Merci à Pierre-Jean Llorens, une belle contribution à cette revue de presse :
7406 défaillances d’entreprises au 1er trimestre 2021
7406 défaillances d’entreprises au 1er trimestre 2021
Un an après le début de la crise, la fermeture guette les plus fragiles. 8 jugements sur 10 sont des liquidations directes, du jamais vu en 20 ans.
Altares dévoile aujourd’hui les chiffres des défaillances d’entreprises en France pour le 1er trimestre 2021. Avec 7406 procédures collectives ouvertes, soit une baisse de 32,1 % par rapport au 1er trimestre 2020, le niveau général des défaillances reste exceptionnellement bas. Le mois de mars marque cependant un véritable point d’inflexion, tant sur le rythme des ouvertures de procédures que sur leur physionomie, puisque 79 % des jugements mènent désormais à la liquidation de l’entreprise. Un niveau jamais atteint en 20 ans.
Thierry Millon, directeur des études Altares : « Après avoir atteint leur plus bas niveau en 30 ans fin 2020, le nombre de procédures continue de reculer fortement au premier trimestre 2021(-32,1 %). Le mois de mars pourrait cependant constituer un point de bascule. D’abord sur le changement de rythme des ouvertures de procédures, attendu mais impressionnant. Sur les deux premières semaines de mars, les défaillances d’entreprises sont en très fort recul (-48 %), mais sur les deux suivantes elles explosent de 155 % comparées à la même période de 2020, qui marquait le début du confinement, le gel des cessations de paiement, la fermeture des juridictions et donc la suspension temporaire des audiences. C’est aussi en mars qu’émergent des chiffres concrets sur la détresse de centaines d’entreprises qui se trouvent en cessation de paiement, en dépit des dispositifs de soutien publics. Car désormais, 8 entreprises sur 10 qui se présentent devant les tribunaux sont directement liquidées, un taux jamais atteint depuis 20 ans. »
Un nombre de défaillances d’entreprises exceptionnellement bas
7 406 entreprises sont tombées en défaillance en France au cours des trois premiers mois de l’année 2021, c’est 32,1 % de moins qu’à la même période 2020, qui n’avait été perturbée par la crise sanitaire qu’en toute fin de trimestre.
Seulement 170 procédures de sauvegardes (-26,7 %) ont été ouvertes, pour 1 493 entreprises placées en redressement judiciaire. Un nombre en très fort retrait (-51,2 %), deux fois plus rapide que celui des liquidations judiciaires directes (5 743 ; -24,5 %).
Les mois de janvier (-35 %) et février (-45 %) démontrent une baisse très importante du nombre de procédures ouvertes, alors que le mois de mars (-13 %) amorce un changement de rythme. Si la première quinzaine du mois s’inscrivait dans la même tendance que février (-48 %), la seconde présente une augmentation impressionnante de 155 % par rapport à la même période en 2020. Une tendance d’autant plus marquée du côté des liquidations judiciaires directes (+211 %).
Le taux des liquidations directes s’accélère en effet en ce début d’année. Il dépasse désormais 77 % des jugements sur le premier trimestre et atteint même 79 % en mars, une donnée qui illustre la très grande fragilité de nombreuses structures.
Le nombre d’emplois menacés tombe juste sous le seuil des 30 000 mais représente encore en moyenne 4 emplois par entreprise. A noter que ce chiffre est toutefois amplifié par la procédure de sauvegarde engagée par le groupe de restauration Flunch, qui concerne 5000 salariés. Sans cette procédure, le nombre d’emplois menacés par entreprise serait resté similaire à la moyenne observée depuis cinq ans (3,4 emplois par défaillance).
Les TPE durement fragilisées et les PME d’au moins 100 salariés sous tension
Les TPE de moins de trois salariés concentrent les trois quarts des procédures mais leur nombre (5609) est en recul de 31 %. Ces entreprises se présentent toutefois devant le tribunal en situation financière tellement compromise que 80% d’entre elles sont placées directement en liquidation judiciaire.
La situation des TPE de 3 à 5 salariés est à peine meilleure. Elles sont 939 à avoir défailli au 1er trimestre 2021(-31%) et 77 % d’entre elles ont été immédiatement liquidées.
Les ouvertures de procédures collectives reculent de 40 % chez les entreprises de 6 à 49 salariés et de 35 % chez les PME de 50 à 99 salariés.
Pour les PME d’au moins 100 salariés, la situation reste tendue : les liquidations directes sont minoritaires mais le nombre de défaillances augmente sur un an. 23 ont en effet défailli au 1er trimestre 2021, soit 6 de plus qu’il y a un an. Cependant, seules 4 d’entre elles ont été liquidées.
A noter que moins de la moitié de ces grandes PME était à jour de publicité des comptes annuels, certaines ne publiaient plus leurs comptes depuis plusieurs années.
Les défaillances en recul dans la plupart des secteurs mais plusieurs activités démontrent déjà des signes de fragilité.
Observatoire de l’emploi des entrepreneurs : -31,3% de perte d’emploi en 2020
33 189 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi en 2020
Les dirigeants expérimentés à la tête de PME premières victimes de la crise
L’association GSC, en partenariat avec Altares-D&B, dévoile sa 5ème édition de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs, pour l’année 2020. Cette année fut exceptionnelle à bien des égards en raison de la crise sanitaire et économique mondiale de Covid-19 : 33 189 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi, soit une baisse de 31,3% vs 2019. Un chiffre* qui peut surprendre, mais qui s’explique en grande partie par les mesures gouvernementales mises en place pour faire face à la crise de la Covid-19, qui ont protégé temporairement les dirigeants de la faillite. Étonnamment aussi, les chefs d’entreprise expérimentés à la tête de PME sont les premiers à être impactés pour la perte d’emploi des dirigeants.
Anthony Streicher, Président de l’association GSC commente : « Nous ne pouvons pas nous réjouir de cette baisse historique du nombre de chefs d’entreprise en situation de chômage. Ces chiffres ne sont malheureusement qu’un mirage qui doivent inciter à redoubler de prudence. Les dispositifs de l’État ont permis aux entreprises de maintenir la tête hors de l’eau, mais ne soyons pas naïfs, l’arrêt progressif des aides va provoquer un raz-de-marée pour des milliers de chefs d’entreprise. »
Les chefs d’entreprise expérimentés les plus touchés
En 2020, 33 189 chefs d’entreprise ont fait face à une liquidation judiciaire de leur entreprise, le chiffre le plus bas depuis la création de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs.
Ces dirigeants « senior » expérimentés (âge moyen 48 ans) vont sans aucun doute faire face à plus de difficultés pour se sortir de cette situation.
Notre devoir est de sauver tous les entrepreneurs, ces femmes et ces hommes qui créent de la richesse et des emplois dans notre pays. La crise s’attaque à des chefs d’entreprise installés dans leur vie personnelle qui peuvent avoir des charges familiales et une pression financière lourdes. J’ai demandé à ce que le plafond et les conditions d’accès à l’allocation des travailleurs indépendants (ATI) soient temporairement modifiés jusqu’au 30 juin 2022. Mais, au-delà de la situation d’urgence, tous les dirigeants doivent avoir connaissance des filets de sécurité existants et des moyens de protéger sa famille, ses revenus quand tout s’écroule. C’est notre responsabilité collective de les informer pour éviter des situations dramatiques. » explique Anthony Streicher.
