avec un grand merci, comme toujours, à notre plus fidèle contributeur, j'ai nommé Pierre-Jean Lllorens, merci à toi ...

POSTE A POURVOIR RAPIDEMENT : directeur de projet sap pour un cdi client final

Nous cherchons pour notre client dans le département 73 ou 74 les 2 sites sont possibles
 
un directeur de projet SAP pour un cdi 80/90 ke  (cdi client final)
l'éuipe interne et externe est de 15 personnes
vous dépendez du DSI
le poste est à pourvoir sous envion 1 à 3 mois
 
Etes vous actuellement à l'écoute du marché ? Dans l'affirmative merci de nous envoyer votre CV sous la référence : DirProj/Triangle/
 
NB : Il ne sera pas possible d'intervenir en mode prestation de service/freelance
NB : Il ne sera pas possible d'habiter dans un autre département que le 74 - 73 (par exemple, Lyon ou Grenoble n'est pas possible) 
 

Hervé Dulaire

IT Resourcer

ITProject-search

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Meteojob dresse un TOP 10 des secteurs qui recrutent

1er trimestre 2021 : état des lieux du recrutement et de la recherche d'emploi

 

Paris, le 27 avril 2021 - Alors que Pôle Emploi publie ce jour les statistiques portant sur les demandeurs d'emploi inscrits au 1er trimestre 2021, Meteojob, site de recherche d'emploi du groupe CleverConnect, a analysé et comparé l'ensemble des offres d'emploi proposées sur sa plateforme en avril 2020 et en avril 2021. Quels sont les métiers les plus demandés ? Quels secteurs recrutent le plus ? Quelles tendances et évolutions (au global et par secteur), par rapport à la même période l'année dernière ? Des données qui ont permis à l'expert du recrutement Meteojob de dresser un état des lieux de l'emploi en France.

 

Parmi les premiers enseignements : une nette augmentation des offres d'emploi. Certains secteurs proposent en effet de nombreuses opportunités de recrutement, notamment la Santé et la Distribution, avec les métiers de préparateur de commandes et de cariste largement représentés.

 

1 - Une nette augmentation des offres d'emploi publiées sur Meteojob : +48%

L'augmentation des offres d'emploi, déjà constatée par l'expert du recrutement en décembre dernier, se confirme sur ce premier trimestre 2021. Cette hausse de +48% des offres d'emploi concerne principalement le secteur de l'intérim (+73%) et les contrats CDI (+43%).

 

2 - Emploi des jeunes : des contrats d'alternance et d'apprentissage à la hausse (+142%)

Alors que la situation des jeunes en France est préoccupante du fait de la crise sanitaire, Meteojob enregistre une forte hausse des contrats d'alternance et d'apprentissage : +142% par rapport à l'année 2020.

 

3 - Le secteur de l'Hôtellerie-Restauration n'a pas résisté ce premier trimestre, alors que le secteur Distribution & Commerce de détail se maintient :

Face aux contraintes liées à la crise sanitaire, le secteur de l'Hôtellerie-Restauration, lourdement impacté, ne fait plus partie du TOP 10 des secteurs qui recrutent ce 1er trimestre 2021. Le secteur Distribution & Commerce de détail, quant à lui, résiste bien (+105%) du fait du maintien des enseignes de la grande distribution et des ouvertures ponctuelles de certains petits commerces.

 

4 - La Santé : dans le TOP 3 des secteurs qui embauchent

En 2ème position du TOP des secteurs qui recrutent, le secteur de la Santé ne cesse d'être en demande de personnel, avec des besoins accentués depuis plus d'un an. Sans surprise, le métier d'infirmier se trouve en tête du classement des métiers qui recrutent début 2021.

 

Les 10 secteurs qui recrutent le plus en avril 2021

  1. Le recrutement et placement
  1. Le BTP
  1. La santé
  1. La distribution & commerce de détail
  1. L'industrie
  1. Les services aux entreprises
  1. Les services à domicile
  1. L'immobilier
  1. La logistique et le transport
  1. La banque et la finance

 

Les métiers les plus demandés au 20 avril 2021

  1.  Infirmier
  1. Aide-soignant
  1.   Technicien de maintenance
  1. Chirurgien-dentiste
  1.  Garde d'enfant à domicile
  1. Auxiliaire de vie
  1.  Préparateur de commandes
  1. Femme de ménage
  1.  Cariste
  1. Maçon

A propos de CleverConnect 

Expert de la HR Tech française, CleverConnect aide les entreprises à repenser leur stratégie de recrutement afin d'attirer, de convertir et d'évaluer leurs candidats de façon efficace et innovante. Pour ce faire, CleverConnect propose des solutions SaaS de matching de CV, d'entretien vidéo, ainsi que des sites carrières intelligents. Des solutions actuellement déployées chez ses clients, grands comptes, tels que Leroy Merlin, Orange, SMCP, Colas, Korian, Safran... CleverConnect possède également le site de recherche d'emploi meteojob.com comptabilisant à date plus de 150 000 offres en ligne et 7 millions d'inscrits. En 2019, l'entreprise a réalisé un tour de table de 5,5 millions d'euros auprès de Sofiouest et du fonds d'investissement à impact Citizen Capital. Présent en France, en Espagne, en Italie et dans la région DACH, CleverConnect rassemble aujourd'hui une équipe de 150 collaborateurs. 

www.cleverconnect.com 

 

Popchef // Comment les salariés se restaurent-ils en entreprise en 2021 ?

Bien que le télétravail soit devenu la norme, de nombreux salariés continuent de se rendre sur leurs lieux de travail, soit à temps plein, soit quelques jours par semaine pour retrouver un semblant de normalité.
 

Popchef, leader des solutions de restauration en entreprise, qui propose à la fois :

 

 - Des plats sains chaque matin, mis à disposition via des cantines connectées, pour les salariés présents sur place; 

- La livraison de box télétravail  à domicile aux salariés en télétravail;

- Et enfin,  une offre de plateaux-repas haut de gamme à destination des salariés dans le cadre de réunions groupées,

 

… Met en exergue plusieurs informations intéressantes : 

  • Les salariés continuent d'aller au bureau, malgré les annonces gouvernementales récentes. Le nombre de commandes de plats Popchef par les salariés présents en entreprise a même augmenté de 6,5% entre janvier 2021 et mars 2021. 
     
  • 72% des salariés et consommateurs habituels des plats Popchef en entreprise continuent de commander dans ce contexte. Cette solution de restauration convient donc parfaitement aux nouvelles habitudes de travail des salariés.
  • Popchef a aussi constaté un changement intéressant dans la façon de consommer des salariés en entreprise. Par rapport à 2020, le nombre de demandes de plateaux-repas a, en effet, diminué de moitié. Cela signifie donc que le nombre de réunions en présentiel a largement diminué et les déjeuners groupés sont désormais limités pour restreindre les risques de contamination et se conformer à la législation en vigueur. Les entreprises privilégient les déjeuners individuels ou en très petits groupes.
     
  • Enfin, entre le premier confinement de mars 2020 et celui de mars 2021 les clients de Popchef, sont trois fois moins à avoir fermé leur cantine, ce qui signifie qu'il y a une réelle demande de solution de restauration de la part des salariés malgré le contexte de confinement

Ainsi, ces données montrent que les salariés, lorsqu'ils sont en entreprise, sont toujours à la recherche de solutions de restauration pendant le déjeuner. Toutefois, leur consommation se fait dans les règles actuellement en vigueur et les regroupements prévus/organisés à l'heure du déjeuner ne sont plus la norme.

Les salariés se sont donc adaptés à la situation sanitaire et au télétravail, renforcé depuis plusieurs semaines dans les entreprises. Paradoxalement, ces données montrent aussi qu'ils sont davantage présents sur leur lieu de travail par rapport au premier confinement. Cela s'explique par le fait que l'entreprise est génératrice de liens sociaux. Les français, forcés depuis plus d'1 an à maintenir une distanciation sociale, commencent à en ressentir l'épuisement. Ces espaces de sociabilité que sont les lieux de restaurations collective sont une manière de maintenir un lien social, désormais nécessaire, tout en respectant les restrictions sanitaires.

 



40 postes d'alternants à pourvoir chez l'industriel nantais ARMOR
 
A cinq mois de la rentrée scolaire 2021, l'industriel ARMOR lance une grande campagne de recrutement à destination des jeunes. A la clef : une quarantaine de postes en stage et en alternance, principalement sur des fonctions industrielles ; des stages de longue durée sont également à pourvoir tout au long de l'année. Acteur économique de premier plan de la région Pays de la Loire, l'ETI industrielle confirme son engagement dans la formation des jeunes, particulièrement pénalisés ces derniers mois par la crise du Covid-19.

 

Les Français(e)s et le « poop shaming » à l’heure du

COVID-19

 

Étude IFOP pour Diogène France réalisée en ligne du 9 au 12 avril 2021 auprès d’un échantillon de 1010 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine.

La crise sanitaire et les mesures restrictives qui l’accompagnent – fermeture des cafés notamment – rendent difficile l’accès des Français aux trop peu nombreuses toilettes dans l’espace public.  Une difficulté qui s’ajoute au phénomène très courant de gêne à l’idée d’aller déféquer rencontré par nombre de nos concitoyens. Ce que les anglo-saxons nomment « poop shaming » touche particulièrement les dames, l’image de pureté et de propreté ancrée par les codes sociétaux ne faisant pas bon ménage avec la production, pourtant on ne peut naturelle et vitale, d’excréments.

À l’heure du COVID-19, l’IFOP a mené l’enquête pour Diogène France, société de nettoyage spécialisée dans les logements insalubres, sur l’état des lieux des WC publics dans notre pays et les tabous liés à ce que l’on nomme couramment et pudiquement « la grosse commission ».

 

 

Un accès difficile aux WC publics depuis la crise sanitaire

  • Avec la fermeture des cafés depuis le début de la crise sanitaire, l’accès aux toilettes est devenu de plus en plus difficile dans l’espace public. 45% des Français interrogés disent avoir rencontré ce problème depuis le premier confinement, une proportion qui concerne plus de la moitié des femmes (51%). D’une manière générale, 2 Français sur 3 jugent compliqué l’accès aux WC publics dans leur ville.

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Des WC publics trop peu nombreux et sales

  • Plus de 3 Français sur 4 déplorent le manque de toilettes publiques. Et lorsqu’elles existent, ils leur reprochent d’être sales – constat partagé par 63% des femmes et 56% des hommes -, nauséabondes et peu sûres. En revanche, l’attente pour accéder à ces lieux ne gêne qu’un quart des femmes et moins d’1 homme sur 5.

2. Enquête Ifop x Diogène.png

  

  • Face à des WC publics qui ne leur inspirent pas confiance, les Français mettent en œuvre différentes stratégies pour ne pas poser leurs fesses directement sur la lunette. Les femmes optent majoritairement (62%) pour une position d’équilibre tandis que les hommes privilégient pour près de la moitié d’entre eux l’installation d’une couche de papier toilette sur la lunette. Seuls 1 homme sur 4 et un peu plus d’1 femme sur 10 (12%) s’assoient directement.

 

3. Enquête Ifop x Diogène.png

 

Le « poop shaming », une gêne au féminin

  • Plus de 3 Françaises sur 4 (76%) disent avoir déjà ressenti un sentiment de gêne – que les anglo-saxons nomment « poop shaming » - en devant déféquer dans des circonstances particulières, notamment dans des lieux publics.
  • Les toilettes publiques (61%), le lieu de travail (60%) et chez des amis (57%) sont les endroits où ce sentiment est le plus présent.
  • Les hommes sont également concernés, mais dans des proportions bien moindres. Les endroits qui les mettent mal à l’aise sont les mêmes que les femmes : les WC publics (47%), le lieu de travail (44%) et chez des amis (44%).

4. Enquête Ifop x Diogène.png

 

Le bruit et l’odeur principaux facteurs d’embarras

  • Le bruit et l’odeur liés à la défécation sont cités en premier lieu comme facteurs de gêne lors de l’usage des WC. Sentiment partagé de manière sensiblement égale : les odeurs sont citées par 91% des femmes et 88% des hommes, le bruit par 89% des femmes et 85% des hommes ;
  • Le risque que la saleté des toilettes leur soit attribuée après leur passage pose un problème à 4 hommes sur 5 (80%) et à 3 femmes sur 4 (74%).
  • Que l’on puisse les imaginer aller à la selle contrarie tout particulièrement les plus jeunes : les ¾ des moins de 25 ans, sexes confondus, l’expriment.

5. Enquête Ifop x Diogène.png

 

Les femmes ne se retiennent le plus

  • Plus des 2/3 des Françaises interrogées (69%) disent se retenir d’aller à la selle en différentes circonstances contre un peu moins de la moitié des hommes (48%).
  • Il est ainsi impossible pour 56% des femmes et 30% des hommes de faire la grosse commission chez un nouveau partenaire sexuel quand il se situe à proximité. 42% des Français redoutent également ce moment chez des amis et sur leur lieu de travail.

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Des troubles digestifs et intestinaux très courants

  • Au cours de leur vie, 86% des femmes et 72% des hommes disent avoir déjà souffert de troubles intestinaux.
  • Constipation, troubles de la digestion et crises régulières de diarrhées sont les plus cités.
  • Près de 2 femmes sur 3 (60%) âgées entre 40 et 49 ans disent en souffrir actuellement.

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Pas de caca la première fois

  • La défécation n’ayant rien de très romantique, plus d’1 homme sur 3 et près d’1 femme sur 2 se retiennent lors de leur première nuit ou d’un premier week-end avec un nouveau partenaire.
  • Une prévention qui concerne 2 femmes sur 3 et 1 homme sur 2 lorsqu’ils sont âgés de moins de 40 ans.

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Techniques de dissimulation

  • Près des 2/3 des Français ont déjà mis en œuvre une technique pour amoindrir le bruit qu’ils font en allant à la selle.
  • Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à y avoir recours.
  • Fermer d’autres portes que celles des WC (41%), mettre du papier au fond de la cuvette (38%) et attendre que le partenaire dorme où soit loin (33%) sont les stratagèmes les plus utilisés.

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Les toilettes, sources de dispute (et de conversation) dans le couple

  • Comme pour l’essentiel des tâches ménagères, nettoyer les toilettes est assuré à la maison par près de 3 femmes sur 4.
  • Les hommes sont-ils moins soucieux de l’état dans lequel ils laissent les WC après leur passage ?  C’est en tous les cas à eux que s’adressent le plus souvent les reproches en la matière. Plus de 2 hommes sur 3 (69%) se sont déjà fait réprimander pour diverses raisons, la première d’entre elles étant sans surprise l’oubli d’abaisser la lunette des toilettes (49%) suivie par l’absence de désodorisation des lieux (39%) à égalité avec le non-remplacement du papier toilette.
  • Si elle reste un sujet tabou, la défécation n’est pas pour autant rayée des conversations dans le couple. Plus de la moitié des Français ont déjà évoqué avec leur partenaire leur passage aux toilettes ou des problèmes de selle.
  • Particulièrement gênées à l’idée qu’on les imagine déféquer, les jeunes femmes sont étonnamment plus à l’aise lorsqu’il s’agit de partager leurs flatulences : 66% des Françaises de moins de 30 ans disent avoir déjà intentionnellement lâché un vent devant leur partenaire !

