avec un grand merci, comme toujours, à notre plus fidèle contributeur, j'ai nommé Pierre-Jean Lllorens, merci à toi ...
POSTE A POURVOIR RAPIDEMENT : directeur de projet sap pour un cdi client final
Hervé Dulaire
IT Resourcer
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Meteojob dresse un TOP 10 des secteurs qui recrutent
1er trimestre 2021 : état des lieux du recrutement et de la recherche d'emploi
Paris, le 27 avril 2021 - Alors que Pôle Emploi publie ce jour les statistiques portant sur les demandeurs d'emploi inscrits au 1er trimestre 2021, Meteojob, site de recherche d'emploi du groupe CleverConnect, a analysé et comparé l'ensemble des offres d'emploi proposées sur sa plateforme en avril 2020 et en avril 2021. Quels sont les métiers les plus demandés ? Quels secteurs recrutent le plus ? Quelles tendances et évolutions (au global et par secteur), par rapport à la même période l'année dernière ? Des données qui ont permis à l'expert du recrutement Meteojob de dresser un état des lieux de l'emploi en France.
Parmi les premiers enseignements : une nette augmentation des offres d'emploi. Certains secteurs proposent en effet de nombreuses opportunités de recrutement, notamment la Santé et la Distribution, avec les métiers de préparateur de commandes et de cariste largement représentés.
1 - Une nette augmentation des offres d'emploi publiées sur Meteojob : +48%
L'augmentation des offres d'emploi, déjà constatée par l'expert du recrutement en décembre dernier, se confirme sur ce premier trimestre 2021. Cette hausse de +48% des offres d'emploi concerne principalement le secteur de l'intérim (+73%) et les contrats CDI (+43%).
2 - Emploi des jeunes : des contrats d'alternance et d'apprentissage à la hausse (+142%)
Alors que la situation des jeunes en France est préoccupante du fait de la crise sanitaire, Meteojob enregistre une forte hausse des contrats d'alternance et d'apprentissage : +142% par rapport à l'année 2020.
3 - Le secteur de l'Hôtellerie-Restauration n'a pas résisté ce premier trimestre, alors que le secteur Distribution & Commerce de détail se maintient :
Face aux contraintes liées à la crise sanitaire, le secteur de l'Hôtellerie-Restauration, lourdement impacté, ne fait plus partie du TOP 10 des secteurs qui recrutent ce 1er trimestre 2021. Le secteur Distribution & Commerce de détail, quant à lui, résiste bien (+105%) du fait du maintien des enseignes de la grande distribution et des ouvertures ponctuelles de certains petits commerces.
4 - La Santé : dans le TOP 3 des secteurs qui embauchent
En 2ème position du TOP des secteurs qui recrutent, le secteur de la Santé ne cesse d'être en demande de personnel, avec des besoins accentués depuis plus d'un an. Sans surprise, le métier d'infirmier se trouve en tête du classement des métiers qui recrutent début 2021.
Les 10 secteurs qui recrutent le plus en avril 2021
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Les métiers les plus demandés au 20 avril 2021
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A propos de CleverConnect
Expert de la HR Tech française, CleverConnect aide les entreprises à repenser leur stratégie de recrutement afin d'attirer, de convertir et d'évaluer leurs candidats de façon efficace et innovante. Pour ce faire, CleverConnect propose des solutions SaaS de matching de CV, d'entretien vidéo, ainsi que des sites carrières intelligents. Des solutions actuellement déployées chez ses clients, grands comptes, tels que Leroy Merlin, Orange, SMCP, Colas, Korian, Safran... CleverConnect possède également le site de recherche d'emploi meteojob.com comptabilisant à date plus de 150 000 offres en ligne et 7 millions d'inscrits. En 2019, l'entreprise a réalisé un tour de table de 5,5 millions d'euros auprès de Sofiouest et du fonds d'investissement à impact Citizen Capital. Présent en France, en Espagne, en Italie et dans la région DACH, CleverConnect rassemble aujourd'hui une équipe de 150 collaborateurs.
www.cleverconnect.com
Popchef // Comment les salariés se restaurent-ils en entreprise en 2021 ?
Bien que le télétravail soit devenu la norme, de nombreux salariés continuent de se rendre sur leurs lieux de travail, soit à temps plein, soit quelques jours par semaine pour retrouver un semblant de normalité.
Popchef, leader des solutions de restauration en entreprise, qui propose à la fois :
- Des plats sains chaque matin, mis à disposition via des cantines connectées, pour les salariés présents sur place;
- La livraison de box télétravail à domicile aux salariés en télétravail;
- Et enfin, une offre de plateaux-repas haut de gamme à destination des salariés dans le cadre de réunions groupées,
… Met en exergue plusieurs informations intéressantes :
- Les salariés continuent d'aller au bureau, malgré les annonces gouvernementales récentes. Le nombre de commandes de plats Popchef par les salariés présents en entreprise a même augmenté de 6,5% entre janvier 2021 et mars 2021.
- 72% des salariés et consommateurs habituels des plats Popchef en entreprise continuent de commander dans ce contexte. Cette solution de restauration convient donc parfaitement aux nouvelles habitudes de travail des salariés.
- Popchef a aussi constaté un changement intéressant dans la façon de consommer des salariés en entreprise. Par rapport à 2020, le nombre de demandes de plateaux-repas a, en effet, diminué de moitié. Cela signifie donc que le nombre de réunions en présentiel a largement diminué et les déjeuners groupés sont désormais limités pour restreindre les risques de contamination et se conformer à la législation en vigueur. Les entreprises privilégient les déjeuners individuels ou en très petits groupes.
- Enfin, entre le premier confinement de mars 2020 et celui de mars 2021 les clients de Popchef, sont trois fois moins à avoir fermé leur cantine, ce qui signifie qu'il y a une réelle demande de solution de restauration de la part des salariés malgré le contexte de confinement
Ainsi, ces données montrent que les salariés, lorsqu'ils sont en entreprise, sont toujours à la recherche de solutions de restauration pendant le déjeuner. Toutefois, leur consommation se fait dans les règles actuellement en vigueur et les regroupements prévus/organisés à l'heure du déjeuner ne sont plus la norme.
Les salariés se sont donc adaptés à la situation sanitaire et au télétravail, renforcé depuis plusieurs semaines dans les entreprises. Paradoxalement, ces données montrent aussi qu'ils sont davantage présents sur leur lieu de travail par rapport au premier confinement. Cela s'explique par le fait que l'entreprise est génératrice de liens sociaux. Les français, forcés depuis plus d'1 an à maintenir une distanciation sociale, commencent à en ressentir l'épuisement. Ces espaces de sociabilité que sont les lieux de restaurations collective sont une manière de maintenir un lien social, désormais nécessaire, tout en respectant les restrictions sanitaires.
