Merci Pierre-Jean Llorens pour cette fidélité à nous envoyer divers supports informatifs..
HEYME / Covid-19 - 55% des jeunes rencontrent des problèmes de sommeil
A l'occasion de la Journée Internationale du Sommeil - 19 mars 2021 - HEYME, première mutuelle des jeunes, souhaite faire le bilan des effets du confinement et de la crise de la Covid-19 sur le sommeil des jeunes.
- 55% des jeunes interrogés déclarent rencontrer des problèmes de sommeil.
- Sur cette moitié, 38% d'entre eux lient ces problèmes de sommeil au stress.
- Les étudiants isolés sont plus nombreux à déclarer rencontrer des problèmes de sommeil, puisque 70% d'entre eux rencontrent des problèmes de sommeil,
- Parmi les victimes de harcèlement, 70% des étudiants déclarent faire face à des problèmes de sommeil.
« Le sommeil est un état dans lequel nous passons environ un tiers de notre vie et il a une influence directe sur notre qualité de vie et sur le maintien de certaines fonctions essentielles aux étudiants telles que l'apprentissage et la mémorisation. Exacerbés par la crise sanitaire de la Covid-19 et par les confinements à répétition, tous ces facteurs cumulés de stress, d'incertitudes face à l'avenir, d'utilisation des écrans nuisent à la qualité du sommeil chez les étudiants. Il est donc primordial que les étudiants retrouvent une bonne qualité de sommeil. Il peut être favorisé par quelques astuces au quotidien, comme la pratique d'un sport, le fait de se coucher dès les premiers signes de fatigue, le choix d'éloigner les écrans le soir bien avant de s'endormir… », déclare Pierre Faivre, porte-parole d'HEYME.
* Enquête HEYME et OpinionWay réalisée sur un échantillon de 1005 étudiants de 16 ans et plus, représentatifs de cette population en termes de sexe, âge et régions françaises. Ils ont été interrogés du 21 au 29 septembre 2020.
[CP Enquête Ifop x Aladom - Regards croisés France-Allemagne sur un an de crise sanitaire
L’anniversaire de l’instauration du premier confinement (17 mars en France) est l’occasion de tirer le bilan de l’action des autorités face à la COVID-19 (tests, masques, vaccins…) et d’évaluer les conséquences d’un an de crise sanitaire sur la santé mentale et la vie sociale des populations. Pour cela, l’Ifop a mené pour la société de services à la personne Aladom une comparaison entre la France et l’Allemagne sur la gestion de l’épidémie de COVID-19, comparaison qui tourne clairement à l’avantage de nos voisins d’outre-Rhin : la société allemande semble effectivement avoir en grande partie échappé au traumatisme collectif qui a affecté la société française ces douze derniers mois. Réalisée dans chacun des deux pays auprès d’un échantillon national représentatif de 1 000 personnes, cette étude met en effet en lumière un mécontentement des Français bien plus important à l’égard de leurs autorités publiques et sanitaires, mais aussi une « usure psychologique » beaucoup plus généralisée en France qu’outre-Rhin.
LES CHIFFRES CLÉS
LE BILAN DE LA GESTION DE LA CRISE SANITAIRE
Le bilan des autorités dans la lutte contre le coronavirus est jugé beaucoup plus sévèrement en France qu’en Allemagne.
Plus de deux Français sur trois (69%) jugent négativement le bilan des autorités de leur pays en matière de vaccins, contre moins d’un Allemand sur deux (43%). Et cette cruelle comparaison pour le gouvernement français se retrouve dans le jugement porté des deux côtés du Rhin tant sur la question des tests (51% de jugements négatifs en France contre 36% en Allemagne) que sur celle des masques, qui mécontente là aussi plus d’un Français sur deux (51%) contre moins d’un Allemand sur trois (31%).
La gestion de la crise par la France paraît moins bonne que celle des pays du nord de l’Europe
Ce désaveu à l’égard des autorités françaises se retrouve lorsqu’on invite les sondés à comparer la manière dont la crise a été gérée dans leur pays avec la façon dont elle l’a été dans les autres pays européens. En effet, près de la moitié (44%) des Français estiment que le gouvernement d’Emmanuel Macron a fait « moins bien » que l’Allemagne, contre à peine 28% qui trouvent qu’il a « fait mieux » et 28% « aussi bien » que le gouvernement d’Angela Merkel... À l’inverse, ils ont le sentiment que la France a fait sensiblement mieux que des pays du Sud de l’Europe comme l’Espagne et l’Italie.
L’IMPACT SUR LA VIE SOCIALE ET LA SANTÉ MENTALE DES POPULATIONS
Une dégradation continue du moral des Français depuis la mise en place du premier confinement
La crise sanitaire paraît de plus en plus difficile à vivre psychologiquement au regard de la proportion croissante de Français reconnaissant ne pas avoir le moral : 30% en mars 2021, soit une proportion deux fois plus élevée que celle observée juste avant l’apparition du premier cas de Covid en France (16% en novembre 2019). Et l’impact des restrictions sanitaires imposées depuis mars 2020 pèse sensiblement plus lourd sur le bien-être psychologique des Français (30%) que chez leurs voisins d’outre-Rhin (23%).
De manière plus générale, la situation paraît beaucoup moins bien vécue sur le plan psychologique en France qu’en Allemagne. En effet, près d’un Français sur deux (47%) juge difficilement supportable sa vie actuelle sur le plan psychologique, soit une proportion trois fois plus élevée qu’en Allemagne (17%).
En l’espace d’un an, les Français ont été particulièrement touchés par des formes d’anxiété ou de dépression
Anxiété, dépression, idées suicidaires… Il est vrai que les répercussions psychologiques des restrictions sanitaires n’ont cessé de s’aggraver ces derniers mois au regard de la proportion croissante de personnes victimes d’anxiété (40%, + 4 points en 4 mois), de troubles du sommeil (46%, + 2 points en 4 mois) ou d’états dépressifs (22%, + 6 points en 4 mois). Et cette usure psychologique semble plus généralisée en France qu’en Allemagne si on compare dans les deux pays la proportion de personnes ayant subi en un an des troubles du sommeil (46% en France contre 40% en Allemagne), des périodes d’anxiété (40% en France contre 26% en Allemagne) ou des épisodes dépressifs (22% en France contre 19% en Allemagne).
La « bise » à la française : une pratique bannie des rites de salutations ?
Les recommandations pour lutter contre la propagation du coronavirus - comme le respect des gestes barrières - semblent être globalement entrées dans les mœurs si l’on en juge par la faible proportion de Français se présentant aujourd’hui à des inconnus en leur serrant la main (10% le 4 mars 2021, contre 75% le 5 mars 2020) ou leur faisant la bise : 9% actuellement, contre 40% il y a un an. Cependant, la proportion de Français continuant à faire la bise à leurs proches reste élevée - 39%, contre 91% le 5 mars 2020 -, signe que le degré de proximité altère toujours l’impact du discours de prévention sanitaire sur les gestes barrières.
Il n’en reste pas moins que la crise sanitaire risque de porter préjudice à long terme à cette pratique : 78% des Français déclarant qu’ils ne feront plus à l’avenir la bise à des inconnus et 50% qu’ils éviteront d’embrasser leurs proches.
Un port du masque amené à se pérenniser
Le port du masque ne devrait pas disparaître de notre quotidien de sitôt : les trois quarts des Français (74%) déclarant qu’ils le porteront à l’avenir dans la rue et les transports publics lorsqu’ils seront malades, proportion qui tombe à 35% lors de la visite d’un ami et à 31% s’il s’agit d’un membre de la famille.
LE MONDE D’APRÈS : L’IMPACT D’UN AN DE CRISE SUR LA VIE DES FRANÇAIS
Le « monde d’après » : le même, mais en pire...
76% des Français adhèrent à la phrase de Michel Houellebecq qui déclarait que le monde d’après « serait le même, en un peu pire ». Et pour 71% des personnes interrogées, il n’y aura jamais véritablement de retour à la normale même lorsque le virus ne sera plus un sujet de préoccupation majeure.
Les deux tiers des Français (66%) estiment aussi avoir perdu un an de leur vie. Une affirmation qui grimpe à 75% chez les ouvriers, à 72% parmi les Français les plus pauvres et à 70% chez les personnes âgées de 65 ans et plus.
Une crise, moteur de changements dans la vie des gens…
Dans ce contexte, un tiers des Français (34%) déclare que l’expérience qu’ils sont en train de vivre leur a donné l’envie de changer pas mal d’aspects de leur vie, soit une proportion largement supérieure à celle observée en Allemagne (26 %).
Parmi ces changements, l’envie de déménager est évoquée par 21% des personnes interrogées (avec des pointes à 36% et 33% chez les 25-34 ans et les plus modestes), soit une hausse de 3 points depuis mai 2020. À l’inverse, le télétravail continuera d’être pratiqué après la crise, certainement ou probablement, par 36% d’entre elles (- 3 points par rapport à mai 2020).