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Le point de vue de François Kraus, directeur du pôle Genre, Sexualité et Santé Sexuelle à l’Ifop :

 

Le déficit actuel de l’offre sanitaire constitue non seulement un enjeu de santé publique qui devrait s’aggraver avec le vieillissement de la population, mais aussi un problème qui met plus largement en évidence les inégalités de genre affectant la santé des femmes jusqu’au plus profond de leur intimité. En effet, les résultats de cette enquête montrent que l’anxiété liée à l’usage des WC n’est pas un sujet futile pouvant prêter à sourire, mais bien un phénomène socio-psychologique dont l’ampleur et les conséquences sur la santé intestinale peuvent être considérables pour la population en général et pour la gent féminine en particulier. Mettant en lumière l’impact que les stéréotypes de genre et les normes de féminité – culturellement associées à la pureté et la propreté – peuvent avoir sur le rapport au corps, les résultats de cette étude soulèvent donc la question du « système de deux poids deux mesures en vertu duquel les femmes sont jugées plus négativement pour avoir révélé [qu’]elles défèquent, elles aussi, »[1]. En cela, ils posent le problème des modèles de bienséance auxquels les femmes doivent se conformer dans une société où elles sont socialisées pour considérer l’excrétion non comme une activité naturelle, mais comme une source de dégoût incompatible avec la notion de féminité. À l’heure où la nouvelle vague féministe porte le combat de la réappropriation du corps des femmes par elles-mêmes, le rapport au caca apparaît donc comme un marqueur de distinction entre les sexes qui légitime lui aussi une critique de la pression à la perfection et la « pureté » qui pèse sur les femmes.

François Kraus, directeur du pôle Genre, Sexualité et Santé Sexuelle à l’Ifop 

 

En cas d’utilisation, un lien vers Diogène-France serait le bienvenu pour notre équipe. Investigation réalisée et certifiée par la rédaction FLASHS

   

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Diogène-France est une société de débarras et nettoyage insalubre en France, experte dans le domaine depuis plus de 10 ans. Spécialiste des débarras Diogène avec situation à risques pour la vie de la personne occupant les lieux.

 

 

Service à domicile : une revalorisation inégale des salaires qui pénalise un secteur

Une revalorisation  « historique » de 13 à 15% des salaires du secteur de l’aide à domicile. C’est bien ce qu’annonçait le 1er avril Brigitte Bourguignon, ministre déléguée à l’Autonomie. Prévue au travers de l’avenant 43 de la branche de l’aide à domicile, cette hausse des salaires sera appliquée au 1er octobre prochain… mais pas pour tout le monde ! Cette clause exclut en effet les 200 000 salariés du secteur privé non-rattachés au secteur associatif à but non-lucratif.

 

Coviva, acteur majeur de l’aide à domicile, s’indigne face à cette décision d’Etat qui encourage une rupture d’équité salariale au sein d’un même secteur. L’entreprise et les fédérations du secteur (FESP, Fésap et le Synerpa) appellent à une revalorisation pour l’ENSEMBLE des intervenants sans distinction de la convention collective de rattachement de leur employeur.

Car comment prétendre à l’amélioration de l’attractivité d’un secteur déjà en pénurie de travailleurs si l’on dévalorise près de la moitié des professionnels ?

 

En effet, en cette période de crise sanitaire et face aux problématiques actuelles d’isolement et de vieillissement de la populationles services d’aide à la personne se placent sans surprise au sommet des secteurs qui recrutent activement[1] - avant la construction et l’agriculture. Et pourtant, paradoxalement, on constate un manque important de candidats[2].

 

Auxiliaires de vie, aide-ménagères, opérateurs de téléassistance… Nombreuses et variées sont les opportunités de carrières et de reconversions professionnelles pour les chercheurs d’emploi. En mars, c’était par exemple 530 postes à pourvoir en Ile-de-France[3] et 137 dans le Tarn-et- Garonne[4]… il existe ainsi une augmentation des offres d’emplois pour un nombre constant de candidats.

 

Avec son réseau de 15 agences spécialisées dans les services à la personne pour seniors, Coviva ressent particulièrement les effets de ce besoin national immédiat. Pour l’année à venir ce sont entre 5 et 15 nouveaux postes d’auxiliaires de vie prévus par agence dont 2 à 5 en besoin immédiat

 

« Afin de faire face à ces besoins, et au-delà des contacts avec leurs interlocuteurs Pôle Emploi, les agences organisent des Job Dating ou des journées Portes Ouvertes avec Pôle Emploi, des Missions Locales, des Organismes de Formation… Le recours à des plateformes spécialisées dans les emplois du Service à la Personne tel qu’Aladom facilite parfois le recrutement avec des CV mieux ciblés et correspond également à nos exigences. » explique Etienne Dufour, Directeur des Réseaux MAD/Kids pour Coviva.

 

Brice Alzon, PDG de Coviva (Réseau de Service à Domicile pour les Seniors) et vice-président de la Fédération des Services à la Personne se tient à votre disposition pour partager avec vous son expertise sur le sujet.

 

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5 716 900 DEMANDEURS D’EMPLOI INSCRITS À PÔLE EMPLOI

Adista recrute quarante profils partout en France

 

Les chiffres de l’emploi de l’INSEE sont parus, et avec eux les données sur la hausse du chômage, notamment chez les jeunes : 5 716 900 demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi (cat. A, B, C)* au 1er trimestre 2021.

Pourtant, certaines entreprises innovantes cherchent toujours à recruter, comme c’est le cas d’Adista. Cet opérateur de services hébergés, qui vient récemment d’acquérir Waycom, cherche quarante talents à travers la France pour des métiers variés aux fonctions support, commerce et ingénierie. Pour ce faire, l’entreprise développe plusieurs stratégies innovantes pour le bien-être au travail de ses salariés.

 

Adista, une entreprise en pleine expansion à la recherche de multiples talents

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Après l’acquisition de Fingerprint Technologies en septembre dernier, suivie du rachat de Waycom en mars, Adista représente aujourd’hui 153 millions d’euros et vise les 300 millions d’ici 2025.
Dans cette perspective de croissance forte, et malgré le contexte de la crise sanitaire, Adista a lancé en septembre 2020 une grande campagne de recrutement. Ce sont ainsi plus de 120 offres qui ont été publiées, chez Adista et Waycom. Aujourd’hui, quarante offres d’emplois sont disponibles.
 
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Et pourtant, le groupe mise aussi sur la cooptation interne, avec une certaine réussite, puisque quarante recrutements ont pu être effectués grâce à ce programme.

Afin d’accélérer sa transition vers l’IT, Adista cible actuellement des candidats avec une culture et une expérience de la transformation informatique fortes. Sa plateforme « Adista Jobs » liste en détail l’ensemble des postes à pourvoir, sur des domaines très variés :

  • Production : administrateur(trice) système, chargé(e) de projet IT, technicien(ne) réseau, etc.
  • Commerce : ingénieur d’affaires, commercial(e), etc.
  • Développement : intégrateur(trice) web, lead développeur(se), ingénieur data, etc.
  • Ingénierie avant-vente,
  • Administration et ressources humains,
  • Etc.
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Adista souhaite devenir l’opérateur de référence chez qui les jeunes diplômés aspirent à travailler. Afin d’attirer de nouveaux talents, l’entreprise a mis en place plusieurs mesures innovantes qui contribuent au bien-être au travail, fortement recherché par les nouvelles générations, et à faire évoluer la place des femmes au sein de métiers techniques.

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À la conquête des jeunes diplômés…

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Au-delà des profils expérimentés, Adista met un point d’honneur à valoriser les pépites prometteuses en intégrant dans ses corps de métiers des stagiaires et des alternants. Pour cette nouvelle année fiscale, Adista accueille déjà 29 alternants (40 en 2020) et 11 stagiaires (24 en 2020). L’objectif étant bien entendu de convertir l’alternance ou le stage en contrat à durée indéterminée.

De plus, l’entreprise est régulièrement présente sur les salons virtuels, comme ceux d’Epitech, IMT Lille-Douai, Polytech, Télécom, Forum Grand Ouest, ITII Bretagne ou encore l’IUT de Clermont Ferrand.

Dans l’optique d’aider ses recrues à se sentir rapidement et pleinement intégrées, Adista a mis en œuvre il y a un an une stratégie d’onboarding complète basée sur un accompagnement physique et digital.

 

Le nouvel arrivant est accompagné par son manager, passe un entretien avec les ressources humaines puis suit une journée d’intégration appelée AdiStart (stratégie de l’entreprise, origine, objectifs, organisation, outils, etc.).
 

À cela s’ajoute l’accès à l’intranet Agora. Cet outil procure à chaque collaborateur l’accès simple à la compréhension de l’organisation, de ses offres et de ses outils. Chaque semaine, une newsletter est envoyée à chaque collaborateur pour lui donner un accès facile aux principales informations.

 
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L’entreprise investit également dans des outils dédiés améliorant la qualité de travail et l’efficacité de certains des pôles métiers. Ainsi, un nouvel ITSM (Information Technology Service Management) améliore la qualité de service et de travail du service support, tandis que l’investissement dans un outil Sales Force Automation accélère l’efficacité des nouveaux commerciaux et augmente la qualité de leurs outils. L’ergonomie des outils internes fait également l’objet d’améliorations, comme le progiciel de gestion intégrée. Tout ceci traduit la volonté de l’entreprise de faciliter la vie au travail.

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…à travers une qualité de vie au travail

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Le télétravail est devenu une nouvelle norme depuis le début de la crise sanitaire, notamment chez Adista où la majorité des métiers peuvent être effectuée à distance, mais l’humain ne doit pas être oublié. L’entreprise a donc décidé de former tous ses managers au leadership à distanceafin notamment de souligner l’importance des pauses et de la clarification des objectifs. On soulignera la création d’espace digitaux de décompression, comme les coffee rooms, pour discuter entre collègues et resserrer les liens.

  

« À ce jour, la situation sanitaire nous permet encore de nous rencontrer physiquement dans le respect des mesures barrières, ce qui m’a permis d’être accueillie avec beaucoup de gentillesse par une grande partie des membres de l’équipe. Pour les situations de travail à distance, les solutions numériques sont de formidables outils de communication et d’échange directs qui abolissent, justement, les barrières de la distance physique. »

explique Inès Fernandes, chargée de communication chez Adista

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Cette stratégie forte de bien-être au travail s’inscrit dans une démarche de Responsabilité Sociale et Environnementale, où l’humain est une priorité au cœur du développement de l’entreprise. Adista a notamment été l’une des premières entreprises françaises à être labellisée ENR (Entreprise Numérique Responsable). Un engagement fort renouvelé chaque année depuis 2011, témoignant de la vision et des valeurs portées par l’entreprise.

Une ambition qui se traduit par des faits concrets. L’entreprise va en effet engager très rapidement le programme de Great Place To Work® pour identifier ses points forts et ses axes d’améliorations, afin de mesurer la qualité de l’expérience vécue par les collaborateurs avec l’entreprise. Waycom, filiale d’Adista, a elle-même été primée en 24ème position dans la catégorie 50/250 salariés par le Palmarès Best Workplaces 2021.

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Adista – Waycom

 

Quarante opportunités en CDI ou en alternance à pourvoir sur des métiers très divers : production, commercial, informatique, développement, etc.

Offres à retrouver sur les sites carrières :

  • jobs.adista.fr
  • carrieres.waycom.net
 
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*Au premier trimestre de 2021, le nombre de demandeurs d'emploi en catégories A, B, C augmente de 0,1 % pour les moins de 25 ans (+7,1 % sur un an), diminue de 0,1 % pour ceux âgés de 25 à 49 ans (+4,5 % sur un an) et augmente de 0,6 % pour ceux âgés de 50 ans ou plus (+4,8 % sur un an).

étude complète en suivant ce lien

 

À propos d’Adista

Opérateur de Services Hébergés, Adista se positionne en France comme le premier opérateur cloud et télécoms alternatif B2B et le spécialiste des services informatiques et voix. La force d’Adista réside dans sa capacité à associer les savoir-faire d’hébergeur, d’opérateur de télécommunications, de spécialiste de l’informatique d’entreprise et du développement applicatif. Maîtrise de bout en bout de la qualité des services, vision hybride du système d’information, capacité à livrer les services IT et les technologies THD partout en France font la réussite de l’entreprise. Après l’acquisition de Fingerprint en 2020 et de Waycom en 2021, Adista a dépassé les 153 Millions € de CA, compte 35 agences et 720 collaborateurs. Plus d’informations sur www.adista.fr

À propos de Waycom

Waycom, filiale du groupe Adista depuis 2021, se positionne comme le premier opérateur alternatif Cloud et Telecom en France. Spécialisé dans les réseaux WAN / LAN, les communications unifiés et le Cloud Computing, Waycom se démarque par son offre de service sur mesure qu’elle propose à sa clientèle d’ETI et de grand compte à la fois en France et à l’étranger.

 

 

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Quelles sont les 4 grandes tendances RH 2021 ?

 

 

  • Le Top Employers Institute, organisme de certification indépendant international qui évalue et valorise les meilleures pratiques en Ressources Humaines des organisations, publie son rapport annuel des tendances RH des meilleurs employeurs de France. 

  • Ce rapport dresse un panorama des tendances RH en 2021 qui s’articulent cette année autour de 4 grandes thématiques : la transparence & l’inclusion, l’accélération de la digitalisation, le bien-être des collaborateurs et le nouveau rôle de la Direction des Ressources Humaines, actrice de la transformation des entreprises.
 
 

Paris, le 27 avril 2021 - La pandémie COVID-19 a catapulté les organisations dans le futur du travail (« Future of Work ») d’une manière totalement inédite, permettant ainsi de mettre en lumière la force de leurs pratiques en matière de ressources humaines. Dans ce contexte inédit, les Directions des Ressources Humaines ont su s’adapter pour répondre aux exigences de leur marché, faire évoluer la culture d’entreprise et engager les collaborateurs en les faisant grandir, à travers notamment de nouvelles formes de leadership.

 

À la lumière de ces enseignements, Le Top Employers Institute dévoile son rapport des Tendances RH 2021, fruit de l’analyse d’audits menés auprès de 94 entreprises françaises certifiées par l’Institut et opérant dans un large éventail de secteurs (industrie, pharmaceutique, biens de consommation, etc.). Les tendances RH les plus marquantes de cette année s’articulent autour de quatre grandes thématiques : la transparence et l’inclusion, l’accélération de la digitalisation, le bien-être des collaborateurs dans un nouveau monde de travail et le rôle de la DRH réinventé en tant qu’actrice de la transformation.

 

« En 2020, les Top Employers se sont adaptés avec une telle rapidité qu’ils ont prouvé leur capacité à associer les Hommes et la technologie de la manière la plus efficace qui soit. Pour de nombreuses organisations, le défi consistera à créer une culture de collaboration et de confiance dans un environnement toujours plus digital, tout en veillant à ce que les collaborateurs se sentent soutenus afin qu’ils puissent donner le meilleur d’eux-mêmes. »

Vincent Binetruy, Directeur France du Top Employers Institute

 

Transparence & Inclusion : tenir compte des besoins et aspirations des collaborateurs

Les entreprises sont aujourd’hui amenées à donner une plus grande place à leurs collaborateurs dans le projet d’entreprise, ce qui nécessite une communication claire et à double sens pour tenir compte de leurs besoins et aspirations. 88% des Top Employers prennent soin d’anticiper la communication sur les changements et 83% le font avec un plan de communication ciblé et structuréLes plus vertueux, 74% d’entre eux, vont jusqu’à donner des possibilités aux collaborateurs de réagir en amont de la réalisation des plans.