40 postes d'alternants à pourvoir chez l'industriel nantais ARMOR
A cinq mois de la rentrée scolaire 2021, l'industriel ARMOR lance une grande campagne de recrutement à destination des jeunes. A la clef : une quarantaine de postes en stage et en alternance, principalement sur des fonctions industrielles ; des stages de longue durée sont également à pourvoir tout au long de l'année. Acteur économique de premier plan de la région Pays de la Loire, l'ETI industrielle confirme son engagement dans la formation des jeunes, particulièrement pénalisés ces derniers mois par la crise du Covid-19.
Les Français(e)s et le « poop shaming » à l’heure du
COVID-19
Étude IFOP pour Diogène France réalisée en ligne du 9 au 12 avril 2021 auprès d’un échantillon de 1010 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine.
La crise sanitaire et les mesures restrictives qui l’accompagnent – fermeture des cafés notamment – rendent difficile l’accès des Français aux trop peu nombreuses toilettes dans l’espace public. Une difficulté qui s’ajoute au phénomène très courant de gêne à l’idée d’aller déféquer rencontré par nombre de nos concitoyens. Ce que les anglo-saxons nomment « poop shaming » touche particulièrement les dames, l’image de pureté et de propreté ancrée par les codes sociétaux ne faisant pas bon ménage avec la production, pourtant on ne peut naturelle et vitale, d’excréments.
À l’heure du COVID-19, l’IFOP a mené l’enquête pour Diogène France, société de nettoyage spécialisée dans les logements insalubres, sur l’état des lieux des WC publics dans notre pays et les tabous liés à ce que l’on nomme couramment et pudiquement « la grosse commission ».
Un accès difficile aux WC publics depuis la crise sanitaire
- Avec la fermeture des cafés depuis le début de la crise sanitaire, l’accès aux toilettes est devenu de plus en plus difficile dans l’espace public. 45% des Français interrogés disent avoir rencontré ce problème depuis le premier confinement, une proportion qui concerne plus de la moitié des femmes (51%). D’une manière générale, 2 Français sur 3 jugent compliqué l’accès aux WC publics dans leur ville.
Des WC publics trop peu nombreux et sales
- Plus de 3 Français sur 4 déplorent le manque de toilettes publiques. Et lorsqu’elles existent, ils leur reprochent d’être sales – constat partagé par 63% des femmes et 56% des hommes -, nauséabondes et peu sûres. En revanche, l’attente pour accéder à ces lieux ne gêne qu’un quart des femmes et moins d’1 homme sur 5.
- Face à des WC publics qui ne leur inspirent pas confiance, les Français mettent en œuvre différentes stratégies pour ne pas poser leurs fesses directement sur la lunette. Les femmes optent majoritairement (62%) pour une position d’équilibre tandis que les hommes privilégient pour près de la moitié d’entre eux l’installation d’une couche de papier toilette sur la lunette. Seuls 1 homme sur 4 et un peu plus d’1 femme sur 10 (12%) s’assoient directement.
Le « poop shaming », une gêne au féminin
- Plus de 3 Françaises sur 4 (76%) disent avoir déjà ressenti un sentiment de gêne – que les anglo-saxons nomment « poop shaming » - en devant déféquer dans des circonstances particulières, notamment dans des lieux publics.
- Les toilettes publiques (61%), le lieu de travail (60%) et chez des amis (57%) sont les endroits où ce sentiment est le plus présent.
- Les hommes sont également concernés, mais dans des proportions bien moindres. Les endroits qui les mettent mal à l’aise sont les mêmes que les femmes : les WC publics (47%), le lieu de travail (44%) et chez des amis (44%).
Le bruit et l’odeur principaux facteurs d’embarras
- Le bruit et l’odeur liés à la défécation sont cités en premier lieu comme facteurs de gêne lors de l’usage des WC. Sentiment partagé de manière sensiblement égale : les odeurs sont citées par 91% des femmes et 88% des hommes, le bruit par 89% des femmes et 85% des hommes ;
- Le risque que la saleté des toilettes leur soit attribuée après leur passage pose un problème à 4 hommes sur 5 (80%) et à 3 femmes sur 4 (74%).
- Que l’on puisse les imaginer aller à la selle contrarie tout particulièrement les plus jeunes : les ¾ des moins de 25 ans, sexes confondus, l’expriment.
Les femmes ne se retiennent le plus
- Plus des 2/3 des Françaises interrogées (69%) disent se retenir d’aller à la selle en différentes circonstances contre un peu moins de la moitié des hommes (48%).
- Il est ainsi impossible pour 56% des femmes et 30% des hommes de faire la grosse commission chez un nouveau partenaire sexuel quand il se situe à proximité. 42% des Français redoutent également ce moment chez des amis et sur leur lieu de travail.
Des troubles digestifs et intestinaux très courants
- Au cours de leur vie, 86% des femmes et 72% des hommes disent avoir déjà souffert de troubles intestinaux.
- Constipation, troubles de la digestion et crises régulières de diarrhées sont les plus cités.
- Près de 2 femmes sur 3 (60%) âgées entre 40 et 49 ans disent en souffrir actuellement.
Pas de caca la première fois
- La défécation n’ayant rien de très romantique, plus d’1 homme sur 3 et près d’1 femme sur 2 se retiennent lors de leur première nuit ou d’un premier week-end avec un nouveau partenaire.
- Une prévention qui concerne 2 femmes sur 3 et 1 homme sur 2 lorsqu’ils sont âgés de moins de 40 ans.
Techniques de dissimulation
- Près des 2/3 des Français ont déjà mis en œuvre une technique pour amoindrir le bruit qu’ils font en allant à la selle.
- Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à y avoir recours.
- Fermer d’autres portes que celles des WC (41%), mettre du papier au fond de la cuvette (38%) et attendre que le partenaire dorme où soit loin (33%) sont les stratagèmes les plus utilisés.
Les toilettes, sources de dispute (et de conversation) dans le couple
- Comme pour l’essentiel des tâches ménagères, nettoyer les toilettes est assuré à la maison par près de 3 femmes sur 4.
- Les hommes sont-ils moins soucieux de l’état dans lequel ils laissent les WC après leur passage ? C’est en tous les cas à eux que s’adressent le plus souvent les reproches en la matière. Plus de 2 hommes sur 3 (69%) se sont déjà fait réprimander pour diverses raisons, la première d’entre elles étant sans surprise l’oubli d’abaisser la lunette des toilettes (49%) suivie par l’absence de désodorisation des lieux (39%) à égalité avec le non-remplacement du papier toilette.
- Si elle reste un sujet tabou, la défécation n’est pas pour autant rayée des conversations dans le couple. Plus de la moitié des Français ont déjà évoqué avec leur partenaire leur passage aux toilettes ou des problèmes de selle.
- Particulièrement gênées à l’idée qu’on les imagine déféquer, les jeunes femmes sont étonnamment plus à l’aise lorsqu’il s’agit de partager leurs flatulences : 66% des Françaises de moins de 30 ans disent avoir déjà intentionnellement lâché un vent devant leur partenaire !
