avec un grand merci à Pierre Jean Llorens pour sa contribution à cette revue de presse sociale et commerciale :
À quelques semaines de la rentrée des classes, Approuvé par les Familles a interrogé les familles sur
cette prochaine étape essentielle de l'année.
Comment voient-ellesla rentrée 2018 ? Quel budgetpensent-elles y consacrer ? Quelle est la place du souhait de l'enfant ?
Une rentrée sous le signe de la sérénité et de la vigilance Pour 40% des familles, la rentrée scolaire marque le véritable début de l’année ! Une rentrée globalement sereine (pour 60% des familles), pour des parents débarrassés de la contingence matérielle des courses de rentrée dès le mois de juillet (56% en 2018 vs 52% en 2017). Une sérénité qui n‘exclut pas une attention forte sur les enjeux de la rentrée pour les enfants : 1. La réussite scolaire (42%) 2. L’intégration sociale de l’enfant (28%) 3. La qualité de la relation de l’enfant (21%) 4. Le risque de harcèlement par les camarades (9%) Un budget stable à 492€/enfant en 2018 vs 480 €/enfant en 2017 Pourtant 79% des parents estiment que la rentrée est de plus en plus chère. En particulier pour : • Les cartables (64%) • Les fournitures (64%) • Les équipements pour les activités (49%)
À noter : L’entrée en 6 ème marque une augmentation substantielle du budget fournitures scolaires, d’environ 110 €/ enfant. La grande surface : toujours leader pour les courses de rentrée. • 80% des parents y achètent les fournitures scolaires et la trousse • 57% le cartable BAROMÈTRE APPROUVÉ PAR LES FAMILLES LES CHIFFRES ET LES TENDANCES DE LA RENTRÉE DES CLASSES 2018* *Etude réalisée du 3 au 7 mai 2018 auprès de 573 parents d’enfants de 3 à14 ans Communiqué de presse Le 20 Août 2018 En revanche, les magasins spécialisés demeurent leader pour les tenues de rentrée (60%), les équipements pour les activités(67%) et équipements sportifs(76%). Une occasion de consommation parents + enfants Si la qualité demeure le critère n°1 d’achat pour les parents, l’avis de l’enfant est particulièrement pris en compte, en particulier pour les achats « sociaux » : trousse, équipements pour les activités, tenue de rentrée et équipementssportifs.
Focus sur le téléphone portable Le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer a annoncé fin 2017 des mesures pour interdire le téléphone portable à l’Ecole et au Collège. Présent dès le CM1 à l’école Primaire, 51% des parents estiment qu’il y a une classe à partir de laquelle le téléphone portable est indispensable, et c’est principalement la 6 ème.
À propos de Approuvé par les Familles : « Rien ne vaut l’avis d’autres parents pour faire les bons choix pour ses enfants ! » c’est de ce constat qu’est né Approuvé par les Familles, le 1er repère de confiance qui récompense les meilleurs produits et services pour enfants testés et approuvés par une communauté de 5000 familles testeuses, toutes bénévoles. Plus d’informations : www.approuveparlesfamilles.com
Mal de tête, douleur aux dents, troubles du sommeil, perte d'équilibre, nausées, fatigue, dépression sont des symptômes qui doivent alerter et être signalés.
Plan détaillé :
Où signaler ?
Tous les usagers et professionnels de santé comme le médecin de famille, peuventsignaler aux autorités publiquesen quelques clics toutévénement sanitaire indésirable et gravepouvant laisser supposer un rapport de cause à effets avec la consommation d'un produit, d'un médicament ou l'usage d'unnouveau matériel défectueux(rubrique Produit / substance de la vie courante).
C'est grâce à ce type de signalement, et d'un échantillon significatif de patients, que les autorités (Agence nationale des fréquencesANFR, Ministère de la santé, laHaute autorité de santé(HAS)) peuvent mener des enquêtes, études, inspections, contrôles et aboutir à undiagnostic d'effets secondaires indésirablesqui n'ont pas été identifiés dans l'étude d'impact d'origine du fabriquant.
Il faut bien évidement aussi, signaler ses effets au constructeur ou fabriquant, dès lors que celui-ci accepte d'en tenir compte.
Par exemple, leseffets sur la santédes champs électromagnétiques ont fait en 2018 l'objet d'une étude de l'ANSES : "Bluetooth, Wi-Fi, Wimax, téléphonie mobile,RFID …. les technologies utilisant les radiofréquences se sont largement développées ces 20 dernières années. De ce fait, les sources de champs électromagnétiques radiofréquences se multiplient dans notre environnement, constituant un objet de préoccupation sanitaire et environnemental depuis plusieurs années, en France et à l'étranger", précise l'Agence nationale de sécurité sanitaire. Elle ajoute que "la nécessité d'accorder une attention toute particulière à l'hypersensibilité aux ondes électromagnétiques, l'Anses a décidé de reporter l'examen de cette question à la publication d'un rapport spécifique du groupe de travail", qui devrait être connu fin 2018.
Que faut-il signaler ?
Par exemple, suite à la mise en service d'un équipement électrique au domicile, de type compteur Linky utilisant la technologie CPL,l'apparition de symptômesdoivent alerter, tels que :
- maux de tête
- douleur dentaire
- rougeurs, picotements, sensation de brûlure
- perte de sommeil
- vertige
- acouphènes
- envie de vomir
- fatigue soudaine
- état dépressif
- etc.
Un signalement aux autorités est aussi recommandé en cas desymptôme physique anormal,brutal et intense suite à une exposition à des ondes ou champs, comme par exemple :
- les lignes de haute ou moyenne tension électrique ;
- le courant porteur en ligne qui émet dans les deux sens, vers l'intérieur et vers l'extérieur du logement afin de permettre la collection de Data sur les usages de consommation électrique (ex : d'usage deCPL) ;
- la radio-identification (RFID) ;
- les ondes émises par un micro-onde ou un téléphone portable ;
- mais aussi lasurexposition due à une combinaison d'ondes(Bluetooth, Wi-Fi, Wimax, Smartphone, CPL).
Pourquoi signaler un symptôme ?