Parallèlement, on remarque une volonté des Directions des Ressources Humaines d’améliorer la communication autour de la rémunération et du développement du leadership. 53 % des Top Employers valorisent leur politique de rémunération et avantages sociaux aux yeux de leurs collaborateurs via une communication ciblée (contre seulement 40 % en 2020). De même, 53 % disposent d’un portail consacré au développement du leadership qui donne accès aux formations et aux ressources dont ils ont besoin (+6 points par rapport à 2020).

Sur le plan de la diversité et de l’inclusion, les principales initiatives des Top Employers visent à favoriser l’égalité Femmes/Hommes (100 % mènent des initiatives en ce sens vs. 93% en 2020) et à créer un meilleur environnement de travail pour les personnes en situation de handicap. 85 % mènent des actions en ce sens (+ 9 points par rapport à 2020). Les initiatives en faveur des collaborateurs lesbiens, gays, bisexuels et transsexuels (LGBT) poursuivent aussi leur tendance à la hausse puisque 35 % des Top Employers mettent en place un réseau LGBT en entreprise (+ 9 points par rapport à 2020).

L’accélération de la digitalisation : une priorité pour 2021

Si 88 % des Top Employers utilisent déjà des plateformes sociales de type Microsoft Teams ou Slack (+9 points par rapport à 2020), ceux-ci estiment néanmoins nécessaire de disposer d’outils encore plus performants pour faciliter la production d’idées. Toute nouvelle technologie capable de reproduire l’expérience humaine du « brainstorming » au bureau trouvera son public en 2021 et au-delà.

Par ailleurs, le digital, à travers l’e-learning, est devenu le moyen essentiel d’engager et de perfectionner ses collaborateurs. 79% des Top Employers ont mis en place un portail d’apprentissage qui offre un accès personnalisé à du contenu en fonction des besoins ou des préférences individuelles.

Les entreprises ont également favorisé l’utilisation des plateformes numériques pour faciliter l’apprentissage social (social learning) qui est l’un des moyens les plus efficaces de développer et d’accroître les connaissances au sein de l’organisation. Ainsi, 63 % des Top Employers mettent en place des communautés d’apprentissage en ligne dans le cadre de la formation, pour encourager l’apprentissage collectif. De même 40 % disposent d’une plateforme digitale dédiée à la pré-intégration des nouveaux collaborateurs pour faciliter sa transition dans son nouvel environnement de travail.

Le bien-être des collaborateurs : plus d’accompagnement, moins de contrôle

La thématique du bien-être et de la Qualité de Vie au Travail est celle sur laquelle on observe une nette progression des pratiques. 74 % des Top Employers ont défini une stratégie en la matière (approche holistique couvrant la santé personnelle et professionnelle, physique et psychologique), soit 10 points de plus qu’en 2020.

Par ailleurs, dans un contexte de télétravail généralisé, 86 % offrent des conditions de travail flexibles à leurs collaborateurs et 48 % leur donnent une totale autonomie sur le choix du lieu et des horaires de travail. Conséquence de cette agilité, les managers laissent les collaborateurs faire évoluer eux-mêmes le contenu de leurs objectifs : 78 % des Top Employers accordent un calendrier flexible dans la fixation des objectifs (+ 24 points en un an). Transférer la responsabilité aux collaborateurs est un moyen de les amener à s’approprier un processus qui, historiquement, a toujours été imposé du haut vers le bas.

Un nouveau rôle pour la Direction des Ressources Humaines dans la conduite du changement

La place de la DRH est de plus en plus centrale car la dimension humaine est plus que jamais primordiale (changement organisationnel, digital, managérial). De fait, 100% des Directions Générales des Top Employers France affirment de façon explicite l’importance d’aligner stratégie RH et stratégie d’entreprise, et cet alignement est la priorité RH n°1 des Top Employers en 2021.

Le rôle des RH dans la communication et l’adaptation des process au changement est acquis. Pour 87 % des Top Employers, la fonction RH a la responsabilité d’accompagner les collaborateurs dans la compréhension de l’impact du changement sur leurs responsabilités et d’ajuster les processus pour soutenir et accompagner la transformation de l’entreprise.

Dans cette conduite du changement, les Ressources Humaines sont garantes des standards éthiques de l’entreprise et se doivent d’encourager une culture dans laquelle les personnes comprennent l’importance cruciale des comportements responsables. 95 % des Top Employers ont déployé un programme spécifique pour identifier les risques potentiels en termes d’Éthique et d’Intégrité et définir les mesures d’atténuation de ces risques en les traduisant en normes, contrôles et processus.

Au-delà des transformations économiques, les entreprises se veulent plus impliquées dans leur environnement et leur rôle sociétal. 96 % des Top Employers ont déjà formalisé une politique de Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSEet 81 % communiquent dessus auprès de leurs collaborateurs (+ 10 points en un an). Ce renforcement des pratiques peut être mis au regard de l’évolution législative en France, avec la loi PACTE qui renforce la responsabilité des entreprises en matière d’évaluation de l’impact social et environnemental, et institutionnalise la notion d’entreprise à mission (raison d’être).

À propos du Top Employers Institute : 

 

Le Top Employers Institute est l'autorité internationale qui certifie l'excellence des pratiques RH. Le programme de certification du Top Employers Institute permet aux organisations participantes d'être auditées et reconnues comme des employeurs de référence lorsqu’elles sont certifiées. Créé il y a 30 ans, le Top Employers Institute a certifié près de 1 700 organisations dans 120 pays en 2021.

 

Le programme Top Employers Institute certifie les entreprises en fonction de leur participation et de leurs résultats à l’enquête « HR Best Practices Survey ». Cette enquête couvre 400 questions, réparties en 6 grands domaines RH et 20 thématiques telles que la stratégie RH, le leadership, le digital RH et le design organisationnel, le parcours du collaborateur (du recrutement à la rémunération, en passant par le développement, la gestion des performances et l’engagement) et la culture d’entreprise.

 

Etude : Des reconfinements de moins en moins bien respectés en Europe

Par Sotiris Georganas lecteur en économie comportementale à la « City, University of London » 

"Depuis le début de la pandémie, Google publie des données de mobilité collectées à partir d'appareils utilisant ses logiciels (tels qu'Android et Google Maps). Les lieux que les gens visitent sont répartis en six catégories: les maisons, les lieux de travail, les parcs, les stations de transports en commun, les épiceries et les pharmacies, et les lieux de vente au détail et de loisirs.

Pour plus de 200 pays et territoires, Google agrège ensuite les visites de chacun de ces types de lieux et les compare à une référence: du 3 janvier au 6 février 2020. Aucun événement spécial ne s'est produit au cours de cette période, écart ultérieur par rapport à la référence (à l'exception des tendances saisonnières , par exemple, les gens vont à la plage en été ou font du shopping avant Noël) peuvent être interprétés comme la réponse collective à la pandémie et aux restrictions.

En utilisant ces données, j’ai ensuite comparé les comportements dans plusieurs pays européens entre la mi-février 2020 et la fin février 2021. Comme suspecté, il semble que les gens n’ont pas répondu aussi fortement aux restrictions de la deuxième vague.

Comparaison de la conformité

Ce premier graphique montre le temps que les gens ont passé chez eux pendant la pandémie. Dans la plupart des pays, les gens semblent être restés beaucoup moins à la maison pendant la deuxième vague (à partir de la fin de 2020) qu'au cours de la première (printemps 2020). Cela est particulièrement frappant étant donné que les taux de cas ont été plus élevés et que la météo n’a pas été au rendez-vous pendant la deuxième vague.

Cependant, les mesures de tous les pays n’étaient pas aussi strictes pendant les deux vagues. L'Italie, par exemple, est entrée dans un confinement national en mars 2020, fermant toutes les écoles et l'industrie non essentielle. Mais lorsque les cas ont de nouveau augmenté à l'automne, il a introduit un système de confinement à plusieurs niveaux qui accordait encore certaines libertés à certaines régions du pays.

Donc, pour nous assurer que nous examinons les différences de conformité et non les restrictions elles-mêmes, concentrons-nous sur les pays dont les mesures de contrôle étaient tout aussi restrictives au cours des première et deuxième vagues. Le suivi COVID-19 de Reuters suggère que le Royaume-Uni, le Danemark, la Grèce et l'Irlande entrent dans cette catégorie. La Suède, qui a toujours très peu de restrictions juridiquement contraignantes, est ajoutée à titre de comparaison.

Alors que les cas augmentaient l'automne dernier, des reconfinements ont été introduits au Royaume-Uni, en Grèce et en Irlande. Vous pouvez en voir les effets évidents : le temps passé à la maison augmente fortement dans ces pays fin octobre-début novembre. Cependant, comme le montrent les données de Reuters, les confinements d'automne de ces pays avaient tendance à être moins stricts que ceux observés précédemment. Les écoles, par exemple, avaient tendance à rester ouvertes. Cela peut expliquer pourquoi les taux de séjour à la maison étaient plus bas à l'automne 2020 qu'au printemps.

Cependant, après un certain relâchement vers Noël, les mesures de confinements se sont resserrées. En janvier 2021, la force des mesures dans ces pays était très similaire à celle du printemps 2020. Pourtant, le temps passé à la maison était encore beaucoup plus faible.

Dans certains pays, les restrictions ont en fait été plus fortes cette fois-ci. En Grèce, par exemple, un couvre-feu a été imposé dans la deuxième vague, contrairement à la première. Pourtant, les données suggèrent qu'en février 2021, les Grecs n'ont passé qu'environ 10% de temps de plus à la maison par rapport à février dernier, alors qu'il n'y avait aucune mesure du tout.

Parmi les pays représentés, seul le Danemark a connu un pic d’heures passées à la maison dans la deuxième vague comparable à celui de la première. A noter que ses restrictions se sont intensifiées plus tard que les autres pays, ce qui explique que son taux de séjour à domicile reste bas en novembre-décembre 2020.

Dans l'ensemble, nous pouvons peut-être considérer ces tendances comme un signe d'adaptation et d’épuisement, que neuf mois après le début de la pandémie, les gens s'étaient habitués aux mauvaises nouvelles et étaient fatigués de rester à la maison. Cependant, ce que font les gens lorsqu'ils ne sont pas chez eux varie d'un pays à l'autre. Prenez, par exemple, les courses.

En Grèce, les données suggèrent que les gens ont beaucoup visité les épiceries en 2021, parfois même plus que pendant la période de référence pré-pandémique. Au Royaume-Uni, au Danemark et en Irlande, les gens ont réagi aux restrictions de cette année en faisant moins d’achats, bien que les visites dans les magasins se soient réintroduites au fil du temps.

Dans ces trois derniers pays, c'est peut-être un autre signe d’épuisement, ou peut-être une réponse au risque perçu, étant donné que les cas ont chuté et que la couverture vaccinale a augmenté dans les trois au cours de cette période (en particulier au Royaume-Uni). De ces trois pays, seul le Danemark semble avoir égalé ses comportements d'achat observés lors de la première vague.

Enfin, examinons les visites sur les lieux de travail. Des restrictions plus sévères après Noël semblent avoir réduit le temps passé sur les lieux de travail, mais pas autant qu'au printemps 2020.

Notez, cependant, que la fréquentation des lieux de travail n'a pas augmenté en 2021 de la même manière que les achats d'épicerie, en particulier au Royaume-Uni et en Irlande. Cela suggère peut-être quelque chose d'intéressant: les gens peuvent être plus cohérents dans le respect des restrictions lorsque celles-ci sont négociées par quelqu'un d'autre (leur employeur), mais moins quand les personnes sont seules responsables.

Pourquoi c'est important

N'oubliez pas que les données mobiles ne fournissent pas de preuves définitives du respect des restrictions par les utilisateurs. Par conséquent, les conclusions qui en découlent ne sont que provisoires. Néanmoins, les données suggèrent que l’adhérence globale n’a pas été aussi forte dans la deuxième vague qu’elle l’était dans la première et qu’elle s’est amenuisée avec le temps.

C'est important. Face à une augmentation des cas, certains pays européens réintroduisent désormais des confinements. D'autres, comme le Royaume-Uni, ont planifié de longues sorties de confinement qui obligeront les citoyens à continuer à suivre les restrictions pendant des mois.

L'examen des données antérieures sur la mobilité suggère que dans les deux scénarios, l'observance pourrait diminuer, ce qui pourrait avoir un impact sur le nombre de cas et les décès. Lors de la planification des prochaines étapes, les gouvernements devraient tenir compte du fait que le comportement du public a peu de chances d'être cohérent."

Cet article est republié de The Conversation sous une licence Creative Commons. Lisez l'article original ici.

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE

Paris, le 28 avril 

ETUDE INTERNATIONALE : GAMING MANAGEMENT ET TELETRAVAIL

Les salaires se disent plus productifs, plus heureux depuis qu’ils sont en télétravail 

mais déclarent avoir besoin de plus de lien social avec leurs collègues

Paris le 28 avril 2021 - Après une année de crise sanitaire et de nombreux allers et retours entre présentiel et travail à distance, quel est l’avenir du travail ?

Les entreprises retourneront elles au tout présentiel ou passeront-elles au « full » télétravail ? La crise sanitaire aura-t-elle donné naissance à de nouvelles façons de vivre le travail ? Les employeurs font-ils suffisamment d’efforts pour préserver la culture d’entreprise et le développement des équipes dans un environnement professionnel hybride et en pleine mutation ? Quels est  le ressenti des salariés ?

Autant de questions auxquelles Emeraude Escape (Start-up leader du marché français de l’Escape Game digital sur mesure pour entreprise) apporte des réponses en publiant les résultats d’une étude internationale (France, Italie, Espagne, Grande-Bretagne, Allemagne, USA, Canada).

Réalisée auprès de 1039 salariés en télétravail, cette étude questionne leur ressenti sur l’impact de la crise sanitaire et des nouvelles modalités de travail sur la cohésion d’équipes, les relations humaines, le sentiment d’appartenance et la culture d’entreprise.

 

Et surprise, de façon contre intuitive, les salariés se disent plus productifs, plus heureux depuis qu’ils sont en télétravail mais déclarent avoir besoin de plus de lien social avec leurs collègues. Revue de détails.

 

 

Découvrez tous les résultats de cette étude en cliqnant ICI

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61 % des dirigeants ont décidé de lancer une initiative d’envergure pour transformer leur entreprise

 

 

Les chefs d’entreprises du Forbes Global 2000 partagent leur vision des transformations prioritaires et leurs ambitions

 

Paris, le 29 avril 2021 – Si de nombreuses entreprises avaient déjà commencé à se transformer avant la pandémie, les multiples aléas et perturbations engendrés par la crise sanitaire, les restrictions de circulation et l’incertitude prolongée ont poussé leurs dirigeants à bousculer les perspectives tracées, les stratégies et les plans établis. EY publie les résultats d’une enquête globale, réalisée auprès de 300 chefs d’entreprises du Forbes Global 2000 pour comprendre leur vision du futur et des enjeux de transformation pour les entreprises de demain (en matière de transformation digitale, de stratégie RH, d’économie circulaire, etc.).

 

La pandémie a creusé l’écart entre les entreprises les plus avancées et les autres

 

Même si les situations ont été diverses, faites d’accélérations intenses et de replis pour certaines, la pandémie a creusé l’écart entre les entreprises les plus avancées et les autres.

 

« La plupart des entreprises ayant déjà engagé la transformation de leur business model pour plus d’agilité ont moins subi que les autres. A l’inverse, celles dont le modèle peinait à s’adapter aux nouveaux besoins de leurs clients ont connu des difficultés, et ont été contraintes de revoir leurs objectifs à la baisse. » explique Bruno Bousquié, associé d’EY-Parthenon, responsable de l’activité Strategy & Transactions pour la France.