Le point de vue de François Kraus, directeur du pôle Genre, Sexualité et Santé Sexuelle à l’Ifop :
Le déficit actuel de l’offre sanitaire constitue non seulement un enjeu de santé publique qui devrait s’aggraver avec le vieillissement de la population, mais aussi un problème qui met plus largement en évidence les inégalités de genre affectant la santé des femmes jusqu’au plus profond de leur intimité. En effet, les résultats de cette enquête montrent que l’anxiété liée à l’usage des WC n’est pas un sujet futile pouvant prêter à sourire, mais bien un phénomène socio-psychologique dont l’ampleur et les conséquences sur la santé intestinale peuvent être considérables pour la population en général et pour la gent féminine en particulier. Mettant en lumière l’impact que les stéréotypes de genre et les normes de féminité – culturellement associées à la pureté et la propreté – peuvent avoir sur le rapport au corps, les résultats de cette étude soulèvent donc la question du « système de deux poids deux mesures en vertu duquel les femmes sont jugées plus négativement pour avoir révélé [qu’]elles défèquent, elles aussi, »[1]. En cela, ils posent le problème des modèles de bienséance auxquels les femmes doivent se conformer dans une société où elles sont socialisées pour considérer l’excrétion non comme une activité naturelle, mais comme une source de dégoût incompatible avec la notion de féminité. À l’heure où la nouvelle vague féministe porte le combat de la réappropriation du corps des femmes par elles-mêmes, le rapport au caca apparaît donc comme un marqueur de distinction entre les sexes qui légitime lui aussi une critique de la pression à la perfection et la « pureté » qui pèse sur les femmes.
François Kraus, directeur du pôle Genre, Sexualité et Santé Sexuelle à l’Ifop
En cas d’utilisation, un lien vers Diogène-France serait le bienvenu pour notre équipe. Investigation réalisée et certifiée par la rédaction FLASHS
Diogène-France est une société de débarras et nettoyage insalubre en France, experte dans le domaine depuis plus de 10 ans. Spécialiste des débarras Diogène avec situation à risques pour la vie de la personne occupant les lieux.
Service à domicile : une revalorisation inégale des salaires qui pénalise un secteur
Une revalorisation « historique » de 13 à 15% des salaires du secteur de l’aide à domicile. C’est bien ce qu’annonçait le 1er avril Brigitte Bourguignon, ministre déléguée à l’Autonomie. Prévue au travers de l’avenant 43 de la branche de l’aide à domicile, cette hausse des salaires sera appliquée au 1er octobre prochain… mais pas pour tout le monde ! Cette clause exclut en effet les 200 000 salariés du secteur privé non-rattachés au secteur associatif à but non-lucratif.
Coviva, acteur majeur de l’aide à domicile, s’indigne face à cette décision d’Etat qui encourage une rupture d’équité salariale au sein d’un même secteur. L’entreprise et les fédérations du secteur (FESP, Fésap et le Synerpa) appellent à une revalorisation pour l’ENSEMBLE des intervenants sans distinction de la convention collective de rattachement de leur employeur.
Car comment prétendre à l’amélioration de l’attractivité d’un secteur déjà en pénurie de travailleurs si l’on dévalorise près de la moitié des professionnels ?
En effet, en cette période de crise sanitaire et face aux problématiques actuelles d’isolement et de vieillissement de la population, les services d’aide à la personne se placent sans surprise au sommet des secteurs qui recrutent activement[1] - avant la construction et l’agriculture. Et pourtant, paradoxalement, on constate un manque important de candidats[2].
Auxiliaires de vie, aide-ménagères, opérateurs de téléassistance… Nombreuses et variées sont les opportunités de carrières et de reconversions professionnelles pour les chercheurs d’emploi. En mars, c’était par exemple 530 postes à pourvoir en Ile-de-France[3] et 137 dans le Tarn-et- Garonne[4]… il existe ainsi une augmentation des offres d’emplois pour un nombre constant de candidats.
Avec son réseau de 15 agences spécialisées dans les services à la personne pour seniors, Coviva ressent particulièrement les effets de ce besoin national immédiat. Pour l’année à venir ce sont entre 5 et 15 nouveaux postes d’auxiliaires de vie prévus par agence dont 2 à 5 en besoin immédiat.
« Afin de faire face à ces besoins, et au-delà des contacts avec leurs interlocuteurs Pôle Emploi, les agences organisent des Job Dating ou des journées Portes Ouvertes avec Pôle Emploi, des Missions Locales, des Organismes de Formation… Le recours à des plateformes spécialisées dans les emplois du Service à la Personne tel qu’Aladom facilite parfois le recrutement avec des CV mieux ciblés et correspond également à nos exigences. » explique Etienne Dufour, Directeur des Réseaux MAD/Kids pour Coviva.
Brice Alzon, PDG de Coviva (Réseau de Service à Domicile pour les Seniors) et vice-président de la Fédération des Services à la Personne se tient à votre disposition pour partager avec vous son expertise sur le sujet.
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Etude : Des reconfinements de moins en moins bien respectés en Europe
Par Sotiris Georganas lecteur en économie comportementale à la « City, University of London »
"Depuis le début de la pandémie, Google publie des données de mobilité collectées à partir d'appareils utilisant ses logiciels (tels qu'Android et Google Maps). Les lieux que les gens visitent sont répartis en six catégories: les maisons, les lieux de travail, les parcs, les stations de transports en commun, les épiceries et les pharmacies, et les lieux de vente au détail et de loisirs.
Pour plus de 200 pays et territoires, Google agrège ensuite les visites de chacun de ces types de lieux et les compare à une référence: du 3 janvier au 6 février 2020. Aucun événement spécial ne s'est produit au cours de cette période, écart ultérieur par rapport à la référence (à l'exception des tendances saisonnières , par exemple, les gens vont à la plage en été ou font du shopping avant Noël) peuvent être interprétés comme la réponse collective à la pandémie et aux restrictions.
En utilisant ces données, j’ai ensuite comparé les comportements dans plusieurs pays européens entre la mi-février 2020 et la fin février 2021. Comme suspecté, il semble que les gens n’ont pas répondu aussi fortement aux restrictions de la deuxième vague.
Comparaison de la conformité
Ce premier graphique montre le temps que les gens ont passé chez eux pendant la pandémie. Dans la plupart des pays, les gens semblent être restés beaucoup moins à la maison pendant la deuxième vague (à partir de la fin de 2020) qu'au cours de la première (printemps 2020). Cela est particulièrement frappant étant donné que les taux de cas ont été plus élevés et que la météo n’a pas été au rendez-vous pendant la deuxième vague.
