avec un grand merci à Pierre-Jean Llorens pour sa large contribution à cette revue de presse générale :
Simone Wapler: Les jeunes ne paieront pas vos dettes
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10 ans après la faillite de Lehman Brothers nous avons toujours plus de dettes, ce que les banquiers centraux appellent frauduleusement des « liquidités ».
https://www.businessbourse.com/2018/09/14/simone-wapler-les-jeunes-ne-paieront-pas-vos-dettes/
Cette semaine marque le dixième anniversaire de la faillite de Lehman Brothers…
Les medias relaient des commentaires de témoins, acteurs ou analystes ; malgré quelques indécrottables optimistes minoritaires, beaucoup sont sceptiques quant à la stabilité du « système » et notent que la dette a beaucoup augmenté, dépassant largement le niveau atteint en 2008.
Récapitulons, cher lecteur, toutes les conclusions que j’ai de mon côté tirées de 2008 :
- La dette c’est le crédit (et l’inverse !). Jusque-là, rien de génial.
- Notre monnaie d’aujourd’hui est presqu’exclusivement du crédit (de la dette)
- Les banques centrales fixent le prix auquel les banques commerciales ont le droit d’émettre du nouveau crédit (donc de la monnaie)
- Les banques commerciales prêtent de l’argent qui n’existe pas et qui ne leur coûte presque rien. Le seul coût est l’immobilisation d’une quantité dérisoire de « fonds propres », l’argent que les actionnaires de la banque ont mis au pot.
- Cette monnaie factice est mélangée à notre épargne, l’argent que nous avons réellement gagné, la seule vraie monnaie, en réalité.
- La faillite d’une banque engloutirait, notre vrai argent, nos dépôts. C’est pourquoi – jusque-là – les banques sont « sauvées » avec toujours plus d’argent qui n’existe pas.
S’il ne fallait qu’une seule preuve de ce que j’avance : les taux négatifs ! Cette absurdité prouve bien que le crédit est totalement déconnecté de l’épargne et n’est adossé à aucune épargne déjà existante. Quel est l’être humain normal qui accepte de payer pour prêter ses économies ?
Les crédits font les dépôts. Les banques prêtent de l’argent qui n’existe pas et ne leur coûte rien, l’épargne est punie ; par conséquent, il est normal que la dette ait augmenté depuis 2008.
Cette augmentation est considérable, partout dans le monde que ce soit la dette des ménages, la dette publique (celle des contribuables nés et à naître), la dette des entreprises. Une orgie de dettes (de crédits)…
Une nouvelle « crise du crédit » ou « crise de la dette » couve.
Notre épargne, diluée dans toujours plus de fausse monnaie, est en danger.
Bientôt le jubilé
Cependant, jamais au grand jamais dans l’histoire de l’humanité, les générations suivantes n’ont accepté d’honorer les dettes des générations précédentes. Ceux qui n’ont pas profité de l’argent emprunté refuseront d’en payer les intérêts et le principal. C’est bien normal !
Toute cette lamentable affaire se terminera donc par un jubilé. Les États-providence feront défaut sur leurs dettes à 50 ans, 100 ans, leurs promesses sociales et autres fadaises supposées être financées avec de l’argent qui n’existe pas encore dont on espère que des jeunes qui n’ont pas encore commencé à travailler le gagneront.
Egon Von Greyerz: “Esclavage de la dette + fausse monnaie = effondrement final”
Même aux États-Unis – la première économie au monde qui aujourd’hui carbure à fond, nous raconte-t-on – les salaires horaires stagnent et la participation des jeunes de moins de 25 ans au marché du travail décroche du reste de la population.
Non : les jeunes ne paieront pas pour des dettes qu’ils n’ont pas émises pour financer des dépenses dont ils n’ont pas profité.
Le jubilé et la déflation (destruction des vieilles dettes que personne ne peut assumer) sont au bout du chemin.
C’est pour cela que je reste persuadée qu’il faut abriter quelques liquidités dans les monnaies « hors système » que sont l’or et le bitcoin (et ses dérivés).
Quand je vois le graphique historique de l’or en euro, je le trouve très réconfortant.