 

L’étude EY révèle que 79% des entreprises les plus avancées, ont nettement augmenté le budget qu’elles allouaient déjà en temps normal à la transformation.

 

Cette période a également été l’occasion de faire émerger de nouvelles idées pour transformer l’entreprise et conquérir de nouveaux marchés. La majorité des répondants estime être prête à transformer leur entreprise comme ils ne l’avaient sans doute jamais fait auparavant. Ils prévoient d’allouer davantage de ressources au cours des trois prochaines années (sans que cela soit compensé par des réductions de coûts). 68% d’entre eux prévoient de réaliser un investissement important dans les domaines des données et de la technologie et 61% de lancer une initiative d’envergure pour transformer l’entreprise.

 

Sécuriser pour innover davantage 

 

Au regard des derniers mois, les dirigeants souhaitent être mieux préparés aux aléas qui pourraient mettre en péril le bon fonctionnement des opérations et voient dans les outils d’analyse et l’exploitation des données, un moyen plus sûr et efficace d’arriver à cette fin. 49% d’entre eux souhaitent ainsi davantage être informés des risques stratégiques et 61% prévoient la mise en place d’analyse de risques ou de processus de gestion des risques fondés sur les données.

 

« Les dirigeants voient dans la science des données un outil stratégique et opérationnel mais surtout la source d’un avantage concurrentiel, notamment pour fidéliser leurs clients en appréhendant leurs besoins et en leur proposant une expérience entièrement personnalisée. » développe Bruno Bousquié, associé EY.

 

Ainsi 88% des répondants considèrent que la science des données sera un facteur clef de différenciation au cours des cinq prochaines années. Et 87% estiment que les entreprises les plus compétitives seront celles qui ont su créer une expérience d’achat personnalisée.

 

A noter cependant : seuls 34% affirment que leurs clients leur font suffisamment confiance pour leur confier leurs données.

 

Mettre la supply chain et le modèle d’affaires au service de la valeur à long terme 

 

Sous la contrainte de la pandémie, les chaînes d’approvisionnement ont connu une profonde réorganisation. Les dirigeants souhaitent saisir cette opportunité pour les transformer à plus long terme. 70% d’entre eux déclarent ainsi réfléchir à adapter les chaînes d’approvisionnement au principe de l’économie circulaire.

 

Les réflexions sur la valeur à long terme concernent aussi le modèle d’affaires. Les dirigeants ont conscience de l’aspiration toujours plus grande des clients à consommer des biens et services respectueux de l’environnement. 56% d’entre eux envisagent de réorienter l’entreprise dans son ensemble vers une création de valeur à long terme.

 

Au cours des cinq prochaines années, 91% des dirigeants s'attendent justement à ce que les business model intègrent l'économie circulaire dans leur périmètre. 87% prévoient que la création de valeur à long terme sera récompensée par le marché, et 80% estiment qu’une norme mondiale sera mise en place à terme pour mesurer et rendre compte de la valeur à long terme.

 

Mais au-delà de cette intention, les modalités de la réflexion stratégique et de l’allocation des ressources dans une recherche de valeur de long terme restent à définir.

 

Une stratégie RH innovante pour une transformation continue

 

La transformation des modes de travail et la relation au lieu de travail durant la pandémie ont permis aux dirigeants de comprendre l’importance d’adapter leur stratégie de recrutement, la formation de leurs talents, et plus globalement leur organisation pour gagner en agilité et en performance.

 

Ainsi, ils souhaitent renforcer leurs politiques en matière de formation des talents : 62% d’entre eux comptent former les talents aux nouveaux impératifs du marché. 55% sont également conscients que favoriser le bien-être au travail est aussi un levier puissant de réalisation, aussi se fixent-ils la priorité d’y investir davantage.

 

Dans les cinq prochaines années, 76% des dirigeants pensent que le système de mesure de la performance et de récompenses devra être revu pour s’adapter aux nouveaux profils. En matière organisationnelle, 70% mettront également l’accent sur de plus petites équipes, resserrées et autonomes, liées les unes aux autres dans une organisation horizontale pour mener à bien les projets.

 

Méthodologie de l’étude :

L’enquête a été menée par Forbes Insights entre les mois d’octobre et décembre 2020 auprès de 300 chefs d’entreprises du Forbes Global 2000.

 

EY | Building a better working world

La raison d’être d’EY est de participer à la construction d’un monde plus équilibré, en créant de la valeur sur le long terme pour nos clients, nos collaborateurs et pour la société, et en renforçant la confiance dans les marchés financiers. 

Expertes dans le traitement des données et des nouvelles technologies, les équipes EY présentes dans plus de 150 pays, contribuent à créer les conditions de la confiance dans l’économie et répondent aux enjeux de croissance, de transformation et de gestion des activités de nos clients. 

Fortes de compétences en audit, consulting, droit, stratégie, fiscalité et transactions, les équipes EY sont en mesure de décrypter les complexités du monde d’aujourd’hui, de poser les bonnes questions et d’y apporter des réponses pertinentes.

EY désigne l’organisation mondiale et peut faire référence à l’un ou plusieurs des membres d’Ernst & Young Global Limited, dont chacun représente une entité juridique distincte. Ernst & Young Global Limited, société britannique à responsabilité limitée par garantie, ne fournit pas de prestations aux clients. Les informations sur la manière dont EY collecte et utilise les données personnelles, ainsi que sur les droits des personnes concernées au titre de la législation en matière de protection des données sont disponibles sur ey.com/privacy. Les cabinets membres d’EY ne pratiquent pas d’activité juridique lorsque les lois locales l’interdisent. Pour plus d’informations sur notre organisation, veuillez-vous rendre sur notre site ey.com.

© 2021 EY & Associés. Tous droits réservés.

Cette publication a valeur d’information générale et ne saurait se substituer à un conseil professionnel en matière comptable, fiscale, juridique ou autre. Pour toute question spécifique, veuillez-vous adresser à vos conseillers.

ey.com/f


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[CP Enquête Diogène France x Ifop -  Les Français(e)s et la gêne d’aller aux toilettes»

résultats de l’étude menée par l’IFOP pour Diogène France sur les tabous liés à la défécation, enquête qui montre à quel point ce que les anglo-saxons nomment poop shaming affecte les femmes au quotidien.

Ce phénomène, clairement dicté par les stéréotypes de genre et les normes de féminité, n’est pas sans incidence sur leur santé physique, puisqu’elle peut entraîner constipation, hémorroïdes et autres infections, comme psychique en tant que charge mentale supplémentaire.

Cette étude révèle notamment que :

  • Comme pour l’essentiel des tâches ménagères, nettoyer les toilettes est assuré à la maison par près de 3 femmes sur 4.
  • Plus des 2/3 des Françaises interrogées (69%) disent se retenir d’aller à la selle en différentes circonstances contre un peu moins de la moitié des hommes (48%).
  • Les toilettes publiques (61%), le lieu de travail (60%) et chez des amis (57%) sont les endroits où ce sentiment est le plus présent.
  • Près des 2/3 des Français ont déjà mis en œuvre une technique pour amoindrir le bruit qu’ils font en allant à la selle.
  • Plus de 3 Français sur 4 déplorent le manque de toilettes publiques.

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61 % des dirigeants ont décidé de lancer une initiative d’envergure pour transformer leur entreprise

 

 

Les chefs d’entreprises du Forbes Global 2000 partagent leur vision des transformations prioritaires et leurs ambitions

 

Paris, le 29 avril 2021 – Si de nombreuses entreprises avaient déjà commencé à se transformer avant la pandémie, les multiples aléas et perturbations engendrés par la crise sanitaire, les restrictions de circulation et l’incertitude prolongée ont poussé leurs dirigeants à bousculer les perspectives tracées, les stratégies et les plans établis. EY publie les résultats d’une enquête globale, réalisée auprès de 300 chefs d’entreprises du Forbes Global 2000 pour comprendre leur vision du futur et des enjeux de transformation pour les entreprises de demain (en matière de transformation digitale, de stratégie RH, d’économie circulaire, etc.).

 

La pandémie a creusé l’écart entre les entreprises les plus avancées et les autres

 

Même si les situations ont été diverses, faites d’accélérations intenses et de replis pour certaines, la pandémie a creusé l’écart entre les entreprises les plus avancées et les autres.

 

« La plupart des entreprises ayant déjà engagé la transformation de leur business model pour plus d’agilité ont moins subi que les autres. A l’inverse, celles dont le modèle peinait à s’adapter aux nouveaux besoins de leurs clients ont connu des difficultés, et ont été contraintes de revoir leurs objectifs à la baisse. » explique Bruno Bousquié, associé d’EY-Parthenon, responsable de l’activité Strategy & Transactions pour la France.

 

L’étude EY révèle que 79% des entreprises les plus avancées, ont nettement augmenté le budget qu’elles allouaient déjà en temps normal à la transformation.

 

Cette période a également été l’occasion de faire émerger de nouvelles idées pour transformer l’entreprise et conquérir de nouveaux marchés. La majorité des répondants estime être prête à transformer leur entreprise comme ils ne l’avaient sans doute jamais fait auparavant. Ils prévoient d’allouer davantage de ressources au cours des trois prochaines années (sans que cela soit compensé par des réductions de coûts). 68% d’entre eux prévoient de réaliser un investissement important dans les domaines des données et de la technologie et 61% de lancer une initiative d’envergure pour transformer l’entreprise.

 

Sécuriser pour innover davantage 

 

Au regard des derniers mois, les dirigeants souhaitent être mieux préparés aux aléas qui pourraient mettre en péril le bon fonctionnement des opérations et voient dans les outils d’analyse et l’exploitation des données, un moyen plus sûr et efficace d’arriver à cette fin. 49% d’entre eux souhaitent ainsi davantage être informés des risques stratégiques et 61% prévoient la mise en place d’analyse de risques ou de processus de gestion des risques fondés sur les données.

 

« Les dirigeants voient dans la science des données un outil stratégique et opérationnel mais surtout la source d’un avantage concurrentiel, notamment pour fidéliser leurs clients en appréhendant leurs besoins et en leur proposant une expérience entièrement personnalisée. » développe Bruno Bousquié, associé EY.

 

Ainsi 88% des répondants considèrent que la science des données sera un facteur clef de différenciation au cours des cinq prochaines années. Et 87% estiment que les entreprises les plus compétitives seront celles qui ont su créer une expérience d’achat personnalisée.

 

A noter cependant : seuls 34% affirment que leurs clients leur font suffisamment confiance pour leur confier leurs données.

 

Mettre la supply chain et le modèle d’affaires au service de la valeur à long terme 

 

Sous la contrainte de la pandémie, les chaînes d’approvisionnement ont connu une profonde réorganisation. Les dirigeants souhaitent saisir cette opportunité pour les transformer à plus long terme. 70% d’entre eux déclarent ainsi réfléchir à adapter les chaînes d’approvisionnement au principe de l’économie circulaire.

 

Les réflexions sur la valeur à long terme concernent aussi le modèle d’affaires. Les dirigeants ont conscience de l’aspiration toujours plus grande des clients à consommer des biens et services respectueux de l’environnement. 56% d’entre eux envisagent de réorienter l’entreprise dans son ensemble vers une création de valeur à long terme.

 

Au cours des cinq prochaines années, 91% des dirigeants s'attendent justement à ce que les business model intègrent l'économie circulaire dans leur périmètre. 87% prévoient que la création de valeur à long terme sera récompensée par le marché, et 80% estiment qu’une norme mondiale sera mise en place à terme pour mesurer et rendre compte de la valeur à long terme.

 

Mais au-delà de cette intention, les modalités de la réflexion stratégique et de l’allocation des ressources dans une recherche de valeur de long terme restent à définir.

 

Une stratégie RH innovante pour une transformation continue

 

La transformation des modes de travail et la relation au lieu de travail durant la pandémie ont permis aux dirigeants de comprendre l’importance d’adapter leur stratégie de recrutement, la formation de leurs talents, et plus globalement leur organisation pour gagner en agilité et en performance.

 

Ainsi, ils souhaitent renforcer leurs politiques en matière de formation des talents : 62% d’entre eux comptent former les talents aux nouveaux impératifs du marché. 55% sont également conscients que favoriser le bien-être au travail est aussi un levier puissant de réalisation, aussi se fixent-ils la priorité d’y investir davantage.

 

Dans les cinq prochaines années, 76% des dirigeants pensent que le système de mesure de la performance et de récompenses devra être revu pour s’adapter aux nouveaux profils. En matière organisationnelle, 70% mettront également l’accent sur de plus petites équipes, resserrées et autonomes, liées les unes aux autres dans une organisation horizontale pour mener à bien les projets.

 

Méthodologie de l’étude :

L’enquête a été menée par Forbes Insights entre les mois d’octobre et décembre 2020 auprès de 300 chefs d’entreprises du Forbes Global 2000.

 

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Expertes dans le traitement des données et des nouvelles technologies, les équipes EY présentes dans plus de 150 pays, contribuent à créer les conditions de la confiance dans l’économie et répondent aux enjeux de croissance, de transformation et de gestion des activités de nos clients. 

Fortes de compétences en audit, consulting, droit, stratégie, fiscalité et transactions, les équipes EY sont en mesure de décrypter les complexités du monde d’aujourd’hui, de poser les bonnes questions et d’y apporter des réponses pertinentes.

EY désigne l’organisation mondiale et peut faire référence à l’un ou plusieurs des membres d’Ernst & Young Global Limited, dont chacun représente une entité juridique distincte. Ernst & Young Global Limited, société britannique à responsabilité limitée par garantie, ne fournit pas de prestations aux clients. Les informations sur la manière dont EY collecte et utilise les données personnelles, ainsi que sur les droits des personnes concernées au titre de la législation en matière de protection des données sont disponibles sur ey.com/privacy. Les cabinets membres d’EY ne pratiquent pas d’activité juridique lorsque les lois locales l’interdisent. Pour plus d’informations sur notre organisation, veuillez-vous rendre sur notre site ey.com.

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Marché 2020 des pompes à chaleur dans le résidentiel – étude Observ'ER

Le 3 mai 2021

 

Une progression de 10 % pour les pompes à chaleur aérothermiques, mais les pompes à chaleur géothermiques en baisse de 14 %

En 2020, avec 900 070 PAC air/air et air/eau vendues, auxquelles s'ajoutent 109 500 chauffe-eau thermodynamiques (CET), les équipements aérothermiques ont progressé de 8 %.

Les PAC air/air sont l'équipement phare du secteur avec un marché évalué à plus de 729 680 pièces et restent les équipements les plus vendus dans le champ des systèmes de chauffage central individuels en 2020. Malgré la crise sanitaire la tendance de fond reste positive pour l'aérothermie, notamment sous l'effet de la mesure « Coup de Pouce Chauffage » mis en place en janvier 2019. Quant aux CET, le marché baisse légèrement (- 8 %) mais reste au-dessus de la barre des 100 000 unités.

De son côté, avec 3 005 unités vendues, le marché des pompes à chaleur géothermiques baisse de 14% pour retrouver son niveau de 2018. Les aides n'ont pas suffi à compenser la baisse d'activité et de demande induites par la crise sanitaire. Cette technologie, qui pourtant affiche un bilan énergétique et économique performant sur sa durée de vie, reste très mal connue du grand public. C'est le marché du collectif qui semble porter le dynamisme de la filière.

Tels sont les principaux constats de l'étude annuelle d'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) sur le marché 2019 des pompes à chaleurs dans le secteur du résidentiel.