Cependant, les mesures de tous les pays n’étaient pas aussi strictes pendant les deux vagues. L'Italie, par exemple, est entrée dans un confinement national en mars 2020, fermant toutes les écoles et l'industrie non essentielle. Mais lorsque les cas ont de nouveau augmenté à l'automne, il a introduit un système de confinement à plusieurs niveaux qui accordait encore certaines libertés à certaines régions du pays.
Donc, pour nous assurer que nous examinons les différences de conformité et non les restrictions elles-mêmes, concentrons-nous sur les pays dont les mesures de contrôle étaient tout aussi restrictives au cours des première et deuxième vagues. Le suivi COVID-19 de Reuters suggère que le Royaume-Uni, le Danemark, la Grèce et l'Irlande entrent dans cette catégorie. La Suède, qui a toujours très peu de restrictions juridiquement contraignantes, est ajoutée à titre de comparaison.
Alors que les cas augmentaient l'automne dernier, des reconfinements ont été introduits au Royaume-Uni, en Grèce et en Irlande. Vous pouvez en voir les effets évidents : le temps passé à la maison augmente fortement dans ces pays fin octobre-début novembre. Cependant, comme le montrent les données de Reuters, les confinements d'automne de ces pays avaient tendance à être moins stricts que ceux observés précédemment. Les écoles, par exemple, avaient tendance à rester ouvertes. Cela peut expliquer pourquoi les taux de séjour à la maison étaient plus bas à l'automne 2020 qu'au printemps.
Cependant, après un certain relâchement vers Noël, les mesures de confinements se sont resserrées. En janvier 2021, la force des mesures dans ces pays était très similaire à celle du printemps 2020. Pourtant, le temps passé à la maison était encore beaucoup plus faible.
Dans certains pays, les restrictions ont en fait été plus fortes cette fois-ci. En Grèce, par exemple, un couvre-feu a été imposé dans la deuxième vague, contrairement à la première. Pourtant, les données suggèrent qu'en février 2021, les Grecs n'ont passé qu'environ 10% de temps de plus à la maison par rapport à février dernier, alors qu'il n'y avait aucune mesure du tout.
Parmi les pays représentés, seul le Danemark a connu un pic d’heures passées à la maison dans la deuxième vague comparable à celui de la première. A noter que ses restrictions se sont intensifiées plus tard que les autres pays, ce qui explique que son taux de séjour à domicile reste bas en novembre-décembre 2020.
Dans l'ensemble, nous pouvons peut-être considérer ces tendances comme un signe d'adaptation et d’épuisement, que neuf mois après le début de la pandémie, les gens s'étaient habitués aux mauvaises nouvelles et étaient fatigués de rester à la maison. Cependant, ce que font les gens lorsqu'ils ne sont pas chez eux varie d'un pays à l'autre. Prenez, par exemple, les courses.
En Grèce, les données suggèrent que les gens ont beaucoup visité les épiceries en 2021, parfois même plus que pendant la période de référence pré-pandémique. Au Royaume-Uni, au Danemark et en Irlande, les gens ont réagi aux restrictions de cette année en faisant moins d’achats, bien que les visites dans les magasins se soient réintroduites au fil du temps.
Dans ces trois derniers pays, c'est peut-être un autre signe d’épuisement, ou peut-être une réponse au risque perçu, étant donné que les cas ont chuté et que la couverture vaccinale a augmenté dans les trois au cours de cette période (en particulier au Royaume-Uni). De ces trois pays, seul le Danemark semble avoir égalé ses comportements d'achat observés lors de la première vague.
Enfin, examinons les visites sur les lieux de travail. Des restrictions plus sévères après Noël semblent avoir réduit le temps passé sur les lieux de travail, mais pas autant qu'au printemps 2020.
Notez, cependant, que la fréquentation des lieux de travail n'a pas augmenté en 2021 de la même manière que les achats d'épicerie, en particulier au Royaume-Uni et en Irlande. Cela suggère peut-être quelque chose d'intéressant: les gens peuvent être plus cohérents dans le respect des restrictions lorsque celles-ci sont négociées par quelqu'un d'autre (leur employeur), mais moins quand les personnes sont seules responsables.
Pourquoi c'est important
N'oubliez pas que les données mobiles ne fournissent pas de preuves définitives du respect des restrictions par les utilisateurs. Par conséquent, les conclusions qui en découlent ne sont que provisoires. Néanmoins, les données suggèrent que l’adhérence globale n’a pas été aussi forte dans la deuxième vague qu’elle l’était dans la première et qu’elle s’est amenuisée avec le temps.
C'est important. Face à une augmentation des cas, certains pays européens réintroduisent désormais des confinements. D'autres, comme le Royaume-Uni, ont planifié de longues sorties de confinement qui obligeront les citoyens à continuer à suivre les restrictions pendant des mois.
L'examen des données antérieures sur la mobilité suggère que dans les deux scénarios, l'observance pourrait diminuer, ce qui pourrait avoir un impact sur le nombre de cas et les décès. Lors de la planification des prochaines étapes, les gouvernements devraient tenir compte du fait que le comportement du public a peu de chances d'être cohérent."
Cet article est republié de The Conversation sous une licence Creative Commons. Lisez l'article original ici.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Paris, le 28 avril
ETUDE INTERNATIONALE : GAMING MANAGEMENT ET TELETRAVAIL
Les salaires se disent plus productifs, plus heureux depuis qu’ils sont en télétravail
mais déclarent avoir besoin de plus de lien social avec leurs collègues
Paris le 28 avril 2021 - Après une année de crise sanitaire et de nombreux allers et retours entre présentiel et travail à distance, quel est l’avenir du travail ?
Les entreprises retourneront elles au tout présentiel ou passeront-elles au « full » télétravail ? La crise sanitaire aura-t-elle donné naissance à de nouvelles façons de vivre le travail ? Les employeurs font-ils suffisamment d’efforts pour préserver la culture d’entreprise et le développement des équipes dans un environnement professionnel hybride et en pleine mutation ? Quels est le ressenti des salariés ?
Autant de questions auxquelles Emeraude Escape (Start-up leader du marché français de l’Escape Game digital sur mesure pour entreprise) apporte des réponses en publiant les résultats d’une étude internationale (France, Italie, Espagne, Grande-Bretagne, Allemagne, USA, Canada).
Réalisée auprès de 1039 salariés en télétravail, cette étude questionne leur ressenti sur l’impact de la crise sanitaire et des nouvelles modalités de travail sur la cohésion d’équipes, les relations humaines, le sentiment d’appartenance et la culture d’entreprise.
Et surprise, de façon contre intuitive, les salariés se disent plus productifs, plus heureux depuis qu’ils sont en télétravail mais déclarent avoir besoin de plus de lien social avec leurs collègues. Revue de détails.