Ce n'est pas parce que l'on ne voit pas, ne sent pas, ne sais pas mesurer, ou n'entend pas un danger qu'il n'existe pas. Ce n'est pas non plus parce qu'un produit respecte les normes de la Réglementation européenne, qu'il n'est pas pour autant dangereux ou vecteur d'effets démultiplicateur d'ondes lorsqu'il est en contact avec d'autres sources de fréquences. Ainsi, en chimie, la combinaison et le dosage de substances à la base inoffensives peuvent aboutir à produire unrésultat explosif !
Le Ministère de la santé signale sur son site que "Le signalement des événements sanitaires indésirables est un acte citoyen qui bénéficie à tous... Patient, consommateur ou usager vous pouvez participer à l'amélioration de la qualité et de la sécurité du système de santé en signalant sur ce portail les événements sanitaires indésirables que vous suspectez d'être liés aux produits de santé, produits de la vie courante et actes de soins."
L'ANSES affirme que si "en l'état actuel des connaissances, il n'existe pas de preuve expérimentale solide permettant d'établir un lien de causalité entre l'exposition aux champs électromagnétiques et les symptômes décrits par les personnes se déclarant EHS, (...) les plaintes (douleurs, souffrance) exprimées par les personnes se déclarant éléctro-hypersensible correspondent à une réalité vécue".Elle ajoute"que ces personnes ont besoin d'adapter leur quotidien pour y faire face" (déménagement, changer d'emploi, investir dans des matériaux ou filtres isolants, etc.). Signaler un symptôme permet aussi d'aider à solutionner et innover (ex : création defiltres) pour atténuer fortement les effets secondaires néfastes. La question pourrait d'ailleurs se poser : pourquoi les compteurs intelligents ne sont pas équipés de ces fameux filtres ?
Par ailleurs, l'ANFR - L'Agence nationale des fréquences - charger de surveiller la mesure des ondes électromagnétiques permet à toute personne ou organisme habilité dedemander gratuitement une mesureafin de connaître précisément l'exposition associée à des objets communicants fixes, notamment lescompteurs communicants.
Exemple de scandales sanitaires en France nés de signalements
Par le passé, c'est grâce à l'ensemble des signalements que desdangers pour la santé humaine et la connaissance d'effets secondaires indésirablesont été identifiés et que des mesures d'interdiction et de retrait de produits du marché ont été ordonnés :
- Amiante
- Tapis puzzle
- Bisphénol A
- Médiator
- Maladie de Creutzfeldt-Jakob
- affaire du Sang contaminé
- Glyphosa
- Levothyrox.
Par ailleurs,l'électrosensibilité existeet si elle ne peut pas encore êtreprouvée scientifiquement, force est de constater que des personnes subissent ses effets, que desmédecinsla constate, car il existe bien desmilliers de signalements concordants.
Quel recours juridique ?
Il est toujours possible de demander à Enedis de retirer le compteur Linky défectueux en envoyant une Lettre de mise en demeure
Lettre de mise en demeure |
Si cela ne fonctionne pas, vous pouvez aussi agir en justice, au moyen notamment d'uneaction collective"class action".Parlez-en à un avocat !
Comment s'opposer à l'installation de Linky dans votre logement ?
Vous souhaitez refuser l'installation d'un compteur Linky à votre domicile par Enédis pour des raisons de protection de votre santé et/ou de vos droits fondamentaux. C'est votre droit !
Lettre de mise en demeure |
© 2018 Net-iris
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http://www.moteurnature.com/actu/2007/gpl-lpg-butane-propane-afrique-deforestation.php
Le GPL-carburant, toujours artificiellement attrayant et faussement écologique![]() Le GPL a quasiment disparu des catalogues des constructeurs en Europe de l'Ouest, mais il conserve un attrait pour quelques automobilistes de par une fiscalité avantageuse. C'est la mesure du retard de la politique sur l'industrie. Les constructeurs ont compris que le GPL n'avait plus d'avenir, mais pas encore nos dirigeants. Alors on voudrait enterrer le GPL, plus personne n'en parle, et même pas ce site, qui en 5 ans n'y a consacré que 5 articles. Mais tant que le GPL sera détaxé par rapport aux autres hydrocarbures, pourtant pas plus fossiles que lui, il suscitera un intérêt, d'autant plus grand que les carburants augmentent. ![]() ![]() ![]() ![]() C'est le moment de s'intéresser à l'origine du GPL. Petit inventaire, classé par bilan CO2 global, du meilleur au plus mauvais. 1/ Extraction sur le puits Ce n'existe à peu près qu'en Australie. ABass Straitpar exemple, il y a des gisements de pétrole et de gaz naturel, qui contiennent des poches de propane. C'est le GPL naturel, il n'est pas fabriqué, mais extrait du puits. Malheureusement, ce GPL naturel est très rare, il ne représente même pas 1 % du GPL consommé dans le monde. Mais les australiens ont de la chance de pouvoir en disposer. 2/ Sous-production à la raffinerie de pétrole Les raffineries de pétrole qui produisent l'essence et le gazole, fabriquent du GPL dans leur cycle normal de fonctionnement. C'est un sous-produit de cette industrie, et la consommation de ce GPL est parfaitement légitime. 3/ Sous-production à la raffinerie de gaz naturel Le gaz naturel est un mélange d'une multitude de gaz. Le méthane y est toujours largement majoritaire, mais pour qu'il le soit à au moins 85/95 %, on écarte ces gaz minoritaires que sont principalement l'éthane, le butane, le propane ou le dioxyde de carbone. C'est par cette méthode qu'on produit plus de la moitié du GPL dans le monde. 