 

📥 L'intégralité de l'étude est disponible en téléchargement ICI:


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DEMAIN, 2 000 EMPLOIS POUR LES JEUNES ISSUS DES QPV

C’est un projet inédit d’inclusion sociale qui vient d’être initié par sept fédérations sportives. Son ambition : utiliser le sport comme levier d’accroche et permettre à des jeunes issus de quartiers prioritaires d’intégrer un parcours d’accès à l’emploi. 

Les Fédérations françaises d'athlétisme, de badminton, de basket-ball, de boxe, des clubs omnisports, de judo, et de tennis de table, représentant 17 000 clubs et plus de 3 millions de licenciés, se mobilisent pour les jeunes résidants en quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV).

S’inscrivant pleinement dans les projets fédéraux de chacune des fédérations, l’objectif du dispositif est double : engager les clubs sportifs comme véritables acteurs de l’inclusion sur les territoires et permettre la remobilisation et l’insertion professionnelle des jeunes grâce au sport.

 

APPRENDRE PAR LE SPORT LA VIE EN ENTREPRISE

La crise sanitaire a eu un lourd impact sur le taux de chômage des jeunes. Ceux résidants en quartiers prioritaires sont deux fois plus touchés que les jeunes des quartiers environnants. Leur réinsertion dans la vie active est donc aujourd’hui un enjeu prioritaire.

A travers des vertus essentielles au sport, les jeunes pourront développer des compétences importantes dans la vie d’entreprise telles que la détermination, le sens du collectif, de l'effort ou encore le respect des consignes. 

Dès à présent, les fédérations sportives ont recensé des clubs sur 15 territoires identifiés qui répondent aux enjeux de l’appel à projet 100% inclusion alliant territoire, public cible et écosystème favorable. Les clubs identifiés sont déjà engagés dans des démarches d’éducation/insertion par le sport. 

Ils ont mobilisé leur réseau local (partenaires privés, partenaires du monde de l’emploi, Protection Judicaire de la Jeunesse…) dans l’objectif d’insérer les jeunes dans l’emploi. C’est aussi grâce à l’ensemble des partenaires (ministère de l'Emploi, ministère de l'Éducation nationale de la Jeunesse et des Sports, de la ville, collectivités, départements, régions, entreprises et les acteurs associatifs...) que ce dispositif sera possible.

Gilles Erb, Président de la FFTT : « La FFTT souhaite devenir un acteur fort de la vie de la cité. Pour soutenir cette idée d’utilité sociale, notre programme propose un levier « Ping Citoyen » composé d'un axe sur la participation de notre sport aux politiques de la ville et particulièrement celles des Quartiers Prioritaires de la Ville (QPV). En effet, nos clubs sont aussi des lieux d’éducation, de formation, et d’accès à des compétences éligibles sur le marché de l’emploi. Nous ne disons pas encore assez que le tennis de table est un vecteur d’insertion par l’emploi. Je salue le travail de nombreuses associations pongistes dans ce domaine à travers la France. Nous comptabilisons 936 clubs qui sont localisés à moins de 7 minutes d’une QPV. Le club de Métropole Lille a été retenu dans ce dispositif. Je félicite les dirigeants et remercie le comité du Nord et la ligue des Hauts de France pour leur investissement dans ce projet. Je suis fier de porter ce projet d’inclusion sociale par le sport au sein d’un consortium de 7 fédérations (FF Basket, FF Judo, FF Boxe, FF Badminton, FF Athlétisme et FF des clubs omnisports). »


Ci joint une enquête sur « les troubles du sommeil et le rapport des Français à leur lit » qui montre, entre autres, que :

 

1 - La prévalence de troubles du sommeil dans les huit derniers jours a atteint un niveau record et inégalé au cours des vingt-cinq dernières années (66% parmi les 18-75 ans aujourd'hui contre 49% en 2017).

2 - Dimension genrée et sociale : les femmes (58%) et les catégories modestes (54%) ont plus souffert que la moyenne (50%) de troubles du sommeil au cours de l'année écoulée.

3 - Plus les Français regardent des écrans dans leur lit, plus ils sont sujets à des troubles du sommeil (69% des Français consultant tous les jours ou presque leur téléphone dans leur lit souffrent actuellement de problèmes du sommeil, tandis que ce n'est le cas que pour 56% de ceux qui ne le font jamais).

4 - 68% des Français en couple cohabitant se sont déjà disputé sur un sujet en lien avec le lit, et c'est notamment le cas pour 77% de ceux qui ont eu des troubles du sommeil récent.

5 - Les ronflements sont l'un des principaux sujets de dissension au sein du couple à propos du lit (44% des Français en couple cohabitant ont ainsi déjà fait l'expérience d'une dispute consécutive aux ronflements de leur partenaire).

 

Étude sur les troubles du sommeil et le rapport des Français à leur lit

 

Levée d'embargo : mercredi 5 mai à 10h00

 

Alors que la crise sanitaire et ses restrictions génèrent une période particulière de stress, notre étude mesure un fort accroissement des problèmes de sommeil déclarés par les Français. Fort de ces résultats, les troubles du sommeil s'affichent clairement comme un enjeu de santé publique. Pour autant, certaines constantes demeurent parmi les facteurs explicatifs de la somnipathie (genre, génération, classe sociale). Ceci tandis que d'autres facteurs exogènes à la situation sanitaire (l'augmentation de la consultation des différents écrans) contribuent à cette progression spectaculaire des troubles du sommeil au sein de la population française.

 

LES CHIFFRES CLÉS

1 - La prévalence de troubles du sommeil dans les huit derniers jours a atteint un niveau record et inégalé au cours des vingt-cinq dernières années (66% parmi les 18-75 ans aujourd'hui contre 49% en 2017).

2 - Dimension genrée et sociale : les femmes (58%) et les catégories modestes (54%) ont plus souffert que la moyenne (50%) de troubles du sommeil au cours de l'année écoulée.

3 - Plus les Français regardent des écrans dans leur lit, plus ils sont sujets à des troubles du sommeil (69% des Français consultant tous les jours ou presque leur téléphone dans leur lit souffrent actuellement de problèmes du sommeil, tandis que ce n'est le cas que pour 56% de ceux qui ne le font jamais).

4 - 68% des Français en couple cohabitant se sont déjà disputé sur un sujet en lien avec le lit, et c'est notamment le cas pour 77% de ceux qui ont eu des troubles du sommeil récent.

5 - Les ronflements sont l'un des principaux sujets de dissension au sein du couple à propos du lit (44% des Français en couple cohabitant ont ainsi déjà fait l'expérience d'une dispute consécutive aux ronflements de leur partenaire).

 

A - DES SUITES DE LA CRISE SANITAIRE, LES TROUBLES DU SOMMEIL S'IMPOSENT COMME UN ENJEU DE SANTE PUBLIQUE

 

1 / LES CONFINEMENTS SUCCESSIFS ET LE COUVRE-FEU ONT FORTEMENT PERTURBE LE SOMMEIL DES FRANÇAIS

 

La prévalence de troubles du sommeil dans les huit derniers jours a atteint un niveau record et inégalé au cours des vingt-cinq dernières années. En avril 2021, deux Français sur trois déclarent avoir eu des problèmes de sommeil durant les huit derniers jours, soit une proportion très largement supérieure à la dernière enquête réalisée par Santé publique France avant l'apparition du Covid-19 (49% en 2017).

L'enquête confirme également le caractère très genré des troubles du sommeil qui sont toujours beaucoup plus répandus chez les femmes (71%) que chez les hommes (60%).

2 / PAR AILLEURS, LA PREVALENCE DE LA SOMNIPATHIE SEMBLE S'ETRE INTENSIFIEE AU FIL DE LA DERNIERE ANNEE

 

La proportion de Français déclarant avoir souffert d'au moins un trouble du sommeil (insomnie, troubles de rythme du sommeil, syndrome d'apnée du sommeil, etc.) ces douze derniers mois a progressé, passant de 44% en avril 2020 à 50% un an plus tard. Dans le détail de l'enquête, on observe à nouveau une dimension très genrée mais aussi que les populations défavorisées sont les plus touchées par la somnipathie. Ainsi, les femmes sont 58% à avoir souffert de troubles du sommeil au cours de l'année écoulée, de même que 54% des catégories modestes. Les résultats de notre étude viennent ici confirmer que la qualité du sommeil est le reflet des inégalités sociales, observation déjà faite par des études anglo-saxonnes ou encore l'Inserm.

 

3 / CE PROFIL GENRE, GENERATIONNEL ET SOCIAL DES TROUBLES DU SOMMEIL SE RETROUVE DANS LE PROFIL DES FRANÇAIS MECONTENTS DE LA QUALITE DE LEUR SOMMEIL

 

Trois Français sur dix (29%) se déclarent insatisfaits de leur sommeil, sachant que des pics s'observent parmi les catégories modestes (43%), les jeunes (39%) et les femmes (32%).

 

 

 

LE POINT DE VUE DE GAUTIER JARDON DE L'IFOP SUR L'ENQUÊTE

Alors que le sommeil joue un rôle fondamental sur la santé, le bien-être et l'équilibre psychologique, cette augmentation de la prévalence de troubles du sommeil au sein de la population française est plutôt alarmante. Et si les profils les plus touchés demeurent les mêmes qu'auparavant, avec notamment une forte dimension genrée et sociale, le Covid-19 a contribué à une hausse généralisée des cas de somnipathie. En effet, tandis que le rôle de l'anxiété et la dépression dans les troubles du sommeil est avéré (Baromètre Santé Inpes, par exemple), notre étude montre bien que la période actuelle ne fait qu'accroitre ces deux types de troubles.

 

B - LES FACTEURS DE TROUBLES DU SOMMEIL

 

4 / AU-DELA DES EFFETS CONJONCTURELS, DES EFFETS STRUCTURELS CONTRIBUENT AUX PROBLEMES DE SOMMEIL

 

Au-delà des effets conjoncturels, des effets structurels contribuent aux problèmes de sommeil. Ainsi, les disputes entre conjoints sont plus fréquentes pour les personnes qui souffrent de problèmes de sommeil. Par exemple, parmi les Français qui se disputent avec leur conjoint au lit (68% des Français en couple cohabitant au total), on retrouve 77% de ceux qui ont eu des troubles du sommeil récent.

La ronchopathie (le ronflement) est l'un des principaux sujets de dissension au sein du couple à propos du lit. Une petite moitié des Français en couple cohabitant a ainsi déjà fait l'expérience d'une dispute consécutive aux ronflements de son partenaire (44%). Les plus sensibles à ce désagrément sont les femmes (48% ont déjà connu une dispute à ce sujet) et les 35 ans et plus (47%). Cette dimension genrée se retrouve logiquement pour les disputes issues des propres ronflements du répondant, lesquelles concernent presque deux fois plus d'hommes (45%) que de femmes (25%).

 

5 / AUTRE ELEMENT STRUCTUREL NUISANT AU SOMMEIL : L'ACCROISSEMENT DES USAGES NUMERIQUES AU LIT

 

La dégradation du sommeil sur le long terme est aussi due à des usages numériques qui deviennent de plus en plus répandus au lit (la consultation de son téléphone, le visionnage de vidéos). En effet, plus les Français regardent des écrans dans leur lit, plus ils sont sujets à des troubles du sommeil : 69% des Français consultant tous les jours ou presque leur téléphone dans leur lit souffrent actuellement de problèmes du sommeil, contre 56% des Français qui ne consultent jamais leur téléphone dans leur lit. La corrélation existe aussi, dans une moindre mesure, concernant la fréquence de visionnage de vidéos au lit.

 

6 / FAIRE CHAMBRE A PART : UNE RUPTURE SYMBOLIQUE QUI CONCERNE UN COUPLE SUR DIX

 10% des Français vivant en couple cohabitant font chambre à part, et 6% ne le font pas mais souhaiteraient le faire. La promiscuité due au Covid-19 n'a semble-t-il pas créé de ras-le-bol au sein des couples, puisque ces résultats sont stables comparés à 2014.

Plus les Français sont âgés, et donc plus la qualité du sommeil devient un enjeu, et plus ils ont tendance à faire chambre à part (21% des personnes concernées de 65 ans et plus contre seulement 1% parmi les plus jeunes). S'y retrouvent également davantage les membres de couples ayant connus des dissensions au sujet du lit, surtout si celles-ci les ont déjà conduits à une rupture amoureuse (18%).

 

LE POINT DE VUE DE GAUTIER JARDON DE L'IFOP SUR L'ENQUÊTE

 Lieu de la « tendre guerre » selon Jean-Claude Koffman, le lit a toujours été un terrain de dissension pour les couples (ronflements, espace, lumières, etc.). Les conséquences, parfois néfastes, de la vie de couple sur le sommeil n'ont rien d'inédites, et le Covid-19 n'a rien apporté sur ce terrain-là. Au contraire, faire chambre à part étant largement considéré comme le début d'une glissade progressive vers le désamour, la promiscuité induite par les restrictions sanitaires n'a en rien suffit à pousser les couples Français à faire davantage chambre à part. Et si l'accroissement de la consultation d'écrans contribue elle aussi à celle des troubles du sommeil, il s'agit là encore d'un facteur exogène à la situation sanitaire, laquelle n'explique pas tout toute seule.

 POUR CITER CETTE ETUDE, IL FAUT UTILISER A MINIMA LA FORMULATION SUIVANTE :

 « Étude Ifop pour Tousaulit.com réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 20 au 21 avril 2021 auprès d'un échantillon de 1 014 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus »

 

Communiqué de presse

Paris, le 4 mai 2021

 

Sondage OpinionWay pour Hubside sur les TPE et le digital*

 

Lancer son business sur Internet... oui mais pas seul pour 58% des TPE/PME

 

Parce qu’aujourd’hui pour vendre il faut être vu, plus que jamais la crise sanitaire a souligné l’importance d’être présent sur la toile. Cependant, nombre de petites entreprises et PME renoncent à prendre le virage du numérique, souvent faute de temps, de connaissances et/ou de moyens. Ainsi, Hubside, éditeur français de sites web, en partenariat avec l’institut de sondage OpinionWay, a souhaité en savoir plus sur les attentes des TPE-PME en matière de digitalisation et d’accompagnement. 1 an après le début de la crise sanitaire, comment envisagent-elles leur développement en ligne ? Sont-elles à l’aise ? Vers quelles solutions comptent-elles se tourner ?...

 

Un besoin d’expertise extérieure, d’accompagnement

 

Plus de la moitié des TPE se positionne en demande d’aide extérieure pour concevoir et gérer les différents aspects de sa présence en ligne. Elles sont ainsi 58 % à estimer avoir besoin de l’assistance d’un tiers pour leurs supports de communication Internet (service de création de sites internet, agence web, freelance…), 59 % à admettre ne pas bien savoir comment s’y prendre pour améliorer leur présence en ligne, et 65 % à penser ne pas pouvoir développer leur présence en ligne sans l’aide d’un professionnel.

 

Les solutions économiques ou prêtes à l’emploi privilégiées

 

Face au coût de développement d’un site internet (77 % estiment que c’est un coût important pour une entreprise), les deux-tiers des répondants (66%) sont plus favorables à une solution économique réunissant les fonctionnalités principales plutôt qu’à une solution plus complète mais coûteuse. En outre, 83 % pensent qu’une solution clé-en- main pour créer un site Internet permet de gagner du temps et est plus facile à gérer et 75% que les solutions proposées en ligne sont tout aussi intéressantes que les solutions proposées par des agences web classiques. De surcroît, 82 % pensent qu’elles sont plus compétitives sur le plan tarifaire.

