Merci Pierre Jean Llorens ...et vous, vous en pensez quoi ?

Chère Madame, cher Monsieur,
Cher Citoyen averti,

Une menace imminente pèse sur votre vie privée, votre liberté, votre argent et la solidarité au sein de notre société.

Elle vient, une fois encore, des institutions européennes et des banques.

Certes, vous pouvez fermer mon message en cliquant sur la petite croix en haut à droite… mais vous serez seul quand vos enfants vous demanderont : « Papa, Maman, où étiez-vous quand ils ont mis en place ce système totalitaire ? »

Ou bien vous pouvez prendre trois minutes de votre temps pour arrêter la menace au plus vite.

Si la mesure en question venait à passer, vous pourriez perdre le contrôle sur votre compte en banque et votre vie du jour au lendemain.

Voilà à quoi va ressembler la société française quand cette mesure rentrera en application.

·     Imaginez que vous vous retrouviez au chômage. 40% des Français ont peur que ça leur arrive d’ici trois mois. Vous en faites peut-être partie. Et parfois, il suffit de moins : un accident de la vie, une difficulté passagère…

… Et vous vous retrouvez interdit bancaire. Votre compte ne répond plus.

Aujourd’hui, vous pouvez tenter d’aller chercher de l’aide auprès de la famille, des amis.

Si cette mesure passe, ce ne sera plus possible. Ils seront dans l’incapacité financière de vous aider. Tout simplement parce que tous les flux financiers seront sous le contrôle de quelques acteurs.

Il n’y aura plus possibilité de dépanner quelqu’un, qu’il s’agisse de proches ou d’un simple geste de solidarité envers une personne dans le besoin.

Autrement dit, vous devrez vous débrouiller seul. Cette mesure va interdire la charité. La solidarité la plus élémentaire sera rendue impossible.

Si cette mesure passe, vous n’aurez plus aucune vie privée. A tout instant, un fonctionnaire pourra contrôler ce que vous faites, de manière totalement arbitraire.

Oh, vous n’avez probablement rien à craindre. Vous menez votre petite vie tranquille dans votre coin.

Mais que se passera-t-il si vous contestez un peu trop fort une décision politique ? Que se passera-t-il si vous devenez une des « cibles » du pouvoir politique ?

Du jour au lendemain, vous deviendrez un paria. La mort sociale assurée.

Mais ce n’est pas tout.

·     Si vous êtes indépendant, vous connaissez les déboires du Régime Social des Indépendants.

Erreurs dans les demandes, erreurs dans les prélèvements, des erreurs informatiques partout.

Maintenant, imaginez que ce soit le cas sur tous vos actes de la vie quotidienne.

Imaginez que, de manière arbitraire, vos comptes soient bloqués. Vous pourrez toujours vous dépanner avec un peu d’argent ?

Si cette mesure passe, oubliez cela. Vous n’aurez plus aucune alternative. Vous serez coincé hors du système, jusqu’à ce quelqu’un trouve comment résoudre l’erreur administrative. Cela peut prendre longtemps, longtemps, longtemps.

Ces trois situations arrivent tous les jours. Elles sont handicapantes.
Demain, elles seront très dangereuses.

Mon message vous concerne personnellement. Vous et moi devons nous mobiliser tout de suite contre ce braquage généralisé en préparation.

Avant de vous en dire davantage, permettez-moi de me présenter.

Je m’appelle Simone Wapler. Je suis Directrice des Rédactions au sein des Publications Agora.

Notre réseau d’informations économiques et financières est international. Fondé en 1979, il est aujourd’hui plus grand que le New York Times et le Wall Street Journal.

En France, voilà 20 ans que nous aidons et informons les épargnants individuels. Nous gardons un œil sur tout ce qui peut porter atteinte au compte en banque des « petites gens » (entre guillemets), comme vous et moi.

Nous avons remarqué qu’un scandale majeur se prépare au sein des institutions européennes. Il pourrait permettre de ruiner instantanément tous les Européens. 500 millions de personnes à la merci d’une petite caste. Un continent entier enchaîné.

Mais pas seulement. Ce scandale pourrait mener à des changements dramatiques dans notre pays. Les Français insatisfaits risqueront la répression. Avec cette mesure de surveillance généralisée, on saura si vous vous opposez aux décisions politiques.

J’insiste : la gabegie de ces 40 dernières années en France est bien peu de choses à côté de ce qui se prépare – et ce que je veux vous révéler aujourd’hui.

Cette mesure qui se prépare en ce moment-même a un nom : c’est la société sans cash.

Une société où vous n’aurez plus aucune alternative aux banques ; vous pourrez au mieux passer d’une banque à une autre. Mais il sera interdit de sortir de ce système.