Le point de vue de Gautier Jardon, chargé d’étude confirmé à l’Ifop
Au regard des résultats de cette enquête, la comparaison entre la France et l’Allemagne sur la gestion de l’épidémie de Covid est assez cruelle pour le gouvernement d’Emmanuel Macron. En échappant à un confinement strict et un couvre-feu national et durable, la société allemande a semble t-il évité également le traumatisme collectif qui a largement affecté la société française au cours des douze derniers mois. Les autorités allemandes se sont notamment distinguées par une stratégie de tests et de fourniture de masques plus rapide, une offre beaucoup plus forte de lits de réanimation et un débat public plus apaisé. Conséquence logique, les ravages psychologiques du coronavirus sont bien moindres de l’autre côté du Rhin, imputables aux différences de gouvernance médicale, administrative et politique
La situation est donc bien plus mal vécue dans notre pays. L’usure psychologique des Français poursuit de s'accroître implacablement, notamment parmi les personnes déjà fragilisées avant le confinement. Les humains souffrant naturellement de ce que les anglo-saxons nomment « skin hunger » (faim de contact physique), il n’est pas surprenant de voir que les plus touchés sur le plan moral se retrouvent également parmi ceux qui sont le moins exposés à des interactions humaines. Cette disette de contacts physiques imposée par la nécessité sanitaire est donc en train d’engendrer un autre problème de santé publique.
Enquête menée auprès d’un échantillon de 1 048 Français et 1 003 Allemands représentatifs de la population âgée de 18 ans et plus, par questionnaire autoadministré en ligne du 3 au 4 mars (Français) et du 7 au 9 mars 2021 (Allemand)
En cas d’utilisation, un lien vers Aladom serait le bienvenu pour notre équipe.
Investigation réalisée et certifiée par la rédaction FLASHS
À propos : Aladom est un site internet de mise en relation sur toute la France pour les services de proximité (ménage, garde d’enfants, soutien scolaire, aide aux personnes âgées, jardinage...). Le site permet à ceux qui ont un besoin de trouver un prestataire de confiance (entreprise, particulier ou association) et à ceux qui veulent travailler dans le secteur de trouver un emploi.
Sondage Toluna pour Ultra Premium Direct* |
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84% des possesseurs de chats et de chiens affirment que leur animal de compagnie les aide à supporter les restrictions liées au Covid-19
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Agen, le 12 mars 2021 – C’est une spécificité tricolore… les animaux de compagnie sont particulièrement plébiscités par les Français. Ainsi, un an après le premier confinement, Ultra Premium Direct, pionnier du Pet Food Direct to Consumer en Europe, a souhaité en savoir plus sur cette relation unique qui lie son maitre à son animal de compagnie. Ce rapport s’est-il renforcé avec la crise sanitaire ? Soutien psychologique, compagnon de jeu et même confident… quels rapports les Français entretiennent-ils avec leurs animaux de compagnie ? Jusqu’où sont-ils prêts à aller pour rendre heureux leur boule de poils ?...
« Plus que jamais, nous avons besoin de l’affection de nos animaux de compagnie. Dans un contexte d’incertitude depuis près d’un an, les chiens et les chats sont un véritable soutien. 84% des sondés déclarent que leur animal de compagnie les aide à supporter les contraintes liées au COVID. Nous en sommes conscients chez Ultra Premium Direct. D’ailleurs, nos salariés sont accompagnés de leur chien ou de leur chat au quotidien dans les bureaux. Dans ce contexte, resserrer les liens avec nos animaux est pour nous primordial ! » déclare Matthieu Wincker, Président d’Ultra Premium Direct
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67% des sondés déclarent s’être rapprochés de leur animal de compagnie depuis le début de la crise La crise Covid-19 a permis aux propriétaires de chiens et de chats de renforcer leurs liens avec leur animal de compagnie. Ils sont d’ailleurs près de 7 sur 10 à avouer s’être rapprochés de leur animal depuis le début de la crise. Depuis près d’un an, les Français ont passé beaucoup de temps chez eux, entre chômage partiel, télétravail, confinements et couvre-feu, la présence d’un animal de compagnie peut s’avérer bénéfique. En effet, 84% des possesseurs de chats et de chiens affirment que leur animal de compagnie les aide à supporter les restrictions liées au Covid-19. Véritable bouffée d’oxygène, les chiens et les chats ont même permis à 38% de leurs maitres de ne pas déprimer durant cette période. Il faut dire que les animaux de compagnie sont un véritable remède contre la morosité et la solitude. 80% des répondants considèrent leur animal comme une présence importante au quotidien, 74% en parlent comme d’une véritable source de bonheur et même comme un soutien psychologique (31%) ! Dès lors, les propriétaires de chiens et de chats sont même prêts à se plier en quatre pour rendre leur animal heureux. En effet, 55% des sondés pourraient déménager pour offrir plus d’espace et/ou un extérieur à leur animal de compagnie. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour rendre heureux nos compagnons à quatre pattes ?
Les propriétaires de chiens et de chats passent plus de temps avec leur animal qu’avec leur conjoint(e) ! Véritable bol d’air, source de bonheur, les animaux de compagnie ont pris une place importante dans les foyers Français. Une présence presque vitale pour leurs maitres, si bien que leur animal devient la « personne » la plus importante dans la vie des sondés. En effet, à la question « Avec qui passez-vous le plus de temps en ce moment ? », la réponse « mon animal de compagnie » arrive en tête des suffrages ! D’ailleurs, 15% des sondés déclarent même que leur animal de compagnie est un confident à qui on peut raconter tous ses secrets ! Ne reste plus qu’à trouver une solution pour traduire les aboiements et les miaulements de nos amis à quatre pattes.
* Méthodologie du sondage |
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A propos de Ultra Premium Direct |
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Lancée en 2014, Ultra Premium Direct s’inscrit comme le leader et l’inventeur du Pet Food Direct to Consumer en Europe. La société, pionnière également de l’alimentation pour chiens et chats sans céréales en France, compte accélérer sa croissance en misant sur une qualité produit encore améliorée et un service client irréprochable, tout en dupliquant son modèle en Europe. En 2021, Ultra Premium Direct a intégré le French Tech 120, et a également été nommé parmi les « Champions de la croissance 2021 » par Les Echos/Statista. |
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Pour en savoir plus : http://ultrapremiumdirect.com |
Etude sur les aspirations de voyages des Français France, Espagne, Etats-Unis : Top 3 des destinations que les Français souhaiteraient visiter ou revisiter en 2021 Paris, le 12 mars 2021 – Alors que cela fait maintenant un an que nos vies sont chamboulées par la crise sanitaire, les envies d’évasion se font plus que jamais sentir. Afin d’encourager les Français à se projeter, malgré les incertitudes, le groupe The Ascott Limited (Ascott) a souhaité en savoir plus sur leurs aspirations de voyage* et plus précisément sur leurs prochaines destinations.
En matière de destination, un peu échaudés par la fermeture des frontières, ils sont une majorité à souhaiter rester sur le continent européen (53%) et à vouloir visiter la France (45% des répondants), juste devant l’Espagne (37%) et pour les plus ambitieux, les Etats-Unis (28%), destinations proposées par le groupe Ascott. Enfin, concernant la typologie de séjour, les destinations urbaines de type grandes métropoles ou capitales semblent l’emporter (53%) et c’est en priorité en couple qu’ils envisagent ce premier voyage post-Covid 19 (51%).
*Méthodologie : enquête menée auprès de la base opt-in d’Ascott entre le 21 et le 27 janvier – 950 répondants résidant en France, entre 18 et 65 ans.
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À propos de The Ascott Limited The Ascott Limited est une société de Singapour qui est devenue l'un des principaux propriétaires-exploitants d'établissements d'hébergement internationaux. Le portefeuille d'Ascott s'étend sur plus de 190 villes dans plus de 30 pays d'Asie Pacifique, d'Asie centrale, d'Europe, du Moyen-Orient, d'Afrique et des États-Unis. Ascott compte plus de 70 000 unités* en exploitation et plus de 52 000 en développement, soit un total de plus de 122 000 unités dans plus de 770 propriétés. Les marques de résidences hôtelières, d’appartements, de coliving et d'hôtels du groupe comprennent Ascott The Residence, The Crest Collection, Somerset, Quest, Citadines, lyf, Préférence, Vertu, Harris, Citadines Connect, Fox Lite et POP ! Le programme de fidélité d’Ascott, Ascott Star Rewards offre des avantages exclusifs à ses membres lorsqu’ils réservent directement avec Ascott dans les propriétés participantes. Ascott, filiale à part entière de CapitaLand Limited, a été le pionnier dans le secteur des résidences hôtelières de classe internationale en Asie-Pacifique avec l'ouverture de The Ascott Singapore en 1984. Aujourd'hui, la société peut se targuer de plus de 30 ans d'expérience dans le secteur et de marques primées qui jouissent d'une reconnaissance mondiale. |
Enquête Le Lab HEYME & e-Enfance : Parents et ados face aux violences en ligne :
Le tragique événement de cette semaine nous a de nouveau confrontés au fléau que sont les violences en ligne: face à l'ampleur de ces violences, il est urgent de faire face et d'agir. Le Lab HEYME et l'association e-Enfance, acteurs de l'éducation au numérique, se sont associés afin de sonder les pratiques des adolescents en ligne, et d'identifier leur vécu en matière de violences sur les écrans.
Une étude qui révèle des chiffres alarmants :
- Plus d'1 adolescent sur 10 a déjà été victime de violences en ligne. Selon eux, ces violences en ligne sont liées principalement à la jalousie et au physique (apparence physique et vestimentaire) ;
- Le cyberharcèlement est connu par 70% des parents alors que seulement 59% des adolescents en ont conscience ; le Revenge Porn est connu par 40% des parents contre 18% des adolescents ;
- 56% des adolescents n'ont vu aucune conséquence suite à leur acte de violence en ligne. Pourtant les conséquences permettent une prise de conscience des adolescents car 9 adolescents sur 10, ayant vu une conséquence à leurs actes, ont pris conscience de leur geste et de ce que cela engendre sur la personne victime.
