avec un grand merci à Pierre-Jean Llorens pour son aide à la préparation de cette revue de presse :
UNE étude parut hier sur « les Français et la réparation » réalisée pour l’ADEME, fait beaucoup de bruit. Le confinement ayant modifié les habitudes des français. Guy Pezaku CEO de Murfy, la startup spécialiste de la réparation de gros électroménager, vous propose d’enrichir le débat avec son retour d’expérience.
89 % des Français font des recherches sur la réparation lorsqu’ils sont confrontés à une panne de leurs produits, mais à l’arrivée, seuls 36 % les réparent ou les font réparer (selon l’étude).
« Des chiffres qui témoignent qu’il y a encore beaucoup de freins chez les Français, les empêchant de se tourner vers la réparation et les amenant à préférer jeter pour racheter du neuf. C’est donc chaque année, 23 des 28 millions d’appareils de gros électroménagers qui tombent en panne qui sont jetés prématurément. » explique Guy Pezaku, cofondateur de Murfy
C’est face à ce constat, fait il y a maintenant 2 ans, que Murfy propose une solution complète allant de l’auto-réparation au reconditionnement en passant par la réparation à domicile.
Pour les Français, le coût (68%) et la complexité (40%) de la réparation ainsi que les craintes sur le professionnalisme et les garanties du réparateur (42%) pénalisent la réparation.
Murfy a bien compris cela, et pour inciter les gens à réparer, à conçu un forfait de 75€ qui lève les principaux freins et est garanti six mois.
Si la solution réparation est encore trop peu lisible pour les Français (25%), elle les séduit de plus en plus comme l’atteste la croissance de l’activité de Murfy qui compte 65 000 visites de nos tutoriels d’auto-réparation en ligne et 25 000 réparations à domicile depuis son lancement.
Murfy c’est :
- 2 ans d’existence
- 25 000 repartions à domicile
- 1 500 000 kg de déchets évités
- 90 % des machines peuvent être réparer par Murfy
- 50 % sans le remplacement d’aucune pièce détachée
- Un service qui couvre 8 millions foyers Français
EMPLOI INTERIM EN HAUSSE
Près d'un mois après la phase du déconfinement en France, le marché de l’emploi tend à reprendre dans certains secteurs. L’intérim, véritable indicateur avancé du marché de l’emploi, a été le premier impacté par la crise sanitaire et rend compte aujourd'hui de la reprise au niveau national et ce, secteur par secteur.
Mistertemp’ group a établi son baromètre de l’emploi intérimaire au 8 juin 2020
"Après des semaines un peu hésitantes, on sent maintenant une vraie reprise s’amorcer, et cela dans tous les secteurs. Nous sommes vraiment optimistes pour les semaines à venir, chaque semaine la reprise se fait un peu plus sentir" explique Alexandre Pham co-fondateur de Mistertemp’ group.
Des secteurs qui redémarrent :
Mistertemp' constate une reprise significative suite au déconfinement.
- 45% pour la restauration
- 32% pour le tourisme
- 28% pour le BTP
- 25% pour la logistique
Les secteurs qui ont connu une forte augmentation durant le confinement se maintiennent :
Au 8 juin 2020, et ce, depuis le début de l'épidémie, de nombreux secteurs ont montré une augmentation significative d’offres d’emploi en intérim comparé à l’année dernière sur la même période :
Les secteurs de : l'agroalimentaire, la logistique, l’agriculture et la santé.
- 14% de hausse pour le secteur de la santé.
- 18% de hausse pour l’agroalimentaire
- 33% de hausse pour l’agriculture, stimulée par l’impossibilité d’employer les saisonniers habituels
Alexandre Pham, co-fondateur de Mistertemp' group se tient à disposition pour toute demande d’interview ou de reportage.
Appelez-nous !
Contacts presse :
Fauve RIOU - 06 60 99 63 49 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Mathilde LOUETTE - 06 31 98 64 54 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
A propos de Mistertemp’group
Lancée en 2009 par Alexandre Pham et Rémy Sultan, co-fondateurs du Groupe d’intérim MisterTemp’ Group, MisterTemp’group réinvente au quotidien l’expérience utilisateur des candidats dans leur recherche d’emploi. Devenu leader sur le marché de l’intérim digital avec sa marque Mistertemp’, MisterTemp’group a mis en poste en 2019 plus de 35000 personnes pour ses 5 000 entreprises clientes. Pour ses clients et candidats, MisterTemp’ group propose offre alliant la puissance du digital à un service de proximité. https://www.mistertemp-group.com
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Suite au confinement, les Français vont-ils plus privilégier les espaces extérieurs que leur habitation ?
Plus de 52 % des Français en location ne supportent plus leur habitation actuelle
66 % des locataires souhaitent changer d'habitation à cause du confinement
Plus de 54 % des locataires envisagent de déménager cette année
42 % considèrent l'espace extérieur plus important que la surface intérieure de l'habitation
Presque 1 personne sur 2 envisage un futur projet immobilier à la campagne
61 % des Français sont prêts à payer plus pour avoir plus d'espace extérieur
Les rêves immobiliers des Français ont-ils changé avec la crise sanitaire ? C'est la question que Lagenceblue.fr, l'agence immobilière nouvelle génération 100 % en ligne, a posé à plus de 6 300 locataires. Une enquête nationale qui dévoile un fait nouveau : le jardin et les espaces extérieurs vont prendre une place aussi importante (voir plus) que l'habitation elle-même dans le futur.
Lien officiel : https://www.lagenceblue.fr
*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 6 304 locataires répartis sur l'ensemble du territoire français, selon la méthode des quotas, durant la période du 29 mai au 4 juin 2020. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France regroupant plus de 21 255 personnes. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives. Profils des répondants :
- 57 % disposent d'un jardin (dont 9 % des répondants qui ont également une terrasse ou un balcon),
- 38 % disposent d'une terrasse ou d'un balcon,
- 14 % n'ont aucun espace extérieur.
Un mal-être général
Le confinement aura eu un impact certain sur le ressenti des Français vis-à-vis de leur habitation.
En effet, qu'ils soient en maison ou en appartement, le constat reste le même : les Français n'en peuvent plus de leur logement ! Ainsi, même les personnes ayant un jardin sont 41 % à déclarer ne plus voir en peinture leur maison. Les personnes ayant une habitation avec une terrasse ou un balcon sont légèrement plus nombreuses dans ce cas avec 53 % de représentativité. Enfin, ce sont les Français qui vivent dans une habitation sans espace extérieur qui sont les plus sensibles à ce malaise à plus de 63 %.
Aujourd'hui, comment vous sentez-vous dans votre habitation ? |
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Réponses |
Global |
Habitation avec jardin |
Habitation avec terrasse ou balcon |
Habitation sans espace extérieur |
Je suis toujours aussi bien dedans |
20 % |
26 % |
19 % |
15 % |
Je suis moyennement bien dedans |
28 % |
33 % |
28 % |
22 % |
Je n'en peux plus du tout |
52 % |
41 % |
53 % |
63 % |
Une envie de changement
Maison avec Jardin, appartement avec terrasse ou sans, dans tous les cas, la grande majorité des Français aimerait bien changer d'habitation. C'est ce que déclarent 59 % des personnes ayant un jardin, 67 % ayant une terrasse ou un balcon et 71 % qui n'ont aucun espace extérieur.