Découvrez tous les résultats de cette étude en cliqnant ICI
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61 % des dirigeants ont décidé de lancer une initiative d’envergure pour transformer leur entreprise
Les chefs d’entreprises du Forbes Global 2000 partagent leur vision des transformations prioritaires et leurs ambitions
Paris, le 29 avril 2021 – Si de nombreuses entreprises avaient déjà commencé à se transformer avant la pandémie, les multiples aléas et perturbations engendrés par la crise sanitaire, les restrictions de circulation et l’incertitude prolongée ont poussé leurs dirigeants à bousculer les perspectives tracées, les stratégies et les plans établis. EY publie les résultats d’une enquête globale, réalisée auprès de 300 chefs d’entreprises du Forbes Global 2000 pour comprendre leur vision du futur et des enjeux de transformation pour les entreprises de demain (en matière de transformation digitale, de stratégie RH, d’économie circulaire, etc.).
La pandémie a creusé l’écart entre les entreprises les plus avancées et les autres
Même si les situations ont été diverses, faites d’accélérations intenses et de replis pour certaines, la pandémie a creusé l’écart entre les entreprises les plus avancées et les autres.
« La plupart des entreprises ayant déjà engagé la transformation de leur business model pour plus d’agilité ont moins subi que les autres. A l’inverse, celles dont le modèle peinait à s’adapter aux nouveaux besoins de leurs clients ont connu des difficultés, et ont été contraintes de revoir leurs objectifs à la baisse. » explique Bruno Bousquié, associé d’EY-Parthenon, responsable de l’activité Strategy & Transactions pour la France.
L’étude EY révèle que 79% des entreprises les plus avancées, ont nettement augmenté le budget qu’elles allouaient déjà en temps normal à la transformation.
Cette période a également été l’occasion de faire émerger de nouvelles idées pour transformer l’entreprise et conquérir de nouveaux marchés. La majorité des répondants estime être prête à transformer leur entreprise comme ils ne l’avaient sans doute jamais fait auparavant. Ils prévoient d’allouer davantage de ressources au cours des trois prochaines années (sans que cela soit compensé par des réductions de coûts). 68% d’entre eux prévoient de réaliser un investissement important dans les domaines des données et de la technologie et 61% de lancer une initiative d’envergure pour transformer l’entreprise.
Sécuriser pour innover davantage
Au regard des derniers mois, les dirigeants souhaitent être mieux préparés aux aléas qui pourraient mettre en péril le bon fonctionnement des opérations et voient dans les outils d’analyse et l’exploitation des données, un moyen plus sûr et efficace d’arriver à cette fin. 49% d’entre eux souhaitent ainsi davantage être informés des risques stratégiques et 61% prévoient la mise en place d’analyse de risques ou de processus de gestion des risques fondés sur les données.
« Les dirigeants voient dans la science des données un outil stratégique et opérationnel mais surtout la source d’un avantage concurrentiel, notamment pour fidéliser leurs clients en appréhendant leurs besoins et en leur proposant une expérience entièrement personnalisée. » développe Bruno Bousquié, associé EY.
Ainsi 88% des répondants considèrent que la science des données sera un facteur clef de différenciation au cours des cinq prochaines années. Et 87% estiment que les entreprises les plus compétitives seront celles qui ont su créer une expérience d’achat personnalisée.
A noter cependant : seuls 34% affirment que leurs clients leur font suffisamment confiance pour leur confier leurs données.
Mettre la supply chain et le modèle d’affaires au service de la valeur à long terme
Sous la contrainte de la pandémie, les chaînes d’approvisionnement ont connu une profonde réorganisation. Les dirigeants souhaitent saisir cette opportunité pour les transformer à plus long terme. 70% d’entre eux déclarent ainsi réfléchir à adapter les chaînes d’approvisionnement au principe de l’économie circulaire.
Les réflexions sur la valeur à long terme concernent aussi le modèle d’affaires. Les dirigeants ont conscience de l’aspiration toujours plus grande des clients à consommer des biens et services respectueux de l’environnement. 56% d’entre eux envisagent de réorienter l’entreprise dans son ensemble vers une création de valeur à long terme.
Au cours des cinq prochaines années, 91% des dirigeants s'attendent justement à ce que les business model intègrent l'économie circulaire dans leur périmètre. 87% prévoient que la création de valeur à long terme sera récompensée par le marché, et 80% estiment qu’une norme mondiale sera mise en place à terme pour mesurer et rendre compte de la valeur à long terme.
Mais au-delà de cette intention, les modalités de la réflexion stratégique et de l’allocation des ressources dans une recherche de valeur de long terme restent à définir.
Une stratégie RH innovante pour une transformation continue
La transformation des modes de travail et la relation au lieu de travail durant la pandémie ont permis aux dirigeants de comprendre l’importance d’adapter leur stratégie de recrutement, la formation de leurs talents, et plus globalement leur organisation pour gagner en agilité et en performance.
Ainsi, ils souhaitent renforcer leurs politiques en matière de formation des talents : 62% d’entre eux comptent former les talents aux nouveaux impératifs du marché. 55% sont également conscients que favoriser le bien-être au travail est aussi un levier puissant de réalisation, aussi se fixent-ils la priorité d’y investir davantage.
Dans les cinq prochaines années, 76% des dirigeants pensent que le système de mesure de la performance et de récompenses devra être revu pour s’adapter aux nouveaux profils. En matière organisationnelle, 70% mettront également l’accent sur de plus petites équipes, resserrées et autonomes, liées les unes aux autres dans une organisation horizontale pour mener à bien les projets.
Méthodologie de l’étude : L’enquête a été menée par Forbes Insights entre les mois d’octobre et décembre 2020 auprès de 300 chefs d’entreprises du Forbes Global 2000.
EY | Building a better working world La raison d’être d’EY est de participer à la construction d’un monde plus équilibré, en créant de la valeur sur le long terme pour nos clients, nos collaborateurs et pour la société, et en renforçant la confiance dans les marchés financiers. Expertes dans le traitement des données et des nouvelles technologies, les équipes EY présentes dans plus de 150 pays, contribuent à créer les conditions de la confiance dans l’économie et répondent aux enjeux de croissance, de transformation et de gestion des activités de nos clients. Fortes de compétences en audit, consulting, droit, stratégie, fiscalité et transactions, les équipes EY sont en mesure de décrypter les complexités du monde d’aujourd’hui, de poser les bonnes questions et d’y apporter des réponses pertinentes. EY désigne l’organisation mondiale et peut faire référence à l’un ou plusieurs des membres d’Ernst & Young Global Limited, dont chacun représente une entité juridique distincte. Ernst & Young Global Limited, société britannique à responsabilité limitée par garantie, ne fournit pas de prestations aux clients. Les informations sur la manière dont EY collecte et utilise les données personnelles, ainsi que sur les droits des personnes concernées au titre de la législation en matière de protection des données sont disponibles sur ey.com/privacy. Les cabinets membres d’EY ne pratiquent pas d’activité juridique lorsque les lois locales l’interdisent. Pour plus d’informations sur notre organisation, veuillez-vous rendre sur notre site ey.com. © 2021 EY & Associés. Tous droits réservés. Cette publication a valeur d’information générale et ne saurait se substituer à un conseil professionnel en matière comptable, fiscale, juridique ou autre. Pour toute question spécifique, veuillez-vous adresser à vos conseillers. ey.com/f |
68% des points de vente voient 2021 comme une année positive pour la vente de 2 roues
Futurosoft, filiale du groupe DL Software et leader des logiciels de gestion pour les concessions 2 roues, publie son étude sur l'impact de la crise sanitaire sur le marché des 2 roues. Réalisée auprès de plus de 3000 points de vente, l'étude révèle comment les revendeurs de deux roues traversent la crise et retranscrit leurs enjeux pour 2021.