Ce graphique confirme d’ailleurs que la crise n’est pas finie…
Évidemment, les millenials ou la génération Y, les jeunes que le « système » a endettés sans leur demander leur avis n’aiment pas trop l’or. Ils préfèrent semble-t-il les cryptomonnaies. Cela n’est pas dérangeant. Toute monnaie vaut mieux que celle des banquiers centraux et la concurrence est saine.
L'entrée des personnes âgées en structure d'accueil"
Ces questions sont importantes. D'abord parce qu'elles concernent au total un grand nombre de Français : au-delà des 730 000 personnes accueillies dans des établissements d'hébergement pour personnes âgées (EHPA), elles touchent leurs proches et ceux qui, voyant leurs capacités diminuer, y sont ou y seront bientôt confrontés ; elles ne laissent pas non plus indifférents ceux qui ont connu ou connaîtront bientôt cette expérience dans leur famille ou leur entourage (voir encadré). Au total, ce sont plusieurs millions de Français qui sont ou se sentent concernés.
Ensuite parce que ces questions font l'objet d'une faible socialisation, que ce soit dans la société civile ou dans les médias : alors qu'elles touchent dans leur chair ou dans leur entourage proche plusieurs millions de Français et qu'elles risquent de s'étendre encore du fait du vieillissement de la population, elles demeurent bien souvent un enjeu de second ordre dans le débat public de notre pays, sauf à l'occasion des mobilisations des personnels aidants des établissements.
Enfin, parce qu'il est crucial, au moment où s'ouvre une réflexion publique sur le "5e risque", de mieux appréhender les peurs, les difficultés et les attentes des personnes concernées comme de leurs familles. La pente des débats sur ce sujet est en effet de se précipiter sur les enjeux budgétaires et de n'entendre que ceux qui parlent. Les familles s'empressent bien souvent de tourner la page d'un épisode douloureux et parfois marqué par une sourde culpabilité, mais finalement transitoire et souvent assez bref à l'échelle d'une existence. Au final, les ambassadeurs ou les porte-paroles de ces difficultés sont avant tout celles et ceux qui sont professionnellement au contact des intéressés (aidants professionnels, assistantes sociales, etc.).
Contact presse : Annalivia Lacoste, responsable de la communication et des relations presse de Terra Nova - /Users/bourguim/AppData/Local/Microsoft/Windows/Temporary%20Internet%20Files/Content.Outlook/TL8U6XAZ/Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser." target="_blank" style="border: 0px; color: rgb(68, 68, 68); text-decoration-line: none;">Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser._body" class="adr black-to-orange contextEntry" target="_blank" style="border: 0px; color: rgb(68, 68, 68); text-decoration-line: none;">Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - 06.76.44.82.00
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A propos de Terra Nova
Terra Nova est un think tank progressiste indépendant. Son but est de produire et de diffuser des idées et des solutions politiques innovantes pour faire avancer le débat public.
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A propos de la Banque des Territoires
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A propos d'AG2R LA MONDIALE
AG2R LA MONDIALE, 1er groupe paritaire de protection sociale et patrimoniale en France, propose une gamme complète de produits et de services en retraite, épargne, prévoyance et santé. Acteur de référence en assurance de la personne présent sur tous les territoires, le Groupe assure les particuliers, les entreprises et les branches, pour protéger la santé, sécuriser le patrimoine et les revenus, prémunir contre les accidents de la vie et préparer la retraite. Société de personnes à gouvernance paritaire et mutualiste, AG2R LA MONDIALE cultive un modèle de protection sociale unique qui conjugue étroitement rentabilité et solidarité, performance et engagement sociétal. Le Groupe consacre chaque année plus de 100 millions d'euros pour aider les personnes fragilisées et soutenir des initiatives individuelles et collectives.
www.ag2rlamondiale.fr
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A propos du CRÉDOC
Le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CRÉDOC) est un organisme d'études et de recherche au service des acteurs de la vie économique et sociale. Fondé en 1953 par le Ministère du Plan, le CRÉDOC mène de nombreux travaux d'études et de recherches interdisciplinaires (économique, sociologique, statistique, démographique voire linguistique). Le CRÉDOC, aujourd'hui association à but non lucratif (loi de 1901), est placé sous la tutelle de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) et de la Direction générale des entreprises (DGE). Ses activités sont suivies par un conseil scientifique et contrôlées par un conseil d'administration composée de représentants d'organismes publics tel que l'INSEE, le Ministère de l'économie etc.