Les gérants de petites entreprises les moins impactés
Les entrepreneurs dirigeants de structures de moins de 5 salariés ont connu le plus fort recul de perte d’emploi en 2020. La raison ? Il s’agit généralement d’entreprises récentes qui ont su s’adapter à la crise grâce à une transformation rapide pour s’adapter au contexte (notamment transformation digitale et télétravail).
A contrario, les dirigeants de PME (souvent installés depuis plusieurs années dans leur secteur) ont connu la plus forte progression (+ 20,9 % en un an).
De même, les dirigeants de structures enregistrant un chiffre d’affaires de plus de 2 millions d’euros ont moins bien résisté que la moyenne : l’agilité nécessaire dans un contexte de crise n’est pas toujours très bien développée dans des structures importantes.
« Un record de création d’entreprises, un nombre de défaillances au plus bas depuis 30 ans ! Dans un contexte économique et sanitaire inédits, ces remarquables indicateurs de performance ne font toutefois pas illusion. En 2020, l’économie réelle a mis un genou à terre et les entrepreneurs se sont efforcés de tenir au prix d’efforts humains et financiers exceptionnels. Heureusement, l’horizon s’éclaircit enfin. La reprise se profile mais avec elle, aussi, le durcissement du risque commercial et financier. Le nombre de dirigeants en situation de perte d’emploi devrait augmenter en 2021 et plus encore en 2022. C’est pourquoi Altares et l’Association GSC portent ensemble depuis 5 ans cet Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Sensibiliser chaque dirigeant à l’importance de se garantir contre la perte d’emploi : un enjeu social et économique majeur. » explique Frédéric Barth, Directeur Général d’Altares.
Tous les secteurs en baisse
Les secteurs de la construction (7 179) et du commerce (7 056) représentent près de la moitié des pertes d’emploi d’entrepreneurs (malgré toutefois une baisse). Les plus faibles reculs concernent les activités de commerce « non-essentielles » qui ont fermé administrativement pendant les deux confinements de 2020 : – 25,9 % pour l’habillement et – 33,5 % pour l’alimentation.
Les aides de l’État envers les secteurs à l’arrêt pendant la crise ont permis de contenir temporairement la perte d’emploi des dirigeants. Dans les domaines de l’hébergement, de la restauration (qui concentre plus de 3/4 des chefs d’entreprise impactés) et du débit de boissons, 4 377 dirigeants ont perdu leur emploi en 2020.
De même, 4 372 entrepreneurs du secteur du service aux entreprises ont perdu leur emploi l’an dernier. En revanche, les activités liées à l’emploi (particulièrement en difficulté en 2019) connaissent le plus fort recul de perte d’emploi de leurs dirigeants (- 45,5 %), il en va de même pour l’activité de nettoyage de bâtiments (416 entrepreneurs impactés vs 624 en 2019).
Le recul des défaillances concerne l’ensemble du territoire français, avec une tendance encore plus marquée dans certaines régions.
Le secteur information et communication – également concerné par la baisse – connaît quant à lui la plus faible évolution de ses chiffres : 935 entrepreneurs ont perdu leur emploi en 2020, contre 1 158 en 2019.
Tous les départements français en baisse, sauf la Martinique
L’ensemble du territoire hexagonal enregistre une diminution du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Les régions Ile-de-France (23,9 %), Auvergne-Rhône-Alpes (10,8 %) et PACA (10,7 %) représentent à elles seules près de la moitié des pertes d’emploi en France. Trois régions connaissent la plus forte baisse des pertes d’emploi des dirigeants (plus de -35 %) : Grand Est, Auvergne-Rhône-Alpes et Centre-Val de Loire.
Les territoires d’Outre-mer font en revanche face à un recul moins important (- 6,2 %), avec en tête de liste la Martinique et son augmentation significative de 61,4 % de la perte d’emploi de ses entrepreneurs.
*les chiffres de l’étude sont issus d’Altares-D&B
Les dates limites pour déclarer vos revenus
Comme chaque année, les contribuables qui déclarent leurs revenus sur Internet bénéficient de délais supplémentaires. Mais des millions de foyers n’auront même pas à valider leur déclaration.> Lire la suite |
Comment remplir sa déclaration de revenus
Si la déclaration par Internet est la règle, certains contribuables peuvent continuer à remplir une déclaration au format papier et d’autres sont désormais autorisés à ne plus en remplir du tout.> Lire la suite |
Combien allez-vous payer en 2021 ?
Le gouvernement s’est engagé à ne pas augmenter les impôts cette année. Pour certains, vous débourserez même moins qu’en 2020… Explications.> Lire la suite |
N’oubliez pas vos charges déductibles
Certaines charges supportées en 2020 sont déductibles de votre revenu imposable. N’oubliez pas de les inscrire dans votre déclaration pour que le fisc en tienne compte.> Lire la suite |
Ce que vous ne devez pas déclarer
Certains revenus bénéficient d’une exonération fiscale. Si vous en avez perçus en 2020, vous devrez contrôler les montants inscrits par le fisc dans votre déclaration préremplie, et les corriger si besoin.> Lire la suite |
Impôt à la source - Comment le réduire si vos revenus baissent
Les contribuables peuvent demander à l’administration fiscale de diminuer leur impôt à la source si leurs revenus chutent. Le point sur les conditions à remplir et sur la marche à suivre.> Lire la suite |
Quand déclarer les gains des ventes ou services entre particuliers ?
Les ventes de biens d’occasion entre particuliers échappent la plupart du temps à l’impôt. Pour le reste, tout est à déclarer.> Lire la suite |
Toutes les exonérations Covid dont vous pouvez bénéficier
À année exceptionnelle, mesures et fiscalité exceptionnelles. Tour d’horizon des exonérations à contrôler dans votre déclaration de revenus préremplie, ainsi que de celles à y faire figurer.> Lire la suite |
Néobanques, trading : ces comptes que vous devez absolument déclarer au fisc
L’exercice annuel de la déclaration de revenus oblige les contribuables détenant des comptes à l’étranger à les déclarer sous peine d’amende. Encore faut-il savoir lesquels !> Lire la suite |
Les frais de télétravail de 2020 exonérés
Les salariés en télétravail ayant engagé des frais ou qui ont reçu de leur employeur des versements dédiés en 2020 ne seront pas imposés sur ces sommes, dans certaines limites. Explications.> Lire la suite |
Voiture électrique - Un crédit d’impôt pour l’installation d’un système de charge
Les contribuables qui équipent leur logement d’un système de charge pour véhicule électrique peuvent bénéficier d’un crédit d’impôt. Le point sur les conditions d’application de ce nouveau bonus fiscal.> Lire la suite |
Taxe d’habitation - Combien payerez-vous en 2021 ?