2020 : une année sauvée par l'engouement pour le vélo et les véhicules électriques
Malgré l'engouement des consommateurs pour le vélo et les véhicules électriques, le marché du 2 roues (motos, scooters, vélo classique, vélo électrique) n'est pas totalement épargné par la crise sanitaire. En effet, 42% des répondants ont déclaré que leur chiffre d'affaires avait baissé en 2020.
Dans le détail :
- 11,94% indiquent qu'il est resté stable
- 42,54 déclarent qu'il a augmenté
- 42,53 remarquent qu'il a baissé
- 2,99% ne savent pas
- Le budget attribué : 33% des points de vente déclarent que le budget de leur client a significativement évolué depuis le début de la crise sanitair
- Le type de produit acheté : 39% des points de vente indiquent une modification des types de produit acheté, notamment en faveur des vélos / véhicules électriques (+45% des répondants ont observé une hausse de la demande sur l'électrique et+76% parmi les revendeurs de vélo)
2021 : des prévisions optimistes et des investissements digitaux à la hauteur de l'enjeu
Le sondage indique que 68% des points de vente voient 2021 comme une année positive pour la vente de 2 roues – seulement 24% envisagent un chiffre d'affaires en baisse par rapport à 2020.
Afin de soutenir cette croissance, 33% des points de vente souhaitent mettre en place un service de location de cycles / 2 roues motorisés. Et +65% envisagent de distribuer des véhicules électriques.
Selon Jean-Alexis d'Utruy, Fondateur de Futurosoft, « cet engouement fait écho à une véritable prise de conscience des Français autour des problématiques environnementales, notamment l'impact de leurs déplacements sur la qualité de l'air. Et si le vélo électrique a d'abord permis de remettre en selle toute une tranche de la population à fort pouvoir d'achat, aujourd'hui son coût est davantage accessible et son usage s'est étendu, notamment grâce aux aides gouvernementales. »
En termes d'investissement, +61% des acteurs du deux roues déclarent qu'investir dans le digital sera leur top priorité en 2021. Et ce score s'élève à 75% chez les revendeurs de motos. Cet investissement permettra notamment la création de sites internet ou, plus généralement, aura pour objectif le développement de leur présence en ligne et la digitalisation de leur système de gestion.
« L‘arrivée de la crise sanitaire a provoqué une véritable prise de conscience quant aux enjeux du digital, le secteur du cycle et motocycle est à la recherche de leviers pour accroître leur chiffre d'affaires sans augmenter le trafic en point de vente, » explique Simon Quéret, directeur général de Futurosoft.
« Pour nos clients aujourd'hui, la digitalisation se déploie sur différents axes : la mobilité avec notamment des outils en mode SAAS, Une communication cliente renforcée : mailing, prise de rdv, et le développement de leur visibilité en ligne. Sur ce dernier axe, nombre de nos clients misent sur la création de ‘niches digitales' comblant ainsi un retard du secteur dans ce domaine » conclut-il.
Méthodologie : Etude réalisée auprès de +3000 points de ventes clients et prospects Futurosoft. Les interviews se sont déroulées en ligne, par questionnaire auto-administré, sur le système SurveyMonkey, durant la période du mois de mars 2021.
Futurosoft, société du groupe DL Software, est le leader de l'édition de logiciel de gestion pour les concessions motos, cycles et motoculture. Depuis plus de 30 ans, l'entreprise est reconnue pour améliorer fortement la productivité de ses +2500 clients basés en France, en Suisse et au Benelux. Futurosoft propose une solution complète basée principalement sur un logiciel simple, multicanal et couvrant toutes les fonctionnalités métier attendues par ses utilisateurs (Gestion, Planning atelier, Fidélité et CRM).
Test - Casques vélo pour adultes
Les casques de notre test ont été évalués selon le risque de blessure grave lors d’une chute sur la tête à 20 km/h en prenant en compte deux critères : la commotion cérébrale et la fracture du crâne.> Consultez le test |
Arnaque au numéro surtaxé - Le coup du faux technicien Orange
Des abonnés Orange se sont retrouvés avec des factures de téléphone importantes après avoir suivi les consignes d’un faux technicien qui les avait contactés par téléphone.> Lire la suite |
Aides de la Caf - Revalorisation a minima sur les comptes des allocataires début mai
Revalorisées une fois par an au mois d’avril, certaines aides accordées par la Caf et la MSA vont augmenter à la marge pour les bénéficiaires qui les recevront début mai.> Lire la suite |
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Dans de nombreux troubles ou affections, les médicaments ne sont pas des remèdes obligés. Ils peuvent s’avérer inutiles, inappropriés ou trop risqués. Mieux vaut alors s’en passer. Revue de détail.> Lire la suite |
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Pour détecter tôt une aggravation du Covid-19, l’oxymètre de pouls est un outil très utile. L’assurance maladie rembourse désormais leur location par les pharmacies, pour une durée de deux semaines.> Lire la suite |
Téléconsultation - Attention aux tarifs
Un quart des acteurs du secteur de la télémédecine sont hors des clous, selon la Répression des fraudes. L’information sur les tarifs qui, comme en cabinet, est obligatoire, doit être améliorée.> Lire la suite |
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Combattre l'hypertension, un mal qui touche 1 Français sur 3, grâce à au bracelet
lancement en France du 1er bracelet connecté de surveillance en continu de l’hypertension artérielle. Cette innovation fait suite à 15 ans de recherches conduites au Centre suisse d'électronique et de microtechnique (CSEM). Les leaders mondiaux de la technologie aimeraient posséder cette innovation qui va révolutionner le monde de l’hypertension mais c’est une start-up suisse Akttia qui réussit cet exploit.
Nous avons le soutien du Professeur Girerd, cardiologue et Président de la Fondation de Recherche sur l'Hypertension Artérielle pour ce lancement.
A retenir : L’hypertension artérielle est une maladie cardiovasculaire qui touche en France un adulte sur trois --SEULE LA MOITIÉ LE SAIT-- et son incidence augmente avec l’âge*.
