avec un grand merci à notre plus fidèle d'entre tous, Pierre-Jean Llorens ..

Etude : Comment les ados contournent les restrictions d'âge légal

 Des mesures de contrôle d’âge plus strictes sur les sites à caractère pornographique mises en place en France, sont-elles vraiment efficaces ? 

La loi du 30 juillet 2020, telle que rédigée, ne semble pas s'appliquer aux médias sociaux. Elle est actuellement mise en œuvre de façon à cibler en priorité huit sites pornographiques très connus.

Selon une nouvelle étude de la « City University of London », 80% des jeunes de 16 et 17 ans ont vu de la pornographie, au moins une fois, principalement sur les plateformes de réseaux sociaux.

 

République FrançaiseLa lettre Service-Public.fr
Lettre n°1021 du 6 mai 2021 Abonnement aux sujets d'actualité  twitter @servicepublicfr  service-public.fr sur Facebook

Une attestation de vaccination qui peut être importée dans TousAntiCovid Carnet

Publié le 04 mai 2021

Depuis le 3 mai 2021, toute personne vaccinée contre le Covid-19 peut demander au professionnel de santé de lui remettre une attestation de (...)   Lire la suite >

 SOCIAL - SANTÉ

VACCINATION COVID-19 Publié le 04 mai 2021

Les personnes de 18 à 49 ans avec comorbidités peuvent désormais être vaccinées

La campagne de vaccination s'ouvre à des personnes souffrant de comorbidités plus jeunes. Jusque-là réservée aux personnes de 50 ans et plus, (...)   Lire la suite >

PROFESSIONNELS DE SANTÉ Publié le 05 mai 2021

Prescriptions médicales : les compétences des kinésithérapeutes, orthophonistes et sages-femmes élargies

Dans le cadre de la loi visant à améliorer et simplifier le système de santé parue au Journal officiel le 27 avril 2021, les compétences de (...)   Lire la suite >

ÉPIDÉMIE DE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 05 mai 2021

Étudiants en médecine : versement d'une indemnité exceptionnelle

Les étudiants de 4e et 5e années de médecine, odontologie, maïeutique et ceux en 5e année de pharmacie mobilisés en renfort dans un service de (...)   Lire la suite >

AIDES AUX JEUNES Publié le 03 mai 2021

Moins de 30 ans : un simulateur pour découvrir toutes les aides auxquelles vous avez droit

Vous avez moins de 30 ans ? Vous souhaitez connaître les aides adaptées à votre situation ? Culture, emploi, logement, santé, permis de (...)   Lire la suite >

SÉCURITÉ SOCIALE Publié le 30 avril 2021

AAH, prime d'activité et RSA : les nouveaux montants publiés au Journal officiel

Allocation aux adultes handicapés (AAH), montant forfaitaire de la prime d'activité et du revenu de solidarité active (RSA) : trois décrets (...)   Lire la suite >

ASS, AER ET ATA Publié le 30 avril 2021

Allocations temporaire d'attente, de solidarité spécifique et équivalent retraite : les nouveaux montants

Les montants de l'allocation de solidarité spécifique (ASS), de l'allocation équivalent retraite (AER) et de l'allocation temporaire d'attente (...)   Lire la suite >

VIE-PUBLIQUE.FR Publié le 05 mai 2021

Logo Nutri-Score : quel bilan pour l'étiquetage nutritionnel ?

Trois ans après l'apparition du Nutri-Score sur les produits de consommation alimentaire, l'Observatoire de l'alimentation dresse un bilan du (...)   Lire la suite >

 FORMATION - TRAVAIL

RECRUTEMENT Publié le 06 mai 2021

Fonction publique d'État : le calendrier des concours

Vous êtes intéressé par une carrière dans la Fonction publique d'État ? Le ministère de la Transformation et de la Fonction publiques met en (...)   Lire la suite >

 PAPIERS - CITOYENNETÉ

ÉPIDÉMIE CORONAVIRUS (COVID-19) Publié le 30 avril 2021

Terrasses, musées, cinémas... : le calendrier du déconfinement

Réouverture des commerces, des terrasses, des cafés, des cinémas, des musées, des établissements sportifs, fin des attestations de déplacement, (...)   Lire la suite >

LISTES ÉLECTORALES Publié le 04 mai 2021

Élections départementales et régionales 2021 : qui peut voter ?

Vous aurez 18 ans au mois de juin et ne savez pas si vous aurez le droit de voter aux élections départementales, régionales et des assemblées de (...)   Lire la suite >

REGISTRE D'ÉTAT CIVIL ÉLECTRONIQUE (RECE) Publié le 06 mai 2021

Acte d'état civil établi à l'étranger : peut-on faire la demande en ligne ?

La mise en place du registre d'état civil électronique (RECE) vous permet, depuis le 12 mars 2021, de demander et recevoir en ligne les copies (...)   Lire la suite >

 ARGENT

FISCALITÉ Publié le 06 mai 2021

Télétravail : des exonérations d'impôt pour les frais professionnels engagés en 2020

Encouragé pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, le télétravail engendre parfois des coûts pour le salarié. Les allocations versées par (...)   Lire la suite >

DONNÉES PERSONNELLES Publié le 03 mai 2021

Sites en ligne : les numéros de carte bancaire ne peuvent être conservés qu'avec le consentement du client

De façon générale, les sociétés de commerce en ligne doivent avoir recueilli le consentement du client pour conserver son numéro de carte (...)   Lire la suite >

 LOGEMENT

IDÉE REÇUE Publié le 05 mai 2021

Votre propriétaire est-il obligé de vous proposer l'achat de son logement en cas de vente ?

[Vidéo] Le propriétaire​ du logement​ que vous louez est-il obligé de vous le proposer à l'achat en cas de vente de celui-ci ? Retrouvez la réponse dans notre vidéo.   Lire la suite >

 TRANSPORTS

ENREGISTREMENTS AUDIOVISUELS Publié le 06 mai 2021

Transports publics : les incidents peuvent être filmés par les agents

À compter du 1er juillet 2021 et pour une durée expérimentale de 4 ans, les agents assermentés des transporteurs publics (bus, train...) peuvent (...)   Lire la suite >

 FAMILLE

LYCÉENS Publié le 06 mai 2021

Baccalauréat 2021 : de nouveaux aménagements

Épreuve écrite de philosophie, grand oral, épreuves anticipées de français en classe de première... Pour tenir compte de l'impact de la crise (...)   Lire la suite >

VIOLENCES FAMILIALES Publié le 06 mai 2021

Face à un enfant en danger et dans le doute : contacter le 119 par téléphone ou par tchat

Promiscuité, tension, anxiété... Le contexte particulier des restrictions liées à l'épidémie de Covid-19 expose les mineurs aux violences (...)   Lire la suite >

VACANCES Publié le 04 mai 2021

18-25 ans : comment bénéficier d'une aide pour partir en vacances ?

Vous avez entre 18 et 25 ans et vous souhaitez partir en vacances ? Une fois par an, l'Agence Nationale pour les Chèques-Vacances, vous permet (...)   Lire la suite >

Circuler à vélo : tout ce que vous devez savoir

Publié le 03 mai 2021

Vous avez décidé de vous déplacer ou vous circulez déjà à vélo, mais que faut-il savoir pour rouler dans les règles ? Service-Public.fr vous (...)   Lire le dossier >

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Démocratie : crise ou renouveau ?

La démocratie à l'épreuve des crises et de nouvelles formes de représentation et de participation citoyenne.   Lire la suite >

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Étudiants, futurs étudiants : vous avez jusqu'au 15 mai pour vos demandes de bourse et de logement

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La trêve hivernale est prolongée jusqu'au 31 mai

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Lancer son business sur Internet...oui mais pas seul pour 58% des TP

Sondage OpinionWay pour Hubside sur les TPE et le digital*

 

Lancer son business sur Internet... oui mais pas seul pour 58% des TPE/PME

 

Parce qu’aujourd’hui pour vendre il faut être vu, plus que jamais la crise sanitaire a souligné l’importance d’être présent sur la toile. Cependant, nombre de petites entreprises et PME renoncent à prendre le virage du numérique, souvent faute de temps, de connaissances et/ou de moyens. Ainsi, Hubside, éditeur français de sites web, en partenariat avec l’institut de sondage OpinionWay, a souhaité en savoir plus sur les attentes des TPE-PME en matière de digitalisation et d’accompagnement. 1 an après le début de la crise sanitaire, comment envisagent-elles leur développement en ligne ? Sont-elles à l’aise ? Vers quelles solutions comptent-elles se tourner ?...

 

Un besoin d’expertise extérieure, d’accompagnement

 

Plus de la moitié des TPE se positionne en demande d’aide extérieure pour concevoir et gérer les différents aspects de sa présence en ligne. Elles sont ainsi 58 % à estimer avoir besoin de l’assistance d’un tiers pour leurs supports de communication Internet (service de création de sites internet, agence web, freelance…), 59 % à admettre ne pas bien savoir comment s’y prendre pour améliorer leur présence en ligne, et 65 % à penser ne pas pouvoir développer leur présence en ligne sans l’aide d’un professionnel.