 

Top 3 des besoins considérés comme importants par les TPE-PME dans le cadre du développement de leur site internet :

1.     Bénéficier d’un accompagnement sur les risques liés à la sécurité informatique et la protection des données (83 %)

2.     Avoir des exemples ou modèles préconçus du même secteur d’activité pour gagner du temps (79 %),

3.     Bénéficier de l’accompagnement d’un conseiller spécialisé dans la création de sites Internet en ligne ou en boutique (76 %).

 

« A travers cette étude nous avons voulu en savoir plus sur les besoins des petites entreprises en matière de digitalisation ! Comme un droit universel, chaque entreprise devrait pouvoir disposer de son site internet. C’est pourquoi nous accompagnons tous types de professionnels dans cette transformation et notamment ceux qui sont en difficultés financières grâce à notre opération solidaire : https://www.hubside.com/fr_FR/pro », déclare Alexandre Hampe, COO d’Hubside.

 

 

*Méthodologie : étude réalisée par questionnaire autoadministré en ligne entre le 8 et le 15 mars 2021, auprès d’un échantillon représentatif de 501 entreprises de 0 à 49 salariés, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de taille d’entreprise et de secteur d’activité.

 

 

À propos d’Hubside 

HUBSIDE est un service de création de site web qui offre à l’utilisateur, du plus novice au plus expert, un espace à personnaliser pour faire vivre et partager ses passions, ses projets ou ses événements, en ligne avec sa tribu. Créé en France en 2018, HUBSIDE est aujourd’hui présent dans 750 points de vente en France, dont son propre réseau Hubside.Store. Pour être au plus près des utilisateurs et leur apporter accompagnement sur-mesure, HUBSIDE s’appuie sur une équipe de 1500 téléconseillers et un large réseau de distributeurs partenaires, dont Fnac-Darty, en France et à l’international. La société est également présente en Espagne, Portugal, Italie et Belgique. 



Quel est le risque d’infection à la COVID-19 dans une location de vacances ?

 

 

3 mai 2021 - À l’approche de l’été, de nombreux vacanciers se posent la question du risque sanitaire associé à leurs futures vacances : déplacement, hébergement, etc. Qu’en est-il du risque de contamination dans les locations de vacances ? Peut-on être contaminé en occupant un logement à la suite d’une famille ayant une personne malade ? Le site MediaVacances.com qui assure une veille scientifique sur ce sujet fait le point et émet quelques recommandations.

UNE REVISION RÉCENTE A LA BAISSE DU RISQUE DE CONTAMINATION PAR LES SURFACES

 

 

Les premières études portant sur le Sars-Cov-2, ainsi que celles portant sur son prédécesseur, le Sars-Cov ont mis en évidence une activité du virus sur les surfaces pendant plusieurs jours. Il en a été déduit au début de l’épidémie que le risque de « contamination par les surfaces » (ou « formite spread ») était sans doute élevé. 

 

Néanmoins, des rapports scientifiques publiés au cours de l’été 2020 ont permis de constater que ces études réalisées en laboratoire portaient sur des concentrations virales très élevées, peu compatibles avec la réalité. Des publications plus récentes ont minoré le risque de contamination par les surfaces, entraînant ainsi un changement de la doctrine des autorités sanitaires.

 

Le CDC américain a revu sa position au mois d’octobre 2020 : « Le COVID-19 s’attrape moins fréquemment par le biais de surfaces contaminées. La contamination par les surfaces n’est pas considérée comme un mode de contamination majeur. » (Source : https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/prevent-getting-sick/how-covid-spreads.html).

 

Le Ministère de la Santé a également modifié son discours un peu plus tard : « Pour rappel, la grande transmissibilité de la Covid-19 n’est pas liée à sa survie sur les surfaces, mais à sa transmission quand on tousse, qu’on éternue, qu’on discute ou par les gouttelettes expulsées et transmises par les mains. » (Source : https://solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/maladies/maladies-infectieuses/coronavirus/tout-savoir-sur-la-covid-19/article/reponses-a-vos-questions).

 

La procédure de désinfection des surfaces proposée par MediaVacances.com dès le printemps 2020 a été allégée en conséquence au cours de l’automne de la même année.

 

 

UN RISQUE DE CONTAMINATION AÉRIENNE

 

Si le risque de contamination par les surfaces est devenu faible, celui de la contamination aérienne demeure si le logement vient d’être occupé. Une bonne aération permet de résoudre le problème facilement.

 

 

UN POINT IMPORTANT MAIS SOUVENT NÉGLIGÉ : L’ASPIRATEUR

 

Dans l’hypothèse où la location saisonnière a été occupée par une personne infectée et contagieuse, des particules dont certaines peuvent être encore actives ont été déposées sur les surfaces. Elles ont un pouvoir de nuisance très faible, voire nul (voir plus haut le risque de contamination par les surfaces), mais l’utilisation de l’aspirateur, aérosolisant à nouveau ces particules et permettant leur inhalation, peut potentiellement augmenter le niveau de risque.

 

MediaVacances.com invite ses propriétaires à suivre une procédure spécifique de nettoyage/désinfection de l’aspirateur.

 

 

QUE FAIRE SI VOTRE LOCATION DE VACANCES N’A PAS FAIT L’OBJET D’UNE DÉSINFECTION EN RÈGLE ?

 

MediaVacances.com, comme bon nombre d’autres sites de location de vacances, propose à ses propriétaires annonceurs une procédure de désinfection, mise à jour régulièrement en fonction des dernières connaissances scientifiques. 

 

Néanmoins, si le locataire s’apprête à occuper un logement qui n’a fait l’objet d’aucune mesure de désinfection, le site recommande de respecter les règles suivantes :

 

  • Aérer abondamment le logement pendant 20 minutes,
  • Faire un simple ménage avec un détergent ménager à la dose maximale recommandée par le fabricant,
  • Laisser l’aspirateur au repos pendant 3 jours.

 

 

UN RAPPEL SUR LES PRODUITS MÉNAGERS ACTIFS SUR LE VIRUS

 

L’eau de javel est très efficace à des concentrations assez faibles (à partir de 0,1% de chlore actif).

 

Le virus Sars-Cov-2, responsable de la Covid-19, est par ailleurs détruit par les produits et lingettes désinfectantes du commerce qui contiennent des « ammoniums quaternaires » (produits type « Sanytol »). Si ces substances ne sont pas officiellement labellisées comme « virucides », car peu actives contre certaines catégories de virus, elles sont par contre parfaitement efficaces contre Sars-Cov-2.

 

Enfin, le virus est détruit par tous les détergents : savon, lessive, liquide vaisselle, etc.

 

 

UN CONTEXTE SANITAIRE QUI FAVORISE LES LOGEMENTS INDÉPENDANTS

 

Les récentes avancées sur la connaissance de la COVID-19 et l’emphase mise sur la contamination aérienne augmentent l’intérêt des solutions d’hébergement individuelles par rapport aux solutions collectives (hôtels, centres de vacances, etc.). Le risque de contamination dans ces hébergements lorsque les précautions élémentaires (visées ci-dessus) sont prises est estimé très faible.

 

 

Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet du risque de contamination dans les locations de vacances ou si vous souhaitez interviewer un responsable de MediaVacances, merci de contacter : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.  / 07.69.68.64.02.

 

 

À PROPOS DE MEDIAVACANCES

 

Créé en 2002, MediaVacances est un réseau de sites européens de locations de vacances entre particuliers. Contrairement aux sites anglo-saxons, MediaVacances.com reste fidèle au concept de la location de vacances entre particuliers avec des coûts d’intermédiation très faibles, de l’ordre de 1 %.

MediaVacances, c’est aujourd’hui : un million de demandes de location par an, environ 250.000 locations générées par an, 19.000 annonces dans 83 pays, un réseau présent dans les principaux pays européens en 7 langues.

Depuis le début de la crise sanitaire, MediaVacances a mis en place des procédures de veille scientifique permettant d’informer les propriétaires et les locataires en fonction des dernières avancées scientifiques sur la COVID-19.



Plus de 2/3 des Français souhaiteraient que leur mutuelle propose des remboursements ...


Alors que la santé mentale devient un sujet de société majeur notamment en raison des effets de la crise sanitaire, synonyme d’isolement pour l’ensemble de la population, les soins qui y sont associés, dits de médecine douce, ne sont la plupart du temps peu ou pas pris en charge par les mutuelles.

 

Pourtant, selon une étude Happydemics menée en avril 2021 auprès de 1 015 répondants, près de deux tiers des Français ont déjà eu recours à de la médecine douce et plus d’un quart se dit prêt à essayer. L’ostéopathie est par exemple la médecine douce la plus prisée en France, et elle pourrait être encore plus attractive si elle était remboursée.

Cette carence est d’ailleurs l’un des motifs d’insatisfaction principal des Français envers leur mutuelle. En effet, pour 27% d’entre eux, les remboursements ne couvrent pas suffisamment de domaines conventionnels et 50% seraient même prêts à changer de mutuelle pour une autre proposant des remboursements de médecine douce (source : Happydemics, avril 2021).

 

A la lumière de ce constat, Happydemics interroge les Français sur le thème « les mutuelles doivent-elles proposer des remboursements liés aux médecines douces ? » :

 

  • Comment les Français, notamment les jeunes, évaluent-ils leur santé mentale en temps de crise ?
  • Quels exutoires les Français sollicitent-ils pour se sentir bien ?
  • Pourquoi les Français ont-ils recours à la médecine douce et quelles sont leurs pratiques favorites ?
  • Les Français sont-ils satisfaits de leurs mutuelles ? Ont-ils des attentes envers ces dernières concernant ce type de soins ?
  • Quelles sont les motivations qui pousseraient les Français à changer de mutuelle ?
  • Dans quel sens les mutuelles doivent-elles se préparer à évoluer pour prendre en compte les nouvelles attentes des patients ?

 

Le baromètre Drimki des 10 villes les plus prisées des français

 

Paris, le 26 avril 2021 - DRIMKI, le spécialiste de l'estimation immobilière, souhaite mettre à l'honneur les villes où les français achètent le plus et revient ainsi sur le top 10 des villes les plus prisées de l'année passée  !

 

Paris, toujours en tête du classement national (appartements et maisons confondus)

 

La ville lumière arrive en haut du classement avec 34523 transactions (appartements et maison) en 2020 dont 177 maisons et 34346 appartements achetés. 

 

Le 18e arrondissement parisien est celui où il y a eu le plus d'achats avec 3731 transactions.  Paris 15 arrive en deuxième position avec 3265 transactions, ensuite Paris 17 avec 2954 achats d'appartements et de maisons confondus.Le 16e arrondissement parisien arrive en quatrième position avec 2875 transactions ( 37 maisons et 2838 appartements).

 

Vient ensuite Marseille en seconde position du classement national. La cité phocéenne compte 10737 transactions (9427 appartements et 1310 maisons). L'arrondissement marseillais le plus prisé est le 13e avec 1122 appartements et maisons achetés.

 

Pour la suite du classement, Nice est la troisième ville la plus appréciée avec 9276 transactions, Nantes (6176), Bordeaux (6047), Lille (5849), Lyon (5580), Saint-Etienne (4008), Rennes (3935) et à la dixième place, Le Havre (3867).

 

Bordeaux, la ville la plus chérie pour l'achat d'une maison

 

Si l'on se concentre sur l'achat des maisons uniquement, le classement national évolue en mettant les villes moyennes à l'honneur.

 

Bordeaux se retrouve à la première place avec 1376 maisons achetées en 2020. Marseille conserve sa deuxième place avec 1310 transactions (maisons uniquement). Le Mans clôture le podium avec 1285 maisons vendues.

 

Nantes arrive ensuite en quatrième position avec 1259 transactions, Lille (1173), Tourcoing (1078), Amiens (953), Les Sables d'Olonnes (929), Le Havre (923) et en dernière position du Top 10 “maisons” est placée Nîmes avec 899 maisons achetées.

 

Paris, Marseille et Nice, les villes appréciées pour l'achat d'un appartement

 

Similaire au classement réunissant l'achat de maisons et d'appartements, Paris (34346), Marseille (9427) et Nice (8819) sont sur le podium des villes où il y a eu le plus d'achats d'appartements en 2020.

 

En quatrième position se trouve Lyon, avec 5410 appartements acquis, suivi de Nantes (4917), Lille (4676), Bordeaux (4671), Saint-Etienne (3686), Rennes (3688) et Toulouse (3182).

 

« S'il est logique que la capitale soit en tête de ce classement, on remarque que ce sont les arrondissements les plus peuplés qui génèrent le plus de ventes et là encore nous sommes dans une logique. Mais ce qui est important de constater est que l'avenir devrait être encore positif en 2021. A ce jour et dans notre réseau Capifrance la prise de mandat sur Paris est au plus haut...voilà qui augure une année 2021 encore riche en vente immobilière dans la capitale française. »”. déclare Franck Bernard, conseiller immobilier Capifrance à Paris

 

*données issues de DVF pour DRIMKI, avril 2021

 

A propos de Drimki

Créé en 2007, Drimki est le pionnier français de l'estimation immobilière en ligne. Fort de ces nombreuses années d'expérience, Drimki vous apporte toutes les informations et tous les services utiles à la concrétisation de votre projet immobilier que vous soyez propriétaire, vendeur ou acheteur.

Pour en savoir plus https://www.drimki.fr/

 

Emploi : 5 à 15 recrutements par agence de prévus chez Coviva

Grande nouvelle ce matin sur le marché de l’emploi du secteur de l’aide à domicile ! Plus de 83 000 recrutements sont prévus selon l’étude annuelle « Besoin de main-d’œuvre », soit une croissance de 3,1%.

En pleine crise sanitaire, les services d’aide à la personne se placent sans surprise dans le Top 10 des secteurs qui recrutent activement[1]. Pôle Emploi y voit un enjeu très important avec 6 embauches sur 10 prévues pour ce secteur.

Coviva, le réseau d’agences spécialisées dans les services à la personne pour seniors, ressent particulièrement les effets de ce besoin national immédiat. Pour l’année à venir, ce sont :

  • 5 à 15 recrutements de prévus par agence
  • 2 à 5 postes d’auxiliaires de vie.
  • L’ouverture de nombreuses opportunités (Auxiliaires de vie, aide-ménagères, opérateurs de téléassistance…)

Pour toute demande d’interview ou de reportage, Brice Alzon, PDG de Coviva et vice-président de la FESP, se tient à votre disposition.

Appelez-nous !

Elodie Mazières Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.  - 07 68 29 77 94

Antoine Monnier Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.   - 06 03 71 76 10


A propos de Coviva :

Coviva est le réseau grandissant d’agences spécialisées dans les services à la personne pour Seniors depuis 2004.  Ses valeurs centrales sont l’engagement, le respect, la proximité et l’entraide.  Le réseau propose à tous les Seniors, qu’ils soient dynamiques ou dépendants, une offre complète de services d’aide destinée à leur faciliter le quotidien mais aussi à créer du lien social...

Dans toute la France, un réseau de professionnels qualifiés s’est développé dans :

- l’aide à domicile

- la livraison de repas

- l’aide au ménage

- l’accompagnement véhiculé

- la téléassistance

Auxiliaires de vie, livreurs, aide-ménagère... tous les intervenants sont expérimentés, respectueux, et toujours prêts pour un brin de conversation.