www.credoc.fr
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"L'heure du choix :
L'entrée des personnes âgées en structure d'accueil"
Lire la note
Le moment où la perte d'autonomie et l'accroissement de la dépendance sont tels que l'on envisage l'entrée dans une structure d'accueil pour personnes âgées est un moment délicat et souvent douloureux pour les personnes concernées comme pour leurs proches. Qui prend l'initiative d'en parler et quand ? Comment la décision est-elle prise et par qui exactement ? Comment s'imagine-t-on la vie dans une telle structure quand on commence à l'envisager ? Prend-on le temps de s'y préparer ? Quel souvenir en garde-t-on quand on a connu quelqu'un qui y a vécu ? Que voudrait-on y changer pour améliorer la vie quotidienne de celles et ceux qui y résident ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles nous avons souhaité répondre dans cette enquête réalisée par le Crédoc pour Terra Nova, AG2R LA MONDIALE et le groupe Caisse des Dépôts à l'occasion de la Journée Internationale des Personnes âgées et de celle des aidants le 6 octobre 2018.[1]
Ces questions sont importantes. D'abord parce qu'elles concernent au total un grand nombre de Français : au-delà des 730 000 personnes accueillies dans des établissements d'hébergement pour personnes âgées (EHPA), elles touchent leurs proches et ceux qui, voyant leurs capacités diminuer, y sont ou y seront bientôt confrontés ; elles ne laissent pas non plus indifférents ceux qui ont connu ou connaîtront bientôt cette expérience dans leur famille ou leur entourage (voir encadré). Au total, ce sont plusieurs millions de Français qui sont ou se sentent concernés.
Ensuite parce que ces questions font l'objet d'une faible socialisation, que ce soit dans la société civile ou dans les médias : alors qu'elles touchent dans leur chair ou dans leur entourage proche plusieurs millions de Français et qu'elles risquent de s'étendre encore du fait du vieillissement de la population, elles demeurent bien souvent un enjeu de second ordre dans le débat public de notre pays, sauf à l'occasion des mobilisations des personnels aidants des établissements.
Enfin, parce qu'il est crucial, au moment où s'ouvre une réflexion publique sur le "5e risque", de mieux appréhender les peurs, les difficultés et les attentes des personnes concernées comme de leurs familles. La pente des débats sur ce sujet est en effet de se précipiter sur les enjeux budgétaires et de n'entendre que ceux qui parlent. Les familles s'empressent bien souvent de tourner la page d'un épisode douloureux et parfois marqué par une sourde culpabilité, mais finalement transitoire et souvent assez bref à l'échelle d'une existence. Au final, les ambassadeurs ou les porte-paroles de ces difficultés sont avant tout celles et ceux qui sont professionnellement au contact des intéressés (aidants professionnels, assistantes sociales, etc.).
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Créée en 2018, la Banque des Territoires est un des cinq métiers de la Caisse des Dépôts. Elle rassemble dans une même structure les expertises internes à destination des territoires. Porte d'entrée client unique, elle propose des solutions sur mesure de conseil et de financement en prêts et en investissement pour répondre aux besoins des collectivités locales, des organismes de logement social, des établissements publics locaux et des professions juridiques. Elle s'adresse à tous les territoires, depuis les zones rurales jusqu'aux métropoles, avec l'ambition de lutter contre les inégalités sociales et les fractures territoriales. La Banque des Territoires est également une marque déployée dans les 16 directions régionales et les 35 implantations territoriales de la Caisse des Dépôts afin d'être mieux identifiée auprès de ses clients et au plus près d'eux.