Les parents sous-estiment la capacité de leurs enfants à être auteurs de violences en ligne : leurs enfants sont quasiment deux fois plus nombreux à déclarer avoir été auteurs de violence en ligne que ce qu'ils pensaient.
« Les résultats obtenus obligent à une mobilisation forte pour endiguer ces violences en ligne : des violences qui ne se limitent pas à l'espace du virtuel, leurs effets sont bien réels sur la santé mentale des jeunes. Conscient des enjeux que recouvrent les pratiques des adolescents, le Lab HEYME considère qu'il est indispensable et urgent de créer un écosystème favorable pour enrayer les mésusages numériques. En effet, les adolescents doivent pouvoir se tourner vers des interlocuteurs sensibilisés à la question, et capables de les aider à faire face aux problèmes qu'ils rencontrent. Parents, professionnels de l'éducation, de la santé, et adolescents sont les acteurs de cet écosystème, véritable collectif protecteur », souligne Mathilde Serre, porte-parole du Lab HEYME.
Si cela vous intéresse, nous serons ravis de vous organiser un rendez-vous téléphonique ou en visio avec Mathilde Serre.
A très vite,
Belle journée,
Karim
A propos du Lab HEYME
Le Lab HEYME est un Fonds de dotation qui a pour objet d'organiser et de soutenir des actions à but non lucratif et d'intérêt général dans les domaines sociaux, de la santé et de l'éducation. Le Lab HEYME mène notamment des actions de prévention et de promotion de la santé auprès des enfants, des familles, des équipes éducatives et des professionnels de santé. Une approche positive et valorisante sur des sujets de santé publique actuels.
lelab.heyme.care
A propos de e-Enfance
Reconnue d'utilité publique, l'Association e-Enfance est la référence pour la protection des mineurs sur Internet depuis 2005. Agréée par le Ministère de l'Education nationale, elle propose des interventions en milieu scolaire, des formations sur les risques et bons usages d'Internet et opère le numéro Net Ecoute.
Gratuit, anonyme et confidentiel, Net Ecoute 0800 200 000 est le numéro vert national spécialisé dans la protection des mineurs sur Internet. C'est le seul dispositif d'alerte à être en lien direct avec les réseaux sociaux, les plateformes « Pharos » de la Police nationale et « Brigade numérique » de la Gendarmerie nationale, et le 119-Enfance en danger.
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Temps partagé : cette étude confirme la montée en puissance de ce mode de travail
Pour la sixième année consécutive, le Baromètre du temps partagé dresse un état des lieux de ce mode de travail qui séduit de plus en plus.
Pourquoi ? Parce qu'il est flexible, qu'il permet aux entreprises de bénéficier d'expertises pointues, et parce qu'il offre aux intervenants un précieux équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.
Le baromètre permet d'esquisser le profil des personnes qui ont choisi ce mode de travail :
- Plus d'un professionnel à temps partagé sur deux (56 %) est âgé de plus de 50 ans.
- Les 40 à 49 ans représentent 25 % des professionnels à temps partagé, et les moins de 30 ans 19 %.
- Tous les domaines d'activité sont concernés, à commencer par les ressources humaines (23 %) et le secteur commercial/marketing (23 %). En troisième position viennent la finance et la gestion (13 %).
- Le temps d'intervention en entreprise varie beaucoup : 20 % des intervenants travaillent uniquement (ou quasiment) à temps partagé. Pour 44 % des répondants, le temps partagé représente moins de 10 jours de travail par mois. 27 % des personnes interrogées disent intervenir de 10 à 15 jours par mois en temps partagé.
Pour les entreprises, les avantages sont les suivants :
- Profiter d'une expertise plus pointue sur certaines compétences (26 %) ;
- Bénéficier d'une solution flexible (25 %) ;
- Mieux maitriser les coûts (21 %) ;
- Possibilité de déléguer le pilotage de certains projets (15 %) ;
- Implication des professionnels dans la durée (13 %).
Un sujet sur le travail à temps partagé serait-il susceptible de vous intéresser ? (possibilité d'itw, de reportage)
Pour en savoir plus
Le Baromètre : http://www.le-portail-du-temps-partage.fr/etudes/le-barometre-du-travail-a-temps-partage/
LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/le-portail-du-temps-partage
Etude RH Monster : quelles sont les perspectives de recrutement pour 2021 ?
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Etude Weber/BVA pour tout savoir sur les Français et le barbecue en 2021 !
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Sondage : 21% des jeunes filles ont déjà été victimes de violences de couples
Avec le programme « Aimer sans abuser » mené en partenariat avec l'association En avant toute(s), Yves Saint Laurent Beauté a choisi de s'engager activement dans la lutte contre les violences de couple chez les jeunes (15-25 ans). Un phénomène aussi bien méconnu que sous-estimé.Quelles soient sexuelles, psychologiques ou physiques, les violences au sein du couple n'épargnent pas les plus jeunes et débutent parfois dès l'adolescence.
Les résultats d'un sondage inédit réalisé avec OpinionWay relève que 21% des jeunes femmes (moins de 25 ans) ont déjà été victimes de violences de couples. Mais tout le paradoxe réside dans le fait que si elles sont les plus concernées, elles ne s'identifient pas forcement en tant que victimes ! Ne sachant pas toujours ce qui est acceptable ou non dans le cadre d'une relation saine.
Plus d'infos dans le communiqué ci-joint.
• Cécile CASSEL, actrice et chanteuse plus connue sous le nom de HollySiz.
• Guang HUO, acteur chinois nominé dans la catégorie Révélation Masculine aux César 2021.
• Assa SYLLA, jeune comédienne de 24 ans qui s'est fait connaître dans le film « Bande de filles » de Céline Sciamma, puis dans la série « Skam » diffusée sur la plateforme France TV Slash.
• Khaled ALOUACH, jeune acteur de 22 ans, révélation de la série à succès de TF1 « Ici tout commence ».
• Simon BURET, chanteur membre du groupe AaRON, peintre et acteur français.
Baromètre carburant : en février le GPL affiche 0,83 euro le litre et un nouveau record
Source du prix au litre des carburants en euros : http://www.ecologique-solidaire.gouv.fr
Le GPL participe au développement d'un parc automobile plus propre
Depuis 2020, le nombre de ventes de véhicules GPL est en constante progression et affiche des records. En février 2021 :
- 2 959 véhicules GPL neufs (soit + 953% par rapport à février 2020)
- et 1 986 véhicules d'occasion (+ 44,6%) ont été immatriculés.
Ce carburant reconnu pour ses avantages environnementaux et économiques est de plus en plus plébiscité par les particuliers et professionnels.
Bénéficiant d'une offre élargie, d'une différence de prix au litre supérieure à 0,50 € par rapport au Gazole et au sans plomb 95, d'un réseau sur tout le territoire et de la vignette Crit'Air 1, les véhicules GPL disposent de tous les atouts pour se développer dynamiquement en France.
Le projet de loi "climat et résilience" et développement des ZFE :
des motivations supplémentaires pour rouler GPL
En cours d'examen par l'Assemblée nationale, le projet de loi "climat et résilience" prévoit notamment la création de nouvelles zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) dans lesquelles la circulation des véhicules est restreinte aux véhicules les moins polluants (Crit'Air 0, 1 et 2).
Les agglomérations de plus de 150 000 habitants devront mettre en place de telles zones d'ici le 31 décembre 2024. Plus de 35 agglomérations sont directement concernées.
Tous les véhicules GPL sont classés Crit'air 1 en raison de leurs caractéristiques environnementales. Le GPL est une solution accessible à la majorité des automobilistes, disponible et qui permet de continuer à circuler dans les ZFE. C'est aussi une solution pour ceux qui n'ont pas les moyens de changer de véhicule de continuer à circuler en polluant moins grâce à l'équipement au GPL. Quasiment tous les véhicules essence, correctement entretenus peuvent être équipés au GPL et ainsi être classés Crit'air 1.
A noter : le projet pourrait également s'étendre à la mise en place de voies de circulation réservées aux véhicules Crit'Air 0 et 1 sur certains axes routiers.
À propos de France Gaz Liquides
Association loi 1901, France Gaz Liquides est l'organisation professionnelle de la filiÈre des gaz et biogaz liquides (les gaz butane, propane, et le carburant alternatif GPL). Anciennement dénommée Comité Français du Butane et du Propane (CFBP), l'organisation représente la filière française auprès des différents acteurs politiques et économiques tant au niveau français qu'européen et international. Son rôle majeur est de défendre et valoriser l'énergie gaz et biogaz liquides, dans un contexte énergétique en constante mutation. Si la sécurité est au cœur des préoccupations de la filière, elle contribue aussi activement aux politiques de développement durable et de maîtrise de l'énergie.
Pour plus d'informations : http://www.francegazliquides.fr
Télétravail : comment les RH s’adaptent-elles aux différentes générations ?
Si le télétravail s’est généralisé dans la plupart des entreprises, certains collaborateurs se sont moins bien adaptés. Manque d’autonomie, isolement, mauvaises conditions de travail au domicile, l’expérience encore nouvelle du télétravail peut être pesante pour les jeunes, comme pour leurs aînés.
- Quelles sont les conséquences de cette mauvaise adaptation au télétravail ?
- Quelles solutions pour faciliter le télétravail chez les collaborateurs ?
- Comment garder un lien avec les différents acteurs de son entreprise durant cette pandémie ? Quelles actions mettre en place ?
- Comment bien intégrer une nouvelle recrue ?
- Comment remotiver les collaborateurs en télétravail ?