Le confinement vous a-t-il donné l'envie de changer d'habitation ? |
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Réponses |
Global |
Habitation avec jardin |
Habitation avec terrasse ou balcon |
Habitation sans espace extérieur |
Oui |
66 % |
59 % |
67 % |
71 % |
Non |
34 % |
41 % |
33 % |
29 % |
Ça déménage !
A la question « prévoyez-vous de déménager cette année ? », les réponses divergent en fonction des typologies d'habitation. En effet, si les personnes qui n'ont aucun espace extérieur sont plus de 62 % et celles avec une terrasse ou un balcon à plus de 56 %, à vouloir trouver un nouveau logement cette année, celles qui possèdent un jardin ne sont plus de 43 % à avoir envie de déménager.
Prévoyez-vous de déménager cette année ? |
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Réponses |
Global |
Habitation avec jardin |
Habitation avec terrasse ou balcon |
Habitation sans espace extérieur |
Oui |
54 % |
43 % |
56 % |
62 % |
Non |
46 % |
57 % |
44 % |
38 % |
Le jardin devient primordial
Les habitations qui proposent un espace extérieur privé vont devenir de plus en plus prisées par les Français. En effet, plus de 53 % des répondants déclarent que la surface extérieure est aussi importante que la surface intérieure. 42 % vont même jusqu'à la déclarer plus importante et uniquement 6 % la considère moins importante.
Pour votre futur projet immobilier, un espace extérieur privé sera : |
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Réponses |
Global |
Habitation avec jardin |
Habitation avec terrasse ou balcon |
Habitation sans espace extérieur |
Plus important que la surface intérieure |
42 % |
44 % |
42 % |
39 % |
Aussi important que la surface intérieure |
53 % |
52 % |
51 % |
55 % |
Moins important que la surface intérieure |
6 % |
4 % |
7 % |
6 % |
Vive la campagne !
Si 25 % des locataires préfèrent encore la ville, et 30 % la banlieue, plus de 45 % veulent vivre maintenant au vert. Fait intéressant, plus les répondants ont déjà des espaces extérieurs, plus ils en veulent pour leurs projets à venir. Ainsi les personnes ayant un jardin sont 62 % à voter pour la campagne et celles ayant une terrasse ou un balcon sont 42 % quand celles qui n'ont rien ne sont que 31 % et préfèrent à 37 % un logement en banlieue.
Pour votre futur projet immobilier, vous allez privilégier : |
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Réponses |
Global |
Habitation avec jardin |
Habitation avec terrasse ou balcon |
Habitation sans espace extérieur |
Un logement en ville |
25 % |
16 % |
27 % |
32 % |
Un logement en banlieue |
30 % |
22 % |
31 % |
37 % |
Un logement à la campagne |
45 % |
62 % |
42 % |
31 % |
L'espace appelle l'espace
Pour profiter pleinement d'un espace extérieur, les Français sont même prêts à mettre la main au porte-monnaie. En effet, les personnes qui ont déjà un jardin sont disposées à 68 % à payer plus pour plus d'espace extérieur, celles qui ont une terrasse sont 59 % et celles sans rien sont 56 %.
Etes-vous prêt(e) à payer plus cher pour avoir un espace extérieur ? |
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Réponses |
Global |
Habitation avec jardin |
Habitation avec terrasse ou balcon |
Habitation sans espace extérieur |
Oui |
61 % |
68 % |
59 % |
56 % |
Non |
39 % |
32 % |
41 % |
44 % |
Lagenceblue.fr en 3 chiffres
Plus de 5 000 mandats / annonces diffusées
Plus de 20 000 Visites organisées
Plus de 3 000 dossiers de locataires vérifiés
A propos de Lagenceblue.fr
Lancée en juillet 2017 par Antoine Marck (Président - Directeur commercial) et Olivier Picard (Directeur opérationnel), Lagenceblue.fr réinvente la location immobilière longue durée partout en France en proposant une expérience 100 % digitale augmentée de l'intervention et du soutien de vrais agents immobiliers. Fin 2019, Lagenceblue.fr compte 10 salariés et enregistre 5 000 mandats / annonces diffusées, plus de 20 000 visites organisées et 3 000 dossiers de locataires vérifiés.
Lagenceblue.fr se charge de la mise en location (rédaction des annonces, reportages photos, diffusion sur tous les portails web cibles, sélection des candidatures, organisation des visites, collecte des pièces du dossier, rédaction du contrat de bail, états des lieux, etc.) ainsi que de la gestion locative dont l'avancement des loyers sur fonds propres, la suppression des retard de paiement, des décalages de trésorerie ou des délais des assurances loyers impayés.
Plus d'informations : https://www.lagenceblue.fr
Des milliers d'emplois saisonniers à pourvoir dans toutes la France
Avec du retard lié au confinement, des centaines d’entreprises se trouvent en pénurie de main d’œuvre pour pouvoir enfin lancer leur saison.
Que ce soit dans le tourisme, dans l’agriculture, le commerce ce sont des offres d’emplois à pourvoir rapidement qui se multiplient actuellement.
Après avoir subi un coup d’arrêt, l’intérim semble repartir depuis quelques semaines, et c’est ainsi que Mistertemp', au travers de son site d’intérim digitale et de son réseau d’agences proposent plus de 700 offres d'emplois saisonniers sur toute la France.
Avec notamment :
- 400 postes en hôtellerie/ restauration
- 150 postes dans l’agriculture
- 100 postes dans le commerce
- …
« Après l’incertitude des dernières semaines, un nouveau cap est donné et le pays repart. Avec certaines règles et contraintes certes, mais l’ensemble des secteurs d’activité sont en train de répartir. Les besoins en recrutement sont très urgents notamment pour les emplois saisonniers, et nous n’hésitons pas à proposer ces postes à des personnes travaillant auparavant dans d’autres secteurs d’activité. » Explique Alexandre Pham, co-fondateur de Mistertemp'group
Alexandre Pham, co-fondateur de Mistertemp' group se tient à disposition pour toute demande d’interview ou de reportage.