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Le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CRÉDOC) est un organisme d'études et de recherche au service des acteurs de la vie économique et sociale. Fondé en 1953 par le Ministère du Plan, le CRÉDOC mène de nombreux travaux d'études et de recherches interdisciplinaires (économique, sociologique, statistique, démographique voire linguistique). Le CRÉDOC, aujourd'hui association à but non lucratif (loi de 1901), est placé sous la tutelle de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) et de la Direction générale des entreprises (DGE). Ses activités sont suivies par un conseil scientifique et contrôlées par un conseil d'administration composée de représentants d'organismes publics tel que l'INSEE, le Ministère de l'économie etc.
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Journée internationale des personnes âgées :
La santé à domicile : une solution plébiscitée par les personnes âgées !
Lundi 1er octobre 2018 - L'allongement de l'espérance de vie (85 ans pour les femmes et 78,9 pour les hommes) implique une augmentation significative du nombre de personnes âgées en situation de dépendance ou atteintes de pathologies liées à l'âge. D'après la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), le nombre de personnes âgées dépendantes devrait s'élever à plus de 2,6 millions d'ici 2060. Alors que 90% d'entre ellessouhaiteraient être maintenues à domicile le plus longtemps possible [1], il apparaît aujourd'hui indispensable defavoriser des solutions alternatives aux établissements médicalisés permettant aux personnes âgées dépendantes de rester chez elles dans des conditions de sécurité optimales.
Les PSAD
Accompagnant plus de 2 millions de patients, les prestataires de santé à domicile (PSAD) sont des acteurs clés du parcours de soins : à la charnière entre les professionnels de santé, le patient et son entourage, les 25 000 professionnels (infirmiers, pharmaciens, ergothérapeutes, techniciens etc.) mettent en œuvre les prestations et technologies nécessaires au traitement et à sa bonne observance. Ils veillent également à la sécurité des patients en assurant la gestion des risques liés aux dispositifs médicaux qu'ils fournissent. Enfin, ils accompagnement les patients tout au long de leur parcours en lien avec les autres acteurs de santé.
Le prestataire de santé à domicile au cœur du parcours de soin des personnes âgées dépendantes
L'environnement familier est un confort irréfutable. L'attachement à un quartier, à des commerçants, à des voisins, ou tout simplement à des visages connus, n'est pas à négliger. Un changement brutal d'environnement peut avoir un effet négatif sur l'état de santé d'une personne âgée. Ainsi, au-delà de l'intérêt en termes de confort et de qualité de vie, le maintien à domicile des personnes âgées dépendantes apporte également dans certains cas un bénéfice médical.
Ce sont aujourd'hui plus de 300 000 personnes âgées dépendantes qui ont recours aux PSAD. Cet accompagnement peut se faire à deux titres :
??? Dans le cadre du traitement d'"une des causes" de la dépendance : les PSAD accompagnent les malades chroniques tels que les insuffisants respiratoires, les diabétiques, les personnes atteintes de la maladie de parkinson ou de cancer ... Il s'agit là de la partie "soins" de la situation de dépendance des personnes âgées
??? Les PSAD apportent également des réponses de compensation à la dépendance via la délivrance d'aides techniques (fauteuils roulants, déambulateurs, aménagements de salle de bains, barres d'appui etc.)
Souvent en lien avec les familles au moment de la recherche d'une réponse à une situation de dépendance, les professionnels des PSAD apportent également les conseils et l'accompagnement nécessaire pour l'évaluation des besoins, l'aménagement du logement, les aides financières, etc.
Enfin, par le suivi rapproché des patients qui leur sont confiés, la mise en place de dispositifs de prévention et par un retour d'information régulier auprès du médecin prescripteur, les PSAD contribuent à éviter que la personne âgée ne fasse des séjours prolongés à l'hôpital ou qu'elle ne rentre précocement en maison de retraite.
Pour Sylvie Proust, administratrice de la Fédération des PSAD, « répondre à l'aspiration des personnes âgées à vieillir chez elles, retarder le recours aux EHPAD et ne limiter cette option qu'aux cas où la situation de la personne est incompatible avec une vie à domicile doit être une véritable priorité des pouvoirs publics ».