La précision suisse au service de l’hypertension : la MedTech Aktiia® lance en France le 1er bracelet connecté de surveillance en continu de l’hypertension
L’hypertension artérielle est une maladie cardiovasculaire qui touche en France un adulte sur trois --SEULE LA MOITIÉ LE SAIT-- et son incidence augmente avec l’âge*.
Neuchatel, Suisse -- Le 6 mai, 2021 - Aktiia, la Medtech Suisse créatrice du premier système optique connecté de surveillance de la pression artérielle pour une utilisation continue, annonce aujourd'hui le lancement en France de son bracelet connecté et de son service de surveillance de la pression artérielle 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Cette innovation médicale révolutionnaire permet de fournir aux utilisateurs et à leurs médecins des informations complètes sur les mesures de la pression artérielle qui permettent de mieux diagnostiquer et de mieux gérer l'hypertension ainsi que les risques qui y sont liés. Désormais disponible à la vente en France, Aktiia répond aux standards de la norme ISO81060-2 et a reçu le marquage CE en tant que dispositif médical de classe IIa.
Le dispositif Aktiia permet un suivi plus précis sur le long terme de la tension artérielle que les prises de tension ponctuelles avec un tensiomètre gonflable classique. Il permet de mesurer en continu et sans douleur la pression artérielle pour détecter et prévenir de façon précise les risques cardio-vasculaires.
« L'hypertension artérielle concerne en France 15 millions de personnes et sa prise en charge a montré son efficacité pour se protéger contre les maladies cardiovasculaires en particulier l'Accident Vasculaire Cérébral » déclare le Pr Xavier Girerd, cardiologue et Président de la Fondation de Recherche sur l'Hypertension Artérielle.
« La mesure de la tension n'avait pas fait l'objet d'innovation depuis un siècle et la mise au point du bracelet AKTIIA, un dispositif "sans brassard" basé sur la "détection optique en continu", constitue une innovation majeure pour les patients avec une hypertension artérielle » précise le Pr Girerd.
« Avec l'arrivée d'AKTIIA, une révolution va se produire dans le domaine de la surveillance de la tension car il y aura sans doute de profondes modifications dans la façon de prendre en charge l'hypertension artérielle » prédit le Président de la FRHTA.
« Les maladies cardiovasculaires étant la principale cause de décès dans le monde, le grand public doit réaliser quel impact les choix de mode de vie auront sur son avenir et les médecins doivent pouvoir comprendre plus profondément les schémas de pression artérielle afin de pouvoir changer la façon dont ils diagnostiquent et traitent les personnes souffrantes d’hypertension », a déclaré Mike Kisch, PDG d'Aktiia. « Après 15 ans de développement et un million de lectures de la pression artérielle, Aktiia a réussi à mettre sur le marché le premier système automatisé de surveillance de la pression artérielle 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 au monde. »
Fonctionnement du système Aktiia
Les algorithmes de surveillance de la pression artérielle (OBPM) d'Aktiia s'appuient sur des capteurs optiques portés au poignet et fournissent des valeurs de pression artérielle en utilisant la photopléthysmographie (PPG) pour analyser le changement de diamètre des artères qui se produit à chaque battement de cœur. Cette mesure optique est effectuée en continu et automatiquement grâce au petit bracelet léger au look contemporain de sorte que les utilisateurs n'ont pas à interrompre leur journée ou leur sommeil pour prendre une mesure. Aktiia a démontré une grande précision dans son essai clinique pivot : 0,45 ± 7,75 mmHg pour la pression artérielle systolique et 0,38 ± 6,86 mmHg pour la pression artérielle diastolique. Les processus de collecte et de traitement des données d'Aktiia répondent aux plus hauts enjeux de sécurité et au RGPD.
Disponibilité et prix d’Aktiia
Aktiia est commercialisé en ligne directement sur le site internet
Le dispositif de surveillance de la pression artérielle 24/7 d'Aktiia comprend :
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Le bracelet Aktiia
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L’accès à toutes les fonctionnalités de l'application Aktiia
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Le brassard Aktiia (utilisé pour l'étalonnage une fois par mois).
Le dispositif Aktiia est commercialisé en deux options :
Option 1 - Achat du bracelet tensiomètre connecté et du brassard Aktiia au coût initial de 99 € avec un abonnement mensuel à l’application Aktiia de 8,99 € /mois
Option 2 - Un coût annuel de 199 € qui comprend le bracelet tensiomètre connecté et le brassard Aktiia ainsi que 12 mois de service de surveillance 24/7 (avec un abonnement à 6,99 € / mois l’année suivante).
A propos d’Aktiia
Fondée en Suisse en mai 2018 par les docteurs Mattia Bertschi et Josep Sola dans le but de transformer les connaissances en actions dans la lutte contre l'hypertension, la technologie médicale révolutionnaire d'Aktiia a été initialement développée au prestigieux Centre suisse d'électronique et de microtechnique (CSEM). Désormais disponible en France. Aktiia a reçu le marquage CE en tant que dispositif médical de classe IIa, ce qui signifie que le dispositif a été évalué comme répondant aux exigences élevées de l’Europe en matière de sécurité, de santé et de protection de l'environnement.
L'équipe d'Aktiia compte aujourd’hui certains des plus grands experts scientifiques et techniques au monde en matière de surveillance optique de la pression artérielle, notamment le CTO, le Dr Josep Sola, pionnier de la surveillance de la pression artérielle sans brassard et rédacteur en chef de "The Handbook of Cuffless Blood Pressure Monitoring." Aktiia a été validé dans de multiples études cliniques sur une population diverse de porteurs dans de multiples positions du corps.
Disponible depuis le début de l’année en Angleterre, Aktiia est désormais en vente dans plusieurs pays à travers l’Europe dont la France, l’Allemagne, l’Autriche, en Irlande et en Suisse. Pour en savoir plus, visitez le site Aktiia.com.
Pour plus de détails, vous pouvez consulter les essais cliniques
Le dispositif de surveillance optique de la pression artérielle Aktiia a démontré sa précision dans le cadre de divers essais cliniques dont les résultats ont fait l’objet de présentations lors de nombreux congrès scientifiques et de publications dans des revues reconnues par le corps médical. L'essai clinique pivot d'Aktiia a été mené au Centre Hospitalier Universitaire de Lausanne (CHUV) en respectant les normes internationales de validation et en recrutant des participants dans un échantillon représentatif de l'âge, de l'IMC et de la couleur de la peau. Ses résultats ont été évalués par des pairs et acceptés pour une publication par la revue de référence dans le domaine : Blood Pressure Monitoring.
Démarchage téléphonique - Les associations de consommateurs dénoncent le manque d’ambition du Gouvernement > Lire la suite |
Etude IFOP x Laforêt : la rénovation énergétique, au coeur des foyers français
Désormais pour 4 Français sur 10, l'impact environnemental est un critère prépondérant dans le cadre de la rénovation énergétique de leur logement, devant le souhait de ne plus subir les hausses tarifaires des fournisseurs.