La véritable raison apparaît quand les banques sont menacées de faillite, comme à Chypre il y a quelques années. Alors, les retraits sont plafonnés pour éviter le constat que les banques sont incapables de rendre à leurs clients leurs dépôts.

Le cas de Chypre a créé un précédent.

A la prochaine menace sur la solvabilité des banques, le droit européen prévoit que de telles mesures pourront être généralisées sur le continent, nous rendant prisonniers des banques et privés de notre droit de propriété.

Car il ne faut pas oublier que les détenteurs de comptes en banques que nous sommes devraient être propriétaires de l’argent qui y est déposé.

Or de plus en plus de voix, comme celle de Christine Lagarde, directrice générale du FMI, se font entendre pour que les comptes en banque puissent être partiellement saisis par les Etats en cas de nouvelle crise financière.

Cette crise risque d’arriver bientôt. Il suffit que la Deutsche Bank vacille pour entraîner à nouveau le monde dans la crise de 2008. Ce n’est qu’une question de mois tout au plus.

Plus grave encore peut-être, les restrictions mises à l’autre bout de la chaîne sur les paiements en espèces obligent de plus en plus à recourir à la carte bancaire, permettant une transparence absolue des transactions pour les services de police et de renseignement.

Il suffit de regarder les mesures prises en France depuis quelques temps :

  • Depuis le 1er septembre 2015, les paiements en espèces supérieurs à 1 000 euros sont officiellement interdits.
  • Et depuis le 1er janvier 2016, les banques françaises sont chargées de vous surveiller elles aussi. Elles doivent signaler à l’Etat tout dépôt ou retrait d’espèces supérieur à 10 000 euros par mois.
  • Vous ne pourrez plus non plus faire du change en toute liberté : une pièce d’identité sera obligatoire dans les bureaux de change pour toute transaction de plus de 1 000 euros.
  • Les comptes hors-système plus simples et plus souples, type Nickel (que vous pouvez ouvrir dans les bureaux de tabac sur simple présentation d’une pièce d’identité) seront désormais référencés dans le même fichier que les comptes bancaires « traditionnels ».
  • Depuis 2014, vous ne pouvez plus payer vos impôts en liquide s’ils dépassent les 300 euros — contre 3 000 euros précédemment.

Au nom de la lutte contre le crime organisé, qui ne représente qu’une infirme partie de l’activité économique, nous sommes désormais tous traités comme des suspects.

Aussi « archaïques » puissent-elles paraître, les espèces sont un garde-fou contre cette tentation des banques, et des États, de vouloir s’accaparer les richesses des citoyens et de contrôler tous leurs faits et gestes.

C’est pourquoi, j’exige que votre gouvernement s’engage à prendre d’urgence les mesures suivantes :

  1. Les limites aux retraits en espèces ne doivent plus être justifiées que par les nécessités matérielles et non par la volonté des banques de conserver les avoirs des déposants ; les plafonds doivent donc être relevés en conséquence ;
  2. Les paiements doivent pouvoir être faits en espèces quel que soit le montant ; les billets émis par la BCE ont cours légal et forcé et doivent donc pouvoir être utilisés en toute circonstance ;
  3. Le contrôle des flux financiers doit se limiter aux individus et aux groupes connus pour être potentiellement liés à des réseaux terroristes ou mafieux ; les citoyens honnêtes doivent voir leur vie privée respectée par l’État dans leurs activités économiques.

Je vous demande de vous mobiliser aujourd’hui.

Si vous êtes comme moi, vous êtes soucieux de l’avenir de nos enfants et petits-enfants. Je tente de les instruire autant que je peux. L’éducation à l’argent en fait partie.

Je redoute que dans 10 ou 15 ans, ils viennent me voir et me demandent,
« Où étais-tu quand ils ont instauré la société sans cash, qui permet de tenir le peuple ? »

Ils vous poseront cette question aussi.

Tout dépend de ce que vous ferez aujourd’hui :

Vous pourrez vous apitoyer, trouver excuses sur excuses, pour justifier votre absence de réaction.

Ou bien…

Ce jour pourrait ne jamais arriver, parce que vous avez décidé d’agir. Parce que vous avez décidé de prendre 30 secondes supplémentaires… et de signer la pétition ci-dessous.

Votre signature s’ajoutera à celle de nombreux Français conscients de la situation. Nous déposerons la pétition aux services du Premier Ministre pour le forcer à répondre de la situation.

Le timing ne peut pas mieux tomber : les élections présidentielles approchent. C’est le moment ou jamais de nous faire entendre.

Je vous prie de signer cette pétition tout de suite, pour que ce cauchemar n’ait jamais lieu.

Bien sincèrement,
Simone Wapler

 

http://nonalasocietesanscash.fr/arreter-menace/

Pétition

Non à la société sans cash !