Une solution pour lutter efficacement contre les inégalités sociales et territoriales dans l'accès aux soins des personnes âgées
Le maillage territorial des prestataires constitue un outil clé de lutte contre les déserts médicaux puisque les 3 000 sites existants couvrent l'intégralité du territoire et sont en mesure d'intervenir sur tous les lieux d'habitation, même les plus isolés. Les PSAD ont la capacité de se déployer rapidement sur tout le territoire et assurent une astreinte technique 24/7 pour les dispositifs qu'ils délivrent.
Cette offre de grande proximité permet ainsi aux intervenants professionnels des PSAD de créer quotidiennement du lien social avec des populations souvent fragiles.
Pour plus d'informations, veuillez contacter A+ Conseils :

La SFAP organise le 1er colloque d'experts internationaux en soins palliatifs à Paris
sous le patronage de Madame Agnès Buzyn, Ministre des Solidarités et de la Santé
A l'occasion de la Journée Mondiale des Soins Palliatifs, la SFAP organise son premier Colloque International anglophone avec traduction simultanée, sous le patronage de Madame Agnès BUZYN, Ministre des Solidarités et de la Santé.
Les états généraux de la bioéthique ont récemment confirmé que la fin de vie était une question sociale débattue dans la sphère publique. Au cur de ce processus de construction collective, les soins palliatifs ont un rôle majeur à jouer de par leur expertise, leur histoire et leur souci d'innovation. Répondre aux besoins des patients et de leurs proches exige de faire évoluer aussi bien les pratiques cliniques que la formation, la recherche ou encore le bénévolat. Pour cela, il semble essentiel de regarder au-delà de nos frontières et de favoriser les échanges internationaux.
Cette journée sera l'occasion d'écouter des orateurs renommés sur des thèmes variés : la recherche internationale en soins palliatifs ; les formes de répit et les aidants ; le bénévolat d'accompagnement dans le monde ; le "Spiritual Care" et l'"Advance Care Planning", de quoi parle-t-on ?
Mardi 9 octobre 2018
Ministère des Solidarités et de la Santé 14 avenue Duquesne - Paris 7ème
Salle Laroque 8h30 / 17h30
Vous souhaitez assister au colloque ? Contactez notre service communication pour obtenir une invitation presse.
Vous souhaitez couvrir cet événement, réaliser un reportage dans une structure de soins palliatifs à domicile ou à l'hôpital, rencontrer des bénévoles d'accompagnement ? Contactez la SFAP.
Créée en 1990, La SFAP (Société Française d'Accompagnement et de Soins Palliatifs) est une association reconnue d'utilité publique qui fédère 10.000 soignants et 7.000 bénévoles engagés dans les soins palliatifs. Elle rassemble encore 350 associations françaises d'accompagnement.
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Aujourd’hui a lieu la journée internationale des personnes âgées : l’occasion pour Adhap Services de rappeler son engagement quotidien en faveur de ses 23 500 bénéficiaires. Zoom sur une opération de sensibilisation unique en son genre : « Testez-vous à 80 ans ». |
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» Des intervenants formés et sensibilisés à la perte d’autonomie Par le biais de l’Institut Adhap, organisme de formation créé en 2008, une sensibilisation spécifique à la prise en charge des personnes fragilisées est dispensée aux intervenants Adhap Services grâce à la combinaison de vieillissement pour leur permettre de « se glisser dans la peau » d’une personne âgée. Résultat : un vrai changement de regard sur leur métier, sur leur rapport avec les personnes qu’ils accompagnent, plus d’empathie, de patience et de vigilance. Les centres Adhap Services proposent également cette expérience aux professionnels de santé avec lesquels ils travaillent au quotidien afin de les aider à mieux appréhender la perte d’autonomie dans le cadre de leurs métiers. |
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» « Testez-vos à 80 ans » dans tous les centres Adhap Services de France Avec la combinaison de vieillissement*, composée de plusieurs éléments qui se mettent par-dessus les vêtements, chacun peut ressentir ce que vit une personne âgée ou handicapée. En moins de 5 mn, retrouvez-vous « dans la peau » d’un octogénaire, avec ses limites, ses fragilités, ses incapacités… Une prise de conscience qui fait « voler en éclat » tous les a priori et bouleverse le regard des valides sur la dépendance liée à l’âge. N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre centre Adhap Services pour vivre cette expérience unique qui bouleversera irrémédiablement votre vision de la vieillesse… |
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* A l’origine, ce matériel novateur, composé de plusieurs éléments qui se mettent par-dessus les vêtements, a été créé pour permettre aux industriels de développer des produits et services adaptés aux personnes âgées ou handicapées.