On n’en a pas toujours conscience, mais notre alimentation contribue fortement à la santé dentaire. Et quand on comprend à quel point cette dernière influence notre santé, on comprend aussi que mieux vaut prévenir que guérir. Malmenée, votre santé buccale vous le rendra au centuple… Œil pour œil, dent pour dent.
Nous sommes d’accord, avoir de belles dents, c’est important pour se sentir bien. Qu’elles soient jaunes ou manquantes, cela peut considérablement modifier un visage et obliger à… serrer les dents. Pas facile de bien mastiquer avec une mauvaise dentition. Or, un manque de mastication diminue les capacités d’absorption des nutriments, alourdit la tâche du système digestif et peut provoquer troubles intestinaux et mauvaise haleine. Mais les mauvaises nouvelles ne s’arrêtent pas là.
Une bonne santé buccale, ce n’est pas juste un problème esthétique
Aussi incroyable que cela puisse paraître, une santé buccale déficiente augmente le risque de nombreuses maladies ! Et pas des moindres !
Et si tout partait de la bouche ?
Le lien entre maladie d’Alzheimer et infection buccale a été établi et ce qui n’était qu’une hypothèse il n’y a pas si longtemps encore semble se confirmer. En effet, certaines bactéries sont capables de libérer des enzymes qui ne vont pas se contenter de favoriser l’inflammation au niveau des gencives, mais qui peuvent aussi passer dans le cerveau via le sang et y favoriser des lésions du même type que celles de la maladie d’Alzheimer1. Un lien entre la perte de dents à l’âge adulte et le risque de démence a également été suggéré.
Mais ce n’est pas tout : le risque de cancer de l’oesophage (pas bien loin de la bouche) est triplé en cas de parodontite (infection des gencives) et le risque est aussi augmenté pour le cancer du sein, du poumon, du côlon et de la vésicule biliaire2.
Enfin, la bouche accueille aussi un microbiote. S’il est bien équilibré, il protège de l’apparition de bactéries pathogènes. Très récemment, le lien entre le microbiote buccal et l’obésité a été établi3. Sur 16 espèces différentes de bifidobactéries et de lactobacilles, 8 ont été corrélées au risque d’obésité. Et le plus surprenant c’est que les enfants de 2 ans qui prennent du poids rapidement ont déjà un microbiote buccal qui présente des similitudes avec celui des personnes en état d’obésité.
Le microbiote salivaire des personnes obèses a non seulement une composition différente mais est aussi, comme l’intestinal, moins diversifié. Certaines bactéries normalement présentes dans la bouche sont retrouvées dans les selles, ce qui montre que la salive peut les y transporter.
Et la liste ne s’arrête pas là. Des liens semblent aussi établis avec l’hypertension et même avec la gravité des complications de la Covid-194. Une dent avertie en vaut deux…
1- Periodontal Disease and Periodontal Disease-Related Bacteria Involved in the Pathogenesis of Alzheimer’s Disease. J Inflamm Res. K. Matsushita. June 2020.
2- Periodontal disease and cancer: Epidemiologic studies and possible mechanisms. Peridontol 2000. Ngozi Nwizu. June 2020.
3- Obesity and periodontal disease: A review. J. Family Med Prim. Care. M Kan. 2020
4- Could there be a link between oral hygiene and the severity of SARS-CoV-2 infections? Br Dent J. 2020.
Calcium, magnésium, phosphore, vitamines D : le trio de choc pour croquer la vie à pleines dents !
Le calcium, le magnésium et le phosphore sont les 3 constituants structuraux de base des dents. En manquer augmente les facteurs de risques sur la santé, ainsi que celui de voir se développer saignements de gencives, déchaussements et pertes de dents. Les déficits en phosphore sont très rares, mais il n’en est pas de même pour le calcium et le magnésium. Et pas question de les dissocier car avoir assez de calcium mais trop peu de magnésium affaiblit l’émail.
Au menu, prévoyez donc des yaourts nature, amandes et autres oléagineux, sardines, choux, légumes verts, poisson, graines, quinoa… Certaines eaux minérales contiennent aussi du calcium et du magnésium.
La vitamine D, pas que pour faire de bons os !
Sans elle, pas de fixation du calcium possible. La vitamine D fait pourtant souvent défaut au sein de la population. Au-delà de son rôle connu sur la santé osseuse, elle contribue aussi à une bonne immunité et est anti-inflammatoire. Certaines personnes ont malheureusement des récepteurs à la vitamine D génétiquement moins fonctionnels. Elles présentent alors un risque augmenté de maladies parodontales.
Au menu : œufs et poisson gras. Mais, malheureusement, même une alimentation équilibrée n’est pas capable d’apporter la quantité de vitamine D dont nous avons besoin. Le soleil (qui arrive) va alors avoir toute sa place pour compléter nos apports. Mais lui non plus ne suffit pas toujours. Une petite supplémentation est souvent nécessaire.
Il est préférable de ne pas avoir de dent contre les fruits et légumes !
Pour chouchouter ses dents, les études montrent également qu’il est important d’apporter des antioxydants (vitamine C, vitamine E, bêta-carotène…), mais aussi des anti-inflammatoires naturels. N’hésitez donc pas à vous mettre sous la dent : légumes et fruits de toutes les couleurs, et surtout ceux de couleur orange (carottes, patates douces, oranges, abricots, melons), les légumes à feuilles vertes, le thé vert, des huiles extra-vierges, des noix…
Des bactéries dans la bouche ? Eh oui, notre bouche a son microbiote
Les maladies parodontales n’ont pas qu’une seule cause. Elles ont des origines à la fois génétiques et environnementales. Nous disposons d’une flore buccale (ou microbiote buccal) qui joue un rôle important. L’implication de certaines souches dans l’apparition et la progression de ces pathologies a été établie, alors que d’autres seraient protectrices. C’est pourquoi les dentistes commencent à encourager l’utilisation de certains probiotiques spécifiques à la santé buccale, qui auraient également une action préventive bénéfique.
Il est intéressant de noter que certaines bactéries délétères à la santé buccale semblent ne pas du tout apprécier le thé Oolong. Sa consommation régulière pourrait, dès lors, moduler le microbiote buccal, avoir un effet antipathogène et, ainsi, une action préventive intéressante. Bien sûr, est-il vraiment utile de rappeler que la santé dentaire – et buccale en général – passe aussi par un brossage méticuleux 2 fois par jour, l’utilisation de brossettes interdentaires, une consommation la plus limitée possible d’aliments sucrés et le fait de ne pas fumer ?
Véronique Liesse www.veronique-liesse-nutrition.com Chaîne YouTube : L’Healthentiel
Le savez-vous ? Des dents qui s’écartent sont souvent le signe d’une atteinte anormale du tissu de soutien des dents (os et ligaments) et d’une inflammation de la gencive. |