À partir de 2023, tous les Français seront exonérés de taxe d’habitation sur leur résidence principale. En attendant, celle que vous aurez à payer cette année dépend de votre revenu fiscal de référence de 2020.> Lire la suite |
Lettre type - Contestation de l’avis d’imposition
Vous constatez une erreur sur votre avis d’imposition : vous estimez que vous avez été trop imposé ou soumis à tort à l’impôt. Vous contestez.> Lire la suite |
Lettre type - Demande de remise gracieuse dite "recours gracieux"
Vous êtes dans l’impossibilité de payer vos impôts, en tout ou partie, du fait d’une situation financière particulièrement difficile que vous pouvez justifier. Il existe une possibilité pour sortir de cette situation.> Lire la suite |
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
Etude : Les Françaises et la mode durable
Plus de 2 Françaises sur 3 détiennent au moins 1 pièce éco-responsable dans leur dressing (67%)
Paris, le 21 avril 2020 – A l’occasion de la journée de la Terre demain et parce que la conscience autour de la consommation de textile ne cesse de se développer, Fairytale.eco, eshop pour femme de mode écoresponsable et éthique, décide de mettre en lumière la relation des Françaises à la mode durable grâce à une étude réalisée avec l’institut Toluna.
Quelles sont les critères qui retiennent leur attention quand il s’agit de vêtements durables ? Où habitent les Françaises qui ont le dressing le plus éco-résponsable ? Combien sont-elles prêtes à dépenser ? Quelles pièces priorisent-elles ?
« Au retour d’un voyage de 18 mois, j’ai pris conscience de l’importance d’acheter des vêtements durables, qui respectent la terre et l’humain. Depuis les marques proposant des vêtements et accessoires dits responsables ne cessent de croître. Les Françaises veulent savoir d’où viennent leurs vêtements et s’assurer qu’ils soient conçus, fabriqués et transportés dans le respect de l’environnement et des normes sociales. C’est une tendance réelle : plus de 2 Françaises sur 3 détiennent au moins 1 pièce éco-responsable dans leur dressing mais chacune l’entend différemment. Nous nous sommes donc interrogés : lorsqu’on construit son dressing éco-responsable, quels sont les critères les plus important ? » souligne Claire Lemarchand, Directrice marketing et co-fondatrice de Fairytale.
Mode : ce que veulent les femmes : qualité et durabilité
Pour plus de 8 femmes sur 10, la qualité et durabilité des vêtements est un critère important voire très important lors d’un achat de textile éco-responsable. Les consommatrices d’aujourd’hui ne veulent plus refaire leurs garde-robes chaque année : les Françaises veulent des pièces qui sont confortables et qui vont durer dans le temps.
Ensuite, dans les critères priorisés pour constituer son dressing éco-responsable, on retrouve à égalité les conditions de travail des employés qui fabriquent les vêtements et la matière de la pièce (80%).
Le pays de production arrive en 3ème position, probablement sous l’influence des multiples campagnes autour du « made in France » visibles depuis quelques années. Les Françaises veulent favoriser le circuit court et souhaitent encourager l’économie locale.
Enfin, on retrouve à la 4ème position les labels et certifications. Ces outils sont pourtant très utiles pour repérer des vêtements durables, mais peut-être manquent-ils de clarté pour le grand public ?
Où habitent les Françaises qui ont le dressing le plus éco-responsable ?
C’est un fait : 2 femmes sur 3 ont déjà au moins une pièce éco-responsable dans leur dressing. Fairytale.eco s’est demandé dans quelles régions habitent les Françaises les plus attentives à ce critère d’éco-responsabilité ? Et celles qui ont le dressing le moins éco-responsable ?
A la 1ère place du classement, on retrouve à égalité 3 régions : la Nouvelle Aquitaine, l’Occitanie et les Pays de la Loire sont les régions où les femmes ont le dressing le plus éco-responsable.
Région |
Pourcentage des femmes qui ont au moins 1 produit éco-responsable dans leur dressing |
Nouvelle Aquitaine |
74% |
Occitanie |
74% |
Pays de la Loire |
74% |
Normandie |
71% |
Ile de France |
70% |
Bretagne |
69% |
Provences Alpes Côte d’Azur |
67% |
Hauts de France |
64% |
Grand Est |
63% |
Auvergne Rhône-Alpes |
62% |
Centre Val de Loire |
60% |
Bourgogne Franche-Comté |
57% |
En 2ème position on retrouve les Normandes qui ont pour 71% d’entre elles au moins une pièce éco-responsable dans leurs placards. Les Franciliennes arrivent à la 3ème place du classement (70%), juste avant les Bretonnes (69%).
En dernière position on retrouve les habitantes de la Bourgogne Franche-Comté où seulement 57% des répondantes ont déclaré avoir au moins une pièce éco-responsable dans leur dressing.
Le prix : frein numéro 1 aux achats eco-responsables
Aujourd’hui, près d’1 Française sur 3 estimes avoir un dressing pas du tout éco-responsable. Pourquoi ? Quels sont les freins ? C’est ce que Fairytale.eco révèle.
Sans surprise, le prix est le principal frein à l’achat de vêtements éco-responsables et éthiques (35%). Viennent ensuite, pour 18% des répondantes, le manque d’informations claires sur les produits ainsi que le fait de ne pas savoir où chercher pour 15% d’entre elles. Enfin, 13% des femmes interrogées déclarent que c’est le style qui les freine et 10% d’entre elles évoquent la crainte du greenwashing.
Mais alors, combien les Françaises sont-elles prêtes à payer pour un t-shirt éco-responsable, premier achat envisagé sous le prisme de l’éco-responsabilité selon le sondage ? 63% des répondantes aimeraient payer moins de 20 euros, 29% sont prêtes à dépenser entre 21 et 34 euros et seulement 8% acceptent de payer plus de 35 euros.
Classement des articles par ordre de priorité lorsqu’on construit son dressing éco-responsable
Classement (par ordre de priorité) |
Produits |
Pourcentage |
1 |
T-shirt |
57% |
2 |
Pantalon/jean |
55% |
3 |
Pull |
40% |
4 |
Chaussures |
27% |
5 |
Robe/jupe |
26,3% |
6 |
Lingerie |
23% |
7 |
Sac à dos/sac à main |
17% |
*Méthodologie : enquête menée avec l’institut de sondage Toluna auprès de 1050 répondantes résidantes en France, entre 18 et 65 ans.
Tous les résultats de l’étude sont disponibles sur ce lien.
À propos de Fairytale.eco
Startup fondée en 2020, Fairytale.eco est une boutique en ligne de mode écologique et éthique pour femme proposant déjà plus de 40 marques engagées.
Véritable garant de l'éthique et de l'éco-responsabilité de chacune des marques disponibles sur son eshop, Fairytale fait preuve de transparence en détaillant pour tous les produits : la composition, les labels, les conditions de travail des fabricants et l'origine des matières.
Une mode optimiste, éco-responsable et éthique pour des femmes qui veulent se sentir belles dans leur style, fière de leurs vêtements et cela, sans culpabiliser.
Immobilier : Quelles marges de négociation des prix à Paris, Marseille, Lyon Bordeaux et Nantes ?
Yanport, l'expert de la data du marché immobilier résidentiel, publie aujourd'hui une nouvelle étude sur les marges de négociation des prix immobiliers dans cinq grandes villes françaises (Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux et Nantes) entre début 2019 et mi-2020. Cette étude menée par l'équipe de R&D de Yanport s'appuie sur des méthodes de machine learning avancées pour combiner sur les données d'annonces immobilières et des demandes de valeur foncière (DVF). Les résultats font ressortir de fortes disparités selon les quartiers pour chacune des villes étudiées, avec des marges de négociation en moyenne beaucoup plus faibles dans les centres-villes qu'au sein des zones périphériques.