 

[1] https://www.leparisien.fr/economie/emploi/2-723-000-projets-de-recrutements-les-secteurs-qui-vont-embaucher-en-2021-selon-pole-emploi-04-05-2021-HWR7SGJPKNEEVENW6TLHJRO2GM.php

 
 
Etude Expedia - Près de la moitié des Français sont stressés à l'idée d'un voyage..
*

Aujourd’hui, le site de voyages en ligne Expedia.fr lance son Rapport sur les Compagnons de Voyage qui révèle l’inquiétude et le stress des Français à l’idée de réserver un voyage post-pandémie. Et pourtant près de trois quarts d’entre eux (70%) rêvent de briser leur routine lors d’un voyage bien mérité.

Ils passent en moyenne plus de 6h sur leur réservation, sont à la recherche d’un point d’information unique où dénicher tous les renseignements liés aux restrictions de voyage et modalités de séjour liées à la Covid-19…  C’est pourquoi cette année, les Français réclament un “coup de main” pour planifier leur prochain séjour !

Si réserver un voyage constitue une source de stress encore plus grande depuis le début de la pandémie, les Français rêvent malgré tout de s’accorder quelques jours de vacances. Un séjour dont profiteraient 70 % des voyageurs pour se ressourcer bien loin de leur train-train quotidien : activités originales, sorties au restaurant, séjour tout compris… Bref, on oublie la cuisine, le télétravail et le quotidien !

 

Une tendance déjà constatée par Expedia.fr suite aux dernières annonces du gouvernement. Depuis la publication du calendrier de déconfinement et la levée des restrictions de déplacement à 10km, Expedia.fr a constaté une forte augmentation des recherches sur son site, près de 50% de plus par rapport aux semaines précédentes.

 

 

Communiqué de presse

 

 

Paris, le 4 mai 2021

 

Fête de la Nature : 89% des Français estiment que la forêt appartient au patrimoine, comme la gastronomie ou les monuments historiques

 

Après plus d’un an de crise sanitaire, l’allègement progressif des restrictions coïncide avec la Fête de la Nature du 19 au 23 mai. Les Français vont de nouveau pouvoir profiter librement de la forêt. A cette occasion, les résultats d’un sondage OpinionWay pour STIHL France montre leur profond attachement à la forêt : 89% d’entre eux estiment même qu’elle appartient au patrimoine français au même titre que la gastronomie ou les monuments historiques.

Déjà en juin 2020, à la sortie du premier confinement, 2/3 des Français déclaraient vouloir consacrer plus de temps à la nature. Véritable choc existentiel, surtout chez les plus jeunes et les citadins, la crise sanitaire a révélé à quel point la forêt répond à un besoin essentiel de se reconnecter à la nature. L’exploitation et la gestion de la forêt constituent également des sujets de préoccupation croissante.

 

Grands enseignements

• 92 % des Français déclarent aimer la forêt. Avec son lot de confinements et de couvre-feux, la crise sanitaire a suscité ou intensifié l’envie de forêt d’une large majorité de Français : 57 % ont ressenti cet effet, et plus encore les citadins (64 % dans les villes de plus de 100 000 habitants) et les plus jeunes (73 % des 18-24 ans).

 

• L’immense majorité des Français (89 %) estime que les forêts font partie du patrimoine national, un plébiscite qui place la forêt au niveau des grands fleurons nationaux que sont les monuments historiques et la gastronomie.

 

• Malgré les restrictions, les Français ont maintenu un lien privilégié avec la forêt : 56 % s’y promènent ou y pratiquent des loisirs au moins une fois par mois. Plus d’un Français sur cinq s’y rend au moins une fois par semaine. Parmi les raisons qui les poussent à se rendre en forêt figurent : la proximité avec la nature (67 %), l’éloignement de l’agitation (65 %) et la beauté des lieux (51 %).

 

• 61% des parents estiment que leurs enfants préserveront mieux la forêt que leur génération.

 

• Une large majorité des Français (67 %) se dit préoccupée par l’avenir des forêts en France et presque autant (62 %), souhaite une exploitation minimale, en privilégiant des outils manuels et des petites machines.

 

Un fort attachement personnel au patrimoine vert national

 

 92 % des Français déclarent leur amour de la forêt. Bien que ce sentiment s’avère le plus prégnant chez les plus âgés (98 % chez les 50-64 ans et même 100 % chez les 65 ans et plus), il reste très élevé parmi les plus jeunes (80 % des moins de 35 ans), qui, malgré la culture du virtuel et de l’ultra-connexion, expriment une grande préoccupation pour la cause environnementale.

 

• A la question « les forêts font-elles partie du patrimoine français au même titre que ses monuments historiques ou que son patrimoine gastronomique ? », 89 % des Français répondent « oui ». Ce taux augmente selon l’âge pour atteindre 95 % chez les plus de de 65 ans. De même, les habitants des communes rurales sont plus nombreux à reconnaître la valeur patrimoniale des forêts (94 %).

 

• Avides de reconnexion avec la nature, les Français citent en priorité trois raisons qui les portent à aimer la forêt : la proximité avec la nature (67 %), l’éloignement de l’agitation (65 %) et la beauté des lieux (51 %).

 

• Plus de la moitié des Français (56 %) se rend en forêt au moins une fois par mois. La proximité géographique favorise ce lien puisque les plus assidus habitent les régions les plus boisées (ils sont 30 % dans le sud-ouest, 26 % dans nord-est, 25 % dans le sud-est), des communes rurales (27 %) et de moins de 20 000 habitants (26 %).

 

La crise sanitaire révélateur de l’envie de plus de forêt 

 

• Alors que 57 % des Français ont ressenti davantage l’envie d’aller en forêt en raison de la crise sanitaire, les conséquences de la pandémie diffèrent selon les classes d’âges. Ainsi, pour les deux tiers des générations Y et Z (moins de 35 ans), la pandémie a joué un rôle de révélateur, tandis que la moitié des générations du babyboom (65 ans et plus) restent sur leur rapport antérieur à la forêt.

 

• Cette envie a surtout grandi chez les habitants des villes de plus de 100 000 habitants (64 % déclarent avoir davantage envie d’aller en forêt), une preuve du besoin d’évasion en pleine nature.

 

Un sentiment d’inquiétude pour l’avenir… mais une confiance envers les nouvelles générations

 

• Plus de la moitié de la population (52 %) pense que la surface forestière décline, un indicateur de l’inquiétude des Français, alors qu’en réalité des études montrent une extension de la superficie des forêts depuis le milieu du XIXe siècle (source IGN).

 

• Deux Français sur trois sont inquiets pour l’avenir de la forêt en France (67 %, dont 21 % beaucoup), avec des différences marquées, notamment selon les générations. Les seniors s’avèrent les moins inquiets (58 %) alors que les jeunes de moins de 35 ans le sont davantage (69 %). Plus proches des forêts, les habitants des communes rurales se disent préoccupés à 72 %, contre 65 % dans les grandes villes.

 

• Pour les trois quarts des parents (77 %), la génération de leurs enfants a davantage besoin que la leur de la forêt. Pour autant, ils leur font confiance puisque près des deux tiers (61 %) estiment que leurs enfants préserveront mieux la forêt.

 

Une aspiration à une exploitation minimale de la forêt

 

• Si les professionnels (gardes-forestiers à 61 % et bûcherons à 34 %) sont considérés parmi les plus proches de la forêt, les promeneurs (à 45 %) et cueilleurs de champignons / baies (à 33 %) bénéficient également de cette reconnaissance.

 

• 62 % de la population préférerait une exploitation des forêts aussi réduite que possible. Là aussi les plus jeunes se distinguent puisque 70 % des 18 à 24 ans sont partisans d’une exploitation minimale et 16 % d’une exploitation zéro.

 

• Les Français rejettent clairement les méthodes industrielles de masse pour la forêt puisque 45 % des sondés estime qu’elles devraient être entretenues avec des haches et des tronçonneuses manuelles et 37 % avec de petites machines automatiques, contre 5 % avec des robots et machines d’abattage de gros volumes.

 

 

 

Ce sondage sur « Les Français et la forêt » réalisé pour STIHL par OpinionWay fait suite à celui du printemps 2020, juste après le confinement, qui soulignait l’attachement des Français au jardinage et leur souhait de s’y consacrer davantage. Une fois de plus, la preuve est apportée que l’amour de la nature, sa préservation et le besoin de s’y connecter ont été accentués par la crise sanitaire.

 

« Les résultats de ce sondage OpinionWay pour STIHL montrent clairement le puissant attachement des Français à la forêt, renforcé par la crise sanitaire », déclare Alexandre Thorn, président de STIHL France. « Avec ses partenaires professionnels, STIHL porte une responsabilité particulière vis-à-vis de la forêt et s’engage plus que jamais dans sa préservation à travers une exploitation durable et un entretien respectueux de la nature. »

 

Plus d’informations ou de données sur demande auprès du service de presse.

 

 

Méthodologie

Sondage réalisé par OpinionWay pour STIHL les 3 et 4 mars 2021 auprès d’un échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

 

A propos de STIHL

Le groupe STIHL développe, fabrique et distribue des outils motorisés destinés aux professionnels de la sylviculture et de l'agriculture ainsi qu’à l'entretien des jardins et des installations paysagères, au secteur de la construction et aux propriétaires de jardins privés. Cette gamme de produits est assortie de solutions et de services numériques. Ces produits sont distribués en ligne et par l'intermédiaire de revendeurs agréés, dont 41 filiales de vente et de commercialisation, environ 120 importateurs et plus de 53 000 revendeurs dans plus de 160 pays. STIHL dispose de ses propres usines de fabrication dans sept pays : Allemagne, États-Unis, Brésil, Suisse, Autriche, Chine et Philippines. STIHL est la marque de tronçonneuses la plus vendue au monde depuis 1971. La société a été fondée en 1926 et est basée à Waiblingen près de Stuttgart. En 2019, STIHL a réalisé un chiffre d'affaires mondial de 3,93 milliards d'euros avec un effectif de 16 722 personnes.

 

A propos de STIHL France

La filiale française de STIHL a été créée en 1984 et a généré un chiffre d’affaires de 303 millions d’euros en 2019.

STIHL France collabore avec un réseau de 1880 revendeurs et compte 193 collaborateurs répartis dans 3 sites.

stihl.fr

 

 
 
 Etude Dynata / Télétravail : une norme qui redeviendra l'exception ?
Elisabeth Borne a organisé lundi 26 avril, une réunion de travail avec les syndicats pour préparer le déconfinement en entreprise, qui pourrait assouplir les consignes de télétravail à partir de la mi-mai.
 
Dynata, la plus grande plateforme de data & insights au monde, a interrogé 1000 répondants Français entre le 14 et le 16 avril 2021. L'étude a également porté sur des répondants aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne et en Australie, et a consolidé un total de 5000 réponses au niveau mondial (France incluse).
 
Les résultats sont édifiants sur les habitudes de travail actuelles des Français, sur leurs attentes mais aussi sur leur perception du travail à distance, pour l'après-crise.
 
Dans ce contexte, une question se pose : le télétravail restera-t-il la norme après cette pandémie ?
  • La majorité des Français (37,4%) pense que le télétravail reste une solution mais qu'il ne sera pas forcément priorisé par rapport au travail en présentiel. 
  • Quant aux plus jeunes (18-24 ans), 42,7% d'entre eux pensent que le télétravail deviendra la nouvelle norme. En revanche, les 55-64 ans n'en sont pas si sûrs ! Seuls 21,2% des répondants de cette tranche d'âge sont d'accord avec cette idée.
  • Au niveau mondial, 40,2% des personnes interrogées pensent que le modèle du "travail de partout" se poursuivra après la pandémie.
 
 
 
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Etude Futurosoft : l'impact du contexte sanitaire sur le marché du deux roues
 
68% des points de vente voient 2021 comme une année positive pour la vente de 2 roues
 
Futurosoft, filiale du groupe DL Software et leader des logiciels de gestion pour les concessions 2 roues, publie son étude sur l'impact de la crise sanitaire sur le marché des 2 roues. Réalisée auprès de plus de 3000 points de vente, l'étude révèle comment les revendeurs de deux roues traversent la crise et retranscrit leurs enjeux pour 2021.
 
Retrouvez les chiffres clés de l'enquête sur cette infographie disponible sur le site Futurosoft
 
2020 : une année sauvée par l'engouement pour le vélo et les véhicules électriques
 
Malgré l'engouement des consommateurs pour le vélo et les véhicules électriques, le marché du 2 roues (motos, scooters, vélo classique, vélo électrique) n'est pas totalement épargné par la crise sanitaire. En effet, 42% des répondants ont déclaré que leur chiffre d'affaires avait baissé en 2020.

Dans le détail :
  • 11,94% indiquent qu'il est resté stable
  • 42,54 déclarent qu'il a augmenté
  • 42,53 remarquent qu'il a baissé
  • 2,99% ne savent pas
La tendance est intimement liée à la baisse de fréquentation due à la fermeture des points de vente pendant le(s) confinement(s) de 2020. Mais on apprend aussi que pour près de 87% (86,56%) des répondants, le contexte sanitaire a joué sur le comportement d'achat des consommateurs. Cet impact s'est fait ressentir principalement sur deux facteurs d'achat :
  • Le budget attribué : 33% des points de vente déclarent que le budget de leur client a significativement évolué depuis le début de la crise sanitair​
  • Le type de produit acheté : 39% des points de vente indiquent une modification des types de produit acheté, notamment en faveur des vélos / véhicules électriques (+45% des répondants ont observé une hausse de la demande sur l'électrique et+76% parmi les revendeurs de vélo)

2021 : des prévisions optimistes et des investissements digitaux à la hauteur de l'enjeu
 
Le sondage indique que 68% des points de vente voient 2021 comme une année positive pour la vente de 2 roues – seulement 24% envisagent un chiffre d'affaires en baisse par rapport à 2020.

Afin de soutenir cette croissance, 33% des points de vente souhaitent mettre en place un service de location de cycles / 2 roues motorisés. Et +65% envisagent de distribuer des véhicules électriques.

Selon Jean-Alexis d'Utruy, Fondateur de Futurosoft, « cet engouement fait écho à une véritable prise de conscience des Français autour des problématiques environnementales, notamment l'impact de leurs déplacements sur la qualité de l'air. Et si le vélo électrique a d'abord permis de remettre en selle toute une tranche de la population à fort pouvoir d'achat, aujourd'hui son coût est davantage accessible et son usage s'est étendu, notamment grâce aux aides gouvernementales. »

En termes d'investissement, +61% des acteurs du deux roues déclarent qu'investir dans le digital sera leur top priorité en 2021. Et ce score s'élève à 75% chez les revendeurs de motosCet investissement permettra notamment la création de sites internet ou, plus généralement, aura pour objectif le développement de leur présence en ligne et la digitalisation de leur système de gestion.

« L‘arrivée de la crise sanitaire a provoqué une véritable prise de conscience quant aux enjeux du digital, le secteur du cycle et motocycle est à la recherche de leviers pour accroître leur chiffre d'affaires sans augmenter le trafic en point de vente, » explique Simon Quéret, directeur général de Futurosoft.
 
« Pour nos clients aujourd'hui, la digitalisation se déploie sur différents axes : la mobilité avec notamment des outils en mode SAAS, Une communication cliente renforcée :  mailing, prise de rdv, et le développement de leur visibilité en ligne. Sur ce dernier axe, nombre de nos clients misent sur la création de ‘niches digitales' comblant ainsi un retard du secteur dans ce domaine » conclut-il.
 
Méthodologie : Etude réalisée auprès de +3000 points de ventes clients et prospects Futurosoft. Les interviews se sont déroulées en ligne, par questionnaire auto-administré, sur le système SurveyMonkey, durant la période du mois de mars 2021.
 