À l’attention de Monsieur le Premier Ministre


NOMBRE DE SIGNATURES

33447
http://nonalasocietesanscash.fr/arreter-menace/

Pétition

Non à la société sans cash !

À l’attention de Monsieur le Premier Ministre


NOMBRE DE SIGNATURES

33447

Chère Madame, cher Monsieur,
Cher Citoyen averti,

Une menace imminente pèse sur votre vie privée, votre liberté, votre argent et la solidarité au sein de notre société.

Elle vient, une fois encore, des institutions européennes et des banques.

Certes, vous pouvez fermer mon message en cliquant sur la petite croix en haut à droite… mais vous serez seul quand vos enfants vous demanderont : « Papa, Maman, où étiez-vous quand ils ont mis en place ce système totalitaire ? »

Ou bien vous pouvez prendre trois minutes de votre temps pour arrêter la menace au plus vite.

Si la mesure en question venait à passer, vous pourriez perdre le contrôle sur votre compte en banque et votre vie du jour au lendemain.

Voilà à quoi va ressembler la société française quand cette mesure rentrera en application.

·     Imaginez que vous vous retrouviez au chômage. 40% des Français ont peur que ça leur arrive d’ici trois mois. Vous en faites peut-être partie. Et parfois, il suffit de moins : un accident de la vie, une difficulté passagère…

… Et vous vous retrouvez interdit bancaire. Votre compte ne répond plus.

Aujourd’hui, vous pouvez tenter d’aller chercher de l’aide auprès de la famille, des amis.

Si cette mesure passe, ce ne sera plus possible. Ils seront dans l’incapacité financière de vous aider. Tout simplement parce que tous les flux financiers seront sous le contrôle de quelques acteurs.

Il n’y aura plus possibilité de dépanner quelqu’un, qu’il s’agisse de proches ou d’un simple geste de solidarité envers une personne dans le besoin.

Autrement dit, vous devrez vous débrouiller seul. Cette mesure va interdire la charité. La solidarité la plus élémentaire sera rendue impossible.

Si cette mesure passe, vous n’aurez plus aucune vie privée. A tout instant, un fonctionnaire pourra contrôler ce que vous faites, de manière totalement arbitraire.

Oh, vous n’avez probablement rien à craindre. Vous menez votre petite vie tranquille dans votre coin.

Mais que se passera-t-il si vous contestez un peu trop fort une décision politique ? Que se passera-t-il si vous devenez une des « cibles » du pouvoir politique ?

Du jour au lendemain, vous deviendrez un paria. La mort sociale assurée.

Mais ce n’est pas tout.

·     Si vous êtes indépendant, vous connaissez les déboires du Régime Social des Indépendants.

Erreurs dans les demandes, erreurs dans les prélèvements, des erreurs informatiques partout.

Maintenant, imaginez que ce soit le cas sur tous vos actes de la vie quotidienne.

Imaginez que, de manière arbitraire, vos comptes soient bloqués. Vous pourrez toujours vous dépanner avec un peu d’argent ?

Si cette mesure passe, oubliez cela. Vous n’aurez plus aucune alternative. Vous serez coincé hors du système, jusqu’à ce quelqu’un trouve comment résoudre l’erreur administrative. Cela peut prendre longtemps, longtemps, longtemps.

Ces trois situations arrivent tous les jours. Elles sont handicapantes.
Demain, elles seront très dangereuses.

Mon message vous concerne personnellement. Vous et moi devons nous mobiliser tout de suite contre ce braquage généralisé en préparation.

Avant de vous en dire davantage, permettez-moi de me présenter.

Je m’appelle Simone Wapler. Je suis Directrice des Rédactions au sein des Publications Agora.

Notre réseau d’informations économiques et financières est international. Fondé en 1979, il est aujourd’hui plus grand que le New York Times et le Wall Street Journal.

En France, voilà 20 ans que nous aidons et informons les épargnants individuels. Nous gardons un œil sur tout ce qui peut porter atteinte au compte en banque des « petites gens » (entre guillemets), comme vous et moi.

Nous avons remarqué qu’un scandale majeur se prépare au sein des institutions européennes. Il pourrait permettre de ruiner instantanément tous les Européens. 500 millions de personnes à la merci d’une petite caste. Un continent entier enchaîné.

Mais pas seulement. Ce scandale pourrait mener à des changements dramatiques dans notre pays. Les Français insatisfaits risqueront la répression. Avec cette mesure de surveillance généralisée, on saura si vous vous opposez aux décisions politiques.

J’insiste : la gabegie de ces 40 dernières années en France est bien peu de choses à côté de ce qui se prépare – et ce que je veux vous révéler aujourd’hui.

Cette mesure qui se prépare en ce moment-même a un nom : c’est la société sans cash.