Méthodologie : data immobilière et machine learning
Afin de déterminer des marges de négociation au plus proche de la réalité du terrain, Yanport a utilisé son important stock d'annonces immobilières publiées en ligne, qui permettent d'avoir une vision représentative des prix d'offre en amont, et les données DVF, publiées par la direction générale des finances publiques et comportant l'ensemble des transactions immobilières réalisées, afin d'avoir accès aux prix de vente finaux en aval. Pour chacun de ces chiffres, il a toutefois été indispensable de tenir compte de l'incertitude qui leur est inhérente, liée par exemple à des erreurs de saisie ou à des biens particulièrement sur- ou sous-évalués.
A partir des prix observés et des caractéristiques données (surface, nombre de pièces, localisation, date de déduplication pour une annonce ou de vente pour une données DVF...), l'étude a mis en œuvre des méthodes de machine learning afin d'identifier les biens similaires dans les deux bases (annonces et DVF) et d'en déduire une marge de négociation. Cette méthodologie innovante permet également de produire des analyses sur l'évolution des marges de négociation dans le temps, par zones géographiques (zone iris[1], quartier, ville, département) ou typologies de biens.
Ainsi, Yanport a pu dresser une estimation par zone IRIS des marges de négociation dans cinq grandes villes françaises (Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux et Nantes).
A Bordeaux, des marges contenues dans l'ensemble
Du côté de Bordeaux, les marges de négociation sont assez modérées dans l'ensemble pour la plupart des zones IRIS, se situant autour de 2-3%.
Il y a néanmoins des disparités importantes entre quartiers. Si l'hyper-centre affiche des marges moyennes en dessous de 2%, certaines zones, situées plutôt en périphérie, donnent plus de latitude aux acheteurs avec des marges au-delà de 6%. C'est le cas notamment des quartiers du Lac-Bacalan et autour de la gare Saint-Jean.
A Lyon, des opportunités de négociation dans le 5e, 8e et 9e arrondissements
Dans le centre (1er, 3e, 4e, 6e), où le marché est toujours tendu, la marge de négociation est quasi nulle et les biens se vendent en général au prix.
Les autres arrondissements présentent en revanche des situations plus contrastées. Ainsi, par exemple, dans certaines zones, des marges montent jusqu'à 7,9% dans le 5e (vers La Plaine-Charcot), 10,7% dans le 9e (vers Saint-Rambert) et même jusqu'à 12,4% dans le 8e (vers La Plaine).
A Marseille, de fortes disparités entre le centre et les quartiers nord
Marseille est la ville qui enregistre les plus fortes disparités en termes de marges de négociation.
En effet, elles peuvent passer de moins de 3% dans les quartiers autour de Prado-Périer jusqu'à plus de 10% dans les 14e, 15e et 16e arrondissements, atteignant même plus de 15% dans certaines zones de ces arrondissements.
A Nantes, un marché qui laisse peu de place à la négociation
Dans le centre-ville de Nantes, les marges de négociation sont relativement homogènes, allant de 1 à 4%.
En revanche, en périphérie, les marges peuvent être beaucoup plus importantes, situées entre 5 et 10% (sauf pour le quartier de Mendès France avec une marge record à 13,3%).
A Paris, des marges globalement très faibles
Sans surprise, Paris est la ville où les marges de négociation sont les plus faibles. Elles sont même, en moyenne, en dessous des 1% dans de nombreux arrondissements, tels les 10e, 11e, 12e, 14e, 15e, 17e et 20e.
Il existe toutefois quelques zones où les marges se situent entre 2 et 4%, dans le 1er et le 8e arrondissements, dans le nord-est du 18e vers Porte de la Chapelle, vers quelques secteurs dans le 6e notamment autour de Saint-Placide/Notre-Dame des Champs, ou encore à l'est du 13e dans les quartiers récents autour de la BNF.
Voir l'intégralité de l'article sur le blog de Yanport
A propos de Yanport
Fondée en 2013 par François Comer, Yanport est le spécialiste de la donnée immobilière résidentielle. La proptech détient et exploite un entrepôt de données de plus de 200 millions références liées à la vente et à la location. Plus de 15 000 professionnels de l'immobilier résidentiel ont déjà fait confiance à Yanport pour accélérer la digitalisation de leur business.
Plus d'informations sur www.yanport.com
Démarchage téléphonique en assurance - L’accord oral ne suffit plus
Les courtiers en assurances vont devoir respecter des règles plus strictes en matière de démarchage par téléphone. Des dispositions visant à mieux encadrer ces pratiques ont été prises.> Lire la suite |
Impôts 2021 - Quand déclarer les gains des ventes ou services entre particuliers ?
Les ventes de biens d’occasion entre particuliers échappent la plupart du temps à l’impôt. Pour le reste, tout est à déclarer.> Lire la suite |
Paiements en ligne - La double authentification s’impose
Tous les achats en ligne de plus de 100 € sont désormais soumis à une procédure d’authentification plus forte au moment de la validation de la commande. Objectif : lutter contre la fraude.> Lire la suite |
Médicaments - Ceux qui troublent le rythme cardiaque
Les torsades de pointe sont un trouble grave du rythme cardiaque qui peut être provoqué par des médicaments. Parmi eux, des traitements donnés justement contre d’autres troubles du rythme.> Lire la suite |
Rénovation énergétique - Les mesures de la loi climat votées par les députés
Les députés ont adopté le volet rénovation énergétique du projet de loi climat en première lecture. Passage en revue des mesures votées et de leurs conséquences pour les ménages.> Lire la suite |
Assurance vie - Trois solutions pour alléger la fiscalité
L’assurance vie constitue le support idéal pour faire fructifier votre argent à l’abri du fisc. Vous pouvez même récupérer vos gains sans impôt si vous remplissez certaines conditions.> Lire la suite |
Covid-19 - L’appli TousAntiCovid en route vers le pass sanitaire
La nouvelle fonction "Carnet" de l’appli TousAntiCovid stocke les résultats des tests PCR, antigéniques et bientôt le certificat de vaccination.> Lire la suite |
Tourisme (infographie) - Vous et l’empreinte environnementale de vos vacances
L’UFC-Que Choisir a réalisé une enquête auprès de 1 007 personnes. Objectif : comparer leurs habitudes de vacances entre 2019 et 2020, ainsi que les conséquences de ces vacances sur l’environnement.> Lire la suite |
Alimentation - Limite imposée pour le "mauvais gras" dans les plats
La teneur en acides gras trans de synthèse, nocifs pour la santé, est limitée à 2 % de la matière grasse totale d’un aliment. Ils se trouvent dans les huiles de colza, tournesol ou soja partiellement hydrogénées.> Lire la suite |
Le recrutement est-il accessible malgré la crise sanitaire ?