Contacts presse :
· Fauve RIOU - 06 60 99 63 49 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
· Mathilde LOUETTE - 06 31 98 64 54 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
A propos de Mistertemp’group
Lancée en 2009 par Alexandre Pham et Rémy Sultan, co-fondateurs du Groupe d’intérim MisterTemp’ Group, MisterTemp’group réinvente au quotidien l’expérience utilisateur des candidats dans leur recherche d’emploi. Devenu leader sur le marché de l’intérim digital avec sa marque Mistertemp’, MisterTemp’group a mis en poste en 2019 plus de 35000 personnes pour ses 5 000 entreprises clientes. Pour ses clients et candidats, MisterTemp’ group propose offre alliant la puissance du digital à un service de proximité. https://www.mistertemp-group.com
La consommation des somnifères a augmenté de 7% pendant les dernières semaines du confinement
Paris, le 15 juin 2020,
Vendredi dernier l'Agence du médicament (ANSM) et l'Assurance maladie ont publié un rapport démontrant une forte hausse de consommation des somnifères par les Français. Ces chiffres s'élèvent respectivement à +8 %, +8 % et +5 % pendant les trois dernières semaines du confinement. Même constat, mais à un degré moindre, pour les anxiolytiques (tranquillisants), avec +1,2 % juste après le confinement. Les auteurs du rapport rappellent que le confinement et ses conséquences sociales, professionnelles et économiques ont pu engendrer des troubles du sommeil et de l'anxiété.
Thibault VINCENT, fondateur ONIRIS, fait un point sur ce changement de rythme qui a provoqué ces troubles :
1. Quelle est la raison des troubles de sommeil dont de nombreux Français se plaignent ?
2. Avec le télétravail, ces troubles peuvent-ils persister ?
3. Qui sont les personnes les plus touchées ?
4. Ronflement, apnées du sommeil sont-ils les facteurs aggravants ?
5. Quelles sont les solutions ?
Le 25 juin 2020 : deux webinaires européens pour promouvoir la sécurisation des parcours professionnels des jeunes en situation de handicap et l’inclusion par l’art
LADAPT et ses partenaires européens organisent deux webinaires en ligne, le jeudi 25 juin prochain, dans le cadre de deux projets co-financés par le programme Erasmus+ de la Commission européenne. Personnalités politiques, européennes et acteurs concernés sont au programme, afin de présenter les résultats des projets et de lancer le débat autour de la sécurisation des parcours pour les jeunes en situation de handicap d’une part, et de l’inclusion par l’art et la culture d’autre part. |
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En réponse à cette problématique de l’emploi, un consortium européen a été formé avec LADAPT en France comme coordinateur de projet, en partenariat avec l'Association européenne des prestataires de services pour les personnes en situation de handicap (EASPD), la Fondation Emplea en Espagne et l’association Scuola Viva Onlus en Italie. Ensemble, ils ont entamé depuis 2017 le projet « DESC 2 - Retour sur le terrain » qui consiste à promouvoir la sécurisation des parcours professionnels des jeunes en situation de handicap, en s’appuyant sur les dispositifs de l’Emploi Accompagné et de la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées.
Événement gratuit en ligne via la plateforme Zoom, mais inscription nécessaire |
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Porté par Cope Foundation (Irlande), l'Association européenne des prestataires de services pour les personnes en situation de handicap (EASPD), Hand in Hand (Hongrie), Horizon 2000 (Belgique), LADAPT (France) et NASO (Bulgarie), le projet ISA a également pour objectif de changer la perception que le grand public peut avoir des personnes en situation de handicap en sensibilisant, notamment, les structures d'apprentissage. Au cours de l’événement seront présentés les livrables réalisés tout au long du projet, mais également des témoignages et intermèdes artistiques ! Découvrez dès à présent les travaux du consortium via le lien ici.
« Assurer et encourager l'accès des personnes en situation de handicap aux arts est bénéfique pour notre société, car cela nous permet de puiser dans la créativité de tous, y compris des artistes et des citoyens ayant des besoins particuliers. » déclare Xavier Delattre directeur général de LADAPT.
Événement gratuit en ligne via la plateforme Zoom, mais inscription nécessaire |
A PROPOS DE LADAPT, une association engagée pour la citoyenneté des personnes handicapées Elle organise depuis 1997 la Semaine pour l’emploi des personnes handicapées, qui connaît un succès grandissant chaque année, et a évolué en 2015 en Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées / European Disability Employment Week (SEEPH / EDEW). En 2014, LADAPT crée Ouverture de Champ, des rendez-vous qui traitent du handicap en sortant des sentiers battus, par les prismes de l’image et de l’humour. Chaque année les rendez-vous se succèdent dans les salles de cinéma françaises pour faire évoluer les mentalités et favoriser le débat citoyen. Fin 2015, LADAPT lance sa première campagne d’interpellation du grand public. Baptisée #KillLaBêtise, elle adopte un ton volontairement grinçant et s’attaque aux préjugés, idées reçues, stéréotypes sur les personnes en situation de handicap. Dans cette lignée, en 2017, avec #SANSLIMITES, l’association démontre que le handicap est un obstacle comme un autre et n’empêche pas de vivre sa vie sans limites. Cette campagne met en lumière des hommes et des femmes ordinaires en situation de handicap, jeunes et moins jeunes, tous animés par la même envie de vivre leur quotidien et leur autonomie passionnément. Grâce aux 300 bénévoles de sonRéseau des Réussites, LADAPT offre un véritable soutien citoyen aux personnes handicapées dans leur recherche d’emploi. Dans le cadre des orientations de son projet associatif, LADAPT entend proposer des réponses innovantes aux besoins des personnes en situation de handicap pour faciliter leur insertion sociale et professionnelle à chaque étape de la vie. LADAPT reste fidèle à sa mission débutée il y a 90 ans : accompagner la personne handicapée dans son combat ordinaire, celui de sa vie quotidienne pour que nous puissions « vivre ensemble, égaux et différents » (projet associatif 2016-2022). |
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94% des cadres ont mal au dos en télétravail
Percko, spécialiste du mal de dos, publie ce jour les résultats d’une étude réalisée par BVA* sur les Français et le mal de dos consécutif au confinement.
Les Français ont passé presque trois mois en confinement et ce, pour certains, avec une sédentarité quotidienne et des postures de travail, souvent mal adaptées aux conditions de travail à distance.
Il en ressort principalement que :
· 89 % des Français souffraient du mal de dos, avant le confinement
· 24% de ceux qui avaient souvent mal au dos, ont depuis encore plus mal au dos
o Et 31% de ceux qui avaient très mal, ont encore plus mal
· Les cadres (94%) et les jeunes (89% dont 40% souvent), sont les plus touchés par le mal de dos en France
Pourcentage de Français déclarant avoir mal au dos avant le confinement
selon le sexe, l’âge et la catégorie socio-professionnelle
Selon Quentin Perraudeau, co-fondateur de Percko, « nous notons que le confinement a eu un impact plus négatif que positif sur le mal de dos des Français. En effet, le confinement a souvent été mis en place en urgence et les télétravailleurs se sont retrouvés bien souvent dans leur chambre, sur un coin de table ou dans leur salon pour travailler. Des postures inadéquates pour travailler confortablement des journées entières et le résultat est là, les personnes qui souffraient du mal de dos ont encore plus mal. »
Pour toute demande d’interview ou reportage, Julian Nenninger, expert santé Percko ou Quentin Perraudeau cofondateur de Percko se tiennent à votre disposition.