- En quoi le rôle du manager est-il crucial pour impulser une énergie positive dans les équipes au service de la stratégie de l’entreprise ?
responsable sap pour un cdi client final
IT Resourcer
ITProject-search
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[Enquête] Pour survivre, ces restaurateurs contournent astucieusement les règles
A l’image de ce restaurateur du Nord qui vend désormais du CBD1 dans son établissement, certains ne manquent pas de créativité pour faire face à l’adversité !
« Par quels moyens contournez-vous intelligemment les règles pour survivre ? » : c’est la question qui a été posée2 aux restaurateurs.
Tour d’horizon des initiatives les plus audacieuses.
1/ « Squatter » des chalets, des (super)marchés…
Tout a commencé par un grand coup de gueule face à l’ouverture de certains marchés de Noël en décembre dernier. Pourquoi interdire les restaurants alors que la foule s’agglutine autour des chalets et de leurs plats à emporter ?
Dans plusieurs villes (Tours, Orléans, Lisieux...) la mairie a trouvé un terrain d'entente3 : permettre aux restaurateurs d’utiliser à leur tour ces chalets pour de la vente à emporter.
Depuis, forts de cette conquête, d’autres restaurateurs ont réussi le tour de force de prendre leur place dans des marchés (à Bordeaux, Lyon, Limoges, Dunkerque…4) voire dans des supermarchés (à Vannes5).
2/ S’installer dans des igloos, des serres, des grandes roues…
Pour trouver de l’inspiration, les restaurateurs français indiquent observer aussi attentivement les initiatives de leurs collègues dans le reste du monde.
A l’étranger6, il est possible de dîner sur une grande roue, dans des serres ou encore des igloos… tout en respectant scrupuleusement les gestes barrières.
La tactique reste toujours la même : occuper des espaces insolites et inclassables pour garder un temps d’avance sur la règlementation.
3/ S’inviter chez « Monsieur tout-le-monde » pour ubériser ses talents de cuisinier
Plus près d’ici, des plateformes7 permettent de proposer des cours de cuisine ou des dîners entre particuliers.
Combattues à l'origine par la profession, les restaurateurs n’hésitent plus à s'y inscrire (parfois incognito) pour arrondir et sauver leurs fins de mois. D’un côté, les professionnels y trouvent leur compte, de l’autre, il n’a jamais été aussi facile de s’offrir un chef à domicile à un tarif accessible.
4/ Partir à la conquête du World Wide Web
Enfin, s'il y a un nouveau terrain à (re)conquérir pour les restaurateurs audacieux, c’est celui du numérique. Pour sortir plus fort de cette épreuve et mettre à profit leur temps disponible, beaucoup se retroussent les manches et jouent aux apprentis hackers.
Face aux nombreuses demandes, la startup Guestonline a eu l’idée de leur proposer en ce moment un audit numérique gratuit en étudiant plus de 50 critères :
- Site internet (performances, contenus, lisibilités, etc.)
- Présence en ligne (SEO, Google My Business, page Facebook, etc.)
- Outils numériques (Réservation en ligne, Google Reserve, VAE, etc.)
- Avis (avis Google, TripAdvisor, stratégie de collecte, etc.)
L’objectif ? Apprendre les techniques et les « hacks » utilisés sans scrupule par les géants du web et se faire une place dans cette jungle du numérique.
En savoir plus sur les initiatives audacieuses des restaurateurs qui contournent intelligemment les règles pour survivre à la crise :
Contact presse
Antoine Girard
e-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
te?l : 06 48 15 82 17
Fondateur de www.Guestonline.io
Président de l'association Réservation-responsable.org
A propos :
Guestonline est une solution indépendante de gestion des réservations pour les restaurants. Elle leur permet de centraliser toutes les réservations sans commission (site Web, téléphone, Google, Michelin, Gault&Millau...), de réduire les « no-shows », de gérer le marketing et l'e-réputation. Elle est connectée à la plupart des systèmes de caisses enregistreuses et s'intègre très simplement dans le restaurant.
Guestonline équipe aujourd’hui 3500 restaurants, toutes typologies et tailles confondues : du restaurant de quartier aux grandes tables (Paul Bocuse, Tour d’Argent, Laurent Petit, Olivier Roellinger, Alexandre Mazzia, Glenn Viel, …) ainsi que des groupes (Big Mamma, Sibuet, Groupe Agapes, Radisson...).
En cette période de crise, elle met son expertise au service des restaurateurs en leur offrant un audit numérique gratuit pour sortir plus fort de la crise.
Sources / Notes :
(1) https://www.20minutes.fr/lille/2984895-20210224-coronavirus-nord-face-epidemie-restaurateur-met-vendre-cbd-tenter-survivre
(2) Via la communauté des 3500 restaurants animée par Guestonline
(3) La colère des restaurateurs face aux chalets de Noël :
https://www.lindependant.fr/2020/12/06/perpignan-le-succes-du-marche-de-noel-declenche-la-colere-de-certains-restaurateurs-9241745.php
https://www.francebleu.fr/infos/societe/manche-la-colere-d-un-restaurateur-devant-la-foule-du-marche-de-noel-a-cherbourg-1607360176
A Tours, Orléans, Lisieux... les chalets de marchés de Noël occupés par des restaurateurs :
https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/tours-un-marche-de-noel-special-restaurateurs-du-21-au-31-decembre
https://www.ouest-france.fr/normandie/lisieux-14100/lisieux-neuf-chalets-du-marche-de-noel-sont-mis-a-disposition-des-restaurateurs-7085943
https://www.larep.fr/orleans-45000/actualites/les-chalets-de-noel-mis-a-disposition-des-restaurateurs-par-la-ville-d-orleans_13883996/
(4) Des restaurateurs s’installent sur les marchés…
https://www.sudouest.fr/gironde/bordeaux/bordeaux-avec-l-operation-place-aux-restos-les-restaurateurs-investissent-les-marches-1420736.php
https://www.bfmtv.com/lyon/lyon-la-ville-ouvre-ses-marches-aux-restaurateurs-pour-de-la-vente-a-emporter_AV-202102100186.html
https://www.lavoixdunord.fr/940495/article/2021-02-19/les-restaurateurs-s-installent-sur-les-marches-de-boulogne
https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/la-nouvelle-eco-operation-chalets-des-restaurateurs-a-haguenau-1613412621
https://www.lepopulaire.fr/limoges-87000/loisirs/un-village-des-restaurateurs-a-limoges-des-le-23-fevrier_13917740/
(5) …Ou même dans des supermarchés :
https://www.europe1.fr/societe/covid-19-a-vannes-les-restaurateurs-peuvent-vendre-leurs-plats-dans-les-grandes-surfaces-4027277
(6) https://cuisine.journaldesfemmes.fr/gastronomie/2685449-a-l-etranger-ces-restaurants-ont-trouve-la-solution-pour-respecter-les-gestes-barrieres/
(7) Cf. une des plateformes les plus connues :
https://fr.eatwith.com/
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80% des travaux de constructions réalisés en usine ? – L’exemple d’AST Groupe
Selon un Rapport sur l’industrialisation de la construction, rendu ce mois-ci à la ministre de la transition écologique, 80% à 85% des travaux de constructions pourraient être réalisés en usine.
A ce jour, seul 10% des travaux bénéficient de ce mode de construction… Un chiffre étonnamment bas alors que la construction hors-site présente de nombreux avantages. A commencer par un coût moindre pour l’acheteur puisque les différentes étapes de la construction sont simultanées !
La construction hors-site offre également des délais raccourcis et l’assurance d’une qualité constante pour les acheteurs ; des avantages non-négligeables !Enfin la plus part de ces constructions étant posées sur le terrain de l’acheteur, aucune artificialisation du sol n’est nécessaire et les nuisances de chantiers sont drastiquement réduites, quand elle ne sont pas inexistantes.
C’est notamment le cas des constructions hors-site d’AST Groupe.
Fort de plus de 25 ans d’expérience dans la construction, le 3ème constructeur national se spécialise dans la construction hors-site, notamment avec les concepts Natilia, M Design et Natibox.
Ces constructions rassemblent tous les avantages de la construction hors-site :
- Fabriquée en une quinzaine de jours
- Installées en une journée maximum
- Made in France
- Faible empreinte écologique
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↓ Cliquez sur le visuel de la Natibox pour découvrir son installation en images ! ↓
Pour toute question sur :
- La construction hors-site,
- L’usine Pobi (origine des construction hors-site d’AST Groupe)
- Le bilan d’AST sur l’année 2020 (demandes, ventes…)
- Les projet de l’année 2021
- …
Recrutement de Talents Tech & Electronics tourne à plein régime :
Easy Partner lance aujourd'hui sa nouvelle division centrée sur l'électronique, fort de 8 ans d'expérience dans le domaine de l'informatique !
Présent dans tous les objets du quotidien, l'électronique occupe aujourd'hui une place primordiale dans les filières industrielles, notamment avec l'émergence de l'IOT.
Poussé par une volonté de perfectionnement constant et d'une évolution technologique poussée, le besoin des entreprises de trouver des ingénieurs talentueux est en perpétuelle croissance. Dans un tel contexte, il sera nécessaire de pouvoir accompagner ces entreprises dans leur transformation digitale avec des profils apportant performance et intelligence.
Les besoins de recrutement sont variés : que ce soit dans le développement de logiciels et systèmes embarqués, les tests, la fabrication, le suivi... Encore faut-il pouvoir dénicher les bons profils qui sauront porter votre entreprise et votre projet !
la majorité des logiciels malveillants passe désormais
L'étude « Cloud Threat Report » de Netskope sur le Cloud et les menaces révèle que les cybercriminels utilisent des applications de confiance pour le phishing et les attaques de logiciels malveillants. Le recours de plus en plus important au travail à distance continue à générer des risques.