Décryptage avril 2021
Le climat actuel de crise sanitaire et économique conduit un grand nombre de salariés à penser que trouver un travail relève de la mission impossible. Pourtant le contexte est moins défavorable qu’il n’y paraît, que ce soit pour les cadres et les non-cadres. Oasys Consultants, cabinet spécialisé dans l’accompagnement des salariés en transition professionnelle apporte son décryptage sur le contexte actuel du secteur du recrutement et sur ses opportunités sous-estimées.
Les opportunités existent malgré la crise
Le marché de l’emploi s’est énormément transformé ces derniers mois grâce à la réactivité et à la force d’adaptation des entreprises pour pouvoir faire face à la crise.
D’une part, les intermédiaires de l’emploi (agences d’intérim, cabinets de recrutement, chasseurs de tête) et les employeurs ont de grandes difficultés à recruter des salariés qualifiés car beaucoup d’entre eux sont déjà en poste et sans véritable intention de changer d’entreprise compte-tenu de la période qu’ils jugent trop incertaine. La concurrence est donc moins rude, des postes sont à pourvoir et les recruteurs à l’affut.
D’autre part, des activités ou métiers nouveaux apparaissent et sont en pleine croissance. C’est le cas des activités sur les secteurs du « Care » (soin aux autres), du numérique, de l’accompagnement de l’expérience client ou usagers, ou encore en lien avec les nouveaux modes de consommation. Ces métiers sont pénuriques, c’est-à-dire qu’ils ne trouvent pas aujourd’hui les compétences nécessaires sur le marché et offrent donc de précieux postes avec des évolutions liées au mérite
De manière générale, les employeurs ont développé de nouvelles consciences et cherchent à intégrer à leurs expertises certaines valeurs (préoccupations environnementales et sociales, sens du travail, symétrie des attentions…) et pour cela ont besoin de recruter de nouveaux talents provenant parfois d’autres secteurs pour continuer à se développer et à innover. Certains employeurs prennent même en charge les processus de formation de reconversion ou de qualification, c’est le cas par exemple du groupe Korian (groupe de maisons de retraites médicalisées, cliniques spécialisées et résidences de soins).
- Comment le demandeur d’emploi peut-il mettre en concordance ses compétences, ses aptitudes, ses valeurs avec le marché de l’emploi actuel ?
- Quelles démarches professionnelles peut-il entreprendre pour mettre toutes les chances de son côté ? Quelles sont celles à éviter compte-tenu de l’évolution du marché ?
- Et comment identifier les opportunités professionnelles ?
Nous vous proposons l’éclairage de Karine Lair Associée, Directrice générale adjointe d’Oasys Consultants (Groupe Oasys & Cie).
A propos d'Oasys Consultants :
Oasys Consultants est né en 2006 en développant le concept de Transition Apprenante® reposant sur un accompagnement à valeur ajoutée pour les cadres et dirigeants dans leur évolution professionnelle (coaching, outplacement, talent management). Il est aussi reconnu pour son expertise dans l’accompagnement humain des mobilités et des dispositifs de redéploiement (PSE, PDV, RCC, GEPP). La création d’Oasys Mobilisation lui a permis de développer une offre portant sur l’engagement du management et des équipes dans les projets de transformations. Avec l’institut IAPR (750 psychologues en France), il répond également aux questions de prévention et de prise en charge des risques psycho-sociaux. Enfin son école de formation certifiante aux métiers de l’accompagnement, l’IFOD, constitue le laboratoire de R & D du groupe. Oasys Consultants est présent en France à Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux, Montpellier, et plus largement à travers son réseau national d’accompagnement de proximité Transition et Territoires® (+100 bureaux et 320 consultants) qu’il fédère. Oasys Consultants est également présent en Suisse et fait partie du réseau mondial de conseil en carrière, OI GLOBAL PARTNERS présent dans plus de 28 pays dans le monde.
Cyberattaque & santé: "il est fondamental de structurer et de sécuriser les données collectées
Les établissements de santé ont été ces dernières mois victimes d'attaques informatiques à une cadence qui tend à s'accentuer. Selon Cédric O, le secrétaire d'Etat à la Transition numérique : "vingt-sept cyberattaques d'hôpitaux en 2020, une par semaine depuis 2021".
Ces hôpitaux, laboratoires ou plates-formes, qui gèrent des données sensibles, sont devenus des cibles privilégiées depuis la crise sanitaire.
Data Legal Drive, acteur majeur sur la scène de la protection des données personnelles, souhaite à nouveau réagir notamment après la dernière cyber attaque en date, celle de la Fondation santé des étudiants de France et rappel que « les professionnels de la santé doivent prendre des précautions quotidiennes vis-à-vis des leurs patients car, dans ce secteur, la notion de préservation de la vie privée est essentielle. Dans un contexte où les données des patients, des collaborateurs, des professionnels de santé se multiplient, il est fondamental de structurer et de sécuriser les données collectées.»
-11% de transmissions d'entreprise dans la région ARA en 2020 | Etude d'impact
In Extenso Finance et Transmission, leader dans le conseil en fusions/acquisitions pour les TPE-PME, publie la cinquième édition de « Régions & Transmission : panorama des cessions et acquisitions de PME », en partenariat avec Epsilon Research.
A l’heure de la crise économique, cette édition, que vous trouverez ci-jointe, met en lumière l’impact du Covid-19 sur l’activité M&A des petites et moyennes entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes sur 2020.
Ce sujet peut-il vous intéresser ? Jessy-Laure Carol, Associée d’In Extenso Finance & Transmission, serait ravi de vous commenter les résultats.
En complément, vous trouverez ci-dessous les grands enseignements nationaux de l’étude ; étude qui décrypte le marché dans les 12 régions françaises ainsi que les secteurs qui ont sur et sous performé dans le contexte actuel.
- Le volume des transactions a baissé seulement de 20% depuis le début de l’année, rejoignant les niveaux de 2018
Le nombre d’opérations [valorisation entre 5 à 50 M€] n’a baissé sur l’année 2020 que de 19 %. Le premier confinement avait marqué un arrêt brutal des opérations lié au contexte et aux incertitudes de cette pandémie (le panorama IEFT avait relevé en juillet dernier une baisse de près de 40% sur le premier semestre), mais le marché a bien réagi sur le second semestre. Dans un contexte économique inédit, le volume des transactions atteint des niveaux proches de ceux de 2018.
- Année 2020 : année de ruptures sur les tendances régionales
Quatre lignes de fracture se dessinent :
- l’axe Paris/Lyon se renforce pour représenter 59% des opérations en 2020 contre 53% en 2019 ; les régions Ile-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes, démontrent en cette période leur capacité à rester des zones fortes d’attractivité.
- Les régions Normandie, Pays–de-la-Loire et Centre-Val-de-Loire, connaissent une chute brutale des opérations ; ces territoires, avec un tissu de PME plus disséminé qui ont moins digitalisé leurs activités, résiste moins à ces périodes de crise.
– Pour les régions Hauts-de-France, Grand Est, Bourgogne-Franche-Comté, Nouvelle-Aquitaine et PACA, historiquement des régions moins dynamiques, l’année 2020 vient conforter l’absence de marché significatif sur ces zones.
- Enfin, les régions Bretagne et Occitanie connaissent cette année de pandémie une augmentation en volume, tirés par les transactions sur le secteur des TMT, mais plus encore par les Services tertiaires.