A propos de Futurosoft
Futurosoft, société du groupe DL Software, est le leader de l'édition de logiciel de gestion pour les concessions motos, cycles et motoculture. Depuis plus de 30 ans, l'entreprise est reconnue pour améliorer fortement la productivité de ses +2500 clients basés en France, en Suisse et au Benelux. Futurosoft propose une solution complète basée principalement sur un logiciel simple, multicanal et couvrant toutes les fonctionnalités métier attendues par ses utilisateurs (Gestion, Planning atelier, Fidélité et CRM).

 
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Combattre l'hypertension, un mal qui touche 1 Français sur 3, grâce à au bracelet

lancement en France du 1er bracelet connecté de surveillance en continu de l’hypertension artérielle. Cette innovation fait suite  à 15 ans de recherches conduites au  Centre suisse d'électronique et de microtechnique (CSEM).  Les leaders mondiaux de la technologie aimeraient posséder cette innovation qui va révolutionner le monde de l’hypertension mais c’est une start-up suisse  Akttia qui réussit cet exploit.

Nous avons le soutien du Professeur Girerd, cardiologue et Président de la Fondation de Recherche sur l'Hypertension Artérielle pour ce lancement.

A retenir : L’hypertension artérielle est une maladie cardiovasculaire qui touche en France un adulte sur trois --SEULE LA MOITIÉ LE SAIT-- et son incidence augmente avec l’âge*. 

La précision suisse au service de l’hypertension : la MedTech Aktiia® lance en France le 1er bracelet connecté de surveillance en continu de l’hypertension

 

L’hypertension artérielle est une maladie cardiovasculaire qui touche en France un adulte sur trois --SEULE LA MOITIÉ LE SAIT-- et son incidence augmente avec l’âge*. 

 

Neuchatel, Suisse -- Le 6 mai, 2021 - Aktiia, la Medtech Suisse créatrice du premier système optique connecté de surveillance de la pression artérielle pour une utilisation continue, annonce aujourd'hui le lancement en France de son bracelet connecté et de son service de surveillance de la pression artérielle 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Cette innovation médicale révolutionnaire permet de fournir aux utilisateurs et à leurs médecins des informations complètes sur les mesures de la pression artérielle qui permettent de mieux diagnostiquer et de mieux gérer l'hypertension ainsi que les risques qui y sont liés. Désormais disponible à la vente en France, Aktiia répond aux standards de la norme ISO81060-2 et a reçu le marquage CE en tant que dispositif médical de classe IIa.

 

Le dispositif Aktiia permet un suivi plus précis sur le long terme de la tension artérielle que les prises de tension ponctuelles avec un tensiomètre gonflable classique. Il permet de mesurer en continu et sans douleur la pression artérielle pour détecter et prévenir de façon précise les risques cardio-vasculaires.

 

« L'hypertension artérielle concerne en France 15 millions de personnes et sa prise en charge a montré son efficacité pour se protéger contre les maladies cardiovasculaires en particulier l'Accident Vasculaire Cérébral » déclare le Pr Xavier Girerd, cardiologue et Président de la Fondation de Recherche sur l'Hypertension Artérielle. 

 

« La mesure de la tension n'avait pas fait l'objet d'innovation depuis un siècle et la mise au point du bracelet AKTIIA, un dispositif "sans brassard" basé sur la "détection optique en continu", constitue une innovation majeure pour les patients avec une hypertension artérielle » précise le Pr Girerd.   

 

« Avec l'arrivée d'AKTIIA, une révolution va se produire dans le domaine de la surveillance de la tension car il y aura sans doute de profondes modifications dans la façon de prendre en charge l'hypertension artérielle » prédit le Président de la FRHTA.

 

« Les maladies cardiovasculaires étant la principale cause de décès dans le monde, le grand public doit réaliser quel impact les choix de mode de vie auront sur son avenir et les médecins doivent pouvoir comprendre plus profondément les schémas de pression artérielle afin de pouvoir changer la façon dont ils diagnostiquent et traitent les personnes souffrantes d’hypertension », a déclaré Mike Kisch, PDG d'Aktiia.  « Après 15 ans de développement et un million de lectures de la pression artérielle, Aktiia a réussi à mettre sur le marché le premier système automatisé de surveillance de la pression artérielle 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 au monde. »

 

Fonctionnement du système Aktiia

Les algorithmes de surveillance de la pression artérielle (OBPM) d'Aktiia s'appuient sur des capteurs optiques portés au poignet et fournissent des valeurs de pression artérielle en utilisant la photopléthysmographie (PPG) pour analyser le changement de diamètre des artères qui se produit à chaque battement de cœur. Cette mesure optique est effectuée en continu et automatiquement grâce au petit bracelet léger au look contemporain de sorte que les utilisateurs n'ont pas à interrompre leur journée ou leur sommeil pour prendre une mesure. Aktiia a démontré une grande précision dans son essai clinique pivot : 0,45 ± 7,75 mmHg pour la pression artérielle systolique et 0,38 ± 6,86 mmHg pour la pression artérielle diastolique. Les processus de collecte et de traitement des données d'Aktiia répondent aux plus hauts enjeux de sécurité et au RGPD. 

 

Disponibilité et prix d’Aktiia 

Aktiia est commercialisé en ligne directement sur le site internet 

Le dispositif de surveillance de la pression artérielle 24/7 d'Aktiia comprend :

  • Le bracelet Aktiia

  • L’accès à toutes les fonctionnalités de l'application Aktiia 

  • Le brassard Aktiia (utilisé pour l'étalonnage une fois par mois).

 

Le dispositif Aktiia est commercialisé en deux options : 

Option 1 - Achat du bracelet tensiomètre connecté et du brassard Aktiia au coût initial de 99 € avec un abonnement mensuel à l’application Aktiia de 8,99 € /mois

Option 2 - Un coût annuel de 199 € qui comprend le bracelet tensiomètre connecté et le brassard Aktiia ainsi que 12 mois de service de surveillance 24/7 (avec un abonnement à 6,99 € / mois l’année suivante).

 

A propos d’Aktiia 

Fondée en Suisse en mai 2018 par les docteurs Mattia Bertschi et Josep Sola dans le but de transformer les connaissances en actions dans la lutte contre l'hypertension, la technologie médicale révolutionnaire d'Aktiia a été initialement développée au prestigieux Centre suisse d'électronique et de microtechnique (CSEM). Désormais disponible en France. Aktiia a reçu le marquage CE en tant que dispositif médical de classe IIa, ce qui signifie que le dispositif a été évalué comme répondant aux exigences élevées de l’Europe en matière de sécurité, de santé et de protection de l'environnement. 

 

L'équipe d'Aktiia compte aujourd’hui certains des plus grands experts scientifiques et techniques au monde en matière de surveillance optique de la pression artérielle, notamment le CTO, le Dr Josep Sola, pionnier de la surveillance de la pression artérielle sans brassard et rédacteur en chef de "The Handbook of Cuffless Blood Pressure Monitoring." Aktiia a été validé dans de multiples études cliniques sur une population diverse de porteurs dans de multiples positions du corps. 

Disponible depuis le début de l’année en Angleterre, Aktiia est désormais en vente dans plusieurs pays à travers l’Europe dont la France, l’Allemagne, l’Autriche, en Irlande et en Suisse. Pour en savoir plus, visitez le site Aktiia.com.

 

Pour plus de détails, vous pouvez consulter les essais cliniques 

Le dispositif de surveillance optique de la pression artérielle Aktiia a démontré sa précision dans le cadre de divers essais cliniques dont les résultats ont fait l’objet de présentations lors de nombreux congrès scientifiques et de publications dans des revues reconnues par le corps médical. L'essai clinique pivot d'Aktiia a été mené au Centre Hospitalier Universitaire de Lausanne (CHUV) en respectant les normes internationales de validation et en recrutant des participants dans un échantillon représentatif de l'âge, de l'IMC et de la couleur de la peau. Ses résultats ont été évalués par des pairs et acceptés pour une publication par la revue de référence dans le domaine : Blood Pressure Monitoring.

 

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Etude IFOP x Laforêt : la rénovation énergétique, au coeur des foyers français

l'étude IFOP x Laforêt dans le cadre de vos prochains sujets immobilier, tendances énergétiques, environnement… 
 
Après une première enquête menée en 2018, Laforêt a de nouveau interrogé les Français sur leurs motivations à l'achat et à la rénovation d'un bien immobilier. 
 
Il y a une prise de conscience et le critère de l'impact environnemental a bondi de +5% entre 2018 et 2021.
Désormais pour 4 Français sur 10, l'impact environnemental est un critère prépondérant dans le cadre de la rénovation énergétique de leur logement, devant le souhait de ne plus subir les hausses tarifaires des fournisseurs.
 
 
https://www.ecolomag.fr/la-sante-de-nos-dents-passe-aussi-par-notre-assiette/
 

On n’en a pas toujours conscience, mais notre alimentation contribue fortement à la santé dentaire. Et quand on comprend à quel point cette dernière influence notre santé, on comprend aussi que mieux vaut prévenir que guérir. Malmenée, votre santé buccale vous le rendra au centuple… Œil pour œil, dent pour dent.

Nous sommes d’accord, avoir de belles dents, c’est important pour se sentir bien. Qu’elles soient jaunes ou manquantes, cela peut considérablement modifier un visage et obliger à… serrer les dents. Pas facile de bien mastiquer avec une mauvaise dentition. Or, un manque de mastication diminue les capacités d’absorption des nutriments, alourdit la tâche du système digestif et peut provoquer troubles intestinaux et mauvaise haleine. Mais les mauvaises nouvelles ne s’arrêtent pas là.

Une bonne santé buccale, ce n’est pas juste un problème esthétique

Aussi incroyable que cela puisse paraître, une santé buccale déficiente augmente le risque de nombreuses maladies ! Et pas des moindres !

Et si tout partait de la bouche ?

Le lien entre maladie d’Alzheimer et infection buccale a été établi et ce qui n’était qu’une hypothèse il n’y a pas si longtemps encore semble se confirmer. En effet, certaines bactéries sont capables de libérer des enzymes qui ne vont pas se contenter de favoriser l’inflammation au niveau des gencives, mais qui peuvent aussi passer dans le cerveau via le sang et y favoriser des lésions du même type que celles de la maladie d’Alzheimer1. Un lien entre la perte de dents à l’âge adulte et le risque de démence a également été suggéré.

Mais ce n’est pas tout : le risque de cancer de l’oesophage (pas bien loin de la bouche) est triplé en cas de parodontite (infection des gencives) et le risque est aussi augmenté pour le cancer du sein, du poumon, du côlon et de la vésicule biliaire2.

Enfin, la bouche accueille aussi un microbiote. S’il est bien équilibré, il protège de l’apparition de bactéries pathogènes. Très récemment, le lien entre le microbiote buccal et l’obésité a été établi3. Sur 16 espèces différentes de bifidobactéries et de lactobacilles, 8 ont été corrélées au risque d’obésité. Et le plus surprenant c’est que les enfants de 2 ans qui prennent du poids rapidement ont déjà un microbiote buccal qui présente des similitudes avec celui des personnes en état d’obésité.

Le microbiote salivaire des personnes obèses a non seulement une composition différente mais est aussi, comme l’intestinal, moins diversifié. Certaines bactéries normalement présentes dans la bouche sont retrouvées dans les selles, ce qui montre que la salive peut les y transporter.

Et la liste ne s’arrête pas là. Des liens semblent aussi établis avec l’hypertension et même avec la gravité des complications de la Covid-194. Une dent avertie en vaut deux…

1- Periodontal Disease and Periodontal Disease-Related Bacteria Involved in the Pathogenesis of Alzheimer’s Disease. J Inflamm Res. K. Matsushita. June 2020.
2- Periodontal disease and cancer: Epidemiologic studies and possible mechanisms. Peridontol 2000. Ngozi Nwizu. June 2020.
3- Obesity and periodontal disease: A review. J. Family Med Prim. Care. M Kan. 2020
4- Could there be a link between oral hygiene and the severity of SARS-CoV-2 infections? Br Dent J. 2020.

Calcium, magnésium, phosphore, vitamines D : le trio de choc pour croquer la vie à pleines dents !

Le calcium, le magnésium et le phosphore sont les 3 constituants structuraux de base des dents. En manquer augmente les facteurs de risques sur la santé, ainsi que celui de voir se développer saignements de gencives, déchaussements et pertes de dents. Les déficits en phosphore sont très rares, mais il n’en est pas de même pour le calcium et le magnésium. Et pas question de les dissocier car avoir assez de calcium mais trop peu de magnésium affaiblit l’émail.

Au menu, prévoyez donc des yaourts nature, amandes et autres oléagineux, sardines, choux, légumes verts, poisson, graines, quinoa… Certaines eaux minérales contiennent aussi du calcium et du magnésium.

La vitamine D, pas que pour faire de bons os !

Sans elle, pas de fixation du calcium possible. La vitamine D fait pourtant souvent défaut au sein de la population. Au-delà de son rôle connu sur la santé osseuse, elle contribue aussi à une bonne immunité et est anti-inflammatoire. Certaines personnes ont malheureusement des récepteurs à la vitamine D génétiquement moins fonctionnels. Elles présentent alors un risque augmenté de maladies parodontales.

Au menu : œufs et poisson gras. Mais, malheureusement, même une alimentation équilibrée n’est pas capable d’apporter la quantité de vitamine D dont nous avons besoin. Le soleil (qui arrive) va alors avoir toute sa place pour compléter nos apports. Mais lui non plus ne suffit pas toujours. Une petite supplémentation est souvent nécessaire.

Il est préférable de ne pas avoir de dent contre les fruits et légumes !

Pour chouchouter ses dents, les études montrent également qu’il est important d’apporter des antioxydants (vitamine C, vitamine E, bêta-carotène…), mais aussi des anti-inflammatoires naturels. N’hésitez donc pas à vous mettre sous la dent : légumes et fruits de toutes les couleurs, et surtout ceux de couleur orange (carottes, patates douces, oranges, abricots, melons), les légumes à feuilles vertes, le thé vert, des huiles extra-vierges, des noix…

Des bactéries dans la bouche ? Eh oui, notre bouche a son microbiote

Les maladies parodontales n’ont pas qu’une seule cause. Elles ont des origines à la fois génétiques et environnementales. Nous disposons d’une flore buccale (ou microbiote buccal) qui joue un rôle important. L’implication de certaines souches dans l’apparition et la progression de ces pathologies a été établie, alors que d’autres seraient protectrices. C’est pourquoi les dentistes commencent à encourager l’utilisation de certains probiotiques spécifiques à la santé buccale, qui auraient également une action préventive bénéfique.

Il est intéressant de noter que certaines bactéries délétères à la santé buccale semblent ne pas du tout apprécier le thé Oolong. Sa consommation régulière pourrait, dès lors, moduler le microbiote buccal, avoir un effet antipathogène et, ainsi, une action préventive intéressante. Bien sûr, est-il vraiment utile de rappeler que la santé dentaire – et buccale en général – passe aussi par un brossage méticuleux 2 fois par jour, l’utilisation de brossettes interdentaires, une consommation la plus limitée possible d’aliments sucrés et le fait de ne pas fumer ?

Véronique Liesse www.veronique-liesse-nutrition.com Chaîne YouTube : L’Healthentiel

 

Le savez-vous ?

Des dents qui s’écartent sont souvent le signe d’une atteinte anormale du tissu de soutien des dents (os et ligaments) et d’une inflammation de la gencive.