*Enquête réalisée par BVA auprès d’un échantillon de 1003 Français âgés de 18 ans et plus interrogés par internet du 27 mai au 1er juin 2020
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A propos de Percko :
Entreprise Française de produits pour lutter contre les maux de dos. Aujourd’hui 80% de la population Française a déjà souffert ou va souffrir de douleurs dorsales. Créé en 2017, par Alexis Ucko et Quentin Perraudeau, Percko propose chaque année un nouveau produit innovant permettant de lutter contre le mal de dos.
En savoir plus : https://www.percko.com/
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66 % des entrepreneurs d'Auvergne-Rhône- Alpes sont optimistes
et vous ?
Initiative France, 1er réseau associatif de financement et d'accompagnement des entrepreneurs, a interrogé 1447 dirigeants d'entreprise en Auvergne-Rhône-Alpes soutenus par le réseau, sur les conséquences de la crise sanitaire, leurs besoins et les perspectives pour les mois qui viennent.
Il en ressort que cette période a été très difficile pour les TPE et leurs dirigeants de la région. 55% d'entre eux ont suspendu leur activité lors du confinement ayant eu ainsi un impact immédiat sur le chiffre d'affaires. En effet, 53% des entreprises ont eu un chiffre d'affaires nul en avril.
Parmi les secteurs les plus touchés se trouvent les hôtels-cafés-restaurants (73%), les services aux particuliers (71%), l'éducation et la santé (66%), et les commerces (51%). 56% des entrepreneurs n'ont plus la capacité de se rémunérer parmi les entrepreneurs en difficulté financière.
Cependant, les répondants expriment un sentiment d'isolement limité. 75% ont bénéficié de conseils pendant la période, principalement de leur expert-comptable (84%), des réseaux de chefs d'entreprises et d'accompagnement (38%) et des banques (38%).
Cet accompagnement peut expliquer l'état d'esprit des entrepreneurs au sortir de la période de confinement : 66% se disent optimistes. Un état d'esprit confirmé par des réponses encourageantes aux questions sur les enjeux et perspectives pour la reprise. Ils souhaitent ainsi :
- Développer l'entreprise
- Redresser l'entreprise
- Diversifier l'activité
La suppression d'emplois semble être une ligne rouge que peu d'entrepreneurs envisagent de franchir. 53 % indiquent vouloir maintenir les emplois dans les mois qui viennent. 14 % envisagent même des recrutements.
Si les entrepreneurs sont majoritairement dans un état d'esprit positif, ils sont pragmatiques sur leurs besoins pour pouvoir surmonter les difficultés. En effet, la trésorerie des entreprises s'est fortement détériorée. 63% ne disposent pas d'une trésorerie suffisante pour maintenir leur activité plus de 2 mois, parmi lesquels 18% ont déjà une trésorerie dans le rouge.
Pour sortir de la crise, les entrepreneurs ont besoin de soutien. Pour 43% des entrepreneurs, renflouer la trésorerie et renforcer les fonds propres constitue l'enjeu majeur des prochains mois pour assurer la pérennité des entreprises. L'appui commercial est un autre besoin majeur, cité par un quart des répondants.
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mais seulement 24 % savent ce qu'ils vont faire de cette épargne
Avec la sortie du confinement et à l'approche des congés estivaux, les Français s'interrogent : que faire de leur épargne ? Car la Covid-19 a totalement bouleversé leurs projets quand elle n'a pas carrément redessiné la carte des priorités : profiter de la vie pour certains, parer aux difficultés à venir pour les autres. Dans ce contexte, une étude Altaprofits*, leader de l'assurance vie sur Internet, analyse les intentions des Français sur l'utilisation de leur épargne.
En huit semaines de confinement, les Français ont épargné 55 milliards d'euros** et selon la Banque de France, ce montant pourrait même atteindre les 100 milliards d'euros d'ici la fin de l'année. Sans surprise, une partie des résultats de l'étude d'Altaprofits est en cohérence avec les données déjà publiées pour ce qui est de l'épargne accumulée sur les comptes courants bancaires et les livrets réglementés : 44 % ont choisi de garder cet argent sur un compte courant contre 36 % sur des livrets réglementés (Livret A, LLDS) et ils l'ont fait à hauteur de 20 % sur de l'épargne rémunérée (10% en assurance vie et 10% en Bourse).
« Au vu des résultats de notre enquête, nous pouvons qualifier l'épargne réalisée par les Français pendant le confinement d'épargne contrainte. Il apparaît que la majorité d'entre eux s'est contenté de laisser l'argent qu'elle n'a pu dépenser sur son compte courant.
Facilité et liquidité immédiate ont prévalu pendant le confinement. Mais il y a aussi une autre lecture possible de ces résultats. Les banques étant fermées durant cette période, les Français n'ont pu se rendre dans leurs agences pour placer leur argent et n'ont eu d'autre choix que de laisser leurs économies là où elles étaient voire de basculer des liquidités de comptes bancaires en ligne vers des livrets réglementés.
Cette épargne de précaution rassure mais ne rapporte rien et ne contribue pas à la relance économique. », explique Stellane Cohen, Directrice Générale d'Altaprofits.
Cependant, l'étude Altaprofits révèle que si 24% des Français ont épargné pendant cette période, seuls 24% d'entre eux savent à quoi ils destinent leur capital.
Et c'est l'envie de rattraper le temps perdu et de profiter de la vie qui prime chez les Français qui ont épargné : 58% d'entre eux déclarent qu'ils vont consacrer leur épargne aux loisirs, aux vacances, à la consommation… contre 42% qui déclarent qu'ils vont placer leur argent sur le long terme.
« L'assurance vie en ligne proposée depuis 20 ans par Altaprofits peut être une véritable alternative à l'épargne de précaution. Nos solutions sont disponibles sur Internet sans frais d'entrée avec une offre financière riche et diversifiée répondant à chaque profil d'investisseur. Un conseiller prend le temps de tout expliquer aux épargnants sur l'assurance vie avec la possibilité de souscrire et de gérer leur placement de chez eux, en quelques clics, aussi simplement que s'ils réalisaient un virement. En plus, le choix des unités de compte permet d'optimiser son rendement tout en donnant un sens à son épargne. », conclut Stellane Cohen, Directrice Générale d'Altaprofits.
* Enquête réalisée du 8 au 10 juin 2020, auprès d'un échantillon de 2000 personnes représentatives de la population française âgées de 25 à 64 ans.
** Etude OFCE sur l'évolution au 20 avril 2020 de l'impact économique de la pandémie de Covid-19 et des mesures de confinement en France.
Les données de l'étude d'Altaprofits sont disponibles sur demande.