- Une forte baisse du volume d’opérations dans les secteurs d’activité directement touchés par le confinement
Les secteurs d’activité les plus exposés à la crise du Covid-19, ont mécaniquement vu le nombre d’opérations chuter (BTP, biens d’équipement, tourisme, hôtellerie…)
Le secteur de la santé/pharma, s’est assez naturellement envolé tout comme le secteur agroalimentaire.
Enfin, toute l’économie du numérique a tiré profit de cette situation (qu’il s’agisse des TMT, ESN, éditeurs de logiciels…).
- Une redistribution des cartes du côté du profil des acquéreurs
La part des sociétés non cotées a fortement augmenté en 2020 en passant de 206 à 229 opérations, en progression de 11% sur un marché en baisse de 19%. Cela témoigne que ces sociétés ont maintenu les stratégies de croissance externe en privilégiant le long terme. La part des fonds d’investissement est, elle, divisée par deux, à 16%, en raison de la forte baisse des opérations : il y a eu un arrêt brutal des opérations pilotées par les fonds d’investissement lors du premier confinement et, par ailleurs, les opérations dans lesquels ils investissent sont plus rares.
Les sociétés cotées ont eu un comportement semblable à celui des fonds d’investissement, freinant leurs opérations d’acquisition compte tenu de la faible visibilité des marchés.
En pleine crise de la Covid, les Français estiment avoir participé au soutien des petits commerçants |
|
Paris, le 6 avril 2021 - Un an après l’éclatement de la crise de la Covid, la fintech européenne SumUp et l’institut OpinionWay ont mené l’enquête pour comprendre et rendre compte de la façon dont la pandémie a modifié le rapport que les Français entretiennent avec leurs commerçants. Quels sont les nouveaux moyens de paiements adoptés ? Comment les Français ont-ils soutenu leurs commerçants ? Quel rôle la technologie a-t-elle joué dans ce soutien ? Quelles disparités régionales observe-t-on ? Voici les principales conclusions de cette étude :
Le désamour des Français pour les espèces gagne du terrain
Pied à pied, le désamour des Français pour les espèces progresse. Près d’1 Français sur 3 (30%) se déplace désormais sans argent liquide, soit une hausse de 6 points par rapport à l’année dernière. Les femmes confirment cette tendance déjà observée en 2020 : 35% n’ont généralement pas d’espèces sur elles (+6 points) contre 23% des hommes (+3 points).
S’il existe un clivage entre les femmes et les hommes en la matière, l’opposition capitale-province n’est pas en reste non plus. Contrairement aux idées reçues, les habitants des petites agglomérations* (35%, soit +10 points par rapport à l’an dernier) et ceux des communes rurales (32%, soit +12 points par rapport à l’an dernier) sont les plus nombreux à déclarer ne jamais se déplacer avec des espèces sur eux. Loin devant les Franciliens (26%).
Les 18-24 ans sont deux fois plus nombreux que l’an dernier à se déplacer sans argent liquide sur eux (61% versus 32% en 2020). Pourtant, ce sont les premiers à utiliser principalement des espèces chez leurs commerçants de proximité : 43% des jeunes âgés de moins de 35 ans, contre 36% des plus âgés.
La Covid consacre le paiement sans contact
En réaction directe à la crise sanitaire, les Français ont adopté massivement (72%) le paiement sans contact au cours des douze derniers mois. Le recours à ce mode de paiement ne fait l’objet d’aucun clivage territorial. A Paris (71%) comme en régions (68% Nord-Ouest, 75% Nord-Est, 74% Sud-Ouest, 71% Sud-Est), il s’impose dans des proportions comparables.
Fait intéressant : le Sud-Ouest est la région où la crise a le plus favorisé l’explosion du paiement sans contact passant de 10% en février 2020 à 74% un an plus tard !
Quel que soit le contexte d’usage, le recours au paiement sans contact avance : au marché (22%, soit +12 points par rapport à l’an dernier), dans le taxi (32%, soit +22 points par rapport à l’an dernier), chez le buraliste (36%, soit +22 points par rapport à l’an dernier) ou avec la babysitter (10%, soit +5 points par rapport à l’an dernier).
«La crise a provoqué une mutation inédite des comportements de paiement des Français, consacrant en quelques mois à peine le « sans contact. Les petits commerçants ou artisans n’ont d’autres choix que de prendre acte de cette tendance de fond sans tarder » analyse Laure Faretti, responsable du marché français chez SumUp.
Le digital, la planche de salut pour les commerçants frappés de plein fouet par la crise
La France compte 600 000 commerces indépendants (PME et TPE), soit 3 millions d’actifs*. Face à la crise sanitaire, marquée par de fortes restrictions des interactions, les petits commerces ont dû se digitaliser pour maintenir leur activité. En effet, 3 Français sur 4 (75%) estiment que le digital a évité aux commerçants de perdre des clients, voire de fermer boutique (73%). Pour les commerces de proximité, le digital s’impose aujourd’hui comme une nécessité. Au-delà de leur aspect pratique, les Français (62%) considèrent que les solutions digitales leur ont permis de soutenir les emplois dans les commerces de proximité.
Mais selon 1 Français sur 2, le soutien de l’Etat en faveur des commerçants de proximité reste insuffisant.
Parmi les solutions digitales adoptées par les commerçants, le site web est le plus utilisé par les Français (44%). Avec 18 % d’utilisateurs en plus depuis le début de la crise, le Click and Collect est le plus vogue. Son adoption est particulièrement forte chez les jeunes de 25 à 34 ans (24% VS 18% des personnes plus âgées) et les citadins de villes moyennes* (26% VS 15% des habitants de communes rurales). Les marketplaces, regroupant plusieurs commerçants, suscitent l’intérêt de 23% de Français.La newsletter (+10% de nouveaux utilisateurs) participe aussi à la digitalisation des commerces de proximité et au renforcement du lien entre les Français et leurs petits commerçants.
|
Les résultats du sondage sont disponibles sur demande auprès du service de presse |
* entre 2 000 et 19 999 habitants ** selon la Confédération des Commerçants de France (CDF) *** entre 20 000 et 99 999 habitants |
Méthodologie de l’enquête Ce sondage exclusif OpinionWay pour SumUp a été réalisé auprès d’un échantillon de 1002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle et de catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview) du 24 au 25 février 2021.
A propos de SumUp SumUp est une entreprise de technologie financière qui propose aux entreprises de toutes tailles des solutions de paiement simples et rapides, en magasin et en ligne. Entreprise à la croissance la plus rapide d'Europe, selon le classement 'Inc. 5000', SumUp compte aujourd’hui plus de 3 millions de clients à travers le monde. Avec ses terminaux de paiement par carte et ses services en ligne, SumUp est le partenaire idéal des entreprises de tout horizon, de DHL aux chauffeurs de taxi. En octobre 2018, SumUp a lancé son lecteur de carte 3G, qui permet aux commerçants de procéder aux paiements sans avoir besoin de recourir à une application ou à une connexion Wi-Fi. L'inscription 100% digitale sur SumUp, la livraison et la configuration simples et rapides permettent aux commerçants de réaliser les premières transactions numériques quelques minutes seulement après la réception du terminal. Pour plus d'informations : sumup.fr |
HEYME - 66% des étudiants ne vont pas consulter systématiquement un médecin
A l'occasion de la Journée Mondiale de la Santé - 7 avril 2021 - HEYME, première mutuelle des jeunes, souhaite faire un bilan global de la santé des jeunes, notamment en cette période de crise sanitaire qui a énormément éprouvé leur santé mentale.