4/ Production à la raffinerie Ceci est distinct de la sous-production évoqué en 2. Il est possible de modifier le processus normal d'une raffinerie pour, à partir d'une quantité de pétrole donnée, produire plus d'essence, plus de gazole, ou plus de GPL. Les possibilités sont limitées, mais il y a une certaine marge de manœuvre. Cependant, elle exige un perdant. Si on veut produire plus de GPL, il faudra produire moins d'essence, ou moins de gazole. Cela peut se faire, mais il y a aussi la question des déchets de production, qui augmenteront propotionnellement à la hausse de la production de ces hydrocarbures légers que sont les GPL. Dans le meilleur des cas, produire plus de GPL conduira à produire plus de bitume, ce n'est pas motivant. Dans le pire, l'augmentation de la production se fera dans des pays peu regardants sur le retraitement des déchets de raffineries (le gras du gras du pétrole), et les déchets seront brûlés dans un coin où personne ne regarde. Dans tous les cas, la consommation d'énergie sera en hausse, le bilan CO2 en chute libre. ![]() Nous avons franchi la ligne rouge, on peut faire un parallèle avec les biocarburants. Formidable idée que les carburants produits de l'agriculture, mais les contraintes de surface viennent limiter leur développement. Des 4 origines du GPL, le premier n'augmentera pas sauf découverte surprise peu probable, le second va se réduire puisque la qualité du pétrole moyen est en baisse (le brut est de plus en plus lourd et soufré), le troisième sera stable sauf augmentation de l'extraction de gaz naturel (pas impossible), et la seule variable possible est alors dans la quatrième. Tant pis pour les pollutions. Nous devonstirer la meilleure exploitation possible de nos ressources, mais la filière GPL a montrée que ce souci lui était étranger. ![]() Dommage pour tout le monde, la planète en premier. Pour la plus forte réduction de CO2, c'est le diesel qu'il faut convertir au GPL, et laisser les moteurs essence tels qu'ils sont, mais on ne le fait pas. Alors que Chevrolet vend toujours des voitures coréennes adaptées au GPL quand il est interdit à un particulier de posséder une voiture GPL en Corée du Sud, et que Subaru vend en France des autos au GPL qu'il se garde bien de vendre au Japon. Dacia a introduit une version GPL de sa Logan 1.4 litres sur le marché roumain, parce que là-bas comme ici, les pétroliers ont réussi à faire croire que le GPL méritait une grosse détaxe. Nous espérons qu'elle ne viendra pas nuire au développement de la filière biocarburants dans l'hexagone en restant hors de nos frontières, et qu'à mesure que le bilan CO2 global du GPL s'effondre, la fiscalité qui lui est applicable prendra le chemin inverse. ![]() Laurent J. Masson
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5 précautions à prendre avant de vous porter caution |
Se porter caution pour un locataire ou un emprunteur peut s’avérer lourd de conséquences. Et pour cause, cet engagement oblige à payer à la place de celui que l’on cautionne. Parce qu’il vaut mieux prévenir que guérir, suivez nos conseils et tout se passera bien.
https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/mppdevelopments3/emails/new/template1/line.jpg") left bottom no-repeat; color: rgb(2, 83, 110); text-transform: uppercase;">1. PRÉFÉREZ UN CAUTIONNEMENT SIMPLE À UN CAUTIONNEMENT SOLIDAIREDans la pratique, un cautionnement solidaire sera presque toujours exigé. Sa dangerosité potentielle dépasse pourtant celle du cautionnement simple.
https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/mppdevelopments3/emails/new/template1/line.jpg") left bottom no-repeat; color: rgb(2, 83, 110); text-transform: uppercase;">2. RENSEIGNEZ-VOUS SUR LA SOLVABILITÉ DU DÉBITEURAvant de courir le risque de devoir payer la dette de quelqu’un, renseignez-vous d’abord sur ses capacités financières : tenue du compte bancaire, capacités de remboursement, etc. Le fait que le cautionnement soit souvent accordé à des proches (parents, enfants, amis) ne doit pas vous amener à en minimiser les effets.
https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/mppdevelopments3/emails/new/template1/line.jpg") left bottom no-repeat; color: rgb(2, 83, 110); text-transform: uppercase;">3. LIMITEZ AU MAXIMUM VOTRE ENGAGEMENTQue ce soit dans son montant ou sa durée, limiter la portée de votre cautionnement réduira d’autant les risques qui pèsent sur vous :
https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/mppdevelopments3/emails/new/template1/line.jpg") left bottom no-repeat; color: rgb(2, 83, 110); text-transform: uppercase;">4. VÉRIFIEZ QUE VOTRE ENGAGEMENT EST ADAPTÉ À VOTRE CAPACITÉ FINANCIÈREVotre patrimoine vous permet-il de faire face à l’éventuel remboursement de tout ou partie des dettes du débiteur ? En clair, votre engagement ne saurait être disproportionné par rapport à vos capacités de remboursement. C’est au moment de la conclusion du contrat de cautionnement que s’apprécie cet équilibre mais la Cour de cassation a récemment estimé que c’était au « jour où la caution était appelée que cette évaluation devait être réalisée ». En l’espèce, une caution qui ne pouvait faire face à son engagement lors de la conclusion du contrat s’était enrichie depuis…
https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/mppdevelopments3/emails/new/template1/line.jpg") left bottom no-repeat; color: rgb(2, 83, 110); text-transform: uppercase;">5. PASSEZ PAR UN NOTAIREGénéralement établi « sous seing privé », le cautionnement - qui doit obligatoirement être écrit - peut aussi être rédigé par un notaire. Celui-ci veillera à ce que les formalités requises (mention manuscrite indiquant de façon claire que le garant se porte caution, indication du montant dû en lettres et en chiffres s’il est connu à l’avance, etc.) soient respectées. Enfin, il vous fera profiter de son expertise en vous expliquant la portée, les effets et les risques du cautionnement.