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#investissement #placement #Finance
#Insurtech #fintech
Contact presse :
Brigitte Huguet / Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / Tél. +33 1 46 34 78 61
Altaprofits avait créé, fin 1999, l'assurance vie en ligne « sans frais d'entrée » en France. Durant 20 ans, l'entité n'a cessé d'innover tant sur la diversité des supports proposés (Exchange Traded Fund, titres vifs, OPCI, SCI, SCPI), que sur l'étendue de sa gamme (assurance vie et celle de droit luxembourgeois, PEP, PEA, contrats retraite : PERP, PER et Madelin, prévoyance), la diversité de ses partenaires (compagnies d'assurance et gestionnaires de renom) ou encore sur le déploiement d'outils de simulation, pilotage et suivi quotidien des investissements. Cette stratégie de long terme lui a permis de positionner et d'affirmer son leadership de e-courtier et de FinTech proposant une offre d'épargne complète et adaptée à chaque besoin sur le site www.altaprofits.com.
Quant à Cosevad, société de courtage d'assurance et de conseil en gestion de patrimoine, filiale de Generali France (Filiale du groupe international Generali), l'entité était née en 2007. Pour ses clients, elle conjuguait services en ligne et accompagnement en présentiel par des conseillers en gestion de patrimoine afin d'élaborer avec eux leur stratégie patrimoniale.
Le nouvel Altaprofits compte 51 000 clients pour un encours proche de 3 milliards d'euros, une équipe de 60 collaborateurs et conseillers à l'expertise patrimoniale reconnue et reçoit dans ses bureaux parisiens situés au 17, rue de la Paix à Paris.
Courtage d'assurances et MIOBSP : Garantie Financière et Responsabilité Civile Professionnelle conformes aux articles L 512-6 et L 512-7 du Code des assurances. ORIAS n° 07 023 588, www.orias.fr, Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution - ACPR, 4, place de Budapest - CS 92459 - 75436 Paris Cedex 09.
Produits financiers et bancaires : Conseiller en Investissements Financiers enregistré sous le n° D011735 auprès de la CNCIF - Association agréée par l'Autorité des Marchés Financiers. Altaprofits - Société Anonyme de courtage d'assurances à directoire et conseil de surveillance au capital de 3 067 200 euros - RCS Paris 428 671 036. Code NAF : 6622Z. 17, rue de la Paix - 75002 Paris, www.altaprofits.com.
Tél. : 01 44 77 12 14 (appel non surtaxé)
Communication à destination des professionnels.
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47% des Français trouvent leurs managers moins conciliants et 59% moins cool qu'avant le Covid-19
76% des Français trouvent que les relations avec leurs supérieurs ont changé
59% remarquent également un changement avec leurs collègues :
41% sont plus conciliants et 44% plus cool qu'avant !
QAPA, la plateforme de recrutement par l'intérim, a enquêté auprès de 4,5 millions de personnes pour savoir quel était le comportement des managers depuis le Covid et le retour au travail. Un sondage qui dévoile d'importants changements relationnels et comportementaux entre supérieurs et subordonnés.
Lien officiel : www.qapa.fr
*Méthodologie : Sondage réalisé le 17 et 19 juin 2020 auprès de 4,5 millions de candidats sur la plateforme QAPA. Parmi ces personnes interrogées, 52% d'entre eux sont des non-cadres et 48% sont des cadres. Toutes les informations mises en avant par les candidats sont déclaratives.
Des changements humains brutaux
La crise sanitaire mondiale aura profondément marqué les relations humaines. Ainsi, plus de 76% des Français avouent que depuis le covid-19, le relationnel avec leurs supérieurs hiérarchiques a changé de façon radicale et flagrante.
Selon vous, depuis la crise sanitaire, vos relations avec votre chef, votre patron ou vos managers ont-elles changé ? |
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Réponses |
Pourcentages |
Oui |
76% |
Non |
24% |
C'était mieux avant...
Malheureusement, ce changement de relations est bien loin d'être positif. En effet, si 21% des Français trouvent leurs supérieurs plus conciliants et 32% inchangés, plus de 47% déclarent qu'ils sont bien accommodants qu'avant la crise sanitaire. Et si pour 15%, les managers sont plus détendus ou pareils qu'avant à 29%, 59% vont même jusqu'à les trouver bien moins cool.
Vous trouvez que vos supérieurs sont : |
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Réponses |
Pourcentages |
Plus conciliants |
21% |
Pareils qu'avant |
32% |
Moins conciliants |
47% |
Globalement, vous trouvez que vos supérieurs sont : |
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Réponses |
Pourcentages |
Plus cool qu'avant |
15% |
Pareils qu'avant |
29% |
Moins cool qu'avant |
56% |
Des changements entre collègues...
Du côté des collègues, même constat. 59% des Français ont remarqué un changement relationnel avec leurs camarades de travail depuis la reprise du travail et la fin du confinement.
Depuis la crise sanitaire, vos relations avec vos collègues ont-elles changé ? |
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Réponses |
Pourcentages |
Oui |
59% |
Non |
41% |
Mais en beaucoup mieux !
Cependant, les modifications sont totalement à l'inverse des supérieurs. Ainsi, 41% des Français trouvent que leurs collègues sont plus conciliants qu'avant. 27% ne voient pas de différence et seulement 32% les trouvent moins accommodants. 44% vont même jusqu'à les déclarer plus cool qu'avant alors que 35% n'ont pas changé et 21% semblent plus stressés.
Vous trouvez que vos collègues sont : |
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Réponses |
Pourcentages |
Plus conciliants |
41% |
Pareils qu'avant |
27% |
Moins conciliants |
32% |
Globalement, vous trouvez que vos collègues sont : |
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Réponses |
Pourcentages |
Plus cool qu'avant |
44% |
Pareils qu'avant |
35% |
Moins cool qu'avant |
21% |
QAPA en 4 chiffres :
+500 entreprises clientes,
+10 000 intérimaires salariés par QAPA,
+50% des offres d'emploi reçoivent des profils disponibles en moins de 4 heures,
20% des intérimaires sont recrutés en CDI après 3 mois de mission.
LES FRANÇAIS ET LE PROJET DE LOI RESTREIGNANT L'ACCES AUX SITES PORNOGRAPHIQUES
Suite à l'adoption d'un amendement prévoyant le blocage des sites qui diffuseraient des contenus pornographiques sans vérifier l'âge de leurs utilisateurs autrement que par une simple confirmation de leur majorité, le magazine spécialisé dans l'actualité du porno, La Voix du X, a commandé à l'Ifop une grande enquête pour mesurer l'opinion des Français sur ce sujet et l'impact qu'un tel blocage pourrait avoir sur les habitudes des amateurs de vidéos X en ligne.
En voici les enseignements :
1) Des nouveaux moyens de contrôle qui suscitent à la fois un sentiment de défiance et d'atteinte à la vie privée
Alors que le gouvernement a renoncé à utiliser la plateforme publique d'identification France Connect pour vérifier l'âge des amateurs de contenus pornographiques en ligne, force est de constater que les organismes - fournisseurs d'accès à Internet et sites X - sur lesquels l'amendement voté au sénat envisage de faire peser la responsabilité de ce contrôle suscitent une nette défiance des Français.