 

Les solutions économiques ou prêtes à l’emploi privilégiées

 

Face au coût de développement d’un site internet (77 % estiment que c’est un coût important pour une entreprise), les deux-tiers des répondants (66%) sont plus favorables à une solution économique réunissant les fonctionnalités principales plutôt qu’à une solution plus complète mais coûteuse. En outre, 83 % pensent qu’une solution clé-en- main pour créer un site Internet permet de gagner du temps et est plus facile à gérer et 75% que les solutions proposées en ligne sont tout aussi intéressantes que les solutions proposées par des agences web classiques. De surcroît, 82 % pensent qu’elles sont plus compétitives sur le plan tarifaire.

 

Top 3 des besoins considérés comme importants par les TPE-PME dans le cadre du développement de leur site internet :

1.     Bénéficier d’un accompagnement sur les risques liés à la sécurité informatique et la protection des données (83 %)

2.     Avoir des exemples ou modèles préconçus du même secteur d’activité pour gagner du temps (79 %),

3.     Bénéficier de l’accompagnement d’un conseiller spécialisé dans la création de sites Internet en ligne ou en boutique (76 %).

 

« A travers cette étude nous avons voulu en savoir plus sur les besoins des petites entreprises en matière de digitalisation ! Comme un droit universel, chaque entreprise devrait pouvoir disposer de son site internet. C’est pourquoi nous accompagnons tous types de professionnels dans cette transformation et notamment ceux qui sont en difficultés financières grâce à notre opération solidaire : https://www.hubside.com/fr_FR/pro », déclare Alexandre Hampe, COO d’Hubside.

 

 

*Méthodologie : étude réalisée par questionnaire autoadministré en ligne entre le 8 et le 15 mars 2021, auprès d’un échantillon représentatif de 501 entreprises de 0 à 49 salariés, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de taille d’entreprise et de secteur d’activité.

 

 

À propos d’Hubside 

HUBSIDE est un service de création de site web qui offre à l’utilisateur, du plus novice au plus expert, un espace à personnaliser pour faire vivre et partager ses passions, ses projets ou ses événements, en ligne avec sa tribu. Créé en France en 2018, HUBSIDE est aujourd’hui présent dans 750 points de vente en France, dont son propre réseau Hubside.Store. Pour être au plus près des utilisateurs et leur apporter accompagnement sur-mesure, HUBSIDE s’appuie sur une équipe de 1500 téléconseillers et un large réseau de distributeurs partenaires, dont Fnac-Darty, en France et à l’international. La société est également présente en Espagne, Portugal, Italie et Belgique. 

Décryptage : Quels risques sanitaires avec une location de vacances ?

+200% de réservations sur les ponts de mai par rapport à 2019 chez Pierre et Vacances, la SNCF qui lance son offre Ouigo sur le marché espagnol… nombreux sont les signes qui attestent qu’un boom touristique est en train de s’amorcer en France alors que les restrictions sanitaires sont appelées à disparaître progressivement. Or même si la vaccination progresse « à marche forcée » dans l’Hexagone, la majorité des Français n’est pas encore complètement vaccinée et ne le sera sans doute pas d’ici les vacances.

Alors que les Français sont en pleins préparatifs pour leurs congés de mai et de cet été, plusieurs points restent à éclaircir pour les futurs vacanciers, notamment si ceux-ci ont prévu une location de vacances : Qu’en est-il du risque de contamination dans les locations de vacances ? Peut-on être contaminé en occupant un logement à la suite d’une famille ayant une personne malade ? Les risques de contamination sont-ils plutôt liés aux surfaces ou à l’aération ? Quelles procédures de désinfection doivent être mises en place ? Quels produits sanitaires fonctionnent sur le virus ? Point important, mais souvent négligé, quid de l’aspirateur qui peut jouer un rôle aérosolisant des particules ? Et enfin, quelles sont les règles à suivre si l’on n’est pas sûr que sa location saisonnière a été correctement désinfectée ?

 

LES RÉSULTATS DE L’ÉTUDE SANTÉ ET HYGIÈNE A L’ÈRE POST COVID-19

Le dernier rapport Prosumers*, "Santé et hygiène à l'ère post COVID-19", dévoilé par l’agence BETC* examine les réactions face à la crise sanitaire mondiale qui sévit actuellement.

 

La menace à laquelle nous avons tous été confrontés l'année dernière a renforcé la prise de conscience des dangers qui nous entourent chaque jour. Mais comment se fait-il qu'un événement qui se déroule à l'échelle mondiale ait suscité des réactions aussi diverses, selon les pays et les cultures ? Plus de 9 Prosumers interrogés sur 10 ont déclaré que la COVID-19 a mis en avant combien un système de santé solide est essentiel pour une économie forte.

 

Cette étude, menée au début de l'année 2021, s'appuie sur les réponses de plus de 15 000 participants sur 31 marchés. Elle offre une perspective interculturelle sur les réactions à la pandémie et explore également les nouvelles attentes des Prosumers en matière de santé, d’hygiène et vis à vis des laboratoires pharmaceutiques.

 

À titre d'exemple, seule la moitié des Prosumers français fait confiance aux institutions qui font la promotion des vaccins, alors que les trois quarts ou plus le font en Chine et en Norvège. Plus loin, 72 % des personnes interrogées au Royaume-Uni et 54 % aux États-Unis estiment que le refus de se faire vacciner met les autres en danger ; moins d'un tiers des Français sont de cet avis.

 

« Cette étude révèle à quel point un même événement mondial peut être vécu de manière extrêmement contradictoire en fonction de l’histoire et de la culture de chacun des pays touchés. Ainsi, en France, on constate que la défiance généralisée qui touche la société, défiance envers les instituions, mais aussi envers ses concitoyens, affecte profondément la réponse des gens. Elle se conjugue à une foi très relative dans le progrès et une ouverture faible aux solutions apportées par les nouvelles technologies. Tous ces facteurs, déjà présents dans l’esprit des Français vont se trouver amplifiés par la crise et contribuer notamment à une grande méfiance vis à vis des vaccins », expliquent Marianne Hurstel, Vice-Présidente de BETC en charge des stratégies et Sébastien Houdusse, Vice-Président en charge des stratégies de BETC Fullsix.

 

Voici les principales conclusions de cette étude :

 

  • Une même pandémie, des réactions différentes : En Chine et en Russie, plus de 9 Prosumers sur 10 pensent que la pandémie a révélé que leur gouvernement donne la priorité à la santé des citoyens plutôt qu'à l'économie. À l'inverse, plus de 6 Prosumers sur 10 au Brésil et aux États-Unis estiment que leur pays a donné la priorité à l'économie plutôt qu'à leur santé.

 

  • La confiance est la meilleure des armes : à l'ère de la pandémie, la confiance dans la science, les scientifiques et les autorités gouvernementales est devenue un élément essentiel des actions de prévention. Alors que la plupart des Prosumers du monde entier ont exprimé leur confiance dans les vaccins COVID-19 disponibles au moment de l'étude, près des deux tiers de ceux de la République tchèque et environ la moitié des Prosumers de France et de Belgique ne le font pas. Parmi les Prosumers qui n'ont pas confiance dans les vaccins, la grande majorité (83%) s'inquiète du fait que le processus de développement a été "trop précipité", tandis que - plus inquiétant - environ un tiers ne fait tout simplement pas confiance aux personnes et aux institutions qui font la promotion des vaccins.

 

  • Passer de la responsabilité individuelle à la responsabilité collective : 90% des Prosumers reconnaissent qu'il est de la responsabilité de chacun de prendre soin de sa santé et d'éviter de contribuer à la surcharge du système, mais il existe un large désaccord sur les sanctions à appliquer contre ceux qui ne le font pas. Alors qu'une majorité de personnes interrogées dans les pays de l'Est (par exemple, en Chine, 53 % ; en Inde, 64 %) est d'accord pour dire que "les personnes qui ne prennent pas soin de leur santé devraient payer un supplément pour l'assurance maladie", les nations européennes de la Belgique (30 %) et de la France (27 %), dans l'ensemble, ne sont pas d'accord.

 

  • Nous sommes devenus des maniaques de l'hygiène : L'hygiène a occupé le devant de la scène pendant la pandémie. Une grande majorité de Prosumers (87 %) pense qu'une hygiène stricte est essentielle à notre santé personnelle, et 85 % affirment que garder leur maison propre fera partie de leur régime de santé régulier. Toutefois, cette crainte ne doit pas se faire au détriment des relations sociales : 60 % des Prosumers pensent qu'avoir des règles sanitaires et d'hygiène très strictes nous prive du sel de la vie.

 

  • La santé en marche, votre médecin de demain : Les Prosumers souhaitent une nouvelle approche de la part de leurs médecins, plus de 75 % d'entre eux exprimant le désir que leurs médecins se comportent davantage comme des coachs de santé plutôt que de simplement leur prescrire des médicaments. Mais il existe un clivage dans la mesure où les gens souhaitent que certaines avancées en matière de soins de santé soient basées sur la science et la technologie. Par exemple, si 44 % des personnes interrogées aux États-Unis pensent que l'utilisation des " big data " en médecine permettra de fournir des traitements adaptés à chaque patient, seuls 33 % des Français sont de cet avis.