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Le 21 mars 2017, à Loches, photo d’une 2CV en bois fruitier de Touraine, grandeur nature, construite par un passionné –AFP/Archives GUILLAUME SOUVANTCertains ont rêvé toute leur vie de posséder un jour une 2CV, un modèle devenu mythique et prisé des collectionneurs. Michel Robillard, lui, a concrétisé le projet fou de fabriquer une 2CV entièrement en bois, capable de rouler.Ce retraité de la menuiserie vient de terminer la fabrication d’une 2CV en bois fruitier de Touraine, un véhicule grandeur nature unique au monde équipé pour prendre la route et qui s’apprête à passer son premier contrôle technique.La barbe jaunie par la cigarette, Michel Robillard époussète les copeaux prisonniers dans les mailles de son pull. Son regard bleu acier s’illumine lorsqu’il touche le bois poncé avec délicatesse de ses maquettes.C’est en 2011 qu’il s’est lancé le défi de les transformer en un modèle à taille réelle. Six ans plus tard, il réalise son rêve le plus fou, une reproduction en bois d’une 2CV de 1953, parée pour prendre la route cet été.![]() Details / AFP PHOTO / GUILLAUME SOUVANT Plusieurs essences de bois ont été nécessaires pour concevoir ce qui, au final, relève de l’œuvre d’art: du poirier pour l’ossature, du pommier pour le capot, du noyer pour les ailes et le volant, du merisier pour les portes et le coffre, et de l’orme galeux pour le tableau de bord.« Les 22 ondulations du capot ont été faites dans la masse du bois. Et les finitions peaufinées aux ciseaux à bois et au papier de verre », précise Michel Robillard.L’automobile possède une mécanique d’origine. « J’ai travaillé sur un châssis de Diane 6 de 1966 et un moteur de 3CV car le bois est plus lourd que la carrosserie originale. Je l’ai isolé sous le capot en mettant une protection thermique », explique-t-il.« Si les roues et les phares sont également d’origine, les enjoliveurs sont eux bien en bois, tout comme les sièges sur lesquels sont posés des cousins confortables. »L’étonnante voiture devrait passer le contrôle technique dans quelques semaines, mais le retraité aux doigts d’or a déjà eu des offres d’achat.Pas question pour autant de la vendre, assure ce passionné. « Je voulais faire un objet qui reste après moi. J’aimerais que cette voiture soit un jour exposée dans une galerie d’art. »Autre rêve avoué: que son véhicule soit un jour à l’affiche d’un film publicitaire ou même d’un long-métrage. Mais pas un remake du Corniaud de Gérard Oury où sa voiture fétiche est bien trop malmenée…« Je recherche toujours la difficulté »Avant d’en arriver là, Michel Robillard a réalisé une quinzaine de maquettes. Elles trônent aujourd’hui sur les étagères de son atelier-musée au milieu des champs près de Loches, dans la région de Tours (centre-ouest de la France), précieusement gardées par deux jarres et deux bergers allemands.Depuis la fin des années 1990, il a élaboré à la main d’étonnantes maquettes à l’échelle 1/10, toutes en bois fruitier de Touraine: 4CV, Coccinelle Volkswagen de 1949, Auburn popularisée par l’acteur américain Clark Gable, Lincoln, Bugatti Royale de 1936…Certaines sont de véritables bijoux, comme cette Harley Davidson et son side-car qui ont reçu la médaille d’or au salon du modèle réduit de Paris en 2004, récompensant ainsi plus de 500 heures de travail.« Rien que pour faire une roue en noyer et sa jante en poirier, il faut une journée de travail! Je recherche toujours la difficulté. Sur les roues de moto, je fais des doubles rayonnages sur des jantes de 20 millimètres », confie-t-il.A côté de ce modèle unique, exposé avec les nombreux trophées obtenus lors de salons du modélisme un peu partout en France et à l’étranger, d’autres sont tout aussi impressionnants, comme un camion américain de plus de mille pièces dont 150 sous le capot, qui a nécessité un an de travail, ou la Ferrari de Michael Schumacher qui rejoindra bientôt… le musée Maranello en Italie.Par Christian PANVERT© 2017 AFP
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Les experts de Kaspersky Lab ont mis au jour un type de fraude relativement nouveau : le développement des cryptomonnaies n'attire pas seulement les investisseurs mais aussi des cybercriminels poussés par l'appât du gain !
Au cours du premier semestre 2018, les produits de la société ont bloqué plus de 100.000 événements déclencheurs liés à des cryptomonnaies, sur de faux sites et d'autres plateformes. Chacune de ces tentatives visait à leurrer un nombre croissant d'utilisateurs crédules par des stratagèmes frauduleux.
Le phénomène des cryptomonnaies et l'engouement qu'elles suscitent ne sont pas passés inaperçus des cybercriminels... Pour réaliser leurs noirs desseins, ceux-ci emploient généralement des techniques classiques de phishing mais vont souvent au-delà des scénarios "ordinaires" que nous connaissons. En s'inspirant des investissements ICO (Initial Coin Offering) et de la distribution gratuite de cryptomonnaies, les cybercriminels ont pu abuser aussi bien de l'avidité des détenteurs de monnaie virtuelle que de la naïveté des néophytes.
Fausses pages web
Certaines des cibles plus prisées sont les investisseurs ICO, qui cherchent à placer leur argent dans des start-ups dans l'espoir d'en tirer profit à l'avenir... A leur intention, des cybercriminels créent de fausses pages web imitant les sites de projets ICO officiels ou bien tentent d'accéder à leurs contacts de façon à pouvoir diffuser un message de phishing contenant le numéro d'un e-portefeuille et incitant les investisseurs à y envoyer leurs cryptomonnaies.
Les attaques les plus fructueuses se servent de projets ICO bien connus... Par exemple, en exploitant l'ICO Switcheo au moyen d'une proposition de distribution gratuite de cryptomonnaies, des malfaiteurs ont dérobé l'équivalent de plus de 25.000 dollars après avoir propagé un lien via un faux compte Twitter.
Autre exemple, la création de sites de phishing pour le projet ICO OmaseGo a permis à des escrocs d'empocher plus de 1,1 million de dollars dans cette cryptomonnaie. Les cybercriminels ont été tout aussi intéressés par les rumeurs entourant l'ICO Telegram, ce qui a eu pour effet l'apparition de centaines de sites factices destinés à recueillir de prétendus "investissements".
Escroqueries aux faux dons
Une autre tendance répandue porte sur des escroqueries aux faux dons de cryptomonnaie. La méthode la plus courante consiste à demander aux victimes de faire cadeau d'une petite somme en monnaie virtuelle, en leur faisant miroiter un gain bien plus élevé dans cette même monnaie à l'avenir.