Les conclusions font partie de l'étude Netskope Cloud and Threat Report de février 2021, qui analyse les tendances les plus intéressantes sur l'utilisation des services et des applications cloud par les entreprises, les menaces liées au web et au cloud, et les migrations et transferts de données dans le cloud.
« Alors que les entreprises peuvent penser que la plus grande menace provient de services cloud moins connus et manifestement douteux, il ressort que ce sont en fait les applications cloud les plus fiables et les plus populaires dont les cybercriminels abusent pour le phishing et la diffusion de logiciels malveillants », a déclaré Paolo Passeri, directeur de la Cyber Intelligence chez Netskope. « Les entreprises doivent s'assurer qu'elles ont une visibilité précise du contenu et du contexte de l'utilisation de leurs applications Cloud, et qu'elles sont capables d'appliquer des contrôles stratégiques précis pour s'assurer qu'elles peuvent utiliser les outils de productivité qui sont au cœur de leur informatique, sans s'exposer à de tels risques ».
Principales conclusions de l'étude
Les principales conclusions du rapport sont basées sur des données anonymes recueillies par la plateforme Netskope Security Cloud auprès de millions d'utilisateurs entre le 1er janvier et le 31 décembre 2020 :
L'utilisation du Cloud est en hausse. En 2020, le nombre d'applications cloud utilisées par les entreprises a augmenté de 20 %. Les entreprises de 500 à 2 000 employés utilisent désormais en moyenne 664 applications cloud distinctes par mois. Parmi ces applications, près de la moitié ont un "mauvais" indice de confiance dans le Cloud Confidence IndexTM (CCI), une mesure mise au point par Netskope pour déterminer le niveau de sécurité d'un service de cloud computing.
La diffusion de logiciels malveillants continue à se déplacer vers le cloud. La diffusion de logiciels malveillants continue à se déplacer vers le cloud, avec 61 % de tous les logiciels malveillants diffusés par une application dans le cloud, en hausse de 48 % par rapport à l'année précédente.
La popularité des applications cloud dans l'entreprise en fait une cible pour les attaques de phishing. Ce type d'applications est désormais la cible d'une campagne de phishing sur trois (36 %). Alors que la majorité des leurres de phishing sont toujours hébergés sur des sites web traditionnels, les pirates utilisent de plus en plus les applications cloud pour infiltrer les entreprises.
Le volume de documents Microsoft Office malveillants a augmenté de 58 %, car les pirates utilisent de plus en plus les documents Office malveillants comme chevaux de Troie pour délivrer des payloads de nouvelle génération, notamment des rançongiciels et des backdoors. En utilisant la diffusion d'applications dans le cloud pour échapper aux défenses de la messagerie électronique et du web, les documents Office malveillants représentent 27 % de tous les téléchargements de logiciels malveillants détectés et bloqués par le Netskope Security Cloud.
Les données sensibles dans les applications personnelles continuent de croître. Alors que le travail et la vie privée continuent de se mêler avec l'augmentation du travail à distance, la part d'utilisation d'applications personnelles dans les entreprises augmentent, avec 83 % des utilisateurs accédant à des applications personnelles depuis leurs terminaux professionnels. L'utilisateur moyen d'une entreprise télécharge 20 fichiers par mois sur des applications personnelles à partir de ses équipements professionnels. L'utilisation d'applications personnelles en entreprise augmente considérablement la probabilité de mauvaise manipulation ou de fuite de données.
L'étude Netskope Cloud and Threat Report est produit par le Netskope Threat Labs, une équipe composée des principaux chercheurs du secteur sur les menaces et les logiciels malveillants dans le Cloud, qui identifient et analysent les dernières menaces dans le Cloud qui affectent les entreprises.
Obtenir le rapport complet.
A propos de Netskope
Le Cloud de Netskope offre une visibilité inégalée et une protection en temps réel des données et des menaces lors de l'accès aux services cloud, aux sites web et aux applications privées depuis n'importe où, sur n'importe quel appareil. Seul Netskope comprend le Cloud et fournit une sécurité centrée sur les données à partir de l'un des réseaux de sécurité les plus importants et les plus rapides au monde, offrant aux plus grandes organisations du monde le juste équilibre de protection et de performance dont elles ont besoin pour supporter des approches business innovantes tout en sécurisant leur parcours de transformation numérique. Ré-imaginez votre périmètre avec Netskope. https://www.netskope.com/fr/
67% des Français possédant des troubles de l'audition
vont désormais pouvoir s'équiper grâce à la loi 100 % Santé et
Total' Audition qui propose des solutions de qualité, invisibles et livrés en moins d'1 h
67 % de Français possèdent des troubles de l'audition
Selon les études, entre 67 et 75 % de Français ont des problèmes d'audition et ne sont pas équipés. Le gouvernement évoque sur son site dédié à la réforme 100% Santé, le chiffre de 67% de malentendants en France non équipés, selon le SNDS et l'INSEE. Source : Ministère des solidarités et de la santé
Réforme 100 % Santé
Avec un coût total de près de 3100 € pour appareiller deux oreilles, et un reste-à-charge pour le malentendant d'environ 1400 € après intervention de la sécurité sociale et de la mutuelle, le prix des audioprothèses était au cœur du renoncement aux soins en matière d'audition jusqu'en 2020.
La loi 100% Santé offre l'accès aux équipements auditifs
Depuis le 1er janvier 2021, l'offre 100% Santé disponible pour l'audiologie, est accessible à tous les Français bénéficiant d'une complémentaire santé (soit actuellement 95% des contrats vendus sur le marché) ou de la complémentaire santé solidaire (CSS), née de la fusion entre la CMU-C et l'ACS depuis le 1er novembre 2019. Tous les équipements qui composent le panier 100% Santé sont désormais pris en charge intégralement par la sécurité sociale et les complémentaires santé si les assurés choisissent des appareils de Classe 1, vendus à 950 euros par unité.
À partir du 24 février 2021, Total'Audition, s'engage à équiper les malentendants en moins d'1 h sur rendez-vous
Souhaitant favoriser l'accès aux appareils auditifs au plus grand nombre de français, l'enseigne Total' Audition, créée par 2 professionnels de l'audition et de l'optique : Benjamin Zeitoun et Benjamin Astruc, annonce qu'elle réalisera à partir du 24 février 2021, grâce à la Loi Santé, des équipements à 0 €, invisibles, en moins d'1 h.
Créée en 2020 en pleine crise covid, Total'Audition, qui intègre déjà 10 shops-in-shops et génère un véritable engouement par un nouveau modèle innovant, a pour ambition de révolutionner le secteur en proposant des solutions de dernière génération de la plus haute qualité au meilleur prix !
- Grâce à la Loi Santé, Total'Audition délivre des solutions auditives de qualité à 0 €, sans reste à charge
- Pour aller plus loin et fournir des équipements de dernières générations les plus esthétiques parmi ceux de la Classe 1 rentrant dans la Loi Santé, Total'Audition propose des équipements entièrement invisibles
- Enfin, à partir du 24 Février 2021, Total'Audition proposera, sur rendez-vous, un équipement auditif réglé sur place par un audioprothésiste en - d'1 h
« Nous avons créé Total'Audition avec Benjamin Astruc pour bouleverser le marché et offrir l'équipement le plus high-tech au prix le plus bas. Nous avons réussi à disrupter le marché de l'audiologie en inventant la mise en place de boutiques dédiées chez les opticiens indépendants. Nous réussissons ainsi à diminuer les surcoûts liés à la mise en place d'un corner dédié à l'audiologie en mutualisant les dépenses au sein d'une même enseigne. Nos audioprothésistes travaillent pour plusieurs centres Total'Audition, ce qui nous permet de pouvoir proposer les meilleurs équipements aux prix les plus compétitifs. »
Benjamin Zeitoun, cofondateur de Total'Audition
Benjamin Zeitoun, cofondateur de Total'Audition
Total'Audition peut proposer ces solutions auditives de dernières générations, au prix le plus bas possible par un nouveau business-modèle offrant aux opticiens un accompagnement à 360° avec une aide à l'aménagement des cabines, la négociation de prix, des formations régulières, des outils marketing et de communication pour développer leur activité commerciale.
3/4 des français souhaitent télétravailler dans le futur*.
Le premier confinement a fait découvrir cette pratique à près de 5 millions de salariés. Aujourd'hui, c'est 73% des salariés qui souhaitent conserver une pratique du télétravail totale ou partielle dans leur vie professionnelle.
Pour tous vos sujets liés à ce contexte et si vous êtes à la recherche d'un expert, je peux vous proposer le regard de Frantz Gault, co-fondateur de Neo-Nomade, qui publie ce mois ci “Le Petit Télétravail, un savoir habituellement réservé aux grandes entreprises” aux éditions Dunod.
Dans la perspective de l'après-Covid, l'auteur nous donne les clés d'un télétravail durable: aspects juridiques, enjeux culturels, pratiques managériales... Un livre essentiel pour 2021 et les années à venir…
Souhaiteriez-vous interviewer / avoir un avis d'expert de Frantz Gault à propos de l'avis du télétravail ?
Neo-nomade en bref :
Acteur engagé dans la transformation du travail depuis 2010, Neo-nomade libère les entreprises et leurs collaborateurs des contraintes du bureau fixe. Avec plus de 1000 espaces de coworking référencés, la plateforme permet de réserver le bon bureau au moment pour 1h, 1 journée ou même plusieurs années.