 

  • Les entreprises pharmaceutiques affichent un déficit de confiance : Malgré le rôle des entreprises pharmaceutiques dans la fourniture de tests, de traitements et de vaccins pour le COVID-19, seul 1% des Prosumers les perçoivent comme source d'information sur la santé en laquelle ils ont le plus confiance. Pour que ces marques puissent gagner la confiance des consommateurs, un changement de perception est essentiel. Cela commence par une attitude honnête et ouverte : 81 % des Prosumers pensent que les entreprises pharmaceutiques devraient être plus transparentes sur leurs médicaments. C'est aussi une question d'accessibilité : 3 Prosumers sur 4 estiment que les entreprises pharmaceutiques ont la responsabilité de maintenir des prix bas afin que les traitements soient abordables pour tous. Et enfin, c'est une question d'innovation : Près de 8 Prosumers sur 10 pensent que les entreprises pharmaceutiques sont au centre de la science et de l'innovation du système de santé. Cependant, elles ne sont pas seules dans cette course : 42 % pensent que les futures avancées dans le domaine de la santé seront menées par Amazon, Google et d'autres géants de la technologie.

 

L’ensemble de l’étude est disponible ici.

 

*Qui sont les Prosumers ? Les Prosumers sont des « consommateurs influenceurs » que Havas et BETC interrogent depuis une quinzaine d'années. Au-delà de leur impact économique, les Prosumers ont le pouvoir d’influer sur le choix des marques et les comportements de consommation mainstream. Leurs comportements et attitudes sont en avance de 6 à 18 mois sur ceux des autres consommateurs. Réussir à les comprendre permet ainsi de dégager les tendances, et d’identifier aujourd’hui les opportunités de demain pour les marques.

 

Télécharger le kit presse
 
 

*L’agence BETC a été co-fondée par Mercedes Erra et Rémi Babinet en 1994 au sein du groupe Havas.

BETC Groupe comprend BETC Paris, BETC FULLSIX, BETC ETOILE ROUGE, BETC Design, BETC Corporate, BETC London, BETC Havas (Sao Paolo), BETC Asia, General POP, les Magasins généraux et Rosapark.

En mai 2016, Rémi Babinet a été désigné par le magazine américain Forbes comme étant l’un des dix meilleurs directeurs de création de l’Histoire, et notamment le seul français de la liste. Bertille Toledano et Stéphane Xiberras dirigent BETC France (BETC Paris, BETC ETOILE ROUGE, BETC Design, BETC Corporate, General Pop, Magasins généraux).

BETC été nommée « International Agency of the Year » 2019 par Adweek ainsi que Le Groupe de Communication de l’Année 2019 en France par Le Grand Prix des agences de l’année.

En 2020, BETC se voit décerner le titre d’« Agence de l’année » aux Eurobest ainsi qu’au Club des DA et, pour la troisième année consécutive, aux Prix Effie.

En 2021, BETC a été l’agence française la plus primée aux Clio Awards.

Créatrice de campagnes mondiales pour des marques telles que Lacoste, Petit Bateau, Michelin, LEGO, CANAL+ ou encore Disneyland Paris, l’agence a été nommée 18 fois agence de l’année en 21 éditions par CB News.

https://betc.com/fr/ 

BETC est aussi à l'initiative du projet des Magasins généraux à Pantin dans lesquels l'agence a emménagé en juillet 2016 : un nouveau lieu de création, d’innovation, de production et de partage situé au cœur du Grand Paris.

https://magasinsgeneraux.com/fr

55% des Français souhaitent faire l'acquisition d'une voiture électrique mais leur coût reste un frein pour 2/3 d'entre eux

Selon une étude réalisée par OnePoll pour reichelt elektronik, le manque de stations de charge et la batterie restent des points noirs pour les usagers

 

Paris, le 10 mai 2021 – L'avenir du marché automobile se tourne de plus en plus vers l'électrique qui séduit de plus en plus les Français dont 55% souhaiteraient en acquérir une. Pour autant, leur prix est la principale barrière pour 65% des Français qui attendent une baisse pour investir. L'absence de diversité des modèles (57%) ainsi que le manque d'optimisation de l'infrastructure de recharge (37%) restent également des freins pour les Français selon une étude OnePoll pour reichelt elektronik, l'un des plus grands distributeurs en ligne d'électronique en Europe.

Les stations de charge trop peu nombreuses au goût des Français

La principale motivation pour passer à l'électrique est avant tout environnemental (55%) mais l'obtention de subventions gouvernementales et d'économies de taxes sur les véhicules est également une incitation forte (37%).

Mais la rareté des bornes de recharge semble remettre en question ces envies de changement, puisque 69% des Français indiquent que les bornes de recharge ne sont pas encore suffisamment répandues en France, et plus de la moitié (53%) estiment que les coûts d'utilisation des bornes de recharge publiques ne sont pas suffisamment clairs. Pour contrer cet obstacle, 29% disposent d'une borne de recharge de voiture électrique à domicile et un quart (25 %) d'une borne de recharge au travail. Enfin, le temps de recharge est également un point d'amélioration pour les constructeurs puisque 63% des Français pensent que les voitures électriques sont trop longues à se recharger.

L'électricité, ressource indispensable pour cette opération est également source de question. Les Français sont conscients que la forte demande pour des voitures électriques ira de pair avec celle en électricité. Ils estiment que cette forte demande en électricité devrait être gérée par des investissements importants notamment dans les énergies éolienne et solaire (à 49%), même si 30 % font davantage confiance aux centres nucléaires, dont la durée de vie devrait être prolongée pour répondre à la hausse. Enfin, 15% sont plus radicaux et estiment qu'un effort collectif est nécessaire avec l'augmentation des prix de l'électricité pour encourager une utilisation économique.

Tomber en panne avec une voiture électrique : la fin du mythe

Par le passé, une des plus grosses préoccupations était celle de tomber en panne avec une voiture électrique mais cette croyance n'a plus lieu d'être pour 54% des Français.

Pour autant cette crainte reste concentrée autour de la batterie. En effet, 63% sont inquiets par la capacité trop faible des batteries des voitures électriques. Parmi les autres craintes figurent la perte trop rapide de leur capacité de stockage (52 %) et le fait que les voitures électriques ne peuvent pas rouler aussi vite que les voitures traditionnelles (30 %).

La demande pour passer à l'électrique est forte en France. Si de nombreux efforts ont été fait pour faciliter le passage de la voiture traditionnelle à l'électrique, des obstacles persistent pour franchir le pas. Les chiffres montrent que les Français attendent plus à la fois du côté des constructeurs notamment pour une batterie plus efficace mais également du gouvernement et des collectivités locales pour plus de stations de recharge. Toutefois, la volonté de préserver l'environnement reste une motivation grandissante pour des consommateurs plus engagés.
 
*Méthodologie :
Etude quantitative réalisée par OnePoll, membre de l'association ESOMAR, entre le 9 et le 15 avril 2021 auprès de 1000 adultes français.
 
À propos de reichelt elektronik
reichelt elektronik (www.reichelt.fr) est l'un des plus grands distributeurs en ligne d'électronique et de technologie informatique en Europe. Avec plus de 120 000 produits proposés à la vente, reichelt offre à ses clients du monde entier un excellent rapport qualité-prix, une disponibilité maximale et des délais de livraison très courts. Les particuliers et les clients professionnels peuvent trouver sur la boutique en ligne un large choix de composants électroniques, de cartes de développement, d'ordinateurs monocarte, de technologies pour la maison et la sécurité, et d'outils. reichelt propose également des composants d'éclairage et de mesure, du matériel informatique pour PC et technologie réseau, ainsi que des composants d'alimentation électrique. La société reichelt elektronik GmbH & Co. KG, dont le siège social est à Sande, a été fondée en 1969. Depuis 2010, reichelt fait partie du groupe suisse Daetwyler, fournisseur clé de l'industrie et leader du marché dans des segments internationaux et régionaux.

Médecins en maisons de santé pluriprofessionnelles :

des revenus en hausse et des effets prometteurs pour l’accès aux soins

 
 

Paris, le 10/05/2021

 
 

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) et l’Institut de recherche et documentation en économie de la santé (Irdes) publient une étude conjointe sur le profil et les revenus des médecins généralistes exerçant dans les maisons de santé pluriprofessionnelles (MSP).

 

Cette étude a été réalisée auprès des médecins généralistes en secteur 1 exerçant en France métropolitaine, âgés de moins de 65 ans et ayant perçu au moins 1 euro d’honoraires et actifs pour chaque année d’observation.

Entre 2008 et 2020, 1 300 maisons de santé pluriprofessionnelles (MSP) ont été créées en France, majoritairement implantées dans les territoires médicalement défavorisés. La qualité des soins et services rendus dans ces maisons de santé est souvent supposée comme étant plus élevée que celle en exercice isolé. Cette étude vise notamment à savoir si, du point de vue des professionnels de santé, et particulièrement des médecins généralistes, l’évolution de leurs revenus nets de charges est susceptible de refléter ou non une fragilité des MSP.