Les malfrats vont même jusqu'à utiliser les comptes de personnalités réputées sur les réseaux sociaux, telles que l'homme d'affaires Elon Musk ou le fondateur de la messagerie Telegram, Pavel Durov. En créant de faux comptes et en s'en servant pour répondre aux tweets d'utilisateurs de bonne foi, les escrocs réussissent à tromper des internautes.
Selon les estimations approximatives de Kaspersky Lab, des cybercriminels seraient parvenus l'an dernier à engranger plus de 21.000 ETH (la cryptomonnaie Ether, qui utilise la blockchain générée par la plate-forme Ethereum), soit plus de 10 millions de dollars au cours actuel, grâce aux stratagèmes que nous venons de décrire. Cette somme ne tient même pas compte des attaques de phishing classiques ou des cas de génération d'une adresse individuelle pour chaque victime.
"Notre étude révèle que les cybercriminels sont passés maîtres dans l'art d'actualiser et de développer leurs ressources afin d'obtenir un maximum de résultats de leurs attaques de phishing liées aux cryptomonnaies. Ces nouveaux stratagèmes de fraude reposent sur des méthodes élémentaires d'ingénierie sociale mais se distinguent des attaques de phishing habituelles car ils peuvent rapporter des millions de dollars à leurs auteurs. Les succès obtenus par ces escrocs donnent à penser qu'ils savent comment exploiter le facteur humain, l'un des éternels maillons faibles de la cybersécurité, pour profiter du comportement des utilisateurs", commente Nadezhda Demidova, analyste en contenus web chez Kaspersky Lab.
Quelques règles de base
Les chercheurs de Kaspersky Lab conseillent aux utilisateurs d'observer quelques règles élémentaires afin de protéger leurs avoirs en cryptomonnaie :
Rappelez-vous que rien n'est jamais gratuit et que les offres qui paraissent trop belles pour être vraies doivent être traitées avec scepticisme...
Vérifiez auprès de sources officielles les informations concernant la distribution gratuite de cryptomonnaies. Par exemple, si vous remarquez une distribution pour le compte de l'écosystème de blockchain Binance, piraté récemment, rendez-vous sur le site officiel pour y obtenir des éclaircissements.
Vérifiez si des tiers sont liés au portefeuille vers lequel vous envisagez de transférer vos économies. L'une des solutions consiste à faire appel à des navigateurs de blockchain, tels que etherscan.io ou blockchain.info, qui permettent aux utilisateurs de visualiser des informations détaillées sur toute transaction en cryptomonnaie et de déterminer si le portefeuille risque d'être dangereux.
Vérifiez toujours les liens et données affichés dans la barre d'adresse du navigateur, par exemple que vous y lisez bien "blockchain.info", et non "blackchaen.info".
Conservez l'adresse de votre e-portefeuille dans un onglet et accédez-y depuis ce dernier, ce qui évitera une erreur de saisie dans la barre d'adresse, susceptible de vous faire aboutir accidentellement à un site de phishing.
Pourquoi acheter la crypto monnaie ?
Aujourd’hui, la crypto-monnaie est connue comme étant un choix d’investissement conventionnel et populaire. La forte volatilité des crypto monnaies offre des opportunités illimitées de trading.
https://www.boursier.com/crypto-monnaies/cours-du-bitcoin-et-des-crypto-monnaies
La Crypto monnaie est devenue le nouvel or des traders en 2018 !
Pourquoi les cryptomonnaies attirent tant ?
Forte volatilité = Opportunités
Beaucoup de raisons expliquent le gain de popularité des monnaies électroniques dans le monde entier. Leur offre est limitée et des codes sources définissent la quantité exacte qui peut exister. Les utilisateurs du trading en ligne sur ces devises jouissent d’avantages différents de ceux de traders de devises traditionnelles. Par exemple, les gouvernements ne peuvent pas intervenir et les banques ne peuvent pas geler votre compte. Étant donné que la quantité de crypto-monnaie est limitée, avec le temps, leur valeur peut augmenter.
Gardez votre anonymat
Les crypto monnaies attirent beaucoup de monde car le contrôle direct de banques et des gouvernements est absent, en effet la discrétion et l’anonymat sont au centre de la propriété des pièces électroniques. Il est de plus en plus difficile d’identifier les comptes des utilisateurs. Généralement, les transactions sont moins chères que les transactions traditionnelles effectuées par le biais de banques.
Les cryptomonnaies vont sans doute transformer le monde financier. En attendant, il est important que leurs utilisateurs connaissent leurs limites et la volatilité qui les caractérise.
Leur cours est globalement défini par la demande. Grâce aux codes très complexes des crypto monnaies, les contrefaçons sont impossibles. Elles représentent des choix d’investissement gratifiants, tout en restant incertains. Les résultats à long terme sont encore inconnus, mais la crypto-monnaie gagne en popularité et elles sont loin de disparaître.
Comment fonctionne la Blockchain?
Les cryptomonnaies sont des devises électroniques encodées que les gens s’échangent. Elles sont décentralisées, ce qui veut dire qu’elles ne dépendent d’aucune banque ou institution gouvernementale. Il s’agit d’une série de codes cryptés transmis et stockés par un réseau. Toutes les transactions sont confirmées et stockées dans un registre public. Le système utilise d’autres techniques complexes destinées à certifier et à valider la procédure de tenue des registres.
L’absence de régulation des cryptomonnaies signifie qu’elles sont hautement volatiles par nature et qu’un investissement peut donc être très rentable rapidement ou vous faire perdre de l’argent rapidement. C’est en raison de cette absence de régulation que de nombreuses entreprises refusent encore l’utilisation de ces monnaies.
Il existe une quantité fixe de cryptomonnaies qui peut être créée. Cette quantité a été déterminée dès le départ et une fois que ce montant est atteint aucune autre devise électronique ne peut être créée.
La valeur du Bitcoin et d’autres monnaies électroniques évolue pour de nombreuses raisons, comme des rapports médiatiques, des déclarations gouvernementales, une utilisation accrue de ces monnaies… et, pour cela, leur cours est en train d’augmenter. Leur imprévisibilité en fait des actifs attrayants pour les traders. Maintenant les discussions concernent la gestion de ces devises, ce qui peut également faire évoluer leur cours.