La grande majorité des sondés expriment en effet leur défiance à l'égard des fournisseurs d'accès à Internet (69%) ou des éditeurs de sites X (87%) pour vérifier la majorité des personnes souhaitant consulter ce type de contenu.
De même, 56% des Français - et jusqu'à 63% chez les amateurs réguliers de vidéos X en ligne - ne font pas confiance à un service privé agréé par l'Etat pour vérifier l'âge sur la base de pièces d'identité (ex : CNI, passeport...).
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Il est vrai que cette solution - dite du « tiers de confiance » - soulève de fortes inquiétudes quant à la sécurité des données que les consommateurs de vidéos X en ligne pourraient enregistrer à l'entrée de sites X : sept Français sur dix (70%) déclarent ne pas faire confiance à un service d'authentification privé pour sécuriser leurs données personnelles (avec le nom, le prénom et la liste des sites X consultés).
Plus largement, on relève que les Français ressentent ce type de contrôle comme une atteinte à leur vie privée : 57% des Français voyant dans l'obligation de décliner leur identité pour consulter un site pornographique une « atteinte à la vie privée », les amateurs réguliers de vidéos X en ligne étant beaucoup plus inquiets (81%) que les Français n'en regardant jamais (43%).
3664an$IN95801592922768410@VWP21DB02" width="590" style="box-sizing: content-box; vertical-align: middle; line-height: 1.4em; max-width: 10000px; width: 590px; height: 343px;">
2) Interdire réellement l'accès aux sites pornographiques : les Français n'y croient pas
S'ils admettent sur le principe la nécessité d'empêcher les mineurs d'accéder à la pornographie, les Français restent très sceptiques sur la réelle faisabilité d'un tel projet : une nette majorité (59%) estime qu'il n'est aujourd'hui pas possible techniquement d'interdire aux jeunes de moins de 18 ans l'accès aux sites pornographiques.
Prévue dans l'amendement voté au Sénat, l'attribution des pouvoirs de régulation à une instance comme le CSA est quant à elle loin d'atténuer ce scepticisme... Au contraire, les Français sont encore plus nombreux (72%) à émettre des doutes sur la capacité de cette institution publique à faire appliquer le projet de loi actuellement en discussion au parlement.
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Et en passant en revue l'éventail des diverses solutions techniques actuellement envisagées pour prouver son âge sur ce genre de sites, on constate qu'aucune d'entre elles ne leur apparaît crédible.
A peine un quart des Français croient en l'efficacité de l'enregistrement des codes de sa carte bancaire (24%) à l'entrée des « tubes » X mais aussi de tous les blogs, sites amateurs, forums, qui publient des photos ou vidéos à caractère sexuel.
Un peu plus d'un Français sur trois (38%) croient en l'efficacité de la solution du « tiers de confiance », c'est-à-dire d'un service privé agréé par l'Etat pour vérifier l'âge sur la base de pièces d'identité.
D'autres moyens impliquant un rôle des parents sont jugés un peu plus efficaces mais toujours par une minorité de Français : la vente par défaut par les fournisseurs d'accès Internet d'un logiciel de contrôle parental (47%), et l'obligation pour les parents ouvrant une ligne téléphonique avec accès Internet pour un de leurs enfants d'indiquer l'âge du réel utilisateur de la ligne (42%).
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3) Vers un contournement massif de la législation par les amateurs de pornographie en ligne...
Enfin, cette enquête montre qu'au cas où cette restriction d'accès au X serait effectivement votée, les amateurs de porno en ligne - qui représentent six Français sur dix (59%) - contourneraient massivement la législation, quitte à modifier leurs habitudes de consommation.
Quand on leur demande d'imaginer leurs réactions en cas de vote de la loi, les deux tiers des utilisateurs réguliers ou occasionnels de sites X (64%) déclarent qu'ils iraient « chercher un site non bloqué ou n'exigeant pas un contrôle de l'âge ».
Nombre d'amateurs de porno en ligne contourneraient techniquement ce blocage en ayant recours à un VPN (41%), sachant qu'une grande partie d'entre eux (43%) utilisent déjà ou ont l'intention d'utiliser prochainement ce genre d'outils qui permettent de masquer leur adresse IP.
De même, un tiers des amateurs de porn (31%) déclarent qu'ils feraient appel à des résolveurs DNS ouverts, à l'étranger ou même en France, pour lever le blocage d'accès à leurs sites pornographiques préférés.
In fine, peu d'amateurs de porno en ligne accepteraient de « rentrer dans le rang » en se soumettant à un contrôle de leur âge, que ce soit « via un pass obtenu dans le commerce après vérification de vos papiers d'identité » (27%) ou en laissant les codes de leur carte bancaire à l'entrée d'un site X (16%).
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Le point de vue de François Kraus, directeur du pôle politique à l'Ifop
Véritable serpent de mer de la politique de lutte « antiporn » contre lequel de précédents gouvernements se sont déjà « cassé les dents » (ex : Laurence Rossignol en 2017), la restriction de l'accès des sites X aux mineurs confronte le gouvernement à la difficulté d'appliquer concrètement la volonté présidentielle exprimée à ce sujet en novembre dernier. En effet, la mise en place d'un contrôle fiable de l'âge des visiteurs à l'entrée de sites pornographiques soulève non seulement des questions éthiques relatives à la garantie de l'anonymat et des données personnelles mais aussi des contraintes « techniques » que d'autres pays en pointe sur le sujet (ex : Royaume-Uni) ne sont pas parvenus à surmonter... Dans tous les cas, les résultats cette enquête montrent qu'en l'état, l'application d'une telle loi n'aura qu'un impact limité sur la consommation de pornographie des jeunes et des moins jeunes, la plupart des consommateurs de porn envisageant de contourner les systèmes de blocage envisagés.
Le point de vue de Michel de Jacquie et Michel
Il n'y a absolument aucun débat à avoir sur la protection des mineurs. Tout le monde est unanime là-dessus : un enfant n'a pas à visionner des contenus destinés exclusivement aux adultes.
L'amendement qui vient d'être adopté au Sénat pose toutefois des questions sur certains points. Lorsque le groupe J&M a été auditionné à l'Assemblée Nationale, nous avons insisté sur la nécessité de mettre en oeuvre et de promouvoir des mesures éducatives fortes non seulement à destination des mineurs (éducation sexuelle) mais également des parents (contrôle parental). Nous avions également, à cette occasion, fait part de nos doutes quant à la réelle efficacité de mesures de blocage technique qui seront aisées à contourner par l'utilisation de plus en plus répandue de services VPN (logiciels permettant de masquer l'origine d'une connexion).Nous serons par ailleurs extrêmement vigilants au respect de cette loi par les sites étrangers basés dans des paradis fiscaux et qui depuis des années diffusent gratuitement du contenu - le plus souvent volé aux producteurs - sans aucun contrôle.
