonie mobile T-Mobile ou encore la multinationale espagnole de télécommunications Telefónica. Pour plus d'informations, rendez-vous sur notre site www.usercentrics.com.
A propos de Siinda
Siinda est la principale association à but non lucratif basée en Europe qui rassemble des entreprises des secteurs de la recherche, de la publicité numérique, des médias, du mobile et de l'industrie «à la demande». Nous sommes un forum de ressources pour toute entreprise desservant les marchés PME, B2B ou Entreprise. Chez Siinda, vous pouvez échanger des idées, connaître les dernières tendances, accéder à des études de marché critiques, vous tenir au courant de la technologie tout en vous connectant et en partageant avec des membres du monde entier. Chez Siinda, nous favorisons le développement de partenariats positifs et continus qui permettent aux entreprises de prospérer et de se développer. Nous fournissons également une plate-forme où les start-ups au niveau des semences peuvent se mêler aux leaders de l'industrie. Notre réseau mondial de membres favorise l'échange d'idées et l'encouragement des partenariats. Plus d'informations sur www.siinda.org
Beebs recrute des talents pour accompagner son développement :
Une dizaine de postes à saisir !
Huit mois après son lancement et après un premier tour de table de 3M€ en juin 2021, Beebs, la première application d'achat et revente dédiée à l'univers de l'enfance, est à la recherche de nouveaux talents. Directeur des opérations, Responsable marque, Développeur mobile... au total une dizaine de postes sont à pourvoir en Ile-de-France. Dans les prochains mois, Beebs souhaite doubler la taille de ses équipes qui comptent déjà 9 collaborateurs, afin d'améliorer ses offres de services, d'accélérer son développement marketing et de poursuivre sa forte croissance, pour s'imposer encore un peu plus comme la référence française de la seconde main à destination des familles.
REJOINDRE UNE START-UP EN CROISSANCE SUR LE MARCHÉ DE LA SECONDE MAIN POUR ENFANTS
Lancé en octobre 2020, Beebs est la première appli d'achat et revente dédiée aux articles de seconde main pour enfant. L'ambition de Beebs : permettre aux parents de subvenir aux besoins de leurs enfants, de manière plus économique et accessible à tous les budgets, mais également de façon plus responsable et plus durable, en favorisant l'occasion plutôt que le neuf.
Par son approche unique, Beebs se distingue dans le secteur et s'impose d'ores et déjà comme un acteur incontournable et de référence sur le marché de l'occasion pour les articles liés à la maternité, à la petite enfance et à l'enfance (0-14 ans). Aujourd'hui, Beebs compte près de 250 000 utilisateurs actifs et vient de franchir la barre des 250 000 produits disponibles à la vente sur son application. Un succès grâce auquel la start-up a bouclé tout récemment une levée de fonds de 3M€.
A présent, afin d'accélérer son développement et sa forte croissance, Beebs souhaite étoffer ses équipes en recrutant une dizaine de collaborateurs désireux de s'impliquer dans son projet vertueux et ambitieux. Aux candidats, Beebs offre la perspective de rejoindre une entreprise dynamique, à l'avenir prometteur, portée par des valeurs affirmées, et dont l'activité génère un impact positif sur la société.
Parmi les postes à saisir rapidement :
- Head of Operations (CDI)
- Head of Growth (CDI)
- Head of Brand (CDI)
- Growth Marketing Manager (CDI)
- Supply Operations Manager (CDI)
- Développeur(se) backend (CDI)
- Développeur(se) mobile (CDI)
- Marketing Manager Junior (stage)
- Customer Success Manager Junior (stage)
- Business Developer Junior (stage)
Pour voir l'ensemble des offres disponibles et postuler rendez-vous : https://www.welcometothejungle.com/fr/companies/beebs/jobs
À propos de Beebs
Beebs est la première place de marché communautaire à destination des parents, leur permettant de subvenir à l'essentiel des besoins de leurs enfants, de façon plus économique et plus écologique. L'application mobile Beebs, disponible gratuitement sur Android et sur iPhone, rassemble près de 250 000 parents, mamans comme papas, et leur permet de choisir parmi plus de 250 000 articles pour enfant (vêtements, jouets, équipements de puériculture, produits de consommation courante neufs) vendus par la communauté. La plateforme les accompagne dès la grossesse et tout au long de l'enfance, en leur donnant également accès à un espace communautaire dédié à l'échange, à l'entraide et aux conseils entre parents. L'application Beebs a été lancée en 2020 par 2 jeunes papas, Arsène Huot et Morgan Hilmi. https://www.beebs.app/