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Contact Presse Andréa Chilma Tél : 04.73.17.33.42 |
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A propos du réseau Adhap Services, membre de la Division Domicile ORPEA :
A propos du Groupe ORPEA :
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Les zooms de L'Observatoire Cetelem s'intéressent aux modes de vie et proposent d'explorer un grand thème en trois temps, sollicitant l'avis des Français au travers de trois vagues de sondage.
Les zooms viennent ainsi compléter et enrichir le dispositif d'observation et d'études existant de L'Observatoire Cetelem.http://observatoirecetelem.com/
Thème: École, éducation, quelle place dans la vie des Français ?
Enquête 3/3 octobre 2018 : « L'éducation, à quel prix ? »
Cette troisième enquête des zOOms sur le thème de l'école et l'éducation se propose d'explorer le rapport des Français à l'accompagnement scolaire de leurs enfants.Soutien scolaire et activités extra-scolaires mobilisent les parents tout au long de l'année et leur demandent des investissements tant émotionnels que financiers. Comment les Français font-ils l'équilibre entre le temps et l'argent qu'ils peuvent y consacrer ?
REUSSITE SCOLAIRE, DU TEMPS PLUTOT QUE DE L'ARGENT, DISENT 85% DES FRANÇAIS
- Les parents impliqués personnellement dans l'éducation de leur enfant.
Pour les Français, l'implication des parents est un enjeu majeur dans l'éducation des enfants, particulièrement dans le suivi de leur vie scolaire : contrôler les devoirs (63% très important), se rendre aux réunions parents-professeurs (56%) et assurer l'aide aux devoirs (50%).
Une implication très personnelle puisque une large majorité des parents (85%) déclarent passer ou avoir passé du temps chaque semaine avec leurs enfants à superviser leurs devoirs, pour une moyenne de 5 heures et 06 minutes hebdomadaires.
Pour les parents, le moment des devoirs est avant tout associé à un moment d'échanges et de partage (93%) mais c'est aussi une source de tensions pour 68%.
- L'accompagnement scolaire : plus une question de temps que d'argent
Les Français sont 85% (92% pour un foyer au revenu mensuel > 4000) à penser qu'il est plus efficace de consacrer du temps à la réussite scolaire que de l'argent (14%).
Pour autant, les parents déclarent avoir recours à certaines solutions payantes pour mieux accompagner leurs enfants. En premier lieu, ils envisagent de leur fournir des annales ou livres d'exercices (56% disent l'avoir déjà fait) et de leur faire faire des exercices complémentaires (39%). Un parent sur trois déclare également avoir déjà eu recours à des solutions de type professeur particulier, applications/logiciels de soutien ou cours du soir pour leurs enfants.
- Les craintes des parents vis-à-vis du coût de la scolarité.
Un parent sur deux indique avoir (eu) peur de rencontrer des difficultés à financer cette scolarité, une crainte plus marquée encore chez ceux dont les enfants sont aujourd'hui encore en classe. Et pour cause, près d'un parent sur trois indique avoir déjà eu à renoncer à des activités pour son / ses enfant(s) en raison de leur coût. Pourtant considérées comme importantes par 91% des Français, les activités extra-scolaires artistiques ou sportives sont les premières à être remises en cause en cas de difficultés budgétaires, 30% déclarant avoir déjà dû y renoncer.
- En moyenne 299/an par enfant pour leurs activités extra-scolaires.
En moyenne, les parents indiquent avoir consacré 299 par an et par enfant à leurs activités extra-scolaires. Un montant élevé déclaré par les parents dans des activités le plus souvent choisies par leurs enfants (79%). Les sports collectifs ont largement les faveurs des Français (62%) pour le developpement des enfants,loin devant les activités en lien avec la nature (26%), la pratique d'un instrument de musique ou le chant (25%) et la pratique d'une langue étrangère (24%).