Neo-nomade aide également les entreprises à mesurer l'impact du télétravail sur leurs bureaux et les accompagne pour transformer leur environnement de travail. Pour cela, différents scénarios d'optimisation immobilière pourront être proposés : cessions de baux et relocalisation en coworking (bureaux fermés, plateau privé ou postes de travail à la demande), sous-location d'espaces, déploiement du flex-office.
83% des décideurs IT estiment que l'augmentation du nombre de télétravailleurs a augmenté.
BeyondTrust, leader mondial de la gestion des accès privilégiés (PAM), a récemment publié les résultats de son étude, réalisée par le cabinet indépendant Forrester Consulting, intitulée "Evolving Privileged Identity Management In the Next Normal". L'enquête a été menée en novembre 2020 auprès de 320 décideurs du secteur de l'IT et de la sécurité en Amérique du Nord, en Europe et en Asie.
Aujourd'hui, je vous propose de revenir l'un des chiffres notables de cette étude : 83.
83% des décideurs IT estiment que l'augmentation du nombre de travailleurs à distance a augmenté leurs surfaces d'attaque et les risques de vulnérabilité. Et ils sont près de deux tiers à penser que leurs organisations sont sous-préparées à l'augmentation des travailleurs à distance.
William Culbert, Directeur EMEA Sud de BeyondTrust, explique : « Pour élaborer et exécuter une stratégie de sécurité, le vieil adage se vérifie : ‘votre sécurité dépend de votre maillon le plus faible'. Autrement dit, les hackers sont à l'affût de vos points faibles et il suffit d'un seul pour que leur attaque aboutisse. Il faut être pragmatique, nous ne pouvons défendre que le connu d'où l'importance d'audits réguliers, et faire de notre mieux pour perturber l'inconnu, autrement dit les attaques potentielles. Facile à dire, mais avec la nouvelle main-d'œuvre à distance, les menaces sont omniprésentes. L'étude menée par Forrester dévoile que les comptes privilégiés sont utilisés dans 80% des violations. Il est donc plus que nécessaire aujourd'hui pour les entreprises de reconsidérer leur gestion des identités, de verrouiller ou, mieux encore, de réduire le nombre de comptes privilégiés et admin dans l'ensemble de l'infrastructure. »
Sewan recrute plus de 100 nouveaux talents dans les télécoms et les services
Sewan présente sa nouvelle campagne de recrutement à travers le lancement de son site Internet dédié SEWAN JOBS |
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Sewan, acteur européen majeur des télécoms et des services dans le cloud avec 75 000 sociétés françaises et 850 000 professionnels à son actif, dévoile aujourd’hui son nouveau site internet dédié à la recherche de nouveaux talents, Sewan Jobs, et lance ainsi sa nouvelle campagne de recrutement.PLUS DE 100 POSTES SONT A POURVOIR CHEZ SEWANSewan qui connait une croissance ininterrompue et un développement en France comme à l’international, propose aujourd’hui sur le marché européen plus de 100 offres d’emploi. Cette campagne de recrutement s’accompagne de la création d’un site Internet inédit : Sewan Jobs. Il regroupe l’intégralité des offres d’emploi du groupe, par pays et par fonction, et permet aux candidats de postuler directement en ligne afin de faciliter leurs démarches.Ces postes sont à pourvoir pour 90% en France, principalement sur des fonctions techniques et de support. Les profils les plus recherchés par Sewan sont des profils IT : développeurs, Ingénieur R&D (le cœur de métier de Sewan) ainsi que des techniciens support qui accompagneront les clients et les partenaires.UNE POLITIQUE DE FORMATION DES COLLABORATEURS FORTE ET ENGAGEANTELe leitmotiv des ressources humaines de Sewan est d’ouvrir le champ des possibles en donnant la chance à chacun des candidats, à des profils atypiques, en situation de handicap ou encore même en reconversion. Pour les collaborateurs en poste, un programme de formation est proposé en interne pour accompagner les salariés dès l’embauche, pour favoriser leur intégration, puis tout au long de leur carrière chez Sewan pour accompagner leur évolution. En effet, chez Sewan, la mobilité interne représente 8% de l’évolution interne par an.« Chez Sewan, nous sommes convaincus des multiples ressources que nos collaborateurs peuvent déployer. C’est pourquoi nous accompagnons les salariés afin que chacun puisse faire évoluer ses compétences en fonction de ses appétences : ‘’s’exprimer en public’’ ou ‘’exposer une idée’’ sont deux exemples de master class que nous organisons. Également, plusieurs formations techniques professionnalisées sont proposées, comme des formations juridiques, des formations métiers ou logiciels informatique, ou encore des formations linguistiques… En 2 ans, ce sont plus de 80 collaborateurs qui ont pu bénéficier de ces actions. » explique Marlene Delrue, Directrice Administratif & Financier – RH chez Sewan.Par ailleurs, Sewan a à cœur de développer une politique RSE interne importante, qui engage les collaborateurs. Sewan sensibilise ses salariés, par des actions réalisées au quotidien, à la protection de l’environnement : suppression des gobelets en plastique, aide à l’achat et l’entretien d’un vélo en tant que moyen de transport, sensibilisation autour de l’alimentation saine et de l’achat numérique… L’entreprise est aussi très exigeante quant au choix de ses prestataires en matière de recyclage des produits informatiques notamment.« Sewan est un groupe qui a le regard tourné vers l’international. Nous avons besoin aujourd’hui de nouveaux talents pour renforcer nos équipes dans toute l’Europe afin de proposer les meilleures solutions à nos partenaires et clients. Depuis sa création, Sewan est une grande famille composée de passionnés dans chaque équipe, dans chaque département et dans chaque pays. Pour maintenir ce lien et cet esprit de convivialité fort entre nous, la bienveillance est au cœur de notre organisation. En grandissant, nous tenons à conserver cet ADN qui fait notre force, cette proximité entre les collaborateurs et leur management ainsi qu'avec les équipes réparties en Europe » ajoute Marlène Delrue. |
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Pour plus d’informations, consulter le site Sewan Jobs, cliquez ici. |
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Pour rejoindre la communauté Sewan : |
30% des pharmaciens à le retraite d'ici 2030 : qui pour les remplacer ?
La profession de pharmacien est en pleine évolution au moment où un départ massif à la retraite est censé avoir lieu. Certaines mesures vont donner à ces professionnels de la santé de nouvelles attributions pour améliorer l'offre sur le territoire français : ils vont pouvoir réaliser des bilans de médication et certains dépistages et vaccins, notamment contre la grippe saisonnière.
Et pourtant, chaque jour, une des 21 000 pharmacies françaises ferme définitivement ses portes, faute de repreneur.
Ce problème est lié, en partie, au vieillissement de la population des pharmaciens.
On estime ainsi que d'ici 2030, plus de 22 000 pharmaciens sont susceptibles de partir en retraite, sur les 74 000 inscrits à l'Ordre national des pharmaciens, ce qui pourrait avoir des conséquences graves sur la santé publique.
C'est pour remédier à ce problème que Guillaume et Aurélien ont créé Ouipharma.
L'objectif est simple : fournir au marché de la transaction un point de contact unique, qui recense des offres sur toute la France.
17% des seniors en France refusent de se faire vacciner. 16% hésitent encore…
Paris, le 18 février 2021,
Alors que l'accès au vaccin Covid continue à faire débat en France, les personnes âgées étant prioritaires, ne sont pas encore convaincues quant à l'efficacité du dispositif.
L'entreprise Bluelinea, acteur majeur de la Silver Economie spécialisé dans les solutions numériques à destination des seniors, a conduit une enquête sur le consentement des plus de 75 ans à se faire vacciner contre le Covid-19. Cette enquête a été réalisée du 10 au 17 février 2021, sur un échantillon de 455 séniors.
27% des seniors français ont déjà reçu leurs deux doses du vaccin
Parmi les 455 personnes interrogées, 17% refusent catégoriquement de se faire vacciner. Moins tranchés, 16% des séniors interrogés n'ont pas encore pris leur décision. Parmi eux, beaucoup déclarent attendre l'avis de leur médecin et de leur entourage Néanmoins, 67% des interrogés par Bluelinea se déclarent être prêts à se faire vacciner.
Le vaccin étant donc majoritairement accepté parmi les nos aînés, la campagne de vaccination en cours peut avancer. Cependant, seulement 27% des séniors consentants ont à ce jour reçu à minima leur première injection. En effet, 73% des interrogés ayant manifesté leur volonté de se faire vacciner seraient toujours dans l'attente de leur tour.
A propos de Bluelinea
Fondé en 2006 par Alexis Westermann et Laurent Levasseur, Bluelinea s'est rapidement imposé comme acteur de référence dans le déploiement de bouquets de services connectés au domicile de personnes âgées ou en situation de handicap. Forte de cette expérience dans la Silver Economie, la société a investi les champs de l'innovation dans les établissements de santé et plus particulièrement les EHPAD.
Avec plus de 30.000 particuliers abonnés à ses services connectés, 1 000 établissements médico-sociaux équipés de ses solutions, Bluelinea propose une offre différenciante et unique sur son marché, reposant sur un triple enjeu : protéger les personnes fragiles et dépendantes, assister les soignants et accompagner les aidants.
Site web : https://bluelinea.com/
Emploi / Occitanie – En 2021, Eurécia ambitionne de recruter 25 nouveaux collaborateurs en CDI |
Malgré la crise, Eurécia, éditeur de solutions RH 100% web de gestion administrative du personnel, gestion des talents et d’engagement collaborateur, fait partie de ces entreprises qui se portent bien. Confortée par de bons résultats financiers (une croissance de 44% sur le dernier exercice) et par la pertinence de son positionnement sur le marché des ressources humaines et de la qualité de vie au travail, la PME toulousaine, qui compte désormais 90 collaborateurs, va poursuivre ses recrutements en 2021.