Une société où vous n’aurez plus aucune alternative aux banques ; vous pourrez au mieux passer d’une banque à une autre. Mais il sera interdit de sortir de ce système.

La véritable raison apparaît quand les banques sont menacées de faillite, comme à Chypre il y a quelques années. Alors, les retraits sont plafonnés pour éviter le constat que les banques sont incapables de rendre à leurs clients leurs dépôts.

Le cas de Chypre a créé un précédent.

A la prochaine menace sur la solvabilité des banques, le droit européen prévoit que de telles mesures pourront être généralisées sur le continent, nous rendant prisonniers des banques et privés de notre droit de propriété.

Car il ne faut pas oublier que les détenteurs de comptes en banques que nous sommes devraient être propriétaires de l’argent qui y est déposé.

Or de plus en plus de voix, comme celle de Christine Lagarde, directrice générale du FMI, se font entendre pour que les comptes en banque puissent être partiellement saisis par les Etats en cas de nouvelle crise financière.

Cette crise risque d’arriver bientôt. Il suffit que la Deutsche Bank vacille pour entraîner à nouveau le monde dans la crise de 2008. Ce n’est qu’une question de mois tout au plus.

Plus grave encore peut-être, les restrictions mises à l’autre bout de la chaîne sur les paiements en espèces obligent de plus en plus à recourir à la carte bancaire, permettant une transparence absolue des transactions pour les services de police et de renseignement.

Il suffit de regarder les mesures prises en France depuis quelques temps :

  • Depuis le 1er septembre 2015, les paiements en espèces supérieurs à 1 000 euros sont officiellement interdits.
  • Et depuis le 1er janvier 2016, les banques françaises sont chargées de vous surveiller elles aussi. Elles doivent signaler à l’Etat tout dépôt ou retrait d’espèces supérieur à 10 000 euros par mois.
  • Vous ne pourrez plus non plus faire du change en toute liberté : une pièce d’identité sera obligatoire dans les bureaux de change pour toute transaction de plus de 1 000 euros.
  • Les comptes hors-système plus simples et plus souples, type Nickel (que vous pouvez ouvrir dans les bureaux de tabac sur simple présentation d’une pièce d’identité) seront désormais référencés dans le même fichier que les comptes bancaires « traditionnels ».
  • Depuis 2014, vous ne pouvez plus payer vos impôts en liquide s’ils dépassent les 300 euros — contre 3 000 euros précédemment.

Au nom de la lutte contre le crime organisé, qui ne représente qu’une infirme partie de l’activité économique, nous sommes désormais tous traités comme des suspects.

Aussi « archaïques » puissent-elles paraître, les espèces sont un garde-fou contre cette tentation des banques, et des États, de vouloir s’accaparer les richesses des citoyens et de contrôler tous leurs faits et gestes.

C’est pourquoi, j’exige que votre gouvernement s’engage à prendre d’urgence les mesures suivantes :

  1. Les limites aux retraits en espèces ne doivent plus être justifiées que par les nécessités matérielles et non par la volonté des banques de conserver les avoirs des déposants ; les plafonds doivent donc être relevés en conséquence ;
  2. Les paiements doivent pouvoir être faits en espèces quel que soit le montant ; les billets émis par la BCE ont cours légal et forcé et doivent donc pouvoir être utilisés en toute circonstance ;
  3. Le contrôle des flux financiers doit se limiter aux individus et aux groupes connus pour être potentiellement liés à des réseaux terroristes ou mafieux ; les citoyens honnêtes doivent voir leur vie privée respectée par l’État dans leurs activités économiques.

Je vous demande de vous mobiliser aujourd’hui.

Si vous êtes comme moi, vous êtes soucieux de l’avenir de nos enfants et petits-enfants. Je tente de les instruire autant que je peux. L’éducation à l’argent en fait partie.

Je redoute que dans 10 ou 15 ans, ils viennent me voir et me demandent,
« Où étais-tu quand ils ont instauré la société sans cash, qui permet de tenir le peuple ? »

Ils vous poseront cette question aussi.

Tout dépend de ce que vous ferez aujourd’hui :

Vous pourrez vous apitoyer, trouver excuses sur excuses, pour justifier votre absence de réaction.

Ou bien…

Ce jour pourrait ne jamais arriver, parce que vous avez décidé d’agir. Parce que vous avez décidé de prendre 30 secondes supplémentaires… et de signer la pétition ci-dessous.

Votre signature s’ajoutera à celle de nombreux Français conscients de la situation. Nous déposerons la pétition aux services du Premier Ministre pour le forcer à répondre de la situation.

Le timing ne peut pas mieux tomber : les élections présidentielles approchent. C’est le moment ou jamais de nous faire entendre.

Je vous prie de signer cette pétition tout de suite, pour que ce cauchemar n’ait jamais lieu.

Bien sincèrement,
Simone Wapler