 

Les médecins généralistes en MSP plutôt jeunes et installés dans des territoires à l’accessibilité aux soins moins favorable

Le profil des médecins généralistes y exerçant est particulier. Ainsi, ceux qui ont rejoint une MSP entre 2008 et 2014 sont un peu plus jeunes en moyenne que leurs homologues et exercent plus fréquemment une activité salariée en sus de leur activité libérale (47,7 ans, contre 48,7 ans pour les « témoins », des médecins généralistes n’ayant pas rejoint de MSP). Ces médecins sont moins souvent des femmes (25,4 % contre 28,6 %), ils sont plus nombreux à vivre en couple mariés ou pacsés (83,1 % contre 77,1 %) et ont davantage d’enfants à charge (1,9 contre 1,6) que leurs confrères qui n’ont pas rejoint de MSP. Ils exercent aussi moins fréquemment en mode d’exercice particulier (homéopathie, acupuncture, allergologie) et ont plus souvent une activité salariée en complément. Enfin, plus du tiers des médecins généralistes qui exercent en MSP en 2014 (36,7 % contre 12,2 %) pratiquaient en 2008 dans des zones rurales, et le quart d’entre eux dans des espaces périurbains (24,8 % contre 18,6 %). Les médecins généralistes installés en MSP ont plus souvent une activité salariée complémentaire (25,7 % contre 20,6 %), et voient, en moyenne, davantage de patients en 2014 qu’en 2008 : 136 patients de plus vus au moins une fois en 2008 et 41 patients inscrits médecin traitant de plus, contre respectivement, 219 et 77 patients de plus en 2014.

 

Des revenus qui augmentent plus rapidement entre 2008 et 2014, du fait de la hausse plus rapide de leur patientèle

Au cours de la période 2008-2014, les revenus des médecins généralistes ayant choisi d’exercer dans une MSP progressent plus rapidement que ceux de leurs confrères. Ils ont ainsi connu une progression additionnelle de revenu annuel de 2 091 euros comparativement aux médecins exerçant hors de telles structures, tous les médecins ayant par ailleurs vu leur revenu d'activité s’accroître de 10 285 euros sur la période. Cela s’explique notamment par une augmentation plus rapide de la taille de leur file active et donc des rémunérations forfaitaires qui y sont associées. Pour autant, l’évolution du nombre de leurs consultations et visites n’apparaît pas significativement différente. La capacité des médecins en MSP à accroître leur patientèle sans augmenter le nombre d’actes dispensés peut s’interpréter comme un effet direct de la coordination entre professionnels de la MSP. Compte tenu de l’implantation géographique des MSP, plutôt en zone faiblement dotée en médecins généralistes, cette hausse de la taille de la patientèle peut également s’interpréter comme une amélioration de l’accès aux soins.

 

Les médecins généralistes exerçant en MSP perçoivent en moyenne 600 euros de plus sur l’année au titre de la rémunération sur objectifs de santé publique (Rosp) que ceux n’y exerçant pas
La croissance plus rapide de la patientèle pour les médecins exerçant en MSP ne semble pas avoir été réalisée au détriment de la qualité évaluée au sens de la rémunération sur objectifs de santé publique (Rosp). Des analyses complémentaires menées sur la seule année 2014 suggèrent ainsi que la Rosp, introduite à partir de 2012, a permis une rémunération supérieure pour les médecins généralistes exerçant en MSP. En effet, ces derniers ont perçu en moyenne à ce titre sur l’année 9 % de plus que leurs pairs, soit 595 euros. Leurs revenus progressent plus rapidement que ceux de leurs confrères. Cette différence résulte notamment de la hausse plus rapide de la taille de leur patientèle et des rémunérations associées alors que le nombre d’actes reste comparable, suggérant une baisse du nombre moyen d’actes par patient. On observe également que l’exercice en MSP semble s’accompagner d’une meilleure réponse aux objectifs de santé publique tels que mesurés par la Rosp.

 

Source

Tous les trois ans, depuis 2005, les données relatives à l’activité de chaque médecin exerçant une activité libérale – données fournies par la Caisse nationale de l’Assurance maladie (CNAM) – sont appariées à celles relatives à ses différents types de revenus, issues de la déclaration d’imposition sur le revenu – fournies par la Direction générale des finances publiques (DGFiP). La base de données obtenue contient à la fois des caractéristiques de l’exercice libéral, des données d’activité sur l’année écoulée, des caractéristiques du foyer du médecin et de l’ensemble des revenus qui y sont perçus. Cet appariement est disponible pour les années 2005, 2008, 2011 et 2014. Un identifiant, commun à toutes les années, permet de repérer le professionnel et de suivre sa trajectoire s’il est toujours en activité. La qualification de l’exercice en société interprofessionnelle de soins ambulatoires (Sisa), donc en MSP, dans les données pour l’année 2014, permet de savoir si un médecin a rejoint une MSP entre 2008 et 2014, sachant qu’il n’y avait quasiment aucune MSP recensée sur la période 2004-2008. La qualification du type de territoire de vie d’exercice s’appuie sur une typologie publiée en 2018.

 

Consulter

- Chaput, H., et al. (2020, janvier). Difficultés et adaptation des médecins généralistes face à l’offre de soins locale. DREES, Études et Résultats, 1140.

 

- Chevillard, G., Mousquès, J. (2020, mars). Les maisons de santé attirent-elles les jeunes médecins généralistes dans les zones sous-dotées en offre de soins ? Irdes, Questions d’économie de la santé, 247.

 

- Chevillard G., Mousquès, J. (2018). Accessibilité aux soins et attractivité territoriale : proposition d’une typologie des territoires de vie français. Cybergeo - European Journal of Geography, Espace, Société, Territoire, document 873.

 
 

À propos de la DREES

 

Mise en place par le décret du 30 novembre 1998, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) fait partie avec l’Insee et les autres services statistiques ministériels du service statistique public (SSP). Son rôle est de fournir des informations fiables et des analyses dans les domaines du social et de la santé. L’action de la DREES s’appuie, depuis plus de 20 ans, sur un engagement déontologique dont les principes, codifiés et partagés au niveau européen, sont l’indépendance professionnelle, l’engagement sur la qualité, le respect du secret statistique, l’impartialité et l’objectivité. La DREES est aussi un service statistique ministériel dont la mission prioritaire est d’accompagner et d’évaluer les politiques publiques sociales et sanitaires.

 
 

Direction de la recherche, des études,

de l'évaluation et des statistiques

Bureau publications et communication

Etude IFOP x Laforêt : la rénovation énergétique, au coeur des foyers français

Après une première enquête menée en 2018, Laforêt a de nouveau interrogé les Français sur leurs motivations à l'achat et à la rénovation d'un bien immobilier. 
 
Il y a une prise de conscience et le critère de l'impact environnemental a bondi de +5% entre 2018 et 2021.
Désormais pour 4 Français sur 10, l'impact environnemental est un critère prépondérant dans le cadre de la rénovation énergétique de leur logement, devant le souhait de ne plus subir les hausses tarifaires des fournisseurs.
 
[ÉTUDE] PERSPECTIVES D’ÉVOLUTION DES BIOCARBURANTS.
JEUX DES ACTEURS ET ENJEUX FONCIERS
 
Dans le cadre de l’Observatoire de la sécurité des flux et des matières énergétiques soutenu par la DGRIS du ministère des Armées, l’IRISEnerdata et Cassini publient leur septième étude portant sur les perspectives d’évolution des biocarburants.
 
Les biocarburants sont des carburants alternatifs produits à partir de biomasse, utilisés pour le transport. Ils étaient presque exclusivement utilisés dans le secteur routier en 2020 mais de nouvelles applications dans le secteur maritime et aérien sont en cours de développement. Après un fort emballement dans les années 2000, la croissance de la production mondiale de biocarburants a très fortement ralenti sur la décennie 2010-2019 et les prix de marché ont chuté. Leur consommation mondiale pourrait très fortement décroitre à l’horizon 2029, avec l’électrification des transports, le recul du diesel et une baisse potentielle des mobilités. L’industrie des biocarburants sera également particulièrement vulnérable aux menaces posées par le changement climatique sur la stabilité des approvisionnements mondiaux en matières agricoles. L’appui des politiques publiques restera l’un des piliers du développement des biocarburants. Mais cet appui est de plus en plus fragile, notamment au sein de l’UE, qui doit définir sa future stratégie pour la neutralité carbone.
 
Dans ce contexte, quels sont les enjeux géopolitiques et les jeux acteurs qui détermineront l’évolution des biocarburant d’ici à 2029 ?
 
Ce rapport propose quatre cartes inédites réalisées par Cassini.
 
 
LIRE L’ÉTUDE – EN SAVOIR PLUS SUR L’OBSERVATOIRE
 
 
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COORDINATEUR DE L’OBSERVATOIRE : Pierre LABOUÉ, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
 
CONTACT PRESSE : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.  – Tél : +33 (0)1 53 27 60 87
 
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Au travers de rapports d’études trimestriels, de séminaires et de travaux cartographiques, l’objectif principal de l’Observatoire de la sécurité des flux et des matières énergétiques consiste à analyser les stratégies énergétiques de trois acteurs déterminants : la Chine, les États-Unis et la Russie.
 
Le consortium vise également à :
Proposer une vision géopolitique des enjeux énergétiques, en lien avec les enjeux de défense et de sécurité ;
Croiser les approches : géopolitique, économique et sectorielle ;
S’appuyer sur la complémentarité des outils : analyse qualitative, données économiques et énergétiques, cartographie interactive ;
Réunir différents réseaux : académique, expertise, public, privé.
 