- ¾ des étudiants ont une bonne image d'eux-mêmes et 28% des étudiantes ont une mauvaise image d'elles-mêmes.
- Lorsqu'ils sont malades : seulement 34% des étudiants prennent un rendez-vous chez le médecin depuis le début de la crise sanitaire (38% avant la crise) ; 20% prennent un médicament qu'ils ont chez eux ; près de 2 étudiants sur 10 préfèrent ne rien faire et attendre que ça passe.
“ Quand on fait le bilan de la santé globale des étudiants, avant et pendant la crise de la Covid-19, on remarque que cette dernière n'a pas eu un impact significatif sur leurs comportements en matière de santé. En effet, 2 étudiants sur 10 préfèrent toujours ne rien faire et attendre que ça passe lorsqu'ils sont malades et ils sont toujours près de 2⁄3 à ne pas consulter systématiquement un médecin. Les raisons de ne pas consulter un médecin sont multiples : le coût, le manque de temps, les délais de consultation trop longs, une préférence pour l'automédication. Elles restent sensiblement les mêmes avant et pendant la crise mais cette dernière les a réellement renforcées au lieu d'encourager les jeunes à aller consulter un médecin lorsqu'ils ont un problème de santé.” indique Pierre Faivre, porte-parole d'HEYME.
CP - Marché locatif : Lyon fait partie des villes où la start-up Kokoon se développe le plus
Pour améliorer leur trésorerie, les entreprises peuvent, sous certaines conditions, obtenir le remboursement des taxes énergétiques qu’elles ont supporté par le passé.
En effet, les énergies consommées par les entreprises sont soumises à plusieurs taxes, représentant environ 1/3 de la facture. Ce tarif élevé est compensé par l’existence de nombreux taux réduits en faveur des entreprises industrielles.
o Quelles sont les conditions pour bénéficier de cette procédure de remboursement ?
o Sous quel délai les entreprises peuvent obtenir le remboursement des taxes énergétiques ?
o Quels sont les enjeux financiers ?
o Comment tirer profit de cet avantage fiscal ?
Etude Drimki x BVA : En 2021, 40% des acheteurs potentiels sont des primo-accédants.
Après une année 2020 marquée par la crise sanitaire, DRIMKI, spécialiste de l'estimation immobilière, et l'institut BVA ont lancé la 6ème vague de leur indicateur* afin de lever le voile sur les projets immobiliers des français pour 2021 :
Ci-dessous les chiffres saillants de l'indicateur :
- 1 français sur 6 a toujours un projet immobilier dans les 12 mois
- 40% des répondants envisagent d'acheter leur premier bien immobilier en 2021, contre 35% en 2020.
- 60% d'entre eux sont des jeunes (25-34 ans)
- 19% des futurs acquéreurs envisagent de s'installer en région parisienne
- 1 français sur 2 déclare avoir fait évoluer son projet immobilier en 2021
- 22% ont changé d'intention sur le type de logement recherché
- 21% des changements concernent le lieu
- 13% des répondants ont l'intention d'acquérir une résidence secondaire
Les restrictions sanitaires et l'arrivée du soleil n'ont pas découragé les français : l'acquisition d'une résidence secondaire est le meilleur moyen de prendre un bol d'air frais, du temps où les voyages sont difficilement concevables.
Pour approfondir ce sujet ou discuter de différents angles concernant le secteur de l'immobilier, je vous propose de vous mettre en relation avec Olivier Colcombet, Président de Digit RE group et membre de l'UNIS Syndicat Immobilier.
Si cela vous intéresse, il est également possible d'obtenir des témoignages d'agents ou de français qui ont un projet immobilier (dans n'importe quelle région de France).
Au plaisir d'en discuter ensemble,
Belle journée,
Karim
*Étude réalisée par BVA pour DRIMKI (disponible sur demande), du 3 février au 4 février sur un échantillon de 900 personnes âgées de 25 ans et plus, issues d'un échantillon global de 1002 personnes représentatif de la société française âgée de 18 ans et plus
Sondage Toluna pour Ultra Premium Direct* |
|||||||
84% des possesseurs de chats et de chiens affirment que leur animal de compagnie les aide à supporter les restrictions liées au Covid-19
|
|||||||
Alors que la France vit son troisième confinement, Ultra Premium Direct, pionnier du Pet Food Direct to Consumer en Europe, a souhaité en savoir plus sur cette relation unique qui lie son maitre à son animal de compagnie. Ce rapport s’est-il renforcé avec la crise sanitaire ? Soutien psychologique, compagnon de jeu et même confident… quels rapports les Français entretiennent-ils avec leurs animaux de compagnie ? Jusqu’où sont-ils prêts à aller pour rendre heureux leur boule de poils ?...
« Plus que jamais, nous avons besoin de l’affection de nos animaux de compagnie. Dans un contexte d’incertitude depuis près d’un an, les chiens et les chats sont un véritable soutien. 84% des sondés déclarent que leur animal de compagnie les aide à supporter les contraintes liées au COVID. Nous en sommes conscients chez Ultra Premium Direct. D’ailleurs, nos salariés sont accompagnés de leur chien ou de leur chat au quotidien dans les bureaux. Dans ce contexte, resserrer les liens avec nos animaux est pour nous primordial ! » déclare Matthieu Wincker, Président d’Ultra Premium Direct
|
|||||||
67% des sondés déclarent s’être rapprochés de leur animal de compagnie depuis le début de la crise La crise Covid-19 a permis aux propriétaires de chiens et de chats de renforcer leurs liens avec leur animal de compagnie. Ils sont d’ailleurs près de 7 sur 10 à avouer s’être rapprochés de leur animal depuis le début de la crise. Depuis près d’un an, les Français ont passé beaucoup de temps chez eux, entre chômage partiel, télétravail, confinements et couvre-feu, la présence d’un animal de compagnie peut s’avérer bénéfique. En effet, 84% des possesseurs de chats et de chiens affirment que leur animal de compagnie les aide à supporter les restrictions liées au Covid-19. Véritable bouffée d’oxygène, les chiens et les chats ont même permis à 38% de leurs maitres de ne pas déprimer durant cette période. Il faut dire que les animaux de compagnie sont un véritable remède contre la morosité et la solitude. 80% des répondants considèrent leur animal comme une présence importante au quotidien, 74% en parlent comme d’une véritable source de bonheur et même comme un soutien psychologique (31%) ! Dès lors, les propriétaires de chiens et de chats sont même prêts à se plier en quatre pour rendre leur animal heureux. En effet, 55% des sondés pourraient déménager pour offrir plus d’espace et/ou un extérieur à leur animal de compagnie. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour rendre heureux nos compagnons à quatre pattes ? Les propriétaires de chiens et de chats passent plus de temps avec leur animal qu’avec leur conjoint(e) ! Véritable bol d’air, source de bonheur, les animaux de compagnie ont pris une place importante dans les foyers Français. Une présence presque vitale pour leurs maitres, si bien que leur animal devient la « personne » la plus importante dans la vie des sondés. En effet, à la question « Avec qui passez-vous le plus de temps en ce moment ? », la réponse « mon animal de compagnie » arrive en tête des suffrages ! D’ailleurs, 15% des sondés déclarent même que leur animal de compagnie est un confident à qui on peut raconter tous ses secrets ! Ne reste plus qu’à trouver une solution pour traduire les aboiements et les miaulements de nos amis à quatre pattes.