Pour Flavien Neuvy, directeur de L'Observatoire Cetelem,« Les Français sont, on le voit, impliqués dans l'éducation de leurs enfants. Une large majorité pense que le temps consacré au suivi scolaire est plus important que l'argent, même s'ils ne sont pas fermés à l'idée d'avoir recours à des prestations de soutien scolaire. Avec le digital et les nouveaux jeunes parents, peut-être qu'un marché du soutien scolaire dématérialisé pourra enfin exploser
»
Enquête réalisée par Harris Interactive en ligne du 11 au 13 septembre 2018. Échantillon de 1 022 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l'interviewé(e).
Merci de noter que toute diffusion totale ou partielle de ces résultats doit mentionnée la source : Harris Interactive pour L'Observatoire Cetelem.
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Retrouvez dans le rapport et la note d'analyse les résultats complets de ce sondage.
Contact presse :
Christian Yombe : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser._body" class="adr black-to-orange contextEntry" target="_blank" style="border: 0px; color: rgb(68, 68, 68); text-decoration-line: none;">Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. | +33 6 38 98 71 11
À propos de L'Observatoire Cetelem
L'Observatoire Cetelem est une cellule d'études et de veille économique, créé en 1985 et dirigé par Flavien Neuvy. Chaque année plusieurs études sont publiées concernant les marchés automobiles dans le monde et la consommation des ménages en Europe. Présent dans 24 pays Afrique du Sud, Allemagne, Autriche, Belgique, Brésil, Bulgarie, Chine, Danemark, Espagne, Etats-Unis, France, Hongrie, Italie, Japon, Mexique, Norvège, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Suède et Turquie L'Observatoire Cetelem est devenu une référence et un partenaire privilégié pour les principaux acteurs du monde de l'automobile et de la consommation avec lesquels il entretient des relations permanentes.www.observatoirecetetem.com | @obs_cetelem
À propos de BNP Paribas Personal Finance
BNP Paribas Personal Finance est n°1 du financement aux particuliers en France et en Europe au travers de ses activités de crédit à la consommation et de crédit immobilier. Filiale à 100 % du groupe BNP Paribas, BNP Paribas Personal Finance compte plus de 20 000 collaborateurs et opère dans une trentaine de pays. Avec des marques comme Cetelem, Cofinoga, Findomestic ou encore AlphaCredit, l'entreprise propose une gamme complète de crédits aux particuliers disponibles en magasin, en concession automobile ou directement auprès des clients via ses centres de relation client et sur Internet.
BNP Paribas Personal Finance a complété son offre avec des produits d'assurance et d'épargne pour ses clients en Allemagne, Bulgarie, France, Italie.
BNP Paribas Personal Finance a développé une stratégie active de partenariat avec les enseignes de distribution, les constructeurs et les distributeurs automobiles, les webmarchands, et d'autres institutions financières (banque et assurance) fondée sur son expérience du marché du crédit et sa capacité à proposer des services intégrés adaptés à l'activité et à la stratégie commerciale de ses partenaires. Il est aussi un acteur de référence en matière de crédit responsable et d'éducation budgétaire.
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LES FRANÇAIS FACE À LA PANNE SEXUELLE ...
À l’occasion des 20 ans de l’arrivée du Viagra en France aujourd'hui lundi 15 octobre, l’équipe d’expertsMy-Pharma.info a souhaité analyser en détail le rapport entre les français et leur recours aux médicaments améliorant l’érection. La rédaction a choisi l’Ifop pour réaliser une étude par questionnaire auto-administré en ligne du 17 au 19 septembre 2018 auprès d’un échantillon de 2 023 personnes, représentatif de la population âgée de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine.