IRISL’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) est l’un des principaux think tank français spécialisé sur les questions géopolitiques et stratégiques. Il effectue un travail de recherche scientifique, par l’intermédiaire des membres de son équipe qui publient régulièrement dans les revues et ouvrages spécialisés. Association reconnue d’utilité publique, consulté tant par les ministères, les parlementaires, les grandes entreprises que par les médias français et étrangers, l’IRIS compte actuellement une soixantaine de chercheurs, permanents ou occasionnels, spécialistes de zones géographiques ou de grands sujets stratégiques. Il dispose d’un programme Climat, Énergie & Sécurité, dans lequel s’inscrit les réflexions de cet observatoire.
En savoir plus
 
ENERDATAEnerdata est un cabinet d’études et de conseil indépendant spécialisé dans le secteur de l’énergie. Créée en 1991 pour développer la banque de données énergétiques mondiales Enerdata, l’entreprise offre aujourd’hui un éventail large de prestations sur des problématiques énergétiques complexes. L’entreprise compte une quarantaine d’experts permanents, ingénieurs et économistes principalement, ainsi qu’une trentaine d’experts associés. Ces équipes ont une longue expérience dans l’analyse et le traitement des données énergétiques, dans la modélisation du secteur de l’énergie, des émissions de gaz à effet de serre, dans l’évaluation et la proposition de politiques énergétiques, ainsi que dans le conseil stratégique pour des gouvernements et sociétés énergétiques en Europe et dans le monde.
En savoir plus
 
IRISCassini est un cabinet de conseil spécialisé dans l’analyse géopolitique et cartographique. Les analyses géopolitiques développées par Cassini Conseil sont appuyées par de nombreuses cartes géographiques dont l’objectif consiste à donner un éclairage ou un approfondissement sur une problématique donnée. Conçues sur-mesure, ces études cartographiques sont une nouvelle forme de support d'aide à la décision et à la communication. Elles permettent de poser un regard nouveau sur les enjeux soulevés en intégrant des cartes à différentes échelles géographiques. Elles se distinguent par leur format et leur prise en compte de dynamiques dont l'ancrage territorial est souvent sous-estimé.

 

Esker annonce 160 recrutements dans le monde en 2021, dont plus d’une centaine en France

 

Lyon, le 10 mai 2021 – Esker, plateforme cloud mondiale d'automatisation des cycles de gestion qui valorise les métiers de la finance et du service clients tout en renforçant la coopération interentreprises, prévoit le recrutement de 160 salariés au niveau mondial sur l’année 2021 dont plus d’une centaine en France. Avec la pandémie, Esker s'est retrouvée en première ligne pour accompagner les entreprises dans l'accélération de leurs projets de transformation digitale. C'est pour répondre à cette mission qu'elle a maintenu son cap RH en 2020. Après avoir recruté 141 collaborateurs dont 65 en France en 2020, l’entreprise, classée au palmarès 2021 des 500 Champions de la croissance*, va embaucher de nombreux talents cette année pour notamment renforcer ses équipes R&D, Sales et Consulting.

 

Rejoindre Esker c’est intégrer un environnement international convivial et stimulant composé de 17 nationalités. Nous sommes une entreprise à taille humaine, favorisant la promotion interne, la montée en autonomie et la participation active des salariés. Nous recherchons des talents partageant nos valeurs et ayant envie de mettre leurs compétences au service d’une entreprise qui œuvre pour apporter un impact positif sur son écosystème. Nos salariés participent d’ailleurs à faire évoluer nos pratiques RH : depuis la création de l'équipe Scrum RH il y a maintenant six ans, des Eskeriens de divers horizons viennent challenger et enrichir nos actions, tel que le processus de recrutement." - Déclare Aurélie Guimera, Directrice RH chez Esker.

 

Attirer & engager de nouveaux talents pour accompagner sa croissance

Cette stratégie de recrutement est alignée sur une forte ambition de croissance. En effet, trente-six ans après sa création, Esker ambitionne de poursuivre ses investissements et sa croissance responsable en s’appuyant notamment sur la conclusion de partenariats stratégiques avec des acteurs tels que KPMG pour accroître l’adoption de ses solutions en entreprise. Les voyants sont au vert pour le groupe Esker qui sort renforcé de la pandémie. Avec un bénéfice net de 11,5 millions d'euros, en hausse de 19% sur un an, l’entreprise aborde 2021 avec confiance et résilience.

 

Une culture d'entreprise partagée pour une intégration réussie

Durant l’année écoulée, Esker a fortement digitalisé son processus de recrutement et d’intégration en veillant à bien embarquer tous les « Eskeriens » dans l’aventure. Si la machine à café s’est partiellement virtualisée, les équipes ont continué de créer du lien de manière créative. Challenges photo mondiaux, « coffee roulette »***, ateliers en ligne, livre de cuisine créé par et pour les Eskeriens ont notamment contribué à fédérer les 800 collaborateurs d’Esker autour des valeurs de l’entreprise.

 

Notre modèle d’entreprise agile séduit, nous avons reçu 10 000 candidatures au niveau mondial au cours de l’année 2020. Chez Esker, nous misons notamment sur la cooptation qui est un levier RH particulièrement efficace (30% des recrutements en 2018 et 2019). Dans le contexte actuel, nous avons veillé à maintenir notre lien historique avec les écoles pour soutenir les jeunes durant cette période difficile. Nous avons d’ailleurs embauché en CDI 6 stagiaires et alternants l’année dernière. S’agissant des nouvelles recrues, les équipes les accueillant ont été très attentives à leur bonne intégration et montée en compétences, via la mise en place de parrainage, de binômage, et l’organisation de temps informels. Un accompagnement mêlant écoute, entraide et responsabilisation dont le feedback est très positif "- Explique Aurélie Guimera, Directrice RH chez Esker.

 

Esker s’engage pour proposer une expérience au plus près des attentes des collaborateurs en termes de développement des compétences, d’évolutions de carrières et de participation à un projet d’entreprise ambitieux, responsable et porteur de sens.

 

97% des salariés d’Esker pensent que nous sommes une entreprise où il fait bon travailler et 88% des collaborateurs adhèrent à la culture et aux valeurs d’Esker. La situation sanitaire que nous traversons nous l’a prouvé une fois de plus : nos valeurs nous ressemblent, nous rassemblent et nous lient peu importe la distance.» explique Jean-Michel Bérard, Président du Directoire d’EskerPour rester en phase avec ses valeurs, Esker tient depuis toujours à répartir les bénéfices de manière égalitaire entre tous les collaborateurs via une prime d’intéressement située entre 5000€ et 7000€. " Une façon de récompenser les performances du collectif, et de favoriser la proximité entre les Eskeriens, en cohérence avec notre culture d’entreprise.conclut-t-il.

 

Les candidats intéressés par les postes disponibles chez Esker peuvent en savoir plus et postuler en ligne sur la page Carrières

 

Retrouvez également le communiqué ici.

 

Parmi les postes clés à pourvoir :

• Plus de 30 Consultant(e)s intégration logiciels et Avant-Vente

• Commerciaux/Commerciales (Customer Success, Sales Account Managers, Business Development Managers, Chargé(e)s de prospection)

• Développeurs/Développeuses JavaScript, C#, C++ pour les équipes fonctionnelles

• Ingénieur(e)s Support Technique international

• Ingénieur(e)s Systèmes/DevOps

 

* https://www.lesechos.fr/weekend/business-story/le-palmares-2021-des-500-champions-de-la-croissance-1287692

** Résultats de l’enquête de satisfaction annuelle Esker (périmètre monde)

*** Les “coffee roulette” sont des pauses-café mystères en visio pour mélanger les équipes en télétravail.

EMPLOI / IMMOBILIER
 

RECONVERSION PROFESSIONNELLE : LIMMOBILIER A LE VENT EN POUPE

 

Ex DRH, Assistante de Direction, Responsable Commercial en Aéronautique, Consultante en prévention des risques dans le secteur BTP… elles ont toutes choisi limmobilier ! Rencontre avec quatre « Welogeuses » qui témoignent de leur reconversion professionnelle et de leur nouveau métier qui les passionne chez Weloge

 

 

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Découvrir le concept Weloge

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Dans un contexte sanitaire sans précédent, certains y voient lopportunité de changer de vie. Fondée en 2017 par Dominique de Saint Laurent, Weloge, start up immobilière nouvelle génération séduit de plus en plus de salariés, cadres et indépendants en quête de sens. Lentreprise a inventé le statut dindépendant intégré et propose aux « Welogeurs » qui la rejoignent d’être leurs propres patrons tout en bénéficiant du savoir-faire du réseau. Un statut hybride qui a séduit plus de 50 personnes ces 12 derniers mois. Quatre dentre-elles racontent leurs motivations à cette reconversion.