* Méthodologie du sondage |
|||||||
|
|||||||
A propos de Ultra Premium Direct |
|||||||
Lancée en 2014, Ultra Premium Direct s’inscrit comme le leader et l’inventeur du Pet Food Direct to Consumer en Europe. La société, pionnière également de l’alimentation pour chiens et chats sans céréales en France, compte accélérer sa croissance en misant sur une qualité produit encore améliorée et un service client irréprochable, tout en dupliquant son modèle en Europe. En 2021, Ultra Premium Direct a intégré le French Tech 120, et a également été nommé parmi les « Champions de la croissance 2021 » par Les Echos/Statista. |
|||||||
Pour en savoir plus : http://ultrapremiumdirect.com |
[Sud-Est] En pleine crise de la Covid, les Français estiment avoir participé au soutien des petits commerçants
La région où le paiement par carte est le moins utilisé |
|
ICONOGRAPHIE ICI |
Paris, le 6 avril 2021 - Un an après l’éclatement de la crise de la Covid, la fintech européenne SumUp et l’institut OpinionWay ont mené l’enquête pour comprendre et rendre compte de la façon dont la pandémie a modifié le rapport que les Français entretiennent avec leurs commerçants. Quels sont les nouveaux moyens de paiements adoptés ? Comment les Français ont-ils soutenu leurs commerçants ? Quel rôle la technologie a-t-elle joué dans ce soutien ? Quelles disparités régionales observe-t-on ? Voici les principales conclusions de cette étude :
Le désamour des Français pour les espèces gagne du terrain
Pied à pied, le désamour des Français pour les espèces progresse. Près d’1 Français sur 3 (30%) se déplace désormais sans argent liquide, soit une hausse de 6 points par rapport à l’année dernière. Les femmes confirment cette tendance déjà observée en 2020 : 35% n’ont généralement pas d’espèces sur elles (+6 points) contre 23% des hommes (+3 points).
S’il existe un clivage entre les femmes et les hommes en la matière, l’opposition capitale-province n’est pas en reste non plus. Contrairement aux idées reçues, les habitants des petites agglomérations* (35%, soit +10 points par rapport à l’an dernier) et ceux des communes rurales (32%, soit +12 points par rapport à l’an dernier) sont les plus nombreux à déclarer ne jamais se déplacer avec des espèces sur eux. Loin devant les Franciliens (26%).
Les 18-24 ans sont deux fois plus nombreux que l’an dernier à se déplacer sans argent liquide sur eux (61% versus 32% en 2020). Pourtant, ce sont les premiers à utiliser principalement des espèces chez leurs commerçants de proximité : 43% des jeunes âgés de moins de 35 ans, contre 36% des plus âgés.
La Covid consacre le paiement sans contact
En réaction directe à la crise sanitaire, les Français ont adopté massivement (72%) le paiement sans contact au cours des douze derniers mois. Le recours à ce mode de paiement ne fait l’objet d’aucun clivage territorial. A Paris (71%) comme en régions (68% Nord-Ouest, 75% Nord-Est, 74% Sud-Ouest, 71% Sud-Est), il s’impose dans des proportions comparables.
Fait intéressant : le Sud-Ouest est la région où la crise a le plus favorisé l’explosion du paiement sans contact passant de 10% en février 2020 à 74% un an plus tard !
Quel que soit le contexte d’usage, le recours au paiement sans contact avance : au marché (22%, soit +12 points par rapport à l’an dernier), dans le taxi (32%, soit +22 points par rapport à l’an dernier), chez le buraliste (36%, soit +22 points par rapport à l’an dernier) ou avec la babysitter (10%, soit +5 points par rapport à l’an dernier).
«La crise a provoqué une mutation inédite des comportements de paiement des Français, consacrant en quelques mois à peine le « sans contact. Les petits commerçants ou artisans n’ont d’autres choix que de prendre acte de cette tendance de fond sans tarder » analyse Laure Faretti, responsable du marché français chez SumUp.
Le digital, la planche de salut pour les commerçants frappés de plein fouet par la crise
La France compte 600 000 commerces indépendants (PME et TPE), soit 3 millions d’actifs**. Face à la crise sanitaire, marquée par de fortes restrictions des interactions, les petits commerces ont dû se digitaliser pour maintenir leur activité. En effet, 3 Français sur 4 (75%) estiment que le digital a évité aux commerçants de perdre des clients, voire de fermer boutique (73%). Pour les commerces de proximité, le digital s’impose aujourd’hui comme une nécessité. Au-delà de leur aspect pratique, les Français (62%) considèrent que les solutions digitales leur ont permis de soutenir les emplois dans les commerces de proximité.
Mais selon 1 Français sur 2, le soutien de l’Etat en faveur des commerçants de proximité reste insuffisant.
Parmi les solutions digitales adoptées par les commerçants, le site web est le plus utilisé par les Français (44%). Avec 18 % d’utilisateurs en plus depuis le début de la crise, le Click and Collect est le plus vogue. Son adoption est particulièrement forte chez les jeunes de 25 à 34 ans (24% VS 18% des personnes plus âgées) et les citadins de villes moyennes*** (26% VS 15% des habitants de communes rurales). Les marketplaces, regroupant plusieurs commerçants, suscitent l’intérêt de 23% de Français.La newsletter (+10% de nouveaux utilisateurs) participe aussi à la digitalisation des commerces de proximité et au renforcement du lien entre les Français et leurs petits commerçants.
|
Les résultats du sondage sont disponibles sur demande auprès du service de presse |
* entre 2 000 et 19 999 habitants ** selon la Confédération des Commerçants de France (CDF) *** entre 20 000 et 99 999 habitants |
Méthodologie de l’enquête Ce sondage exclusif OpinionWay pour SumUp a été réalisé auprès d’un échantillon de 1002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle et de catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview) du 24 au 25 février 2021.
A propos de SumUp SumUp est une entreprise de technologie financière qui propose aux entreprises de toutes tailles des solutions de paiement simples et rapides, en magasin et en ligne. Entreprise à la croissance la plus rapide d'Europe, selon le classement 'Inc. 5000', SumUp compte aujourd’hui plus de 3 millions de clients à travers le monde. Avec ses terminaux de paiement par carte et ses services en ligne, SumUp est le partenaire idéal des entreprises de tout horizon, de DHL aux chauffeurs de taxi. En octobre 2018, SumUp a lancé son lecteur de carte 3G, qui permet aux commerçants de procéder aux paiements sans avoir besoin de recourir à une application ou à une connexion Wi-Fi. L'inscription 100% digitale sur SumUp, la livraison et la configuration simples et rapides permettent aux commerçants de réaliser les premières transactions numériques quelques minutes seulement après la réception du terminal. Pour plus d'informations : sumup.fr |