Si toutes ces mesures sont appliquées par tous et sans distinction nous y sommes bien entendu tout à fait favorables. Nous travaillons d'ailleurs depuis plusieurs mois à des modifications techniques que nous allons déployer dans les semaines qui viennent afin de nous y conformer totalement. Nos contenus étant dans leur immense majorité déjà payants cela n'impactera que très peu notre activité.
e groupe J&M continuer à porter le débat sur le terrain de l'éducation et de la prévention.
Le point de vue de TuKif
Récemment le Sénat a approuvé le contrôle renforcé des internautes visitant des sites pornographiques dans le cadre de la protection des mineurs.
Nous soutenons l'intention du gouvernement sur le sujet, en effet, un enfant n'a pas à être confronté à des contenus audiovisuels pornographique, violents, discriminants, illégaux ou dangereux. Afin de l'en protéger, les parents, l'éducation, la pédagogie et le dialogue sont primordiaux.
Néanmoins, notre entreprise ne croit pas que la méthode envisagée par le gouvernement pour appliquer le filtrage soit efficace et juste. Nous pensons comme une majorité de Français que l'activation par défaut du contrôle parental est une meilleure solution, et nous pensons qu'il est irresponsable et inadmissible que cela ne soit pas fait automatiquement quand par exemple, les parents confient à leur enfant un Smartphone avec accès à internet. A ce jour, plus de 78% des accès sur un site adulte comme Tukif se fait via téléphone mobile ou tablette ; plus discret, plus privé.
La nouvelle loi prévoit que nous devrons collecter obligatoirement des données personnelles, (nom, prénom, carte de crédit, email), or le sondage de "LaVoixDuX" indique que nous sommes les moins bien placés pour collecter ces informations, seulement 13% des Français nous font confiance pour cela. La confiance des Français se porte d'avantage vers un organisme privé agréé par l'état, mais quel que soit l'organisme et la méthode, ces bases de données seront un jour violées par des hackers et les conséquences seront catastrophiques pour nos utilisateurs surtout ceux appartenant à des minorités comme les LGBT, car cette base de donnée de personnes majeures ayant vérifié leur identité pour accéder à un site pornographique stockera aussi les sites ayant été consultés par chacun des individus.
Le dispositif prévu comporte d'énormes failles, outre le fait que les cartes bancaires utilisables sur internet sont disponibles dès l'âge de 13 ans, le simple fait de créer une liste de sites qui seront bloqués est une faille. En effet cela signifie qu'il y aura toujours des sites non bloqués et accessibles. Selon un outil proposé par l'université Toulouse 1 capitole(*), on dénombre pas moins de 2,3 millions de sites érotiques et pornographiques. Il sera impossible au CSA techniquement de notifier l'ensemble des sites simultanément, le processus prendra des années. A ce problème de capacité à contacter et identifier l'ensemble des sites, s'ajoute le paradoxe que seuls les plus gros sites, qui sont au final les plus responsables et volontaires pour utiliser les outils existants de contrôle de parentalité seront pénalisés, laissant la voie libre à la galaxie de petits sites non contrôlés par des sociétés sans règles de contrôle de contenu, donnant ainsi accès à des contenus extrêmes ou illégaux. Enfin, le CSA n'aura aucun moyen de lutter contre l'incessante création de nouveaux sites qui s'accélérera avec cette méthode. Comme le sondage le montre, 64% des français chercheront à contourner le filtre obligatoire en cherchant un site non bloqué. Et Google les aidera dans cette tache puisque Google sera simplement tenu de ne pas lister les sites bloqués. Une mesure largement plus efficace viserait à contraindre Google à ne lister que des sites ayant installé le filtre de vérification d'âge, 73% des Français partagent cette analyse.De notre côté nous avons déjà mis en place des outils sur nos sites comme l'implémentation d'un tag reconnu par les logiciels de contrôle parental afin que ceux-ci soient automatiquement bloqués sur les appareils équipés de ce type de logiciel.
Nous souhaitons aussi attirer l'attention sur les différents réseaux sociaux acceptant la pornographie, cette nouvelle loi représente-t-elle la fin de l'anonymat sur Twitter ? En effet Twitter accepte le contenu pornographique, ainsi que Reddit par exemple. Qu'en est-il des groupes Telegram ou comptes SnapChat spécialisés dans la pornographie de plus en plus nombreux et ciblant en particulier les mineurs ? Avec cette nouvelle loi les habitudes des internautes changeront, ils se tourneront vers d'autres sources de pornographie non régulées, aggravant ainsi le problème de la pornographie chez les mineurs.
Fiche méthodologique
Etude Ifop pour le magazine « La Voix du X » réalisée par internet du 17 au 18 juin 2020 auprès d'un échantillon national représentatif de 1 020 personnes âgées de 18 ans et plus.
Les Français gaspillent peu les produits laitiers frais
et sont prêts à s'engager encore plus
Syndifrais dévoile les résultats d'un sondage exclusif réalisé par Ifop sur les produits laitiers frais et le gaspillage. Contrairement aux idées reçues, les produits laitiers frais sont peu gaspillés par les consommateurs ! Syndifrais a interrogé les Français pour comprendre les éventuels ressorts de réduction du gaspillage. Les Français disent eux-mêmes que pour ne plus jeter, ils envisagent prioritairement d'acheter en moins grande quantité pour ne pas dépasser la date limite de consommation, c'est-à-dire acheter la bonne quantité, plus régulièrement et de consommer ces produits même si la date est légèrement dépassée. Il faut noter que près de la totalité des Français sont attentifs aux dates limites de consommation qui restent, à juste titre, un repère majeur.
Même si les marges de progrès semblent réduites pour diminuer le gaspillage par les Français, Syndifrais poursuit sa mission d'information des consommateurs.
Les produits laitiers sont peu gaspillés par les FrançaisAlors qu'il s'agit de produits frais, soumis à des dates de péremption fixes, les produits laitiers frais sont pourtant peu gaspillés. Seulement 14 à 15% des Français déclarent jeter des produits laitiers frais au moins une fois par mois. Un chiffre très loin des fruits (26%), des légumes (24%) ou du pain (30%) et comparable aux produits secs d'épicerie ou aux biscuits (14%).
La date de péremption, un repère majeur pour les consommateursMême si la proportion de Français déclarant jeter des produits laitiers frais est assez faible, il est important de rechercher les marges de progrès collectives et individuelles. Parmi les raisons invoquées, les Français citent en premier lieu le dépassement de date limite de péremption (39% pour les yaourts, 29% pour les fromages blancs et desserts et 31% pour la crème fraiche) et la dégradation des qualités du produit.
Parmi les personnes ayant déjà jeté un produit, la très grande majorité vérifie la date de péremption au moment de l'achat (98% pour les yaourts et 99% pour les fromages blancs, petits suisses, desserts laitiers et crème fraîche). Quelle que soit la catégorie de produits laitiers frais envisagée, les consommateurs sont unanimes.