Créée en 2006 par Pascal Grémiaux, Eurécia accompagne aujourd’hui 1 700 entreprises, au quotidien, dans leur gestion des ressources humaines grâce à des outils collaboratifs, complets et modulables. Alors que de nombreuses entreprises françaises ont été contraintes de stopper leurs embauches pendant le contexte pandémique de la COVID-19, Eurécia a maintenu ses recrutements et a ainsi intégré 15 nouveaux salariés en 2020. En cette nouvelle année, ce sont 25 collaborateurs en CDI qui rejoindront les rangs d’Eurécia pour soutenir sa forte croissance économique et relever de nouveaux défis. Des profils de développeurs Java et PHP, consultants SIRH, Product Owners, chargés de relations clients et d’assistance, ainsi que des commerciaux sont particulièrement recherchés.
Eurécia ouvre également ses portes aux étudiants : comme en 2020, une dizaine de stagiaires seront accueillis en marketing produit ou en création multimédia. Une véritable opportunité pour ces étudiants pour parfaire leur formation mais aussi pour découvrir les fortes valeurs et la vision du travail qui guident chaque jour les Euréciens. |
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« La santé financière d’Eurécia est au beau fixe, ce qui prouve que nos collaborateurs ont su s’adapter et faire preuve de résilience pour faire face à cette crise sanitaire et économique. Maintenir de nombreux recrutements en 2021 et intégrer de nouveaux locaux s’inscrivent dans le cadre de notre ambitieux objectif de croissance, et c’est également le reflet de notre dynamique et de notre capacité à rebondir. Avec le Campus Eurécia, nous sommes fiers de renforcer notre ancrage local et d’offrir à nos salariés un cadre de travail très agréable. Plus que de simples bureaux, ils représentent de véritables lieux de vie qui participent pleinement à la qualité de vie au travail de chacun, qui est une priorité pour notre PME. Rejoindre Eurécia, c’est faire partie d’une équipe animée par l’enthousiasme, la confiance, l’efficacité, la convivialité et où la « culture du sourire » prime. » précise Pascal Grémiaux, Président et Fondateur d'Eurécia.
Pour postuler, rendez-vous sur la page emploi. |
A propos d’Eurécia : Grâce à ses outils RH et sa communauté, Eurécia contribue à l’épanouissement des entreprises et de leurs collaborateurs en alignant leurs objectifs de performance et de bien-être pour construire ensemble le monde de demain. Basée à Toulouse, la PME compte 90 collaborateurs, quelques 2000 clients et une communauté de 250 000 membres. Plus d’informations ici |
1 français sur 2 déclare avoir fait évoluer son projet immobilier en raison de la crise
Paris, le 16 février 2021 - Après une année 2020 marquée par la crise sanitaire qui aura eu des répercussions à la fois économiques et sociales, le marché de l'immobilier en France a finalement tenu bon et continue d'être prometteur en ce début d'année 2021. DRIMKI, spécialiste de l'estimation immobilière, et BVA, société d'études et conseil, ont lancé la 6ème vague de leur indicateur* afin de lever le voile sur les projets immobiliers des français pour les 12 prochains mois.
Les français sont toujours aussi nombreux à avoir un projet immobilier
Malgré le contexte sanitaire actuel, les français ont toujours à cœur d'investir dans la pierre : près d'1 français sur 6 a toujours un projet immobilier dans les 12 mois (17%). Ce chiffre vient confirmer que la crise ne semble pas avoir d'impacts manifestes, qu'ils soient positifs ou négatifs, sur le désir et l'intention d'achat immobilier des français.
Cette envie est, une nouvelle fois, partagée par les jeunes, de 25 à 34 ans, qui sont toujours 30% à déclarer avoir un projet immobilier dans les 12 mois à venir. Cette intention est également plus marquée chez les personnes appartenant aux catégories socio- professionnelles supérieures (26%) et ayant des enfants (27%).
Et, sur le plan géographique, on constate que la part des personnes ayant un projet immobilier dans les 12 mois est légèrement plus importante en région parisienne avec 19% d'entre eux.
Des projets immobiliers modifiés à cause de la crise sanitaire
Parmi les Français qui ont un projet immobilier, 1 sur 2 déclare l'avoir fait évoluer en raison de la crise sanitaire que nous traversons.
De manière générale, c'est le type de logement recherché (22%) et le lieu de l'achat (21%) qui ont le plus évolué. 32% des Franciliens ayant un projet immobilier ont choisi de modifier le lieu de leur achat, tout comme 24% des personnes appartenant aux catégories socio-professionnelles supérieures.
Nous pouvons également expliquer cette tendance par un besoin d'espace et de nature qui amène certains répondants à revoir la localisation du logement ou le type de logement (prestation, extérieur, etc) qu'ils souhaitent acquérir.
Le prix maximal alloué a également été source de nouvelle réflexion pour 18% des Français ayant un projet immobilier, tout comme la taille du logement pour 15% d'entre eux.
La volonté d'acheter des maisons secondaires en hausse
13% des répondants ont l'intention d'acquérir une résidence secondaire au cours des 12 prochains mois. C'est notamment le cas pour 14% des Franciliens ayant un projet immobilier. Cette hausse peut s'expliquer par le besoin d'évasion lié à la situation sanitaire actuelle.
A contrario, le souhait de changer de logement diminue de 5 points et retombe à 27%, tout comme le désir d'acheter un bien pour le louer ensuite, qui passe de 22% en novembre 2020 à 18% en février 2021.
L'espoir est de retour pour les primo-accédants
En baisse continue au cours de l'année 2020, les intentions d'acquérir son premier logement repartent à la hausse en ce début d'année. En effet, parmi les personnes qui ont un projet immobilier, 40% envisagent d'acheter leur premier logement dans les 12 prochains mois. Ils étaient 35% en novembre 2020.
Les plus jeunes (25-34 ans) restent les plus nombreux. 60%, d'entre eux, ont comme projet d'achat, leur premier bien immobilier au cours de l'année. Il en va de même pour les personnes ayant les revenus les plus modestes (< 2500€) puisque 52% d'entre eux souhaitent acheter leur premier bien immobilier.
Après avoir connu un certain “blues” en fin d'année, les primo-accédants semblent avoir retrouvé de l'espoir concernant leur projet immobilier. Cette évolution positive peut s'expliquer par un assouplissement des conditions d'emprunts ( augmentation de la durée et du taux d'endettement ) mises en place au début de l'année.
*Étude réalisée par BVA pour DRIMKI (disponible sur demande), du 3 février au 4 février sur un échantillon de 900 personnes âgées de 25 ans et plus, issues d'un échantillon global de 1002 personnes représentatif de la société française âgée de 18 ans et plus.
A propos de Drimki
Créé en 2007, Drimki est le pionnier français de l'estimation immobilière en ligne. Fort de ces nombreuses années d'expérience, Drimki vous apporte toutes les informations et tous les services utiles à la concrétisation de votre projet immobilier que vous soyez propriétaire, vendeur ou acheteur.
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Sondage Ifop : Les Français et la bitcoinmania... Mais jusqu où le Bitcoin va t il monter ?
A l'occasion du franchissement de la barre symbolique des 50 000 $ par le Bitcoin, l'Ifop a réalisé pour le site d'information spécialisé en crypto-monnaies Thecointribune une enquête d'envergure sur les ressorts de l'engouement pour ces actifs numériques qui permet, via un échantillon de taille importante (3 000 personnes), de mesurer non seulement les représentations associées à ces monnaies virtuelles mais aussi de dresser pour la première fois le portrait-robot des détenteurs de cryptos. Réalisée juste quelques jours avant le passage de cette barre des 50 000 $, cette étude montre que la « bitcoinmania » s'inscrit avant tout dans une logique spéculative - détachée d'un usage en tant que véritable de monnaie d'échange - qui repose sur les franges les plus « gamblers » de la population : plutôt des hommes, jeunes, aux revenus modestes et amateurs de jeux d'argent et de hasard.
POUR CITER CETTE ETUDE, IL FAUT UTILISER A MINIMA LA FORMULATION SUIVANTE :
Étude Ifop pour Thecointribune réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 5 au 10 février 2021 auprès d'un échantillon de 3 013 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. »
LES CHIFFRES CLÉS
UNE CRYPTO-MONNAIE TRES LARGEMENT CONNUE DES FRANÇAIS MAIS DE MANIERE ENCORE FLOUE
1 - Le Bitcoin est de loin la crypto-monnaie la plus connue des Français, avec un taux de notoriété de 83%, soit un score très largement supérieur à celui observé pour des crypto-monnaies concurrentes comme Ethereum (11%) Dogecoin (10%) ou XRP (7%) qui, elles, restent encore confidentielles.
2 - L'analyse des idées reçues associées au Bitcoin (principale monnaie virtuelle) confirme ce flou, notamment à propos de l'anonymat qu'il est supposée garantir. En effet, si le caractère indépendant du réseau Bitcoin est plutôt bien identifié par les Français (42%), ces derniers sont nombreux à se tromper sur l'anonymat : seuls 10% des Français savent qu'il ne garantit pas un anonymat complet à ses utilisateurs (contre 33% qui y croient).