 

Wendy BIBOLINI, Ex DRH (26 ans) - Responsable Weloge Peypin et ses alentours (13)

« Après des études en Ressources Humaines, j’ai été DRH d’une grande entreprise pendant un an. Cependant, j’ai rapidement compris que l’idée que je me faisais des ressources humaines n’était pas la bonne. Je me suis alors rendue au salon des Entrepreneurs et j’ai rencontré Samuel de Saint Laurent, Responsable de la stratégie digitale chez Weloge. Puis, j’ai rencontré Dominique, la Fondatrice de la start-up, et son concept m’a convaincue ! En Janvier 2020 j’ai commencé à travailler à mon compte chez Weloge tout en continuant à faire quelques petits boulots à côté car j’avais peur de me retrouver sans revenu. Dès le mois de mai et l’annonce du déconfinement, je me suis lancée à 100% dans l’aventure et ça a payé ! 12 mois plus tard j’ai déjà réalisé 15 ventes. J’ai encore du mal à réaliser. Désormais, je souhaite monter ma propre équipe de Welogeurs et les accompagner dans cette aventure qui a changé ma vie. » 

 

 

Fanny CHARLET, Ex Responsable Commerciale Aéronautique (39 ans), Responsable Weloge Marseille 11ème et 12ème arrondissements

 

« Alors que je travaillais depuis 6 ans en tant que Responsable Commerciale dans l’Aéronautique, je ressentais le besoin de nouveaux challenges. J’ai refusé plusieurs offres salariées car elles ne m’offraient pas assez d’autonomie. Puis, je me suis posée la question de l’entreprenariat mais en tant que maman célibataire, cette perspective m’effrayait. Un jour, je suis tombée sur l’annonce Weloge sur Indeed et j’ai eu envie de me lancer à mon tour. J’avais déjà rencontré Dominique de Saint Laurent, je l’ai appelée, lui ai fait part de mon envie de rejoindre l’aventure, de mes doutes et lors de sa réunion d’information en septembre 2019, j’ai eu le déclic. Très prévoyante, je me suis renseignée sur les aides dont je pouvais bénéficier, sur la structure que je pouvais monter et en février 2020 je quittais officiellement mon entreprise pour rejoindre l’aventure Weloge. Même si mon arrivée a été plus que stressante étant donné la situation sanitaire, j’ai été très bien entourée par l’équipe,, j’ai redoublé d’efforts et fait preuve de résilience pour arriver ou j’en suis. Aujourd’hui, 14 mois après mon arrivée et malgré les deux confinements j’ai réalisé 6 ventes et suis parvenue à obtenir un salaire net équivalent à mon ancien salaire. J’en suis fière. » 

 

Angélique MEIGNAN, Ex Assistante de Direction (34 ans), Responsable Weloge Le Val Saint Germain et ses alentours (91)

 

« Je suis une autodidacte. J’ai commencé à travailler à l’âge de 16 ans dans une agence d’intérim en tant qu’hôtesse d’accueil et peu à peu j’ai gravi les échelons. En février 2020, alors que j’étais Assistante des Vice-Président et Délégués de la métropole de Lyon, j’avais l’impression de courir en permanence entre les trains, l’école des enfants, les garderies, les activités et je me suis demandé si c’était la vie que je voulais. Avec mon mari, nous avons alors décidé de retourner en région Parisienne d’où je suis originaire. Je souhaitais me mettre à mon compte, avec un intérêt particulier pour l’immobilier. J’ai participé à plusieurs webinaires mais aucun ne m’avait convaincue. Récemment, j’ai été séduite par un post Facebook de Weloge, j’ai participé à leur webinaire et me suis retrouvée dans leurs valeurs. En quelques semaines, je suis devenue Welogeuse. Malgré la concurrence dans mon secteur géographique et malgré la crise sanitaire, en quelques mois seulement j’ai réussi à signer des transactions. J'ai plus de temps pour mes enfants, je peux adapter mon emploi du temps en fonction d’eux, tout en étant présente pour mes clients. Je peux affirmer aujourd'hui que j'ai trouvé ma voie et mon équilibre. J’ai la certitude que cette aventure va me transformer tant professionnellement qu’humainement. »

 

Chaza KAZARA, Ex consultante en prévention des risques professionnels dans le secteur du BTP (40 ans) - Responsable Weloge Saint Nazaire et ses alentours (44)

 

« J’ai toujours été attirée par le monde de l’immobilier, déjà petite j’accompagnais mes parents lorsqu’ils achetaient des biens. Après un Master II en droit privé, j’ai eu l’opportunité de travailler dans une agence immobilière. À l’époque, j’étais jeune maman et la perspective de ne pas avoir de salaire fixe m’effrayait. 20 ans plus tard, alors que je ne m’épanouissais plus dans mon métier de consultante en prévention des risques professionnels dans le secteur du BTP, j’ai assisté à un Webinaire qu’organisait Weloge et ça a été une évidence. J’ai rapidement rencontré la fondatrice, Dominique de Saint Laurent, qui m’a confortée dans mon choix et en Octobre 2020 je rejoignais officiellement l’équipe. Pour moi, la différence entre Weloge et une agence immobilière classique réside dans l’accompagnement et la valorisation des biens pour les vendre au meilleur prix. Aujourd’hui, je suis plus qu’épanouie et heureuse de me lever chaque matin pour travailler. »

 

 

Le point commun de tous ces Welogeurs en reconversion professionnelle ? « Nos collaborateurs proviennent de tous types d’horizons, n’ont jamais fait d’immobilier et ont un mental d’entrepreneurs. Nous avons autant d’hommes que de femmes, âgés de 25 à 60 ans, ce qui fait la richesse de notre réseau.» explique Dominique de Saint Laurent, fondatrice de Weloge. « J’attache la plus grande importance aux qualités humaines, d’empathie, d’écoute, d’honnêteté et de détermination. Nous retenons environ un candidat sur cinq qui bénéficie ensuite de l’ensemble de nos formations pour pouvoir être totalement opérationnel en quelques semaines. Indépendants mais néanmoins intégrés à notre équipe, ils peuvent rapidement gagner entre 3 000 € et 5 000 € par mois.» poursuit la Cheffe d’Entreprise qui prévoit d’intégrer 100 nouveaux collaborateurs cette année.

 

A propos de WELOGE : 

Start-up immobilière 3.0, start-up marseillaise fondée en 2017 par Dominique de Saint Laurent, WELOGE propose un concept innovant clés en mains à ses clients : un pack de 8 services leur permettant de valoriser leur bien et le vendre au meilleur prix dans les meilleurs délais. Un dispositif qui permet de vendre en un temps record, en moins de 45 jours, au plus haut du marché. Trois ans après son lancement, WELOGE se déploie sur tout le territoire national et dispose de plus de 70 agents commerciaux sur une trentaine de départements. Plus d’informations sur : https://www.we-loge.com/

 

Les problèmes d'étiquetage coûtent plus d'un million d’euros par an aux industriels 

 

Ljubjana (Slovénie), le 12 mai 2021 - Selon une étude mondiale réalisée par OnePoll pour NiceLabel, les industriels perdent en moyenne plus d’un million d’euros par an en raison des interruptions de la chaîne de production dues à des problèmes liés à l’étiquetage.

 

L'étude menée auprès de 300 directeurs des systèmes d'information (DSI) a révélé qu'en moyenne, plus des deux tiers des industriels (67%) devaient interrompre leur chaîne de production pendant plus d'une heure en cas de problème d'impression d'étiquettes, et 21% ont déclaré qu’elle devait être arrêtée pendant plus de 30 minutes. Par ailleurs, les résultats de l’étude ont indiqué qu’en moyenne les industriels devaient suspendre leurs chaînes de production jusqu’à six fois par an en raison de ces dysfonctionnements, et plus des trois quarts (77 %) ont déclaré qu’elles avaient dû être interrompue au moins quatre fois au cours de l'année passée pour les mêmes raisons.

 

Parmi les autres points clés de l'enquête pour la France, figurent les points suivants :

  • Les industriels comptent en moyenne 17% de produits mal étiquetés par an
  • Les erreurs d’étiquetage coûtent en moyenne 59 200 euros par an
  • En moyenne, les industriels doivent suspendre leur chaîne de production plus de 5 fois par an et chaque interruption dure près d’une heure (57,64 minutes)
  • Ces interruptions coûtent en moyenne 133 674 euros par heure.

 

"Toute perturbation ou arrêt de l'activité peut avoir un impact significatif sur tout industriel, entraînant une perte de revenus et mettant finalement l'entreprise elle-même en péril. Le risque que cela soit causé par un mauvais étiquetage devient une préoccupation croissante, car celui-ci devient un élément clé de la stratégie commerciale et supply chain," explique Ken Moir, VP Marketing, NiceLabel

 

Compte tenu des pertes engendrées par les interruptions de production, il n'est pas surprenant que 26 % de l'échantillon de l'enquête voient la "réduction des coûts" et 18 % “les gains de productivité” parmi les principaux avantages de la modernisation/automatisation de leurs processus de fabrication - y compris l'étiquetage -, tandis que 26 % évoquent "l'élimination des erreurs".

 

Ken Moir ajoute :"En fin de compte, les risques pour la production vont bien au-delà des arrêts complets. L'étiquetage décentralisé, par exemple, ajoute également des risques aux opérations. Un système ERP est censé fournir "une source unique de vérité" aux utilisateurs professionnels. Cependant, dans de nombreuses organisations, il existe autant de versions de la vérité qu'il y a de sites d'étiquetage. En effet, dans le cas d'opérations d'étiquetage décentralisées, chaque site n'est pas forcément intégré à l'ERP et crée ses propres formats d'étiquettes et duplique les données relatives aux produits et aux clients.”  

 

"Après tout, sans centralisation, les industriels ne sont généralement pas intégrés à la même source de vérité et cela crée des redondances de données ce qui rend les mises à jour à l'échelle de l'entreprise ingérables et est source d’inexactitudes et d’incohérences." conclut Ken Moir.