Comment les cryptomonnaies ont-elles été créées
En 2009, Satoshi Nakamoto a trouvé le moyen de créer une monnaie décentralisée. C’est alors que le Bitcoin est devenu la première monnaie électronique
La “chaîne de blocs” est le grand registre qui enregistre et stocke toutes les transactions et les activités deminage de crypto monnaies, les trades et les achats. Dans le même temps, il faut une validation de propriété. Techniquement, une transaction n’est pas finalisée tant qu’elle n’a pas été ajoutée à la chaîne de blocs, ce qui prend généralement quelques minutes et est irréversible.
Entre les transactions, les unités ne peuvent être utilisées par aucune des deux parties, ce qui empêche les doubles dépenses, les fraudes et les duplicatas.
Chaque utilisateur dispose d’un “porte-monnaie” doté d’informations spécifiques confirmant le fait qu’ils sont propriétaires de crypto-monaies spécifiques. Ces porte-monnaies permettent d’envoyer et de recevoir des devises et ils agissent en tant que registres personnels des transactions.
Ces porte-monnaies sont sécurisés, toutefois des mesures supplémentaires et des mots de passe sont nécessaires. Ces porte-monnaies peuvent être stockés dans un “cloud” ou un disque dur interne.
Les “Mineurs” agissent en tant que “teneurs de registre” pour les communautés de crypto monnaie. D’autres technologies permettent de créerde nouvelles pièces et de vérifier les chaînes de blocs.
Nos meilleures crypto monnaies
Bitcoin
Cette monnaie ultra-puissante n’a pas seulement ouvert la voie à d’autres monnaies, mais elle est en tête du monde des cryptomonnaies. Elle est gérée de telle manière qu’aucun autre Bitcoin ne puisse être créé, puisque une quantité maximale de 21 millions unités de Bitcoin est disponible. Lors de son introduction, 1 dollar US valait 1,309 BTC. Les choses ont changé lorsque le Bitcoin a franchi la barre des 2.000€ en 2017 (ce qui veut dire qu’un BTC valait 2.000€). Il s’est agi d’un moment particulièrement significatif pour Satoshi Nakamoto, créateur du Bitcoin.
Ethereum
L’Ethereum est plus qu’une simple devise, il est comme un ordinateur géant abritant de nombreux ordinateurs à travers le monde. L’Ethereum peut répondre à des demandes sophistiquées. Sa capacité à stocker des programmes informatiques révolutionnaires donne à l’Ethereum une longueur d’avance sur le Bitcoin et il a attiré l’attention des banques du monde entier. Ceci, entre autres, a conduit à un bond de près de 1000% de l’Ethereum cette année!
Ripple
Le Ripple peut être décrit comme la nouvelle génération des réseaux de paiement. Initialement conçu pour attirer les grandes institution financières, la monnaie numérique est devenue une technologie de pointe. Elle a explosé ces dernières semaines – en seulement un jour le Ripple a grimpé de 71%
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Dash
Devenue une cryptomonnaie très populaire, le Dash est souvent qualifié de Bitcoin 2.0. Cette monnaie numérique a été conçue pour remédier à certaines faiblesses du Bitcoin. Les développeurs ont ajouté quelques fonctions au Dash pour le rendre plus rapide et plus anonyme que le Bitcoin. Au cours des deux dernières semaines, le Dash a engrangé plus de 100%!
Litecoin
Le Litecoin est très similaire au Bitcoin et il s’agit aussi de l’une des cryptomonnaies les plus anciennes. Cependant, il existe deux grandes différences entre le Litecoin et le Bitcoin: leur rapidité et leur quantité. S’il faut 10 minutes pour créer un bloc Bitcoin, le Litecoin ne prend que 2,5 minutes – c’est donc 4 fois plus rapide. Plus encore, le Litecoin attire de nombreux utilisateurs puisqu’il peut produire 4 fois la quantité de Bitcoins! Cependant, étant donné que le Litecoin nécessite une cryptographie hautement complexe, son minage est souvent beaucoup plus compliqué que celui d’autres cryptomonnaies.
Monero
Le Monero (XMR) a été créé en avril 2014 et il se concentre davantage sur la protection de la vie privée, la décentralisation et l’adaptabilité. Il s’agit d’un système sécurisé, privé et intraçable. Le Monero utilise une cryptographie spéciale pour veiller à ce que toutes ses transactions soient à 100% intraçables. Le mot ‘Monero’ vient de la langue Esperanto et il signifie pièces
NEO
Le NEO est la 1ère crypto-devise décentralisée à source ouverte. Il a été lancé en Chine et utilise un algorithme de chaîne de blocs semblable à celui de l’Ethereum. Si les mêmes bases s’appliquent, il soutient également un commerce décentralisé, ainsi que l’identification et la numérisation de plusieurs actifs
Habitat et Humanisme proposeune alternative à l'hospitalisation des personnes fragilisées, isolées et sans ressources
Monsieur le Professeur Jean-Yves Blay, Directeur général du centre de lutte contre le cancer, le Centre Léon Bérard CLBde Lyon et Bernard Devert, Président-Fondateur du mouvement Habitat et Humanisme etde l'association La Pierre Angulaire LPA, réseau de maisons de retraite et de soins, membre d'Habitat et Humanisme ont signé ce 19 juillet une convention de partenariat.
Ce partenariats'inscrit dans une démarche expérimentale : une alternative à l'hospitalisation des personnes fragilisées, isolées et sans ressources. Il s'agit de proposer aux patients du CLB éligibles à l'hospitalisation à domicile (HAD), mais ne pouvantpasen bénéficier en raison d'un logement inadapté, d'une situation sociale fragile, d'un trop grand isolement
, une solution d'HAD au sein de la Maison de l'Hospitalité de Béthanie gérée par LPA.
Située à Villeurbanne, la Maison de l'Hospitalité de Béthanie dispose de 17 logements en accueil temporaire, d'un Centre de Soins Infirmiers (CSI) et d'un Service de Soins Infirmiers à Domicile (SSIAD).