UNE MONNAIE DE PLUS EN PLUS PERÇUE COMME UN PLACEMENT RENTABLE QUI ATTIRE DESORMAIS PLUS QUE LES DEVISES TRADITIONNELLES
3 - L'idée qu'il s'agit d'un placement rentable devient majoritaire dans les esprits (à 51%, +9 pts par rapport à 2019) alors que le nombre de Français qui n'y voient qu'un phénomène de mode régresse de manière significative (75%, -8 points).
4 - Le potentiel d'investissement pour cet actif numérique dépasse désormais celui des devises traditionnelles : 17% chez l'ensemble des Français - dont 3% qui y ont déjà investi et 14% qui aimeraient investir -, soit une proportion supérieure à celle observée pour les devises traditionnelles. Cet intérêt est en outre fortement corrélé au profil « Gambler » des répondants puisque 42% des parieurs et 45% des joueurs de poker sont dans ce cas.
UN ATTRAIT QUI REPOSE PLUS SUR L'APPAT DU GAIN QUE SUR SON INTÉRÊT COMME MONNAIE D'ÉCHANGE...
5 - Le principal motif invoqué par les Français pour expliquer leur achat, ou volonté d'achat, de crypto-monnaies réside dans l'appât du gain et non dans leur potentiel d'utilisation en tant que véritable monnaies d'échange. Seuls 9% déclarent ainsi que leur but est de réaliser des achats, contre 91% qui le font plutôt pour gagner de l'argent, que ce soit à court terme (pour 40%) ou à long terme (pour 51%).
6 - Pourtant, le nombre de Français estimant que le Bitcoin jouera un véritable rôle de monnaie à l'avenir est loin d'être négligeable : 24% chez l'ensemble des Français, un score supérieur à ceux du Yen (22%), du Yuan (19%) ou du Rouble (6%). Et cette proportion atteint même deux tiers (67%) auprès de ceux qui ont déjà investi dans les crypto-monnaies, un score comparable à ceux du Dollar (67%) et de l'Euro (61%).
JUSQU'OU VA-T-IL MONTER ?
7 - Invités à livrer leur pronostic sur l'évolution possible du cours du Bitcoin quelques jours avant son franchissement de la barre symbolique des 50 000 $ (16 février 2021), les Français en ayant déjà entendu parler estiment, en moyenne, qu'il pourrait atteindre un jour le seuil des 135 000 $.
8 - Cependant, les Français les plus avertis, c'est-à-dire ceux qui en ont déjà acheté, sont beaucoup plus prudents avec un seuil maximal qu'ils situent à 53 292 $, c'est-à-dire beaucoup plus proche du cours actuel. Ils ne sont que 7% à anticiper un franchissement du cap des 100 000 $.
LES ENSEIGNEMENTS DE L'ENQUETE
1- UNE CRYPTO-MONNAIE TRES LARGEMENT CONNUE DES FRANÇAIS MAIS DE MANIERE ENCORE FLOUE
Le Bitcoin est de loin la crypto-monnaie la plus connue des Français, avec un taux de notoriété de 83%, soit un score très largement supérieur à celui observé pour des crypto-monnaies concurrentes comme Ethereum (11%) Dogecoin (10%) ou XRP (7%) qui, elles, restent encore confidentielles.
2- UNE MONNAIE ENCORE VICTIME D'IDEE REÇUES, NOTAMMENT A PROPOS DE L'ANONYMAT
L'analyse des idées reçues associées au Bitcoin (principale crypto-monnaie) confirme ce flou, notamment à propos de l'anonymat qu'il est supposé garantir. En effet, si le caractère indépendant du réseau Bitcoin est plutôt bien identifié par les Français (42%), ces derniers sont nombreux à se tromper à propos de l'anonymat : seuls 10% des Français savent qu'il ne garantit pas un anonymat complet à ses utilisateurs (contre 33% qui y croient).
L'origine inconnue de l'inventeur du Bitcoin n'est pas non plus très bien identifiée par les Français (18%). Autre signe du manque de connaissances précises sur cette crypto-monnaie : 6% des Français croient savoir qu'elle a initialement été créé pour des paiements sur le site leboncoin.fr.
3- UNE MONNAIE ENCORE LESTÉE PAR SES LIENS AVEC LA SPHERE DE L'ILLEGALITÉ MAIS DE PLUS EN PLUS PERÇUE COMME UN PLACEMENT RENTABLE
L'engouement actuel autour des crypto-monnaies se manifeste dans l'évolution des représentations qui lui sont associés.
L'idée qu'il s'agit d'un placement rentable devient majoritaire dans les esprits (51%, +9 pts par rapport à 2019) alors que le nombre de Français qui n'y voient qu'un phénomène de mode régresse de manière significative (75%, -8 pts). L'idée que les crypto-monnaies sont un moyen de financement d'activités illégales est, pour sa part, présente à l'esprit d'une nette majorité de la population (61%).
4- UN INVESTISSEMENT AU POTENTIEL ENCORE LIMITÉ MAIS QUI ATTIRE DESORMAIS PLUS QUE LES DEVISES TRADITIONNELLES COMME LE DOLLAR
Comme pour d'autres types de placements, la proportion de Français étant déjà passé à l'acte reste marginale. Cependant, l'attrait pour l'investissement en crypto-monnaies dépasse désormais celui des devises traditionnelles. 17% des Français ont déjà investi, ou aimeraient investir dans les crypto-monnaies (contre 15% pour les devises traditionnelles).
A noter que cette proportion atteint même 23% des hommes et 32% des 18-24 ans. Cet intérêt est en outre fortement corrélé au profil « Gambler » des répondants puisque 42% des parieurs et 45% des joueurs de poker sont dans ce cas.
5- UN ATTRAIT QUI REPOSE PLUS SUR L'APPAT DU GAIN QUE SUR SON INTÉRÊT COMME MONNAIE D'ÉCHANGE...
Le principal motif invoqué par les Français pour expliquer leur achat, ou volonté d'achat, de crypto-monnaies s'explique par l'espoir de réaliser une plus-value et non pas dans la perspective de les utiliser comme monnaies d'échange. Seuls 9% déclarent ainsi que leur but est de réaliser des achats contre 91% qui le font plutôt pour gagner de l'argent, que ce soit à court terme (pour 40%) ou à long terme (pour 51%).
6- ...MAIS QUI A DÉJÀ LE POTENTIEL DE DEVENIR LA MONNAIE DU FUTUR POUR UN FRANÇAIS SUR QUATRE
Pourtant, le nombre de Français estimant que le Bitcoin jouera un véritable rôle de monnaie à l'avenir est loin d'être négligeable : 24% chez l'ensemble des Français, un score supérieur à ceux du Yen (22%), du Yuan (19%) ou du Rouble (6%). Et cette proportion atteint même deux tiers (67%) auprès de ceux qui ont déjà investi dans les crypto-monnaies, un score comparable à ceux du Dollar (67%) et de l'Euro (61%).
7- JUSQU'OU VA-T-IL MONTER ?
Invités à livrer leur pronostic sur l'évolution possible du cours du Bitcoin quelques jours avant son franchissement de la barre symbolique des 50 000 $ (16 février 2021), les Français en ayant déjà entendu parler estiment, en moyenne, qu'il pourrait un jour atteindre celle des 135 000 $.
Sur ce point, les anticipations restent très partagées : si près d'un quart (24%) des connaisseurs du Bitcoin estiment que son prix sera inférieur à 1 000$, 44% pensent plutôt qu'il dépassera 51 000$, et même 100 000$ selon 8%.
Cependant, les Français les plus avertis, c'est-à-dire ceux qui en ont déjà acheté, sont beaucoup plus prudents avec un seuil maximal qu'ils situent à 53 000 $, une valorisation bien plus proche du cours actuel. Ils ne sont que 7% à croire qu'il pourrait une jour franchir le seuil de 100 000 $.
LE POINT DE VUE DE L'EXPERT SUR LES RESULTATS DE L'ENQUETE
Moyen de paiement pour trafiquant d'un côté, véritable révolution technologique pour le système financier de l'autre, le Bitcoin et autres cryptomonnaies sont au cœur de nombreuses discussions au point qu'il en devient difficile de se faire un avis tranché sur l'avenir de cette technologie, sujette à de nombreux fantasmes.
Cette enquête confirme l'idée selon laquelle les crypto-monnaies sont aujourd'hui considérées avant tout comme des objets spéculatifs et non comme des véritables monnaies d'échange. Mais cette « Bitcoinmania » ne s'est pas encore emparée de Monsieur et Madame tout le monde : le profil sociologique des détenteurs de crypto-monnaies (hommes, jeunes, petits épargnants, amateurs de jeux d'argent...) rappelle plus celui du joueur de pokers en ligne que celui du gestionnaire en bon père de famille, il tend à rattacher l'engouement pour les monnaies électroniques plus à l'univers des paris en ligne et autres jeux d'argent qu'à celui des placements boursiers.
Dans ce contexte, même si l'usage essentiellement spéculatif de cet actif numérique rend improbable à court terme son utilisation en tant que moyen de paiement, il est important de noter que de nombreux acheteurs considèrent cet investissement sur le long-terme. Or, ceci semble symptomatique d'une réelle confiance dans l'avenir de la technologie sous-jacente - le Blockchain - et laisse présager d'une installation durable dans les écosystèmes économiques et numériques. Alors que sa courbe de prix décrit un comportement qu'on pourrait qualifier de « bulle cyclique », qui n'est pas sans rappeler le phénomène de la « bulle internet », toute la question reste de savoir si les cryptomonnaies connaitront un destin aussi durable.
Etienne Berthoz, chargé d'étude senior au pôle Corporate de l'Ifop
[ÉTUDE] En 2020, la digitalisation du parcours d'achat automobile s'est accélérée
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