Des leviers de progrès principalement liés aux comportements individuels
Mais alors pourquoi ces produits ont-ils dépassé leur date limite de consommation ? les Français invoquent 3 raisons principales :
Des produits achetés en trop grande quantité (34% pour les yaourts, 35% pour les fromages blancs, petits suisses, desserts et 26% pour la crème fraîche)
- Des produits « cachés » au fond du réfrigérateur (43% pour les yaourts, 37% pour les fromages blancs, petits suisses, desserts et 31% pour la crème fraîche)
- Des produits consommés peu souvent (32% pour les yaourts, 34% pour les fromages blancs, petits suisses, desserts et 39% pour la crème fraîche)
II faut souligner que seuls 4 Français sur 10 (42%) affirment pouvoir réduire le gaspillage des produits laitiers frais. Mais comment faire ? Les Français mentionnent deux leviers principaux : « consommer des produits même quand la date limite est légèrement dépassée » pour 41% d'entre eux et « Acheter uniquement les quantités nécessaires » pour 37%. Il faut toutefois rappeler que la mention d'une date limite de consommation (DLC) vise à protéger les consommateurs et doit être respectée.
A l'inverse, les Français ne plébiscitent pas des solutions comme « Acheter des produits en vrac », cité par seulement 18% des Français et « Acheter des produits dans les rayons « anti-gaspi », cité par 20% des répondants.
Méthodologie : Sondage réalisé en ligne du 13 au 16 mars (avant les mesures de confinement liées à la crise sanitaire Covid-19) auprès d'un échantillon de 809 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
CONTACTS PRESSE : Scopus Communication
Sylvain Camus : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - Port. : 06 12 16 38 60
Quentin Valançon : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. – Port. : 06 69 17 14 96
Syndifrais est l'organisation professionnelle des fabricants de produits laitiers frais depuis 1978. Elle vise à promouvoir la catégorie et à accompagner ses adhérents sur le marché français. Elle rassemble aujourd'hui 23 entreprises, TPE, PME et multinationales, soit environ 80% de la production française de yaourts et laits fermentés, fromages blancs et petits suisses, desserts lactés frais et crèmes fraîches.
En 2019, la production française s'établissait à 3,087 millions tonnes pour une valeur d'environ 5 milliards d'euros.
Twitter : @Syndifrais_FR
LinkedIn : Syndifrais
www.syndifrais.com
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Les Français gaspillent peu les produits laitiers frais
et sont prêts à s'engager encore plus
Syndifrais dévoile les résultats d'un sondage exclusif réalisé par Ifop sur les produits laitiers frais et le gaspillage. Contrairement aux idées reçues, les produits laitiers frais sont peu gaspillés par les consommateurs ! Syndifrais a interrogé les Français pour comprendre les éventuels ressorts de réduction du gaspillage. Les Français disent eux-mêmes que pour ne plus jeter, ils envisagent prioritairement d'acheter en moins grande quantité pour ne pas dépasser la date limite de consommation, c'est-à-dire acheter la bonne quantité, plus régulièrement et de consommer ces produits même si la date est légèrement dépassée. Il faut noter que près de la totalité des Français sont attentifs aux dates limites de consommation qui restent, à juste titre, un repère majeur.
Même si les marges de progrès semblent réduites pour diminuer le gaspillage par les Français, Syndifrais poursuit sa mission d'information des consommateurs.
Les produits laitiers sont peu gaspillés par les Français

La date de péremption, un repère majeur pour les consommateurs
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Parmi les personnes ayant déjà jeté un produit, la très grande majorité vérifie la date de péremption au moment de l'achat (98% pour les yaourts et 99% pour les fromages blancs, petits suisses, desserts laitiers et crème fraîche). Quelle que soit la catégorie de produits laitiers frais envisagée, les consommateurs sont unanimes.
Des leviers de progrès principalement liés aux comportements individuels
Mais alors pourquoi ces produits ont-ils dépassé leur date limite de consommation ? les Français invoquent 3 raisons principales :
Des produits achetés en trop grande quantité (34% pour les yaourts, 35% pour les fromages blancs, petits suisses, desserts et 26% pour la crème fraîche)
- Des produits « cachés » au fond du réfrigérateur (43% pour les yaourts, 37% pour les fromages blancs, petits suisses, desserts et 31% pour la crème fraîche)
- Des produits consommés peu souvent (32% pour les yaourts, 34% pour les fromages blancs, petits suisses, desserts et 39% pour la crème fraîche)
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A l'inverse, les Français ne plébiscitent pas des solutions comme « Acheter des produits en vrac », cité par seulement 18% des Français et « Acheter des produits dans les rayons « anti-gaspi », cité par 20% des répondants.
Méthodologie : Sondage réalisé en ligne du 13 au 16 mars (avant les mesures de confinement liées à la crise sanitaire Covid-19) auprès d'un échantillon de 809 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
CONTACTS PRESSE : Scopus Communication
Sylvain Camus : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - Port. : 06 12 16 38 60
Quentin Valançon : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. – Port. : 06 69 17 14 96
Syndifrais est l'organisation professionnelle des fabricants de produits laitiers frais depuis 1978. Elle vise à promouvoir la catégorie et à accompagner ses adhérents sur le marché français. Elle rassemble aujourd'hui 23 entreprises, TPE, PME et multinationales, soit environ 80% de la production française de yaourts et laits fermentés, fromages blancs et petits suisses, desserts lactés frais et crèmes fraîches.
En 2019, la production française s'établissait à 3,087 millions tonnes pour une valeur d'environ 5 milliards d'euros.
LinkedIn : Syndifrais
www.syndifrais.com
Parmi les enseignements :
- Pour 62 % des Français l'école n'était pas prête à faire face aux contraintes imposées par la crise sanitaire. Les parents d'élèves sont moins critiques en la matière mais sont tout de même une majorité (55 %) à juger que l'école n'était pas bien préparée.
- Conscients des conditions, 78 % des Français saluent la flexibilité des enseignants (82 % des parents).
- Mais, la période a permis de révéler de la nécessité d'intégrer davantage le numérique au sein de l'école : 87 % des Français s'accordent sur le fait que les services numériques ont été essentiels pendant cette période (89 % des parents).
- D'abord, parce qu'ils ont contribué positivement à un rapprochement des parents avec la scolarité de leur enfant et de l'équipe enseignante (72 %) et ensuite parce que l'utilisation des services numériques a permis de faire apparaître de nouvelles formes d'apprentissage, créatives et efficaces (69 %).
- En revanche, 53 % des parents considèrent que les services numériques utilisés étaient trop nombreux ou trop compliqués. Ils attendent donc une meilleure préparation si la situation devait se reproduire. D'ailleurs, 93 % des Français pensent que les établissements scolaires doivent proposer des services numériques adaptés pour assurer un enseignement à distance en cas de seconde vague. Mais aussi de manière durable pour 80 % d'entre eux.
- D'un point de vue technologique, on le sait, les Français sont exigeants. Les services numériques devront être sécurisés et garantir la protection des données personnelles des enfants, parents et enseignants (95 %). Ils devront également être facilement accessibles et simples à utiliser par les élèves, les enseignants et les parents (95 %).