Une équipe de bénévoles intervient par ailleurs, pour des temps de présence bienveillante auprès des personnes logées.
Dans le cadre du partenariat, les frais de prise en charge des patients seront partagés entre LPA et le CLB, avec une participation de 25/ jour du patient correspondant aux frais de repas et d'une quote-part des charges de personnel.
La convention est signée pour unepériode expérimentaled'unedurée de 6 mois compte tenu du caractère limité du financement et de la nécessité de rechercher des sources de financements permettant de transformer l'expérience en projet pérenne. Ainsi, les parties s'engagent durant ces 6 mois à tout mettre en uvre pour arriver à des solutions de mécénat permettant de couvrir les frais de prise en charge des patients.
Le LCB est un Centre de Lutte contre le Cancer, un établissement de Santé Privé d'Intérêt Collectif. Il fait partie des 18 centres de Lutte contre le Cancer dont la liste est fixée par arrêté du Ministre de la Santé (Arrêté du 28 janvier 2011). Centre de référence et de recours pour la cancérologie en Région Auvergne-rhône-Alpes, il regroupe 1718 professionnels et a accueilli plus de 34 000 patients en 2016.
LPA est uneassociationmembre du mouvement Habitat et Humanisme qui anime un réseau d'établissements d'accueil et de soin de personnes âgées, dont, la Maiosn de l'Hospitalité de Béthanie. Cet établissement dispose de 17 places d'hébergement temporaire accueillant des personnes à un moment où elles connaissent une situation de fragilité.
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Les Français et les animaux de compagnie
Cliquez sur ce lien pour retrouver les résultats complets de l'enquête
https://www.ifop.com/wp-content/uploads/2018/07/115680-Rapport.pdf
L’association Croc Blanc, représentée par sa présidente Catherine Moutarde, est une association de protection animale qui œuvre depuis 13 ans en faveur des animaux de compagnie (chiens, chats, nouveaux animaux de compagnie, chevaux), en portant secours et assistance aux animaux abandonnés ou maltraités, principalement sur les régions Rhône Alpes et Grand Est.
Dans le cadre de la volonté de l’association Croc Blanc de travailler sur le fond et d’oeuvrer afin que nos animaux de compagnie bénéficient enfin de droits qui leur revienne, l’institut de sondage IFOP a réalisé ce mois-ci une enquête composée de 8 questions inédites afin d’interroger les Français sur leur ressenti.
Le constat est sans appel et montre une volonté massive des Français en faveur d’une amélioration des lois régissant le bien-être de nos animaux domestiques :
– 81% des Français se prononcent pour un véritable Droit Animal afin d’endiguer les abandons (la France détient le record des abandons avec un nombre total de 100 000 abandons chaque année, soit 1 abandon toutes les 5 minutes), et afin d’endiguer les maltraitances et euthanasies massives (estimées à 60 000 chaque année)
– 73% des Français souhaitent un contrôle accru de tous les métiers ou activités utilisant l’animal de compagnie
– 73% des Français demandent l’interdiction de toute expérimentation animale sur nos animaux de compagnie
– 76% des Français demandent l’interdiction des colliers étrangleurs pour chiens
– 76% des Français demandent l’interdiction de faire vivre un chien à l’attache ou en enclos
– 58% des Français souhaitent améliorer le statut du cheval, se détournant ainsi de la consommation de la viande de cheval et souhaitant qu’il bénéficie enfin des dispositions de protection des animaux de compagnie.
En revanche, il est 2 points sur lesquels les Français semblent faire confiance aux lois actuelles avec des avis plus mitigés, à savoir :
– Les règles de détention des chiens de race Rottweiler et American staff notamment
– La vente des chiens et chats sur les marchés, foires, salons et magasins.
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Aujourd’hui, Emmanuel Macron, issu lui aussi de la banque Rothschild, ne compte pas bien sûr remettre en cause cette loi, préférant faire des coupes sombres dans les budgets sociaux pour réduire le déficit de l’Etat…
1973, le Trésor public ne peut plus présenter ses propres effets à l’escompte de la Banque de France. En clair, l’État est condamné à se financer par des emprunts, contre intérêts, auprès de banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la Banque de France.
Comment en est-on arrivé là ? En 1973, après de 30 années de création monétaire, l’économie française était remise à flot. Dans l’esprit de l’ancien président de la République, Georges Pompidou, et des hauts fonctionnaires qui l’entouraient à l’époque, la France était désormais reconstruite suite aux destructions de la deuxième guerre mondiale.
Il semblait donc plus aussi nécessaire de laisser persister des mécanismes qui s’étaient avérés bénéfiques pour le financement de dépenses d’investissements structurels, d’autant plus que ces mécanismes de création monétaire avaient été souvent utilisés pour financer le fonctionnement courant de l’Etat.
Il s’agissait avant tout d’instituer un garde-fou afin de préserver le pays de l’inflation et des dévaluations de la monnaie en s’imposant une discipline budgétaire. Il apparut souhaitable à la fois d’encadrer les dérives potentielles de l’Etat et de sortir d’une ère d’économie administrée en établissant un autre système de financement.
Mais le problème, c’est que ces bonnes intentions finirent par faire le jeu du monde de la finance qui a vite vu l’intérêt qu’il pouvait retirer d’un système par lequel l’État devait obligatoirement passer pour emprunter. De ce point de vue, la loi de 1973 fut également le fruit d’un habile lobbying bancaire visant à neutraliser tous ceux qui étaient favorables au système en vigueur jusqu’ici.
Cette loi a été abrogée en 1994 mais après avoir été étendue et confortée au niveau de l’Union européenne par les traités de Maastricht (à compter du 1er novembre 1993, article 104) et Lisbonne (à compter du 1er décembre 2009, article 123) que la France appliquer à la lettre depuis cette date.
Les critiques de la loi de 1973
Contrairement à ce qu’escomptaient les initiateurs de la loi de 1973, l’endettement public non seulement s’est poursuivi mais a augmenté considérablement, l’État étant progressivement devenu l’otage d’un système financier privé.