À propos de NiceLabel 

NiceLabel, fondé en 1993, est un des leaders mondiaux du développement de logiciels d'étiquetage et de systèmes de gestion de l'étiquetage destinés aux entreprises de toute taille. Il leur permet d'améliorer la qualité, la vitesse et l'efficacité de leur étiquetage tout en en limitant les coûts. Avec l’aide de nos systèmes de gestion de l'étiquetage, les entreprises sont capables d'informatiser tous leurs processus de production et d’impression d’étiquettes. Par conséquent leur étiquetage est plus léger et agile, ce qui leur permet de répondre plus rapidement aux modifications requises par les marchés ou les réglementations, de commercialiser plus vite les produits et de rester compétitives dans leur secteur d'activité. Avec son siège social en Europe (Slovénie) et ses bureaux en Allemagne, USA, Singapour et Chine, NiceLabel a une présence mondiale pour distribuer ses produits d'avant-garde et aider ses clients. En 2021, NiceLabel et Loftware se sont associés pour étendre leur leadership mondial en matière d'étiquetage et de gestion des illustrations. Les deux entreprises associent 60 ans d'expertise pour offrir aux clients et aux partenaires un choix élargi de solutions et des capacités améliorées. Pour plus d'informations, s'il vous plaît visitez www.nicelabel.com, www.loftware.com. 

 

République FrançaiseLa lettre Service-Public.fr
Lettre n°1022 du 12 mai 2021 Abonnement aux sujets d'actualité  twitter @servicepublicfr  service-public.fr sur Facebook

La campagne de vaccination s'ouvre aux personnes de 50 ans et plus sans condition

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Les personnes de 50 ans et plus peuvent être vaccinées à partir du 10 mai 2021 quelle que soit leur situation.. Elles peuvent prendre rendez-vous (...)   Lire la suite >

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FISCALITÉ Publié le 10 mai 2021

Nouveau crédit d'impôt pour un premier abonnement à un titre de presse

Un nouveau crédit d'impôt pour un premier abonnement à un journal, à une publication périodique ou à un service de presse en ligne d'information (...)   Lire la suite >

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Avec 30 000 euros de revenus annuels, quel sera mon taux d'imposition ?

La question : « Si je comprends bien le système de calcul de l'impôt sur le revenu, avec 30 000 € de revenu annuel, c'est la 3e tranche (...) »La réponse de Service-public.fr : « Non, en fait, c'est uniquement la partie de vos revenus située dans cette 3e tranche, c'est-à-dire la partie (...) »   Lire la suite >

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 LOGEMENT

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État de catastrophe naturelle reconnu pour près de 700 communes

Inondations et coulées de boue, inondations par remontée de nappe, mouvements de terrain... Publiés au Journal officiel le 7 mai 2021, deux (...)   Lire la suite >

Circuler à vélo : tout ce que vous devez savoir

Publié le 03 mai 2021

Vous avez décidé de vous déplacer ou vous circulez déjà à vélo, mais que faut-il savoir pour rouler dans les règles ? Service-Public.fr vous (...)   Lire le dossier >

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Les années Lang

À travers l'histoire d'une politique culturelle en effervescence, l'ouvrage trace le portrait d'une société française en pleine transformation.   Lire la suite >

AGENDA

JUSQU'AU

15 MAI

2021

 

DOSSIER SOCIAL ÉTUDIANT (DSE)

Étudiants, futurs étudiants : vous avez jusqu'au 15 mai pour vos demandes de bourse et de logement

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JUSQU'AU

31 MAI

2021

 

EXPULSIONS LOCATIVES

La trêve hivernale est prolongée jusqu'au 31 mai

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Recrutement de cadres en 2021 : qui sont les profils qui s’en sortent ?

Recrutement de cadres en 2021 : qui sont les profils qui s’en sortent ?
Interrogées par l’Apec, les entreprises privées ont l’intention de recruter 247 000 cadres en 2021. C’est 8% de plus que l’an passé mais encore 12% de moins qu’en 2019. Qui sont les profils les plus recherchés ? Dans quelles régions ? Dans quels secteurs ?
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Avis d'expert - Whatsapp - Facebook - Données personnelles - Violation des droits 

Quant Whatsapp transfert à Facebook les données de deux milliards de personnes en toute illégalité ! 

A compter du 15 mai 2021, Whatsapp transmettra les données personnelles de ses 2 milliards d'utilisateurs à Facebook : cette prise de contrôle sur la vie privée peut-elle être empêchée ?

Par Alexandre LAZARÈGUE, Avocat spécialisé en droit du numérique
 
Par une nouvelle politique de confidentialité imposée à ses utilisateurs, Whatsapp indique transmettre, à compter du 15 mai 2021, une série de données personnelles dont elle dispose, à sa maison mère Facebook. 
 
Seront ainsi partagées des informations sur les utilisateurs telles que les adresses IP, les données de géolocalisation, les numéros de téléphone, les données bancaires et les informations transmises aux entreprises seront désormais connus de Facebook et des sociétés partenaires du réseau social.
 
L'objectif annoncé étant d'améliorer les services proposés par l'application et les offres faites aux consommateurs en matière de marketing et de sécurité. 
 
Un transfert de données de deux milliards de personnes 

Le droit européen des données personnelles (RGPD) autorise le recueil des données des consommateurs dès lors qu'elles ont été transmises avec leur consentement libre et éclairé. Ces derniers doivent néanmoins être informé dans le plus grande transparence du type de données collectées et des finalités de la collecte qui doit être légitime. 
 
Si la finalité de sécurité peut être regardée comme essentielle au bon fonctionnement de l'application, il en va différemment de la finalité de marketing qui analyse le comportement des utilisateurs de l'application.

De plus, le consentement des utilisateurs n'est pas libre, puisqu'il n'existe aucun mécanisme permettant de s'opposer à ces traitements tout en continuant à utiliser l'application.
 
Des autorités de contrôle impuissantes 

Les autorités de régulation du droit des données personnelles allemande et italienne ont estimé cette semaine que ce transfert de données à Facebook n'était pas justifié juridiquement et constituait un manquement grave au RGPD. La société Whatsapp pour sa part estiment ces autorités incompétentes, puisqu'étant installée aux Etats-Unis, elle serait uniquement soumise à la législation de ce pays.

La maîtrise des données personnelles est au cœur du modèle d'affaire des GAFAM qui repose sur la gratuité et la rétention des clients. 
 
L'application de messagerie cryptée crée en 2009 est utilisée par plus de deux milliards de personnes.
Acquis en 2014 par Facebook pour la somme de 14 milliards de dollars, elle est gratuite pour les utilisateurs.

Près de trois ans après l'application du RGPD, la situation monopolistique dans lesquelles les GAFAM se sont installés crée une situation d'allégeance pour les consommateurs qui ne peuvent que consentir à transmettre les données relevant de leurs vies privées. 

Si vous entendez traiter de ce sujet, je suis en mesure de vous éclairer quant à ses problématiques juridiques. 

Alexandre Lazarègue, Avocat spécialisé en droit du numérique. 
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06 16 72 22 73 
www.lazaregue-avocats.fr 




 

 

Bien-être au (télé)travail : quand les lignes bougent… Près de 65 % des salarié.e.s* ne trouvent pas le temps de faire du sport depuis le début de la crise sanitaire.

Dans ce contexte sanitaire très particulier, où le télétravail est plus que jamais la norme, Urban Sports Club, spécialiste des questions sport et bien-être en entreprise, a souhaité se pencher sur le moral des salarié.e.s en France ainsi que les pistes d’amélioration du bien-être au travail. Ainsi, Urban Sports Club dévoile une étude IFOP qui s’intéresse aux problématiques des salarié.e.s en France et à la place qu’occupe le sport dans leur quotidien.

* étude menée en ligne du 19 au 26 février 2021 par l’institut IFOP pour Urban Sports Club, auprès de 1 000 salariés âgés de 18 à 65 ans, représentatifs de cette population.

Un sentiment d’être au bout du rouleau Plus de la moitié des salarié.e.s peinent à séparer vie pro et perso ! D’ailleurs, la majorité d’entre eux travaillent plus qu’avant la crise... Depuis maintenant plus d’un an, les salarié.e.s en France ont vu leurs habitudes chamboulées. Et lorsque ces dernier.e.s se voient contraint.e.s de transformer leur domicile en bureau, la frontière entre le monde du travail et la vie personnelle devient forcément plus mince... Sans surprise, cette absence de cloisonnement entre sphère professionnelle et sphère privée a des conséquences directes sur la façon de travailler. 2 Les salarié.e.s les plus touché.e.s Ces salarié.e.s qui travaillent plus qu’avant la crise 39% Présentiel 46% Présentiel 53% Hommes 56% Hommes 76 % Télétravail 78 % Télétravail 56% Femmes 62% Femmes 56% Couples 60% 35-49 ans 78% Cadres 65% 25-34 ans 58% Avec enfants 55% des salarié.e.s n’arrivent plus à dissocier vie professionnelle et vie personnelle

 