I – La consommation de Viagra en France
- Une croissance constante depuis 2001
- Le nombre d’hommes qui déclarent avoir déjà été confrontés à des problèmes d’érection a augmenté depuis 2015 (44% en 2005 contre 64% en 2018)
- Le nombre de femmes qui déclarent avoir déjà été confrontées à ce genre de problème a, quant à lui, plus que doublé depuis 2001 (25% en 2001 contre 59% en 2018)
- Zoom de la consommation de Viagra en région (cartes consultables via l’article source)
- 71% des hommes résidant dans les Hauts-de-France ont rencontré des problèmes d’érection au cours des 12 derniers mois (La moyenne étant de 54% pour l’ensemble des français sexuellement actifs)
- Mais ce sont les sudistes les plus grands consommateurs puisque 21% des hommes résidant en Provence-Alpes-Côte d’Azur et Occitanie ont déjà pris un médicament améliorant l’érection au cours de leur vie (moyenne : 15%)
- Un réel problème vécu par les hommes (et ressenti par les femmes)
- Près d’1 français sur 2 avoue déjà avoir été confronté à une absence totale d’érection au cours de leur vie
- Ainsi, 60% des hommes ayant eu un rapport sexuel au cours des 12 derniers mois déclarent avoir eu une absence ou une insuffisance du désir sexuel, et 54% d’entre eux déclarent avoir eu un problème d’érection
=> Cette expérience est notamment plus largement vécue par les +60 ans (75% en moyenne)
II – Le recours au médicament améliorant l’érection
- De nombreux français sont tentés, peu passent à l’action
- 34% des hommes ayant déjà eu un rapport sexuel seraient tentés d’utiliser un médicament améliorant l’érection (ex : Viagra, Levitra, Cyalis…), et ce, même de manière très occasionnelle. Toutefois, seulement 15% d’entre eux en ont déjà pris
- De manière plus précise, 54% des hommes ayant eu un problème d’érection il y a moins d’un an seraient tentés d’utiliser un médicament améliorant l’érection. Mais, seuls 29% d’entre eux en auraient déjà utilisé au cours de leur vie
- Les français sous antidépresseurs plus touchés par les troubles érectiles
- 66% des usagers d’antidépresseurs déclarent avoir déjà eu une absence totale d’érection au cours des 12 derniers mois, soit 2 français consommateurs d’antidépresseurs sur 3 !
- De plus, 3 usagers d’antidépresseurs sur 4 ont rencontré des baisses ou une absence de désir sexuel au cours des 12 derniers mois
- Stress et performance sexuelle ne font pas bon ménage ... Les entrepreneurs en ligne de mire !
- Le facteur stress régulier serait la cause de 65% des problèmes érectiles et 70% des problèmes de désir sexuel des hommes ayant eu un rapport au cours des 12 derniers mois
- Et près de 80% des travailleurs indépendants déclarent avoir eu une absence ou une insuffisance de désir sexuel au cours des 12 derniers mois
- Les homosexuels davantage touchés par le trouble érectile
- 68% des hommes homosexuels affirment avoir déjà eu une absence ou une insuffisance de désir sexuel au cours des 12 derniers mois contre 60% des hommes hétérosexuels
- 19% des homosexuels ont utilisé un médicament améliorant l’érection au cours des 12 derniers mois
III – Un sentiment de honte
- Se procurer un médicament améliorant l’érection : principalement sur ordonnance mais également en toute discrétion sur Internet
- 83% des hommes ayant déjà utilisé des médicaments améliorant l’érection s’en sont procurés par ordonnance en pharmacie une ou plusieurs fois
- 82% des jeunes de moins de 25 ans ayant déjà utilisé ces médicaments les ont acheté sans ordonnance sur internet
- Les problèmes d’érection pour certains, une affaire de PERFORMANCE pour les autres
- Près de 2 hommes français sur 3 rencontrant des problèmes d’érection déclarent ne pas être satisfaits de leur vie sexuelle
- 1 français sur 5 récemment en couple aurait déjà utilisé un médicament améliorant sa performance sans en informer sa partenaire
- Jusqu’où les français sont-ils prêts à aller pour améliorer leur performance ?
- Chose étonnante, plus de 3 français sur 4 (68%) n’ayant jamais eu de partenaire sexuelle seraient prêts à utiliser un médicament améliorant l’érection sans le dire à leur partenaire
- 41% des hommes âgés de moins de 30 ans qui pourraient utiliser un médicament améliorant l’érection seraient prêt à ne pas en informer leur partenaire
Service Presse My-Pharma.info
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