On le voit aujourd’hui en France mais aussi en Grèce, en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie, ce ne sont plus les états qui gouvernent mais la « troïka » (Union européenne, Fond monétaire international et Banque centrale européenne) qui resserre toujours davantage son emprise financière sur les pays, notamment du Sud de l’Europe.
La critique de cette loi a notamment été porté par Étienne Chouard qui a préfacé le livre de l’essayiste altermondialiste André-Jacques Holbecq « La dette publique, une affaire rentable », publié en 2008.
Le webdocumentaire « L’Argent Dette » (documentaire sur la création monétaire, 2008) de de Paul Grignon, fustige le fait que les États empruntent de l’argent et payent des intérêts, alors qu’ils pourraient créer l’argent. Diffusé en streaming sur le web et en DVD, il nous montre à l’aide d’animations et d’explications claires la façon dont est créé l’argent. Et contrairement à ce que l’on peut croire, la monnaie créée par l’État ne représente que 5% de l’argent en circulation contre 95% créée par quelqu’un signant une reconnaissance de dette à une banque.
Gabriel Galand et Alain Grandjean, membres de l’association « Chômage et Monnaie », créée en 1992, ont dénoncé eux aussi cette loi dans un livre de 1996, » La monnaie dévoilée « , aux Editions L’Harmattan.
Dans le documentaire franco-allemand d’Arte, « La dette, une spirale infernale ? », le pouvoir des banques de créer de l’argent à partir de rien, contre une promesse de remboursement y est critiqué également par le regretté Bernard Maris qui expliquait notamment : « L’argent, qui était devenu un bien public – c’est-à-dire que l’État gérait la création monétaire – est redevenu un bien privé, créé par les banques, de grandes puissances autonomes, dans les années 1970, et après ça n’a fait que s’amplifier ».
C’était aussi l’avis de Michel Rocard qui estimait que cette loi a « interdit à l’État de se financer sans intérêt auprès de la banque de France » et l’a obligé à « aller se financer sur le marché financier privé à 4 ou 5 % ».
Dans son livre « L’Arnaque du siècle » de 2012, Nicolas Dupont-Aignan écrit « Comment pouvons-nous accepter d’avoir transféré la création monétaire au secteur privé, c’est-à-dire aux banques privées ? […] Est-il normal, pour construire une autoroute, pour financer le haut débit, d’emprunter à 3 % à des banques ou par des obligations alors que la banque centrale publique prête à 1 % ? […] Alors même que l’on pourrait, comme la France l’a fait jusqu’en 73 […] financer à un taux abordable nos équipements publics ? ».
Des critiques, comme Emmanuel Todd, vont jusqu’à considérer que la dette est illégitime et ne doit pas être remboursée.
Des chiffres méprisés par Emmanuel Macron
Si les taux d’intérêt ont fortement diminué ces dernières années, s’établissant à moins de 1% en moyenne ou même négatifs à certaines périodes de l’année depuis 2012, ils ont été très élevés par le passé.
Dans les années 80, le taux d’intérêt moyen à 10 ans était de 11,9%, dans les années 90 de 6,3%, dans les années 2000 de 3,9%. En 2011, les taux d’intérêt à dix ans notamment sur les emprunts d’Etat de la Grèce ont atteint des niveaux record, jusqu’à 17,68 % ! La tension sur la Grèce a poussé à la hausse les taux des autres pays fragiles de la zone euro : les rendements à dix ans de l’Irlande ont atteint jusqu’à 11,31 % et ceux du Portugal 10,46 %.
En 1978, la dette publique de la France représentait 72,8 milliards € et 21,2% du PIB.
En 1988 : 302,8 milliards € et 33,3% du PIB.
En 1998 : 787,4 milliards € et 59,6% du PIB.
En 2005 : 1147,6 milliards € et 66,8% du PIB. La charge de la dette (paiement des intérêts seuls) se montait à 47,4 milliards d’euros, soit la presque totalité de l’impôt sur le revenu payé par les Français. Cette charge était le deuxième poste budgétaire de l’État français, après celui de l’Éducation nationale et avant celui de la Défense.
En 2007 : 1211,6 milliards € et 64,2 % du PIB. La charge des intérêts se montait à plus de 50 milliards d’euros, soit l’équivalent du déficit public.
Fin 2013 : 1 925,3 milliards d’euros, soit 93,5 % du PIB.
A la fin du 1er semestre 2014, la dette a dépassé officiellement les 2 000 milliards €.
Fin 2015, lorsque Emmanuel Macron était encore ministre de l’Economie, de l’industrie et du Numérique, la dette est montée à 2 098 milliards € !
Fin juillet 2017, la dette s’élevait à 2 226 milliards € (soir 35 441 € par habitant et 70 882 € par ménage)
Un calcul précis révèle en outre que de 1980 à 2008, la dette a augmenté de 1 088 milliards €, les intérêts payés se montant à 1306 milliards d’euros ! Sans les intérêts encaissés par les financiers privés, la dette publique française se serait élevée, fin 2008, à 21,4 milliards d’euros au lieu de 1 327 milliards € !
Une situation dramatique qui s’est encore aggravée depuis la crise de 2008 où, en volant au secours des institutions financières, l’État est également devenu le fournisseur en premier ressort de ces mêmes institutions qui lui reprochent son endettement et lui appliquent en conséquence des taux usuraires.
Aujourd’hui, Emmanuel Macron occulte systématiquement le problème du financement de la dette publique par des organismes bancaires privés à l’image des « éminents journalistes » que sont les Apathie, Barbier, Calvi, Demorand, Joffrin, Lechypre, Lenglet, Pernaut, Pujadas qui préfèrent parler de « l’insupportable fardeau de la dette », « la France en faillite », « les nécessaires sacrifices à faire », « la nécessité de ne pas vivre au-dessus de nos moyens » etc.
C’est ainsi que s’imposent dans l’opinion françaises et européenne des vérités apparentes qui confortent l’inéluctabilité de l’austérité et la remise en cause le système des créanciers privés pour financer l’endettement des états…
SOURCE : https://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/de-pompidou-a-macron-le-systeme-195750