Et plus de la moitié se sentent isolés et anxieux Même en maintenant un lien avec l’entreprise grâce à la visioconférence, la solitude se fait ressentir dans le quotidien des salarié.e.s Françai.se.s, de même qu’un fort sentiment d’anxiété. 78% 52% des salarié.e.s se sentent anxieux.ses dans le contexte actuel. des salarié.e.s se sentent isolé.e.s dans le contexte actuel. Ces salarié.e.s qui ressentent une forme d’isolement vs vs vs 79% Télétravail 33% Présentiel 49% Province 50% Hommes 64% Région parisienne 54% Femmes Près de ⅔ des salarié.e.s peinent à pratiquer une activité physique ! Lorsqu’il y a de plus en plus de porosité entre le travail et la maison, difficile pour les salarié.e.s de trouver comment intégrer le sport dans ces deux mondes qui se superposent et s’entrechoquent. On aurait pu croire qu’être chez soi aurait justement favorisé la (re)prise du sport, mais il n’en est rien… 65% des employé.e.s ne trouvent pas le temps ou l’occasion d’avoir une activité physique depuis le début de la crise sanitaire. Ces salarié.e.s qui se sentent anxieux.ses

 

Ces salarié.e.s qui n’arrivent plus à faire du sport vs vs vs vs vs 73% Télétravail 70% Avec enfants 59% Présentiel 62% Sans enfants 64% Province 66%

 

Flexibilité, sport & soutien financier Ce que les salarié.e.s veulent pour améliorer leurs conditions de (télé)travail Face à ce sentiment de mal-être, les salarié.e.s ont des attentes importantes. En effet, 62 % d’entre eux.elles estiment que leur entreprise fait peu voire aucun effort pour contribuer à leur bien-être au travail. Ce sentiment touche davantage les personnes en télétravail (70 %) que les personnes en présentiel (56 %). Mais les idées sont nombreuses, suite au bouleversement des habitudes et du contexte de travail, pour améliorer le bien-être au travail. Petit tour d’horizon des nouvelles envies salariales en France 1 an après l’arrivée du COVID. 62% des salarié.e.s estiment que leur entreprise fait peu voire aucun effort pour contribuer à leur bien-être au travail.

 

Top 10 : ce que les salarié.e.s plébiscitent pour améliorer le bien-être au travail en 2021 SALARIÉ.E.S EN TÉLÉTRAVAIL EN PRÉSENTIEL

Plus de souplesse dans l’aménagement des horaires de travail Plus de souplesse dans l’aménagement des horaires de travail Effort financier pour améliorer le bien-être au travail Plus de souplesse dans l’aménagement des horaires de travail Prise en charge partielle (ou intégrale) d’un abonnement sportif Solutions de méditation / détente pour calmer leurs angoisses Investissement dans matériel de bureau adapté pour limiter les mauvaises postures Aide ou accompagnement psychologique des salarié.e.s Encouragement à la déconnexion en limitant l’accès au serveur le soir / week-end Événements digitaux pour favoriser la cohésion d’équipe et mettre fin à l’isolement Davantage de télétravail Conseils d’étirements / postures pour limiter douleurs liées à une mauvaise position

 

⅔ des salarié.e.s en France souhaitent que leur employeur prenne en charge tout ou partie d’un abonnement sportif Pour 9 français sur 10**, l’activité physique favorise le bien-être et fait du bien au moral, et pour 60 % des Français, le sport est une réelle soupape de décompression en télétravail/confinement. Face à ce constat, ⅔ des salarié.e.s en France souhaitent que leur employeur propose des solutions pour maintenir une activité physique, et favorisent ainsi leur bien-être au (télé)travail. ⅔ des salarié.e.s en France souhaitent que leur employeur propose des solutions pour maintenir une activité physique. **étude réalisée en ligne du 29 au 31 juillet 2020 par l’institut IFOP pour Urban Sports Club auprès d’un échantillon de 1002 personnes âgées de 18 ans et plus (échantillon représentatif de la population française). Ces salarié.e.s qui voudraient une prise en charge de leur abonnement sportif par leur employeur

 

Ces salarié.e.s qui voudraient une prise en charge de leur abonnement sportif par leur employeur 53% Présentiel 57% Hommes 57% Province 69 % Télétravail 62% Femmes 69% Région parisienne 57% Employé.e.s 67% Professions intermédiaires 68% Cadres 67% 25-34 ans 50% Ouvrier.e.s vs vs

 

**étude réalisée en ligne du 29 au 31 juillet 2020 par l’institut IFOP pour Urban Sports Club auprès d’un échantillon de 1002 personnes âgées de 18 ans et plus (échantillon représentatif de la population française).

Investir dans le sport : un outil essentiel pour les entreprises

Ce top 10 soulève essentiellement des problématiques inhérentes aux risques liés aux stress et aux troubles musculo-squelettiques. Alors que le retour « à la normale » n’a toujours pas de ligne d’horizon, il est urgent que les entreprises puissent prendre le problème à bras le corps. Ce d’autant plus que les effets du sport sur la dépression (20 à 30 % de risque en moins chez les adultes qui pratiquent une activité physique quotidienne***), l’anxiété, l’estime de soi ou encore les capacités cognitives ne sont plus à démontrer.

32% C’est le pourcentage de diminution des arrêts de travail grâce à l’activité physique en milieu professionnel. Cette dernière augmente même la productivité de 12 % selon le Sénat****.

 

Il existe en effet des solutions qui peuvent facilement être mises en place. Urban Sports Club, leader Européen du sport et bien-être en entreprise, propose une formule sur-mesure et 100 % adaptée à la situation actuelle pour accompagner les entreprises souhaitant s’engager pour le bien-être de leurs salariés. Car le challenge pour les chefs d’entreprise et leurs ressources humaines, c’est dans un premier temps de soutenir au mieux leurs salarié.e.s dans ce contexte difficile et pouvoir proposer une aide durable à l’accès au sport dans des conditions ultra fluctuantes. Cette offre sur-mesure et unique s’articule autour de cours en salle (quand la situation sanitaire le permet), de cours en extérieur et de cours en ligne live.

« Urban Sports Club agit en effet comme un catalyseur de lien social entre les collaborateurs. Ça leur permet de se défouler, de gérer leur stress. C’est un excellent moyen de leur faire plaisir ». Julie Gaudin de Teaminside Group, entreprise cliente d’Urban Sports Club depuis mai 2019

*** How to look after your mental health using exercise, https://www.mentalhealth.org.uk/publications/how-to-using-exercise **** Le Senat adopte un dispositif pour favoriser le sport en entreprise, 12/11/2020, https://www.publicsenat.fr/article/ parlementaire/securite-sociale-le-senat-adopte-un-dispositif-pour-favoriser-le-sport-en

« Depuis le début de la crise sanitaire, nous échangeons beaucoup avec nos membres. Ce qui ressort le plus, c’est le besoin de lutter contre l’immobilité qui a tendance à favoriser les douleurs physiques et pèse également sur le moral de chacun. C’est pourquoi chez Urban Sports Club, nous proposons une offre sport et bien-être complète qui permet de prendre en compte les besoins de tous les collaborateurs et de s’adapter au contexte. Nous avons la chance de collaborer avec près de 1 500 salles partenaires en France, qui proposent des cours de fitness, yoga, méditation mais aussi de danse ou de cross-training, à faire seul.e, entre collègues ou entre ami.e.s depuis le confort de son salon, mais aussi en plein air et dans les salles quand celles-ci rouvriront ». Marine Desbans, Directrice Générale France et Belgique Urban Sports Club Pour favoriser l’esprit d’équipe Des cours à réaliser à distance avec ses collègues • Bootcamp avec MU:V (live) • Aviron avec Société nautique de la basse Seine (outdoor) • Abdos Fessiers avec Savage Bootcamp (live) Pour contrer les mauvaises postures au travail/télétravail A consommer sans modération • Yoga du dos avec Ginkgo Yoga (live) • Posture et mobilité avec Multifa (live) • Yoga en extérieur avec Urban Challenge (outdoor) Pour se détendre Des sessions lives pour couper et penser à son bien-être • Méditation et Sound Bath avec Baba Yoga Club (live) • Sophrologie avec Les Liens (live) • Auto-massage et relaxation avec Yoze (live) Sélection d’activités proposées pour les salarié.e.s par Urban Sports Club

Pour s’amuser et se changer les idées Seul ou à plusieurs, ces cours allient sport à une bonne dose de fun et de bonne humeur • Zumba avec Zumba France (outdoor) • Cardio Flashdance avec Bien bien le club (live) • Accrobranche avec Ecopark Adventures (outdoor) Pour se dépenser Et lutter contre l’immobilité • CrossFit avec CrossFit® Cycling Batignolles (outdoor) • Cardio Boxing avec Apollo Sporting Club (outdoor) • Running avec Urban Challenge (outdoor)

Qui est Urban Sports Club ?

Contribuant au bien-être global des salarié.e.s, permettant une meilleure cohésion et une productivité accrue, les bienfaits du sport au travail ne sont plus à prouver. C’est ainsi qu’Urban Sports Club révolutionne le sport d’entreprise avec un abonnement sportif flexible qui répond aux besoins de tou.te.s les collaborateurs.trices, tout en simplifiant la gestion administrative pour les entreprises. Plus de 50 disciplines sportives sont disponibles en un abonnement unique – fitness, yoga, tennis, boxe, sports collectifs – et on retrouve également des activités bien-être telles que méditation, sophrologie ou encore massages. Avec des cours indoors, outdoors ou en ligne, c’est une offre complète pour prendre pleinement soin de ses employé.e.s.

https://fr.corporate.urbansportsclub.com P